In memoria : Mamadou Michel OUEDRAOGOCommuniqué
dimanche 25 novembre 2018. Sa Majesté, Le Naaba KIiba, roi du Yatenga ;
La famille de feu Commandant Guéssébéogo OUEDRAOGO à Ouahigouya ;
La grande famille BARRY à Bèma et Ouahigouya ;
Les familles de leurs regrettés pères, mères, oncles et tantes dont : Amadou Tiémoko Barthélémy, Oumarou Grégoire, Mahamadi (juge) , Salmata, Ibrahim Vincent, Commandant Moumini, Boukary Gaston, Azèta, Alizèta Rassa, Ali, Bibata, Adama Barthélémy, Salif, Ousmane, Kaguétou, Daouda, Sadou, Assane Barthélémy, Roukiétou et Inoussa. Vous informent qu’ils organisent, les 30 novembre et 1er décembre 2018, une manifestation religieuse pour commémorer le quarantième anniversaire du décès de feu Mamadou Michel OUEDRAOGO, Instituteur diplômé de l’Ecole Normale William Ponty ; Premier Directeur d’Ecole africain du territoire de Haute-Volta ; Conseiller de l’Union Française (Soudan Français, 1947) ; Conseiller Général de Haute-Volta (1948) ; Député de l’Union Française (1948-1956) ; Editorialiste et Directeur adjoint de « Carrefour Africain » (1956-1958) ; Commandant de Cercle (Diébougou, Djibo et Titao, 1958-1963). Ses distinctions honorifiques incluent : Médaille d’Argent pour l’Enseignement Primaire ; Médaille d’Argent pour l’Enseignement Agricole ; Chevalier de la Légion d’Honneur (France) ; Commandeur de l’Ordre National (Haute-Volta). La cérémonie consistera en : Vendredi 30 novembre 2018 : Samedi 1er décembre 2018 : * Manifestations et animations populaires à partir de 12 heures. |
Vos commentaires
1. Le 26 novembre 2018 à 19:27, par Souleymane En réponse à : In memoria : Mamadou Michel OUEDRAOGO
Le pays reste reconnaissant pour tout ce qu’il a fait. Puisse son âme reposer en paix. Amen !
2. Le 2 décembre 2018 à 09:31, par Plutonium En réponse à : In memoria : Mamadou Michel OUEDRAOGO
Son dévouement pour le développement de son pays était perceptible dès l’enfance. Il a été constant dans la lutte contre l’analphabétisme et l’amélioration des conditions de vie du monde rurale. Dans toutes les zones du Burkina ou il a servi, les populations ne retiennent que de bonnes choses sur lui, surtout sa générosité. Après la mort de son fils le Commandant Moumini le 13 Février 1972 à Ouahigouya, il a eu la force de pardonner. Que son âme repose en paix.
Putonium