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Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

LEFASO.NET | Par Tiga Cheick Sawadogo
lundi 15 mai 2017.

 

Que de passion autour de ce qu’il convient maintenant d’appeler affaire du gendarme et du journaliste. Deux agents sont affectés, pour accomplir chacun son ‘’job’’ à la journée nationale du paysan à Kaya, dans la région du Centre-nord. L’un pour assurer la sécurité des biens et des personnes, l’autre pour couvrir, assurer une visibilité de l’événement. Le gendarme et le journaliste. Le pandore projette à deux reprises le journaliste au sol pour, parce que, dit-on, ce dernier est passé par-dessus un cordon de sécurité. Le Chef de l’Etat lui-même déplore ce qu’il qualifie d’acte aux antipodes de notre époque. Le Colonel Baggna Boukari, commandant le Groupement de sécurité et de protection républicain (GSPR), la garde rapprochée du président, également condamne l’attitude de son élément en parlant de « violence gratuite ». Il se trouve pourtant des ‘’illuminés’’, loin des lieux, qui tentent de justifier l’acte du gendarme.

Arrivés sur l’aire de la célébration de la journée nationale du paysan à Kaya, les journalistes sont passés au scanner et fouilles. Comme tout le monde. C’est la règle, et personne ne peut se débiner. La tente réservée pour les hommes de média est déjà occupée, que faire ? Munis de leurs badges, certains prennent place à même le sol, au soleil, tandis que d’autres cherchent des solutions pour se mettre à l’abri des rayons de l’astre.

Il semble que Guézouma Sanogo a franchi une barrière (en réalité le ruban attaché autour du hangar initialement réservé aux hommes de médias), pour aller chercher une chaise qu’un tricycle venait de convoyer sur le lieu de la cérémonie. A son retour finalement sans chaise, le passage lui est refusé par l’agent en faction. Que se sont-ils dits ? On ne le saura pas. En tout cas, comme dans une arène de lutte, le journaliste est projeté au sol, une première fois. Puis une deuxième. Résultat, son visage est tuméfié, il saigne.

Voici l’incident qui, théorie de l’agenda oblige, a volé la vedette à la cérémonie pour laquelle tous étaient conviés.

Quand le chef de l’Etat lui-même déplore

Au plus haut niveau, juste après la cérémonie, le chef de l’Etat Roch Kaboré sans détours a condamné l’acte du pandore. "Je regrette sincèrement ce qui s’est passé car il n’est pas normal qu’à notre époque encore de telles choses se passent. Je voudrais simplement présenter mes vœux de prompt rétablissement à M. Sanogo. J’ai toujours dit et répété que la sécurité doit d’abord respecter les individus. Cela est une priorité et même si nous assurons la sécurité, nous devons garder notre sang froid pour éviter de tels dérapages qui dénaturent notre démocratie".

En dépit de ce dérapage, selon le mot du chef de l’Etat, il y en a qui trouvent quand même des explications. Pis, ils le soutiennent et félicitent le gendarme. Loin de toute position corporatiste, nous disons que ce n’est pas parce que c’est un confrère qu’il faut s’en offusquer. Est-ce seulement par des méthodes barbares et rétrogrades qu’il faut résoudre ce genre d’incidents. Si la violence gratuite est l’œuvre d’une force qui a du mal à être tranquille, au lieu d’applaudir, il faut plutôt craindre. Cela n’arrive pas qu’aux autres.

Le chef du Groupement de sécurité et de protection républicaine (GSPR), la garde rapprochée du chef de l’Etat a également condamné l’acte de son élément. Mieux il a rassuré que « les dispositions sont prises pour que l’intéressé soit enlevé du dispositif et les mesures vont suivre ». Qui mieux que son supérieur pour apprécier le comportement de son élément ?

Guézouma Sanogo ne s’était pas invité à la cérémonie. Si les organiseurs ont jugé utile d’établir un badge qu’il a porté au cou, c’est pour que cela serve à quelque chose. Et ce petit identifiant qu’il portait a été conçu au nom de son service, la Radio nationale du Burkina. Il a franchi une barrière ? C’est peut-être une faute. Mais de là à dire comme certains que le gendarme a fait son travail, c’est le triste rubicon à ne pas franchir. Le gendarme n’était pas là pour casser toute personne qui ne respecterait une quelconque consigne de sécurité. Après l’acte, le fautif a été exfiltré par un de ses frères d’armes. Ce dernier s’est-il rendu compte de l’excès ?

Ils veulent une chose et son contraire

‘’ Je pense que le Gendarme ne l’a pas bien eu sinon il devrait se réveiller aux urgences à Yalgado, ‘’le journaliste n’est pas un citoyen au-dessus des lois’’, « Les journalistes, les magistrats ont tendance à penser qu’ils sont des supers citoyens ! », ce sont entre autres les commentaires que l’on a pu lire sur le forum de Lefaso.net. C’est à croire que cet incident a été l’occasion d’exhumer des vieilles rancœurs.

On ne réclame pas une prime à l’impunité ! Entre Forces de défense et de sécurité et journalistes, les couacs sont presque quotidiens dans les cérémonies. C’est souvent plus tendu, mais rarement les débordements ‘’langagiers’’ n’occasionnent de blessés. S’il y a des apôtres de la ‘’violence gratuite’’ pour applaudir à tout rompre parce qu’un pandore a violenté un citoyen, malgré les condamnations du président du Faso et du commandant de la GSPR, il y a de quoi se demander à quelle époque certaines personnes voudraient ramener les Burkinabè.

Mais bon ! Puisque les réseaux sociaux sont parfois une affaire d’officines les unes plus corporatistes que les autres…

Tiga Cheick Sawadogo
Lefaso.net



Vos commentaires

  • Le 15 mai 2017 à 00:12, par vérité no1 En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Merci Tiga Cheick Sawadogo, voilà la vérité devant nous !
    2 tanties dont je tairai les noms ont voulu même en découdre avec moi !
    Je répète encore que ce gendarme doit être puni, point barre !

    • Le 15 mai 2017 à 15:26, par Intrigué En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Si vous avez suivi l’investiture du président Macron en France (et surtout prêté bien attention), lors du ravivement de la flamme et du dépôt de fleur par M. Macron sur la tombe du Soldat Inconnu, un élément certainement de sécurité (il était en civil) a saisi par l’arrière de sa veste un photographe qui semblait vouloir faire une photo de trop près et l’a ramener fermement vers l’arrière.
      Les motards des chaines de télévisions qui suivaient le cortège du président étaient systématiquement tenue a une certaine distance par ceux de la gendarmerie.
      Notre Gendarme est certainement allé trop fort. Mais il bénéficie d’une circonstance atténuante. On ne badine pas avec la sécurité du Chef de l’Etat. En France encore, Hollande qui n’est plus président aura droit à la sécurité pendant 5 ans encore, pour dire combien on ne plaisante pas avec la sécurité des Chefs d’États surtout en ces temps de terrorisme. Oui, il serait bien heureux les terroristes qui se paieraient le luxe de tuer un président.
      Je voudrais interpeller tout un chacun, respecter les cordons de sécurité. Et aux FDS, soyez un peu plus cool.

    • Le 15 mai 2017 à 16:10, par La Barbe En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Il faudrait aussi que nous sachions vraiment prendre part dans les discussions. Je pense que nous sommes tous responsables de ce que nous vivons parce nous sommes dans un système sécuritaire très très capital et chaque geste doit être analysé de près. Surtout dans un grand évènement comme cette JNP. Je prend un exemple où si une bombe éclatait, ou quelque chose de grave se produisait au milieu de cette immense foule à l’instant donné, on dirait que c’est la faute de la sécurité. Chacun doit jouer sa partition afin que notre sécurité soit vraiment une bonne sécurité:les gendarmes, les journalistes, les paysans, ainsi que autre citoyen. Nous sommes dans un pays de droit et je pense que chacun est libre de donner son point de vue face à une situation. Et pour ça je pense que la situation socio-politique est telle que les condamnations au plus haut niveau ne pouvaient en être autrement ! Je suis désolé mais je suis d’avis avec celui qui a dit je cite "vous voulez une chose et son contraire". On veux être sécuriser mais on ne veut pas qu’on nous exige aussi un peu d’effort.

      • Le 15 mai 2017 à 22:40, par sasa En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

        Salut. Je pense que vous n’avez pas compris ni le President ni l’auteur de cet article. Tous s’accordent sur la necessite de la securite. Mais il faut que ceux qui assurent notre securite nous respectent et soient professionnelles. Ne le souhaitons pas comme vous le dite. Si c’etait un terroriste avec une bombe ce nest certainement pas en le violentant que l’agent aurait reussi a eviter quoi que ce soit. Alors ne penser pas que ca n’arrive qu’aux autres. Le pays a besoin de tous pour sa securite et son developpement. Calmons nos esprits et oeuvrons pour la paix. Mes salutations fraternelles

  • Le 15 mai 2017 à 00:12, par le patriarche En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Bonsoir le Faso.net, bonsoir mes confrères journalistes. Je partage votre indignation en tant que concitoyen. Certains diront que j’ai pris parti avec les journalistes ; au contraire, non. Juste signaler une remarque : il y a certainement un problème dans le commandement de la Gendarmerie. Ce qui est inadmissible est encouragé par le commandement de la gendarmerie. Ils en font une fierté voire une leadership. Même les autres corps habillés subissent la barbarie de ces gendarmes mais à tout moment, leurs hiérarchies les soutiennent. Cela a commencé sous la transition et a eu de l’ampleur sous le régime de MPP. Leurs attitudes vont des actes matériels d’agression jusqu’aux propos diffamatoires contre les autres corps. Les preuves sont énormes, pas la peine de citer quelques unes. Souvent ils le font avec la complicité de certaines médias devenues pandores.
    CE QUI EST INOUI EST QUE LES GENS LES CAUTIONNENT, ILS LES CONSIDERENT COMME DES SAINTS ENOYES POUR INSTAURER L’ORDRE DIVIN. Aussi, aucune autorité ou sage ne se prononce là dessus.
    POUR MA PART, J’INVITE TOUT BON CITOYEN A RAPPELER SUR LES COMPORTEMENTS D’AVANT DE NOS MILITAIRES. QUELLES ONT ETE LES CONSEQUENCES ?
    ENSUITE FAIRE UNE ANALYSE DES COPORTEMENTS DES GENDARMES A NOS JOURS. QUELS SERONT LES RISQUES ? Merci !

    • Le 15 mai 2017 à 10:06, par citoyen lamda En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Entièrement d’avis avec vous. Il faut que l’on comprenne qu’avant de défendre l’ordre public il faut veiller à ne pas dénigrer ou violenter quelqu’un parce que tout le monde fait partie de ce grand public pour qui ils se disent assurer la sécurité. Salut !

    • Le 15 mai 2017 à 10:13, par citoyen lamda En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Entièrement d’avis avec vous. Il faut que l’on comprenne qu’avant de défendre l’ordre public il faut veiller à ne pas dénigrer ou violenter quelqu’un parce que tout le monde fait partie de ce grand public pour qui ils se disent assurer la sécurité. Salut !

    • Le 15 mai 2017 à 11:34, par Mam En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Je crois qu’il faut revoir la formation des uns et des autres : d’abord celle des gendarmes et ensuite celle des journalistes ; est-ce que le fait de porter un badge, aussi officiel soit-il nous autorise à passer par les murs ? Est-ce que la gendarmerie doit systématiquement violenter tout porteur de badge officiel ? Le gendarme est en tenue et le journaliste aussi. Entre eux, la formation et la courtoisie ont fait défaut ; à moins que la JNP de Kaya ne se soit subitement transformée en "doumbélane".

      Mam

    • Le 15 mai 2017 à 11:44, par LE CITOYEN OMEGA En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      C’est vraiment dommage. Les journalistes !!!,TOUJOURS EUX ! LES DISEURS DE LEÇONS ET DÉTENTEURS DE LA " VÉRITÉ ABSOLUE". GRATTENT TOUT LE MONDE ET N’IMPORTE QUI A LEUR GUISE ET NE SUPPORTENT JAMAIS ETRE CHATOUILLES... vous savez combien d’âmes vous avez saignées et détruites par vos actions intéressées et personnelles malhonnêtement élaborées à des fins de destruction délibérée sous le sceau du journalisme ? Noble fonction éducative en détresse.....L’autre n’a saigné que du nez et à même poursuivi sa mission avec une leçon du respect d’autrui ...
      Oui la "redoutable génération de journalistes" avec en son sein des "journalistes" extra-compétents dans ce qu’ils font et inventent, excellents dans l’ arrogance, le défi à l’autorité, les "au-dessus des autres", l’exhibitionnisme, pédants dans les analyses,experts en ragots de toute sorte, excessivement ambitieux et surtout croyant que le commun des mortels avalent les absurdités qu’il balance impunément à la société. Des rigollots, vous aimez vous adonner à des comparaisons absurdes,inadaptées et de façon éhontée.
      "le Président a dit , le Col.chef de sécurité du GSPR à dit, donc..." vous êtes vraiment simplistes dans la vision et l’analyse des choses des conclusions de facilité et dépourvues de tout professionnalisme ; et ça ! c’est tout sauf du journalisme.
      Cette nouvelle génération connait tout sur la sécurité, veut apprendre aux forces de sécurité leur travail, et se fait le malin plaisir à tout contester des mesures sécuritaires élaborées et mises en place à l’occasion par des professionnels pour la sécurité des journalistes, des citoyens, des installations ....
      L’autre génération qui nous a toujours inspirés, responsable, professionnelle, avec des moyens rudimentaires a fait la fierté de nos organes de presse durant des décennie et en bonne intelligence avec les forces de sécurité du faite de leur professionnalisme avéré et personne n’a eu le nez traumatisé... Soyons sérieux et responsable, certains journalistes sont experts en provocation des forces de sécurité dans l’exercice de leur service par des enfreints aux dispositifs sécuritaires en place, des contestions gratuites risquées, des propos méprisants manifeste de la provocation pure et simple...Chacun doit œuvrer à la réussite de sa mission tout en respectant les autres collaborateurs sans préjugé ni défiance.
      Rien n’a échappé aux citoyens avertis et responsables dans ce pays. Alors restons sereins dans le respect et la considération mutuelle dans l’intérêt du Burkina et du peuple Burkinabè.
      LEÇON : L’arrogance est comme la tempête, qui provoque la frustration, récolte la violence.
      L’humilité crée l’Amour et le respect mutuel...A bon entendeur .....

  • Le 15 mai 2017 à 00:14, par Triste En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Quelle époque ? Pendant que le peuple se bat pour que la lumière soit faite sur la mort de Norbert Zongo, un journaliste assassiné, il se trouve une race de burkinabé de l’ère précambrienne à louer un gendarme aigris et frustré qui envoie sans management les gens au tapis on dirait un brave lutteur du Nayala mais sauf que là nous sommes loin de l’arène.
    Il faut sanctionner ce monsieur qui va sans doute faire perdre encore a notre pays des points dans le classement sur la liberté de la presse.
    Et dans tout cela je ne vois pas ce que les magistrats ont a voir avec cette histoire ... Probablement que la personne qui trouve que journalistes et magistrats qui ne sont d’ailleurs pas les meilleurs amis, se pernnent pour des super citoyen à un différend avec ces corps, ou des rancœurs. Il faut boire de l’eau ça va passer. J’espère seulement qu’ils ne t’on pas retiré ta copine.

  • Le 15 mai 2017 à 00:17, par vérité no1 En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Vive les journalistes ! Vive les médias !
    Celui qui n’aime pas les journalistes, eh bien qu’il saute et atterrisse à Adjamé, point barre !!!!!!!

  • Le 15 mai 2017 à 01:08, par Le borgne En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Franchir une barriere de security c’est de l’incivisme. Le gendarme etait la pour faire respecter la regle. Il a bien fait son boulot. C’est paa parce que l’on a un badge au coup qu’il faut pas respecter la regle. Il a eu sa dose alors la prochaine fois il va faire le tour et entrer par la voie prevue pour le passage.
    Si le badge est un paase alors il devrait le presenter au point d’entree prevue. Mais si ce journaliste laisse le point de passage pour franchir les barrieres alors la voie doit lui etre barrer y compris par la force.

    Bravo au gendarme m’en deplaise au chef de l’etat et sa suite. La civisme cimmence par la. L’existance de regles claires qui s’appliquent a tous sans exception. C’est ça le vivre enswmble.

    • Le 15 mai 2017 à 08:44, par Abel En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      C’est parce que vous avez l’information que vous commentée n’est ce pas si et seulement vous saviez ce qu’endure le journaliste pour vous ramener l’info, vous ne le traiterait pas ainsi bien qu’il ne soit pas un super homme

      • Le 15 mai 2017 à 10:45, par El Hadj YANOGO En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

        Mon fils, laisse Le Borgne dans ses errements ! C’est certainement un ex RSP !

      • Le 15 mai 2017 à 11:16, par zz En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

        Bonjour mon frère.
        Un incident est arrivé,il faut le gérer avec sagesse.C’est à dire que chacun de ses deux agents doivent reconnaître avec humilité sa part de responsabilité dans cet incident.Oui,c’est parce qu’on a l’info qu’on commente,mais si le journaliste est en insécurité là où se trouve l’info,nous n’aurons pas d’info à commenté.Il m’est préférable que le pandore présente ses excuses au journaliste pour sa blessure,et que celui-ci reconnaisse son erreur de franchir la barrière sécuritaire.
        Ces deux corps doivent travailler en parfaite collaboration.Mes chers journalistes,ça ne sert à rien de chercher une quelconque sanction contre le Pandore.M.Sanogo,prompt rétablissement :ne soyez pas responsable de malheur de votre prochain et bon vent dans votre carrière.

      • Le 15 mai 2017 à 11:33, par Naaba En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

        Pour reprendre tes propos "vous saviez ce qu’endure le journaliste pour vous ramener l’info". Mon frère, ne le fais pas et attend de voir si la sirène ne va pas verser toute sa furie sur toi. Chacun en ce qui le concerne en son lieu de travail, endure la même situation. C’est pas parce qu’on est journaliste qu’on se croit tout permis. les consignes de sécurité reste les consignes et point barre.

    • Le 15 mai 2017 à 10:05, par Loblo En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Tu réponds bien à ton nom "Borgne". Tu es vraiment borgne sinon même aveugle. Ton post est très terre à terre. Tu jette de l’huile sur le feu. Que Dieu nous préserve.

    • Le 15 mai 2017 à 10:46, par Mathieu En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      C’est bien dit. continue ainsi jusqu’au jour où tu sera victime. bonne chance.

    • Le 15 mai 2017 à 11:06, par veni vidi vinci En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      M.le borgne,
      Borgne de l’oeil, borgne de l’esprit. Attention pour ne pas perdre l’autre oeil. Mais rassurez-vous ce n’est pas cela notre préoccupation, c’est le danger que vous representerez pour la société. Car borgne, vous déjà trop amer. ; aveugle, je ne saurais deviner ce que vous serez.

    • Le 15 mai 2017 à 11:33, par Koudraogo Ouedraogo En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Mon frère, quand même, si tel est ton raisonnement..
      Si le journaliste a violé une loi ou un règlement, il fallait l’arrêter et le déferrer au parquet.
      J’espère que le journaliste déposera plainte et qu’en plus de son redéploiement hors GSPR, la justice l’aura pour coup et blessures volontaire, c’est dire la radiation de la gendarmerie !

      • Le 15 mai 2017 à 18:01, par egouembi En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

        la colline de l’autre devient un bas-fond, l’enfant de l’autre devient un caillou. vous dites de ne pas vous poursuivre en justice pour vos mensonges et quand on corrige un journaliste parce que certainement il a injurié son prochain en fonction de réglementer et de faire respecter des mesures de sécurité mises en place pour protéger tout le monde y compris cet individu on voit que la justice est importante et elle doit être appelée au secours.
        a bas ce genre de journalisme et vivent les journalistes respectueux et objectifs

  • Le 15 mai 2017 à 01:44, par Rakis 23h30 En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    M Tiga, je prends plaisir à vous lire toujours mais cette fois-ci non. Ne défendez pas l’indéfendable. Les mots du President du Faso et du chef du GSPR sont un language diplomatique d’appaisement que n’importe qui comprend. C’est un peu comme le dossier Blaise Compaoré, géré diplomatiquement par le retrait du mandat d’arrêt international. Alors que tout le monde sais qu’en terme de justice pure, Blaise doit répondre et le mandat est juste. Personne n’aime la violence, encore mois une violence gratuite. Mais sachez que l’utilisation de la force (ce que vous appelez violence) pour réprimer les fautes ou prévenir les danger est un pouvoir donné aux gendarmes, un pouvoir qu’il faut respecter et crainde ou alors accepter qu’il s’exerce. Savez-vous pourquoi on n’affecte pas les journalistes pour assurer la sécurité ? Et pourtant ils ont un pouvoir aussi : celui de la parole et de l’écriture. Mais ce pouvoir est inefficace et inutile pour assurer la sécurité lors d’un rassemblement comme celui de kaya. Ce qu’il faut ce le pouvoir de la force, ce pouvoir qu’a exercé le gendarme.
    Vous dites : "il a franchi une barrière ? C’est peut-être une faute". Je proteste. Il franchi une barrière, est-ce une faute ou pas ?? Votre "peut-être" me semble malhonnête, intentionnellement utiliser pour minimiser l’infraction, tandis que vous grossissez excessivement et intentionnellement aussi la réaction du gendarme. Soyons clair : votre collègue a commis une faute et une faute grave au regard de la circonstance et aussi de son statut. Cette faute méritait une réaction prompte et forte ; pas de la force des journalistes (paroles et raisonnements) mais de la force des gendarmes (ce que vous appelez violence). Il fallait cette force pour trois buts : 1) maitriser immédiatement se potentiel terroriste, 2) punir immédiatement l’infraction qui venait d’être commise et 3) donner immédiatement un signal fort à tout ceux qui seraient d’imiter l’attitude délinquante de ce monsieurs. Convenez avec moi que la force utilisée a été tout de même mésurée. Il ne lui a pas tiré dessus ni brisé un membre.
    Une dernière remarque : vous dites : "à son retour, finalement sans chaise, le passage lui est refusé par l’agent en faction. Que se sont-ils dit ? On ne le saura pas". M Tiga, pourquoi n’avez vous pas cherché à savoir ce qu’ils se sont dit pour nous rapporter les faits avec précision ? Cela me semble aussi malhonnête. Et si le journalistes, après son infraction avait agressé verbalement le gendarme ? La parole n’est elle pas l’arme des journalistes ? Dans ce cas, pourquoi voulez vous que le gendarme n’utilise pas lui aussi son arme qui est la force physique ?
    M. Tiga, allez méditez ça d’abord. Et si vous écrivez encore sur la question je vous répondrai.

    • Le 15 mai 2017 à 08:43, par Lexys En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Bonjour monsieur Tinga,
      Juste vous dire que je suis totalement de votre avis.
      Plus rien à ajouter.
      Bien cordialement

    • Le 15 mai 2017 à 09:55, par Aziz En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Merci à vous Monsieur,car d’après moi tout est mis en oeuvre pour ternir l’image de cet élément en faction ; si non pourquoi ne pas chercher à savoir ce que ce journaliste à eu à le dire ? Car lui aussi il n’était pas posté là ! Par hasard, donc la mesure adéquate à été prise. ..

    • Le 15 mai 2017 à 14:49, par will En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Raki vous avez abordé le sujet avec beaucoup de recul et d’impartialité. Merci

    • Le 15 mai 2017 à 16:23, par La Barbe En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Je suis totalement d’avis avec vous Mr. La sécurité a mis un dispositif sécuritaire en place avec des règles et des consignes bien strictes que les gens devraient respecter. Si tu les déborde, la sécurité doit riposter parce que si quelque chose arrive c’est qui la faute ? C’est encore c’est même gendarmes qu’on va reprocher. Les réactions du chef de l’Etat et de la hiérarchie militaire ne sont que diplomatique, ils ne pouvaient pas prendre partie du coté du gendarme. S’ils le faisaient c’est le scandale dans la société. Donc comprenons bien les faits et que chacun sache sa part de responsabilité.

  • Le 15 mai 2017 à 02:33, par Edmond En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Mr Cheick merci pour votre article. Loin de moi de juger votre publication. Encore moin de vous apprendre votre metier. Mais en vous lisant j’ai l’impression que vous avez deja pris parti comme la pluspart de vos confreres. A votre place j’aurai du approfondir ma recherche afin de savoir les vraies causes de cet incident. Il y en avait de millier de persons à cette ceremonie et pourquoi c’est lui seul qu’on a mis à terre (deux fois) ?
    Vous reprenez les propos de Rock et le chef du GSPR comme argument. Entre vous et moi savions que ce sont des propos pour faire plaire à vous les "journalettes" et à la communauté internatinale. Sinon nous savons que l’usage de la force fait parti de la formation des hommes de defense et de la security.
    Mr le gendarme tu as fait ton travail n’en deplaise à ceux qui se dans un film.

  • Le 15 mai 2017 à 05:53, par Papa En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Mr Tiga ,vous dites je cite , Il YA DES ILLUMINES’ LOIN DES LIEUX , QUI TENTENT DE JUSTIFIER L’ACTE DU GENDARME,et encore plus loin vous dites que S’IL A FRANCHI LA BARRIERE C’EST PEUT ETRE UNE FAUTE . Mr Tiga, le fait de traiter les intervenants d’ullimines’ parceque ces derniers n’ont pas intervenu en faveur de votre confrere est une agression voire meme une injure a l’encontre des internautes . Une question, La barriere de securite’ etait erigee pour etre respectee’ oui ou non ? Si oui pourquoi la t-elle enjambe’ ? Par votre reaction ici ,non seulement vous tentez de defendre votre confrere fautif ,plus grave encore votre agression langagiere contre les intervenants du forum est aussi inadmissible que ce a quoi vous accusez le gendarme. Je suis desole’ de le dire mais j’attendais mieux de vous. Sans rancune.

    • Le 15 mai 2017 à 08:50, par Le bon En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Merci Papa. Je crois que Mr Tiga est en train de déporter le problème. Franchir une barrière est une faute. un point un trait. L’agent est là pour faire respecter l’ordre et si le journaliste qui est éclairé et qui est censé contribuer à l’éducation citoyenne a une méconduite, qu’il soit rappelé à l’ordre. Mieux s’il manque du respect au gendarme qu’il assume. C’est quelle vie et quel avenir dans ce pays où personne ne veut respecter ni personne, ni les règles du vivre ensemble. Je suis adepte de la non-violence, mais je suis pour le rétablissement de l’autorité de l’Etat. Et cette autorité trouve sa manifestation dans des gestes similaires et si elle doit passer par là, désolé, mais il le faut !. Gendarme, ce mot vous dit-il quelque chose ? Faire le gendarme ce n’est pas faire le modérateur ni faire le conciliateur. Gendarme ça régit, point barre. La crainte du gendarme est le commencement de la discipline. Et dieu sait qu’il nous en faut, de la discipline. A chacun son métier, les vaches en sont mieux gardées.

    • Le 15 mai 2017 à 18:16, par eli En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Bien je pense que le gendarme a joué son rôle, aujourd’hui les terroriste ont accès a tout il peuvent trafiquer leur identité pour arrivé a leur fin les exemple sont de nos jour d’actualité . NE blâmons pas le gendarme une barrière de sécurité na jamais été une passerelle pour les journalistes

  • Le 15 mai 2017 à 06:00, par Hum En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    "malgré les condamnations du président du Faso et du commandant de la GSPR..." que voulez-vous que ces 2 responsables disent d’autres ?
    C’est une violence utile comme lorsqu’on use du bâton pour taper sur qui ne veut comprendre.
    Ce qui est sûre est que c’est pas demain la veille du jour où quelqu’un d’autre voudrait franchir un dispositif de sécurité ! Si éventuellement ce gendarme est puni ou même rayé des effectifs, il partira la tête haute avec le sentiment du devoir accompli.
    Heureusement pour le journaliste que le gendarme est un sous officier...

    "Si la violence gratuite est l’œuvre d’une force qui a du mal à être tranquille" , c’est idiot et aberrant que pour une histoire entre 2 personnes, toute une institution soit pointée du doigt et traitée en des termes presqu’ insultant. Vous avez vos devoirs, les FDS ont les leurs ; que chacun se limite au rubicon à ne pas dépasser afin que les gueules soient préservées.
    Que personne ne joue à la provocation, surtout les journalistes anonymes...

  • Le 15 mai 2017 à 06:03, par Gangobloh En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    On ne pourra jamais et jamais se corriger tant qu’on se victimisera. Mais il y a des gens qui sont nés pour honnir et trouvent plaisir dans cet acte ignoble. Passez dans les gendarmeries et commissariats de police pour voir comment on traite certains gardés à vue. On ne résout pas un problème dans l’aigreur. Même les animaux sauvages se civilisent de nos jours et vivent en harmonie. On ne porte pas la tenue pour faire mal ou se venger .

    • Le 15 mai 2017 à 13:29, par Sougri En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Franchir une barrière sécuritaire c’est de jouer à l’incivisme.le gendarme a prévenu au journaliste et qu’il a reçu des consignes pourquoi insister de passer. chacun doit faire son travail. le gendarme est en pleine service si le journaliste veut faire le tien qu’il ne sabote le travail de l’autre. c’est le seul passage ? porter un badge ne donne pas le droit de semer le désordre n’importe quoi nous avons vu des camicases porter des blouses pour rentrer dans les hôpitaux et faire du mail. soutien aux forces de l’ordre dans le travail l’incivisme en bas.

    • Le 15 mai 2017 à 16:40, par La Barbe En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Mon type toi tu n’a rien compris c’est mieux de vous taire. Pourquoi ce journaliste va violer la ligne de sécurité ? Il ont fait le droit il doivent savoir se comporter surtout dans un évènement de ce genre et dans un système sécuritaire aussi fragile que le notre. Vous-vous imaginez si le journaliste à son retour il faisait éclater une bombe que dirait-tu ? Les gendarme la faute ? Ou le journaliste ? Nous devons nous comprendre, le journaliste a fauté un point c’est tout. Le gendarme fait aussi son travail là que voulez-vous ?

  • Le 15 mai 2017 à 06:28, par LE VILAIN En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Du n’importe quoi comment pouvez vous condamner cet acte que le gendarme dans ses missions a posé ? Vous aviez bien suivi que c’est le cordon sécuritaire où ce journaliste a franchi. Ici en ce qui concerne la sécurité il faut souligner qu’elle n’a pas de prix surtout avec ces malades mentaux qui tue chaque jour. Monsieur le Président, ne chercher pas le populisme mais un travail bien fait. Si c’était en Europe, je crois que les supérieurs de ce Gendarme allait le féliciter et en plus la famille des journalistes allaient condamner l’acte poser par ce journaliste. Un journaliste est censé d’avoir les notions en matière de sécurité. Moi, LE VILAIN je félicite ce brave Gendarme qui a joué bien son rôle.

  • Le 15 mai 2017 à 06:30, par chapité En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Avez vous suivi le sort réservé au photographe à la place du Phanthéon devant Emmanuel Macron hier ?

    • Le 15 mai 2017 à 17:36, par kzal En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Merci mon frère chapité ! Il fallait que ces journalistes arrogants qui se croient super citoyens voient l’image de ce photographe qui s’est fait traîné comme un bambin étourdi par un membre de la sécurité devant le président E.Macron lors de la visite de ce dernier à la tombe du soldat inconnu. C’aurait été ici (BF), on nous aurait percé les tympans par toutes sortes de ridicules plaintes.
      C’est écoeurant d’entendre certains journalistes crier honteusement à l’acharnement sous prétexte que d’autres personnes avaient franchi la même barrière bien avant Mr G. Sanogo sans que le même gendarme en faction n’est bronché mot. On ne brûle pas le feu rouge parce que d’autres le font. C’est une question de civisme. Votre confrère a juste eu la malchance d’être là au moment où le gendarme, lassé et débordé par le comportement des anarchistes comme lui, a perdu son sang froid et a alors décidé de sévir. Moi je dirai que M. Sanogo l’a bien mérité. Il est président de l’AJB, il devrait donc respecter son titre en n’essayant pas d’imiter les "n’importe qui" qui ne respectent pas les consignes de sécurité. Il s’est comporté comme "n’importe qui" et il a été traité comme"n’importe qui". Et je suis même convaincu que le sieur Sanogo, au lieu de s’excuser pour l’infraction commise, a tenu des propos certainement "durs" à l’égard du gendarme qui, pour moi, n’a fait que sont travail.

  • Le 15 mai 2017 à 06:38, par Lapaz En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    " Loin de toute position corporatiste, nous disons que ce n’est pas parce que c’est un confrère qu’il faut s’en offusquer." A vous lire c’est tout le contraire, vous avez partie pris pour votre confrère mon Mr Tiga. La version des faits que vous relaté ici c’est celle que vous souhaitez que tout le monde crois, qu’est ce qui nous garanti que tout s’est réellement passé comme vous l’avez raconter dans votre écrit ? Qu’elle est la version du gendarme ?
    Soyons sérieux, on n’agresse pas gratuitement quelqu’un comme ca a de telle cérémonie sans une raison valable et je pense a mon humble avis que le président doit éviter de se prononcer sur des cas pareils car ya plus sérieux dans le pays mais il ne dit rien.

  • Le 15 mai 2017 à 06:38, par YIRMOAGA En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    J’ai vu la cérémonie qui s’est passée à Paris entre les deux présidents où la presse était disciplinée et tenue à l’écart, où on voyait pas de forces de l’ordre, voilà que chacun est à sa place et personne n’est plus que l’autre ?
    Ici, la presse ou les reporteurs veulent être nez à nez avec la scène pour leur boulot, ignorent la sécurité ? Que celui qui n’a pas de matériel adapté, reste chez lui ? Un périmètre est réservé aux reporteurs et mieux que ça soit ainsi ?
    Sans commentaire et le travail sera clair et visible ?
    Si le président a regretté et considéré d’acte d’antipode, il se peut qu’il s’est adressé à la presse qui a eu un mauvais comportement face à la sécurité ?,

  • Le 15 mai 2017 à 06:40, par LE PAUVRE En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    VOICI UNE ERREUR QUE NOS AUTORITÉS ONT POSE ET QUI PEUT NOUS COÛTER CHÈRE UN JOUR. LE CORDON SÉCURITÉ EST UNE LIGNE QUE PERSONNE NE DOIT FRANCHIR. EN PLUS NOUS APPRENONS QUE CE BRAVE GENDARME A DÉPOSÉ LE JOURNALISTE DEUX FOIS AU SOL. CE QUI VEUT DIRE QUE LE JOURNALISTE A INSISTE ET NE VOULAIT PAS RESPECTER LES CONSIGNES DE L’AGENT DE SÉCURITÉ DANS L’EXERCICE DE SES MISSIONS. JE CROIS QUE CE JOURNALISTE DEVRAIT ÊTRE POURSUIVI POUR NON RESPECT D’UN AGENT DE SÉCURITÉ QUI ASSURAIT SES MISSIONS. VOUS LES JOURNALISTES C’EST PAS PARCE QUE C’EST VOTRE COLLÈGUE QUE VOUS ALLEZ LE DÉCOUVRIR SINON EN JOUANT DE CE JEU PERSONNE NE VA AVOIR CONFIANCE A VOUS ICI AU FASO. OSEZ DIRE LA VÉRITÉ. DEMANDEZ AUX GENDARMES POUR COMPRENDRE QUE MÊME SI SON ENFANT, FRÈRE, PÈRE, MÈRE POSE UN ACTE ANTI-CONSTITUTIONNEL, CE GENDARME SERA LA PREMIÈRE PERSONNE A METTRE AUX ARRÊTS CE PARENT.

  • Le 15 mai 2017 à 06:41, par Tapsoba R(de H) En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Nous ne sommes pas encore sortis de l auberge.Hier dimanche j ai pris mon temps pour parcourir la cent-cinquantaine de messages mais je vous assure que je suis resté pantois.Du coup un évènement m est revenu à l esprit ,le journaliste lapideur de Georges W Bush avec sa chaussure en Irak ce 14 déc 2008 ,que lui serait-il arrivé au Burkina ? Pourtant maitrisé ,jugé et condamné même s il s en était sorti avec un bras cassé dans la lutte pour le ménotter.En 2002,un militant d extreme droite français armé tenta d ôter la vie à Chirac ,lors de la célébration du 14 juillet avant d être maitrisé au Taser.J imagine que ce gendarme l aurait buté tout simplement.Quid des enfarineurs du président Hollande ?
    On aurait mis ce journaliste aux arrêts puis l éloigné des lieux de la cérémonie qu il n y aurait pas eu cette polémique .

  • Le 15 mai 2017 à 06:42, par Hector En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Dommage que cet incident entre un gendarme et un journaliste soit survenu lors de la journée nationale du paysan à Kaya.Le ministre d’Etat en charge de la sécurité, Simon Compaoré et le Conseil Supérieur de la Communication(CSC) ont conjointement organisé des séances de sensibilisation sur la collaboration responsable qui doit exister entre les forces de sécurité et des hommes de médias, afin que chaque partie joue son rôle sans empiéter sur le travail de l’autre. Beaucoup d’agents de sécurité ont bien compris cet esprit de collaboration qui doit prévaloir. Ce sont des principes qu’il faut absolument enseigner à tout agent de sécurité qui fait fonction nouvellement dans la sécurité auprès des personnalités lors de cérémonies officielles où des journalistes sont mobilisés. Il convient aussi que les organisateurs des manifestations prévoient des places assises pour les médias soit dans les tribunes ou à côté, pour éviter des bousculades et incompréhensions et appréhensions entre reporters et forces de sécurité. Cet incident ne doit pas être dramatisé et devrait servir de leçon pour qu’à l’avenir de tels comportements ne se reproduisent plus.

  • Le 15 mai 2017 à 06:53, par le sage En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Il y’a tout de même à se demander pourquoi parmi des milliers de personnes à la cérémonie,que Guezouma soit l seul à être agressé par un gendarme.il n’etait pas le seul journaliste sur les lieux.je crois que c’est fort de son titre de président de l’AJB qu’il s’est cru avoir plus de droit que les autres jusqu’à manquer du respect au gendarme.quand on vous traite comme si vous n’étiez qu’un bon à rien c’est le résultat comme cela.et puis dites moi si tout le monde n’en faisait qu’à sa tête.s’il n’y avait pas de consignes ni d’agents de sécurité pour etablir un certain ordre sur les lieux que serait cette cérémonie ? La sécurité d’abord puis viens le reste ! L’agent de sécurité est investi d’une autorité.il doit la conserver et se montrer fort même si cest pas toujours en "agressant".c’est nécessaire pour la bonne marche de sa mission même.en fin le gendarme est un homme comme tout le monde avec ses qualités et ses défauts,avec ce qu’il peut tolérer et ce qu’il n’accepte pas.qu’est ce que ce journaliste a bien pu lui dire pour le mettre dans un tel etat de colère ??? Oubien quel geste voyou celui ci a bien pu lui faire pour mettre le gendarme en colere ? Un geste qui voudrait dire par exemple vas te faire f..tre !!

  • Le 15 mai 2017 à 07:01, par il n’a pas raison En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Si c’avait été un citoyen lambda, nos chers journalistes auraient parlé d’incivisme généralisé. Mais comme c’est un des leurs...

    Les barrières sont faites pour que ceux qui n’ont pas d’accréditations (badges ou autres) ne puissent pas avoir accès à l’aire protégée.

    Les accréditations (badges ou autres) sont faites pour que ceux qui ont les ont puissent passer par l’entrée officielle.

    Dès l’instant où on est doté d’un badge, cela signifie que l’on peut passer par la porte officielle. Pourquoi alors aller enjamber des barrières, fussent-elles fictives ?

    Pour le gendarme, les règles sont claires : personne ne passe la barrière. Et il a fait son boulot. Point barre !!!

    Le PF a fait cette déclaration parce qu’il s’agit d’un journaliste et que çà risquait de s’envenimer. C’était du pain béni pour la corporation étant donné qu’il s’agit du président de votre association. On allait en avoir ras-le-bol, comme des antennes françaises quand un français remporte une médaille, même de bois.

    Le patron du gendarme pouvait-il contredire le chef de l’Etat ?

    Le civisme, c’est le respect de la règle à tous les niveaux et par TOUS ! Et ça doit commencer par ceux qui relatent tous les jours les faits d’incivisme.

  • Le 15 mai 2017 à 07:35, par Zemosse En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Merci pour ce commentaire. Le journaliste à commis une erreur en franchissant la barrière. Une personne avisé ne franchi pas une barrière. Mais, le gendarme est à condamner sévèrement. On n’est pas au far West. Même au temps rsp,on n’à jamais vu ça, sauf erreur de ma part. Ce gendarme n’à pas été professionnel, il pouvait, avec méthode , dissuader le journaliste de franchir la barrière sans porter atteinte à son intégrité physique. C’est une bavure grave,

  • Le 15 mai 2017 à 07:40, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    - Ce gendarme barbare n’a même pas honte ! Regardez comment est le journaliste. Il n’est pas si costaud que celà. Il fallait que ce gendarme s’en prenne à un militaire qui a fait sa formation à l’Académie Militaire Georges Namoano, c’est là qu’on allait savoir s’il est un homme ou pas.

    Par Kôrô Yamyélé

    • Le 15 mai 2017 à 09:47, par la sage du yatenga En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Désolée Koro !
      Mais là je suis pas du tout d’accord avec vous. C’est pas la forme du journaliste qui importe. C’est ce qu’il a peut-être dit à l’endroit du pandore. Journaliste c’est "connaisseur". Il va lui sortir de ces droits, de ces articles et j’en passe ; tout en occultant qu’il a un devoir (la barrière à ne pas enjamber). Et action entrainant réaction, voilà ce qui lui est arrivé avec son gros fançais. Je suis sure que s’il n’ya pas eu de propos injurieux le gendarme ne peut pas le limer jusqu’à deux fois.
      A l’endroit de celui qui a écrit cet article, je ne sais pas pourquoi il veut coute que coute donner raison au journaliste. Reconnaitre son erreur, c’est ca aussi la grandeur d’un homme. pourquoi défendre l’indéfendable ? sans avoir tous les contours du problème ?pourqoui n’avoir pas eu un entretien avec ’l’agréssé’ puisque c’est ainsi vous l’appelez, bien sur que si c’était un citoyen lamda vous l’auriez qualifié ’d’incivique’ ?

    • Le 15 mai 2017 à 11:12, par tolodo En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      cher Yamyélé je lis toujours vos commentaires sur le forum mais là je ne vous suis pas du tout .Le gendarme n’a fait que son travail.
      et je suis prête à parier qu’il y a eu débordement de langage sinon le brave gendarme n’allait pas réagir de la sorte.
      Je suis juste de passage oooooooh.

    • Le 15 mai 2017 à 11:54, par Dimathème En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Kôrô Yamyélé vous volez si bas, même très bas dans votre point de vue. Donc parce que monsieur est journaliste il a le droit de brûler le feu ? donc parce que monsieur est journaliste il a le droit de conduire en sens inverse ? En quelque sorte c’est ce que vous voulez. Pour vous être journaliste c’est faire ce qui est interdit et brandir sa carte de presse quoi ?
      Il a franchi un cordon de sécurité. Et je suis prêt à parier qu’il y a eu sommation, en règle général 3 sommations. S’il veut mettre son titre de journaliste devant eh beuh il va récolter.
      je ne suis pas gendarme, mais je t’informe que dans le cadre de la formation commando à Pô, gendarmerie, armée de terre et armée de l’aire sont dans le même panier. Lors d’un reportage en 2009 à Koudougou, j’ai couru pour me positionner afin d’avoir les meilleures images malgré mon statut à l’époque (responsable de la communication de la structure organisatrice) j’ai été copieusement coudée et mis à l’écart par la sécurité rapprochée. J’ai continué mon travail et à la fin je me suis présenté. Ils m’ont dit mec nous on fait notre travail qu’est ce qui prouve que tu n’as pas été envoyé par quelqu’un ? Sur ce nous avons rit et nous avons continuer, nous sommes amis aujourd’hui.

      De grâce c’est pas parce qu’il est journaliste avec un badge que je peux reproduire qu’il a le droit de traverser le cordon de sécurité. Qu’est ce qui lui coûtait de passer là on passe normalement ? Kôrô je te renvoie la question, à supposer que c’était un autre journaliste inconnu et après être passé au contrôle, il va prendre ce qu’il faut pour un joli feu d’artifice et bon refuse de se faire contrôler à nouveau à cause de son badge et que le pire arrive ; le même gendarme allait passer ç la cour martiale pour négligence et tu aurais été le premier à verser un venin sur lui. Revois ta copie

    • Le 15 mai 2017 à 13:50, par Sougri En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Koro je suis désolé le gendarme est un patriote. les barrière c’est pour éviter le passage désordre un militaire ne va se comporte commeça il sait ce que s’est qu’une barrière. le journaliste a été repoussé 4 fois pourquoi insisté il n’ya pas un passage officiel ? la force revient à la loi. Le gendarme est dans son droit.

    • Le 15 mai 2017 à 15:34, par Yousself OUED En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      J’ai parcouru le forum rien que pour lire le point de vue de Kôrô Yamyélé sur cet incident.Vraiment vous êtes un sage.Que Dieu vous bénisse et vous guide pour toujours.Longue vie à vous mon kôrô.

    • Le 15 mai 2017 à 16:00, par Mafoi En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Je ne sais pas si la cause se trouve dans la vieillesse mais tu deviens de plus en plus très immature dans tes réactions

  • Le 15 mai 2017 à 07:54, par user En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Combien de Militaires,Gendarmes et Policiers sont tombés pour ce Pays ?votre article est tout à fait normal du fait que c’est un collègue à vous(journaliste). Rappelez vous que c’est un journaliste qui a été à l’origine de la Fameuse chaussure lancée sur l’ancien président Bush.si nos diplômes sont contrefaits, ne pensez vous pas que l’on puisse contrefaire un badge ?juste pour dire que cela pouvait aussi être un terroriste et en ce temps j’imagine déjà les titres.c’est encore la presse qui allait encensé nos FDS.le Pardon n’est pas juste un mot.pensez y

    • Le 15 mai 2017 à 10:11, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      - user, ils avaient quand on recrutait qu’un jour ou l’autre ils allaient tomber pour le pays. Personne ne les a forcé à rentrer dans ces corps. Bien que je reconnaisse la noblesse de leurs morts pour la patrie, je refuse pour autant qu’on ramène tout aux sentiments. Et celà ne justifie en aucun cas les barbaries et autres sauvageries dont ils sont les auteurs, ni l’acharnement dont ils les acteurs face à des civils désarmés. C’est sur le front Nord qu’ils doivent aller démontrer leurs barbaries face des gens qui les y attendent et non sur des journalistes lors des fêtes.

      Par Kôrô Yamyélé

  • Le 15 mai 2017 à 08:05, par TI En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Arrêtez de nous berner le gendarme a raison la barrière est faite pour être respectée sans exception. Ou la règle c’est pour tout le monde ou y’a pas de règle.

  • Le 15 mai 2017 à 08:14, par paula En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    "A son retour finalement sans chaise, le passage lui est refusé par l’agent en faction". Mais Monsieur Sawadogo, dès lors où le passage est refusé au journaliste, avait-il besoin d’insister pour qu’un le projette à terre une fois puis une seconde fois ? entre nous ! Si quelqu’un d’autre à sa place avait eu un tel comportement, Dieu seul sait combien vous les journalistes auriez félicité le gendarme.

    Comme vous l’avez bien dit, chacun des deux éléments était à la cérémonie pour faire son travail. Le gendarme a simplement fait le sien. apprenez tout simplement à être à l’heure pour occuper les places qui vous sont réservées.

  • Le 15 mai 2017 à 08:20, par Un citoyen En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    M. SAWADOGO, je suis désolé mais votre texte n’est que celui d’un avocat qui glane des alibis pour défendre son client, pardon son collègue.Un peu d’objectivité dans vos prises de position vous êtes avant tout un journaliste et non l’avocat de votre confère. Je ne suis pas un adepte de la violence mais dé là à dédouaner entièrement M. SANOGO, j’émets des réserves. Le point de vue du Président et son chef de sécurité relève du besoin d’apaisement, ouvrez les yeux un peu. Vous vous attendez qu’ils sortent féliciter le gendarme pour avoir frappé un journaliste ? quand même, même un enfant de 10 ans devinerais aisément ce que diras le Président dans de telles circonstances. Vous même l’avez dit, vous ignorez quel étais le contenu des échanges entres les protagonistes, alors ce contenu peut justifier la suite. Si le gendarme avait laissé pas un jihadiste avec un faux badge de presse commettre un quelconque attentat, on ne serait pas là à défendre aveuglement un confrère. Messierus les journalistes, les ménaces terroristes sont réelles, alors respectez les consignes de sécurité, il y va de nos interêts à tous. Sans rancune et prompte rétabilssement au journaliste !

  • Le 15 mai 2017 à 08:48, par je m’en fou En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    le journaliste n’a pas raison aujourd’hui, il n’aura pas raison demain. qu’est ce qui prouve qu’il n’avait pas une poudre magique pour empoisonner le président, en tout cas on est en Afrique dèèè. si non pourquoi insister tant pour passer la barrière de sécurité. il doit même être auditionner. d’ailleurs même les journalistes du Burkina ne connaissent rien.c’est moi qui ai dis ça, voilààà

  • Le 15 mai 2017 à 08:55, par kabore En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Le gendarme a bien fait son travail parce que une personne bien eduquee n’emjampe pas une barriere Donc cessez de condanner l’acte du gendarme C’est plutot l’acte du journaliste qu’il faut condanner

  • Le 15 mai 2017 à 09:00, par sankara saidou En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Tout en déplorant ce qui est arrivé, je voudrais que les uns et les autres fassent des analyses qui pourraient aider à éviter de pareilles situations. je rappelle que le commandant Massoud a été tué par un prétendu journaliste. Si le gendarme ne respectent pas les consignes et que quelque chose arrive on lui aurait reproché de n’avoir pas respecter les consignes. En pareille situation, les journalistes devront mettre de l’eau dans leur vin. Si on vous dit de ne pas faire et vous insistez ne soyez pas surpris que ce qui est arrivé arrive. Les supérieurs hiérarchiques du gendarme ne devront pas agir dans la précipitation sinon tous les gendarmes joueront au laxiste et le pire pourrait arrivé un jour. Nous sommes dans un contexte de terrorisme et les forces de l’ordre doivent rester vigilantes . C’est l’occasion de demander à tout le monde de respecter les consignes de sécurité il y va de l’intérêt de tous. "la sécurité reste la sécurité" Je souhaite un prompt rétablissement au journaliste et demande à tous de jouer à l’apaisement pour que tout redevienne normal car les journalistes et les gendarmes sont condamnés à travailler ensemble

  • Le 15 mai 2017 à 09:09, par mili En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Qui lui a permis de quitter le zoo ?!!
    On a ses réactions comme ça quand on se retrouve hors de son milieu.

    Sécuriser consiste à agir avant et non après.Il était où quand il franchissait et c’est après quand le mal était fait qu’il essaie d’essuyer son incompétence et de cette manière digne d’avant même l’esclavage !

  • Le 15 mai 2017 à 09:12, par KI En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Je pense qu’il faut encouragé le Gendarme par contre je regrette les propos du PF et de son supérieur comment le PF veut qu’on assure sa sécurité en s’exposant lui-même

  • Le 15 mai 2017 à 09:15, par Mamon Yélé En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Le président devait consoler le journaliste mais conseiller et encourager les deux, car chacun était dans son rôle. Il devrait demander à chacun de rester z&lé pour accomplir sa mission sans passion mais en restant digne de respect. Le soleil et la chaleur y sont sûrement pour quelque chose car les esprit devraient être déjà chaud de part et d’autre. Demandons qu’après réflexion on n’envenime pas mais qu’on cherche à comprendre chacun. La sécurité, la justice et la presse sont sœurs jumelles et entre eux je ne mettrai pas mon doigt car elles sont toutes cause de nos malheurs. Quand les couteaux se bagarrent coq à intérêt à quitter son cou. Que les deux s’entendent ou s’amènent chez la troisième jumelle qui tranchera.

  • Le 15 mai 2017 à 09:22, par Bibi En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Je vois à plusieurs reprises, "on ne sauras jamais ce qu’il se sont dit"... Bien vrai que le gendarme à réagit à l’extrême, mais qu’est ce qui prouve qu’il n’a pas été poussé à le faire par des propos que le journaliste aurait pu tenir. En plus, 2 fois qu’il a été projeté par terre, je me pose la question : s’est il relevé la première fois pour riposter ?soyons sérieux.. Cette situation ne serait pas arrivé, si Mr le journaliste avait suivi les règles... c’est déplorable, mais il a fait son job, saurais pu être une menace terroriste qu’il avait écarté...

  • Le 15 mai 2017 à 09:27, par Zangoté En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Le pandore n’a fait que son devoir ! Il a même été gentil avec ce gars et je crois que l profession des journalistes doit trouver quelqu’un de plus discipliné pour la représenter. Si ce n’est pas au Burkina, qui ose franchir un cordon de sécurité ? Même le Président du Faso n’est pas autorisé à le faire. Quand on dit cordon de sécurité c’est que c’est infranchissable point barre.
    Moi je m’adresse plutôt à cet illuminé de Tiga je ne sais quoi qui croit détenir le monopole de la vérité : aucune obligation n’est faite à un journaliste de couvrir un évènement auquel il n’a accès. Si donc il est vrai que les journaliste ont été tenus à l’écart, M. SANOGO devrait prendre et se comporter en homme civilisé car c’est plutôt aux organisateurs de se soucier de la couverture médiatique de l’évènement et non les média à priori. M. SANOGO a cru devoir apprendre au pandore son travail alors que chacun doit respecter l’autre dans l’exercice de son métier. Face à un tel comportement, on devrait lui refuser désormais l’accès à la cérémonie en attendant qu’une enquête soit ouverte à son sujet. Pour terminer j’invite les gens à être conséquents envers eux mêmes et envers la loi : qui a désobéit dans ce cas de figure ? Sieur SANOGO. Qui a fait son travail ? Le gendarme. Et au lieu de l’encourager parce qu’il défendu l’intérêt général, on tente de lui saper le moral. Il faut que ça cesse. Mouillé c’est mouillé ; il n’y a pas de mouillé-sec.

    • Le 15 mai 2017 à 10:56, par lecoq En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Franchement je suis d’accord avec votre raisonnement. Le Gendarme a trop joué le faire-play dans cette histoire.Le Gendarme est bien instruite et il sait très bien ce qu’il fait comme acte dans ses missions.Moi, je condamne avec la dernière énergie la réaction du Président du Faso et de celui chargé de la sécurité rapproché du Président. Le dispositif est mis à cause de qui ? bien sur du Président ! et la sécurité se bat pour sa sécurité et lorsque un inciviste s’amuse avec cette sécurité,il faut corriger rapidement. Je vous rassure que vous ne verrez dans aucun dossier ce gendarme radié ni sanctionné.

    • Le 15 mai 2017 à 11:39, par veni vidi vinci En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Je suis désolé, la sécurité n’est pas synonyme de barbarie. Il n’y a que les esprits vils qui oublient que nous vivons dans un monde civilisé. On n’est pas dans un zoo. Je constate que bcp de nos pandores pensent que c’est quand ils violenter les civils qu’ils font du bon boulot. C’est de la pietrie. On peut être efficace sans être barbare.

  • Le 15 mai 2017 à 09:28, par sidbala En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    la gendarmerie n’est plus ce corps d’élite auquel on était habitué.certains de nos pandores se comportent comme des mercenaires en territoire conquis. se considèrent au dessus de la loi, méprisent ce qui est civile. Cet incident n’est pas le premier ; il fallait voir lors du FESPACO lors d’une projection au cine neerwaya le gendarme qui était en poste coté OUEST du neerwaya terroriser la population avec sa kalachnikov au nom de la sécurité.
    il faut quand même raison garder, je suggère qu’une enquête soit ouverte et les responsabilités clairement établies et des sanctions prises contre le contrevenant.
    si le gendarme est coupable d’abus de pouvoir, il est indigne de notre confiance donc indigne du monopole de la force publique qu’il incarne.

  • Le 15 mai 2017 à 09:39, par le combattant En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Monsieur le journaliste, suis désolé mais le gendarme n’a rien fait d’autre que son travail. l’incivisme c’est à tous les niveaux. De grâce revoyez votre copie.

  • Le 15 mai 2017 à 09:45, par Je suis deçu de vous aujourd’hui En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Bonjour.
    Monsieur Tiga Cheick Sawadogo, c’est avec plaisir que je vous lis souvent. Mais aujourd’hui votre article pue le parti pris, la mauvaise foi (S’IL A FRANCHI LA BARRIÈRE C’EST PEUT ÊTRE UNE FAUTE) et l’impertinence voire l’agression (Il YA DES ILLUMINES....). Avec des mots comme ça à l’endroit d’autrui tout simplement parce qu’il ne partage pas votre point de vue soyez sûr que la violence que vous dénoncez ne s’arrêtera pas. Vous faites pire que le gendarme, qui lui au moins avait en face un fautif. Mais vous "les illuminés vous ont fait quoi ?" à part le fait de ne pas partager votre point de vue ?. Apprenons à garder la tête froide en toute circonstance que l’on soit citoyen lambda, gendarme ou journaliste.

  • Le 15 mai 2017 à 09:51, par COULBANZ En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Nous n’avons pas besoin de nous faire la bagarre à ces genres de cérémonies. que chacun face son travail sans perturber celui de l’autre. pour un intellectuel de sa trempe, il sait bien que franchir un cordon de sécurité nécessitera la réaction de l’agent qui en a la garde. le contraire devait même inquiéter les journalistes. parlant de l’analyse que vous faite de la situation, je voudrais vous demander d’être honnête. si vous avez si bien expliqué la manière dont votre collègue a été brutaliser, vous pouvez également expliquer clairement ce que votre collègue a dit au gendarme avant d’être amener au sol. je suis convaincu qu’il a mal parlé malgré la grave faute qu’il venait de commettre. on ne fait de la sécurité avec les yeux doux comme si on se rendait chez sa copine. la vie de tt ceux qui participent à la cérémonie en dépend. avez vous suivi la cérémonie d’investiture du président français ? demandez au journaliste qui a tenté de violer le cordon de sécurité si il ne l’a pas appris à ses dépens

  • Le 15 mai 2017 à 09:52, par par la verite En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    forcement le journalier a bien manque du respect au gendarme sinon il ne réagirai pas ainsi. quand on commet une faute on demande pardon mais utiliser des jeux de mot pour insulter parce que je sais bien parler la langue de molière c est forcement a terre que tu vas te retrouver.

  • Le 15 mai 2017 à 10:10, par sidsomde En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Monsieurs les journalistes , vous qui voyagez par terre et par air, une question : à l’aéroport si vous ressortez d’un check point, allez vous revenir sans passer par le contrôle ? respectons le job de chacun et personne ne se plaindra de l’autre !

  • Le 15 mai 2017 à 10:11, par Kongoussimba En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    je reste d’avis que la situation dans laquelle se retrouve le journaliste a été très extrême. Cette situation est due à l’environnement général de l’organisation de la cérémonie ou tout n’est jamais parfait, du côté de la presse, comme du protocole, ou de la sécurité, et même des officiels. En effet dans de pareilles circonstances, les gendarmes sont toujours débordés donc deviennent très nerveux, voir aggressifs. C’est connu. Ils n’ont ni les moyens techniques, ni les ressources humaines necessaires à l’exécution de leur mission. Ils font avec comme dirait l’autre quelque soit la manière, et on se félicite après au cas où il n’y’ aurait pas trop de casse, et même par le premier magistrat du pays. Mais lorsque dans une foule incontrolée se retrouve une personalité, voir un journaliste, même souvent un gendarme, (il arrive que les gendarmes linchent un autre gendarme avant de s’en rendre compte), je pense qu’il faut faire du discernement pour ne pas jetter l’eau du bain avec le bébé. Ce n’est pas donné, mais il faut y arriver, car cela s’appelle aussi du professionalisme. Ce cas est une bavure.

  • Le 15 mai 2017 à 10:20, par Ka En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    J’ai toujours partagé avec plaisir les analyses de Tiga : Mais ce que je peux confirmer ici, c’est que le geste du gendarme qui peut être fait par n’importe quel être humain dans le cadre de son service peut être toléré, en disant que du moment, ses gestes étaient incontrôlés. Une barrière de sécurité est une barrière de sécurité qu’on doit respecter, et par tout le monde. Est-il productif pour une surveillance recommandé par les supérieurs du gendarme, de laisser chacun faire impunément n’importe quoi ? Avant que ce gendarme soit affecté a cette surveillance, il a reçu des ordres et des règles, et si ces règles ne sont pas appliquées pour protéger la manifestation, où va-t-on ? Que tous les internautes, y compris le président du Faso comprennent que les fautes sont partagées entre le gendarme et le journaliste blessé. Cet acte du gendarme, ne peut se comparé à celui des éléments du RSP qui ont tué et brûler notre valeureux frère Norbert Zongo e t ses compagnons : Nous sommes en guerre contre les Djihadiste, et dans une manifestation comme celle de Kaya, mérite une double vigilance.

    • Le 15 mai 2017 à 12:55, par SIDZABDA En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Chers journalistes , ne chercher pas à justifier l’injustifiable. Félicitation à ce gendarme qui a fait son travail.Le chef de l’état est allé trop vite en besogne, en donnant son point de vue sur les lieux de la cérémonie et ĺà j’accuse l’incompétence notoire du service de communication de la présidence du Faso.
      La stratégie de communcation de la présidence déclinée jusqu’à ce jour est à revoir.
      La réaction du chef de l"État sur cette question devrait intervenir après celui des responsables hiérarchiques du gendarme et du ministre de la sécurité.
      J’invite nos journalistes à suivre ll’intégralité de l’invstiture du président Francais ;pour voir comment le service de sécurité à rappelé journalistes et photographes à l’ordre et ces derniers ont obtempéré, bien que nous soyons dans un pays dite grande démocratie .
      Par ces temps qui courent,on ne lésine pas avec la sécurité et il y a des comportements responsables qu"il faut avoir lorsqu"on est dirigeant d’une corporation. (On ne franchi pas un cordon de sécurité ;il y a une voie à suivre pour rejoindre la place souhaitée)

  • Le 15 mai 2017 à 11:11, par Maria de Ziniaré En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    J’ai déjà donner mes première impression sur le sujet en attendant la version du gendarme que j’ai cherché en vain sur le net. Aucun journaliste n’a recueilli la version du gendarme pour l’équilibre de l’information. Sacré journalistes Burkinabé ! Ou est le professionnalisme et la déontologie dont ils s’arrogent. Avec en plus un président du Faso qui manque de verticalité et parle de tout et de rien comme dans le cabaret de ma tante Nopoko, et en fait une exploitation politique ça ne donne pas de la visibilité. Nos journalistes doivent apprendre à respecter le sacro-saint principe de l’équilibre de l’information en nous donnant la version du gendarme bien que ce soit un des leurs qui soit incriminé.

  • Le 15 mai 2017 à 11:18, par RAPHA En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    M. Sawadogo, vous refusez d’accepter la vérité. Si nos FDS devraient laisser n’importe quelle personne franchir les barrières simplement parce qu’elle porte un badge, il y aurait un grand désordre dans les cérémonies. Et pour une cérémonie de cette envergure, les FDS doivent jouer correctement leur rôle et c’est ce que le gendarme a fait.
    M. Sanogo, en tant que journaliste, devrait donner le bel exemple en acceptant de ne pas franchir les barrières ériger par la sécurité. Mais il s’est comporter comme un voyou, c’est pourquoi le gendarme l’a traité aussi comme un voyou. Dans ces temps où les actes de terrorisme sont légion, chacun de nous doit avoir un comportement responsable pour faciliter le travail des FDS. Prompt rétablissement à M. Sanogo.

  • Le 15 mai 2017 à 11:19, par Prignano En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Il ya des manières plus civilisées pour faire respecter la lois. L’énergie dépensée ce jour là par le gendarme aurait être plus utile contre les djadistes qui traumatise la population.

  • Le 15 mai 2017 à 11:39, par Macat En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    C’est vraiment dommage que les hommes de presse n’ont souvent pas de la hauteur d’esprit quand il s’agit de se défendre...Ils s’engagent hasardeusement dans des comportements corporatistes.
    "Chien ne mange pas chien":Même dans la connerie,il soutiendrons l’incivisme.
    Un journaliste et de sur-crois responsable d’association professionnelle qui viole un dispositif sécuritaire dans un contexte sécuritaire difficile est encouragé par ses collègues qui prônent à tout vent les développement et qui ont très souvent des critiques acerbes en vers les gens de tout bord dans ce pays.
    J’ai l’impression qu’on s’éloigne du développement.Le journalisme est un métier noble qui doit être exercé par des gens matures et exemplaires et vous ,vous tentez de minimiser un acte d’incivisme posez par une "lanterne".Pires vous voulez défier l’autorité et dire aux Burkinabés de ne pas respecter l’ordre et le protocole dans une cérémonie officielle.
    A lire les commentaires de certains,je ne serai pas étonné de voir les journalistes assurer la sécurité des institutions bientôt dans ce pays.
    Quand on a le monopole de la parole et des écrits on doit avoir une certaine hauteur d’esprit et condamner comme il se faut les actes que nos collègues commettent.
    Même sur le plan politique je ne suis pas d’accord avec ces hommes dit de presse qui sont souvent incohérents.Ils prônent la démocratie et la liberté d’expression,ils critiquent à longueur de journée les acteurs politiques mais quand un d’eux déconnent ou arrivent en politique,c’est la censure totale :"Touche pas à mon collègue"
    En passant,on a vu des journalistes arriver au sommet des institutions très fortes dans ce pays et depuis leur corporation dans sont entièreté est devenue la grande muette : aucune bonne analyse depuis et c’est vous qui courrez ici pour donner des leçons aux gens...

  • Le 15 mai 2017 à 11:58, par Koutou En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    M. Tiga Cheik, comme certains l’ont déjà dit, on a l’habitude de lire mieux de vous !
    Malgré vos précautions, votre écrit transpire la mauvaise foi pour 3 raisons essentielles :
    1- Vous dites que « le passage lui [M. Sanogo] a été refusé par l’agent en faction. Que se sont-ils dits ? On ne le saura pas ». Donc vous n’avez pas tous les éléments pour faire l’analyse que vous avez tentée. En principe, quand un agent de sécurité vous refuse un accès, il n’y a pas de discussion ou de contestation possible parce qu’il sait pourquoi il le fait. Pourquoi M. Sanogo n’est-il pas allé simplement là où l’accès est autorisé ?
    2- Vous dites que « si les organiseurs ont jugé utile d’établir un badge qu’il a porté au cou, c’est pour que cela serve à quelque chose ». Là on sent vraiment que pour vous (et peut-être aussi pour M. Sanogo), ce « badge au cou » est un laisser-passer qui vous autorise tout. Mais que non ! C’est pour qu’il « serve à quelque chose » certes, mais il ne vous autorise pas n’importe quoi, comme franchir une barrière de sécurité, fut-elle un "simple ruban" !
    3- Votre mauvaise foi devient flagrante lorsque vous dites : « Il a franchi une barrière ? C’est peut-être une faute ». Vous osez douter que franchir une barrière de sécurité soit une faute ? Soyons sérieux ! On devine aisément ce que vous feriez comme abus si vous disposiez d’un autre pouvoir que celui de la plume !

  • Le 15 mai 2017 à 12:03, par Sage En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Je n’ai rien contre les journalistes, mieux ils abattent, un vrai travail d’information (je veux bien entendu parler des vrais journalistes ; pas ceux qui, un beau jour s’autoproclament tels et commencent à faire chanter des gens "diner" leurs sous, ou se mettent au service de mafieux).
    Il faut reconnaître que si ! (je dis bien si !), M. Sanogo a effectivement cherché à enjamber la barrière, c’est très grave ; dans des pays dits développés ou "civilisés" tels que les USA, vous pouvez faire abattre pour ça ; en France, quelqu’un qui s’amuse à ça dans le contexte actuel de terrorisme ambiant, peut également être amené à rejoindre ses ancêtres. Donc, c’est pas par ce qu’il est journaliste, qu’il doit être soutenu par principe.
    Je ne soutiens pas le gendarme, je ne suis pas gendarme, mais chacun fait son travail sans laxisme.

  • Le 15 mai 2017 à 12:12, par Le pionnier En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Si tout Ceux qui avaient des badges à leur cou se mettaient à franchir la barricade je crois que le président du Faso serait heureux.
    on ne gouverne pas par émotion.

    devenez des hommes d’état un jour.

  • Le 15 mai 2017 à 12:36, par vis-à-vis En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    C’est vraiment malheureux que cela soit arrivé. Pour ma part, il n’est pas juste de condamner d’emblée le pandore car il n’a fait qu’appliquer les consignes qu’il a reçues. « Personne ne doit franchir le dispositif mis en place ». Respectons les FDS dans leurs s missions.

  • Le 15 mai 2017 à 12:43, par RAPHA En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    M. Sawadogo, vous refusez d’accepter la vérité. Si nos FDS devraient laisser n’importe quelle personne franchir les barrières simplement parce qu’elle porte un badge, il y aurait un grand désordre dans les cérémonies. Et pour une cérémonie de cette envergure, les FDS doivent jouer correctement leur rôle et c’est ce que le gendarme a fait.
    M. Sanogo, en tant que journaliste, devrait donner le bel exemple en acceptant de ne pas franchir les barrières ériger par la sécurité. Mais il s’est comporter comme un voyou, c’est pourquoi le gendarme l’a traité aussi comme un voyou. Dans ces temps où les actes de terrorisme sont légion, chacun de nous doit avoir un comportement responsable pour faciliter le travail des FDS. Prompt rétablissement à M. Sanogo.

    • Le 15 mai 2017 à 13:59, par paysannoir En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Rapha tu as tout dit. Est ce que vous savez que le modérateur censure ceux qui postent des lettres comme Rapha ? Il veut que les gens disent que le journaliste a raison. Ce Sanogo n’a qu’à porter son badge, passer par le mur de la MACO pour faire un reportage sur la prison. On viendra le chercher en pièces détachées. Admettons qu’un terroriste se fabrique un badge, s’infiltre dans la masse et avec une arme sous forme d’appareil photo, tire sur les autorités. Qui va chier premièrement ? les journalistes "journaleux" ou les FDS. Ce Sanogo qui se prend pour un super homme, oublies que nous les paysans on s’en fout de son reportage. Qu’il ait été absent ou présent, la JNP allait se tenir. Mais sans la sécurité personne n’oserait aller à Kaya à la porte des djihadistes. Qu’il aille se faire cuir un œuf.

  • Le 15 mai 2017 à 13:11, par DANWARA En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    C’est vraiment regrettable. Je n’étais pas la-bas mais je paris que ce n’est pas par ce que le journaliste a franchi la barrière seulement que le gendarme l’a terrassé. Et avec ce temps de terrorisme je crois que c’est injuste d’en vouloir au gendarme en question.

  • Le 15 mai 2017 à 13:20, par Freddy le loup En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Il est vrai que la securite doit veiller au grain et etre dissuasive mais elle doit avant tout respecter les individus. On se felicitait du changement de mentalite de nos forces de securite, il ne faudrait donc pas qu’elle retombe dans ses travers

  • Le 15 mai 2017 à 13:31, par Tunwende En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Après avoir lu les uns et les autres ne suis pas satisfait du tout. Qui a tué le commandant Massoud. Pour les plus jeunes fouillez sur le net

  • Le 15 mai 2017 à 13:55, par TANGA En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Messieurs, je ne pense pas que vous rendez service à votre journaliste ou aux journalistes de la sorte. Vous ne faite que attiser le feu. Le chef de l’état ne peut que signifier d’aller doucement. Lui le Rock n’y était pas au moment t=0 pour savoir comment cela s’est passé. On lui a rapporté et tel que nous les connaissons, ils sont toujours prêts à tout transformer ;
    N’était ce pas un travail de copier coller ou couper coller de journalistes qui avait justifier le massacre de Koudougou ? sous Blaise Compaoré. Ceux qui ont raconté à Rock et aux autres ne les ont-ils pas Biléler .
    Mes chers, On a beau vous appeler le 4 ième ou le N ième pouvoir, je pense que c’est le pouvoir de nuire à vous même par ce que à ce rythme, quelqu’un dira un ’’il y en a mare’’ et utilisera lui aussi son outils de travail pour vous nuire.
    Mes chers camarades, ayons les pieds sur terre même quand on nous exalte. N’allons pas mettre la main pour remuer les poubelles par ce qu’on ne sait pas combien et comment serons les scorpions qui en sortirons !

  • Le 15 mai 2017 à 14:01, par SOS En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    les gendarmes se prennent trop quoi, je pense qu’aller jusqu’à le tabasser c’est vraiment un manque de professionnalisme et on doit revoir sa formation, ce n’est qu’à même pas un djiadiste

  • Le 15 mai 2017 à 14:19, par Sidyéta En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    chers journalistes, hommes de média vous vous foutez de vous même vous n’êtes pas du tout juste il faut dire la vérité même quand il s’agit de votre confrère ou vous vous taisez. Nous avons tous assister à la scène. Il devait être le premier à respecter les consignes de sécurité.
    soyez beaucoup plus mature

  • Le 15 mai 2017 à 14:33, par sylvain En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Moi je crois que les gendarmes doivent revoir leur copie. Ils ont remplacé l’ex RSP. C’est eux qui risquent d’être la bête noire du Peuple burkinabé. Regardez bien leur collaboration avec les autres frères d’armes. Mêmes nous les civils ne les gobons pas du tout. Tous mes amis qui sont aujourd’hui gendarmes, j’ai effacé leur contact. Je préfère avoir un ami caribou qu’un ami gendarme. Y a pas son bon. Tous des gonflés à mort. Quand tu les vois en circulation, on dirait c’est eux qui détiennent l’air que le BON DIEU a créé pour les redistribuer à qui ils veulent.

  • Le 15 mai 2017 à 14:35, par Z.S En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Tiga Cheick, je crois que nous ne devons pas cautionner l’incivisme, fut-il de la part d’un collègue. C’est vrai que le gendarme ne devrait pas porter la main sur le journaliste, mais comme vous l’avez si bien dit dans votre écrit, ’’que se sont-ils dits ?".
    A l’endroit du Président, j’aimerait lui conseiller de ne pas aimer discréditer un corps pour aider un autre dans une situation où chacune des parties estime avoir raison.
    Imaginez les Forces de l’ordre et de Sécurité toutes confondues (gendarmes, policiers, militaires) décider de ne plus sécuriser les cérémonies parce que le Président tient des propos qui les empêchent de travailler correctement.
    C’est pas sûre que les journalistes mêmes auront le courage d’y aller pour couvrir quoi que ce soit. C’est pour dire que la présence des FDS est très importante dans les cérémonies. Aussi devons-nous faire preuve de bon sens pour les aider à accomplir leur travail.

  • Le 15 mai 2017 à 14:45, par TANGA En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    C’est un à zéro pour les journalistes.
    Un à zéro par ce qu’ils utilisent leur outils de travail et que les pandores n’ont rien dit ni fait encore. Et si les pandores utilisaient aussi leurs outils de travail pour riposter ?

  • Le 15 mai 2017 à 14:48, par YARBANGA En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Je pense que le pays a trop de problème non résolu et que les cœurs sont chauds à tel point qu’un petit problème pourrai envenimer tout.Le mieux ça serait d’en reste aux stades des excuses et veuillez à ce que ces genres de situations facheuses n’arrivent plus à l’avenir.Que Dieu protège le Burkina Faso...

  • Le 15 mai 2017 à 15:16, par L’Oeil du Peuple En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    C’est très déplorable que cet incident soit arrivé.Prompt rétablissement au blessé.Mais ce que je voudrais dire, il faut qu’il ait un respect mutuel entre nous.Chacun doit respecter l’autre à son poste de travail et pour ce qu’il accomplit comme mission.Certes,il est bien vrai que nous avons besoin des journalistes pour nous relater tous ce qui se passe lors des manifestations,mais nous ne devons pas occulter aussi le travail que les FDS abattent tous les jours en vue de nous mettre à l’abri de tout éventuel danger en ces temps de menaces terroristes.Nous devons toujours respecter les consignes sécuritaires dressées par les hommes de tenue car il y va de notre intérêt.Sans passion aucune par rapport à cet incident regrettable.Félicitations et courage au journaliste blaissé qui en vrai intellectuel n’a pas voulu faire trop de bruit autour de ce problème.

  • Le 15 mai 2017 à 16:08, par LE SAINT En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    IL FAUT QU’ON MET UNE LOI AUSSI SI UN GENDARME T’AGRESSE SI TU LE MOYEN BATS LE ET LE MEILLEUR GAGNE. SILS SONT FORT ILS N’ONT QU’A PARTIR AU NORD ON VA VOIR.....

  • Le 15 mai 2017 à 16:31, par Rango En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    C’est triste, mais pour ma part tous les deux acteurs sont en faute.
    premièrement le gendarme pour avoir perdu son sang froid et occasionné tout ce tapage qui a failli gater la fête.
    deuxième le journaliste qui, mieux que lui connait les reglements : on peut sortir comme on veut mais l’accès passe par une seule porte après controle quelquesoit la personne. Il suffisait que Mr Sanogo passe par la porte d’entrée et il n’allait pas avoir d’incident. il a voulu faire autrement. Son badge ne suffit pas pour indiquer qu’il n’est pas un terroriste parce que n’importe qui peux confectionner un badge de JNP pourvue qu’il ait la volonté.

  • Le 15 mai 2017 à 16:35, par le visionnaire En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Avez vous poser la question à savoir si c’était un terroriste qui avait dérobé le badge du journalier et avait infiltré en passant par la bande rouge sous prétexte qu’il est un journaliste et que le gendarme le laisse passer et quelques instants il commet l’irréparable, quelles seraient vos commentaires. Je crois qu’il faut analyser le problème sans passion ni parti pris

  • Le 15 mai 2017 à 16:41, par Un citoyen En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Il n’ y a pas d’apôtres de violence gratuite dans cette affaire. C’est peut être ton imagination et je te comprends parce que tu es journaliste donc partie prenante. On aurait aimer que tu nous décrives plutôt ce qui s’est réellement passé et ce qu’ils se sont dits ou bien tu l’a omis volontairement car n’étant pas favorable à ton collègue. Dans cette situation sans rentrer dans les détails, je dirai que les torts sont partagés et il faut l’admettre. S’il y a lieu d’incriminé le gendarme, le journaliste n’est pas non plus saint dans cette affaire. Les condamnations du PF sont normales car formulées après une menace de boycotte de la couverture médiatique de la JNP comme pour vous amadouer à continuer à assurer la couverture médiatique. Allez-y demander qu’est ce que la hiérarchie a dit au gendarme. Ça m’étonnerait que ce soit aussi cette condamnation ferme dont vous faite cas.

  • Le 15 mai 2017 à 16:45, par ELZATAN En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Le Président Rock et le chef de sécurité ont commis une GROSSE ERREUR en condamnant publiquement l’acte du gendarme.Il ont jeté ce dernier en pâture.Désormais aucun agent de sécurité ne se foulera plus la rate pour empêcher quelqu’un qui porte un badge et franchi un cordon de sécurité.Faisons attention car un Djihadiste peut exploiter les failles du système en portant un badge.D’ailleurs dites nous ce que le gendarme et Sanogo se sont dit.Le gendarme a pris le soins de discuter avec M Sanogo mais c’est c’est suite à cet entretien que l’incident est survenu.Je pense que le gendarme n’est pas allé immédiatement le plaquer au sol sans protocole.
    M. Tiga Cheick Sawadogo vous êtes journaliste et vous n’avez pas pris soin de demander le contenu de l’échange entre votre confrère et le gendarme.Vous auriez dû connaitre le contenu de leur entretien afin d’informer le public.Expliquez nous pourquoi cette négligence.Webmaster laisse passer !

  • Le 15 mai 2017 à 17:26, par La Barbe En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Je n’ai jamais vu un pays où des gens qui se disent intellectuels agissent comme le cas du journaliste. Notre système sécuritaire est fragile,donc nul n’est sensé violer une ligne de sécurité. Et dans une cérémonie aussi grande comme la JNP, la sécurité doit être de mise. Alors, les forces de l’ordre ont reçu des consignes strictes et claires, que voulez-vous chers burkinabè ignorants ? Respectez-les ! Dans ce contexte de terrorisme à multiple visage, à la suite d’un régime déçu, on ne sait pas qui est qui ? Qui peut faire quoi ? Donc on ne peut pas permettre aux gens de se balader au hasard dans une aire dite réservée.Moi je sais que si par exemple le journaliste à son retour faisait éclater une bombe, ce sont c’est mêmes journalistes et autres ignorants burkinabè qui diront que les gendarmes n’ont pas bien fait leur travail ! Sinon il faut comprendre que les condamnations du chef de l’Etat et des hautes autorités militaires ne pouvaient pas être autrement, encore devant vos caméras ! C’est diplomatique au regard du contexte socio-politique actuel du pays. Sachons faire preuve de professionnalisme.

  • Le 15 mai 2017 à 17:27, par Ayatola En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Trêve de discussion ! Un journaliste a été molesté. Pourquoi cela doit constituer un évènement​ ? Tous les jours des Burkinabè sont ainsi molestés. La vie continue. Arrêter de nous masturber les esprits.

  • Le 15 mai 2017 à 17:29, par Koro Payangdé En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Qu’est ce qui empêchait le journaliste de manière courtoise ,se présenter au gendarme.Je suis sûr que ce dernier l’aura compris. Au lieu de cela, il enjambe les cordes.Ç’aurait été un citoyen lambda,il n’y aura pas autre qualification par rapport à cet acte que l’incivisme.C’est exactement comme s’il avait brulé le feu rouge.néanmoins prompt rétablissement

    • Le 15 mai 2017 à 21:05, par PAYSAN D’AFRIQUE En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

      Se presnter ? Ok, mais il avait sa carte au cou et cela est bien visible et la securite voit kamame sa koro. ou bien tu es koro nul en reflexion comme moi ? de toute facon ces gens la je les considere comme le service de securite des riches. Si le gar etait veste je vous dis que cela ne se produirait pas. Vraima on ne peut pas tout dire, jai vu souvent les gendarmes maltraiter des gens pour rien ! Est ce que cekil a fait a pu resoudre kelke chose de positif dans le JNP ?

  • Le 15 mai 2017 à 19:11, par Qui mieux En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Cet incident doit permettre à tout un chacun de connaitre ses devoirs et obligations. Je suis en désaccord avec les personnes qui incriminent le gendarme. A mon humble avis lorsqu’on met en place un cordon de sécurité, seules les personnes autorisées peuvent le franchir. Et tout "bon" journaliste doit le savoir. Il n’y a ni excuse ni explication objective justifiant le comportement de ce journaliste. En tant que journaliste professionnel il devrait savoir ces choses si basiques de sa profession. Une chose est certaine, il ne devait même pas franchir le cordon de sécurité qu’importe les raisons sans y être invité.
    Dans cette sous-région animée par l’insécurité, seule la vigilance peut nous aider à prévenir les catastrophes. Lorsque des consignes sont données, il faut les appliquer et les respecter. Le gendarme a justement bien fait son travail. Pas parce que tu es journaliste que tu peux te permettre de bafouer les consignes. Chacun fait son travail. Je déplore les blessures du journaliste mais si c’est à refaire je soutiendrai une fois de plus ce gendarme car il fait son travail. Au journaliste d’être plus professionnel.
    Si on doit désormais regarder les badges ou pièces avant d’appliquer les consignes, j’imagine le niveau d’insécurité car personne n’est devin pour imaginer à l’avance les actions d’autrui.
    Respectons nous les uns les autres dans l’exercice de nos professions.

  • Le 15 mai 2017 à 19:40, par Ouedraogo Abdoulaye En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Sécurité n’est pas égale à brutalité, car brutalité égale insécurité. La vraie sécurité est dans la discretion.A bon entendeur salut.

  • Le 15 mai 2017 à 21:57, par Le citoyen En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Je ne suis pas un homme de tenue je précise. Les journalistes se croient sortis de la jambe de Jupiter. Ce que vous racontez, même l’analphabète sait que vous mentez pour défendre votre confère qui ni plus ni moins qu’un inciviste. Moi, je condamne la condamnation instantanée de l’acte de la part du Président du Faso.Il devrait complètement ignorer l’acte quitte à se prononcer plus tard la dessus, de manière froide et à travers son service de communication. Il ne faut jamais décourager nos forces de l’ordre dans l’accomplissement des dures tâches qui sont les leurs dans un contexte sécuritaire délétère.

  • Le 15 mai 2017 à 21:57, par koro En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    c est les civils que ces gendarmes maltraitent. on se rappelle tous du combat corps a corps entre le gendarme et le policier. le policier l a terrassé .quand c est les civils vous etes gonflés comme des ballons. quand le rsp etait là vous rasiez les murs ici. N oubliez pas que c est les civils qui les ont mis en deroute pour vous. quelle honte !

  • Le 16 mai 2017 à 09:33, par disons la vérité En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    A moins que ce soit un règlement de compte je ne comprend pas pourquoi ce gendarme est allé jusqu’à tabasser le journaliste. Même si se dernier était en faut, il n’a pas à être traité de la sorte. Tous ceux qui son entrait de félicité ce gendarme, si vous êtes pour ce comportement alors vous serez d’accord pour que l’on tabasse tous ceux qui brulent le feu rouge au lieu de les verbaliser.

  • Le 16 mai 2017 à 11:11, par jan jan En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Chers journalistes, bon courage pour l’accomplissement de votre beau et noble métier, quant aux pandores, la violence inutile n’est pas nécessaire surtout sur un Peuple meurtris par 30 ans de dictature militaire, changer vos méthodes d’expéditions punitives sur la population aux mains nues , n’oubliez surtout pas qu’à présent, nous sommes en démocratie, vous êtes là pour défendre le Peuple et non pour le torturer, si vous voulez continuez à jouer les Tonton Macoutes, vous allez rejoindre le maître de ces méthodes sur la lagune Ebrié.

  • Le 17 mai 2017 à 17:41, par LOMPO Danani En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

    Qui plus qu’un journaliste, sait qu’on ne badine pas avec la sécurité d’Etat ? Un invité à une cérémonie, même muni de son badge,se doit de respecter les strictes consignes de sécurité ; Un journaliste qui, délibérément franchi la barrière et engage une dispute avec la sécurité : ça s’appelle incivisme pur ! et c’est ce qu’on dénonce chaque jour.
    Rappelez vous qu ’un président Américain a été lapidé par par un journaliste avec ses chaussures. En matière de sécurité d"Etat, on n’a confiance en personne au prime abord !
    Si Mr Sanogo n’avait pas été interpellé et qu’indépendamment de son acte il se passait un attentat sur les lieux, les journalistes seraient les premiers à critiquer les éléments de sécurité pour leur manque de professionnalisme et prendraient pour exemple, le fait qu’un journaliste ait franchi la barrière sans être inquiété !
    Meilleure santé à Mr Sanogo.