Les condoléances du Burkina Faso à la République de TurquieLe jeudi 30 juin 2016, le Chargé d’Affaires par intérim de l’Ambassade du Burkina Faso en Côte d’Ivoire, SEM. Jean Kléna Ouattara, est allé signer le livre de condoléances ouvert à la chancellerie de l’Ambassade de la République de Turquie à la mémoire des victimes de l’attentat terroriste perpétré contre l’aéroport d’Istanbul, le 28 juin dernier. L’aéroport international d’Istanbul, capitale de la République de Turquie, a été la cible d’une attaque terroriste, le 28 juin 2016 ; une attaque qui a fait plus d’une quarantaine de morts et d’une centaine de blessés. Suite à cet attentat, des délégations de missions diplomatiques et consulaires et des organisations internationales accréditées en Côte d’Ivoire, défilent à l’Ambassade de Turquie à Abidjan pour signer le livre de condoléances. Le jeudi 30 juin 2016, Monsieur Jean Kléna Ouattara, au nom du Burkina Faso, a écrit dans le registre des condoléances, le message suivant : « Le 28 juin 2016, le monde entier et plus particulièrement le vaillant peuple de Turquie, encore une fois de plus, sombrait dans l’horreur de la barbarie d’un autre siècle avec les attentats de l’aéroport d’Istanbul qui ont endeuillé de nombreuses familles et fait de nombreux blessés. Aux blessés, nous souhaitons un prompt rétablissement. Auparavant, le Chargé d’Affaires est allé sur le chantier de la Maison du Burkina exprimer la compassion des autorités et du peuple burkinabè au personnel de l’entreprise turque, DECOTEK, qui exécute actuellement les travaux. Au nom du Président du Faso, du Premier ministre, du Gouvernement et du peuple burkinabè, Jean Kléna Ouattara a adressé la solidarité et la compassion aux familles des victimes, et souhaité une meilleure santé aux blessés. Service de Presse de l’Ambassade du Burkina en Côte d’Ivoire |
Vos commentaires
1. Le 2 juillet 2016 à 09:49, par kwiliga En réponse à : Les condoléances du Burkina Faso à la République de Turquie
La capitale de la Turquie c’est Ankara ! Istanbul en est la plus grande ville et sa capitale économique.
Sinon, condoléances, bien entendu, mais soyons conscients que le pays paye le jeu d’Erdogan, qui a entretenu une politique extrêmement ambigüe vis à vis de l’état islamique.
Tant qu’ils massacraient des Kurdes, Erdogan les trouvait fort sympathiques et laissait filtrer le pétrole Syrien par ses frontières volontairement poreuses (non sans y gagner quelques subsides_le baril le moins cher du monde).