Politiques de conservation de l’environnement : CIFOR partage son expérienceDans le cadre du renforcement des échanges et l’approfondissement de la réflexion sur l’efficience, l’efficacité, l’équité dans la formulation des politiques et la mise en œuvre du processus de Réduction des Emissions dues à la Déforestation et à la Dégradation des Forêts (REDD+) ; le Centre de recherche forestière internationale (CIFOR) a organisé, le 30 octobre 2015 à Ouagadougou, un atelier auquel ont participé différentes parties prenantes du REDD+ au Burkina Faso Ils étaient environ 90 acteurs du processus de Réduction des Emissions dues à la Déforestation et à la Dégradation des Forêts (REDD+) à prendre part le vendredi 30 octobre 2015 à Ouagadougou, à l’atelier organisé par le Centre de recherche forestière internationale (CIFOR). Plusieurs communications
Les participants ont eu droit à plusieurs communications après l’introduction des travaux thématiques par Maria Brochaudj, coordinatrice du module 1 de l’étude comparative globale de Réduction des Emissions dues à la Déforestation et à la Dégradation des Forêts (GCS-REDD+ M1). Ces communications ont porté entre autres sur les thèmes suivants :
Données du profil pays sur la REDD+
Selon les résultats de l’étude sur le profil Burkina Faso en matière de REDD+, le processus REDD+ du pays bénéficie de politiques et stratégies existantes qui lui sont favorables, mais l’analyse de leur performance à réduire ou favoriser la dégradation et la déforestation des ressources forestières révèle que certaines politiques ont été guidées par une logique de maximisation des retombées socio-économiques plus que de protection de l’environnement. Par ailleurs, il ressort que la surexploitation et la gestion non durable des forêts amplifiées par l’expansion agricole et le boom minier sont les principaux moteurs de cette dégradation et déforestation. Grégoire B. Bazié |