« La différence entre l’homme politique et l’homme d’Etat est la suivante : le premier pense à la prochaine élection, le second à la prochaine génération. » James Freeman Clarke
Cela me rappelle ce qu’avait dit la ministre Joséphine Ouédraogo de Blaise et de Sankara !
Aujourd’hui, même mort, le souvenir de Sankara est plus fort chez une grande proportion de la population burkinabé que Blaise vivant et chassé ! On retient que Sankara s’est battu pour les générations après lui, alors que son bourreau s’est battu pour son pouvoir et sa famille. Sa fin est une illustration parfaite de ce que les Burkinabé n’interessaient guère le Blaiso !
Et au lieu de faire face à son destin il n’a pas trouvé mieux que de fuir pour s’installer en Cote d’Ivoire où ADO fait un travail d’Hercule ! Il profite du travail ardu d’ADO allègrement après avoir méprisé le Burkina et tuer toutes les valeurs de la république sur l’autel de ses ambitions boulimiques d’un pouvoir autocratique à vie fait de meurtres et autres forfaitures dignes d’un rénégat ! Quel gachis ! 27 ans d’aventure et de tatonnements !
Vos commentaires
1. Le 13 avril 2015 à 13:08, par amad En réponse à : « La différence entre l’homme politique et l’homme d’Etat est la suivante : le premier pense à la prochaine élection, le second à la prochaine génération. » James Freeman Clarke
la comparaison entre Thomas Sankara et Blaise Compaoré illustre bien cette réfkexion
2. Le 14 avril 2015 à 09:35, par Innocent En réponse à : « La différence entre l’homme politique et l’homme d’Etat est la suivante : le premier pense à la prochaine élection, le second à la prochaine génération. » James Freeman Clarke
Tout a fait...Bonne journee et merci pour cette riche pensee...
3. Le 14 avril 2015 à 19:34, par Le Burkina d’Abord En réponse à : « La différence entre l’homme politique et l’homme d’Etat est la suivante : le premier pense à la prochaine élection, le second à la prochaine génération. » James Freeman Clarke
Cela me rappelle ce qu’avait dit la ministre Joséphine Ouédraogo de Blaise et de Sankara !
Aujourd’hui, même mort, le souvenir de Sankara est plus fort chez une grande proportion de la population burkinabé que Blaise vivant et chassé ! On retient que Sankara s’est battu pour les générations après lui, alors que son bourreau s’est battu pour son pouvoir et sa famille. Sa fin est une illustration parfaite de ce que les Burkinabé n’interessaient guère le Blaiso !
Et au lieu de faire face à son destin il n’a pas trouvé mieux que de fuir pour s’installer en Cote d’Ivoire où ADO fait un travail d’Hercule ! Il profite du travail ardu d’ADO allègrement après avoir méprisé le Burkina et tuer toutes les valeurs de la république sur l’autel de ses ambitions boulimiques d’un pouvoir autocratique à vie fait de meurtres et autres forfaitures dignes d’un rénégat ! Quel gachis ! 27 ans d’aventure et de tatonnements !