CSC : Une fin de mandat, distinctions honorifiques à la clef !Dans le cadre des activités marquant la fin de mandat du collège des conseillers sortants du Conseil supérieur de la communication, une cérémonie de distinction honorifique a eu lieu ce mercredi 27 août 2014 au siège de l’institution à Ouagadougou. Au total, ce sont les 12 conseillers et l’ambassadeur de la République de Chine Taïwan dans notre pays, qui ont reçu les insignes honorifiques. Une fois de plus, l’institution commise à la régulation de l’information et de la communication a satisfait à la tradition, celle de distinguer les conseillers en fin de mandat. Et étant donné que le mandat de tous les conseillers a pris fin en même temps cette fois, ils ont tous été distingués ensemble. A l’occasion, c’est naturellement la présidente Béatrice Damiba qui a été élevée en premier. Elle est désormais « Commandeur de l’Ordre du mérite des Arts, des lettres et de la communication, avec agrafe radio, télévision et presse écrite ». A sa suite, Joseph Kahoun, Sita Tarbagdo, Jean de Dieu Vokouma, Richard Hyacinthe Fulbert, Boniface Coulibaly, Abibata Koulidiati/ Touré, ont été distingués « Officiers de l’Ordre du mérite des Arts, des lettres et de la communication, avec agrafe radio, télévision et presse écrite ».
Ont été élevés au grade de « Chevalier de l’Ordre du mérite des Arts, des lettres et de la communication, avec agrafe radio, télévision et presse écrite », les conseillers Birika Jean-Claude Bonzi (le vice-président sortant), Lamoussa Oualbéogo, Odile Kaboré/ Tiendrébéogo, Niguipanga Sévérin Tiendrébéogo, et N’Pèrè Adèle Traoré. La cérémonie du jour a également été l’occasion pour souhaiter de vive voix, « bon vent » à la nouvelle équipe qui devra s’installer les semaines à venir. Déjà, annonce la présidente sortante, le nouveau ou la nouvelle président (e) sera connu (e) la semaine prochaine ; tous les membres étant déjà nommés. Elle a, par ailleurs, rappelé que la régulation de la communication et de l’information ne peut être l’apanage du seul collège des conseillers, mais celui de tous. A chacun donc de jouer sa partition pour un Burkina de paix et de cohésion sociale ! Fulbert Paré |