Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en questionPoint de vue
mercredi 28 mai 2014.C’est un fait. En Afrique, dès que vient le moment de passer le relais, les « politiques » africains deviennent vite moins vertueux. Cet écrit ne veut pas rentrer dans le débat qui s’est érigé en dialogue de sourds au respectueux Pays des Hommes Intègres. Nous voudrions évoquer la question de l’« inculture citoyenne » au Burkina Faso. Faut-il aller au référendum ou pas ? Faut-il changer l’article 37 ? Et pourquoi ne pas lire l’article 165 pour commencer… L’« inculture citoyenne » en question La crise « vue de haut » nous enseigne encore une fois que les Africains tiennent difficilement leurs promesses. Les pays Africains de l’ouest Africain ont célébré (avec faste ?) leurs cinquantenaires, il y a quelques années pour la plupart… Les bilans sont sans doute restés dans les tiroirs (comme dirait l’humoriste). Dans tous les cas, on a été informé de la longue liste de ce qui n’a pas marché et de ce qui restait à faire dans un avenir très proche. Nous sommes habitués à ce genre de discours, direz-vous… Dans les engagements pris, on pensait (sérieusement) qu’il fallait accélérer la formation des citoyens. Pour y réussir, on était bien d‘accord qu’on parlait d’abord d’instructions (alphabétisation, écoles etc.). On n’a pas besoin d’être un expert pour comprendre que les deux choses sont liées… Mais, voilà que la première chose n’a pas fait l’objet d’un développement prodigieux ! La seconde, elle, ne pouvait que patienter. Or, dans une Afrique, où chaque jour on fait des promesses, tout le monde finit par se lasser (pour de vrai). Résultat ? Aucun. Vous voulez des chiffres ou des lettres ? Tout le monde est au moins d’accord (cette fois-ci) qu’on n’a pas bougé (ou presque). Il faudra encore d’autres analyses (à coup de millions de FCFA) pour saisir la bête qui gêne le « développement » de nos chères nations aux « indépendances » bien acquises, non plutôt bien trempées… Alors, où est le problème ? (l’Afrique, au moins, sait conjuguer cette expression à tous les temps). Le problème est devant nos yeux. Nous manquons tous (Y’a-t-il des exceptions ?) de culture citoyenne ! ? Les politiques (s’ils prenaient conscience) feraient vite ! Le citoyen lamda également en ferait un souci primordial. Pourquoi ? Evaluez (vous-mêmes) la situation nationale du Faso et dites (ô Hommes intègres) la Vérité ! Vers quoi allons-nous ? Vers les conséquences d’une « inculture citoyenne » sur les plans politique, économie, social etc. Article 37 ou article 165 de la Constitution burkinabé : où se trouve le diable ? On change l’article 37 ? Oui, puisque la Constitution n’a pas dit le contraire. Non, plutôt, parce que le mandat présidentiel est limité ! En fait, entre les « pro » et les « anti », qui a lu la Constitution du Faso ? (Si vous avez honte de cette question, c’est un indice…) Ce sont les Burkinabé, les premiers, qui doivent lire leur Loi fondamentale, ce n’est pas la crise qui va la lire à leur place ! Un jeu de mot. L’article 37 est bien écrit. L’article 165 est bel et bien écrit aussi. Le premier dit : « on a fixé à 5 ans renouvelable une fois », le second dit : « on peut réviser puisque je n’ai rien dit là-dessus » (le vide juridique en question). Les plus pathétiques disent : « Pardon ! On demande d’arrêter quand même ! ». Ils oublient une chose : en politique, il n’y a pas de « limitation de pouvoir » ! Une Constitution doit être claire et nette dès le départ ! Il y a visiblement une guerre des articles (ou d’analphabètes ?). Au moins, les Burkinabé sauront lire deux articles de leur Constitution une fois dans leur vie, dirait encore le satirique. Le procès des « intellectuels africains » L’« inculture citoyenne » est-elle responsable de la crise actuelle (et bien d’autres ?) ou devons-nous intenter un procès aux intellectuels africains ? Ce procès-là viendra un jour. Le jour, où malheureusement, ceux qui devront être jugés, auront certainement quitté ce bas monde. De quoi s’agit-il ? Les Africains qui sont allés à l’école (instruction, scolarité etc.) exploitent toujours leurs frères analphabètes. C’est connu, il n’y a rien de nouveau ! En politique, la chose se vérifie également. Depuis quand avons-nous introduit nos Constitutions dans nos écoles (et alphabétisations) et adaptées à la compréhension de tous* ? Pourquoi cette absente critique dans les bases de l’éducation de nos pays ? Il ne s’agit pas de dire qu’on fait des efforts etc. Les citoyens sont habitués également à ce refrain ! Ils ne veulent plus être accoutumés à des polémiques qu’un document intègre peut démêler. À ce titre-là, ce sont de véritables Écoles (ou cours) du citoyen qui doivent poindre sur tout le territoire (pourquoi pas dans tous les villages). Et pour cause : ce manque laisse libre cours aux « intellectuels » d’occuper (et même de saturer ?) tous les débats dans lesquels, hélas, le citoyen (encore une fois !) paie la note finale. Qui a intérêt à ce que le citoyen basique ne s’émancipe pas ? Une Constitution claire libère et fait prospérer sûrement un pays. Au fait, sont-ils nombreux ceux qui savent qu’ils existent une Constitution dans chaque pays de cette Union Africaine ? Un bon instituteur (Ah, ces pionniers infatigables !), recommandera ceci : allez (re) lire (pardon), réécrire votre Constitution, la traduire et la vulgariser partout. Par respect pour les citoyens qui attendent d’être moins incultes pour entrer dans de vrais débats démocratiques. Ce sera la preuve que vous en faites soit un sujet soit un objet. Juste par respect pour le citoyen Africain. Vous attendez une conclusion ? *Projet MRSI/CRDI : traduction de la Constitution burkinabé financée par la Coopération canadienne et a coûté la bagatelle somme de plus 24 millions en 2013. « Valorisation des résultats de recherches et des innovations au Burkina Faso ». Notes personnelles : ce sont les « toubabous » qui doivent toujours nous montrer le chemin ? Nérée Z. |
Vos commentaires
1. Le 27 mai 2014 à 15:24, par he ! En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
Paix a ton ame ;Tu ne vit plus toi
2. Le 27 mai 2014 à 15:34, par fofana drissa En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
plusieurs choses comme leçon pour nos fameux opposants il faut savoir que nous disposons des armes nécessaires pour initier la révision de cet article 37 ,alors qu’ils arrêtent de pleurnicher ,nous allons réviser l’article 37 ce n est pas une négociation juste une information
Le 28 mai 2014 à 09:45, par GOLF le Rouquin En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
Tu es certainement le plus grand des écervelés que le Faso ait produit.
Le fou qui commence à crier à tout le monde qu’il veut se pendre, n’est pas encore déterminé à se pendre. S’il veut le faire, qu’il mette la corde à son coup et qu’il saute, point-barre !!! Et nous, on verra !
Le 28 mai 2014 à 10:35, par Burkina Hôron En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
Golf le Rouquin, ne perds pas ton temps avec un attardé mental de cette espèce. S’il essaie de réfléchir, il fera une crise d’intelligence, sinon il saurait que nous aussi, nous ne négocions pas que nous sommes contre le tripatouillage de la constitution par le biais de cette comédie référendaire. C’est une information aussi, et nous l’assumerons quel qu’en soit le prix à payer.
3. Le 27 mai 2014 à 15:45, par francesco En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
Bien dit le frère il parait tout a fait claire qu’en Afrique nos supposé guide éclairer, savant, connaisseur sont tous de thuriféraire titurenbique qui frise vainement la tartuferie. Si comment pouvez vous comprendre que certain imminent professeur son incapable d’expliquer leur thèse de doctorant au citoyen lambda. Aller voir même des professeurs avec un égo surdimensionner qui ne sont même pas humble n’enseigne t on pas qu’au niveau doctorant l’on doit privilégier l’humilitude
Le 28 mai 2014 à 18:30, par ACDBTISE En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
Ah bon, qui enseigne cela ??? Voici encore un donneur de leçons complexé qui ne sait pas de quoi il parle, car à le lire on voit qu’il ne sait pas ce qu’est un doctorat
4. Le 27 mai 2014 à 15:54 En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
Il y a probleme dans votre ecrit. Apres avoir dit et tout fait, qu’ est-ce qui nous reste a faire maintenant face a la situation de modification de la constitution pour que quelqu’ un qui est au pouvoir depuis 27 ans continue de nous diriger ? Ca ne vous gene pas ca ? Pourtant vous ne pipez mot. Ah ! Monsieur le vertueux neutre.Il y a une sorte d’ arrogance insouciante dans votre ecrit et vous vous erigez en donneur de lecon. A- ton vraiment besoin de lire la constitution pour savoir que l’ article 37 defend le pouvoir personnel ? Il est bien que tout le monde lise cette constitution mais ne pas la lire n’ est pas un facteur redhibitoire a la participation de ce debat citoyen. C’est vous au contraire qui voulez empecher la jouissance des prerogatives citoyennes et civiques. A l’ heure actuelle, il ne s’ agit pas d’ interpreter l’ article 37 : Il est clair. Si tu as fait l’ ecole jusqu’ au ce1, tu sais que deux mandats d’affilee, c’est deux mandats d’ affilee. Pas besoin d’ exegete "ambigu" comme vous. Le peuple triomphera. Non a la modification de notre constitution. Terminus pour Blaise Compaore en 2015 conforment a notre constitution. Les tours de passe- passe ne passeront pas. Cachez- vous dans tous les manteaux que vous voulez, on est "vigilEnt".C’est celui qui cherche qui ne voit pas celui qui se cache.
Derrida Deux
Le 28 mai 2014 à 05:29, par DERRIDA En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
Ce type parle de quels "intellectuels" dont on devrait faire le procès ? Il est à la fois le procureur et l’instructeur de ce procès des intellectuels sans que l’on sache et perçoive si lui-même est INTELLECTUEL !! Et quel manque de courage...intellectuel, justement : il préfère nous parler vaguement des "intellectuels africains", sans mot dire des "intellectuels" BURKINABÈ, surtout de ceux, oui incultes, qui nous gouvernent et nous mettent dans la situation qu’on connaît. Ce type se prend pour l’intellectuel des intellectuels, à qui il demande de lire des articles qui ont pourtant été lus et commentés en abondance ici même : ou il est ignorant, ou il est lui-même inculte (ou au moins les 2 à la fois)
5. Le 27 mai 2014 à 15:55, par LeFILS En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
Nérée Z, à la lumière de votre point de vue et de la situation socio-politique qui prévaut au Faso, j’ai seulement envie de dire que les noirs ne sont pas allés à la bonne école du blanc. Ou alors que ceux qui ont écrit la constitution du Burkina Faso ont presque tous été de mauvaise foi.
6. Le 27 mai 2014 à 16:03, par SOME En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
Ah ! Nerée t’es un maitre, un vrai boss ! Tu fais plaisir Non seulement dans l’art de l’ecrire, mais aussi dans les idees et les propositions. Ce n’est souvent que je jette des fleurs aux gribouilleurs qui infestent la presse de notre pays et encore plus le forum de lefaso.net... c’est dire ma satisfaction de te lire
comme tu le dis si bien : au burkina l’intellectuel ou plutot le scolarisé exploite le non scolrisé et en tire gloire et pouvoir et richesse et fait tout pour le maintenir a sa place. Sankara, sous la revolution, avait compris cette arme et avait decidé d’instaurer la "formation ideologique" c’est-a dire interesser chaque citoyen a comprendre les idees politiques et a se les approprier ! l’education etait la priorité des priorites et gratuites et les frais reduites au strict minimum.... Quelle difference avec aujourdh’ui ou on a saccagé l’education nationale pour mieux dominer. savoir = Pouvoir : alors on confisque le savoir pour ne pas le democratiser. C’est là ou l’on voit le vrai intellectuel, le vrai patriote
SOME
7. Le 27 mai 2014 à 16:43, par MISSIMBIRMA En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
TU RACONTE TA VIE SI TU N’AS RIEN A DIRE IL FAUT LA FERMER AU LIEU DE VENIR ETALER VOS CARENCES INTELLECTUELLES ET MENTALES
Le 28 mai 2014 à 21:56 En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
C’est vous plutôt qui n’avez rien a dire.Et je vous assure que vous êtes sous homme.Vous avez violé votre conscience pour dire ça ou que vous n’en avez même pas du tout.!
8. Le 27 mai 2014 à 16:46, par ka En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
Mr. le président Compaoré, être au pouvoir et s’éterniser dans les cordes du même pouvoir est très tentant : mais être un responsable d’un pays de 16 millions d’habitants est aussi de protéger son peuple, c’est-à-dire de faire de mieux pour ce qui est mieux pour le peuple et non faire ce qui est mieux pour soi-même. Réviser l’article 37 qui vous interdit de briguer 3 mandats présidentiels consécutifs et oublier son peuple c’est de penser qu’a vous-même par égoïsme.
Le 28 mai 2014 à 19:22, par SKOOL BOY En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
Mon cher ami,la révision de l’article n’est pas anticonstitutionnel.Au contraire la constitution prévoit sa révision.Ceux que ne comprends pas ce sont là qui s’entêtent a défendre la revision de cet article.Ou alors on va au référendum a l’issu du quel le peuple se prononcer a ce sujet.
9. Le 27 mai 2014 à 16:51, par LeFILS En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
Nérée Z, à la lumière de votre point de vue et de la situation socio-politique qui prévaut au Faso, j’ai seulement envie de dire que les noirs ne sont pas allés à la bonne école du blanc. Ou alors que ceux qui ont écrit la constitution du Burkina Faso ont presque tous été de mauvaise foi.
Le 27 mai 2014 à 18:56, par KONAN En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
lefils s’il y a quelqu’un qu’on peut dire qu’il fait preuve de mauvaise foi c’est bien vous ,les fenêtres laissées dans notre constitution répondent aux normes du progrès ,on ne pouvais pas condamner nos progénitures aux respecte des règles que nous avions jugé justes tout en sachant que les règles de droit peuvent être frappées de caducité alors si vous avez pas de connaissance en la matière veuillez libérer le forum
Le 27 mai 2014 à 20:42, par le solitaire En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
C’est ça qui est la vérité,quand on se dit démocrate on doit se plier a la volonté de la majorité sans faire trop de bruit.Il faut accepter que l’on est en position de faiblesse et faire preuve de sagesse.
Le 28 mai 2014 à 19:35, par BII RIIBLA En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
Mais justement,d’après toi pour savoir qui a la majorité derrire lui on fait comment ?N’est ce pas un référendum ?Or certains politiques ne veulent pas ainsi.Je dirais de ces gens des égoistes en ce sens qu’ils ne veulent leur volonté a eux seuls soit faite.Oubliant bien sùr les celle des autres.
10. Le 27 mai 2014 à 17:44, par LeFILS En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
Nérée Z, à la lumière de votre point de vue et de la situation socio-politique qui prévaut au Faso, j’ai seulement envie de dire que les noirs ne sont pas allés à la bonne école du blanc. Ou alors que ceux qui ont écrit la constitution du Burkina Faso ont presque tous été de mauvaise foi.
11. Le 27 mai 2014 à 18:35, par toucher du doigt En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
nous ne sauront qui est majoritaire si nous n’allons pas au référendum ! il faut que notre opposition mette de l’eau dans son vin et accepte que le peuple s’exprime .sans ça , je crains que la paix sociale soit mise à mal .
Le 27 mai 2014 à 20:53, par le révolté En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
mon cher ,tu raison ce referendum il nous le faut ;sinon ce ne sera pas facile ,l’enseignant IBRIGA pour vous en dire plus de retour de ouahigouya ,il pourra même commencer a battre la campagne du referendum s’il est de bonne foi ;oui au referendum !!
Le 27 mai 2014 à 22:10, par KA YA WOTO En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
Ce que tu dis n’est pas faux s’il s’agit de la question de l’article 37 et du senat.Sinon tout le monde sait que dans ce pays quand on parle de majorité on parle de CDP.En revanche il convient d’aller au référendum pour trouver une solution a ces questions qui divise tant le peuple.
Le 28 mai 2014 à 15:47, par parlons-en En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
je crois que le problème n’est pas d’aller ou ne pas aller au referendum. avez-vous évaluer le coût d’un referendum ? connaissez-vous les problèmes réels des burkinabés des villages profonds ? je pense qu’il ne sert à rien de dépenser des milliards pour savoir qui est majoritaire ou pas ou encore pour servir les intérêts égoïstes et malsains d’une famille ou d’un clan. Voulez-vous nous dire qu’au sein de ce grand parti qui se dit majoritaire, il n’y a pas un autre candidat digne de porter le flambeau ? je pense que si la réponse est "non", c’est une honte nationale mais si la réponse est "oui", pourquoi mettre la paix sociale du pays en jeu ? si le CDP est fort et majoritaire, qu’il présente un autre candidat qui prendra le pouvoir et après 5 ans, Blaise se présente et reprend le pouvoir et tout le monde est tranquille !!!!!!
Le 27 mai 2014 à 22:14 En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
Exactly mon frère,c’est aux urnes qu’on saura qui est majoritaire.Alors vive le référendum.
Le 27 mai 2014 à 23:29, par Achilleguendala En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
Vous parlez de quelle peuple ? le peuple analphabète ou le peuple lettré ? Ceux qui ont rédigé cette constitution savaient qu’en 2015 l’inculture citoyenne dont vous parlez serait toujours de mise au Burkina Faso et que l’opposition politique n’y verrait que du feu. Ils savaient pouvoir compter sur la soi-disant communauté internationale en leur brandissant l’instabilité sous régionale. Supposés éclairés burkinabè vous êtes b....... arrêter de gesticuler sinon ça fera plus mal. Chercher à retirer la manche de vous en douceur par une sensibilisation de proximité, tous ceux qui se disent démocrates éclairés commencent d’abord à éclairer leur famille et entourage et priez ensuite pour que la Diaspora Burkinabé prennent la mesure de l’enjeu. Merci
12. Le 27 mai 2014 à 20:08, par le woudy En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
L’article et bien modifiable et il le sera,a la connaissance des un s et des autres aucun article n’es d’ailleurs non modifiable parce que la constitution ne l’a pas dit et que même la constitution peut être modifié.
13. Le 27 mai 2014 à 21:01, par simplice En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
j’ai honte quant je lis des intellectuels burkinabè qui demande le referendum ;
Depuis 50 ANS D’indépendance le Burkina n’a jamais vécu une alternance pacifique,5 Coup d’états ; un président a vie,un pays corrompu avec une impunité grandissante. c’est cela que nous voulons laisser a nos enfants ?
Si le CDP veux vraiment le bien de ce pays Qu’il présente un autre candidat
Le 28 mai 2014 à 11:31, par ABIBA YAMEOGO En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
pourquoi ils vont présenter un autre candidat ? Puisque c’est Blaise seul qui réfléchit au CDP. Les autres n’ont rien à dire. Ils n’ont pas de vision. Tout ce qu’on leur demande mange et tais toi. Ne rêvez(KOSSYAM) surtout pas mieux que votre situation actuelle. Sinon tout est permis détournez comme vous voulez.
Le 28 mai 2014 à 12:20 En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
En politique, il n’y a pas de place pour le sentiment. Et l’analyse de monsieur Nibié Z montre que notre constitution n’est pas scellé le sort de l’article 37 ! Le flou profite à l’accusé !!!!
Le 28 mai 2014 à 18:49, par ROOT BOY En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
mon frère 5 coups d’Etat se sont faits au Burkina.Ca s’est vrai.Entre les coups d’Etat et la stabilité le quel préférez vous ?Ecoutez les gars nous avons intérêt a ouvrir les yeux.Il ne faut pas suivre ces faux et incompétents opposants qui ne ne ne vont nous envoyer que dans le gouffre.
Le 28 mai 2014 à 22:21, par SOLDIER En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
NOUS mettrons 1 terme d facon sauvage et brutale a ce régime d merde (it depend on them).il y va d l avenir NOTRE FASO
14. Le 29 mai 2014 à 12:32, par L’impartial En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
S’il n’y a pas de consensus on laisse la constitution en l’état. Si la l’article 165 prévoit une modification de la constitution c’est bien mais pas pour des situations similaires. Il se pouvait qu’il y ait un président où le peuple unanimement voudrait reconduire pour certaines raisons, si c’était le cas il n’y a pas de problème. Mais si ceux qui sont contre équivalent à ceux qui sont pour je pense qu’il faut laisser la constitution à l’état actuel, le président descend et il revient en 2020.
15. Le 31 mai 2014 à 19:39, par Tiraogo En réponse à : Crise au Burkina Faso : Article 37 ou 165, l’« inculture citoyenne » et le procès des intellectuels Africains en question
Monsieur Z Nere
Vous n’êtes pas du tout sérieux car vous ne dites que ce que vous voulez que les gens entendent.
Le Président Blaise n’a t-il pas dit lui même ,après le rapport du comité de sage dont vous connaissez bien le contenu qu’il était d’accord ...."cinq ans renouvelable une fois" !
Pensez -vous que la raison d’état qui peut justifier le référendum se défend ici ?