Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »Le communiqué du Président du Faso exhortant le gouvernement à prendre langue avec les différents acteurs sociopolitiques en vue de déterminer les meilleures conditions de la mise en place du Sénat dans un nouveau format (élargi, moins coûteux et moins pléthorique) ne satisfait pas Bénéwendé Stanislas Sankara, président de l’Union pour la Renaissance/Parti sankariste (UNIR/PS). Dénonçant une fuite en avant du Chef de l’Etat, Me Sankara pense que le problème qui se pose avec le Sénat n’est pas une question de forme, mais une question de fond : « L’opposition ne veut pas du tout du Sénat. Un point, c’est tout ». Lefaso.net : Une semaine après avoir reçu le rapport d’étape circonstancié sur l’opérationnalisation du Sénat des membres du Comité de suivi du Conseil consultatif sur les réformes politiques (CCRP), le Président du Faso a réagi le vendredi dernier par un communiqué exhortant le gouvernement à élargir le dialogue à l’ensemble des acteurs sociopolitiques en vue de mieux asseoir la pertinence de l’institution. Qu’en pensez-vous ? Bénéwendé Stanislas Sankara : Je vous remercie pour la tribune que m’offrez en ma qualité de président de l’UNIR/PS de me prononcer sur un sujet d’une extrême importance, puisqu’il s’agit de notre démocratie, de l’avenir même de notre pays. D’abord, ce que je regrette, c’est l’attitude de faux-fuyant du Chef de l’Etat, Monsieur Blaise Compaoré, quand le pays semble basculé. Ce n’est pas la première fois. On en a vu en 1999. C’était à travers une tout petite déclaration. Cette fois-ci, c’est encore un communiqué lapidaire. Et même pour demander le présent rapport d’étape, il a dû passer par sa direction de communication pour le faire. Alors que, vu la psychose générale dans laquelle tout le peuple burkinabè est plongé, moi je m’attendais à un message plus fort, plus soutenu, avec un engagement du Chef de l’Etat à aller vers un dialogue inclusif. Je dis bien un dialogue inclusif, parce que quand j’étais Chef de file de l’opposition politique, j’avais milité pour ce dialogue inclusif qui tiendra compte de toutes les sensibilités et particulièrement du respect de l’opposition politique qui, pour une première fois, a une loi qui l’organise et qui lui permet de fédérer l’ensemble de ses forces politiques. Je pense aussi, que nous avons pu, en son temps, expliquer le bienfondé d’un dialogue politique inclusif parce que le peuple est un et indivisible. Quand on parle de la nation, c’est le Chef de l’Etat qui en est, de façon constitutionnelle le garant. Faire aujourd’hui un communiqué pour demander au gouvernement de prendre toute initiative en vue d’élargir la discussion, je ne pense pas, à priori, que c’est une mauvaise chose. Mais, je dis que c’est une fuite en avant parce que nous sommes, à ce stade-là, devant deux façons de voir l’institution du Sénat. D’une part, la grande majorité des Burkinabè pensent que c’est une affaire qu’il faut purement et simplement remettre aux calendes grecques et qu’il ne faut pas encore parler de Sénat. Il faut purement et simplement l’enlever de notre ordonnancement juridique c’est-à-dire de l’espace institutionnel. On ne veut pas du Sénat, un point, c’est tout. Et il y a ceux-là, d’autre part, qui pensent qu’on peut revoir peut-être le format pour contenter les uns et les autres, et puis ruser avec la démocratie. Dans ce cas, on assistera toujours au Sénat. Moi, je pense, au regard des conclusions qui ont été données, que ça peut être une espèce de porte de sortie pour le régime. Ce qui serait peut-être, quelque part, une belle trouvaille puisqu’on va renvoyer la question encore en débat à l’Assemblée nationale. Parce que les recommandations disent qu’il faut réviser la Constitution, qu’il faut revoir la loi organique, qu’il faut même au préalable que le Conseil constitutionnel dise si le Parlement a une seule chambre c’est-à-dire si l’actuelle Assemblée nationale peut légiférer valablement. Et si tel est le cas, il y a plus péril en la demeure. On a tout le temps pour discuter jusqu’après 2015. Je crois aussi que c’est dans ce sens -là que le Chef de l’Etat avait parlé de mettre en place le Sénat dans un climat social apaisé. Ce qui veut dire qu’on a tout le temps pour nous entendre. Et je reprends le secrétaire exécutif du CDP au mot quand il dit que par finir on va s’entendre. Cela suppose quel que soit le temps. Du coup, j’ai vraiment l’impression que c’est devenu une fiction juridique que de parler du Sénat. Cela est dans l’esprit, mais de fait, il n’y a pas de Sénat. Et le débat se poursuit. Lefaso.net : N’avez-vous rien retenu de positif dans le communiqué du Président du Faso ? BSS : Si. Ce que je viens de dire est très positif. Je dis que le Chef de l’Etat se ménage une porte de sortie. Quelque part, le Sénat est toujours dans la Constitution, mais il n’est pas appliqué. Et en l’état actuel, le Sénat n’est même pas viable. Ce communiqué, j’ai l’impression que le Président du Faso demande au gouvernement et aux acteurs politiques d’aller se débrouiller, que ce n’est plus son affaire. C’est ce que j’appelle fuite en avant. Lefaso.net : Mais, qu’est-ce qu’il aurait dû faire, selon vous ? BSS : Moi, je pense qu’il aurait dû, purement et simplement, demander, au stade actuel du débat, que le Sénat soit retiré de notre ordonnancement juridique. Il aurait dû instruire son gouvernement dans ce sens. Lefaso.net : Que pensez-vous des conclusions du Comité de suivi du CCRP ? BSS : Les conclusions tendent à prendre en considération un certain nombre de revendications de la rue. On dit que le sénat est coûteux, on revoit à la baisse. On dit qu’on n’a pas pris en compte les jeunes, on essaie de rattraper. On fait des concessions, mais cela ne répond pas fondamentalement à ce que l’opposition politique exige, à savoir que pour nous, ce ne sont pas les conditions de forme qui nous intéressent aujourd’hui ; c’est le Sénat en tant qu’institution que nous ne voulons pas. Lefaso.net : Vous n’êtes donc pas prêt à participer au dialogue pour la mise en place du Sénat… BSS : Ce n’ai pas ce que j’ai dit. Mais, je vous dis dès le début que, quand j’étais Chef de file de l’opposition politique en 2009, nous avons placé notre mandat sous le sceau du dialogue politique inclusif. Nous avons fait un atelier avec d’éminentes personnalités pour expliquer ce que c’est que le dialogue politique. Nous avons insisté pour dire que le dialogue politique suppose un certain nombre de critères. D’abord, qu’il y ait la franchise, l’honnêteté entre les acteurs politiques qui se retrouvent autour d’un compromis utile et non autour d’une compromission. Cela doit être clair. Malheureusement, le CCRP n’est rien d’autre que de la supercherie. Voilà pourquoi l’opposition politique n’y est pas. Lefaso.net : Mais, êtes-vous prêt à accepter le principe de la mise en place du Sénat, si les mesures préconisées sont mises en œuvre ? BSS : Moi, en tant que président de l’UNIR/PS, à ce stade, je ne peux pas vous répondre par l’affirmative ou la négative, puisque nous prenons des décisions au sein d’une institution que nous respectons très bien qui est celle du Chef de file de l’opposition. Le débat s’y mènera et en temps opportun on avisera. Lefaso.net : Certaines formations politiques comme l’ADF/RDA ou l’UNDD ont déjà exprimé leur satisfaction par rapport aux conclusions du Comité de suivi du CCRP. Qu’en pensez-vous ? BSS : Les formations que vous citez ne sont pas des partis de l’opposition. L’UNDD n’est pas de l’opposition politique. Cela est clair. L’ADF/RDA a toujours clamé haut et fort qu’il est de la mouvance. Je crois que l’ADF/RDA a participé de bout en bout, s’était momentanément retiré du processus parce qu’il y avait des conditions qui ne lui plaisaient pas. Si l’ADF/RDA, aujourd’hui, retrouve son compte, il est libre. De toutes les façons, c’est un parti de la mouvance, il ne peut que soutenir le Chef de l’Etat. Mais, les bizarreries des partis politiques, l’UNIR/PS voudrait s’en méfier et prendre de la distance. Nous, nous restons, à ce stade, solidaire de la démarche que le Chef de file de l’opposition politique voudrait bien entreprendre. Propos recueillis par Grégoire B. BAZIE Lefaso.net |
Vos commentaires
1. Le 9 septembre 2013 à 21:40, par Cami En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Le jour ou tu aura le pouvoir(dans tes rêves bien sûr), il te sera loisible de supprimer le Senat.
En attendant, c’est nous qui sommes aux commandes et ce n’est pas notre intention.
Le 10 septembre 2013 à 01:25, par le TOCARD En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Tot ou tard la roue de l’hitoire tournera
Le 10 septembre 2013 à 07:42, par Trébi En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Oui mon Tocard ! tôt ou tard la roue de l’histoire va tourner mais pas en faveurs de Me BENEWENDE. Elle va tournée en faveur de quelqu’un de plus crédible !
Que Me Sankara nous tires au clair d’abord l’affaire des ex travailleurs de X9...
Le 10 septembre 2013 à 09:19, par AR En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
merci cami, a l heure actuelle c est nous qui sommes au commande,meme en reve sankara ne sera pas president ,il ne merite pas de gouverné le faso
2. Le 9 septembre 2013 à 21:41, par LAGUI ADAMA En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Me Bénéwendé S. Sankara, la volonté du PEUPLE pour l’instauration du sénat est irrévocable ! Vive le PEUPLE Vive le sénat Vive le CDP Qu’Allah bénisse et protège son Excellence Mr Blaise Compaoré et sa famille
Le 10 septembre 2013 à 11:13 En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
LAGUI, j’ai deux requêtes : une personnelle et l’autre spirituelle. Personnellement, je me prénomme Adama. Jusqu’ici, j’étais fier de ce prénom, car Adama et Awa sont les seuls êtres humains que le Créateur a façonnés de sa propre main. Chrétiens et Musulmans sont d’accord là-dessus. Pourrais-tu, s’il te plaît, changer de pseudo afin que je retrouve la fierté de mon prénom ? Spirituellement, en tant que croyant, je souhaiterais qu’on évite de mêler le saint nom d’Allah aux sottises des hommes. Surtout quand la probité des gens que tu défends est sujette à caution. Tu le vois, je ne suis pas difficile à satisfaire. Et je souhaite bénéficier de ta sollicitude
Le 10 septembre 2013 à 22:11 En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
VOTRE DISQUE EST RAYE OU QUOI ? Que ce soit Allah, Dieu ou ce que vous voulez, je ne crois pas qu’il soit d’accord à ce que son nom soit associé à vos bénédictions partisanes qui risquent de mettre en péril la paix sociale dans ce paix. Alors, un peu de retenu envers Allah ou Dieu. Si vous devriez prier en tant que vrai croyant, vous devriez prier prioritairement pour la moitié de la population qui vit dans la misère et n’a pas droit à 3 repas par jour par la faute de quelques grands voleurs aux cols blancs comme vous sans doute.
3. Le 9 septembre 2013 à 22:27 En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Me Sankara , es-tu de l’opposition ? on se connait dans ce pays. le cfop a bien fait de refuser le meeting du 31 aout.
4. Le 9 septembre 2013 à 22:29 En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Merci Maitre !!!!!!!! chaque question a ete repondue d’une maniere precise sans contour ni detour. j’apprecie notre promptitude et votre capacité de raisonnnement. cela reflete vous personalité.chaque fois vous etes au four et au moulin ,et chaque fois aussi vous vous en sortez,par la grace de Dieu.Que vos ennemis trébuchent et tombent ,amen !!!!! que DIEU enterre ce maudit senat,amen !!!!!
5. Le 9 septembre 2013 à 22:40, par Le Sage. En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Je rends un hommage très appuyé à notre Président, qui, dans son infini sagesse a reconnu, d’une part que "le Sénat est d’un grand intérêt pour la démocratie..." tout en précisant que " j’appelle le gouvernement à élargir les concertations à toutes les composantes sociales et politiques..." Notre Président est définitivement rentré dans l’histoire de notre pays que les uns ou les autres le veulent ou pas. Il reste le respect de l’article 37 de notre constitution du 2 juin 1991 pour que le Président du Faso soit élevé au panthéon de toute l’histoire de la IV ème République. Je rappelle aux opposants de mauvais poils que l’alternance, ce n’est pas la revanche des "sankaristes" sur les "Blaisistes", mais l’alternance peut se passer à l’intérieur du CDP pour peu que les dirigeants de ce CDP se départissent de leur esprit nombriliste en construisant des alliances plus ouvertes et en évitant des querelles byzantines et sournoises voires mesquines et hypocrites qui n’ont absolument rien à voir avec la gestion du pouvoir d’État. Je continuerai ainsi de dire quoique pensent les uns et les autres, ce que je considère comme la défense de l’intérêt général. Einstein, physicien allemand disait que " les grands esprits rencontrent toujours l’opposition farouche des esprits médiocres". Mais j’ajoute que main dans la main tous les burkinabè, grands esprits ou esprits médiocres doivent construire ensemble un Burkina radieux. Le Président Blaise Compaoré vient, par cette salutaire déclaration politique, de nous éviter la plus grande catastrophe politique et humanitaire de notre pays. Me Sankara, profitez de l’occasion pour positiver....
6. Le 9 septembre 2013 à 23:40, par Ngaw En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Mr. Sankara, vous etes l’un des plus nul politicien que j’ai jamais vu. Au lieu d’essayer de comprendre pourquoi vous n’etes plus chef de file de l’opposition malgre le fait qu’on vous a aide en institutant le scrutin a la proportionel (vous n’etes vraiment rien !) vous continuez a faire le commerce des morts. C’est un bon business mais il faut simplement l’avouer a ses militants.
Le 10 septembre 2013 à 03:35 En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Ne vaut-il pas mieux faire "le commerce des morts", plutôt que de "faire des morts" ?
Le 10 septembre 2013 à 06:36 En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
noublier pas le sage que thomas sankara etait aussi l ami de m BLAISE COMPAORE ?MERCI..........?
7. Le 10 septembre 2013 à 00:54, par Néssida En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Ce monsieur est le premier responsable de tous les problèmes qu’on vit avec le sénat, parce qu’en tant que premier CFOP il lui aurait suffit d’avoir la présence d’esprit de faire une simple conférence de presse pour dire "NON AU SÉNAT". Ces trois lettres nous auraient éviter tous ces débats inutiles en classant le SÉNAT comme non consensuel. Qu’à t il fait en retour. Il s’est contenté de se borner à l’article 37 seulement comme si le Burkina ne vivait que du seul article. Comme on le dit, chaque peuple mérite ses opposants ! Tant qu’on ne va pas reconnaître la responsabilité des opposants dans le processus démocratique, nous continuerons à avoir des opposants minables. Webmaster je suis vraiment écœuré contre le mandat du premier CFOP qui aurait pu peser de tout son poids pour éviter que le train de la démocratie ne déraille pas, laisse passez stp !
8. Le 10 septembre 2013 à 01:04, par Basstilogué En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Ce monsieur raconte du n’importe quoi.
Malgré tout ce que l’état a fait en utilisant l’argent des pauves contribuables pour institué le CFOP il s’est permis de ne pas participer aux assises nationale et au CCRP pour représenter la voix du peuple ! Ça me fais honte qu’il parle aujourd’hui de dialogue inclusif alors que c’est lui même qui a fui ses propres responsabilités en boycottant ce dialogue. Il ne s’est même pas permis de dire non au Sénat pour qu’il soit classé comme non consensuel !
Nous avons besoin d’alternance dans l’opposition et des opposants comme ce monsieur on en veut plus.
Le 10 septembre 2013 à 22:21 En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
tu n’as rien compris car les dés étaient pipés depuis le début. A tel point qu’aujourd’hui, Blaise donne à son gouvernement d’instruire pour élargir la concertation alors que l’on avait notre brave Dr Yé, dont la morale agonise depuis 2 décennies et dont on attend toujours son remède de cheval, était censé le faire avec comme titre ministre d’état. Alors, arrêtez d’accuser l’ancien chef de l’opposition car tout était truqué depuis le début. Quand on dialogue, on doit être au même niveau. Or, ce n’était pas le cas sauf si vous êtes un partisan zélé du CDP comme il en existe beaucoup pour quelques prébendes. Si Yé était dans un autre pays, il aurait dû déjà démissionner car incapable de remplir sa mission, mais, hélas dans ce pays, plus personne ne démissionne depuis un certain Sankara, il y a une trentaine d’années. Sic, cela me rajeunit pas !
9. Le 10 septembre 2013 à 03:07, par Yam En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Ah !!! La politique quand elle nous tient. Quand je lis les propos des 2 maitres B.S. SANKARA et GUY on voit clair qui est politiquement juriste et qui est juridiquement politicien juriste constitutionnel.
10. Le 10 septembre 2013 à 03:21, par yungend En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
ladji dieu benira blaise et sa famille et toi ta famille qui la benira ?tot ou tard tu paiera l prix.tu te fait du tort.continu
11. Le 10 septembre 2013 à 03:41, par Tenko En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Je pense que le Senat nouveau format est bien apprecié par nombre burkinabé. Aussi, le PF a pris une tres bonne decision qui est celle d’elargir le vote de la loi a d’autres sensibilités. Cela est une bonne chose. Mais j’ai remarqué que le CFOP ne veut pas voir ses sensibilités tout simplement. Par consequent, il s’oppose a leur presence au sein de la future chambre. Quoi qu’on dise, l’avis d’un chef coutumier de meme qu’un religieux ou encore d’un Burkinabè de l’etranger compte et est meme important.
12. Le 10 septembre 2013 à 06:32, par awoto En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
La barbe, saches que le sankarisme est un comportement et par conséquent des sankaristes existent dans tous les partis politique comme dans la société civile.Cde THOMAS SANKARA à un certain moment aussi s’est trompé sur le sort de certaines victimes du licenciement. et puis en tant que juriste tu n’as jamais dit comment on peut supprimer le sénat. tchrrrrr
13. Le 10 septembre 2013 à 06:35 En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Depuis un certain temps, le climat socio politique est vicié par la polémique sur la mise en place du SENAT pourtant inscrit dans la loi fondamentale (constitution) du pays au même titre que les points de consensus (augmentation du nombre de député entre autres) retenues suite aux travaux du CCRP.
En tant que républicains, les uns et les autres devraient analyser les amendements apportés par le Comité de Suivi du Conseil Consultatif sur les Reformes Politiques (cf. rapport d’étape remis le 30 aout au Président du Faso), informer leurs bases, ne pas avoir honte, même avec les calculs politiciens, être objectifs et si besoin formuler d’autres propositions complémentaires tous en ayant à l’esprit que personne n’a le monopole de la vérité dans ce domaine.
Aussi en tant que démocrates, respectons les positions des uns et des autres car certains (ADF/RDA, Catholiques, etc.) ont trouvé leur compte dans le rapport remis le 30 aout 2013 (cf. argumentaires des différentes structures avant les amendements faites par le CCRP). Ces derniers ne pourraient être traités de traitres car, si on observe bien, parmi ceux et non les moindres qui continuent de rejeter le Senat en bloc ont migré dans d’autres parties ou groupe politiques avant d’être là où ils sont en tant leader. Personne ne les en veut pour cela, car l’essentiel, là où ils sont, c’est de jouer franc jeu, c’est-à-dire le jeu démocratique.
14. Le 10 septembre 2013 à 06:47, par fongnon lecibal En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
maitre sankara,futur président du faso,merci de vous engager réellement avec le peuple contre les enemis du peuple qui sont blaise compaoré et sa clique.Dieu benisse Me sankara et toute l’opposition politique.la foudre sur le pouvoir et ses defenseurs
15. Le 10 septembre 2013 à 06:47, par AMEN En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
bentôt les textes seront modifiées et nous saurons qui est opposant. Me SANKARA n’est ni plus intelligent que Gilbert de l’ADF encore moins que Hermann de l’UNDD. Pourquoi ZEPH a pris du recul pour parler responsable ? Sankara pense que si tu n’est pas sankariste dans un parti politique tu n’est pas opposant ! l’alternance recherchée n’est pas le monopole des sankaristes !!!!
Le 10 septembre 2013 à 08:07, par QUI A TUE NORBERT ZONGO ? En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Maitre n’ecoute pas ces pro sena leur fin est proche ,le peuple a tant souffert et continue de souffrir a cause de ce militaire de Kossyam,toutes les manoeuvres pour rester au pouvoir verront un echec,mais les pro senat pense que Dieu est un Compaore.
J’encourage l’opposition de ne ceder au menaces et a la corruption sinon le peuple sera contre vous .
"Le pire n’est pas la mechanchete des hommes mauvais mais le silence des hommes bien"" NZ
16. Le 10 septembre 2013 à 06:53, par AMEN En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
bentôt les textes seront modifiées et nous saurons qui est opposant. Me SANKARA n’est ni plus intelligent que Gilbert de l’ADF encore moins que Hermann de l’UNDD. Pourquoi ZEPH a pris du recul pour parler responsable ? Sankara pense que si tu n’est pas sankariste dans un parti politique tu n’est pas opposant ! l’alternance recherchée n’est pas le monopole des sankaristes !!!!
17. Le 10 septembre 2013 à 07:26, par Barack En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
je suis vraiment dávis avec Maitre,sur le point ou notre prsident nous fuit. lesprit dans uns et des autres ne sont pas tranquilles.et en plus au lieu de séxprimer pour eclairsir son peuple il ne fait que des ordonnancements aux gouvernement. le climat politique du pays a depasser cet stade dórdonnancement, il faut téxprimer.
18. Le 10 septembre 2013 à 07:39, par le digne En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Bien parlé Maître ! C’est dans cette franchise qu’on vous reconnait.
19. Le 10 septembre 2013 à 07:45, par SID-PAWALEMDE En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Cher Maître SANKARA, à vous lire, je reste surpris et pantois. Je ne vous reconnais plus. Où est passée votre fougue d’antan ? J’ai comme l’impression que vous arrivez un peu tard. Pourtant, sans être politique ni juriste, je pensais que sur le Plan « Organisationnel », appliquant le « continuité » des choses, vous vous devez, de par votre position « d’Ancien Chef de File de l’Opposition », vous devriez, après avoir passé le témoin à votre successeur, rester à ses cotés pour l’appuyer avec vos expériences et vécus qui auraient aider à exiger le maintien de ce que vous réclamiez jadis hier qu’est « la nécessité de dialogue inclusif », indispensable pour parvenir à des décisions et actions positives pour l’approfondissement de la Démocratie dans notre pays que je mets pour ma part entre griffe car dans la réalité et vous conviendrez avec moi que la « Démocratie n’a jamais réellement existé au Burkina ». Ce n’était qu’une « pseudo-démocratie » car vous UNIR/MS et ceux qui à l’époque était avec vous dans le CFOP, n’avez pas eu la poigne qu’il fallait pour faire entendre la voix de nous autres qui sommes restés des « sans voix ». De par ce qu’on a attendu et lu dans les Presses, vous êtes tombé dans les pièges successifs jadis à vous tendus par ces délinquants politiques. Pourtant, vous les connaissiez suffisamment bien pour vous être laissé prendre de cette façon.
Pour revenir au sujet du moment, reconnaissant avec que : i)-parler du Sénat aujourd’hui n’est qu’une fiction juridique ; ii)-le Chef de l’Etat se ménage une porte de sortie ; iii)-le Président du Faso renvoie les acteurs d’aller se débrouiller parce que cela n’était pas son affaire, etc. etc., je vous demanderai ceci : « N’est-ce pas politique que de mentir, tricher et tromper pour avancer ? ». Ceci, vous le savez bien et vous devriez, en votre qualité de la personne en qui nous avions porté notre confiance pour vous porter à l’époque à notre tête pour dire à ce monsieur la « Vérité » et rien que le « Vérité » pour l’avancée de notre pays à travers l’alternance indispensable à cela. Mais au bout, qu’avez-vous réussi à faire ? Je vous laisse le soin d’en donner explications.
Le Sénat doit être de notre « Ordonnancement juridique ». Oui. Mais quand et comment quand on sait que jadis, alors que la Constitution se modifiait à l’Assemblée Nationale avec l’aide bien sûr de RMC, vous y siégiez. Qu’avez-vous fait ? Qu’aviez-vous dit ? Vous répliquerez pour dire qu’ils étaient les plus nombreux à l’hémicycle et forts pour que votre « Voix » porte. Mais, le peuple qui n’avait jamais monnayé sa présence à vos cotés comme il l’est aujourd’hui autour de ZEPH, pour se lever et vous appuyer conséquemment parce que votre « Vision » aurait été en son temps assez claire et justifiée. Maintenant que « vous avez laissé le fantôme rentrer dans la case, lui demander de sortir ne sera pas une mince affaire »
Retenir que le fameux « Rapport circonstancié » a tendu à prendre, je vous cite : « en considération un certain nombre des revendications de la rue », je ne vous suivrais pas sur ce terrain car, même vous à la place de Mr. Blaise, dans de telles situations, vous ne rechercherez qu’à prendre en considération, « ce qu’on vous demande ». J’aurais accepté que vous disiez « que ce rapport, malgré tout n’a pas pris en compte l’essentiel qui est « l’abandon pure et simple du Sénat » parce que inopportun pour le moment pour les raisons que tout un chacun voit.
De votre absence, de notre absence à ce CCRP (factis), ne rejeter pas l’opprobre seulement à l’UNDD et à l’ADF/RDA car ces partis ne sont pas les seuls à trahir. Que faites-vous des délinquants qui, infiltrés au sein de la vraie « Opposition » et qui vous ont inféodé pour vous trahir au dernier moment. Mieux, vous avez occulté la voyoucratie politique des « idéologues du CDP » qui j’en suis sûr sont à la base de cette situation en faisant au PF les propositions saugrenues qui sont à la base de cette dérive. Je veux parler des YA, AYB, AK, FC, SC, etc. etc., parce que tellement nombreux qu’on ne puisse les citer tous, n’ont de visions que de se maintenir dans le système pour manger, encore manger et toujours manger. De ces deux Partis dont vous faites allusion, il n’est un secret pour personne qu’ils sont truffés de traîtres. Après s‘être trahi entre eux hier, ils nous, vous trompent aujourd’hui et trahiront même demain. Pourquoi en faire de leurs comportements déjà connus des « points d’inquiétudes et de réflexions ? ». Cherchons plutôt à avancer. Nul ne pouvant et ne devant se prévaloir de ses propres turpitudes, au lieu de chercher à nous justifier au devant des Presses à vous, à nous expressément envoyées, vous devriez, Cher Maître, vous ressaisir pour une/des luttes organisées qui aboutiront tôt ou tard.
20. Le 10 septembre 2013 à 07:49, par Trébi En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Il ne suffit pas d’avoir une photo de Thomas Sankara en arrière plan pour être un véritable homme intègre comme l’était et comme l’entendait Thomas Sankara lui même...
Me Sankara dites nous : qu’en est-il du dossier des ex travailleurs de X9 ??? les mauvaises langues tentent de ternir votre image dans cette affaire ! Si ce n’est pas le cas dites nous en quelque chose.....
21. Le 10 septembre 2013 à 07:58, par Le Sage. En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Je reconnais une qualité à Lagui Adama. Il n’a jamais insulté aucun internaute malgré la foudre des ayatollah du forum. Idem pour Cami. C’est un constat objectif. Merci d’en tenir compte dans vos réactions.
22. Le 10 septembre 2013 à 08:16, par Le Magnifique En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Ce chef de file de l’opposition je m’en méfie. Un ancien ministre de Blaise....
23. Le 10 septembre 2013 à 09:14, par AR En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
me benewende sankara ne sait pas ce qu il veut dans se pays, de mon point de vue, c est l un de plus nul politicien que j ai jamais vu,il est ellement nul que je luin donnerais zero,mais sache que tu ne sera jamais president du burkina faso meme en reve, car tu mettra le pays a genous,ce que blaise peut faire en un an, tu le fera en 100 ANS, nous te connaissons bien dans se pays,tu n est qu un profiteur et.
24. Le 10 septembre 2013 à 09:15, par AR En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
me benewende sankara ne sait pas ce qu il veut dans se pays, de mon point de vue, c est l un de plus nul politicien que j ai jamais vu,il est ellement nul que je luin donnerais zero,mais sache que tu ne sera jamais president du burkina faso meme en reve, car tu mettra le pays a genous,ce que blaise peut faire en un an, tu le fera en 100 ANS, nous te connaissons bien dans se pays,tu n est qu un profiteur et.
25. Le 10 septembre 2013 à 09:21, par la loupe En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
bonjour chers Me SANKARA. moi je vous demande de rester toujours fidèle à votre votre peuple, comme vous l’aviez toujours fait d’ailleurs, parce que tôt ou tard plus d’un vous réclameront. Malgré que le peuple trouve qu’au stade actuel de notre évolution il vaut mieux investir tous nos efforts dans l’amélioration des condition vie du peuple il y’a des vautours essaient de discréditer les leaders des anti-senat et particulièrement, qui êtes rester toujours hostile, au yeux de la population pour faire passer les objectifs mesquins de notre chers PRESIDENT. Mais comme dit un adage africain :<>
26. Le 10 septembre 2013 à 09:24, par RV En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Me, tu es aussi ambigüe que Blaise. Tu as refusé le CCRP et today tu ne sais pas si tu iras au dialogue sur le Sénat ou pas. Tristounet !
27. Le 10 septembre 2013 à 09:31, par Filsdupays En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Eviter de vous en prendre à Me par le simple fait qu’il est BS. Tout comme ce que PF a dit, il y a aussi une position mediatrice de Me. Il reconnaît un certain progrès du rapport par rapport au précedent. Ce qui est un fait. Cependant il est aussi clair que l’opposition n ’ a pour but que la conquête du pouvoir et personne ne peut le nier même si certains partis politiques dits" oppositions" pensent s’en satisfaire en s’accrochant sur le manteau du parti majoritaire.
28. Le 10 septembre 2013 à 09:56, par El paysan En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Possible Maitre peut etre une fuite en avance oui mais soyez visilant notre president est a fin de mandat ,il ne peut plus se presentersoyez sur qu’il fera tout pour se maintenir.
29. Le 10 septembre 2013 à 11:02, par Wintog biga En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Si ADF RDA est maintenant favorable, c’est qu’il y a un remaniement en vue et ils ont été consultés pour rentrer dans le gouvernement. C’est un parti opportuniste.
30. Le 10 septembre 2013 à 12:30, par Lakbé En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Laisser tomber le sénat. Avec le procès du Président Kényan en exercice qui a débuté aujourd’hui, il est clair qu’aucune loi, ni aucun sénat ne pourra sauver Blaise malgré la loi d’amnistie votée pour l’aider à partir. Qu’il reste ou qu’il parte, cela ne changera rien à son destin. Mais s’il reste, cela affectera le destin du Burkina. En ce sens que sa famille continuera à s’imposer, que les corrupteurs et corrompus comme Guiro continueront à polluer notre très cher et beau Burkina. Voilà pourquoi le changement est important et c’est dans ce cas de figure que prend le vrai sens du mot alternance. Un régime qui reste en place dans la durée crée des effets pervers dans les pays. Je ne reconnais pas en Me Sankara un Sankariste à l’image de Thomas que je respecte, mais je dois accepter que cette fois, il a bien raison. J’espère qu’il maintiendra le cap.
Le 10 septembre 2013 à 19:07, par Le Sage. En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Je commence à comprendre pourquoi le Président Blaise Compaoré doit rester même après 2015. Il y a trop de gens de mauvaise foi dans notre pays. Il suffit de voir la réaction des internautes de mauvais poils.
31. Le 10 septembre 2013 à 13:33, par Le FLair En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
A la question du journaliste : "N’avez-vous rien retenu de positif dans le communiqué du Président du Faso ?"
Me Sankara arepondu : " Si."
On voit un debut de retourenement de veste de sa aprt et bientot il rejoindra l’ADF/RDA.
Reste plus que Zeph et le Sénat sera remis sur les railles
32. Le 10 septembre 2013 à 13:46, par laafi bala En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
MAITRE HERMANN DE L’UNDD et GILBERT OUEDRAOGO DE L’ADF j’ai l’impression que que ces deux grands hommes politiques du moment sont passés à l’école de l’ancien président du conseil économique et social de la cote d’ivoire Mr BALA KEITA .honte à tous ces politicien qui enent la politique de l’autruche
a bas l sénat
vive le BURKINA FASO
VIVE le jour nouveau pour la vrai l’indépendance de notre pays
33. Le 10 septembre 2013 à 15:04, par Wintog biga En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Si ADF RDA est maintenant favorable, c’est qu’il y a un remaniement en vue et ils ont été consultés pour rentrer dans le gouvernement. C’est un parti opportuniste.
Assimi est l’ennemi de Blaise et du peuple.
34. Le 10 septembre 2013 à 15:26 En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
moi tout ce qui fait mal comment peut on sotenir un assasin, voleur. si tu ne mange pas dans son deriere. blaise doit partir surtout francois doit aller a la HAY
35. Le 10 septembre 2013 à 22:02, par à bon entendeur, salut ! En réponse à : Me Bénéwendé S. Sankara, président de l’UNIR/PS : « Le Président du Faso aurait dû demander le retrait du Sénat de notre ordonnancement juridique »
Le problème de Blaise depuis longtemps est son incapacité à prendre de réelle décision pour le bien de la majorité des citoyens burkinabè. Toute les décisions depuis 2 décennies tournent à comment rester sur mon trône à vie, gérer mes affaires avec ma famille et un cercle très restreint, à caresser les grandes puissances dans le sens du poil après avoir failli être sous ambargo au début des années 2000 par nos aventures de voyou au Libéria, Siérra Léone... Et, comme il pense que sa bonne étoile va continuer, il pense toujours que les coups d’état n’arrivent qu’aux autres... sauf qu’il oublie l’effet papillon, un simple battement d’un papillon au fin fond du Burkina peut déclencher une tempête dévastatrice à Kossyam. C’est ce qui a failli arriver en 2011 avec la mort d’un jeune à Koudougou. S’il avait retenu que la moitié des conseils qu’il a prodigué aux autres comme médiateur, il devrait enterrer dès maintenant son histoire de sénat qui pourrait devenir son tombeau d’ici 2015.