Le ministre de l’administration territoriale invite les partis et formations politiques suspendus à se conformer aux dispositions de la loiDans ce communiqué de presse ci-après, le ministre de l’administration territoriale et de la sécurité invite les responsables des partis et formations politiques supendus le 30 avril 2012 à se mettre en règles dans un délai de 30 jours sous peine de se voir considérés comme inexistant. COMMUNIQUE ADMINISTRATIF Le Ministre de l’Administration Territoriale et de la Sécurité a l’honneur d’inviter les responsables des partis et formations politiques suspendus par arrêté n°2012-0045/MATDS/SG/DGLPAP/DAPCE du 30 avril 2012 pour une durée de 12 mois à prendre toutes dispositions utiles pour se conformer aux dispositions de la loi n°032-2001/AN du 21 novembre 2001 portant Charte des partis et formations politiques dans un délai de 30 jours à compter de la publication du présent communiqué. P/Le Ministre et par délégation Le Secrétaire Général Sadou SIDIBE Officier de l’Ordre National |
Vos commentaires
1. Le 5 juin 2013 à 07:51, par KAABA En réponse à : Le ministre de l’administration territoriale invite les partis et formations politiques suspendus à se conformer aux dispositions de la loi
BONJOUR, VOUS SAVIEZ NOUS N’AVONS PAS BESOIN DE CES MULTIPLES FORMATIONS POLITIQUES AU BURKINA FASO. SI LA LOI POUVAIT VOIR LE FONCTIONNEMENT DE CERTAINES FORMATIONS POLITIQUES AU FASO EN SUPPRIMANT CELLES QUI DEUX ELECTIONS LEGISLATIVES N’ONT PAS PU SE FAIRE ELIRE UN DEPUTE. LE FASO A BESOIN CINQ VOIR DIX FORMATIONS POLITIQUES POUR POUVOIR DEFENDRE LES INTERETS DE LA NATION. D’AUTRES FORMATIONS SONT CREEES JUSTE POUR ENRICHIR LEURS FONDATEURS. OH MON PAYS ! LE PAUVRE BURKINA FASO.
Le 6 juin 2013 à 08:46, par Le PAPE En réponse à : Le ministre de l’administration territoriale invite les partis et formations politiques suspendus à se conformer aux dispositions de la loi
Bien dit mon cher Kaaba,meme ceux qui ont pu avoir des députés ne sont pas fiables au Faso car la population elle choisi meme les intéréts immediats (la bouffe et liquidité) que leur donnent ses formations politiques en lieu et place des projets de développement.