La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
La déclaration ci-dessous est de la FEDAP-BC. La FEDAP-BC salue la démarche inclusive adoptée par le gouvernement afin de matérialiser la volonté du Chef de l’Etat de faire des réformes appropriées et conformes au développement de la société burkinabè et aux aspirations du peuple. La stabilité politique et institutionnelle au Burkina Faso est la résultante d’une adaptation progressive et permanente des institutions à un environnement en constante évolution. Cette adaptation n’est pas le fruit du hasard, elle est impulsée de façon méthodique par son Excellence Monsieur le Président du Faso avec pour fil conducteur l’adéquation avec nos réalités économiques et sociales. A chaque fois que la nécessité s’est fait sentir, le Président Blaise COMPAORE a toujours su aller dans les profondeurs des valeurs propres aux Burkinabè, pour leur inspirer une voie, une méthode. C’est donc tout naturellement, et consciente de relayer une opinion largement partagée au sein de notre peuple, que la FEDAP-BC exprime sa gratitude à Son Excellence monsieur le Président du Faso. Cette démarche s’est traduite dans son discours à la nation le 11 décembre 2009 à l’occasion du 49e anniversaire de la fête de l’indépendance à Ouahigouya où il invitait les citoyens à « approfondir les réflexions sur les réformes politiques indispensables. » Cette perspective qui occupe une place de choix dans son programme quinquennal 2010-2015 « Bâtir ensemble un Burkina émergent » s’est concrétisée au lendemain de son élection à la magistrature suprême, par la création d’un ministère chargé des réformes politiques et la mise en place d’un Conseil Consultatif sur les Réformes Politiques (CCRP). Les travaux du CCRP ont abouti à des propositions de réformes consensuelles et non consensuelles ainsi qu’à des recommandations soumises à des discussions dans les treize (13) régions du pays en vue d’enrichissement de ces propositions en prélude aux assises nationales sur les réformes politiques des 7,8,9 décembre 2011. La tenue de ces assises nationales sur le processus des réformes politiques et institutionnelles atteste de la capacité du peuple burkinabè à s’inventer un destin, en prenant ancrage sur ses spécificités. La FEDAP-BC salue cette démarche inclusive adoptée par le gouvernement afin de matérialiser la volonté du Chef de l’Etat de faire des réformes appropriées et conformes au développement de la société burkinabè et aux aspirations de notre peuple. En outre, elle salue et félicite tous les acteurs de la vie nationale qui œuvrent avec courage et lucidité pour l’accomplissement des réformes politiques et institutionnelles indispensables à l’enracinement de l’Etat de droit, l’amélioration de la gouvernance et l’élargissement de la base de la démocratie. La FEDAP-BC qui adhère et soutient sans réserve le processus impulsé par le Président Blaise COMPAORE dénonce et condamne la conspiration politico-médiatique ourdie par une certaine classe politique dont les intérêts sont aux antipodes des préoccupations réelles du peuple burkinabè. La FEDAP-BC interpelle l’ensemble des délégués à cette rencontre, sur la grandeur de la mission qui leur est confiée, et, partant, sur leur responsabilité historique. Autant il ne saurait y avoir de sujet tabou, autant personne ne saurait éprouver un complexe à proposer et défendre des idées. L’objectif est de préserver la paix sociale, de maintenir le Burkina dans sa lancée vers plus de démocratie et de progrès, loin des sentiers hasardeux. Convaincue que les réformes politiques visent essentiellement à consolider la démocratie burkinabè, et fort de la nécessité de poursuivre avec sérénité, responsabilité et dans un esprit d’ouverture, le processus enclenché depuis l’appel historique de 2009, la FEDAP-BC, dans la perspective de la tenue des assises nationales sur les réformes politiques, se doit de partager ses réflexions et ses positions notamment sur le consensus qui a prévalu aux travaux du CCRP, la limitation de l’âge des candidats à l’élection présidentielle à 70 ans et sur l’article 37. L’approche qui a prévalu jusqu’alors dans le processus d’élaboration des réformes se fonde sur le consensus en ces termes : Si tant il est vrai qu’un consensus est un accord général par les membres d’un groupe pouvant permettre de prendre une décision sans vote préalable, il demeure tout aussi vrai qu’un consensus n’est pas synonyme d’unanimisme. C’est pourquoi, au regard de l’importance de cette étape finale du processus d’élaboration des réformes que sont les assises nationales, pour la FEDAP-BC, les propositions et recommandations qui en sortiront devraient être le fait d’une forte majorité qui se serait dégagée en faveur d’une position donnée. C’est cela aussi la démocratie. S’agissant de la limitation de l’âge maximal du candidat à l’élection présidentielle à 70 ans, la FEDAP-BC pense que la fixation d’un tel plancher revient à réduire le champ de personnes pétries d’expériences engrangées tant dans la vie privée que publique, au plan national et international et qui ne demandent qu’à mettre leurs connaissances et leurs compétences au service de leur pays et des jeunes générations. Aussi, en vue de ne pas priver notre peuple d’hommes forgés par l’histoire et une longue et fructueuse expérience, nous sommes pour la limitation à 75 ans. La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution, car il ne figure pas parmi les dispositions non susceptibles de modifications énumérées au niveau de l’article 165 de la constitution. La démocratie est intimement liée à l’histoire des peuples. Fruit d’une longue évolution et maturation, elle est le socle d’une transformation socio-économique véritable du Burkina. C’est pourquoi la FEDAP-BC réitère son soutien au Président du Faso dans sa quête permanente du mieux être du peuple burkinabè. Encore, nous lançons un appel à tous les acteurs de la vie nationale à s’engager pour assurer le succès du processus de réformes politiques car les conclusions des assises serviront de balises au Burkina Faso pour l’édification d’un futur encore plus radieux. Un avenir qui se bâtira avec Blaise COMPAORE, et avec l’ensemble de toutes les forces vives de la nation burkinabè en vue du renforcement de la démocratie, la consolidation de l’Etat de droit, la paix sociale et de la stabilité politique, gages du développement de notre pays. Vive la FEDAP-BC ! Pour le bureau exécutif national, Dr Bertrand Gaston SOUBEIGA |
Vos commentaires
1. Le 6 décembre 2011 à 01:10, par camarade En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
vous les mange mille vous n avez rien compris d abord.Pour pouvoir modifier cet article 37 vous aurez beaucoup a faire nous sommes plus dans les annees 90 la jeunesse ne se laissera pas faire. vous perdrez rien pour attendre. Je dis souvent il y a des gens qui veulent voir le BURKINA en feu et bien ils seront servis... Vous avez deja oublie les evenements recents n est pas. vous pensez que vous maitrisez tout en ce moment. le peuple s’est endormi de nouveau mais son reveil sera amer. A bon entendeur salut
Le 6 décembre 2011 à 11:33 En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
CCRP qui signifie Compoaré Compte Rester au Pouvoir ne sera jamais appliquer au BURKINA.FEDAP-BC Pensez à l’intérêt supérieur de la nation plutôt qu’à l’intérêt de votre vendre.pensez vous que c’est BLAISE seulement qui peut gérer le pays,vous vous trompez.retenez ce-ci la modification de l’article 37 va tranformer la place de la nation en place Tahir et la place nation va conduire Blaise à coté de GBAGBO.Un conseil pour mon cher président BLAISE, n’écoute pas ces gens là (FEDAP-BC) ils veulent ton malheur.
Le 7 décembre 2011 à 11:19, par Le Digne En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
FEDAP-BC nous fait savoir que la modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constituion. Cela est vrai certes, mais je pense que s’il est inseré dans la constitution, c’est parce qu’il a sa raison d’être. Sinon il n’aurait pas dû être retenu. C’est bien vrai qu’il faut adapter les textes aux réalités du moment. Mais, je crois qu’il serait indispensable de priviliégier l’intérêt général, l’intérêt du peuple. En ce qui concerne la modification de l’article 37, je ne vois en aucun cas, quelque chose de positif. Et la prospérité d’une nation ne doit guère se reposer seulement sur un de ses fils ; car n’importe comment qu’il est bon, il demeure un homme, or l’homme est mortel donc, tôt ou tard, il s’en ira. Pour cela, s’il est digne fils de la nation, et a un amour pour celle-ci,
c’est un devoir pour lui de partager son expérience avec les autres fils dès son vivant. Sinon, le rêve du peuple vouera à l’echec.
Le 7 décembre 2011 à 14:02, par Pierros En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
N’est-ce pas un délire féroce ou une masturbation intellectuelle que de penser qu’il n’y a qu’une personne qui détient l’intelligence nécessaire pour conduire la destinée du BURKINA ? Lui seul est intelligent et détient la vérité au FASO. C’est un messie, un prophète, le BURKINA ne pourra prétendre au développement que par lui. Est-ce que ceux-là mêmes qui parlent ainsi ne souhaitent pas un jour pouvoir briguer la magistrature suprême au FASO ? Quel mal y ‘a-t-il à donner la chance à tous ceux qui peuvent et le désirent vraiment de pouvoir postuler à la magistrature suprême ? Si les mandats n’étaient pas limités, est-ce que OBAMA et SARKOZY seraient des présidents aujourd’hui dans leur pays ?
Nobert ZONGO, paix à son âme, est mort pour ses critiques sur les septennats et l’article 37. Le collège des sages pour ramener la paix en 2001 ont demandé et obtenu la limitation des mandats et l’institutionnalisation des quinquennats. Pourquoi donc ce revirement politique ? L’Eglise a elle aussi demandé de ne pas relire l’article 37. C’est pareille obstination à rester éternellement au pouvoir que kadafi y est mort atrocement et aucun de son entourage ne pourra encore s’approcher du pouvoir d’Etat.
Ce qui nous préoccupe nous les jeunes ce n’est nullement l’ « éternisation » de quelqu’un au pouvoir mais plutôt la paix, la justice sociale, la répartition équitable des recettes de l’Etat, le travail pour tous, l’autosuffisance alimentaire. Nous ne voulons plus que du sang soit versé sur la terre du BURKINA quelqu’en soit la raison.
Un conseil « Prenez l’argent alloué au CCRP et au référendum pour lutter contre la famine au lieu d’appeler la communauté internationale pour rien. » Cette aide n’aura pour effet que de nous assujetir, soumettre davantage au dictat extérieur.
2. Le 6 décembre 2011 à 01:28, par Max En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Soit, ils ont déjà pris la décision de changer la constitution et la machine est mise en marche pour sensibiliser l’opinion, soit ils font semblant de vouloir dans ce sens pour faire ensuite un contre pied pour aboutir à un changement au niveau des institutions pour qu’il reste encore président. De toutes les manières tout le monde sait comment cette histoire va finir. Il n’y aura pas de miracle, ils ne lâcheront jamais l’affaire.
Le 6 décembre 2011 à 17:34, par Belem Ousmane En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Tout à fait c’est pour changé l’article 37 et la machine est en marche, CCRP et voici maintenant la FEDAP-BC qui refait surface. C’est vraiment lamentable. Ces militantes du CDP, cest BLAISOTICIENS conduiront le Faso vers ce qu’on souhaite pas que sa arrive.
Que l’Eternel protège le faso
3. Le 6 décembre 2011 à 01:46 En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
une diarrhée verbale et un non évènement
4. Le 6 décembre 2011 à 01:50, par le burkinabe de Hollywood En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
on est tous d’accord qu’il faut modifier l’article 37. Blaise a encore beaucoup a apporter. je propose qu’on organise un forum des intellectuels burkinabe aux USA pour dire haut et fort notre adhesion a la modification. vu notre poid economique la population (que nous aidons d’ailleurs enorment) nous soutiendra
Le 6 décembre 2011 à 08:54, par bass En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
tu fait honte à ton pays à l’etranger, tu crois que parce que tu donne de l’argent à tes parent donc ils doit d’obeir, quel corrompu !!! constusion notre pays dans la dignité.
Une question, si blaise meurt aujourd’hui (je ne souhaite pas) croyez vous que le Burkina tout entier va mourir ? je crois que non ! Alors commençons à lui trouver un successeur digne.
Le 7 décembre 2011 à 02:13 En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Je suis d’avis avec toi etre aux etats unis ne lui permet pas de raisonner de la sorte ses personnes faibles d’esprit conduiront blaise a commettre sa plus grosse erreure politique les memes qui crient aujoud’hui pour la modification de l’article 37 quand les choses vont tournees mal changeront leur fusil d’epaule blaise sois sage et ne te laisse pas conduire en erreur pour eviter le sort qui est arrive a ton ami kaddafi ou encore gbagbo
Le 6 décembre 2011 à 08:54, par PlacidNitrik En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Très cher,
Je suis surpris que vous disiez cela.
Certainement vous êtes la bas pour "Djossi" (petit boulot de merde dont on ne voudrais pas si on était dans son propre pays). Car la plus part de ceux qui sont aux USA pour études ou un travail correct et qui sont un minimum instruit savent faire preuve de bon sens.
Vous parlez de votre poids économique, savez vous qu’il est insignifiant ? Votre poids n’atteinds même pas 1/100 de celui des Burinabè en Côte d’Ivoire par exemple.
Quand au poids économique de la diaspora Burkinabè en général il est négligeable. Vous faites quoi pour qui même ? Allez voir les maliens, les sénégalais ou les marocains. Leur transfert d’argent et investissements dans leur pays son si important qu’ils on un ministère des résident à l’entranger.
Donc mon frère de grâce, tu ne pèse rien économiquement et si tu ne te sens pas assez intelligent pour diriger un pays, saches qu’il y a des millions de Burkinabè qui peuvent le faire. ET SI DEMAIN MATIN ON SE RÉVEILLE ET TON CHAMPION A EU UNE CRISE CARDIAQUE ? Vous allez faire comment les fétichistes de la personne ?
Le 7 décembre 2011 à 14:52 En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
ne profite pas pour insulter toute la diaspora reste sur ton sujet .tu ne veux pas de reforme .on a compris.celui des usa parle en son nom et non celui de tout ceux qui aux usa. garde le calme et defend tes positions. un frere
Le 6 décembre 2011 à 09:14 En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Parle pour toi et non pour les autres. Ne pense pas que ceux qui sont back home sont moins intelligents.Ils sont le maillon et nous on est que des ajouts. Si tu te crois intellectuel tu n’allais pas proposer de réviser l’article. Si tu es intelligent et peut diriger le pays pourquoi tu es ici ? Il n’est pas le seul Burkinabe a étre intelligent il y en a bien d’autres. Donc arrête de parler pour les autres et ne te crois pas intelligent plus que nos frères au pays.
Le 6 décembre 2011 à 10:46, par loumbilbiiga En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Burkinabe de Hollywood ! je pense que tu es plus dans le wood que dans le holly !!!
Le 7 décembre 2011 à 17:12, par Belem Ousmane En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
TU A VU JUSTE UN FRERE. IL EST BIEN DANS LE WOOD DONC IL EST ASSOURDIT. IL SAIS PAS QUOI DIRE
Le 7 décembre 2011 à 17:14, par Belem Ousmane En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
TU A VU JUSTE UN FRERE. IL EST BIEN DANS LE WOOD DONC IL EST ASSOURDIT. IL SAIS PAS QUOI DIRE
Le 6 décembre 2011 à 11:06, par Woto bala En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Le Burkina est une patrie qu’on qualifie de paix et c’est pas avec des idées de ta vision monothéiste qu’on poura preserver cette paix fragilisée.Pardon, dit que "tu" es pour,c’est ton opinion mais aller jusqu’à nous minimiser !Toi,tu as quel poids, tu peux faire quoi ? Nous vous attendons car une chose est sur nous allons pas se louper.
Le 6 décembre 2011 à 11:09 En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Ca ne m’interesse pas de savoir qui tu es, mais un homme ca reflechit ! Tu nourris qui au Burkina avec ton poids economique ? Tchrrrrrrrrrrrrrrrr !
Le 6 décembre 2011 à 11:29, par CARLOS En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Mr le burkinabè de Hollywood, tu es comme un acteur de film hollywoodien, c’est à dire hors de la réalité, surtout burkinabè. Sucre toi là-bas et laisse nous combattre notre dictature. Si l’Amérique était comme le Burkina, tu serais sous la présidence de RONALD REAGAN.
Le 6 décembre 2011 à 11:29, par katkilla En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
quel poids economique ? c’est parceque toi tu mange chez blaise que tu va enmerder tout le monde !!! vous la-bas vous êts combien même et puis c’est vous qui allé decidé puor nous ?c’est à cause de tes quelques dollar qu’on peut plus respiré ou quoi ? et puis se sont les membres de ta famille qui mangent tes pétits sous là donc ne nous prend pas la tête !!! ou bien c’est pour nous faire savoir que t’es hors du faso ? n’oublie pas au state on dit du burkinabè qu’il s’appelle bouky l’hyènne...ou boukface
Le 6 décembre 2011 à 11:41, par aliende En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Vous les Burkinabè de la-bas vous êtes trop loin de la réalité !!!
Parce que vous croyez peser lourd dans l’économie qu’on doit se mettre à genoux pour vous.
Un forum des intellectuels aux USA et quoi encore, et sûr tu n’en feras pas parti vu l’étroitesse de ton point de vue.
Le 6 décembre 2011 à 12:28, par Vérité En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
C est parceque ca ne va pas au pays après 24 ans de règne que tu as fui au u.s.a. Donc pardon mon chère holliwoodien, laisse nous choisir notre president pour eviter que nos fils risquent leur vie et perdent leur dignité sur des pirogue de clandestin pour vous rejoindre. CAMARADE, L HEURE EST GRAVE, SOYONS VIGILANT
Le 6 décembre 2011 à 19:05, par arso En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Toi le Burkinabé de Hollywood là va faire ton cinéma à hollywood et laisse les gens tranquilles.Tu es venus demander l’avis de qui au Faso pour dire que nous sommes tous d’accord pour que l’article 37 soit modifié si tu aides ta famille ici c’est bien mais ne dit pas que vous aidez enormement la population. Merde alors !!!!!
5. Le 6 décembre 2011 à 02:25, par Manus En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Il ya des gens dans ce pays qui veulent coûte que coûte voir le Burkina à feux et à sang. Nous disons que la constitution nous convient dans son état actuel. donc c’est bon un point c’est tout. celui qui a épuisé son mandat , qu’il aille se reposer et deux ans après s’il veut, il revient tenter sa chance. De grâce Tandja a échapper belle !Gbagbo lui est à la cours pénale internationale, Dadis est chez nous, Kadafi a eu moins de chance, ne traçons pas ces chemins pour Blaise Compaoré. Vous FEDAP-BC, si vous voulez le bien de Blaise laisser l’article 37 en l’Etat. c’est déjà tard !!!!!!?????? SI vous forcez, vous verrez
6. Le 6 décembre 2011 à 02:52 En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Entêtez-vous ! Vous saurez que ça n’arrive pas qu’aux autres. Pourquoi prendre en otage tout un peuple. Hey Napoléon
7. Le 6 décembre 2011 à 04:30 En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
La FEDAP-BC est vraiment contre Blaise compaore.La FEDAP-BC veut Blaise comme compagnon de gbagbo au TPI ; pas de probleme comme c’est des amis qui ont le destin lié cela peut se comprendre .
laisser le monsieur après ce mandat manger son poulet flambé a ziniare ou manger du foutu banane avec tanti Chantal a Abidjan. La FEDAP-BC a qu’a meme des cadres compétant. présentez les comme candidat et vous prenez Blaise comme votre conseiller ou votre guide.
ça fait vraiment pitié.
8. Le 6 décembre 2011 à 05:13, par TPI En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Faut modifier ça, tu vas connaître qui a mis l’eau dans coco.
9. Le 6 décembre 2011 à 06:34, par fgouda En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
modifié l’article 37 ne rendra jamais service a notre cher burkina ;Apres 23 ans que rest-il au president COMPAORE a prouver ;Que la sagesse les guide pour le biens de tous ;Monsieur le president rappellez vous de ce vs avez dit a TANGA
10. Le 6 décembre 2011 à 08:04, par katienguiya En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
vous avez le droit de demander referandum que vous remporterez très certainement. moi je suis à logobou, dans tapoa profonde. quand je demande à mon voisin ce qu’il pense de l’eventuel modification de l’articl 37. il n’a rien à dire car il ne sait même pas ce qu’est l’article 37. donc avec les moyens de l’Etat vous pourrez certainement remporter ce referandum. mais detrompez vous ce sera la victoire de trop pour blaise compaoré(BC) , le mandat de trop. comme l’a dit quelqu’un hier sur ce forum ; BC est face à son destin il a trois choix à faire :
1)terminer comme alpha konaré , RAWLING
2) terminer comme son ami taylor , ou LG
3) terminer comme KADAFI
c’est à lui de faire son choix. j’epère qu’il est encore lucide pour ne pas se tromper de chemin.
nous on regarde
11. Le 6 décembre 2011 à 08:05 En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Citoyens burkinabè, préparez-vous à chasser la dictature qui vient en occupant la Place de la Nation, notre place Taharir à nous ; les ennemis de la paix se sont démasqués ; il faut les combattre, pacifiquement ; ces gens ont oublié le 3 janvier 1966
Le 6 décembre 2011 à 10:03, par bason En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
A mon humble avis, je dirai qu’on perd le temps à polémiquer sur la n répresentation du président Blaise. Ces sois disant FDAP-BC, mouvement idem aux patriotes de la CI de Gbagbo n’ont rien dans leur tête que de créer le Chaos. Mais ils ont oublié que Blaise est un vrai chef d’Etat qui sait lacher du reste quand ça ne va pas ; ils n’y arriveront pas. Ce monsieur Gaston fera mieux de commencer à travailler comme nous autres les hommes intègres que de vouloir s’agripper sur un poteau déjà glissant. Blaise a pu faire partir LG, Dadis et que sais -je encore mais ne dit-on pas que le coupeur de tête n’aime pas qu’une machette passe à côté de sa tête ? Si t’as vraiment ton doctorat va le valoriser ailleurs, nous on a pas besoin de tes compétences sordides pour des conseils sordides à notre président.
Le culte de l’homme on n’en connait pas ici au pays et on n’en veut pas.
Le 6 décembre 2011 à 13:01, par DECISION En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
toi le "burkinabe" de hollywood. si tu n’as rien à nous dire tais toi au lieu de parler de votre virtuelle poids économique.
vous pensez qu’au faso nous sommes juste ici à espérer votre aide pour faire face à nos soucis ?
un peu de respect pour le PEUPLE du FASO
12. Le 6 décembre 2011 à 08:44, par En feu En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Nous autres qui ne souhaitons pas du tout la modification de l’article 37 n’ont pas peur de referendum. Nous savons par avance le résultat d’un tel referendum avec toute la triche et manipulation qu’il y’aura derrière. La raison véritable en toute honneteté de la modification de l’article 37 est de permettre à Blaise Compaore de briguer d’autres mandats présidentiels. En 2015, cela fera 28 ans que le Monsieur est président du Burkina Faso. Le peuple en a marre, ce n’est pas une chefferie traditionnelle. CCRP oh, pas de CCRP oh, si vous touchez à l’article 37, on va descendre dans la rue pour toujours, et Dieu seul sait quand et comment ça va finir.
13. Le 6 décembre 2011 à 08:59, par Daouda En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Bonjour,
Comme tu manges au temps de fois que tu veux tu penses toujours à une organisation d’un référendum dans le but d’aboutir à une modification de l’article 37. Mais, je veux te dire que si tu penses qu’utiliser les milliards de francs pour organiser un référendum vaut mieux que de payer des vivres pour sauver la population en détresse , je pense que c’est une erreur de ta part. Pourquoi on a repoussé les élections municipales, c’est tout simplement parce qu’on disait que l’Etat n’a pas des fonds pour les organiser mais pour un référendum on dit qu’il y a les moyens. YAKO, il faut privilégier l’intérêt public à l’intérêt personnel. Que Dieu préserve le Burkina de ses démos.
14. Le 6 décembre 2011 à 09:25, par Le sage En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
l’auteur de cet article n’aime pas le Burkina Faso. C’est le Blé Goudé du Faso, ceux qui veulent brûler le pays et faire de Blaise, un voisin de Bagbo au TPI.
15. Le 6 décembre 2011 à 09:35, par Leroinier En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Que voulez-vous ? Ils disent qu’ils vont changer leur article 37, mais ne vous fatiguez pas, puisqu’ils le feront pian. Qui est en face, personne.
Aucun militaire burkinabè n’a de couilles aussi durs pour empêcher cette modification de l’article 37.
La modification se fera pian, même si je suis contre. Nous on peut faire quoi pour empeĉher ça. Rien.
Les miliataires qui ont les couilles pour se plaindre, on les a mattés et ramassés toutes leurs armes mettre à la présidence et à la gendarmérie, alors qui peut faire quoi dans ça.
Si les militaires du conseil ont râtés le général Golf devant Ouaga Inter, c’est que cet article sera modifié.
Si vous ne voulez pas que Blaise deviennent président, c’est simple, on commence par ne pas aller voter les législatives et les municipales de 2012 ou bien on part voter l’opposition. En 2015, on choisit de voter un opposant comme cela, si blaise veut refuser les résultats, la france vient le matter et on sera séparer de lui.
Sinon, s’assoire au maquis et dire que vous êtes contre la modification de l’article 37, mon oeil rien ne les fait peur.
Les seuls militaires qui les faisaient peur, on les a fouetté donc ceux qui sont là, ne sont pas de taille à les dissuader.
16. Le 6 décembre 2011 à 09:44, par le riche En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Ok imaginons qu’on fasse ce que l’opposition veut sans consulter le peuple. C’est à dire qu’on laisse l’article 37 comme tel. Cela suppose qu’en 2015 Blaise doit partir du pouvoir. Maintenant supposons que les 80% des Burkinabè qui l’ont voté (qui le préfèrent) se rebellent après 2015. Croyez vous que le nouveau président (le remplaçant de Blaise) de cette époque pourra diriger le pays ? Je crois que non. Donc pour éviter des lendemains incertains, ayons le courage et la sagesse de consulter le peuple à travers un petit referendum. C’est prudent.
Le 7 décembre 2011 à 10:21, par Tuenmavé En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Mon cher Monsieur, les 80% dont tu parles (tu es d’ailleurs le seul à en parler car depuis belle lurette cette élection n’est plus évoquée) représentent à peine 1,5 millions de burkinabé (cf. site de la CENI). Alors il en reste 14,5 autres millions (selon l’INSD, nous sommes acteuelement environ 16 millions de burkinabé). C’est mathématique, c’est implacable.
Autre chose, s’ils sont démocrates, pourquoi se rebelleront-ils ? Ou lors êtes-vous entrain de nous révéler que Blaise et ses supporteurs ne sont pas démocrates contrairement à ce qu’ils nous serrinent à tout va ?
Sans rancune. Il faut parfois analyser les chiffres avant de les jeter en pature aux autres.
Tuenmavé
17. Le 6 décembre 2011 à 09:45, par Awoto En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Dr Soubeiga n’aime pas son peuple et à la limite l’insulte, Blaise n’est pas l’alpha et l’omega du Burkina . C’est l’occasion d’unir l’opposition toute entière pour chasser Blaise avant la fin de son mandat. Vive la révolution !
18. Le 6 décembre 2011 à 10:00, par Africain En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Nous invitons à toutes et tous les citoyen/nes à se mobiliser pour stoper cette prise en otage des citoyen/nes de tout un pays. La construction d’un pays doit passer par l’alternance du pouvoir. Si les pays développés ou les grandes puissances se soumettent à cette coutume d’alternance du pouvoir, c’est que c’est la meilleure solution pour la construction et pour le développement d’un pays.
Si le fait de rester eternellement au pouvoir était la meilleure solution, les pays africains devraient être classés en première position mondiale. Malheureusement ce sont les derniers. En plus les dirigeants sont les grands mandiats des occidentaux.
Merci
19. Le 6 décembre 2011 à 10:21, par lyne En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Sincèrement après lecture de cet article je suis plus que déçue. Comment des gens se disant Burkinabè, aimant leur pays peuvent réfléchir de la sorte.
Si après 28 ans au pouvoir, quelqu’un n’a pas été capable d’offrir le strict minimum au burkinabè, vous pensez que c’est en 50 ans qu’il pourra le faire ??? Mais vous vous fourrez les doigts dans les yeux. Vous faites semblant ou quoi ?? Ou c’est parce que vous bénéficier des largesses du pouvoir en place que vous osez parler ainsi ?? Faites un tour dans les hôpitaux pour connaitre la vraie réalité du pays. Les malades n’ont pas de natte pour se coucher n’en parlons même pas de chambre. Pour se loger au Burkina c’est tout un parcours du combattant. C’est les mêmes personnes qui se distribuent les parcelles, qui construisent des R + je ne sais quoi… et pendant ce temps le pauvre fonctionnaire pendant toute sa carrière ne peut même pas se construire un « 2 chambre salon ». Et c’est ca vous appelez Dr Bertrand Gaston SOUBEIGA l’émergence au Faso ??? Nous n’avons plus d’avenir avec Blaise COMPAORE. Les burkinabè ne demandent pas mieux que de se soigner, se nourrir, se loger dignement et éduquer leur enfants. Si réellement vous voulez la paix dans notre cher pays, ne toucher pas à cet article 37..
20. Le 6 décembre 2011 à 10:22, par RAKIS WILGRI JUNIOR COMPAORE En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Il y’a un temps pour tout :
un temps pour construire
un temps pour détruire
un temps pour faire la guerre
un temps pour faire la paix
un temps pour vivre
un temps pour mourir
Quel temps la FEDAP-BC s’est choisi pour son mentor ?
En tous cas ,quoique je n ’approuve pas la longévité de règne de Blaise COMPAORE à la tête de l’état ,je ne lui souhaite pas une fin dans un égout à la KHADAFIENNE .
21. Le 6 décembre 2011 à 10:22, par bakala En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Encore des idiots qui veulent plonger un pays africain dans la guerre !
22. Le 6 décembre 2011 à 10:34, par BEOOGO En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
je suis sur que vous n’aimez pas notre cher faso puisque vous voulez le voir à feu et à sang.en soutenant aveuglement un tel projet (modification de l’ARTICLE 37),vous signifiez que vous etes des faiblards et que personne d’entre vous n’a assez de couilles pour dire à votre leader (BC) ceci:si on s’amuse à le faire, on court un grand danger. de toute les façon le peuple attend et réagira le moment venu.
23. Le 6 décembre 2011 à 10:39 En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
j’éprouve chaque fois une grande honte à lire ou entendre des "intellos" s’exprimer ainsi. la question de la revision de l’article 37 n’est pas celle de la nécessité de sa revision.c’est une question de déontologie politique et et probité morale.
24. Le 6 décembre 2011 à 10:42 En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
moi j’attend que le président seul se prononce, tout ce que dise les gens ne préoccupe pas. s’il y a un désaccord sur un point, il reste tel qu’il est.
25. Le 6 décembre 2011 à 10:44, par Tanga En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Dr, c’est de l’inconscience. L’environnement international ne le permet pas, les évenements rescents dans plusieurs pays le confirment. Que voulez-vous pour votre ami. Vous voulez son malheur. Tout le monde est temoin. C’est ce qu’on appelle une fausse amitié.
Conseillez-le plutôt de prendre un repos bien mérité. Mettons nous d’accord pour l’amnistice, mais pour lui seulement bien sûr. Naturellement, certains d’entre vous devront repondre de leurs actes. C’est cela qu’on a peur ou quoi. Mais de toute façon, on ne fait que repousser l’échéance puisque qu’il faut bien qu’un jour cela arrive. N’est-ce pas. Vaut mieux le faire pendant que lui-même il peut toujours vous soutenir. Si ce n’est plus le cas, comment allez-vous faire ?
26. Le 6 décembre 2011 à 10:49, par BEOOGO En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
allez-y le peuple vous attend de pied ferme
27. Le 6 décembre 2011 à 10:50, par anta En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Ce Dr. Soubeiga est un docteur ès manipulation mentale.la manipulation est le fait d’obtenir de quelqu’un qu’il fasse quelque chose qu’il ne souhaite pas faire, sans qu’il s’aperçoive qu’on la lui fait faire.
Elle permet, par des moyens détournés, d’infléchir les comportements d’autrui comme de peser sur ses idées et ses convictions.
La manipulation mentale est un outil redoutable de contrôle visant à influencer, puis convaincre, la victime ; le but de cette manipulation étant d’aliéner la liberté d’autrui, en utilisant des techniques très subtiles. Elle n’est efficace que si elle est totalement dissimulée : la victime sera persuadée que toutes ses pensées et décisions viennent librement d’elle.
Le manipulateur use consciemment d’un stratagème pour obtenir ce qu’il veut : pleurer pour attendrir celui qui est furieux, se comporter comme une victime pour susciter la culpabilité, bouder pour obtenir des excuses, séduire pour faire transformer l’humeur de l’autre, etc...
Le manipulé cède parce que le manipulateur touche chez lui une corde sensible et la fait vibrer. Le manipulé fait alors ce que le manipulateur désire pour faire cesser cette vibration. La corde sensible est généralement une émotion désagréable, une image de soi indésirable, une conséquence déplaisante.
Pour résister à une manipulation négative, il faut apprendre les techniques de l’adversaire pour les parer et surtout pour en comprendre les mécanismes. La victime d’une manipulation doit se poser quelques questions simples, comme par exemple : Est-ce que je suis autonome ? Quel est mon degré de liberté ? Si on oriente ma psychologie est-ce que je suis capable de faire une auto-analyse psychologique afin de prendre une distance par rapport à l’émotion qui me perturbe ? Laissons ce docteur à ses élucubrations.
28. Le 6 décembre 2011 à 10:57, par ppipo En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
On attend ces bandes de mange-mil au tournant. Nous les jeunes, on se laissera plus faire. Préparons nous pour le combat.
29. Le 6 décembre 2011 à 10:57 En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
LA FEDAP-BC qui est une association ayant été mis en place par les tenants du pouvoir ne peut qu’aller dans le même sens que le CDP et autres affidés du pouvoir qui en jouissent depuis au moins 24 ans. Traduisent-ils autrement les desiderata du Chef de l’Etat qui du reste, reste très muet sur la question ? Ce que la FEDAP-BC devrait par contre éviter, c’est d’endoctriner le peuple en lui faisant croire que la longue durée au pouvoir d’un homme, en l’occurrence Blaise Compaoré, signifierait stabilité. Si celui s’appelait en effet stabilité, les pays comme la Côte-d’Ivoire ayant connut Houphouet, la Guinée Sékou Touré puis Lanssana Compté et la Libye avec Kadhafi, seraient de bons exemples de pays très stables aujourd’hui, puisque ce sont ces genres de règne que vous confondez à de la stabilité. Confondre ces genres de règnes à de la stabilité est un signe de manque de vision politique lointaine. Hors c’est cela aussi qui fait l’homme politique !
La stabilité d’un pays se cultive dans l’alternance et non pas par l’accrochage de putschistes ou de pseudo-démocrates au pouvoir. Le Mali est un exemple, le Bénin en est un, l’Afrique du sud aussi, pourvu que ces derniers continuent dans le sens de l’alternance afin de consolider leur stabilité qui profitera à l’ensemble de leurs citoyens.
Par contre, confondre la situation du Burkina Faso actuelle où la confiscation de la liberté réelle n’
est qu’un secret de polichinelle ne serait que de la myopie et de l’irresponsabilité politique. La stabilité d’un pays ne se mesure pas au nombre de commissions et de réformes engagés par un pouvoir, mais en partie à la force de caractère de ces dirigeants qui ne confondent pas toujours leurs propres intérêts de l’intérêt de l’ensemble du peuple ; qui font des réformes non pour en profiter, mais pour faire profiter la nation tout entière. Or l’histoire constitutionnelle du Burkina de la quatrième république nous enseigne que toutes les réformes politiques étaient taillées sur mesure, c’est-à-dire qu’elles avaient pour but principal de maintenir une clique au pouvoir autour de Blaise Compaoré.
L’analyse des lois nous oblige heureusement non seulement à chercher à comprendre celles-ci, mais aussi à chercher à comprendre l’intention de celui qui les a instigués. Dans un tel contexte, aucun référendum ne pourrait être légitime s’il était fait dans le sombre dessein de perpétuer votre mainmise sur l’appareil d’Etat !
30. Le 6 décembre 2011 à 11:03 En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
"et avec l’ensemble de toutes les forces vives de la nation burkinabè en vue du renforcement de la démocratie, la consolidation de l’état de droit, la paix sociale et de la stabilité politique, gages du développement de notre pays."
Pensez vous et croyez vous vraiment à ce que vous dites DR SOUBEIGA, moi je ne vous crois pas sincere avec vous meme.
Ben
31. Le 6 décembre 2011 à 11:07, par Demo En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Salut à tous,vraiment je ne reconnais plus mon pays !!!!
ABC,FEDAP-BC,etc....que veulent vraiment tous ces parasites affâmés à notre pays ?Vous voulez manger,on le sait,mais pardon ne poussez pas Blaise qui a trop duré au pouvoir et assez fait pour son pays à finir comme Tandja,Gbagbo,Kaddafi....
Pardon,vous avez crée vos bric-à-bracs pour manger,on vous a remercié avec des titres(chevalier de l’ordre,quoi quoi de merite...)des postes (DG,ministres,SG,DR...),maintenant c’est bon,faites places à d’autres burkinabès ,on est entre-temps 16 millionns et on n’est plus dans les années 1990.Rêvez,hallucinez,faites ce que vous voulez,nous on attend 2015.A bon entendeur,Salut.
32. Le 6 décembre 2011 à 11:11, par SOUGRI En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Tous ceux qui aiment la vie et le BURKINA se gardent de tels propos.Avec la modification de l’article 37 naîtrons des patriotes pour sauver la patrie en danger.Attendons de voir .Que Dieu sauve le BURKINA.Sougri
33. Le 6 décembre 2011 à 11:12, par LE SEREIN En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
JE SUIS POUR LA MODIFICATION DE L’ARTICLE 37 POUR PERMETTRE A SON EXCELLENCE LE PRESIDENT DU FASO D’ETRE LE PRESIDENT ETERNEL COMME CERTAINS LE PENSE, SANS LUI PERSONNE NE PEUT GOUVERNER CE PAYS ET AUCUN PARTI NE PEUT AVOIR UN PROGRAMME POLITIQUE FORMIDABLE POUR LE PEUPLE BURKINABE COMME LE CDP << BATIR ENSEMBLE UN BURKINA EMERGENT COMME SI L’EMERGENCE SE DECRETE >>.
34. Le 6 décembre 2011 à 11:21, par katkilla En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Ah Dr SOUBEIGA a la lecture de vos propos il ressort que vous êtes un chercheur de poste et que vous êtes affilié à la compaorose !!! en tant que amidu petit président vos rêvé de le voir au pouvoir après son frère et de voir le CDP mourrir pour que vous membre de la FEDAP-BC et nouveau mangeur de notre Etat puissié remplir votre gosier mais je dis attention !!!
bref revenons au sujet:d’abord il faut démentir vos propos en rappelant au lecteur que la décision de reforme politique ne resulte pas de la volonté de notre président à voir un Burkina emergent mais plutôt qu’elle apparait comme un semblant de réponse à la chaude alerte lancér par les éleves,etudiants et militaire qui constituent la force vive et active de notre chère partie.( nous les jeunes on s’en fou que le pouvoir en place ait assassiné le capitaine thomas sankara pour s’installer au BF mais on dit après 2015 il n’aura plus de mandat pour Blaise, il n’est pas indispensable au BF, car avant lui il y a eu des président et après lui il en aura que cela lui plaise ou non)
Ensuite, il me plait à rappeller que les soit disantes reformes politiques sont le fruit de cocco(politichien) à la solde de blaise !!!ni le peuple, ni no mère au marché,ni le grand public,ni les étudiants futur dirigeant du pays n’ont été associé au processus de prise de décision et donc !!!!
si quelques pédans égocentriques s’assayent et pensent qu’ils peuvent décider de changer l’article 37 parcequ’ils veulent manger on est la et on vous attend au tournant comme en mars jusqu’à mai passé avec des idées de guerre dans ce pays !!!vous pensez quoi ? le champagne c’est pas doux dans votre seule bouche... nous les étudiants qui ont incité les militaires à prendre les armes nous sommes prêt encore à le faire.
le pays la ce n’est pas le village de blaise !!! si il veut gouverner à vie nous on le donne l’immunité d’aller faire de Zine yarée (Ziniaré) ce qu’il veut !!!
donc Dr SOUBEIGA faites on regarde et on vous attend au tournant !!! c’est qui même on n’a pas vue ici ......
35. Le 6 décembre 2011 à 11:22, par Un Observateur En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
L’Histoire ne dit rien et n’enseigne rien a ceux qui sont destines a "l’Enfer" terrestre. Regardez bien Mobutu, Bokassa, Idi Amin Dada, ... et plus proche de nous, Tandja et Gbagbo.
La race de ces Hommes et leur caracteristique principal est de mal finir, quelque soit l’aide et les conseils dont ils beneficient.
Comprenenz donc que Blaise Compaore et Clan accomplirent leur destin. Pour ce faire, la modification de l’article 37 est un passage triplement oblige. Pour permettre a la suite du process de se derouler, "comme prevu" par leur DESTIN.
Puissent les consequences negatives soient moindres pour le Burkina ... C’est tout ce qu’on peut souhaiter.
36. Le 6 décembre 2011 à 11:27, par Lucie Kaboré En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Pour le type qui parle du prétendu poids économique qu’il representerait, sache que ce n’est pas toi qui paye mes factures. Il faut apprendre á respecter les gens
37. Le 6 décembre 2011 à 11:41, par Nonganeeré En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Ils ne comprennent pas, ils n’apprennent pas ces gens-là !Ne confondons pas la légalité et la légitimité.Blaise Compaoré peut organiser un réferendum et obtenir un score stalinien en sa faveur...,mais il n’aura plus jamais de légitimité dans ce pays. La crise que nous avons connue cette année n’est qu’un avertissement...Nous n’avons encore fini de reparer les infrastructures endommagées. De grace nous voulons la paix,nous n’avons assez de ressources pour aller chaque fois à zéro.
38. Le 6 décembre 2011 à 11:47, par prlefaso En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
On dirait que ces gens la meme ne comprennent rien ; Les recentes manifestations ne vous ont pas suffi. Ecoutez, Blaise s’en va en 2015 ; Pas la peine de continuer a nous emmerder ; Trouvez autre chose a faire gens du FEDAP-BC. Nous voulons un Burkina en paix ; Et cela se fera si on respecte les populations que nous sommes. Regardez autour de vous ; Les choses ont deja change ailleurs ; Ne croyez pas que le Burkina deroge a cette regle. A bon entendeur salus.
39. Le 6 décembre 2011 à 11:48, par bobolais En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
voila du professionnalisme. l’express du Faso voyez vous, quand on veut on peut.cest simple quoi, pourkoi,comment ou et quand, tout est dit. merci kani et que cela continue mais aussi serve de lecon aux autres membres de l’equipe
40. Le 6 décembre 2011 à 11:49, par DOS En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
sachez que kossyam a été construit à son image et est consideré comme son domicile personnel. Nul na le droit de se prsenter sur ces lieux. C’est un president à vie avec ou sans l’article 37.
ON EST OU LA ????????
41. Le 6 décembre 2011 à 11:49, par Afrik wak’up En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Aussi vrai que c’est le peuple qui juge souverainement, aussi vrai qu’être burkinabè n’est pas conditionné par l’âge, je voudrais demander à tous ceux qui pensent que la limitation des mandats est antidemocratique, d’oeuvrer pour qu’il n’y ait pas d’âge, ni d’autres conditions que celle de la nationalité dans la designation du president. Ainsi, si le peuple juge necessaire qu’un burkinabè de 1 ans peut diriger le pays, ainsi soit-il et les burkinabès de plus de 100 ans pourront rever de diriger mon cher Faso, parce que, nous, peuple du burkina Faso, l’avons voulu.
Honte à tous ces intellectuels prostitués.
42. Le 6 décembre 2011 à 12:03 En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Je suis déçu par la logique qui anime certains cadres de ce pays et notamment l’auteur de cet article ! Que cherche t il à préserver car je pense qui’il s’agit de cela. Pouquoi limterait on l’âge à 75 ans alors qu’au delà on aurait selon lui encore un plus d’expérience par rapport à 70 ans.
43. Le 6 décembre 2011 à 12:23, par sehi En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
CEUX QUI VEULENT LE REFONDATION c’est leur problème etsurtout il ne faut pas qu’ils plongent le pays dans le chao pour leurs intérêts égoistes .le président n’est pas éternel et après lui le pays va disparaitre ? on a précit la paix lorsqu’on la perd alors préservons la à tout pris .pourquoi un ministère de refondation politique mon oeil ouaih il y a foutèse
44. Le 6 décembre 2011 à 12:25 En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
CA LA SEULMENT. ILS VONT NOUS SENTIR NOUS TOUS. QU’ILS ESSAIENT.
45. Le 6 décembre 2011 à 12:26 En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Rien d’autre ne pouvait venir d’une association qui affiche son soutien inconditionnel au président de la république. J’espère que ce soutien restera inconditionnel quelque soit la situation qui se présentera. Mais ça m’étonnerai car on a vu au Niger, en Côte d’Ivoire où quand le vent a changé de direction, les soutiens ont disparu. On ne peut pas soutenir quelqu’un de façon inconditionnel à moins que l’on aie renoncé à sa propre capacité d’appréhender les choses. Si les intellectuels du Burkina refusent de réfléchir, le Burkina ne sera jamais un pays émergent.
46. Le 6 décembre 2011 à 12:27, par Daouda En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Bonjour,
Comme tu manges au temps de fois que tu veux tu penses toujours à une organisation d’un référendum dans le but d’aboutir à une modification de l’article 37. Mais, je veux te dire que si tu penses qu’utiliser les milliards de francs pour organiser un référendum vaut mieux que de payer des vivres pour sauver la population en détresse , je pense que c’est une erreur de ta part. Pourquoi on a repoussé les élections municipales, c’est tout simplement parce qu’on disait que l’Etat n’a pas des fonds pour les organiser mais pour un référendum on dit qu’il y a les moyens. YAKO, il faut privilégier l’intérêt public à l’intérêt personnel. Que Dieu préserve le Burkina de ses démos.
47. Le 6 décembre 2011 à 12:39, par GO En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
C’est qui ce Dr Bertrand Gaston SOUBEIGA ?
C’est mieux de l’appeler Mr Bertrand Gaston SOUBEIGA.
Allez faite ce que vous voulez. Ne passer même pas ce ccrp ou par referendum.
Modifier comme ça car vous êtes bien les hommes forts de ce monde. Allez courage car vous aviez encore besoin du temps pour cacher les bien voler au peuple.
Faite vite car vous croyez toujours avoir des voies pour tromper le peuple. Seulement, ne gâter l’année scolaire et estudiantine.
48. Le 6 décembre 2011 à 12:45, par Nongodo du Faso En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
En tout cas nous ,on s’apprete ici aux USA : personne ne touchera à l’article 37 sans nous avoir en face. Il est temps de faire le menage dans ce pays.En tout etat de cause le Burkina sortira grandi.
49. Le 6 décembre 2011 à 14:31, par Daouda En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Notre Président Blaise Compaoré a eu le courage de conseiller l’ex-président Mamadou Tandja et selon les propos du Dr Blaise Compaoré(spéciliste en règlement des conflits)que Tandja se dirigeait tout droit vers le mûr et j’espère que ça ne sera pas son cas.Il faut qu’il sache que c’est l’entourage de Laurent BAGBO qui l’a entrainé dans les problèmes et je pense qu’il va pouvoir s’empasser de son entourage.
50. Le 6 décembre 2011 à 14:32, par Gael En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
FEDAP-BC dit simplement que vous voulez que Blaise reste au pouvoir. Tout ce bla bla ne tient pas la route. Ce n’est pas ce qui es interdit qu’on ne fait pas. Un de vos copains DG a été épingle pour être trempé dans un dossier de fraude mais au non de l’esprit de la loi, il est toujours DG et libre. Si la loi que vous aimez temps devrait l’être, beaucoup d’entre vous serait au froid. Le président a fait valoir ses droits à la retrait est-ce pour autant qu’il est devenu un incompétent dans l’arme. Il pouvait demander une réquisition comme le font vos camarades dans la fonction publique. Vous trouvez qu’il a suffisamment servi l’armée et il mérite d’avoir le repos, souffrez également qu’il se repose car il a suffisamment servi le peuple. Si vous vous sentez incapables de le remplacer, on ne peut rien pour vous. Vous allez redevenir comme monsieur tout le monde et vous contenter de vos perdiems et bye bye les 4&4 , les villas non et les prêts encore non soldés.
Le 7 décembre 2011 à 02:27 En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
on veut la paix
51. Le 7 décembre 2011 à 02:24 En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
on veut la paix
52. Le 7 décembre 2011 à 08:41 En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
hé les amis je pense qu’il ne faut pas trop se focaliser sur (l’avorton) de hollywood car son objectif est de détourner notre attention sur l’essentiel qui nous tient tous à cœur à savoir la non modification de l’article 37 de la constitution donc de grâce les amis ignorer ce mécréant et poursuivons la réflexion ! Merci
53. Le 7 décembre 2011 à 16:14, par NAOUALAGUIMBA En réponse à : La FEDAP-BC à propos des réformes politiques au Burkina Faso : « La modification de l’article 37 n’est pas interdite par notre constitution »
Messieurs du FEDAP-BAC.Tous ces développements que vous nous offrez au sujet de l’article 37, nous vous voyons venir. Mais avec l’artiste Burkinabè SANA BOB, nous vous disons ceci : les femmes se font la bagare pour l’homme à cause de quoi ? et les hommes à propos de la femme ? Vous avez la réponse, mais peut être que vous avez honte, mais aussi peut être que vous faites semblant.