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Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

vendredi 5 février 2010.

 

La Brigade des mœurs et des stupéfiants a frappé un grand coup dans le projet ZACA. En effet, tôt dans la matinée du 2 février 2010 les usagers et riverains de ce qui servait de siège à l’entreprise EBOMAF où sont entreposées des dalles préfabriquées ont été témoins d’une chasse à l’homme digne d’un film hollywoodien.

On savait la zone du projet ZACA repère de bandits. On savait également que cette zone est reconnue pour le racolage. Mais ce qu’on ne soupçonnait pas, c’est qu’elle était également une zone de non-droit où opérait un réseau de trafiquants et de consommateurs de drogue. « Depuis plusieurs semaines, nous avons des informations selon lesquelles des dealers opéraient dans la zone. Nous avons donc initié cette opération pour mettre fin à ce trafic… » Nous a confié le commissaire Moussa SANA, chef de la division des mœurs et des stupéfiants.

La Brigade des stups frappe fort dans la ZACA

Ces armes blanches saisies ont certainement servi à agresser d’honnêtes citoyensAux environs de 9h, une vingtaine de policiers, certains en civil et d’autres en tenue, investissent ce qui servait encore de siège à EBOMAF. S’en suit alors une course-poursuite vers les dalles. Les bandits s’engouffrent dans leurs repères. Les policiers encerclent les lieux. Commencent alors les recherches. Les bandits tentent de se cacher. D’autres tentent de prendre la poudre d’escampette. Très vite ils sont neutralisés. Les policiers ratissent large. Ils s’engouffrent même dans les dalles tout comme les bandits. Après une heure d’intervention, les officiers Henri BONKOUGOU et Arouna SANGARE, les hommes de terrain du commissaire Moussa SANA interpellent plus d’une douzaine de dealers dont deux femmes portant chacune un bébé d’à peine cinq mois. Deux motos et trois vélos sont saisis. Outre cela, les policiers ont trouvé du matériel servant à la consommation des stupéfiants et quelques sachets de cannabis. Les visages des bandits sont graves, marqués certainement par l’abus des stupéfiants, ils ne disent rien. Menottes acérées aux poignets, un des bandits se plaint de douleur.

La mère du bébé (visage caché) et les autres bandits ont été embarqués par les Forces de l’ordre sous le regard des badauxComme s’ils avaient honte, certains tentent de se cacher le visage. « Vous voyez ces dalles ? C’est devenues leurs demeures. Il y a même un matelas qui y est déposé. Ils vendent et consomment toutes sortes de stupéfiants dans ces lieux. Cocaïne, cracker, cannabis etc…. » Nous confie un des officiers sur le terrain. Pendant que les policiers convoient les premiers interpellés au poste, la traque continue. Un, puis, un deuxième bandit, sont extirpés de leur cachette. Les badauds veulent en finir avec eux. « Il faut les tuer » Clament certains dans la foule.

Sans même jeter un regard sur ceux qui réclament la mort de ces malfaiteurs, le policier l’éconduit jusqu’à l’autre groupe des interpellés. Bien habillé et un mètre de menuisier en main, l’interpellé clame son innocence. « Je ne suis pas inquiet dira-t-il. Moi je suis menuisier et je travaille au grand marché, je ne suis pas un voleur encore moins un drogué… » Raconte-t-il. Visiblement sa confession n’émeut personne puisque, un badaud n’a pas manqué, malgré la présence du policier de lui donner un coup de pied. « Si tu n’es pas un voleur que faisais-tu dans ces dalles ? » Lance un autre badaud. Mais le mal est plus profond que l’on ne le pense. Selon les éléments de la Brigade des stups, le réseau est très bien organisé. C’est entre 2h et 3h du matin que les bandits rentrent de leurs opérations de vol. Une fois de retour, des receleurs passent aux environs de 3h et 4h du matin pour racheter les objets volés et vers 5 heures du matin, les ravitailleurs en drogue arrivent et approvisionnent les bandits qui eux revendent dans leurs repères. De retour à la brigade, les hommes des stups prennent attache avec les services de l’Action sociale pour qu’ils puissent prendre en charge les bébés des deux femmes.

La Brigade des stups, parent pauvre de la police ?

Ce bébé vivait au milieu des bandits de par la volonté de sa mère. Pour mener à bien cette opération, la Brigade des stups a fait appel au commissariat central. En manque total en moyens logistiques, à elle seule, elle n’aurait pas pu mener à bien cette mission. Et pour cause, cette brigade malgré l’étendue et l’importance de son action ne dispose même pas d’un véhicule de service, à plus forte raison d’une moto. A preuve, pour cette opération, tous les agents de la brigade sont partis à cette mission sur leurs propres engins à deux roues. Si ce n’est pas de la bonne volonté et du courage c’est quoi alors ? Visiblement, la Brigade des stups est le parent pauvre de la police nationale. Il a fallu donc que le commissariat central l’appuie en hommes et en logistique pour que cette opération ait le résultat escompté. C’est le lieu donc d’interpeller le ministre de la Sécurité pour qu’il lui vienne en aide. Le phénomène de la drogue est une réalité et la brigade des stups a besoin de moyens conséquents pour mener à bien son travail pour le bonheur des populations.

La responsabilité de l’EBOMAF est engagée

« Il faut que l’entreprise EBOMAF enlève ses dalles, ou, à tout le moins, les dispose de sorte qu’il y ait une possibilité d’accès au site sans encombre comme c’est le cas actuellement », réclament les passants et les riverains indignés que les dalles de cette entreprise servent de repères aux bandits. Si les alentours des lieux sont truffés de déjections humaines et animales, il faut entrer dans les méandres de ces dalles pour comprendre que c’est toute une vie qui y est organisée. C’est au cœur de ces lieux que les bandits en ont fait leur QG. Des lieux où y règnent un calme et une propreté sans commune mesure avec l’extérieur. Et c’est dans les méandres de ces dalles que sont cachés les butins fruits des vols. C’est là que vivent les dealers et leurs partenaires. « Ils font tout là-bas », raconte ce policier qui a épié le coin pendant plusieurs semaines. Il faut donc que l’entreprise fasse quelque chose pour éviter aux riverains et aux usagers de vivre des drames.o

Frédéric ILBOUDO

L’Opinion



Vos commentaires

  • Le 5 février 2010 à 07:08 En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    Ce journaliste - la doit repartir a l’ecole. Le francais est degueulasse. Il melange les pronoms comme du cafe et du lait. Pas professionnel du tout. Grammaire ? Connait pas. Et tu es journaliste ?

    • Le 5 février 2010 à 17:35, par didier En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

      monsieur le journaliste, du courage, informe nous et laisse les faux francais a leurs place ils peus rient faire ils sont là a critiquer les autres .meme les francais font des fautes avec leur propre langue.(wuilg sen gomdb yaarà ti ka moor ye)faut aller dire a un francais d faire une seule phrase en moore voire s’il pourra. moi je na fait ecole mai j comprend ce que l journaliste veut dire. barka.

    • Le 28 mars 2010 à 19:02 En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

      un burkinabe digne de son etre ne polemique pas ,il corrige tout simplement et le faso continu d’avancer .vive le burkina faso pour des siecles des siecles :

  • Le 5 février 2010 à 07:11 En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    "C’est au cœur de ces lieux que les bandits en ont fait leur QG. Des lieux où y règnent un calme et une propreté sans commune mesure avec l’extérieur."

    Francais horrible : 2 fautes tres graves dans 2 petites phrases. Meme les enfants du cm2 ne sont pas pardonnes quand ils font de telles fautes. Faut pas faire honte a la profession des journalistes.

    • Le 5 février 2010 à 11:07, par yarbila En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

      Mon ami zournalist, nécoute pas ces gas.
      Informe nous. Pourvu kon comprene.
      Ce sont ces gas qui ecrive " Bourkina Fasso". C’est une faute. C’est "Burkina Faso".
      Fo san touin gouliss moore me’nga, ya son ma.

      Bye !

      • Le 5 février 2010 à 12:07 En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

        c’est vrai qu’on arrive à le comprendre et c’est le plus important.mais en tant que grand manipulateur de la langue française (meme si c’était le mooré ou le dioula...) il a obligation de bien s’exprimer. c’est dans les détails que se cache le "diable" nous empechant ainsi de cultiver l’excellence. DU COURAGE A CE JOURNALISTE, à nos enfants qui subissent la baisse du niveau scolaire, a ces policiers et autres paramilitaires/militaires qui exposent permanemment leur vie et celle de leurs proches dans ces genres interventions !

    • Le 5 février 2010 à 19:32, par g.g En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

      je pense que ce Monsieur qui se plaint des fautes du journaliste ; honetement doit etre un suspect.peut etre qu’il colabore avec les bandits.je le trouve hors sujets.il n’est pas du tout un patriote.si la presse n’est pas a la hauteur de l’article pour qoi n’at il pas reconnu le travail bien ficele de la police.je demande aux journalistes de ne pas ecouter ses iresponsables.l’essentiel que les honnetes citoyens arrivent a etre informer.je dis bravo a l’ensemble de notre police national sans oublier la presse national aussi.

      • Le 5 février 2010 à 20:15, par burkinabè En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

        Peut-être que vous aussi, vous en êtes un (un complice).
        Foutaises !!! De quoi vous parlez là !!??!!!

        lefaso.net n’est pas un simple blog personnel. Donc on veut de la qualité dans les écrits.

        Oui BRAVO aux policiers et à tous les informateurs par qui ce coup de filet a pu être possible.
        Merci à l’opinion pour l’information.
        Mais je ne dirais PAS BRAVO à ce soit disant journaliste !!!
        Honte à lui !!!! Il fera plus attention la prochaine fois !

  • Le 5 février 2010 à 08:58 En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    Bravo à nos chers policiers !

  • Le 5 février 2010 à 09:24, par Cire En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    Bon article, seulement on dit un repaire de bandits et non un repère, je constate que beaucoup ne le savent pas.

  • Le 5 février 2010 à 11:24, par Intègre En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    Super. Quel coup réussi. C’est vrai que les moyens manques mais il faut des actions pareils pour que l’aide puisse venir, afin que l’Etat puisse vous comprendre et vous assister. Il est certain que ds les tous prochains jours, cette brigade des stups aura quelques moyens logistiques pour des interventions de taille et régulières. Bravo !!!!

  • Le 5 février 2010 à 11:57, par groumann En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    Un article on dirait sujet de redaction d’un enfant de CM. 
    Kaayi ssa. Tchrrrrrrr

  • Le 5 février 2010 à 12:02, par QUID En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    Bravo à la police
    La rédaction de l’article laisse à désirer
    Il faut éviter à l’avenir de citer les noms des agents de la sécurité car ils peuvent être victimes de represailles

  • Le 5 février 2010 à 12:20 En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    je ne sais pas pourquoi des personnes s’attachent tellement aux règles de la grammaires et de l’orthographe de ce article. l’essentiel c’est qu’on comprend ; en plus le burkinabé s’applique tellement à bien parler le français qu’il ne se fait pas comprendre par le grand public.Combien de burkinabé ont franchi le cours primaire ? Alors faisons simple pour se faire comprendre.

    • Le 5 février 2010 à 20:09, par burkinabè En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

      Il n’est pas question que de fautes de grammaire ou d’orthographe, l’article même laisse à désirer : des phrases mal faites, un mauvais découpage des paragraphes, des fautes de frappe... On sent de la négligence, aucun professionalisme (citer des noms, dans une affaire de ce genre !!!!)...
      Malgré mon très bon niveau en français, je n’ai pas tout suivi. Donc, il y a un problème.
      J’ose croire qu’il n’est pas journaliste sinon c’est très grave.
      Un bon élève de CM2 ferait mieux.

      Il ne faut pas oublier que le faso.net est lu par plusieurs personnes à travers le monde(et pas que des burkinabè), donc un peu de sérieux dans les rédactions.
      C’est vrai que l’on veut être informés, mais il faut quand même faire un effort et se faire relire par d’autres collègues avant de publier. Est-ce que son rédacteur en chef permettrait un tel abus dans son journal écrit ? Pourquoi doit-on le permettre sur le net ?

      Si on décide d’utiliser une langue, il y a des règles à respecter. Sinon, il vaut mieux en choisir une autre plus maîtrisée (Mooré, Dioula, Bissa, Dagara...)

      Donc de grâce, n’encourageons pas la médiocrité !!!

      Oui à l’information !!
      Non à l’abus du français !!!

      PS : Pour les commentaires, ce n’est pas grave s’il y a des fautes de français ou autre, on n’est pas journaliste.

      • Le 7 février 2010 à 18:28, par konate de l’Espagne En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

        Les français de la France font aussi des fautes. Qui n’a jamais fait une faute,qu’il jette la première pierre.Par burkinabè lisez votre phrase et détectez moi cette faute :"C’est vrai que l’on veut être informés" Mon cher burkinabè "s" n’a pas sa place dans votre phrase.Merci.

  • Le 5 février 2010 à 12:40, par Lucas En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    Lucas
    En effet trop de fautes...ça ne rend pas intelligible (comprehensible) le texte. S’il a choisi de s’exprimer en français qu’il le fasse correctement c’est tout ce qu’on lui demande...Si les redaction pouvait avoir de vrai comité de lecture composé d’instituteurs issus des cours normaux de jadis, pas des ENEP car là aussi ça ne vole pas haut...Mais ici aus Faso tout est handicapé par le partage du gombo !

  • Le 5 février 2010 à 12:47 En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    Quand on est cancre, on cherche toijours des poux sur un crâne rasé. Soyez humain Svp !

  • Le 5 février 2010 à 13:49 En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    le probleme des assimilés comme ça. ils apprennnent une langue du colon et ils sont plus zelé que les colons dans l’utilisation de cette langue. la langue c’est juste fait pour communiquer. si l’idée du journaliste est comprise c’est l’essentiel.

  • Le 5 février 2010 à 14:46, par wendyiida En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    félicitation aux flics.

    pour monsieur le journaliste, il faut se dire qu’on arrive a comprendre ce qu’il a écrit, seulement, son statut l’exisge à éviter ces genres de lacunes car ça met en cause la compétence des journalistes burkinabé.

    conseillons le monsieur à plus de professionnalisme au lieu de nous attarder sur les fautes qu’il a commis. c’est sure qu’il va comprendre et s’y mettre dans ses prochains ecrits

  • Le 5 février 2010 à 17:30, par Manitu En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    Là, je suis fier de mon Burkina Faso. J’aime quand les uns et les autres prennent conscience de nos problèmes.

    Il est en effet impardonnable qu’un article de presse soit écrit avec ce niveau de langue. C’est pas une question d’intelligibilité mais une question de déontologie. Les enfants prennent leçon sur eux justement.

    Ne l’excusez pas parce que il écrit relativement comme vous. Lui a le devoir d’être parfait.

    Une fois de plus, bravo, soyons vigilants et ne laissons plus de telles choses passer.

    J’attend la réaction du DG du pays au prochain conseil de rédaction. M. le DG, il faut sévir pour montrer l’exemple. Le journalisme c’est un métier, pas un passe temps...

    • Le 5 février 2010 à 21:06, par Tapsoba En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

      Le DG du quotidien "le pays" n a rien à voir avec cet article.Tout simplement parce qu il est écrit par un de l Opinion.

      Pour revenir sur l action très appréciable de nos forces de l ordre,je leur tire simplement mon chapeau.Bravo, si seulement vos autorités pouvaient être sensibles à votre situation de dénuement,ce serait encore mieux.

  • Le 5 février 2010 à 17:35 En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    salut l’homme,
    ton message est compréhensible malgré....Ben te comprend car c’est du "franmooré". en tout cas l’essentiel est de nous tenir informer...mais aussi tâche d’améliorer ton fran...en fait ce n’est pas ta langue maternelle. toute façon le français commet des fautes en français. bravo jougnaliste !

  • Le 5 février 2010 à 17:49, par célia En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    Je crois que le problème de drogue est plus sérieux que la question grammaire.
    Quand un de ces drogués vous agressera un jour, vous comprendrez qu’il est urgent de trouver une solution idoine à ce fléau qui prend de l’ampleur.
    Merci à tous ceux qui s’en préoccupent.

  • Le 5 février 2010 à 17:53 En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    Je ne voudrais pas enfoncer le clou, mais il est inadmissible qu’un journaliste se permettent ce genre de fautes et de contre sens. Par exemple, en parlant des agents de la brigade des stup, il écrit qu’ils "ne dispose même pas d’un véhicule de service, à plus forte raison d’une moto". Il fallait plutôt inverser, car lorsqu’on emploie l’expression "à plus forte raison" c’est la situation la plus difficile à obtenir qui vient à la fin.
    Le discours qui consiste à dire que "l’essentiel c’est de se faire comprendre" ne tient pas la route.

  • Le 5 février 2010 à 18:32 En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    En lisant votre article certainement très pertinent, on ne peut pas ne pas remarquer les fautes d’expression, et de grammaire ! faites un effort puisque vous être journaliste( c’est ce que vous prétendez être !) pour améliorer vos prochains articles, sur la forme !!!
    Pour le reste, prenez en bien les observations qui vous sont faites, c’est pour votre amélioration.
    Bonne journée

  • Le 5 février 2010 à 19:01, par Manitu En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    Pardon d’avoir accusé inutilement "Le Pays". C’est plutôt "L’Opinion". Et à y penser, ça ne me surprend plus qu’à moitié. Quand on crée un journal pas pour faire du travail de journalisme mais pour faire la propagande d’un individu (en l’occurrence le président de la république), on ne peut qu’en arriver là. Quand Hyppolite Lingani il relit son papier avant la mise en presse il s’en fout de l’article sur la drogue. c’est plutôt la révision de l’article 37 qui l’intéresse parce que c’est là son gombo. Donc le reste c’est du remplissage. On va prendre des produit du PDEBB avant l’heure qui ne connaissent pas la différence entre un "a" et un "à" qui viennent remplir les pages pour qu’on sorte le papier.

    Je le répète, quels que soient vos complexes quant à la langue française, dites vous que les journaux ne servent pas qu’à nous informer, ils nous éduquent nos enfants et nous. Alors veillons à ce que nos enfants n’aient pas les mêmes problèmes avec la langue que nous.

    Personnellement il y a des journaux que je ne lis jamais, sauf malheureusement sur ce site parce que l’on ne peut pas faire de tri a priori.

    Allez donc voir la qualité de la langue dans J.J ou dans l’évènement. Vous saurez la valeur d’un journaliste.

    Bone sanse nous tous.

  • Le 5 février 2010 à 19:35, par YOOTO En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    OK ! Bien fait. Esperons tout simplement qu’ils ne resteront pas que deux semaines en lieu sûr. Rien n’est moins sûr dans ce pays d’intervention

    • Le 5 février 2010 à 22:56, par Ka teb Wita En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

      Bonnes gens, depuis des années, certains extraits de quotidiens traitant de questions en tous genres, sont proposés aux examens et concours tant ils sont qualitativement produits avec la rigueur intellectuelle et grammaticale qui sied !Il y a une année ou deux, une rubrique du journal "le pays" a été proposée au BEPC.Lorsque j’étais moi-même en terminale en 1983 , j’ai obtenu la note de 17/20 sur un devoir se rapportant à un commentaire de texte tiré du journal "Le monde Diplomatique" et écrit par la journaliste Sophie Bessis. Je suggère alors au web-master de "Lefaso.net", d’introduire, pour l’honneur, une proposition au journal "l’opinion" aux fins d’une reprise, en bon français, de l’élément incriminé, car il traite d’un phénomène qui pourrait faire l’objet d’un sujet d’examen ici au Faso ou ailleurs. Castigat ridendo mores !(On corrige les mœurs en riant)

    • Le 6 février 2010 à 12:27, par L’autre citoyen En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

      Merci à nos braves agents de la police pour l’opération apparemment réussie ! Cependant il ya fort à parier sur la suite de cette opération. Derrière ces petits bandits, il ya certainement des grands, car ce ne sont pas eux qui font rentrer cette droque de l’Amérique latine. La police des moeurs pourra-t-elle pousser les investigations jusqu’au bout de la chaine ? Je m’en doute.
      Quant au français de notre fameux journaliste, il n’est pas le seul responsable ;tout le journal en est responsable, car l’article est censé passer sous d’autres yeux avant d’être publié.

  • Le 5 février 2010 à 21:27, par Hamane En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    A mon avis, ce journaliste à moins de responsabilité dans la qualité de son écrit.
    quelle est la responsabilité de son directeur de publication ?
    moi, je pensais naïvement que la mission des directeurs c’était de nettoyer les coquilles de construire la renommée de leur journal. les fautes sont à partagées
    entre le journaliste, l’opératrice de saisie et le Directeur de publication.
    Merci pour cette information même si l’opinion reste un journal "gâteau"

  • Le 6 février 2010 à 00:14, par MBOYE En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    BRAVO à la police qui a fait un travail de professionnel. Ils sont à encourager. Et comme ont dit les uns et les autres, il faudrait que l’Etat mette des moyens afin qu’ils puissent faire leur travail convenablement. On dirait que les femmes sont plus dangereuses que les hommes maintenant dans le banditisme. Elles sont effrayantes.EBOMAF a intérêt à mettre de l’ordre en disposant bien ses dalles dans cette zone car elle est aussi responsable quelque part.

  • Le 6 février 2010 à 10:23 En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    la gestion de la cité est une question de gouvernance le maire doit prendre ses responsabilités en bon CDR comme nous l’avons connu depuis la révolution jusqu’à maintenant

  • Le 7 février 2010 à 21:31, par Achkar Joe En réponse à : Drogue et banditisme : Chasse à l’homme dans le projet ZACA

    Le français , quelle langue compliquée ! Quand on tient à écrire un article de presse pour un site d’une envergure internationale on prend soin de s’exprimer correctement !
    Cependant , concernant, les stupéfiants c’est un premier pas, mais sa reste léger. La drogue circule à tous les coins de rue , entre parents et même enfants, c’est un commerce rentable !
    Certes rentable , mais qui implique des problèmes de santé et de dépendance .
    En plus des campagnes contre le SIDA , ils devraient y avoir des campagnes de sensibilisation dans les lycées, collèges et universités. Nous connaissons le Crack un opiacé "violent", le Cannabis un chanvre , mais on n’oublie souvent l’alcool et la cigarette .
    Combien d’accidents et de décès sont dus à l’Alcool ?