Les élucubrations de Toégui : Le dernier pied de nez de Laurent Gbagbo à Blaise CompaoréLe duel des enfants terribles Quelque huit mois après la signature de l’accord de Ouagadougou entre protagonistes de la crise ivoirienne, Toegui desserre enfin les dents. Analyse du duel des présidents ivoirien et burkinabè qui viennent de réussir l’exploit de fumer le calumet de la paix. Et avec tout l’humour qu’on lui connaît. “Toégui ! Toujours Toégui ! Encore et encore ! Gnontoro ya bon ! J’avais décidé de ne rien dire. Puisqu’ils font tout sans moi, alors je reste dans mon coin. Et je n’aurais vraiment rien dit s’il n’y avait pas eu ce décret émanant du saint des saints, portant les 3 signatures les plus prestigieuses du Faso. Ce décret nommant un Ambassadeur, Représentant Spécial du Président du Faso, FACILITATEUR du dialogue Direct Inter-Ivoirien. Non, je ne peux plus me taire, trop c’est trop. Il faut enfin que je dénonce avec la dernière énergie ce pied de nez qu’un Enfant Terrible venu d’ailleurs est venu faire à notre Enfant Terrible - maison. Je vous l’avais dit, cette manie de ne point associer Toégui aux évènements va coûter cher un jour à la République. Il n’y a que moi pour débusquer les traquenards. D’abord ce doublon de deux Ministres assis sur l’unique siège de la Communication. Et maintenant ce décret de la plus haute importance rédigé en langage “NOUCHI” de Yopougon. Un coup fourré perpétré par un boulanger - pâtissier dont nous connaissions pourtant la réputation d’enfarineur. Débarqué à Ouagadougou - Tamsin dans le cadre de l’Accord Politique Inter-Ivoirien, lorsqu’il dévalait allègrement les marches de son avion de commandement, j’étais bien le seul à avoir décelé des traces de farine sur sa veste et sur ses mains. Mon petit doigt me dit alors que Laurent Koudou GBAGBO, Chef de l’Etat de Côte d’Ivoire, par ailleurs Enfant Terrible de Mama et boulanger-pâtissier reconnu, ne pouvait visiter les hommes du Pays Intègre sans se livrer à son sport favori : l’enfarinade. Mon petit doigt m’avait encore dit que malgré ses éclats de rire et ses tapes amicales à l’épaule, Laurent GBAGBO, Enfant Terrible de longue date, ne supporte pas, mais pas du tout alors qu’il y ait un autre Enfant Terrible sous d’autres cieux. Et il va le faire savoir. Les gens de Kosyam ignorent tout cela. C’est pourquoi ils n’ont point cherché à fouiller dans les bagages du Président Ivoirien. Ils auraient découvert ce sachet noir contenant de la farine et enfoui dans un sac à double fond. En l’absence de Toégui, Laurent GBAGBO eut donc les coudées franches pour “faroter” impunément à Ouaga 2000. Des l’entame des discussions, il prit sa plus belle voix et s’adressa à l’assemblée : « ...je déclare Blaise COMPAORE, FACILITATEUR du dialogue Inter -Ivoirien ... » un journaliste demanda alors d’un air suspect : « Monsieur le Président, FACITATEUR, voulez certainement dire Médiateur ? » Réponse de Laurent GBAGBO : « Non, pas d’amalgame... j’ai bien dit FACILITATEUR et non Médiateur. Il faut que ce soit clair pour tous. Blaise COMPAORE est mon ami personnel / je suis l’ami personnel de Blaise COMPAORE. Médiateur, arbitre, ...modérateur...ça c’est pour les Touaregs et les Togolais. En ce qui nous concerne, Blaise COMPAORE est FACILITATEUR. J’ai dit. » Un titre de gloire dans l’escarcelle Et les gens de Ouaga 2000 d’applaudir à tout rompre. Et personne n’a demandé à Laurent GBAGBO de préciser un FACILITATEUR se situait à l’échelon inférieur ou supérieur d’un Médiateur. Blaise COMPAORE lui-même, le nouvellement intronisé, était visiblement aux anges. Encore un titre de gloire dans son escarcelle : Président du Faso, Docteur Honoris Causa, Enfant Terrible et... FACILITATEUR. La nouvelle s’empara immédiatement du monde entier. On ne pouvait allumer un poste de radio ni de télévision sans que le mot FACILTATEUR ne vous saute à la gorge : Blaise COMPAORE le FACILITATEUR, le FACILITATEUR Blaise COMPAORE. Le mot a si bien pris qu’il a franchi aussitôt les frontières de la Francophonie. Une fois en effet j’ai entendu sur la BBC parler de « Blaise COMPAORE the FACILITATOR ... ». Il n’est pas, jusqu’au Conseil de Sécurité des Nations Unies qui ne se soit laissé prendre. Lors de leur dernière visite au Palais de Kosyam le Commandant en Chef des Casques Bleus en Côte d’Ivoire et le Commandant de la Force Licorne, tous deux du grade de général de division, ont déclaré ceci à la presse : « ...Nous sommes venus exposer les faits au FACILITATEUR » Le nouveau mot, commence même à faire des émules. Au plan local, Monsieur Léonce KONE, DG de la Banque Agricole et Commerciale du Burkina, a été proclamé FACILITATEUR dans je ne sais plus quelle chose dans les Cascades. Hors de chez nous, un Général Algérien vient d’être nommé FACILITATEUR dans le conflit opposant les Touaregs au gouvernement Malien. Ça va vite avec GBAGBO. Au point qu’on n’entendait presque plus l’expression “l’Enfant Terrible de Ziniaré”. En dépit du tapage qui en était fait autour, le mot FACILITATEUR m’était inconnu mais je n’osais point m’informer de crainte de faire étalage de mon inculture. Je connais les gens de OUAGA. Ils diraient : « ...toi aussi Toégui, tu ne sais pas ce que veut dire FACILITATEUR ? Un mot si élémentaire...si facile ?... » Oui, mais la réalité est que ce mot était vraiment nouveau pour moi. FACILITATEUR...qu’est-ce que cela voulait bien signifier ? Alors je mis en branle la qualité première d’un élucubreur. J’allai consulter le dico. Le Larousse et aussi le Robert. Et savez-vous ce que je découvris sur le FACILITATEUR ? Rien ! Je ne découvris rien parce qu’il n’ y avait rien à découvrir. Vous ne comprenez pas ? Voilà, dans les dictionnaires de langue française, il n’ y a pas plus de mot FACILITATEUR que de mot ELUCUBREUR. En d’autres termes, le mot FACILITATEUR n’existe nulle part. C’est un mot pour rien parce que n’étant pas français. C’est ça le coup de GBAGBO. A vos dicos ! Vous saurez qu’en Français de France, une personne choisie pour faciliter la fin d’un conflit entre frères antagonistes n’est point un FACILITATEUR. De même, un malotru dont le métier est d’élucubrer n’est pas un ELUCUBREUR. Excepté Toégui. Le français est difficile, mais c’est le français. L’impérialisme ivoirien Il ne manque vraiment pas du toupet leur Enfant Terrible de Mama : débarquer chez nous, nous rouler dans la farine en affublant notre Enfant Terrible d’un titre qui ne veut rien dire. Et cela sous les lambris de notre Ouaga 2000, face aux projecteurs du monde entier. Puis reprendre tranquillement son avion comme si nous n’avions pas d’Enfant Terrible. A la barbe de Djibril BASSOLET Ministre des Affaires Etrangères stagiaire. Tiens, et si Youssouf avait été là ? Peut être bien que ce mot FACILITATEUR ne serait pas passé. Un mot nouveau, créé de toutes pièces, juste pour les besoins d’un accord politique. Il est vrai que les voisins Ivoiriens sont maîtres dans la fabrication de mots français inconnus de l’Académie Française. C’est vrai aussi que les Burkinabé que nous sommes avons de tout temps subi l’impérialisme Ivoirien en utilisant béatement le langage des “Bramogos” d’Adjamé. La go...le gaou....le grotto....le décalement ...le fuka -fuka....Tant de mots en vogue dans nos kiosques - maquis et autres “Jardin du Maire”. Pourtant, avec des créateurs talentueux tels que Missié Goama, Nobila Cabaret et Sacré Seydou OUEDRAOGO. Nous pourrions nous aussi exporter des mots de notre cru : le SENMAFOUTISME, le TRAGUIMANATION, le KINKAYIKA....et... MALCAUSEUR, pourquoi pas. Sans doute vous dites-vous que je me fais du mouron pour peu de chose... Et qu’à mon habitude je me livre à des élucubrations ...et qu’il n’ y a rien au village. Mais réfléchissez un peu, la situation n’est pas aussi simple. Voyons : puisque le texte de l’Accord Politique Inter-Ivoirien est rédigé en français....et puisque le mot FACILITATEUR n’existe pas dans cette langue, chacune des parties est encline à lui donner la définition qu’elle veut. Pour les uns, le FACILITATEUR œuvre à ramener la paix et l’entente entre des belligérants. Pour les autres, le FACILITATEUR est une personne, qui dès qu’elle aperçoit un feu naissant, s’empresse de verser du pétrole dessus. Un Enfant Terrible et un Enfant Terrible. Une amitié née bien avant leurs accessions respectives au trône suprême. Avaient-ils eu soudain envie de sensations fortes ? Toujours est-il que l’année dernière seulement, ils jouaient à se faire peur : tu m’enfarines, je t’enfarine. A ce jeu, Laurent GBAGBO mène aux points depuis qu’il est venu à Ouaga 2000, auréoler Blaise COMPORE d’un titre sorti de son imagination. Un but pour l’Enfant Terrible de Mama (Mama ou Ouragahio). Rien pour l’Enfant Terrible de Ziniaré. Victoire acquise à l’extérieur comme dirait Alexis KONKOBO. Mais, enfarinade pour enfarinade, Laurent GBAGBO ne perd rien à attendre. Notre garçon s’y connaît aussi en enfarinade. Les gars de la CNPP ne diront pas le contraire. Ceux du défunt OBU non plus. Notre garçon n’est-il pas du genre à donner deux coups pour un ? Nous pouvons donc compter sur lui pour laver l’affront de Ouaga 2000. Et la revanche aura lieu à Mama. A Mama ou à Ouragahio mais pas à Cocody. Et le monde entier saura qu’entre un Enfant Terrible et un Enfant Terrible le plus Enfant Terrible est bien celui qu’on croit. Toi-même tu sais ! Qui est plus boulanger que qui ? ......... Mais ne vous y trompez pas. Ce duel entre Enfants Terribles, c’est du chiqué. C’est comme au catch. En réalité, ce qui unit Laurent GBAGBO et Blaise COMPAORE est plus fort que ce qui les sépare. La prochaine fois qu’ils apparaîtront côte à côte sur votre petit écran vous verrez combien ils s’aiment. Avis à Maître YAMEOGO. A présent, cramponnez-vous à votre siège. Je vais vous faire une révélation. La révélation du siècle qui va changer votre vie. Voilà, moi Toégui, j’ai été intronisé Enfant Terrible. Et je vous assure, ça m’est tombé dessus, de par la seule volonté des Mages de mon village. Et c’est sans appel. Avant l’imigration gambagalaise Voici mon histoire. Il faut d’abord que je vous dise d’où je viens. Je suis né à Loghin -sur - Sourou, à cent lieues de l’Oubritenga. Mon village est situé à équidistance de Toma Beach et de Tougan City dans le Samogo Faso. Si vous passez par là-bas vous verrez à l’entrée un panneau géant portant l’inscription suivante : « Loghin -sur -Sourou, ce village a aussi un Enfant Terrible ». Lorsque ce matin de bonne heure, des envoyés spéciaux vinrent me faire savoir que Nagoulé avait besoin de moi à la maison je compris tout de suite que quelque chose de très important se préparait. Il y a cinq jours en effet j’avais reçu un signe annonciateur : une tourterelle aux ailes blanches perchée à ma fenêtre, je sais ce que c’est. Nagoulé est la Tipoko de mon village. Pour ce qui est de dire et de prédire, de voir et de prévoir, Tipoko de Laye ne lui arrive pas à la cheville. Elle consulte à l’aide de calebasses et d’écuelles datant du 1er siècle avant l’immigration Gambagalaise. Elle a également à son service une cinquantaine de souris voyantes. En examinant les traces des rongeurs sur du sable dans un angle de sa maison, la prêtresse y voit le passé comme dans un miroir. Non, plutôt comme dans une télé. Je répondis à l’appel de Nagoulé. A mon arrivée, la prêtresse officiait dans la case située à l’angle gauche de sa concession. Dans cette maisonnette siège “KOODI” le fétiche millénaire transféré du Mosstenga au Samogo - Faso à l’arrivée des envahisseurs du Gambaga. Trois carcasses de mouton étaient étalées sur une peau de vache tannée. Nagoulé venait d’offrir un sacrifice à “KOODI”. Quand elle eût fini son culte elle alla dans sa maison et me fit entrer. Trois vieillards étaient présents et me dévisageaient attentivement. Nagoulé prit la parole. Loin de Bassawarga et de Mosstenga Je bus le contenu de la calebasse jusqu’à la lie Après la dernière gorgée, quelques minutes s’écoulèrent. Je restai silencieux l’air hagard. Je n’avais aucun désir de parler. Nagoulé et les trois mages m’auscultaient attentivement en silence. Ils avaient l’air d’attendre une réaction de ma part. Soudain, la chose m’envahit. Je sentis tout mon sang qui bouillonnait en moi. On aurait dit qu’un tsunami s’était produit dans mon corps entier, de la tête aux pieds. Je voyais trouble, comme à travers un brouillard. Mes jambes commencèrent à vaciller, et je tombai dans les pommes. A mon réveil, je me mis débout d’un seul bond. Je me sentais en forme aussi bien que Boum-Boum à la belle époque. J’étais complètement métamorphosé. Pour tout vous dire, je n’étais plus votre homme Toégui. A croire qu’on m’avait greffé le cœur de dix lions. J’avais envie d’en découdre avec tout le monde. Envie de tout casser, d’aller au Darfour et régler leur compte aux Djendjawitt..d’aller bouffer du Bagnanmoulengué au Sud Kivu. Envie de me retrouver en Irak, en Afghanistan. Ne tenant plus, je formai le poing et de toutes mes forces je donnai un coup au mur. Fichtre ! Le mur m’a semblé aussi doux que du coton. Et mon sang continuait de bouillonner. Cogner, cogner, je ne voulais que cogner. Heureusement que j’étais ici loin de Bassawarga et du Mosstenga. Si j’avais été à Simon Yiri, j’aurais sûrement fait un malheur. Au point où j’en étais, je n’étais plus capable de faire la différence entre un beau parleur et un mal causeur. J’aurais cogné dans le tas sans discernement. Et si d’aventure je croisais Basile-la kalach au siège du CDP... Je m’apprêtais à donner un coup de tête contre le mur quand me parvint la voix douce de la prêtresse Nagoulé. Laissez donc la pauvreté tranquille ! Avec moi donc, rien ne sera plus comme avant. Fini, les mots d’ordre du genre “8000 villages, 8000 maquis”. Terminé, les kermesses à la Maison du Peuple et les discours insipides du représentant des jeunes, de la représentante des femmes, du représentant des anciens. Pas de TONTONS de Toégui, pas de TANTIES de Toégui. Les TANTIES au fourneau. Plus de chefs-marcheurs, donc par conséquent plus de marcheurs. Les Naabas parlant français à la télé c’est terminé. Non à “Tradition et Modernité”. “Tradition ou Modernité” ! Il faut choisir. Avec Toégui, un autre monde sera possible. J’aurai néanmoins mes ABC. Que de gros bras ....fouet en main, dans des débardeurs portant l’inscription : « Les Amis de Toégui ». Ils auront pour mission de faire appliquer ma feuille de route. Les lundi, ils se posteront sur le pont du barrage n°1. Tout habitant de Kilwin, de Tampoui, de Paul VI, de Yagma, de Pabré, se rendant au centre-ville sera soumis au supplice du fouet. Les mardis, les Amis de Toégui seront sur le pont du barrage n°3 : 10 coups de fouet à ceux de Kossodo, de Somgandin, de l’Abattoir Frigorifique se dirigeant vers Yalgado. Puis ce sera au tour du Rond-point de la Patte d’Oie pour les quartiers sis à l’Est, à l’Ouest et au Sud de Ouaga 2000. Ainsi tous les quartiers de Simon - ville seront soumis à la séance de fouettement à tour de rôle. C’est le prix à payer jour qu’un autre monde soit possible. Les Ouagalais ne veulent pas qu’on les caresse dans le sens du poil. Ils veulent être mis au pas. Alors les Amis de Toégui seront impitoyables avec les adeptes de la lutte contre la pauvreté. Lutte contre la pauvreté ! Laissez donc la pauvreté tranquille. Enrichissez-vous. Comment ? Mais en créant des ONG et des Associations d’aide aux pauvres tout simplement. Désormais aussi, gare à ceux qui crieront : « VIMA YA KANGA ! VIMA YA KANGA ! » Ils seront mis au cachot sans autre forme de procès. VIMA YA KANGA ! VIMA YA KANGA ! On vous a dit que ne vit pas au Faso qui veut mais qui peut. Au trou ! Et plus vite que ça. Réflexion faite, je crois que je vais conserver les TANTIES. Mais je les prendrai plutôt TANTINETTES que franchement TANTIES. L’utile à l’agréable ? Appelez ça comme vous voulez, mais en tout cas pour intégrer le bataillon des TANTIES de Toégui, il faudra avoir toutes ses dents. Mon Dieu, que je suis idiot : « Mossiterie des Mossiteries, tout est Mossiterie ». Charles GUIBO PS1 : Il y a une semaine, à New-York, à l’occasion de l’Assemblée Générale des Nations Unies au cours de laquelle il a demandé la levée de l’embargo sur les armes qui frappe son pays, un journaliste a demandé à Laurent GBAGBO s’il savait que l’opinion publique lui avait attribué le surnom de “BOULANGER”. Et Laurent GBAGBO de répondre dans un éclat de rire : « Oui je le sais, on me nomme, LE BOULANGER. On dit même que j’aime rouler mes adversaires dans la farine. Mais c’est bien. Tant pis si ceux d’en face se laissent rouler dans la farine. Cela prouve que je fais bien mon travail. On m’a élu pour rouler les gens dans la farine ». PS2 : Dans mes élucubrations, j’ai bien dit que j’ai été intronisé Enfant Terrible. Gens de Ouagadougou, de grâce n’allez pas raconter à la ronde que j’ai été intronisé “CHEF DE TERRE”. Je suis élucubreur, mais je ne suis pas un élucubreur idiot. D’ailleurs pour éviter toute équivoque, je rectifie le tir. Ne m’appelez plus Enfant Terrible. Je ne suis plus Enfant Terrible. Maintenant mon nom est ENFANT TERRIBLE PAALGA. Donc, il y a l’Enfant Terrible et l’Enfant Terrible Paalga. Leurs chemins ne doivent pas se croiser...pour que les vaches du Faso soient bien gardées. D’ailleurs si vous me regarder, est-ce que je ressemble à un Enfant Terrible ? Lui, c’est lui. Moi c’est moi. Autre chose : à la vérité je me dois de vous dire que je n’ai pas encore consulté l’édition 2008 du Larousse. Ce mot FACILITATEUR...peut être bien que .... Observateur Paalga |