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Intégration des TIC dans l’enseignement secondaire : Vers l’adoption d’un véritable plan d’action

mercredi 9 mai 2007.

 

L’Institut international pour la communication et le développement (IICD) et la Direction générale des inspections et de la formation des personnels de l’éducation (DGIFPE) ont conjointement organisé, le vendredi 27 avril 2007, un atelier de validation de projet des programmes d’intégration des Technologies de l’information et de la communication (TIC) dans l’enseignement secondaire au Burkina Faso.

Faire en sorte que les Technologies de l’information et de la communication puissent intégrer les établissements d’enseignement secondaire, tel a été le but visé par cet atelier organisé par l’IICD et la Direction générale des inspections et de la formation du personnel (DGIFPE), vendredi 27 avril 2007 à Ouagadougou.

A cet effet, une trentaine de participants issus des domaines de l’enseignement et des technologies de l’information ont planché sur quatre axes principaux élaborés lors de la table ronde de Loumbila tenue du 18 au 21 juillet 2006. Ces axes se rapportent essentiellement, à l’amélioration du développement des contenus et matériels pédagogiques, à l’amélioration de la gestion administrative et pédagogique du sous système de l’enseignement secondaire, à la formation initiale et continue des enseignants, à l’intégration des TIC dans les établissements secondaires.

Au vue de cette donne, le conseiller technique du MESSRS, Loya Kako a affirmé que la question ne se pose plus de savoir s’il faut intégrer les TIC dans l’enseignement, notamment secondaire, mais comment le faire efficacement, mieux, de façon efficiente. Pour y parvenir selon lui, « toutes les initiatives devraient à terme concourir à l’élaboration et à l’adoption d’un véritable plan d’action sur l’introduction des technologies de l’information et de la communication dans le système éducatif burkinabé ».

Quant au directeur général des inspections et de la formation des personnels de l’éducation Oumarou Sawadogo, il a dit espérer que les résultats de cet atelier contribueront à alimenter la stratégie nationale d’« e-éducation » en train d’être mise en place par le ministère des Postes et des Technologies de l’information et de la communication (MPTIC) pour le volet de l’enseignement secondaire.

Daouda Emile OUEDRAOGO

Sidwaya