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Burkina Faso-Côte d’Ivoire : Rencontre entre les ministres de la Défense à Niangoloko

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vendredi 19 avril 2024.

 

Conformément à l’annonce faite il y a deux jours, les autorités du Burkina Faso et de la Côte d’Ivoire se sont rencontrées ce vendredi 19 avril 2024 à Niangoloko, rapporte l’Agence d’information du Burkina (AIB).

Ce sont les ministres de la Défense des deux pays, le général Kassoum Coulibaly et son homologue ivoirien Tèné Biraîma Ouattara, qui ont eu ce tête-à-tête à la frontière entre les deux pays.

Pour le moment, rien n’a filtré de cette rencontre inédite. Le profil des deux ministres porte à croire qu’ils ont parlé de la question sécuritaire.

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Messages

  • Fallait donc que la cote d’ivoire a son tour arrete deux militaire burkinabé pour que cette rencontre ai lieu ?franchement je ne comprend pas cette attitude.C’est comme si la cote d’ivoire savait que tot ou tard le burkina commettrai une erreur et cest ce qui s’est passé.pffff !!!

    • Porto, il faudra que vous evitez les speculation ideologue et Felicité les deux autorités pour leur grandeur d’esprit.

    • En réalité c’était prévisible pour qui connait les réalités à ces différentes frontières au Nord, à l’est et à l’ouest. Il faut enlever la politique haineuse dans le règlement de ces genres d’incident. Ça pollue inutilement la paisible cohabitation entre nos pays et par delà nos peuples. Les hommes passent et les pays demeurent

  • Porto

    du calme. Les circonstances ne sont pas pareil. Avant les deux gendarmes ivoiriens, il ya eu des militaires et policiers ivoiriens arrêtés au Burkina et libérés sans difficulté ; Les gendarmes étaient à des kilomètres de la frontière et en plus dans un site d’orpaillage clandestin. Même arrivés dans leur pays, ils auront à répondre à leur hiérarchie à moins qu’ils ne soient allé pour une mission spéciale de leur pays.

  • Porto

    du calme. Les circonstances ne sont pas pareil. Avant les deux gendarmes ivoiriens, il ya eu des militaires et policiers ivoiriens arrêtés au Burkina et libérés sans difficulté ; Les gendarmes étaient à des kilomètres de la frontière et en plus dans un site d’orpaillage clandestin. Même arrivés dans leur pays, ils auront à répondre à leur hiérarchie à moins qu’ils ne soient allé pour une mission spéciale de leur pays.

  • Pour les militaires Burkinabè c’était une erreur, mais pour les militaires ivoiriens c’était intentionnel, de la provocation, de la déstabilisation

  • Oh, les Burkinabè spécialistes en toutes sciences autour de la bière fraîche ! C’est justement parce qu’on se comporte ainsi que nous avons laissé le pays entre les mains d’un certain Blaise COMPAORE pour qu’il en fasse ce que nous vivons aujourd’hui ! Quand nous comprendrons que le monde qui nous entoure s’en fout de nos états d’âme et qu’il faut se défendre à tout moment, on fera mieux !

  • Nul doute que ces 2 frères de Sindou accorderont définitivement leurs violons pour le bonheur de leur population respective. Ya rien dans les bras de fer inutile entre deux peuples frères contre lesquels de maudites frontières ont été tracées au point de séparer même 2 concessions dont chaque moitié se retrouve dans un autre pays. Bravo à vous.

  • On rit seulement. Le grand frère envoie le petit frère recoller les morceaux avec leurs terres d’origine. Le problème est que leur logiciel est formaté.

    • Bravo. La paix n’est pas un vain mot, c’est un comportement. La côte d’ivoire a la sagesse. Le Burkina Faso ne gagne rien avec un bras de fer inutile. Les peuples veulent la paix. Arrêtez les spéculations en tout genre.

    • Tu vois ? La côte d’Ivoire a la sagesse mais le Burkina non ? Tu sais très bien qu’il n’y a pas un peuple plus sage dans la sous région que le peuple Burkinabè ! Nous sommes humbles, travailleurs, respectueux et intègres. Ce n’est pas un Ivoirien qui dira le contraire. Mais si la nature a voulu que nous soyons défavorisés et que le Colon Français avait fait de la Haute Volta une terre de main d’oeuvre, et que par conséquent nous nous sommes retrouvés à cultiver le cacao, le café, l’hévéa, etc chez vous en RCI, il ne faut pas être irrespectueux à notre égard. Aujourd’hui, qu’est ce qui fait mal à la RCI ? Le fait que nous soyons confrontés à des attaques djiadistes pernicieuses, que nos autorités militaires prennent des mésures sans précédent de souveraineté, de rupture avec le colon envahisseur, et se battent pour nous donner la sécurité et la dignité, est il un péché ? La RCI et le Burkina sont des pays siamois mais n’ont pas les mêmes problèmes ! Nous sommes le concentré de plusieurs malheurs et devons nous battre contre l’austérité même de la nature. Et pire aujourd’hui, contre des maniaques financés par les Occidentaux pour nous mettre à génoux afin qu’eux continuent de nous piller. Il faut savoir lire l’histoire et l’actualité pour former son jugement et interpreter les comportements et les actions des autres. Il ne suffit pas d’aller manger paisiblement son attiiéké poisson et venir insulter le peuple Burkinabè contraint de faire face à des adversités de tous ordres ! Nous sommes bien sages et avons choisi le chemin du sacrifice historique pour inventer un avenir différent de ce que nous vivons aujourd’hui. Cela est-il un péché au point de nous faire détester par un voisin ? C’est quoi le problème ?

  • Peu importe l’es circonstances.,cette rencontre était nécessaire. Je ne comprend même pas pourquoi depuis tout ce temps, nous n’avons pas envoyé une mission de haut niveau en Côte-d’Ivoire,pays auquel nous sommes liés par un cordon ombilical : ça ne peut pas s’effacer du jour au lendemain. Nous sommes à plat ventre devant Assmi Goita qui n’a pas encore daigné nous rendre visite. L’ego démesuré de IB ne lui inspire pas un comportement d’homme d’état. C’est à corriger

  • ASSIMI a des combattants capables de nous La cote d’Ivoire même va traiter un jour avec le MALI si elle veut des armes.

    • Rassurez cher monsieur. La Côte d’Ivoire n’a pas besoin des armes du Mali. Si elle en a besoin, elle sait où s’en procurer. C’est peut être le BF qui a besoin des armes du Mali, mais pas la Côte d’Ivoire.
      Compliqué à comprendre ou vous faites partie de ceux qui disent que c’est le Mali qui vend de l’électricité à la Côte d’Ivoire ?