Retrait Burkina-Mali-Niger de la CEDEAO : « La commission de la CEDEAO n’a pas encore reçu de notification formelle » (Communiqué)Ceci est un communiqué de la Commission de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) relatif au retrait du Burkina Faso, du Mali et du Niger de l’espace communautaire. Elle promet de faire de nouvelles déclarations à mesure que la situation évolue. COMMUNIQUÉ L’attention de la Commission de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Commission de la CEDEAO) a été attirée sur un communiqué diffusé sur les télévisions nationales du Mali et du Niger annonçant la décision du Burkina Faso, du Mali et du Niger de se retirer de la CEDEAO. La Commission de la CEDEAO n’a pas encore reçu de notification formelle directe des trois États membres concernant leur intention de se retirer de la Communauté. La Commission de la CEDEAO, sous la direction de l’Autorité des chefs d’État et de gouvernement, a travaillé assidûment avec ces pays pour la restauration de l’ordre constitutionnel. Le Burkina Faso, le Niger et le Mali restent des membres importants de la Communauté et l’Autorité reste déterminée à trouver une solution négociée à l’impasse politique. La Commission de la CEDEAO reste saisie de l’évolution de la situation et fera de nouvelles déclarations à mesure que la situation évolue. Abuja, le 28 janvier 2024 |
Vos commentaires
1. Le 28 janvier à 18:43, par Burkinabe En réponse à : Retrait du Burkina - Mali - Niger de la CEDEAO : « La commission de la CEDEAO n’a encore reçu de notification formelle » (Communiqué)
Qu’est-ce que la toute la puissante CEDEAO craint jusqu’à ce point pour se précipiter et faire une telle déclaration ? Ça sent le roussi et le hibou de Abuja est secoué dans ses entrailles ! Les peuples martyrisés vont se révolter et vont balayer ses dirigeants fantoches et fantomatiques ! Après les États de l’AES, d’autres pays vont bientôt quitter cette merdique CEDEAO devenue en 50 ans, un outil de.torture pour les peuples qui luttent pour leur survie physique et économique ! Honte à la CEDEAO !
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2. Le 28 janvier à 18:53, par Article 37 En réponse à : Retrait du Burkina - Mali - Niger de la CEDEAO : « La commission de la CEDEAO n’a encore reçu de notification formelle » (Communiqué)
Depuis que les militaires sont arrivés au pouvoir, il y a des avancés dans la lutte contre les terroristes, un pas en avant un pas en arrière contre la corruption.
Nous attendons plus sur le plan sécuritaire et non le plan diplomatique. Ces institutions qui existent avant que certains ne naissent même. Cela nous sortira-il de la crise ou augmentera t’il la crise entre les états voisins.
Au moins il n’y aura plus d’élection avec le calendrier CEDEAO.
Que la paix revienne dans nos pays. Impérialisme, colonialisme, AES, CEDEAO, UEMOA, UA, le fils de Goama ne veux qu’une situation de paix.
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3. Le 28 janvier à 19:07, par Anaarchiqqukement En réponse à : Retrait du Burkina - Mali - Niger de la CEDEAO : « La commission de la CEDEAO n’a encore reçu de notification formelle » (Communiqué)
Mr de la CEDEAO, Vladimir saura vous communiquer aux noms de ses valets l’objet de cette séparation. Il apparaît certainement que la dénazification de l’espace Ouest Africain faisant partie de ses préoccupations dès son avènement au pouvoir en 1999. Mr Poutine vous apportera donc ultérieurement les éclaircissements nécessaires pour votre compréhension de la situation, et du changement d’impérialiste dominant dont fait l’objet l’AES.
Il s’excusera également pour son absence de soutien durant les 24 années précédentes de son règne.
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4. Le 28 janvier à 19:08, par Conscience africaine En réponse à : Retrait du Burkina - Mali - Niger de la CEDEAO : « La commission de la CEDEAO n’a encore reçu de notification formelle » (Communiqué)
Mort à la CEDEAO, vous êtes des réactionnaires pro-impérialistes impénitents vomis par vos peuples respectifs. Vos pays sont des officines de l’occident néocolonial. Certains d’entre vous sont carrément des vendus, incapables de prendre une décision de façon autonome sans se rendre chez le petit maitre impérialiste. Invitons tous les peuples africains à se rebeller contre ces potentats tricheurs de constitution pour perdurer.
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5. Le 28 janvier à 19:17, par Ka En réponse à : Retrait Burkina-Mali-Niger de la CEDEAO : « La commission de la CEDEAO n’a pas encore reçu de notification formelle » (Communiqué)
Pour une fois je suis pour la dissolution de cette institution qui reste une chose pour ADO et compagnie et qui se dégonfle a chaque fois qu’elle doit prendre des décisions fermes pour le bien être des pays membre. Ce que je regrette, ’’’’’’c’est que pour quitter une institution comme la CEDEAO, il y a des règles a suivre que de jouer le méthode Rambo.’’’’’’
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6. Le 28 janvier à 19:23, par Yaya En réponse à : Retrait Burkina-Mali-Niger de la CEDEAO : « La commission de la CEDEAO n’a pas encore reçu de notification formelle » (Communiqué)
Bonsoir
Je soutiens la transition dans sa lutte contre le terrorisme à 100%. Je la soutiens pas dans la décision de quitter la CDEAO. Dans ce sujet il faut d’abord consulter le peuple ; il est d’accord on quitte, sinon on reste. Je ne suis pas d’accord pour cette décision unilatérale de quitter une instance telle que la CDEAO. Désolé mais ça ne passe pas pour moi. Consultez le peuple s’il vous plaît.
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7. Le 29 janvier à 02:17, par Sans rancune En réponse à : Retrait Burkina-Mali-Niger de la CEDEAO : « La commission de la CEDEAO n’a pas encore reçu de notification formelle » (Communiqué)
Telles des sœurs siamois, lisez ce que disait en janvier 2023 la France de Macron (1) et le copier-coller la CEDEAO le 28 janvier 2024 (2) sur certains sujets dignes d’intérêts :
1) A propos du départ des troupes militaires françaises stationnées au Burkina Faso
Le président français Emmanuel Macron a dit dimanche attendre "des clarifications" de la part du Burkina Faso sur une éventuelle demande de départ des troupes françaises stationnées dans le pays dans un délai d’un mois.
Evoquant "une grande confusion" dans les informations qui ont circulé depuis samedi à Ouagadougou, Emmanuel Macron a expliqué vouloir attendre que le président de transition Ibrahim Traoré "puisse s’exprimer". "Je pense qu’il faut garder beaucoup de prudence", "nous attendons des clarifications de la part de M. Traoré", a-t-il ajouté lors d’une conférence de presse franco-allemande à Paris.
2) Au sujet du retrait des pays de l’AES de la CEDEAO :
La Commission de la CEDEAO n’a pas encore reçu de notification formelle directe des trois États membres concernant leur intention de se retirer de la Communauté.
Conclusion :
Mêmes mois de janvier, mêmes bêtises !
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8. Le 29 janvier à 07:23, par Article 37 En réponse à : Retrait Burkina-Mali-Niger de la CEDEAO : « La commission de la CEDEAO n’a pas encore reçu de notification formelle » (Communiqué)
La CEDEAO est une institution où quelques membres minoritaires ont décidé de claquer la porte au nom de leurs compatriotes. Ces compatriotes à qui on a décidé d’imposé la manière de vivre, de manger et de penser.
Il est clair que c’est le calendrier électoral qui pose problème. Quitter va créer plus de problèmes que de les résoudre. Au cas les pays de l’UEMOA ne nous faciliteraient pas l’accès à leur littoral, il va rester la Guinée de la CEDEAO. Au moment où le Maroc frappe à la porte de la CEDEAO, nous on claque la porte à l’heure de la constitution des grands ensembles.
On les sent venir, bientôt venir avec des réformes qui ne sont celles de reconquérir les territoires occupés : révision des constitutions, suppressions d’institutions, création d’institutions dont certaines personnes détiennent les secrets, des assemblées de transitions où les votes se font à l’unanimité.
Qui dira la vérité à ces hommes en treillis, dont les civils semblent devenus otage.
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9. Le 29 janvier à 07:28, par Article 37 En réponse à : Retrait Burkina-Mali-Niger de la CEDEAO : « La commission de la CEDEAO n’a pas encore reçu de notification formelle » (Communiqué)
Ablassé OUEDRAOGO, même s’il ne fait pas l’unanimité avait dit que le titre foncier du Burkina n’appartient à personne. De plus en plus le Burkina qui proclame sa souveraineté est devenu une sous préfecture malienne.
Les gens savent que l’union fait la force, mais qui quittent la CEDEAO. La prochaine crise risque d’être la décision des citoyens. Le Burkina, le Mali et le Niger ont toujours été des états pacifiques où les populations malgré leur misère vivaient comme de rien n’était jusqu’à ce que les juntes découvrent qu’elles sont les solutions. Depuis qu’elles sont au pouvoir, la question est de savoir si la vie du citoyen lamba s’est améliorée. Ces indicateurs ne sont pas connus.
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10. Le 29 janvier à 07:32, par Kekule En réponse à : Retrait Burkina-Mali-Niger de la CEDEAO : « La commission de la CEDEAO n’a pas encore reçu de notification formelle » (Communiqué)
Faudrait surtout pas que la CEDEAO cède aux intimidation de ces putschistes qui ont pour objectif de s’éterniser au pouvoir.ils sont passés juste à côté de la plaque car incapable de résultats par rapport à leur objectif premier c’est à dire lutte antiterroriste ils veulent juste manipuler le peuple en les retournant contre la CEDEAO sans au préalable poser un diagnostic concret des conséquences énormes qui peseraient sur leur population.chacun sera jugé sur ceux pourquoi il a pris le pouvoir et non sur le fait de se retirer de la CEDEAO.
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11. Le 29 janvier à 11:01, par Opinion En réponse à : Retrait Burkina-Mali-Niger de la CEDEAO : « La commission de la CEDEAO n’a pas encore reçu de notification formelle » (Communiqué)
Pour tous le respect que l’on vous doit, réparer l’avion en panne et venez chercher la notification formelle au secrétariat. L’agent de liaison est en congé. Rendez nous nos biens et cela vous ferez moins de distance à parcourir au regard de la vétusté de vos avions. Merci pour votre compréhension.
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12. Le 29 janvier à 11:11, par TANGA En réponse à : Retrait Burkina-Mali-Niger de la CEDEAO : « La commission de la CEDEAO n’a pas encore reçu de notification formelle » (Communiqué)
Une communauté crée pour s’entraider pour puis se fusionner, quand elle se mue en instrument d’oppression dirigée par une poignée qui se dit super puissant, alors on peut la quitter sans préavis.
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Le 30 janvier à 22:14, par Anaarchiqqukement En réponse à : Retrait Burkina-Mali-Niger de la CEDEAO : « La commission de la CEDEAO n’a pas encore reçu de notification formelle » (Communiqué)
Et oui Tanga, c’est ainsi que va le Monde. Le pauvres faibles que nous sommes travaillent dur pour subsister, pendant que les riches et puissants profitent de nous. Il en à hélas toujours été ainsi ! Et rien n’a changé où que se soit !
Ce qui demeurent malheureux c’est que la faiblesse des miséreux ne réside pas dans leurs manques de fortune, mais dans leurs manque de recule, perceptions et autres considérations face à ce Monde qui les entoure.
Il est bon de jubiler lors que l’on abat les murs pour reconstruire ensuite. Néanmoins en l’absence de plans ou de projets cela relève seulement de la destruction ce qui est facile et quelque peu aventureux.
A l’issue, qui restera aux champs dans la poussière et qui restera sur le fauteuil Louis XV doré à la feuille d’or ?
Dites moi ? Cher Tanga...
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