Les présidentiables en imagesBlaise COMPAORE, candidat du CDP, AMP, ADF/RDA, UDPI... Blaise Compaoré est né le 3 février 1951 à Ouagadougou. Il est l’aîné des sept enfants de Bila Maurice Compaoré et de Tiga Thérèse Bougouma. Engagé dans l’Armée française en 1934, le père rentrera au pays en 1947, où il exercera la fonction de garde républicain. Avec ses frères et sœurs, Blaise Compaoré passe une enfance heureuse entre Ziniaré et Boromo. Il se souvient encore des parties de chasse qu’il effectuait avec son père, et de la grande affection dont la mère entourait ses enfants. Blaise Compaoré entame l’école primaire à Guiloungou (Ziniaré). Plus tard, il entre au Collège Saint-Joseph des missionnaires à Fada Ngourma, puis à l’Ecole normale de Ouagadougou, à partir de la Seconde. Brillant, il décroche le Bac D en 1972. Les succès scolaires du jeune Blaise cachent mal son tempérament quelque peu turbulent. Il s’est souvent retrouvé à la tête de mouvements de défense des droits des élèves. A la suite d’une manifestation de collégiens en 1971, il est enrôlé d’office dans le contingent spécial de l’Armée, en guise de correction. Il se retrouvera très rapidement affecté à la garde du domicile du Président de la République, Aboubacar Sangoulé Lamizana. La punition sera plutôt une aubaine pour le garçon qui depuis longtemps, rêvait du métier des armes - influence de son père oblige. En septembre 1973, il réussit au concours d’entrée de l’Ecole militaire Interarmes du Cameroun. Pendant les années suivantes, son activité professionnelle au pays sera entrecoupée par de nombreux stages à l’extérieur : spécialisation à l’Ecole d’infanterie de Montpellier ; stages d’instructeur commando à Montlouis, à Collioures et à Munsinghem en Allemagne, à Briançon et à Montgenèvre ; stage dans les Troupes aéroportées de France ; stage d’instructeur parachutiste à Rabat. Affecté à la Compagnie d’intervention aéroportée (CIA) de Bobo-Dioulasso en mai 1978, Blaise Compaoré rejoint Ouagadougou deux ans plus tard, pour occuper la fonction d’aide de camp du chef d’Etat major des Armées. En janvier 1981, il prend la tête du Centre national d’entraînement commando (CNEC) de Pô. Au début de l’année 1982, il effectuera un nouveau stage à Pau (France), pour se perfectionner au métier d’officier para. La même année, il gagne ses galons de capitaine. Blaise Compaoré est marié à Chantal Terrasson. Il est père d’une fille, Djamila Imani. Il est connu pour sa grande passion pour le sport, dont il a pratiqué plusieurs disciplines : le basket-ball,le football, le volley-ball. Il aime aussi la lecture, l’architecture, et les animaux sauvages. Son Parcours politique L’engagement politique de Blaise Compaoré prend corps pendant l’adolescence. Les années 70 sont marquées par une grande instabilité institutionnelle en Haute-Volta. Après la chute du gouvernement de la 3ème République le 25 novembre 1980, il fait partie du Comité militaire de redressement pour le progrès national (CMRPN) qui s’installe au pouvoir, sous la direction du Colonel Saye Zerbo. Mais très rapidement, Blaise Compaoré et d’autres jeunes officiers, notamment Thomas Sankara, sont déçus par la gouvernance du CMRPN. Ils rendent alors leur démission, ce qui leur vaudra d’être mis aux arrêts de rigueur le 14 mai 1982, et assignés à résidence surveillée. Le 7 novembre 1982, le Conseil de Salut du peuple prend le pouvoir. Les jeunes officiers démissionnaires du CMRPN en sont membres. Mais des divergences apparaissent rapidement entre officiers progressistes et conservateurs. Le 17 mai 1983, le Capitaine Thomas Sankara, Premier ministre depuis 4 mois, et le Commandant Boukari Jean-Baptiste Lingani, Secrétaire général du Secrétariat permanent du CSP, sont arrêtés. Blaise Compaoré, qui avait flairé un complot contre les officiers progressistes, échappe au coup de filet. Il se réfugie au Centre national d’entraînement commando (CNEC) à Pô, d’où il organise la résistance pour libérer ses compagnons arrêtés. Cette action trouve un relais dans la société civile. Les officiers arrêtés finissent par être libérés, au bout de quelques jours. Le climat socio-politique du pays ne s’améliore paspour autant. Le 4 Août 1983, Blaise Compaoré décide alors de marcher sur Ouagadougou, à la tête de ses commandos. Il installera avec Thomas Sankara alors en résidence surveillée, le Conseil national de la Révolution (CNR). Dans le nouveau gouvernement, Blaise Compaoré occupera successivement les fonctions de Ministre d’Etat délégué à la Présidence, puis de Ministre d’Etat chargé de la Justice. L’espoir suscité par le régime révolutionnaire est immense. De fait, certaines initiatives lancées pendant cette période marquent incontestablement, de manière positive, le Burkina sur les plans politique, économique et social. Mais la Révolution ne tarde pas à manifester des signes d’une dérive dictatoriale. Cette situation conduit à l’avènement du Mouvement de Rectification, le 15 octobre 1987. Blaise Compaoré devient Président du Front populaire, nouvelle instance dirigeante, et Chef de l’Etat. Il s’attachera à doter le pays d’une Constitution ; ce sera chose faite en juin 1991. En décembre de la même année, il remporte la première élection présidentielle de la Quatrième République. Il sera réélu en 1998. Norbert TIENDREBEOGO Norbert Michel TIENDREBEOGO est né le 29 septembre 1955 en plein centre de Ouagadougou au secteur n° 1 (50 ans bien sonnés pendant l’élection présidentielle). Très tôt, soit après trois années de séminaires, le jeune TIENDREBEOGO obtient de son père le droit de poursuivre ses études dans un lycée où il obtint le BEPC et l’entrée en seconde du plus grand lycée du Burkina (le Lycée Philippe Zinda KABORE). Il décrocha son BAC série B en 1976 et fut inscrit à l’Université de Ouagadougou, d’où il ressortit avec un diplôme de gestionnaire. Sa carrière professionnelle débuta alors en 1980 à la maison RENAULT de Ouagadougou (DIMA) comme adjoint au chef du service après-vente. Norbert Michel TIENDREBEOGO connaît plusieurs pays de la sous-région, dont la Côte d’Ivoire qu’il a visitée plus d’une dizaine de fois, le Togo et le Mali à maintes reprises...Compte tenu de ses prises de position et de son intégrité légendaire, notre candidat, n’est pas des plus fortunés, vivant de son salaire, avec une femme, un garçon de 22 ans et deux filles de 15 et 10 ans. Norbert Michel TIENDREBEOGO est assuré de sa notoriété, qu’il souhaite mettre au service de l’Alternance tant souhaitée par le peuple burkinabè. PS : Norbert Michel TIENDREBEOGO a été entre autres, enfant de chœur (servant de messe) à la cathédrale de Ouagadougou, cœur vaillant, scout, militant de la Croix-Rouge, militant de l’AEVO, sympathisant de l’UGEV, délégué CDR des quartiers Saints, délégué CDR du secteur n° 1, membre fondateur de l’Inter-CDR (1984) et Responsable à la sécurité de ladite structure, Secrétaire général du F F S (1996/1998), avant d’en devenir le président en Août 1998. Ram OUEDRAOGO Editeur, manager, producteur et imprésario, Ram OUEDRAOGO est un professionnel des arts et des spectacles, un homme de culture qui a parcouru l’Afrique et le monde. Il est né le 2 janvier 1950 à Agbovile (RCI). Il crée un parti, l’UVDB « Union des Verts pour le Développement du Burkina » un mouvement écologique. Candidat à l’élection présidentielle de 1991, il dut se retirer de la course suite au mot d’ordre de boycott de l’opposition face au refus du pouvoir de convoquer une conférence nationale souveraine qui aurait pu contribuer à créer les conditions d’une véritable démocratie et parvenir à une réconciliation nationale véritable. Candidat à l’élection présidentielle de 1998, il arrive en 2e position avec un score de 6,67%. 03 candidats étaient en course. En 1999, il occupe le poste de ministre d’Etat dans le gouvernement d’ouverture proposé par le Collège de Sages pour faire face à la crise née du drame de Sapouy, qui a vu l’assassinat du journaliste Norbert ZONGO et de ses compagnons. Chargé de la Réconciliation nationale au sein du gouvernement, il occupe le poste de Président du Comité de Mise en Œuvre des (CMOR-CRN). Puis en 2001 toujours au sein du gouvernement d’ouverture, il fut nommé Président du Comité Technique d’appui au Gouvernement pour la mise en Œuvre des Engagements pris pas le Président du Faso lors de la Journée Nationale de Pardon organisée le 30 Mars 2001. Elu député national en 2002, il quitte le gouvernement suite à la fin de la mission du gouvernement d’ouverture. En Janvier 2003, il crée un nouveau parti politique. Le RDEB « le Rassemblement Des Ecologistes du Burkina » après avoir démissionné des Verts du Burkina qu’il a créé en 1991. Il est Officier de l’Ordre National -------------------- Emile PARE Pargui Emile PARE est né le 18 mars 1958 à Yaba, Province du Nayala. Après ses études primaires à Yaba de 1964 à 1970 où il obtient le CEP, il poursuit ses études secondaires au Petit séminaire de Tionkuy (1970 à 1971) dans la province du Mouhoun puis au Collège de Tounouma à Bobo-Dioulasso (1971-1978) où il obtient respectivement le BEPC (1975) et le baccalauréat série D mention bien (1978). * Médecin chef du Centre Hospitalier régional de Gaoua de 1989 à 1990, * Médecin chef de la clinique de l’Office de Santé des travailleurs en 1991, * Médecin chef du service des urgences médicales du Centre Hospitalier National Yalgado OUEDRAOGO de 1991 à 1997, * Présentement (2005) Médecin au Centre Médical de Gounghin, District sanitaire de Pissy. Militant politique convaincu et convainquant il marque une présence active dans les différentes luttes de l’opposition démocratique depuis 1991 : Coordination des Forces Démocratiques (CFD), Collectif des Organisations Démocratiques de Masses et des Partis Politiques (CODMPP). Bref, on dit de Emile PARE qu’il est un homme politique averti. Soumane TOURE Nom et Prénom(s) : TOURE Soumane Date de naissance : 14 mars 1948 Lieu de naissance : Diébougou Situation matrimoniale : Profession : Inspecteur d’assurance Province d’origine : Région : Dép/commune Région/province d’élection : Parti politique d’élection : Parti politique actuel : PAI Autres partis depuis l’élection : Groupe parlementaire actuel : CFR Pécédents groupes parlementaires : Commission générale : COMFIB L’Opinion Lire aussi |
Vos commentaires
1. Le 7 octobre 2005 à 13:38 En réponse à : > Les présidentiables en images
Cet article m’impressionne. En effet, je me suis rendu compte que je connaissait tellement peu de ce president que nous avons (pas mal sont nés et morts sans connaitre un autre president, et certainement que d’autres ne vivraient pas assez longtemps pou voir ce changement) depuis pas mal de temps au pouvoir. L’article est fort bien instructif, mais je suis de ceux qui esperent qu’un jour le president Blaise Compaore rejoindra ses homologues democrates (du Mali par ex.) et ainsi convaincre de sa bonne foi plutot que de se comporter comme feu l’ex president togolais ; ce serait dommage, on ne parlerait de lui qu’à l’imparfait.
Le 8 octobre 2005 à 22:42, par Lefaso.net En réponse à : > Les présidentiables en images
Moi aussi, je pense que l’on connaît peu Blaise Compaoré. Sans doute parce qu’il s’exprime peu et qu’il est peu ou mal relayé. On sait rarement ce qu’il pense vraiment.
y a pas longtemps, j’ai su que le 4 août 1983, la nuit de l’avènement de la révolution, Sankara était en résidence surveillée (en prison, disent certains) et c’est Blaise, avec ses commandos, qui a pris le pouvoir et le lui a remis.
J’ai aussi appris récemment que pendant la révolution, c’est Blaise qui s’est opposé à l’exécution sommaire de beaucoup d’hommes politiques comme Maurice Yaméogo, Gérard Kango Ouédraogo, Saye Zerbo, Joseph Ki-Zerbo, et bien d’autres.
Pourtant, ce qu’on garde souvent de lui, c’est l’image d’un homme assoiffé de pouvoir et sanguinaire.
Pourquoi n’y a-t-il pas beaucoup d’écrits sur la réalité de l’histoire politique du Burkina pour nous permettre de comprendre ce qui s’est vraiment passé et qui est qui ?
Il n’y a que les étrangers pour écrire sur notre histoire, avec leurs visions. Vraiment dommage !!!!!!!!!!!!!
Le 9 octobre 2005 à 21:55 En réponse à : > Les présidentiables en images
Ce que tu ne sais peut-être pas encore c’est que Blaise avant d’être marié, prenait certains de ses repas chez les SANKARA.
Ce que tu ne sais peut-être pas encore c’est que grâce aux négociations de SANKARA avec le Commandant Jean Baptiste OUEDRAOGO d’une part et des recommandations qu’il a données à Blaise et les commandos de Pô d’autre part, il n’y a pas eu beaucoup de victimes le soir du 4 Août 2003.
Ce que tu ne sais peut-être pas encore c’est que les jeunes civiles qui ont pris part au coup d’état du 4 Août 2003 ont été mobilisés par SANKARA pour donner un caractère moins militaire, plus humain, démocratique au coup de forces.
Ce que tu ne sais peut-être pas encore c’est que de tout le Burkina, je dis bien de tout le Burkina, les seuls témoins vivants qui peuvent dire comment tous les assassinats politiques ont été perpétrés dans notre pays depuis le 1er mort Nézié BEDENBIE (alors Ministre de l’intérieur du CMRPN) à nos jours, sont : Blaise COMPAORE et le Général DIENDERE.
Ce que tu ne sais peut-être pas encore ...
Le 9 octobre 2005 à 23:17, par Lefaso.net En réponse à : > Les présidentiables en images
Et ce que toi tu ne sais, c’est qu’il n’y pas (encore ?) de général Diendéré mais des colonels (Gilbert et Dominique).
Et ça, la plupart des Burkinabè le savent. Alors, je doute de tout ce que tu dis savoir que tu veux étaler ici.
Que Sankara qui était en prison ou en résidence surveillée ait pu mobiliser des gens la nuit du 4-août...
Cela n’enlève rien à sa valeur et à son rôle dans la révolution.
MAis évitons de croire qu’il y a des bons d’un côté et les mauvais de l’autre.
Le 10 octobre 2005 à 11:14 En réponse à : > Les présidentiables en images
Que tu le veuilles ou pas les choses sont ainsi faites. Dans une oeuvre sociale où interviennent des hommes de diverses catégories socio-professionnelles, il y a toujours des bons d’un côté et les mauvais de l’autre parce que tous ne sont jamais animés d’une bonne intention. Cela est surtout valable en politique. Tu n’y peux rien, la nature humaine est ainsi faite. Et cela est encore plus vrai dans le cas du CNR. Va dire à la veuve SANKARA, à Philippe et Auguste SANKARA à qui on a arraché très tôt leur père, à la veuve de BAMOUNI Paulin et ses orphelins, etc. qu’il n’y a pas des bons d’un côté et les mauvais de l’autre. Tu entendras ce qu’ils vont te dire.
Le 10 octobre 2005 à 11:57, par Lefaso.net En réponse à : > Les présidentiables en images
Et que va-t-on dire aux veuves et orphélins des Yorian Somé, Badimbié Nézien, Didier Tiendrébéogo et autres que la Révolution de Sankara a exécutés dès son avènement ?
Que leurs époux et papa étaient du côté des mauvais ? Et que c’est tant pis pour eux !
Encore une fois, attention au manichéïsme. Tu sembles ne connaître de l’histoire du Burkina qu’une seule version !
Le 10 octobre 2005 à 14:19 En réponse à : > Les présidentiables en images
Exactement leurs époux et leurs pères ont été à un moment donné de l’histoire de notre pays du côté des mauvais avant d’être eux-même victimes ! Le CNR (avec toutes ses composantes civiles comme militaires sans exception) a été mauvais parce qu’il a assassiné des hommes au nom d’une prétendue révolution. Le Front Populaire a été aussi mauvais parce qu’il a privé des femmes et des enfants de leur mari et de leur père. Sous l’actuelle 4è République, le pouvoir de Blaise est mauvais parce qu’il a assassiné des hommes (Exemple : David OUEDRAOGO, Norbert ZONGO, etc.).
Et ce qui est frappant c’est qu’on retrouve le même homme : Blaise COMPAORE, acteur principal durant toutes ces trois phases. Sous le CNR, il a été le No 2, sous le Front Populaire il a été le No 1, sous la 4è République il est le No 1.
Le 10 octobre 2005 à 17:58 En réponse à : > Les présidentiables en images
Je crois que tu ignores le parcours de Sankara lui-même. Renseigne-toi.
Le 10 octobre 2005 à 23:43 En réponse à : > Les présidentiables en images
Je ne discuple pas SANKARA, moi. Ce n’était pas un ange. Il est aussi comptable des assassinats sous le CNR que Blaise. Mais tout homme honnête, sans parti pris, est obligé de constater aujourd’hui que Blaise a plus tué que SANKARA. Supposons même que SANKARA soit le seul responsable de tous les crimes commis sous le CNR du 4 Aout 2003 au 14 Octobre 1987. Le nombre de crimes de cette période est largement inférieur à celui que nous connaissons depuis le 15 Octobre 1987, date de l’avènement de Blaise COMPAORE. C’est de l’arithmétique élémentaire. Tous les deux doivent être jugés, seulement voilà, le premier est déjà mort assasiné par le second qui est encore en vie.
Et puis, toi qui prétends connaître l’histoire du Burkina mieux que moi, je te rappelle que Badimbié Nézien n’a pas été exécuté par la Révolution de SANKARA comme tu l’affirmes. Je te renvoie à ta documentation.
2. Le 9 octobre 2005 à 03:24 En réponse à : > Les présidentiables en images
Je note bien, moi, que l’auteur de ces biographies est tout simplement un partisant de Blaise COMPAORE. Quand on compare son récit sur Blaise COMPAORE à celui sur Soumane TOURE par exemple, cela saute aux yeux. En réalité, l’auteur voulait parler surtout de Blaise COMPAORE, mais pour masquer son jeu il vient rajouter à son récit des biographies établies de façon lapidaire qui frise le mépris et le ridicule. Quand on veut être crédible, il faut faire le travail proprement avec beaucoup plus de sérieux. Cela nécessite des recherches approfondies. Quand on n’a pas beaucoup d’éléments sur un sujet, la sagesse veut qu’on n’en parle pas. On ne parle que d’un dossier dont on a la maitrise. L’auteur aurait mieux fait de se limiter uniquement à la biographie de Blaise COMPAORE. Là au moins les choses auraient été plus claires. Il ne faut pas prendre les lecteurs pour des cons.
Merci !