La jeune réalisatrice Aïssata Ouarma aborde de manière originale et poignante le phénomène de l’exode des filles mineures à Ouagadougou. Elle donne de la voix au silence de ces filles victimes de leur quête de bien-être. Entre espérance légitime et impatience craintive de leur parents restés dans le petit village de Loroni, la réalisatrice nous plonge dans la quotidienneté de ses filles.
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