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Le journal « Courrier confidentiel » auditionné

vendredi 23 mars 2018.

 

La Commission de la liberté de la presse, de l’éthique et de la déontologie du Conseil supérieur de la communication a auditionné, le jeudi 22 mars 2018, les responsables du journal « Courrier confidentiel ». Une audition qui fait suite à une plainte de l’association « Tieta de Mebar » contre le journal pour non publication de son droit de réponse.

Cette audition contradictoire entre le plaignant et le journal a permis à l’un d’exprimer son ressentiment face à l’article incriminé intitulé « Mise en place du PNDES : nous ont-ils menti » et de réclamer son droit de réponse, et à l’autre d’expliquer les raisons de la non publication du droit de réponse du plaignant.

Les conclusions de cette audition feront l’objet d’appréciation au sein du Collège des conseillers pour décision à prendre.

La Direction de la Communication et des Relations publiques
Contact : 25 30 11 24, poste 152



Vos commentaires

  • Le 24 mars 2018 à 10:42, par Dark vadot En réponse à : Le journal « Courrier confidentiel » auditionné

    C bien fait pour ce journal qui fait de la politique.quand on les suit on se rend compte que ces gens sont méprisables et sont politiquement cdp.il n’ya qu’a écouter les loukmann et autre andré eugène ilboudo pour le savoir.aubtemps de l’autre on ne les voyait que rarement.lui il tuait il ne s’amusait pas.

    • Le 25 mars 2018 à 08:51, par Geoges En réponse à : Le journal « Courrier confidentiel » auditionné

      Toi, Dark Vado, ça se voit que tu ne lit pas les journaux. Tu fais une folle confusion. Ce journal a grandement contribué, par ses investigation, à faire partir Blaise. C’est l’un des meilleurs au Burkina. Je le lis depuis des années, félicitation à toute l’équipe. Continuez ainsi !

  • Le 25 mars 2018 à 08:42, par Geoges En réponse à : Le journal « Courrier confidentiel » auditionné

    Le journal a peut-être raison. Le droit de réponse doit être conforme aux prescriptions de la loi portant régime juridique de la presse écrite. Si vous écrivez un droit de réponse et vous mettez n’importe quoi dedans, par exemple propos diffamatoires, injures et autres, la loi interdit que votre droit de réponse soit publié. Et puis, la longueur du droit de réponse compte aussi. Si vous croyez que parce que ça s’appelle droit de réponse, donc vous pouvez écrire une tonne de phrases et envoyer aux médias pour publication, ça ne passera pas. La longueur du droit de réponse ne doit pas être plus de deux fois celle de l’article que le journal a publié. ça aussi, c’est la loi portant régime juridique de la presse écrite qui le dit.