Ouagadougou : Simulation de riposte à une attaque terroriste dans la zone de Ouaga 2000 ce lundi 5 février 2018
Communiqué
lundi 5 février 2018.Le ministère de la sécurité informe, dans le communiqué ci-dessous, les populations qu’un exercice de simulation de riposte à une attaque terroriste aura lieu ce lundi 5 février 2018 dans la zone de Ouaga 2000. Il invite les populations de la zone à rester "sereines et à vaquer paisiblement à leurs occupations".
Vos commentaires
1. Le 5 février 2018 à 15:43, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Ouagadougou : Simulation de riposte à une attaque terroriste dans la zone de Ouaga 2000 ce lundi 5 février 2018
Par Kôrô Yamyélé
Le 5 février 2018 à 15:58, par jobel En réponse à : Ouagadougou : Simulation de riposte à une attaque terroriste dans la zone de Ouaga 2000 ce lundi 5 février 2018
IL faut s’entraîner pour être efficace a Déou
Le 5 février 2018 à 16:04, par constant En réponse à : Ouagadougou : Simulation de riposte à une attaque terroriste dans la zone de Ouaga 2000 ce lundi 5 février 2018
Qui est fou ? ils savent bien où trouver les vrais ennemis. en mooré on dit "koob nonkèmn paa Wind suiin yé".
Le 5 février 2018 à 17:21, par TANGA En réponse à : Ouagadougou : Simulation de riposte à une attaque terroriste dans la zone de Ouaga 2000 ce lundi 5 février 2018
Pour toi là, Lebga yéeléh.
Tu veux quoi même ? Si les FDS s’en vont sans entrainement, sais tu ce que ça sera ?
Après c’est pour venir dire : Ils ne valent rien nos FDS.
C’est facile de se cacher derrière un écran pour dénigrer tout un système qui s’entraine, il faut y être pour savoir que ce n’est pas facile. Même pendant l’entrainement, le métal peut pénétrer la chaire.
Alors mon cher, apportes plutôt des critiques constructives ; si non, ce n’est pas forcer d’écrire ; d’autant que tu ne dois pas payer pour ne pas écrire.
2. Le 5 février 2018 à 16:47, par LEDOUX En réponse à : Ouagadougou : Simulation de riposte à une attaque terroriste dans la zone de Ouaga 2000 ce lundi 5 février 2018
Mais Kôrô, il faut un exercice avant une eventuelle attaque. SVP, aidons nos FDS et laissons les critiques stériles. En cas de difficultés personne ne sera épargnée. J’ai l’impression que nous jouons avec la sécurité. Contribuons avec des propositions en vue d’anéantir ces bandits.Cette insécurité ne concerne pas seulement le MPP
3. Le 5 février 2018 à 17:10, par Big Boss En réponse à : Ouagadougou : Simulation de riposte à une attaque terroriste dans la zone de Ouaga 2000 ce lundi 5 février 2018
A défaut d’encourager nos FDS qui risquent chaque jour leurs vies pour nous défendre, nous devons éviter de tenir certains propos à leurs endroits.Suivez mon regard !
Que Dieu protège le Burkina Faso.
4. Le 6 février 2018 à 11:14, par ADA DO En réponse à : Ouagadougou : Simulation de riposte à une attaque terroriste dans la zone de Ouaga 2000 ce lundi 5 février 2018
BRAVO MON TYPE MOI JE CROIS QU’IL FAUT PLUTOT LE S ENCOURAGER ET PRIER POUR CES VAILLANTS FDS QUE DE FAIRE DES CRITIQUES FRELATEES
5. Le 6 février 2018 à 11:35, par LASS En réponse à : Ouagadougou : Simulation de riposte à une attaque terroriste dans la zone de Ouaga 2000 ce lundi 5 février 2018
koro là je ne suis pas du tout d’accord avec vous. Sans exercices pas d’efficacité. Si vous n’allez pas les encourager c’est mieux de vous taire surtout quand on ne connait rien d’un domaine. Je t’informe qu’ils sont déjà au sahel depuis longtemps. Ça ne sert a rien de dénigrer.
6. Le 6 février 2018 à 16:45, par Baroudeur En réponse à : Ouagadougou : Simulation de riposte à une attaque terroriste dans la zone de Ouaga 2000 ce lundi 5 février 2018
Evitons de faire les choses séparemment. En matiere de gestion de crise, les forces s’unissent pour venir à bout de l’ennemi. Evitons de gaspiller les sous des contribuables (carburant pour les vehicules engagés, et ceratines depenses y relatives, etc.).
la simulation doit regrouper toutes les FDS et non soit la police, la gendarmerie, etc.
en faisant les simulations ensemble, naitra la cohesion des forces. Point besoin d’enumerer les differentes oppositions entre police et gendarmerie. Ce n’est une affaire de la Gendarmerie ni de la police. Ce n’est pas parce que les autres ont fait, qu’il faut aussi faire. Nous gaspillons les petits moyens que nous. Ensemble nous allons plus loin qu’individuellement.