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Burkina Faso : Djibrill Bassolé, « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

lundi 18 décembre 2017.

 

Le Général Djibrill Bassolé « n’est qu’un prisonnier politique », ont réitéré les responsables de la Nouvelle Alliance du Faso (NAFA). Par une conférence de presse animée dans l’après-midi de ce lundi, 18 décembre à Ouagadougou, les dirigeants du parti ont, une fois de plus, appelé les autorités burkinabè au respect des engagements internationaux en matière de droits de l’homme et à libérer le Général Bassolé (recommandations du Groupe de travail des Nations-Unies).

« Djibrill Bassolé a quitté une prison de haute sécurité pour une prison de très haute sécurité », estiment les dirigeants de la Nouvelle alliance du Faso (NAFA) pour qui également, le Général n’est qu’un otage du MPP (Mouvement du peuple pour le progrès, parti au pouvoir). Ils émettent des doutes sur la tenue du procès annoncée pour « d’ici à fin 2017 » par le ministre de la justice et le président du Faso. Bien plus, le pouvoir serait à la manœuvre pour que le procès n’ait pas lieu, confient-ils avant de conclure que ‘’Djibrill Bassolé est victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique’’. Les responsables de la NAFA disent également craindre pour la santé du Général, à partir du lieu actuel de sa détention.

« Nous interpellons particulièrement le président du Faso à traduire dans les faits ce qu’il dit et faire observer les engagements internationaux auxquels notre pays a librement souscrits ». Telle est la principale requête des conférenciers, rappelant ces propos du président du Faso lors de son message du 11 décembre 2017 : « Nous avons la responsabilité de bâtir ensemble une nation prospère et respectée, attachée aux valeurs d’égalité, d’intégrité, de justice et d’équité ».

Dans la déclaration liminaire, Pr Mamoudou H. Dicko, président par intérim de la NAFA (dont Djibrill Bassolé est le fondateur), a rappelé que le 1er juillet 2017, le Conseil des droits de l’homme des Nations-Unies, à travers le Groupe de travail sur la détention arbitraire, avait exigé la libération immédiate du Général Djibrill Bassolé, estimant que « la privation de sa liberté » est arbitraire, car contraire aux articles 10 et 11 de la Déclaration universelle des droits de l’homme et aux articles 9 et 14 du Pacte international sur les droits civils et politiques.

« En outre, le Groupe de travail avait ordonné le Burkina Faso de modifier sa législation ou sa pratique afin de les rendre conformes aux obligations mises à sa charge par le droit international, dans le droit fil de l’avis qu’il a rendu. En réaction à la décision rendue, le gouvernement par le truchement du ministre de la justice et du directeur de la justice militaire, avait, au cours d’une conférence de presse du 7 juillet 2017, tenu à manifester son étonnement faisant croire qu’il n’avait pas été associé à la procédure. Pourtant, le gouvernement du Burkina a bel et bien été impliqué dans le processus qui a conduit le groupe de travail à dénoncer le caractère arbitraire de la détention du général Bassolé.

Pour preuve, le 22 décembre 2016, en vertu de sa procédure de communication régulière, le président-rapporteur du Groupe de travail a demandé au gouvernement du Burkina de lui fournir de plus amples informations sur la situation de Djibrill Bassolé avant le 21 février 2017. Le 20 février 2017, le Groupe de travail qui a été saisi d’une demande de prorogation des délais a accordé un délai supplémentaire de trente jours au gouvernement burkinabè. C’est ainsi que le 10 mars 2017, le gouvernement soumettait sa réponse aux experts du Conseil des droits de l’homme », ont retracé les responsables de la NAFA. Selon eux, le gouvernement qui n’était pas satisfait de ce premier avis, va introduire un recours pour demander un réexamen de la décision des experts du Groupe de travail. Il était donc attendu que le Burkina apporte des éléments de preuve suffisants pour justifier que la privation de liberté de Djibrill Bassolé n’est pas arbitraire.

Le 7 décembre 2017, le Groupe de travail a communiqué au Burkina, son « avis définitif » sur la détention de Djibrill Bassolé.

« La décision des experts est claire et sans ambiguïté : la privation de liberté de monsieur Bassolé (dans les conditions actuelles, c’est-à-dire l’assignation à résidence) est totalement arbitraire. L’information capitale à retenir, c’est que le gouvernement du Burkina a perdu son recours, puisque les experts affirment qu’il n’a pas pu apporter des preuves suffisantes pour le réexamen de sa décision. Par conséquent, les experts exhortent le gouvernement burkinabè à respecter les normes internationales et à libérer monsieur Bassolé maintenant », ont lancé Pr Dicko et ses camarades.

Pour eux, cet ‘’avis de confirmation’’ vient, une fois de plus, révéler que Djibrill Bassolé est un « prisonnier politique victime de manœuvres politiciennes » visant à l’écarter de la scène politique. C’est pourquoi invitent-ils le gouvernement à se conformer aux recommandations du Groupe de travail, c’est-à-dire au respect des engagements internationaux en matière de droits de l’homme.

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Vos commentaires

  • Le 18 décembre 2017 à 21:02, par Zemosse En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

    Le journal Reporter vient de faire des,révélations inquiétante sur’votre général. S’agissant de votre requête, les exhortations des experts de l’ONU ne’sont pas des’ordres à ce que je’sache. Israël n’ à jamais respecté les’résolutions de l’ONU qui, elles, sont à respecter impérativement. Trump vient de violer la,résolution qui empêche Israël de considérer Jérusalem comme sa capitale. On dit quoi si Rock maintien la position de’son gouvernement ?

  • Le 18 décembre 2017 à 21:17, par Ka En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

    Monsieur Diccko et compagnie, nous sommes (paraît-il) dans un état de droit, la seule chose que vous pouviez exigez aux experts des NU, c’est de les demander de forcer la justice Burkinabé et le gouvernement de libérer tous les accusés du coup d’état à la maternelle de Djibril Bassolé, et on n’en parle plus.

    C’est en 2017 que vous vous souvenez les règles du droit de l’homme ? De 1998 en 2014 pourquoi les experts des N.U n’ont pas demandé à Djibril Bassolé et son mentor Blaise Compaoré de ne pas éliminer David Ouèdraogo, Norbert Zongo et ses compagnons, Nebié ? L’extrémisme exprime la pensée de celui qui n’admet pas qu’on lui oppose une autre manière de penser.

    Une des questions dont je peux poser a Mr. Dicko est de savoir s’il est manipulé pour semer le désordre et l´anarchie dans son pays, et ouvrir la porte à tous les abus en poussant la justice et le pouvoir à obéir l’injustice des experts des N.U, et non pas à obéir à une justice commune Burkinabé pour des jugements équitables ? Ce que vous poussez la justice Burkinabé de faire, c’est de mettre le Burkina dans une situation de désordre entre sa justice et son pouvoir. Et cette désordre c’est la loi de la jungle qui s’installe. Le désordre permet ainsi la réalisation d´une plus grande injustice dans notre pays pour une éternité. Pour une vraie justice au Burkina, Djibril Bassolé ne peut pas attendre ce procès en dehors de la prison, il doit rejoindre le valeureux Gilbert Diendéré qui assume en vrais soldat.

    • Le 19 décembre 2017 à 08:09, par SOS En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

      Ce vieux c’est vrai citron Ph inférieur à 7. Jamais rencontré d’aussi aigre. Qui vous dit que la détention pendant deux ans c’est de la justice ??? qui vous dit le Ministre de la défense peut à l’ancontre d’une décision de justice pendant que l’on parle de la libertté de l’institution. UN ne dit pas autre chose que cela : la détention avant le procès fait l’exception.
      fait monter un peu ton Ph Vieux.

    • Le 19 décembre 2017 à 10:46, par Madjer En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

      Monsieur Ka décidément ton nanisme intellectuel est entrain de prendre sérieusement le pas sur toi. Les mots me manque pour te qualifier. Tu es plus qu’un aigri et un revanchard fou de rage. Mais ce que je peux te dire, tu es insignifiant dans la décision et le sort du général BASSOLE. Tu sais il est temps pour toi de t’afficher clairement comme étant un fanfaron du MPP. Tous les internautes qui fréquentent ce site parle aujourd’hui de toi à cause de la vitesse avec laquelle tu as changé ta veste. Tu as déçu la majorité de tes lecteurs avec tes prises de positions ignominieuse. En tout âme et conscience et du fonds de ton cœur, si tu es réellement un croyant tu peux m’apporter les preuves que le général BASSOLE y est pour quelque chose dans cette sale affaire de coup d’Etat ? Sans aucune position partisane, doubler de dogmatisme dû à la petitesse de ton esprit, peux-tu m’apporter la preuve réelle de la culpabilité du général BASSOLE dans cette affaire ? Quand même ! Un peu de lucidité dans ton raisonnement. Je pari avec toi que ce général que vous voulez manger sera bel et bien libéré pian !!!! s’il est libéré et que vous n’êtes pas content, alors vous pourriez cogner vos têtes contre le mûr pour mourir.

      • Le 19 décembre 2017 à 12:10, par Ragnangue En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

        Bonjour à tous, je suis entièrement d’accord avec Ka Dieu ne dort pas, mieux Il veille sur notre beau pays, car nous n’avons pas la force, mais prières montent jour et nuit jusqu’au Créateur. Dieu seul sait le mal que Djibril Bassolet à fait à des dizaines de familles ici au Faso. Le pire de crimes qu’aura commis la Justice burkinabé, c’est de céder à la pression de quiconque, et laisser ce putschiste en liberté, fut-elle provisoire, avant de le juger. Un piètre coup d’Etat avec mort d’hommes et des preuves accablant. Si jamais ce monsieur, qui ne mérite en aucun cas le grade de général, est mis en liberté sans être jugé, nous sommes foutus et le régime en place en premier. Laissez aboyer les franc-maçon qui s’excitent à travers des organisations pour exiger la libération de leur maître, continuer leur tapage. Que la Justice sévisse conformément à la loi en vigueur.

        @ 2020, tu rêves ou quoi ? Djibril Bassolet se présenter à une élection présidentielle en 2020 au Faso ? attend, le pays est gouverné, d’après « Tranquillos » !
        Le Commandant Jean-Baptiste Boukari LINGANI et le Capitaine Henri ZONGO n’ont pas eu cette grâce d’être mis en résidence surveillée. Watamou LAMIEN, Guillaume SESSOUMA, Oumarou Clément OUEDRAOGO, David OUEDRAOGO, Norbert ZONGO, Me NEBIE, etc, etc. Dieu bénisse le Burkina Faso !

      • Le 19 décembre 2017 à 12:46, par idi En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

        Madjer fait pitié ! Il faut dépassionner le débat et regarder les choses comme elles se présentent. Toi aussi, peut-tu jurer, la main sur le coeur que BASSOLE n’y est pour rien ? le faire sera pour toi une folie aveugle et dans ce cas, inutile discuter avec toi.
        BASSOLE a fait pire que ça : il rasé des gens qui ont manifesté lors de la mort de Norbert ZONGO. Lui au moins doit remercier DIEU car il ne subit pas de sévices corporelle. Ton type BASSOLE n’inspire pas du tout confiance ! surtout qu’il entretient des relations solides avec des associations secrètes(Franc maçonnerie et consorts) qui font des pieds et des mains, des pressions multiformes, des manoeuvres souterraines, y compris des simulations de maladies graves, aidés par des juges corrompus, apatrides et vulgaires acquis à l’UCIFER pour obtenir liberté provisoire.
        Tu sais, il n’aurait pas dû avoir cette liberté provisoire n’eût été les juges malfrats qui étaient "à la bagette" d’après le journal Mutations.
        Mais ne vous en faite pas. On peut le libérer et l’inculper et le renvoyer immédiatement à la MACA pour d’autres faits !! et il y en a !!!
        par exemple, son fils est allé lui rendre visite avec des armes dans son sac ! c’est quel complot encore il prépare. L’on a vu des révélations de jeune Afrique, qui prouve que lui et DIENDERE avait des connections dangereuses avec les terroristes.
        Tout ce qui lui arrive n’est pas que politique ; en partie, ton champion filait du mauvais coton ! Dans tous les cas, lui reconnait maintenant que les conversations téléphoniques avec SORO étaient vraies ! allez-y voir ;Depuis quand les bourreaux se prennent pour victimes ? Je demande à la JUSTICE d’être sévère à moins de vouloir jouer aux pyromanes. Si la justice refuse de s’assumer, que le Président Rock prennent les décisons fortes et le peuple va le soutenir !

        • Le 19 décembre 2017 à 13:41, par Sapience En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

          Tu sais, il n’aurait pas dû avoir cette liberté provisoire n’eût été les juges malfrats qui étaient "à la bagette" d’après le journal Mutations.
          Mais ne vous en faite pas. On peut le libérer et l’inculper et le renvoyer immédiatement à la MACA pour d’autres faits !! et il y en a !!!

          Vous faites parti des plaisantins de ce pays. Tes écrits n’inspire ni confiance et n’ont aucune crédibilité. Si vous avez des preuves rendez les publics autrement arrêter vos gesticulations inutiles. Dans ce pays, il y a des preuves contre tes RSS que tu défend aveuglement. aTtendez de voir la suite de l’histoire de ce pays.

        • Le 19 décembre 2017 à 14:08, par Madjer En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

          Mon ami Idi sincèrement tu m’étales toutes ta carence notoire et le dangereux dogmatisme qui te consume inéluctablement à travers ce passage de ton texte,où tu dis ceci : (par exemple, son fils est allé lui rendre visite avec des armes dans son sac ! c’est quel complot encore il prépare.) Tu vois comment tu es vraiment limité ? Je t’informe que le fils du général BASSOLE est responsable d’un service de gardiennage dont le personnel (les gardiens) sont dotés en armes. Et cette information a été donnée avec toutes les justifications sur la RTB. Un conseil mon ami Idi. réveille toi sinon tu risque de regretter ton choix.

          • Le 19 décembre 2017 à 14:46, par Moi-meme En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

            Ce Madger-là même c’est qui au juste ! Le mot dogmatisme revient trop dans ses propos. Lui-même son dogmatisme est pire. Avec tous les arguments il s’entête toujours. Laissez-le, on ne peut pas réveiller quelqu’ un qui ne dort pas. Il est plus sûr de l’innocence de Djibrile que Djibril lui-même. C’est un aveuglement. Peut-être il n’en est pas conscient. Ne tenez plus compte de ses propos. Il doit avoir de grands intérêts avec le Sieur qu’il tient à défendre à tout prix.

          • Le 20 décembre 2017 à 11:53, par idi En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

            Ecoutez chers amis, vous semblez être pareils que votre champion, sinon que pires ! Ah bon ? parce qu’il est responsable d’une société de gardiennage suffit pour s’y introduire avec les armes de gardiennage ? pour garder qui là-bas avec, sinon que de servir de prétexte pour exécuter un complot comme son père lui-même en est spécialiste ? Arrêtez cet argutie qui ne peut prospérer qu’à vos seuls yeux ! personne n’est dupe ! Ce monsieur est pire que DIENDERE et mérite que retourner à la MACA en attendant son jugement !
            Si tu penses que je suis MPP, tu te trompes lourdement !
            Des questions pour vous SVP : BASSOLE a reconnu que les conversations téléphoniques sont vraies ! Nobert ZONGO et ses compagnons ont été tués et brulés ; les gens sortent manifester et ton Champion dit non, et a même fait arrêté enfermé et rasé des gens ; torpillé l’enquête. Il veut seulement se soustraire de la justice, aidé par des gens obscurs comme vous autres ! Pourquoi vous êtes si sournois et maléfiques ?

      • Le 19 décembre 2017 à 13:29, par Ragnangue En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

        Bonjour à tous, je suis entièrement d’accord avec KA Dieu ne dort pas, mieux Il veille sur notre beau pays, car nous n’avons pas la force, mais prières montent jour et nuit jusqu’au Créateur. Dieu seul sait le mal que Djibril Bassolet à fait à des dizaines de familles ici au Faso. Le pire de crimes qu’aura commis la Justice burkinabé, c’est de céder à la pression de quiconque, et laisser ce putschiste en liberté, fut-elle provisoire, avant de le juger. Un piètre coup d’Etat avec mort d’hommes et des preuves accablant. Si jamais ce monsieur, qui ne mérite en aucun cas le grade de général, est mis en liberté sans être jugé, nous sommes foutus et le régime en place en premier. Laissez aboyer les franc-maçon qui s’excitent à travers des organisations pour exiger la libération de leur maître, continuer leur tapage. Que la Justice sévisse conformément à la loi en vigueur.

        @ 2020, tu rêves ou quoi ? Djibril Bassolet se présenter à une élection présidentielle en 2020 au Faso ? attend, le pays est gouverné, d’après « Tranquillos » !
        Le Commandant Jean-Baptiste Boukari LINGANI et le Capitaine Henri ZONGO n’ont pas eu cette grâce d’être mis en résidence surveillée. Watamou LAMIEN, Guillaume SESSOUMA, Oumarou Clément OUEDRAOGO, David OUEDRAOGO, Norbert ZONGO, le juge NEBIE, etc, etc. Dieu bénisse le Burkina Faso !

      • Le 20 décembre 2017 à 09:00, par konate Aziz En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

        Ka n’a jamais déçu personne. c’est plutôt toi et les kôro yamyélé qui réfléchissez selon vos accointances politiques et ethniques . Bassolet a offert sa médiation pour une issue négociée avec les terroristes. C’est vous dire que le monsieur est pour le moins un homme bizarre. Pour ce que j ai écouté de cette conversation téléphonique dont aucun esprit impartial et cohérent ne peut douter de la véracité, ce monsieur mérite pire que le sort qui lui est réservé. Son réseau maconique et son or ne lui épargneront pas la justice des hommes et de dieu.

    • Le 19 décembre 2017 à 13:36, par Sapience En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

      Monsieur du Ka du MPP, je te suggère fortement de rendre public les preuves de vos accusations. Voyez-vous, le pays va mal à cause des indvidus comme vous. On se connaît dans ce pays et comme Koro yamyélé vous l’a déjà dit, en d’autre époque tu ne peux tenir de tels propos. Attends de voir.

    • Le 19 décembre 2017 à 14:51, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

      - Mon ami et promo KA, tu commences à créer la zizanie sur le net maintenant ! Et puis tu n’as même pas les preuves de ce que tu avances. Mon ami KA, je suis le seul à pouvoir te dire la vérité sur cette toile : arrête de t’en prendre ainsi à Djibril Bassolet car malgré tout il est citoyen de ce pays comme toi et moi et reste notre frère, et il n’est qu’un accusé et non coupable d’abord.

      Par Kôrô Yamyélé

  • Le 18 décembre 2017 à 21:48, par Tenga En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

    Libéré le monsieur laisse le vous voulez. Le tuer libéré le prisonnier politique le plus célèbre du Burkina.

  • Le 19 décembre 2017 à 02:06, par 2020 En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé, « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

    Objectif 2020 :
    1- Le pouvoir en place veut coute que coute empecher le general de participer au elections de 2020
    2- La NAFA voit venir et veut coute que coute sortir le general pour qu’il soit fin pret pour 2020.
    Voici l’enjeux actuel. Tout le reste c’est de la mondoline.

  • Le 19 décembre 2017 à 08:22, par Lazare SANOU En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé, « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

    si un général trahit sa patrie et il est en residence surveillée, disons plutot Dieu merci. Et les victimes du putsh manqué qui sont "sous terre" ?
    Apparemment le général se porte même bien puisqu’on ne parle plus de son évacuation pour raison de santé.

  • Le 19 décembre 2017 à 08:49, par LIKI N’GUESSE En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé, « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

    Bassolé est présumé innocent. Si on ne peut pas le juger, alors sans honte, libérez le.
    D’ailleurs ou en est-on avec le jugement du dernier gouvernement compaoré ?

  • Le 19 décembre 2017 à 09:32, par Achille De TAPSOBA En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé, « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

    HOMMAGE A NOS MARTYRS du 30, 31 Octobre 2014 et 16,17 Septembre 2015

    En Septembre 2015,"ange" Djibril a manifestement fait ce coup d’état pour des raisons politiques(son boulimie du pouvoir et la restauration de l’impunité à grande échelle). Par conséquent, on le traite comme un prisonnier politique. On l’assume sans peur.

    Primo,"ange" Djibril et ses partisans zélés(nafa) nous ont fait croire urbi et orbi que les écoutes téléphoniques étaient un pur montage de la transition particulièrement de Mr Zida. Après les analyses, l’expert allemand a confirmé que ces écoutes téléphoniques étaient BEL ET BIEN AUTHENTIQUES. Le premier mensonge de l’ami des djihadistes n’est pas passé devant l’instruction. Visiblement ayant le dos au mur, "ange"Djibril a reconnu formellement devant le juge que Soro le rebelle et lui ont eu des contacts téléphoniques. 1er échec

    Secundo, le deuxièmement mensonge orchestré par son camp est son état de santé.Depuis 2015, "ange" Djibril est bien vivant et bien portant et nous lui souhaitons longue vie pour venir répondre aux crimes devant les juges qu’il a commis en tant que le cerveau du putsch. En nous faisant croire que son état de santé nécessite une évacuation à l’extérieur,les pèlerins de l’impunité voulaient soustraire "ange" Djibril de la justice. Les juges ont vite compris le plan machiavélique de ces partisans. 2è échec.

    Enfin, des témoignages viennent accabler davantage "ange" Djibril. Certains officiers ont été contactés par le "putschologue" Djibril pour prêter main forte au rsp en difficulté. Ces derniers ont fait des aveux devant le juge.

    Comme "ange" Djibril est un grand abonné de la manipulation et de la ruse, il a engagé des mercenaires de la plume(juristes, avocats, journalistes,franc maçons...) pour le faire sortir des griffes de la justice car la bataille médiatique est l’enjeu important dans un procès.Pour cela, il s’est invariablement lancé avec ses mercenaires et ses évangélistes de l’impunité dans une course folle de la guerre de communication. L’ami des djihadistes Djibril se noie aveuglement dans les eaux profondes du putsch car chaque jour de nouvelles révélations le plombent davantage.

    Quand on parle des experts de l’ONU, c’est totalement ridicule. Que l’ONU envoie une mission spéciale au BURKINA pour demander la libération de "ange"Djibril, nous saurons réellement sinon c’est de la comédie que nafa nous présente. Qui sont ces experts de l’Onu ? Peut-être des fleuristes, décorateurs ou des vigiles de l’ONU à qui "ange"Djibril donnait 10 dollars lors de son passage aux USA. On n’a jamais identifié ces auteurs les soi-disant experts.

    "Ange" Djibril est rattrapé par son passé. Il était le cerveau de la rébellion ivoirienne. En 2001,Il(tout puissant ministre de la Sécurité de Blaise) a fait expulser du Burkina un élève Yemboama Yempadou de Fada vers le Togo dont le père est Togolais et la mère Burkinabé lors des manifestations pour Norbert Zongo. Il a activement contribué à étouffer l’affaire David Ouedraogo et Norbert Zongo.

    Que les apôtres de l’impunité sautent, courent, crient et pleurent tous les grands criminels seront tous jugés, furent-ils Saint Blaise, Saint François, Saint Gilbert, "Ange Djibril" et autres. Étant donné, nous savons avec assurance quel rôle chacun a joué dans les crimes de sang. Les tergiversations sont naturellement terminées. Pour le moment, on discute des dates des procès pour que les grands criminels se tiennent prêts pour venir s’assumer devant le Brave Peuple(pas chasse à la sorcière). Le droit sera appliqué sans passion dans toute sa rigueur sans distinction politique ou sociale.On ne peut pas tuer des Burkinabé aux MAINS NUES et croire que l’acte restera impuni. LES GRANDS CRIMINELS DU BURKINA PENSAIENT QUE L’IMPUNITÉ EST UNE MARCHANDISE QU’ON PEUT ACHETER FACILEMENT SUR LA PLACE DU MARCHÉ.

    Chers amis de nafa,dites courageusement à "ange"Djibril de ne pas s’exciter ou pleurnicher comme un bébé car cela n’est pas la solution. Soyez sûrs très amicalement,il sera jugé et sanctionné à la hauteur de son forfait.Nous ne marchandons pas avec les apôtres de l’impunité. Le Brave Peuple veillera naturellement à ce que les grands criminels ne courent pas dans la nature en se moquant des familles des MARTYRS et du BRAVE PEUPLE. Nous les traquerons pour les ramener devant des juges.

    Nos chers amis de nafa,nous osons espérer que vous allez compatir aux douleurs atroces des Familles si vous êtes sensibles car la pire des douleurs pour une MÈRE qui a porté son enfant en son sein pendant 9 mois c’est de voir mourir son enfant surtout par des grands criminels du pays.

    Notre combat contre l’impunité continue. BRAVE PEUPLE BURKINABÉ, NE TRAHISSONS PAS NOS CHERS MARTYRS.

    LA VÉRITÉ TRIOMPHERA SUR LE MAL OU L’IMPUNITÉ(le mensonge) UN JOUR

    A NOS MARTYRS QU’ILS SE REPOSENT EN PAIX. QUE JUSTICE LEUR SOIT RENDUE RAPIDEMENT

    JUSTICE POUR NORBERT ZONGO
    JUSTICE POUR THOMAS SANKARA
    JUSTICE POUR SALIFOU NEBIE
    JUSTICE POUR DAVID OUEDRAOGO
    JUSTICE POUR DABO BOUKARY

    VICTOIRE TOUJOURS AU BRAVE PEUPLE
    VIVE LA DÉMOCRATIE AU FASO
    VIVE LE BRAVE PEUPLE BURKINABÉ

    QUE LE SEIGNEUR BÉNISSE LE BURKINA QUE NOUS AIMONS TOUS.AMEN
    PAIX ET SUCCÈS A TOUS LES BURKINABÉS . AMEN

    ACHILLE DE TAPSOBA LE BOBOLAIS

  • Le 19 décembre 2017 à 09:32, par BAMBARA Y En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé, « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

    Chers responsables de la NAFA si vous n’avez toujours rien compris, alors comprenez maintenant que le peuple ne vous suit pas dans vos propos. Votre idole BASSOLE ne fait que récolter ce qu’il a semé. Point barre.

  • Le 19 décembre 2017 à 10:05, par Voltaïque Indigné. En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé, « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

    J’ai le sentiment que l’insurrection n’est pas fini et a atteint le sommet de l’état . Le MPP (instigateur de l’insurrection sous la conduite de son âme satanique qui s’en est allé) continue son œuvre de violation du droit en transformant le Burkina en un Etat voyou irrespectueux de ses propres lois et des lois internationales supranationales. Après la transition inconstitutionnelle, le code électoral inique taillé sur mesure et dénoncé par la CDEAO, ce sont les injonctions du Groupe de travail des Nations-Uni que le MPP veut piétiner. Même le régime de Blaise COMPAORE a obtempéré aux injonctions du Groupe de travail des Nations-Unies dans le dossier Thomas SANKARA pour éviter la honte au Burkina. Yako le Burkina des diablotins qui prétendaient avoir assez appris auprès du diable pour faire mieux que leur ancien mentor. L’insurrection ne peut être ni une boussole ni un adjuvant ni un programme politique qui accélère le développement.

  • Le 19 décembre 2017 à 10:54, par SID PAWALEMDE En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé, « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

    "Les responsables de la NAFA disent également craindre pour la santé du Général, à partir du lieu actuel de sa détention".
    M. Djibril BASSOLE, quand il était Commandant de la Gendarmerie ne s’est pas inquiété de la mort de ceux qu’on a tué pour des présumés coups d’état. Au moins lui il ne sera pas exécuté mais serait malade en prison et pourrait même mourir de sa maladie mais pas par des balles. Nous mêmes nous ne voulons pas de sa mort, car il pourra expliquer comment on a tué Henri ZONGO, LINGANI Boukary, David OUEDRAOGO, etc ........ La liste est longue.
    Soyez satisfaits qu’il (Bassolé) soit en vie. Il faudra publier si ce n’est un secret le Procès-verbal du jugement en son audience de la Cour de l’ONU qui remplacera désormais la justice burkinabè. De passage dites à l’ONU qu’à la MACO, il y’a beaucoup de gens, elle n’a qu’à intervenir pour que toutes les maisons d’arrêt du Burkina soient vides. Si les Henri ZONGO du temps de Bassolé avaient eu cette chance de l’ONU !!!!!!!

  • Le 19 décembre 2017 à 11:50, par sheiky En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé, « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

    je l’ai toujours dit sur le forum, que la détention de ce monsieur est une patate chaude pour le gouvernement pour qu’on ose continuer à la maintenir sans raisons. Ce monsieur a été assez fin pour exposer une image plus/moins angélique aux yeux d’une certaine opinion. Mais il est loin d’être l’ange qu’on veut nous faire voir. Il a été impliqué dans beaucoup d’événements pas très reluisants de ses trente dernières années et ils se connaissent bien avec nos gouvernants.
    Mais à sa décharge, la seule manière de fixer tout le monde est de procéder à un procès équitable et juste dès que possible. S’il a su effacer les traces et ne pas s’exposer, ce sera à son avantage. Sinon, c’est lui faire de la publicité et cela ne fera que renforcer sa popularité et il deviendra effectivement un adversaire sérieux pour les élections. Ce qu’il n’était pas à mon avis.
    A bon entendeur..

  • Le 19 décembre 2017 à 12:31, par Ahmed En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé, « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

    Monsieur le Voltaique. Les carottes sont cuites . Il faut une autre insurrection vous dites. Vous pouvez être l’instigateur . Vous ne manquerez pas d’une âme satanique pour vous conduire. En attendant BASSOLET ne sera libre qu’après son procès ou bien vous prenez votre avion et vous allez aux nations unies pour faire venir déplacer le BURKINA au bord de l’ATLANTIQUE. Du reste vous pouvez embarquez toute votre famille et quitter l’Etat que vous appelez voyou . Si vous n’avez pas honte Blaise a eu honte et chaque jour que Dieu fait on le répète dans beaucoup de médias que Blaise a été chassé par la rue Bientôt par vos soins une autre insurrection ou une autre boussole pour votre programme politique

  • Le 19 décembre 2017 à 12:33, par Ahmed En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé, « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

    Monsieur le Voltaique. Les carottes sont cuites . Il faut une autre insurrection vous dites. Vous pouvez être l’instigateur . Vous ne manquerez pas d’une âme satanique pour vous conduire. En attendant BASSOLET ne sera libre qu’après son procès ou bien vous prenez votre avion et vous allez aux nations unies pour faire venir déplacer le BURKINA au bord de l’ATLANTIQUE. Du reste vous pouvez embarquez toute votre famille et quitter l’Etat que vous appelez voyou . Si vous n’avez pas honte Blaise a eu honte et chaque jour que Dieu fait on le répète dans beaucoup de médias que Blaise a été chassé par la rue Bientôt par vos soins une autre insurrection ou une autre boussole pour votre programme politique

  • Le 19 décembre 2017 à 13:01, par Ka En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé, « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

    Le web est un immense défouloir ou chacun vient pondre ses salades sans dignité, ni se ranger du côté de la vérité afin d’enrichir les débats qui demandent des critiques fondées. Entre les fausses nouvelles et les insultes, en passant par les partisans aveuglés par leurs ruses les plus nauséabondes, on trouve de tout. Et quand je remarque les progénitures dit fils à papa emprisonnés ou sous les coups de mandats d’arrêts, qui se permettent des insultes gratuites aux internautes de bonne foi qui essayent avec des critiques fondées de faire avancer le pays, le Burkina de 2017 avec ces derniers me font mal.

    Je persiste en disant que la justice Burkinabé pour sa crédibilité dans cette affaire du coup d’état à la maternelle de Djibril Bassolé, ne devrait pratiquer aucun traitement de faveur à qui que ça soit des accusés, surtout pas l’ange Djibril Bassolé.

    Tant que Dicko et consorts n’auront pas compris qu’ils doivent faire profil bas pour que la justice fasse son travail, et que toutes leurs gesticulations sont parfaitement contre-productives, la détention de Djibril Bassolé restera dans une flamme qui ne s’éteindra jamais entre la justice Burkinabé et les experts des N.U qui se prennent pour des donneurs de leçons.

    Nous devons en 2017 remercier Dieu en disant que la justice Burkinabé cherche à condamner les coupables ou libérer des innocents : Avec l’ancien régime de Blaise Compaoré qu’il soit coupable ou innocent, c’est fusillé et liquidé sans se rendre compte des règles du droit de l’homme.

    Les motivations de la justice Burkinabé que les enquêtes se poursuivent sont parfaitement claires et devraient donner à réfléchir aux experts des N.U et à tous les illuminés qui gravitent autour et demande la libération de Djibril Bassolé.

    De même, cela devrait infléchir la stratégie de la défense de Djibril Bassolé qui, si elle avait un soupçon d’intelligence, ne devait pas pousser la justice Burkinabé avec des multiples demandes de mise en liberté provisoires avec des ruses de maladie imaginaire : Vous voilà avec une liberté provisoire, et maintenant vous exigez sa libération totale sans que les enquêtes soient terminées.

    Monsieur Dicko Soyez raisonnable : Presque tous les accusés ou les présumés y compris votre mentor du coup d’état a la maternelle, ont été pris les mains dans le sac, est-ce bien normal qu’on ait réfléchi aussi longtemps avant de les juger et condamner ? D’autres qui ont simplement voulu volé des armes et les utilisé pour libérer leurs supérieurs a la MACA ont été jugés et condamnés. Alors donnez du temps a notre justice qui se construise pour une justice équitable. Ne poussez pas notre justice pour un retour en arrière appeler ‘’’l’injustice’’’ comme avec le régime Compaoré.

    L’alternance politique du Burkina voulu par sa jeunesse vient de naître, mais comment pouvons-nous construire durablement cette alternance avec des personnes comme vous dans la démocratie ? Comment faire avancer un pays assoiffé de vraie justice si vous et vos experts des N.U vous poussez la justice a commettre l’injustice ? Que Dieu tout puissant capable de tout, vienne en aide au pays des hommes intègres.

    • Le 20 décembre 2017 à 09:32, par konate Aziz En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé, « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

      Ne vous tourmentez pas pour les agitateurs payés. Les questions à poser sont simples :

      Est que Guillaume Soro et des autorités de la Cote d’Ivoire ont soutenu le putsch ? celui qui répond non a cette question est de mauvaise foi.

      Est ce que Bassolet a eu une conversion avec des autorités Ivoiriennes pour discuter de ce soutien ? Celui qui répond non à cette question n’a même pas la foi.

      Si après ça , on ne retient rien contre lui, qu’il est libre entièrement, qu’il n ’est poursuivi de rien, alors on a pas de justice. Djibril Bassolet n’est pas pas poursuivi par le MPP. RMCK est son ami. Mais personne ne peut rien contre la vérité.

  • Le 19 décembre 2017 à 14:09, par Ka En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé, « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

    Encore une fois je me permets de dire à toutes et tous mes lecteurs, et mêmes les enfants des responsables de l’ancien haineux de ma vérité, que Kôrô yamyélé reste Kôrô Yamyélé, et Ka reste Ka, chacun a sa critique fondée. Et toutes critiques stériles sans des propositions de meilleures a mon égard, ne mérites plus aucune réponse de ma part. Merci a toutes et a tous de me lire.

    • Le 19 décembre 2017 à 14:55, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé, « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

      - Mon ami KA, de toute façon, tout commence par ‘’K’’ n’est-ce pas ?

      Par Kôrô Yamyélé

      • Le 19 décembre 2017 à 18:03, par Ka En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé, « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

        Kôrô Yamyélé, reprends tes esprits : Après avoir m’accuser de bouffer dans l’assiette du MPP, quelque chose que tu sais que ce n’est pas de mon genre, ‘’’ce que les enfants des responsables de l’ancien régime très haineux prennent comme argument pour m’insulter.’’’ J’ai toujours avant l’insurrection et après, défendus tes critiques fondées sur des argumentations solides et de tes vécus, mêmes si de fois nous avons des différences. Si nous sortons tes critiques envers ces mêmes personnes de 1013 a 2014 dans les historiques des sites des réseaux sociaux, tu t’enterreras vivant devant maître Paul Kéré. Kôrô, ce que tu connais de Djibril Bassolé ne dépasse pas ce que j’avance dont les intellectuels ayant servi l’état de 1998 à 2014 savent aussi. Simplement aujourd’hui, je dis ce que vous autres savent, et disent tout bas. S’il te plait mon ami Kôrô Yamyélé, il est temps que tu mettes ta comédie de côté, et retrouve tes esprits pour apporter a tes lecteurs tes critiques neutres qui vont au peuple comme tu l’as fait durant des années.

        Relis toutes mes critiques sur les historiques des réseaux sociaux de notre pays durant les dix dernières années, et même de Lebanco.net en Côte d’Ivoire, tu verras que Ka n’a jamais dévier son idéale d’apporter ses critiques fondées qui vont pour le peuple et l’avancer du pays. Relis attentivement mes critiques fondées sur cette analyse, et si tu es le vrai Kôrô Yamyélé, tu t’abstiendras de me jeter des salades pour me faire insulter.

        • Le 20 décembre 2017 à 08:23, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé, « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

          - Mon ami KA, je suis bel et bien le Kôrô Yamyélé et en plus je ne t’ai jamais jeté des salades et je me refuse d’ouvrir une confrontation avec toi. Je dis simplement qu’il faut parfois un peu de tolérance. Je ne connais Djibril Bassolet ni d’Adam ni d’Eve, ou du moins je le connais comme un dirigeant respecté de ce pays qu’il fut même si lui ne me connait pas du tout ou ne se rappelle pas de moi. Et il faut aussi le dire, j’étais à la cérémonie de plantation d’arbres avec lui à la gendarmerie de Ténado quand il était CEMA de la gendarmerie. Simplement je dis que même les prisonniers ont des droits à fortiori lui qui n’est pas encore prisonnier. Je ne te souhaite pas d’avoir une maladie cardiaque comme lui mais dans sa situation, je crois qu’on devrait le laisser rejoindre son domicile pour se soigner et être dans les conditions. Sais-tu simplement qu’être parmi les siens contribue énormément à soulager un malade ? Tel que je te connais mon ami KA, je suis sûr d’une chose : si jamais Djibril décède dans ces conditions en détention ou en résidence surveillée, tel que je te connais, tu regretteras tout ce que tu dis et soutiens actuellement, même si l’orgueil t’empêchera de le dire à tous. Pensons simplement que ce monsieur aurait pu être un frère, un père, un ami pour nous, et comment aurions nous agit ? Mon ami KA, sans rancune et restons calmes. Merci.

          Par Kôrô Yamyélé

          • Le 20 décembre 2017 à 09:58, par Sawadogo baradey En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé, « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

            Quand 2 aînés que nous aimons tant, se déchirent, nous, on est un peu perdu ! balle à terre ! Puisse la sagesse de ka et les connaissances (intellect ) de Kôro nous eclairer, encore longtemps !
            Sur le cas Djibril, je partage la position de ka tout en comprenant un peu celle de Kôro.
            Mais ce que je comprends difficilement au niveau des 2 doyens, c’est un peu leur côté réfractaire aux critiques.
            Qu’ils continuent à nous éclairer mais qu’ils acceptent de temps en temps qu’on puisse les égratigner, sans pour autant être traités de quelque nom d’oiseau.

          • Le 20 décembre 2017 à 14:54, par Ka En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé, « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

            Kôrô Yamélé l’extrémisme exprime la pensée de celui qui n’admet pas qu’on lui oppose une autre manière de penser : Et j’ajoute que le flatteur ne vit qu’aux dépens de celui qui le croit. Comme l’a bien dit notre frère Norbert Zongo, ‘’’’’le pire ce n’est pas la méchanceté des hommes mauvais, mais le silence des hommes biens.’’’’ Peux-tu relire tes critiques fondées tirés comme des flèches brulantes sur le régime Compaoré dont faisait partie Djibril Bassolé il y a peine quatre ans ? Aucun internaute n’avait des critiques aussi pleines de vérité pour l’alternance politique du Burkina comme tu l’as fait. Et cette alternance a besoin de la démocratie et d’une justice saine pour tous.

            Et depuis plus de deux ans l’affaire d’une seule personne divise le peuple, ‘’’Djibril BAssolé.’’’ Kôrô Yamyélé, Djibril Bassolé reste un Burkinabé comme nous tous, comme tous les prisonniers malades, et si dans mes critiques je ne suis pas tendre, c’est que je reste sur mon idéal que tous les Burkinabé sont égaux. Djibril aujourdhui est comme tous les prisonniers cardiaques dans les cellules de la MACO. Et dans un pays comme le nôtre qui forme un seul village et une seule famille, le linge sale se lave en famille. Mais les proches et les responsables de la NAFA parti de Djibril Bassolé, prennent le peuple Burkinabé pour des moutons. Tant que ces derniers n’auront pas compris qu’ils doivent faire profil bas pour que leur mentor ait l’indulgence du peuple averti, et que toutes leurs gesticulations sont parfaitement contre-productives, n’importe qui aura des dents longues pour leur mentor.

            Faire chanter la justice, le pouvoir, n’arrange pas les choses. Si dès le départ Djibril Bassolé regardait son passé et était resté tranquille et dans la discrétion, il sera chez lui avec sa famille comme les Koné, TIAO et autres. Quand on est pour un Burkina en paix, où chaque pouvoir exerce sans interférence de l’un sur l’autre, on ne vient pas avec des experts des N.U pour forcer l’état a commettre publiquement l’injustice et bafoué notre système judiciaire. J’espère que tu me comprends, car le comportement typique des experts des U.N se résume a des grands donneurs de leçons, en nous disant faites de ce je dis, mais ne faites pas ce que je fais. L’adage est clair : "La Loi n’est pas faite pour ceux qui la font". Comment ces gens-là qui ne se respectent pas eux-mêmes veulent-ils qu’on les respecte ?

            Merci à l’internaute Sawadogo Baradey de nous lire : Les différences des deux aînés comme tu le dit, ont toujours fait la richesse du forum. Simplement il faut que ces différences vont au peuple avec un idéal de lutter contre l’injustice, et non de se découler pour ceux qui veulent barrer la route de l’alternance politique voulu par un peuple averti.

  • Le 19 décembre 2017 à 15:56, par Ka En réponse à : Burkina Faso : Djibrill Bassolé, « victime de manipulations politico-judiciaires et matraquage psychologique » (responsables de la NAFA)

    Merci aux internautes Ragnangue, Idi, Mafoi, et d’autres de bonne foi : Je vous prie de ne pas faire attention à l’intervenant SOS avec ses multiples pseudos à chacune de mes critiques fondées qui ne s’adressent pas à des individus de basse échelle comme lui.

    Je suis un internaute et un intellectuel honnête, et je m’abstiens d’intervenir sur des analyses avec des sujets que je ne connais pas. Mais la conduite criminelle du gendarme Djibril Bassolé depuis 1998 est bien connue du peuple Burkinabé, et cette affaire du coup d’état dont il a été pris la main dans le sac avec ses complices reste une affaire indéfendable, sauf des criminels comme lui peuvent le défendre aveuglement. Mais comme nous disait l’homme de Dieu et de la paix ‘’Martin Luther King’’ l’obscurité ne peut pas chasser l’obscurité, seule la lumière le peut. La haine ne peut pas chasser la haine, seul l’amour le peut.’’’

    Je ne suis pas un partisan du MPP ni un sympathisant ou membre, et même aucun parti politique au Burkina, simplement un retraité tranquille qui apporte sa petite pierre avec ses critiques fondées sur des argumentations solides pour la construction de l’alternance politique du Burkina voulu par sa jeunesse : Parmi cette jeunesse, mes enfants et mes petits-enfants et neveux.

    Je me bas pour une justice équitable au Burkina. Et comme je l’ai toujours dis ‘’’le combat pour la justice est celui le plus difficile à mener surtout avec des personnes comme Dicko et les experts des N.U qui veulent forcer nos juges et notre état à commettre l’injustice. Se battre pour une justice équitable, on ne se bat pour personne en particulier, mais pour que la justice soit pour tous, pour Djibril Bassolé, pour Diendéré et pour tous les opprimés sans exception.’’’ Ce combat noble n’est pas fait pour des personnes bornées comme SOS et ses multiples pseudos pour tromper les internautes de bonne foi. Pour cette affaire de Djibril Bassolé Dieu sera témoins pour le peuple Burkinabé, et le vernis du mensonge finira par tomber un jour et on verra la face hideuse de ceux qui le défendent. Tous les internautes de bonne foi, et qui veulent la justice ne doivent pas mentir et être tendre avec une personne comme Djibril Bassolé dont son passé le rattrape.
    Dans tous les cas même si les experts des N.U sauvent le soldat baigneurs du torrent de sang, tôt ou tard dans sa vie, il partagera le même destin que ceux qui assument, et veulent payer leurs actes. Ka farouche partisan de l’alternance politique du Burkina avec sa jeunesse.