Retour au format normal
lefaso.net

Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

Compte rendu
mardi 31 octobre 2017.

 

Les partis politiques membres du Cadre de Concertation du Chef de file de l’Opposition ont tenu une réunion extraordinaire le lundi 30 octobre 2017 au siège du CFOP, à Ouagadougou.

Présidée par le Chef de file de l’Opposition, M. Zéphirin DIABRE, la réunion avait les points suivants inscrits à son ordre du jour :

- Situation nationale ;
- Vie du Cadre ;
- Divers.

Au chapitre de la situation nationale, les participants ont observé une minute de silence en mémoire des martyrs de l’Insurrection populaire de 2014, à l’occasion de l’An III de cet événement. Dressant le bilan de l’évolution du pays, les partis d’opposition tirent la conclusion que le pouvoir du MPP a trahi les idéaux de l’Insurrection populaire, en ramenant les pires pratiques dont ils étaient maîtres quand ils conduisaient toujours la barque CDP.

Les partis d’opposition s’indignent également que, trois ans après, il n’y ait pas de justice effective pour les martyrs et leurs familles.

Toujours au chapitre de la situation nationale, les participants ont pris acte de la démission du Ministre de la culture, des arts et du tourisme, M. Tahirou BARRY. De surcroit Président d’un parti de la Majorité, M. BARRY a démissionné en peignant un tableau très sombre de la gouvernance actuelle. Dans un réquisitoire d’une violence inouïe, il a égrené les échecs du gouvernement, en insistant particulièrement sur le désarroi de la jeunesse, le dénuement de nos forces de défense et sécurité face aux terroristes, et la faillite du PNDES qu’il impute directement au Président Roch Kaboré, traité au passage de « vieux cow-boy désespéré dont les réactions ont mis au rouge tous nos indicateurs avec un plan de développement PNDES qui a lui-même besoin d’un plan d’urgence de sauvetage dans un océan sans rivage. »

Cette démission est le signe manifeste d’un délitement du pouvoir. Et c’est la preuve supplémentaire du bien fondé des critiques déjà formulées par l’Opposition dans ses deux mémorandums.

Toujours au chapitre de la situation nationale, les participants à la rencontre ont évoqué le scandale « Tranquillos ». Dans une vidéo ridicule mais authentique parue sur les réseaux sociaux, puis dans plusieurs médias, on voit le ministre d’Etat Simon COMPAORE, Kalachnikov en main et habillé de gilet pare-balle, au domicile d’un des députés démissionnaires de l’UPC. Dans un langage à la limite vulgaire, Simon COMPAORE menace de « chicoter les militants de l’opposition » et de faire arrêter le Chef de file de l’Opposition, et révèle que le complot contre l’UPC « a été bien préparé ». Cette vidéo a fait le tour de la planète et a couvert notre pays de ridicule.

Pour l’Opposition politique, cette vidéo est d’abord une preuve supplémentaire que le MPP, dont M. Simon COMPAORE est le Président par intérim, alimente bel et bien par son soutien politique et financier, cette cabale dont l’objectif est de casser l’UPC dans la perspective des présidentielles de 2020.

Alors qu’on n’avait pas fini d’épiloguer sur ce scandale, les Burkinabè ont constaté qu’à cause du comportement arrogant de M. Simon COMPAORE, les policiers de notre pays sont allés en grève en fin de semaine. L’incapacité du Ministre à résoudre la crise était telle que le Président du Faso a dû monter au créneau, rencontrer les policiers et prendre des engagements avec ces derniers, rencontre au cours de laquelle M. Simon COMPAORE était d’ailleurs absent.

Faisant suite à l’épisode des transporteurs routiers, c’est donc la deuxième fois, en quelques semaines, que le Président du Faso doit intervenir directement dans la gestion du ministère de M. Simon COMPAORE, pour régler une crise d’ampleur nationale. Dans une république normale, un tel ministre est congédié et remplacé par une personne plus compétente, surtout s’il s’agit d’un ministère sensible comme celui de la sécurité. Mais M. Simon COMPAORE étant un « actionnaire » important du MPP, il peut se permettre de narguer tout le monde, y compris le Président KABORE, lequel manque visiblement de l’autorité qu’il faut pour le sanctionner.

Dans la situation sécuritaire que vit actuellement notre pays, et après un tel étalage d’incompétence et d’arrogance, maintenir M. Simon COMPAORE à ce poste, c’est montrer qu’on ne prend nullement au sérieux la question de la sécurité des Burkinabè !

La responsabilité personnelle du Président du Faso est ici engagée, car c’est lui qui nomme aux hautes fonctions de l’Etat.

Au regard du comportement irresponsable de M. Simon COMPAORE et de l’incompétence notoire dont il fait montre face aux problèmes sécuritaires de notre pays, l’Opposition politique exige son départ immédiat de son poste de Ministre de la sécurité du Burkina Faso.

En plus, l’opposition politique va saisir la justice, en déposant une plainte contre M. Simon COMPAORE pour détention illégale d’arme de guerre, et pour menaces de mort sur des citoyens.

Au chapitre de la vie du Cadre de concertation, les participants ont pris connaissance des propositions relatives au projet de nouveau Code électoral. Une commission a été mise en place pour examiner le document et formuler les observations de l’Opposition politique.

Débutée à 18 heures, la réunion a pris fin à 20 heures, après l’examen de quelques points de divers.

Ouagadougou, le 30 octobre 2017
Le service de communication du Chef de file de l’Opposition politique



Vos commentaires

  • Le 31 octobre 2017 à 11:06, par BOINZEMOUINDE OUEDRAOGO En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    On est tous devenus des simons. De tahirou Barry, aux partis de l’oppositon politique et au President par interim du parti au pouvoir, vous etes tous des reactifs comme devrait utiliser dans les examens de laboratoire afin de determiner de quels genes sont nos homes politiques d’aujourdhui

    • Le 31 octobre 2017 à 14:28, par Simon En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

      est ce que simon aura la sagesse de demissionner parce que au regard de notre histoire seul les homme louable comme Mr Barry on eu le courage de le faire pour le bien de la nation. Simon en mode nepotism est ce qu’il peut abandonner ses privilège. Ministre kalachnicove !

      • Le 31 octobre 2017 à 22:10, par Sans rancune En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

        Le desormais ex ministre Barry ira braire ailleurs maintenant. Tous les deplacements de ce monsieur aux frais de l’Etat etaient beaucoup plus pour s’asseoir politiquement que pour le developpement de la culture et du tourisme.

      • Le 2 novembre 2017 à 11:11, par Minute En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

        Pas d’accord avec toi. Tahirou Barry n’a pas quitté le gouvernement de lui même. Étant en porte-à-faux avec le mentor du parti (PAREN), il n’avait pas autre alternative que de démissionner. Le poste qui revient au PAREN dont il n’est plus de bonne intelligence avec le mentor, que devait -il faire que de rendre le tablier. Ce qui m’a paru curieux, c’est ce qu’il a vomi après sa démission. Après près de deux ans au gouvernement, c’est quand il est contraint de partir qu’il voit en noir l’avancé du pays ! C’est malhonnête et irresponsable de sa part. Aujourd’hui, il n’a plus de branche sur laquelle s’accrocher. En suivant ce monsieur, on peut aisément donner raison au professeur BADO qui lui traitait de tous les noms d’oiseaux. C’est dommage pour un individu de ce genre qui confond politique et exhibition populiste aux répercutions dommageables. Les agitations politiciennes dont fait preuve l’opposition suite à ces machinations montées de toute pièce à des fins inavouées, ne doivent pas faire frémir une mouche car on se connait ici au FASO avec tous les coups que des politiciens en manque de légitimité peuvent concocter dans le seul but d’affaiblir l’adversaire. Nous serons toujours vigilent. Salut

    • Le 31 octobre 2017 à 18:17, par PAK En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

      Messieurs du CFOP, les populations dans les émissions interactives avaient donné l’alerte que M. Simon COMPAORE n’était pas à un poste (MATDSI) qu’il pouvait gérer notamment le volet "SECURITE" et ce, avant qu’il ne prenne fonction. M. Simon avait répondu qu’on lui faisait des procès d’intention alors qu’il n’avait même pas pris service. Aujourd’hui, c’est les symboles de l’Etat qui disparaissent progressivement dans une partie du territoire burkinabè déserté à raison par les travailleurs du secteur public avec près d’une centaine de burkinabè tombés sous les balles des assassins terroristes ; ce qui montre que notre système sécuritaire a montré toutes ses limites dans l’opérationnel et le premier responsable se doit de tirer urgemment de manière froide et clinique toutes les conséquences.
      Dommage !!!!!

  • Le 31 octobre 2017 à 11:08, par Malick Sawadogo En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Belle requête de l’opposition concernant le départ de Simon Compaoré ; mais jusqu’à preuve de contraire, ce n’est pas le CFOP qui forme le gouvernement du Burkina Faso ; encore moins pas le CFOP qui l’a nommé et n’est pas son superviseur non plus. Battez vous les gars, gagner le pouvoir en 2020 et nommer vos compétences comme vous voulez. Mais avant tout, gérer au mieux vos divergences internes pour nous démontrer que vous êtes capables de réunir les hommes et les femmes du Faso.

    • Le 31 octobre 2017 à 19:51, par keletigui En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

      Bonnes gens on vous dit que le pays n’est pas gouverné par des oiseaux migrateurs qui au moindre couac migrent vers la côte d’ivoire mais par des chenilles légionnaires qui ont la particularité de détruire les récoltes (deniers publics) jusqu’à la racine. TRAQUILLOS-RIDICULOS. Nous du Mouvement pour la Poursuite du P. on avance avec notre PPP (Partenariat entre Proches et Parents).

  • Le 31 octobre 2017 à 11:09, par SOME En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Non ! C est quoi cette connerie ? Décidément je me convainc plus encore que diable n est pas à la hauteur. En mal d idées, on sombre dans la politique politicienne du verbiage, de la phraséologie, etc à singer une certaine conception de la politique sans aucun egard pour les souffrances des populations. Bref à quoi nous rime cette sortie ? Juste pour exister et se dire opposant ? Mauvaise foi ou ignorance ? C est désolant et désespérant pour ce vaillant peuple Même pas un seul sur qui compter... la prochaine insurrection ne fera de cadeau à personne. Le oeuvre pour le peuple
    La patrie ou la mort nous vaincrons pour de bon
    SOME

    • Le 31 octobre 2017 à 11:43, par Biola En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

      Désolé pour vous. le CFOP n’a pas été consulté lors de la formation du gouvernement donc ne peut exiger le départ d’un membre du gouvernement. Si vous voulez avoir votre mot à dire dans la formation du gouvernement, alors il faut vous fondre à la majorité.
      Le sujet capital que vous deviez aborder, c’est comment ramener le dialogue entre l’upc et les frondeurs. Enlevez la poutre dans votre œil pour mieux voir la paille dans l’œil du MPP.

    • Le 31 octobre 2017 à 12:07, par tororoso En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

      Je suis un peu d’accord avec SOME mais en moins fort. J’avoue que Zeff me convainc de moins en moins.
      Comment comprendre qu’entre autre il puisse s’agripper à l’argumentaire de M Tahirou Barry pour exprimer l’opinion du CFOP dans cette sortie. Honnêtement et je le dis encore M Barry dont le propos a été d’une violence (!!!!) mais inqualifiable, d’un irrespect qui à mon sens a touché toute la nation, ne saurait être pris en exemple. Justement, c’est l’exemple type du recours à la phraséologie que M Barry a donné à voir.
      Sincèrement, avec tout le respect que je dois à ZEFF, je lui conseille de s’éloigner de M Barry et de façon générale du sensationnalisme.
      Je ne suis pas du MPP, mais je pense qu’il n’y avait que les ’diablotins’ du MPP pour tenir en respect le ’Grand DIABLE’ du CDP et de ses créateurs et supporters que sont les Frères Compaoré. La preuve est d’ailleurs là, avec les François, les Djibril qui continuent de narguer le pays en étalant leur toute puissance (Médiation baclée de septembre 2016, décision des potes de la CEDEAO, décision du club d’amis des Nations Unis ....).
      Les attaques terroristes de toutes part sont-elles fortuites ? Je demande à ZEFF d’être utile et d’aider à stabiliser le pays si tant est qu’il est si intelligent.. J’espère qu’il aura compris que le CDP et Blaise Compaoré et sa suite ne lui revaudrons rien demain s’ils reviennent aux affaires. Pas la peine de jouer au gentil avec eux.
      Stabilisons le pays contre tous ceux qui ’sabrent’ le champagne à chaque fois qu’on se fait taper dessus par les terroristes.
      Après avoir tout reçu du pays pendant plus de 27 ans (honneur, argent, pouvoir, et même femmes comme ils aimaient à le dire, Simon y compris j’en conviens..) il rêvent de voir ce cher FASO exploser comme la Syrie, le Libéria de l’époque tant que ce ne sera pas eux qui le dirigent. Les joutes, vous aurez l’occasion de le faire en 2020. ZEFF, considère ce pouvoir MPP comme la vrai transition vers un Burkina Nouveau. Aide les à stabiliser et tu seras un bon président pour les années à venir.
      Si le MPP échoue c’est tout le Burkina qui aura échoué et NOTRE ENFER N’EN SERA QUE PLUS INVIVABLE.
      Et l’histoire retiendra que ZEFF l’intelligent n’aurait rien fait.

    • Le 31 octobre 2017 à 12:09, par le justicier En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

      ka ka ka mon cher SOME tu n’as pas dis vrai sans qu’on le dise SIMON sait qu’il doit partir . Comment prendre un homme de son niveau à une soixantaine sonnée prend une arme KALACHNIKOV ET SE PAVANNE dans les domiciles .Une chose l’une soit, Il’ n’est pas sage ou bien un politique délinquant donc ne doit pas être devant le peuple BURKINABE.
      SOME DAGARA OU LOBI FAIT HONNEUR A TES ORIGINES ;

      • Le 31 octobre 2017 à 12:55, par z En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

        En plus il parle male et veut dire que les gens utilisent internet pour salir son image. en plus il dit ne rien connaitre des TIC. Alors qu’il quitte son poste on nom de la sécurité de notre pays

      • Le 1er novembre 2017 à 06:42, par Major En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

        Le soit disant Justicier, est incapable de dévoiler son nom de famille ! Ecoute, il ne s’agit pas d’une question d’ethnie, mais plutôt d’une question de bon sens. Il est donc interdit d’avoir une opinion différente du vôtre ? Un justicier ne prend pas des positions partisanes, mais il essai de donner son avis par rapport à la vie de la société ! A ce que je sache, Mr SOME n’a jamais dit que vous êtes dans du faux ! il n’a fait que donner son avis par rapport à un problème qui nous concerne tous ; vous n’êtes pas obligé d’être d’accord avec lui, mais de grâce ne soyez pas aigre qu’il n’aborde pas dans votre sens ! Nous n’allons pas vous permettre de faire sombrer le pays par soucis de vengeance !

      • Le 2 novembre 2017 à 11:48, par Minute En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

        le justicier, soit courtois et polis. Tu te rendra service à toi et surtout à ta famille réduite qui ne se sentira pas bien de l’ascenseur qui te sera retourné. Il ne faut pas prendre les caricatures et les mises en scène par le truchement des nouvelles techniques de l’info et de la communication pour monnaie comptant pour insulter des autorités. Souvent, on n’a pas envie de répondre à des saletés dont vous faites étalage. Restez toujours polis et respectueux des autres.

  • Le 31 octobre 2017 à 11:33, par LAMBY En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    vous voulez que TRANQUILOS quitte pour deveni

    r DIFFICULOS alors.

  • Le 31 octobre 2017 à 11:42, par Harouna En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Je soutiens totalement l’ opposition dans sa demarche . Simon doit demissionner. La vidéo nous revèle beau de choses sur ce Mr qui est né le jour où la honte était dans la concession de ses parents. Nous avons la preuve que c’ est lui qui a causé la crise que l’ UPC connait actuellement Sinon pourquoi se rendre chez un des Frondeurs pour menacer ses propres militants et promettre de traduire leur President Zephirin D à la justice. . Pour l’ honneur des vontants du MPP , le president doit faire un remaniement et soustraire ce gars de son equipe.Le Burkina Faso n’ appartient pas au MPP et sa clique .

  • Le 31 octobre 2017 à 11:48, par Dedegueba Sanon En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Hé ! Laissez Simon en paix. Il est ce qu’il est, mais reconnaissons lui son honnêteté, son patriotisme et son engagement. Au moins il "bouge" lui. Beaucoup sont payés à ne rien faire.Dans le gouvernement comme dans les ministères.
    Personnellement je ne vois pas une faute qui vaille la démission de Simon. C’est facile de critiquer lorsqu’on ne fait rien.
    Je vais heurter certaines personnes sans doute, mais après Salif, il ne nous reste que Simon.
    S’il s’en va, nous sommes "enterrés vivants", car je ne vois personne au gouvernement qui "aime" (engagement désintéressé ) pays comme Simon.Roch veut être gentil avec tout le monde, conséquence la "dynastie en fuite", a des velléités de reconquête et de retour, elle se met à donner de la voie.
    Simon est le verrou des " ex RSS " qui ne doit pas sauter, sinon.....
    Le CFOP actuel est truffé de revanchards, faisons une bonne lecture de leur "agitation politique".

  • Le 31 octobre 2017 à 11:55, par joel En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    C’est pitiant. Cette sortie démontre la bassesse et le manque de vision de nos hommes politiques. De toute façon, le bilan de Simon n’est pas comptabilisé chez l’opposition. Grandissez un jour.

  • Le 31 octobre 2017 à 11:58, par Rémily En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    comme c’est l’opposition qui nommé simon là !!alllez-t l’enlever,zeph préoccupe toi des affaires de ton parti au lieu de chercher poux sur crâne rasé.certain des députés t’accuse non il faut éclairer ça d’abord.
    Je remarque que tu es incapable de mettre gérer des Hommes !!!

  • Le 31 octobre 2017 à 12:15, par BILA En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Dire que Simon COMPAORE doit démissionner ou être démis de ces fonction est une trivialité, et cela depuis la nuit des temps. Son profil ne correspondant pas avec celui d’un homme devant travailler dans une démocratie qui se respecte. IL EST FAIT POUR UN POUVOIR DU GENRE DE BLAISE COMPAORE.
    Monsieur Simon COMPAORE surtout accumulé suffisamment de raisons pour être ’’UNA PERSONA NON GRATA’’ une personne non désirée dans ce Burkina nouveau.
    Remontant depuis l’Affaire Norbert ZONGO, il avait déjà son nom cité comme ayant rencontré des victimes pour les convaincre de livrer Norbert ZONGO, (Remettez les bandes et écouter ; vous vous rappellerez). Il a même dit un jour toujours dans ce cadre ’’KUILG RHI BOUMB SIN SAON WED-WAGRE" Le fleuve a emporté mieux que le cheval inutilisable.
    Les autres frasques, nous les connaissons tous datant de depuis l’arrivée au pouvoir du MPP.
    Bref, il ne faudra pas oublier que Simon COMPARE était le premier de l’ère COMPARE a fêter ses milliards ; un fonctionnaire.

    Simon,
    Quand dans un milieu on ne s’entend pas avec une ou deux personnes ça peut passer ;
    mais quand ça devient tout le monde contre toi seul, alors il faut changer.
    Ici, toi Simon à toi seul tu as tous contre toi (disons ainsi puisque tu crois que l’on ne t’aime pas seulement). Alors, la meilleur des solutions c’est de démissionner ; SI NON ON VA TE DEMISSIONNER et POINT BARRE !
    Ce qui est sûr, u ne doit pas quitter ce pays par ce qu’à l’allure où vont les jugements, TON NOM REVIENDRA DANS L’AFFAIRE Norbert ZONGO.

  • Le 31 octobre 2017 à 12:21, par 21 En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Si vous voulez, attendez 2020 et si vous êtes au pouvoir, vous n’aurez même pas à demander à Simon de partir. En attendant, foutez nous la paix. Toi zeph là on t’a donné le pouvoir cadeau en 2014 tu as eu peur et maintenant tu vocifères partout.

  • Le 31 octobre 2017 à 12:49, par Jean MOULIN En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    "Les partis d’opposition s’indignent également que, trois ans après, il n’y ait pas de justice effective pour les martyrs et leurs familles.", j’espère que le CDP était présent.

    Vous demandez la démission de M.COMPAORE Simon, ministre de la sécurité ! Peine perdue car Son Excellence, M.le Président du Faso est impuissant devant ce monsieur sinon il n’allait pas se précipiter nommer un nouveau ministre en charge de la culture sans résoudre le cas de "M.Tranquillos".

  • Le 31 octobre 2017 à 13:03, par Leicora En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Le jeu démocratique veut qu’il ait des gens pour appliquer leur programme (parti au pouvoir) et des gens pour le critiquer (opposition). Donc le CFOP et ses camarades sont dans leurs droit et devoirs. Il apparait clairement que le Pouvoir doit montrer sa capacité à résoudre les problématiques auxquelles sont confrontés les populations du pays. Quand on regarde, ce que l’on voit, c’est que l’injustice est plus forte aujourd’hui qu’hier. Quelques situations d’injustices : les opérateurs immobiliers continuent de bénéficier de permis de lotissement et de construction alors que les vaillantes populations sont oubliées. Les autorisations de manifestation distribuées selon les visages. Les PPP qui sont un pont d’or pour se redistribuer les fonds du fameux PNDES......et sans compter l’incapacité notoire du gouvernement à assurer la sécurité des populations. Beaucoup de nos concitoyens pensent que les lendemains ne sont pas reluisants. Je penses que le pouvoir doit mieux faire et montré que nous nous trompons sur leur compte. Dieu bénisse le Burkina Faso.

  • Le 31 octobre 2017 à 13:04, par Dignité En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Je pensais être seul à avoir cette opinion sur cette sortie ! Nulle ! Pour une des rares fois, Zeph est passé à côté ! Il risque encore une fois de se faire n...er sans préservatif (excusez-moi du terme....) par cette nouvelle opposition (ancien régime). Et en fin de compte, cet ancien régime l’aura utiliser par deux fois au moins (MPP pour la première fois et CDP et Cie pour la 2ème fois).
    Zeph, évite de descendre ci bas !

  • Le 31 octobre 2017 à 13:07, par en verité je vous le dis En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Ridicule CFOP si le problème du Burkina se résume à Simon on voit que vous n’avez pas de vision pour le pays.Parce que Simon a menacé d’en découdre avec vos militants drogués que vous vous indignez si on doit suivre votre logique Zeph doit démissionner lui qui encourage ses drogués de brutaliser les députés démissionnaires.Il faut que l’état investisse l’argent qu’il verse au CFOP pour s’occuper des problèmes sérieux du Burkina car ils profitent de l’argent du contribuable pour nous pondre des conneries.pourquoi vous ne demandez pas la démission du président du faso

    • Le 31 octobre 2017 à 18:13, par Seydou En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

      Il ne faut pas défendre l’indéfendable.

      Dans quelle république digne de ce nom, on a vu un civil brandir une arme et proférer des menaces à l’endroit d’autre citoyens sans être inquiété ? Simon COMPAORE n’est pas un militaire, il n’est pas policier (même s’il est ministre chargé de la sécurité), il n’est pas gendarme, pourquoi brandit-il sont arme au vu de tout le monde ? C’est vraiment ridicule. Le monde entier rit de nous maintenant.

      Simon COMPAORE a mis la honte sur le pays. Ce pays si envié, qui a organisé une insurrection et chassé un dictateur après 27 ans de pouvoir. Si c’est chasser un dictateur pour mettre en place des individus qui s’offrent ainsi en spectacle, cette insurrection n’en valait pas la peine. C’est une honte nationale. Le pays ne mérite pas cela et il convient de le dénoncer.

      • Le 2 novembre 2017 à 17:27, par Un Français En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

        Nous, en France, depuis un certain temps, le Burkina Faso nous fait bien rigoler.
        Alors évidemment, on n’y comprend pas grand chose et de nombreuses énigmes doivent relever de tambouilles internes que seuls les Burkinabé (enfin, certains d’entre eux) sont en capacités de comprendre (Ah, l’Afrique mystérieuse).
        Néanmoins, vu d’ici, ça nous fait bien marrer.
        Après le coup d’état le plus bête du monde, l’attentat le plus stupide de la planète (si, si, attaquer un restaurant halal, il fallait le faire), maintenant vous avez le ministre de la sécurité le plus ridicule de l’histoire de l’humanité.
        Amis Burkinabé, je vous espère très susceptibles.... à vous lire...

  • Le 31 octobre 2017 à 13:07, par M.S. En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Ceci est une tentative, à défaut bien sûr, de rendre une réflexion de Feu le Capitaine Thomas Sankara, président du CNR : "Il n y a que ceux qui ne font rien qui ne commettent pas d’impairs. Chaque jour que Dieu fait, nous commettons des erreurs. Ce qui est le plus important, ce n’est pas de demeurer dans l’inaction de peur de commettre des erreurs, mais c’est l’humilité dont nous devons faire preuve pour reconnaître nos erreurs, faire notre autocritique et travailler à les corriger ...". Si chaque écart, impair ou manquement d’un membre du gouvernement devrait être sanctionné par l’’auto-démission’ ou la ’démission par autrui’, il est à craindre qu’il ne reste plus de membres de gouvernement (quel que soit le parti qui accède au pouvoir) après quelques mois seulement d’exercice, du moins les membres du gouvernement qui vont effectivement au charbon. Peut-être serait-il plus adéquat pour ceux qui ont d’autres projets de société à proposer, de capitaliser sur les erreurs de ceux qui sont au pouvoir afin d’en tirer le plus grand bénéfice aux échéances électorales à venir.

  • Le 31 octobre 2017 à 13:12, par PALIUS En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    QU,ATTEND L’OPPOSIT¤ POUR ORGANISER UNE MARCHE POUR OBLIGER LE POUVOIR ?

    • Le 31 octobre 2017 à 17:27, par idi En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

      PALIUS, l’opposition n’a nullement le monopole de le rue ! D’ailleurs, Me Bénéwendé l’avait dit quand Zeph et son escouade avait ménacé de descendre dans la rue suite au vote du PPP : la rue ne peut inquiéter ceux qui y sont nés !!
      C’est une opposition qui est certes dans son rôle, mais ici nous pensons qu’elle en fait trop.
      L’impression que j’ai, c’est Zeph a à quelque part un pacte, sinon un devoir de redevabilité avec le CDP. Remarquez que le CDP ne critique jamais frontalement l’UPC et vice-versa. Il semble y avoir qqch !
      Simon sur ce coup n’a pas été prudent ; mais soyons honnête ce qu’il a fait n’est pas mauvais à mon sens. Des gens menacaient de bruler le domicile du député en question et Simon est venu le rassurer, en tant que ministre de la sécurité. Y en a qui ont fait pire !!! surtout du côté du CDP j’en suis certain ! L’UPC qui sert de faire valoir doit se ressaisir. Ce que Zeph ne perçoit pas, c’est que les gens sont révoltés quand on le voit avec les gens du CDP critiquer le pouvoir en place. De grâce, ne te mélange pas à eux. que face ces critiques à part ! Les gens du CDP, surtout les gourous, n’ont pas peur de Dieu, même un peu ! Mais Dieu est grand !

  • Le 31 octobre 2017 à 13:21, par Djibi En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Nous avons marre de ces déclarations politiciennes, le peuple n’est pas dupe, quelles sont vos solutions pour le peulpe ? Vous avez réfusé de coopérer donc laissez la majorité gérer son mandat, travaillez à en arracher en 2020 et c’est tout. Avez-vous un ministre de la sécurité à nous proposer ? Personne ne suit aveuglement un politicien haineux encore. Nous vous connaissons tous !

  • Le 31 octobre 2017 à 13:30, par sidbala En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Monsieur du CFOP, ce que vous ne savez pas, c’est que simon est un coupeur de route, il ne faut pas négocier son départ, il faut simplement le chasser de son poste en maintenant des settings interminables, parce que comme vous l’avez dit Rock ne peut rien contre simon, souvenez vous qu’il avait dit aux policiers, qui étaient le voir à domicile pour lui signifier leur mécontentement sur les questions d’émoluments, d’aller voir Rock s’ils ne sont pas content du fait qu’il soit ministre de la sécurité.

  • Le 31 octobre 2017 à 13:41, par fasobiiga En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Vraiment ça fait pitié certaines réactions. On comprend aisément pourquoi nous sommes en retard. Donc l’opposition ne peut pas exiger le départ d’un ministre de la majorité ? En restant sur un niveau de raisonnement aussi bas, on peut aussi affirmer que l’opposition ne doit contester aucune décision gouvernementale alors.
    Soyons sérieux et grandissons un jour. Au Burkina on est tout le temps prompt à citer les autres lorsque ça nous arrange, par contre lorsque nos intérêts sont en cause, on oublie ce qui se fait ailleurs. Le même Simon Compaoré passe son temps à affirmer que même au USA , France il y a des attaques terroristes. Mais ailleurs également, après une bourde pareille il ne serait plus au gouverment mais face à la justice pour répondre de ses actes irresponsables et indignes d’une autorité à ce niveau.

  • Le 31 octobre 2017 à 14:16, par Juste En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Je pense qu’il faut un recadrage au niveau du CFOP ; vous ne pouvez pas cohabiter avec les bourreaux d’hier et vouloir qu’on vous prenne au sérieux. C’est vrai le CDP est dans l’opposition en ce moment mais le CDP ne peut pas parler de martyrs de l’insurrection parce que c’est eux qui ont engendré ces martyrs. Monsieur le chef de file de l’opposition, remuez votre cerveau, trouvez la parade qu’il faut parce que vous ne pourrez pas prospérer avec le CDP ; ces alliances contre nature finissent toujours par échouer. Des gens qui ont exercé le pouvoir dans l’arrogance, le sang et la division du peuple ne peuvent pas vous aider dans votre tâche de chef de file. C’est vrai, vous tous êtes comptables y compris ceux qui sont au pouvoir aujourd’hui des années de règne du clan COMPAORE mais de là à continuer à pactiser avec le diable c’est à ne rien comprendre dans la démarche du CFOP. Monsieur DIABRE en tant que lui traine déjà des casseroles, si on doit ajouter les casseroles du CDP ça devient compliquer pour toute l’opposition. Je commence à comprendre un peu les députés dissidents de l’UPC.

  • Le 31 octobre 2017 à 15:29, par James En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    slt à tous !

    Je demande à l’opposition de se contenter de leur vie politique. Comment vit leur parti qui n’est qu’une infime portion du gouvernement. Dans les différentes familles nucléaires beaucoup de parents ne font pas l’honneur de la famille et les enfants n’épousent pas la manière de gérer les choses mais ils demeurent toujours chef de famille.
    Chers membres du CFOP FOUTEZ NOUS LA PAIX.
    NOUS AVANÇONS SVP
    Vous n’êtes pas obligés de rester au Faso car ceux qui ne veulent pas du pays se sont naturalisés.

  • Le 31 octobre 2017 à 15:36, par Sacsida M’ba Simon En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Chers internautes,
    Je partage la position du Chef de file de l’opposition politique pour que le Président du Faso, par l’intermédiaire du Premier Ministre limoge, démette, "illico presto" Monsieur Simon Compaoré.
    Un Ministre d’Etat plus qu’un citoyen lambda n’a pas le droit de se promener avec un fusil d’assaut (de type Kalachnikov) au domicile d’un traître de l’UPC (vu le contexte politique du moment) tout en proférant des menaces de "chicoter" les opposants, en commençant par le chef de file de l’opposition. La plainte pénale du Chef de file de l’opposition politique est donc parfaitement fondée : "Détention illégale d’arme de guerre et menace de mort". Le Parquet de Madame Le Procureur de la République doit même se saisir d’office de cette plainte pénale sans même attendre la plainte du chef de file de l’opposition car ces images authentiques ont fait le tour du monde et ont durablement sali honteusement l’image du Burkina Faso décrit par Me Olivier SUR dans le procès de l’extradition de Monsieur François Compaoré devant la Cour d’Appel de Paris comme un "Etat de non-droit". Cette preuve suffit, à elle-seule, si besoin en était, pour démontrer que notre pays est une République "bananière".... Et le mot est d’ailleurs faible...
    Dans quel pays un Ministre de l’intérieur peut-il se livrer à un tel spectacle désolant. J’ai pitié pour Monsieur Simon Compaoré et surtout pour sa famille qui n’y est d’ailleurs pour rien dans ces frasques du destin d’un homme voué inéluctablement à l’échec pour avoir juré devant son pasteur dans une église protestante ne plus "faire la politique" et se retrouver au coeur de la politique dans notre pays. Pour un fils de pasteur, c’est un blasphème qui se paiera cash. Chacun est responsable de son propre fait et la justice ne doit pas tolérer un tel comportement. Le meilleur conseil est que Monsieur Simon Compaoré démissionne pour aller s’occuper du mpp. Si celui-ci refuse ce conseil, ce qui va lui arriver , il en sera le seul et unique responsable. Sacsida M’ba Simon.

  • Le 31 octobre 2017 à 15:39, par Sacsida M’ba Simon En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    M. "Juste" dit l’injustice, le recadrage c’est plutôt au niveau du Ministère de l’Intérieur et de la sécurité. Vous ne voulez pas voir la vérité en face parce que vous agissez par passion. Mais vous verrez la fin de cet épilogue gouvernementale. Si Simon ne part pas, ce sera la catastrophe pour tout le mpp.

  • Le 31 octobre 2017 à 16:07, par NZ En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Les messagers ont décidé d’envahir la toile et les forums. Quelque soit le débat, aucune analyse sincère et objective n’est faite avant de se lancer dans les diatribes. Ce n’est que le début. C’est sûr que cela va s’accentuer dans les jours à venir contre toute voix discordante. Svp « rehaussez » le niveau du débat afin que cela profite au Burkina. On doit se départir de ces comportements qui nous bloque et voir plus loin.

  • Le 31 octobre 2017 à 16:24, par Ka En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Camarade SOME, je cautionne ton analyse fondée, car les sorties de pacotille de l’opposition fantôme diriger par Zéphérin Diabré, et manipuler par la CODER avec ses responsables comme Gilbert Ouédraogo et Achille Tapsoba nés génétiquement de père en fils pour trahir, aucune action de Zeph contre les imparfaits de nos décideurs du jour ne sera pris en compte par un peuple averti. Sortir pour soutenir ZAIDA qui défie les autorités afin que le Burkina devienne un lieu de FAR West, Zépherin Diabré perd ses vrais repères politique de défense. C’est pourquoi mon camarade de lutte SOME, je classe l’opposition Burkinabé avec Zépherin Diabré parmi les oppositions du continent africain qui a un seul problème, ‘’’’’celui de s’opposer à une personne qui ne la convienne pas, et qu’elle ne veut pas.’’’’’’’ A partir de là, tout ce qui émanerait de cette personne en tant que projet ou sous sa gouvernance comme le cas de son excellence Roch Kaboré et sa clique, détesté par les responsables de l’ancien CDP, devenus les charognards de la CODER qui veulent la réconciliation sans justice, il n’y a aucune opposition crédible au Burkina que des mendiants. Avec des responsables comme Gilbert Ouédraogo, Achille Tapsoba autour de Zepherin Diabré qui le manipulent comme soutenir Zaida, cette opposition de Zépherin Diabré qui sombre dans l’ombre dira non à tous les projets bons ou mauvais de Roch kaborè et son gouvernement.

    • Le 31 octobre 2017 à 17:51, par Seydou En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

      C’est facile de dire « il n’y a aucune opposition crédible au Burkina que des mendiants. » Qu’est ce que tu proposes-toi pour que le pays sorte de cette situation. Quel est ton projet de société ? Si tu n’as pas de proposition concrète, il vaut mieux te taire.

      • Le 1er novembre 2017 à 02:16, par Sonia En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

        Cher frère Seydou !
        Il me semble, et c’est un fait établi, que vous n’avez pas du tout compris le post du Koro Ka. Relisez le posément et vous verrez la teneur à l’analyse. Ici, Ka ne recherche pas de solutions pour le Burkina, tout comme l’écrit du CFOP non plus. C’est plutôt la posture incommode du chef de file de l’opposition à travers ses sorties sur la vie nationale qui est appréciée par Koro Ka avec beaucoup de lucide d’ailleurs et à "travers une critique fondée sur une argumentation solide" comme il aime à le dire lui même. Cette évidence de l’inconfort de monsieur DIABRE est fort justement dépeinte par le post de l’internaute Alex juste en bas du vôtre. Et c’est clair.
        pour ma part, il est difficile, voir surréaliste par exemple que le CFOP nous avance ici l’absence de justice des insurgés. Question : le CDP et l’ex majorité, maintenant majoritairement représentée dans l’opposition ont ils réclamer justice ? J’en doute, car la CODER, composée de cette ancienne "brigade" tripatouillarde et friande de patrimonisation ad vitaeum aternum est encore dans ce CFOP et ne recule devant rien pour restaurer l’ordre ancien que lui ZEF a activement contribuer à détruire ? Vous comment parviendrez vous a trouver le juste milieu dans ces conditions ? ZEF aurai eu du mérite de s’affranchir de calcul et rester sur la trajectoire qui la lancer car c’est elle qui le place en haute estime dans les cœurs des burkinabé au lieu se se retrouver dans des méandres où la seule façon d’agir est d’aller à contrecourant des attentes chèrement payées par le sang pour donner une respectabilité au burkinabé.

        cordialememt.

        Sonia.

    • Le 1er novembre 2017 à 07:40, par Veni vidi vinci En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

      Mon cher petit Ka,
      Avant de poster vos messages, prenez le temps de vous relire. Ça ne vous fera que du bien. En toute sportivité. Salut !

  • Le 31 octobre 2017 à 16:59, par Alex En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Pour ma part, je pense que Zeph est dans une situation très difficile et joue un rôle des très hardus. Je pense que c’est une chance pour le Burkina que l’UPC ne se soit pas fondu dans la majorité présidentielle comme le souhaitaient certains. Imaginez un temps soit peu que le CFOP était entre les mains du CDP ! Je postule que le pays avait fini d’exploser tant l’esprit revanchard est grand dans ce parti. Zeph essaie de rentrer dans son rôle de Chef de file de l’opposition politique mais c’est pas facile de cohabiter et de concilier deux natures diamétralement opposées (UPC acteur important de la chute de Blaise compaoré et l’ancienne mouvance présidentielle c-a-d CDP, ADF/RDA et autres). Zeph, "le fondateur de l’alternance" sait que son plus proche partenaire est le MPP avec qui il a mené un pan de la lutte du peuple vers son émancipation. On a beau critiqué Zeph, mais sa position dans le CFOP vaut mieux et cela freine toutes les velléités du CDP. Réfléchissons-en et soyons moins critiques.

  • Le 31 octobre 2017 à 17:11, par kouadio En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Il faut argumenter au ieu d’insulter. J’ose croire que ceux qui insultent sont payes pour le faire sinon je ne peux pas comprendre cette débauche d’énergie pour pondre des inepties. Car il ne faut pas jouer avec le pays qui vient de subir des attaques au sahel ou des militaires ont été blesses par des mines.

  • Le 31 octobre 2017 à 17:20, par Moi-même En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Je suis ecoeuré par le dégré d’immaturité de bon nombre d’internautes qui pense que l’UPC devrait se démarquer du CDP :
    - d’où proviennent les RSS ?quel dégré d’influence avait-il dans l’ancien CDP ? Quelle était la place du Président du CDP actuel (Eddie K.) quand le RSS étaient aux commandes ?Pouvait il lever le doigt face à ces derniers ?
    - Soyeux consciencieux car que ce soit du côté de l’opposition et du pouvoir y compris la société civile, il y a bien des gens hautement qualifiés pour contribuer au developpement de ce pays.
    J’attends le moment où, au lieu de s’attaquer aux idées des autres, les internautes proposeront des thématiques avec la participation de tous avec esprit critique sans haine.

  • Le 31 octobre 2017 à 18:14, par passakziri En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    J’avoue que j’ai été plus que géné de voir ces images sur les réseaux sociaux montrant Simon dans cette posture et tenant un tel langage. C’est pas sérieux de la part d’un ministre. Q’aurait-il fait de sa Kalach si d’aventure des manifestants non armés se positionaient aux alentours ? aurait-il vraiment appuyé sur la gachette ? Décidement. Simon bien qu’étant ministre de l’intérieur reste un civil et je me demande s’il respecte vraiment les lois et règlements en se pavanant avec des armes de guerre.
    L’argumentaire selon lequel l’opposition devrait attendre 2020 pour oser changer les choses ou encore que n’ayant pas formé le gouvernement ne peut exiger la démission du minitre est aussi pueril et bête. Parce que A a gagné les élections, cela ne reduit pas B, C à Z à rester passif et cautioner tout ce qui se passera tout au long du mandat. Le rôle même de l’opposition s’est de s’opposer aux actions négatives du gouvernement et des membres du gouvernements pour les inciter à de meilleurs résultats . Pour cela, pas besoin d’attendre 2020 pour ca. Et concernant le comportement de Simon, je pense que ca fait vraiment honte au pays. Domage que le " rien ne sera comme avant" ne soit qu’un voeux apparement encore incompris des politiques au Faso. Domage pour le sang versé pour arriver à ce résultat

  • Le 31 octobre 2017 à 18:37, par warzat En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Avec la disparition du maillon fort de la chaine (Salif Diallo), on s’attaque à un second maillon qui a prêté le flanc à la critique et aux attaques (Simon Compaoré). Si ce second maillon saute, il ne restera plus que le président et certains pensent pouvoir faire ce qu’ils veulent. Une chose est certaine, ce n’est pas ceux qui peuvent et se connectent aux réseaux sociaux qui font gagner par leur voix des élections. Le Burkina est vaste, ce n’est pas seulement le centre et le plateau central. La majorité dont le vote est cohérent, provincial, qui peut faire basculer des élections, votera en fonction de la réalisation de leur aspiration et non du comportement de Simon, des mécontents circonstanciels. Il faudra veiller et bosser dur.

  • Le 31 octobre 2017 à 19:02, par Amadoum En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Comment voulez-vous que notre pays se dirige vers un lendemain meilleur. Aucun de nos dirigeants, au pouvoir ou dans opposition, ne veut vraiment developper le du Burkina Faso. Il n’y a pas assez d’altruistes pami eux.

    Tout commence et finit par eux ; tout se limite a eux et les leurs, point barre !

  • Le 31 octobre 2017 à 21:19, par SOME En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Ecoutez laissez simon tranquille. Je suis bien loin d’etre un fan du mpp ; vous connaissez ma positionvis a vis de ce gouvernement, si on peut encore l appeler gouvernement. Y a t-il un pilote dans l’avion burkina ? contrairement a ce simon veut montrer, c’est non et c’est pourquoi ces individus peuvent se permettre d’agir ainsi.

    Oui, quoi qu’on dise diabre reste responsable du comportement de ses militants au lieu de s’en prendre a simon et au gouvernement : ca n’a rien de politique, cette position. Quand les hooligans deboulent, c’est le club qui est condamné. Si d’aventure la constitution ne dit rien sur le nomadisme politique, il appartient a l’opposition de travailler à l’interdire. A commencer par mettre de la discipline dans ses elus. On est elu dans un parti pour porter le message d’un parti et du moment que l’on ne peut plus porter ce message, on est disqualifié. On remet les mandats en jeu au pire des cas.

    Quant au fait que simon une arme de guerre, sachez que simon est le premier des policiers du burkina. Certains croient voir l’occasion pour se venger de simon ou croire detenir une portion de pouvoir dans l’espoir d’exister. Que simon parte aujourd’hui, vous n’en serez pas plus aidé : le probleme est global, ce n’est pas une question de simon seulement. C’est vous qui avez voté simon, debrouillez vous avec et attendez les prochaines élections : remettez le au pouvoir et venez vous plaindre !

    Aucun citoyen ne peut aller menacer un autre pour ses positions politiques. Déjà chaque village qui ne veut paas de son maire ou de son conseiller va se lever et decider de le debarquer, suffit-il qu’on sache bien les instrumentaliser. On a vu des villageois marcher pour qu’on libere Bassolet. Demandez leur ce qu’ils en comprennent vraiment. Ne concevons pas ainsi la politique. Le combat doit etre interne au parti : si diabre n’a pas les capacites pour diriger et discipliner son parti, tant pis pour lui. Ce n’est pas au gouvernement de resoudre ce probleme, mais diabre est responsable quand ca devient des menaces contre des individus fussent-ils des elus pour une question de discipline de parti. Etre de l’opposition, ce n’est pas chercher par tous les moyens a faire tomber un gouvernement. C’est pitoyable, surtout quand on s’allie a des individus comme le CDP.

    Simon doit voir ce que ca donne quand on ne gouverne pas. De quelle justice parle simon ? A cet elu d’aller porter plainte car au moins il connait certains d’entre eux. L’agitation de simon me laisse croire qu’il n’est si innocent dans ces defections : certains familles ont été menacés et battues chez eux par des inconnus, simon s’est-il presenté la bas ? Est-ce parce que lui il est un deputé ? ou defends tu la loi ou defends tu tes interets de debaucher les elus des autres partis ? envoie t-il des CRS garder les villageois, y compris des elus municipaux, abattus dans les villages chez eux durant la nuit ? Combien de materiels a-t-il envoyé aux militaires qui se font canarder dans le nord et qui sont obligés de fuir leur poste par manque de moyens ?
    SOME

  • Le 31 octobre 2017 à 22:10, par Henriette kouassi En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Bonjour a toutes et a tous.Que le Tout Puissant sauve L’AFRIQUE et le Burkina. Nous allons parler comme les Algeriens.Y a t il pas un Rawlins au Burkina ?MPP, attention.....

    • Le 2 novembre 2017 à 15:18, par Richa En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

      Ma sœur Henriette, Dieu vous bénisse. Vous venez de dire haut ce que beaucoup de personnes pensent tout bas. Il faut un Rawlings, un vrai au Burkina et pas qu’au Burkina. Il faut des Rawlings dans pas mal de pays africains. Aujourd’hui le Ghana souffle. En tout cas, il y a moins de pagaille et moins de corruption généralisée que par chez nous au Faso et chez certains de nos voisins. Il faut un Rawlings ici au Burkina qui en arrivant au pouvoir, nettoie la maison Burkina de fond en comble sans état d’âme et remette les choses en ordre avec fermeté et sans ménagement, comme ce fut le cas au Ghana. Aujourd’hui, les ghanéens remercient Rawlings. Pourtant, à ses débuts, il n’a pas toujours été compris. Mais pour y arriver, il a fallu que lui-même soit honnête et intègre dans sa gestion du pays et surtout, ne s’éternise pas au pouvoir. Combien de dirigeants en Afrique sont capables d’atteindre "une telle dimension" dans la gestion de leur pays ? Très peu.
      Dans la jeune génération de dirigeants au Burkina, à part Tom Sank qui n’a pas volé les deniers du pays, je n’en vois pas d’autres. Dans notre classe politico-militaire actuelle au Faso, je ne pense pas qu’il puisse y avoir un Rawlings potentiel. Il sont tous corrompus et souillés par l’ère Compaoré. Je suis d’accord avec vous. Vivement que naisse un "Rawlings" au Burkina et des "Rawlings" dans toute l’Afrique.

  • Le 31 octobre 2017 à 22:36, par Biata En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Mr le ministre Simon Compaoré, veuillez m’excuser mais quelle honte ! Vraiment quel ridicule ! Puis qu’apparemment vous ne changerez jamais et puisque votre attitude de "rambo" semble plaire à Roch et à Kaba Thiéba, nous ne pouvons que nous résoudre à vous regarder offrir ainsi le Burkina en ridicule à la face du monde, pendant que le terrorisme tue nos enfants surtout dans le nord du pays.
    Une question : à quel moment allez-vous cesser votre m’as-tu vu et votre communication à la "rambo" pour vous pencher sur ce pour quoi vous avez été nommé ministre de la sécurité, à savoir la sécurisation de notre pays. C’est pour quand Mr le ministre ?
    Si vous vouliez être dans le gouvernement rien que pour parler au hasard, pour jouer les rambos, bref, pour vous amuser, il ne fallait pas prendre la tête de ce ministère là car c’est la sécurité du Burkina et de ses habitants qui est en jeu. Cela, vous ne semblez pas encore l’avoir compris, vu ce que vous nous donnez à voir de vous dans l’image ci-dessus.
    Mr le ministre, on ne peut même pas en rire même si ça fait crouler de rire car la question sécuritaire d’un pays n’autorise ni l’amateurisme ni la désinvolture comme ce que vous affichez en croyant faire une bonne communication. Complètement raté et pas rassurant pour les burkinabè. On ne vous demande pas de faire peur aux opposants mais plutôt, de combattre efficacement l’insécurité et le terrorisme au Faso.
    Donc, ne soyez pas étonné que les gens, opposition ou pas, en désespoir de cause face à votre comportement et à votre gestion hasardeuse de la question sécuritaire, demandent votre éviction du gouvernement. C’est vous-même qui cherchez ça !
    Enfin, au lieu de vouloir chicoter les opposants, chicotez-vous, vous-même et chicotez vos camarades du gouvernement en commençant par Roch. Cela vous réveillera un peu plus pour bosser autrement que ce que vous faites actuellement et qui ne satisfait personne à part vous et vos amis du MPP.

  • Le 31 octobre 2017 à 23:50, par WALAYE En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    La meilleur façon de maintenir Simon COMPAORE à son poste, c’est que l’opposition demande son départ. Qui est fou pour faire ce que son ennemie veut ? Du reste ce n’est parce que l"opposition ne veut pas de Simon qu’il n’est pas bon. Qu’est-ce que vous ferez à sa place, c’est ça la vraie question. Simon n’a pas été nommé par l’opposition ou pour faire ce que l’opposition veut. A force de tout renier même vos bonnes idées (qu’on n’a pas encore vues) seront rejetées. POINT BARE. WALAYE

  • Le 1er novembre 2017 à 03:04, par Bougoumbarga En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Juste prise de position, je dirais. Avec des comportements de ce genre, surtout d’une personnalité de sa trempe (vu sa qualité de Président du Parti dirigeant du moment), il ne mérite pas d’être à ce poste. Son incompétence est notoire et bien visible. Même s’il doit être chouchouté simplement parce qu’il a été le 3ème membre fondateur de votre Parti, il n’en demeure pas moins qu’il est incapable de quelque chose de positif à ce poste. Et, s’il faut coûte que coûte le récompenser pour sa/ses participations au montage du Parti, il y a bien des postes autres que la "Sécurité Nationale" dans lesquels il peut exceller. Rappelez-vous que ce Monsieur au sortir de ses études a commencé sa carrière professionnelle à l’A.V.V. (Aménagement des Vallées des Voltas) dont la vocation était Agricole. C’est peut-être aussi son incompétence également constatée dans cette Structure, qu’au bénéfice de la Révolution, ses Camarades du GCB des Salif Diallo et consort l’ont repêcher avec le concours de Blaise Compaoré (qui au finish en avait marre) pour en faire un piètre Homme politique. Là aussi, il n’a cessé de faire des bourdes et des gaffes que bon nombre de burkinabé n’oublieront pas de si tôt. Ex. Cas des Tribunaux Populaires de la Révolution, il était le métronome qui décidait et planifiait à l’avance de qui devrait y passer et quelle sanction lui appliquer et cela, sans appel. C’est dire que malheureusement, il n’a jamais rien appris comme leçon et n’a jamais su en profiter parce que, ne connaissant qu’une seule façon de s’asseoir qui est : Les Armes, les insultes, l’arrogance etc.

  • Le 1er novembre 2017 à 06:34, par Maroufa En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    eh Simon ! je paraphrase un homme politique français qui disait" quand on ne sait pas jouer à la comedie ,il faut eviter de rester longtemps sur scène..." Aussi "i faut savoir quitter les choses avant que les choses vous quittent". A bon entendeur, salut !

  • Le 1er novembre 2017 à 08:39, par OUEDRAOGO Nobila Bernard En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Bonjour à tous !
    Sans rentrer dans la polémique politicienne je reste convaincu que l’opposition est dans son rôle : celui de relever le moindre écart du pouvoir en place. Cela a pour avantage pour nos gouvernants de faire les recadrages nécessaires et surtout au peuple de bénéficier des meilleures retombées de l’action gouvernementale.
    Cependant j’ai une pensée particulière pour nos martyrs de l’insurrection. Je souhaite que ce troisième anniversaire voit enfin la réconciliation nationale se mettre en Branle. Que l’on juge ou pas Il faut nécessairement la paix des cœurs entre fils et filles du pays. Nulle part au monde la justice n’a pu panser entièrement les plaies. La solution pour nous est le pardon sincère mutuellement fait entre nous. Les Rwandais y sont parvenus, le fils de Pablo Escobar et celui d’une de ses victimes ont scellé une amitié et se sont engagés dans la réconciliation nationale (la liste est longue mais ces deux exemples sont assez illustratifs).C’est ce qu’il faut de façon officielle au Burkina Faso. Que Dieu sauve le Burkina Faso !

  • Le 1er novembre 2017 à 12:58, par Dedegueba Sanon En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Réponse à John,
    Il ne fallait pas comprendre au premier degré quand je dis que "au moins Simon bouge"...
    J’ai aussi dit "Simon est ce qu’il est"....
    En français facile, et pour préciser le fond de ma pensée, je vais dire ceci :
    Certains "cerveaux" ont tendance à emprisonner l’homme dans ce qu’il exerce comme fonction, tandis que d’autres parlent de "decomplexer" la fonction.
    Si vous êtes de ceux qui estiment qu’un ministre "doit être ceci ou cela, par rapport à des normes arbitrairement venues de je ne sais où ?", vous êtes dans votre droit de tirer sur Simon, car assurément il ne fait pas les choses comme tout le monde. Simon recule lorsqu’il faut reculer et avance lorsqu’il faut avancer.Il y a de la maladresse parfois, mais qui peut se targuer d’être adroit tout le temps ? En outre je n’ai pas souvenance qu’il ait été mêlé à un crime de sang, et entendu qu’il ait la gâchette facile pour mettre en danger les innocents.
    Son ministère n’est pas des plus faciles, et c’est la première fois de notre jeune histoire que j’ai vu des policiers faire une grève. On va où, si ceux qui habituellement sont chargés du maintien de l’ordre font la grève ?
    Moi, je suis de ceux qui pensent que l’habit ne fait pas le moine. Je rappelle que même Tom Sank, avait décomplexé cette fonction de ministre.
    Vous pouvez dire de Simon qu’il est "atypique", et parfois excessif, mais la forme ne doit pas effacer le fond. C’est ce même Simon qui a façonné Ouagadougou, j’aurais bien aimé l’avoir comme maire de ma commune, où jusque là, je ne vois defiler que des maires comme il faut mais "analphabètes" ou des " Jo Ballard ", développant peu la ville.
    Je voudrais ajouter, que je ne suis pas un "fanatique" de Simon , j’ai juste noté chez ce monsieur un "esprit patriotique réel ", et j’ajouterai que son éviction du gouvernement ne me touchera guère, mais ce serait une erreur.
    Gorba aussi faisait des bourdes, mais personne ne peut nier sa valeur.
    Sans rancune.

  • Le 1er novembre 2017 à 13:52, par Hussein En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Une troupe de cabotins, ca et là ! Je pensais que l’opposition siégeait dans l’Assemblée Nationale. Argumentez là-bas sur des bases parlementaires solides pour atteindre par la voie démocratique à travers une motion de censure la révocation d’un ministre que vous jugez ne pas être bon pour la nation burkinabè ! Autrement, comme avec votre sortie ici, vous vous comportez comme de minables et vulgaires pantins de la rue et cela est bien inquiétant si vous aussi parvenez à votre fin qui semble être tout simplement prendre le pouvoir. Opposition ne veut pas dire opposer tout simplement pour saboter toute action du gouvernement. Votre devoir, c’est de veiller à ce que le pays soit bien gouverné, par le contrôle des actions et de la gestion des ressources , dans de bons cadres démocratiques qui puissent permettre au pays d’allez au moins un tout petit peu de l’avant. Et tout cela par la force de vos arguments devant le parlement, voté et payé par le peuple pour le représenter dans l’intéret général et le bonheur de tous les burkinabè, sans exception ni appartenance politique ou réligieuse. Je suis simplement burkinabè !

  • Le 1er novembre 2017 à 14:50, par Eric de KOURIA En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Monsieur Simon COMPAORÉ est la gangrène du MPP. Il faut un traitement radical sinon tout le MPP risque la pourriture. Le président Rock Marc Christian KABORÉ doit sans délai siffler la fin de la récréation. S´il ne le fait pas, il sera comptable des mauvais actes de ce Monsieur. « Teb-Guiéré » parle au hasard, comme un canard qui chie ! C´est la honte du Burkina. Dire que nous sommes à peine sortis d´une insurrection populaire !? Non ce Monsieur doit quitter l´univers politique Burkinabè, sans tarder. Un jour de plus au gouvernement est une insulte au peuple Burkinabè, dont la patience commence à avoir des limites. Le président doit mettre fin aux fonctions de ce Monsieur ! La Patrie ou la Mort, Nous Vaincrons !

  • Le 1er novembre 2017 à 16:12, par Bynahou En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    De quel opposants parle t-on dans ce pays ? Y en a t-ils encore ? Ou s’agit-ils des vieux cowboy sans vision ?... Simon et les opposants actuels sont tous pareils. Il a fallu que l’UPC explose du fait d’un manque de leadership pour provoquer tout ce forclore... Chacun joue pour son ventre, le peuple "on s’en fou". Proposer et agissez comme Thom sank, faites barrage aux lois impopulaires que vous dénoncer, renoncer à vos avantages luxueux ou réinvestissez les dans le développement communautaire. Tahirou Barry a eu assez de supporter un gouvernement sans vision, a renoncé à des avantages et à dénoncer pas dans un esprit belliqueux mais juste pour dire qu’il faut changer de cap pour le bien être de tous... Bravo encore à TAHIROU !

  • Le 1er novembre 2017 à 17:52, par Ka En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Seydou Merci de lire : Mais je pense que fermer sa gueule a une "valeur théurgique.’’ Si tu me lis souvent, tu sauras que je sais de quoi je parle quand on aborde le problème de nos gouvernants et de nos opposants.

    Des solutions en tant qu’un farouche partisan de l’alternance politique de notre pays avec la jeunesse depuis ce 13 Décembre 1998, j’en ai proposé des milliers. Je ne suis pas comme ceux qui sont autour de Zépherin Diabré, un Zéph que j’ai vu naître dans la politique Burkinabé, dont on s’est côtoyé, et se respecter.

    Ayons le courage de dire les choses comme elles sont, ‘’’’Zephyrin Diabré est manipuler par ceux qui avaient le pouvoir hier, et qui veulent aujourd’hui préparer une guerre civile au Burkina et en profiter. Et le peuple le sait, sauf un Seydou bloqué dans son coin.’’’’

    Pour Ka, ‘’’la démocratie n’est pas un combat, la politique ne devrait pas en être un.’’’ Mais ce que l’opposition de Zépherin avec des gelés agent secret du MPP comme Achille Tapsoba qui se dit CDP et proche de Roch Kaboré, cette opposition de Zépherin Diabré devienne une métaphore guerrière qui, prise au premier degré, nous amènera a des crises sanglantes et meurtrières. Tout ça mon cher Seydou, parce que cette guerre est associée à un "butin", en l’occurrence les biens de l’Etat, voire du pays entier (et pas seulement la chose publique) au profit d’un petit nombre de personnes. Ce n’est même pas une conception colonialiste du pouvoir, c’est une conception cupide où la seule chose qui compte pour le pouvoir en place ou l’opposition, c’est l’accaparement de tout. Voilà pourquoi je dis que cette opposition est constituée des mendiants et des malfrats.
    Même en proposants des objectifs concrets a cette opposition qui vont pour le peuple et l’émergence du pays, des personnes comme Gilbert Ouédraogo né pour trahir,ou un Achille Tapsoba le caméléon, ne laisseront pas Zépherin Diabré de les faire appliquer par nos décideurs du jour. Depuis que le pouvoir de Roch Kaboré s’est installé, si tu as remarqué, la nouvelle opposition dit blanc aujourd’hui, et lendemain il dit le noir, en sortant hasardeusement pour soutenir des malfrats comme les responsables de la CODER et ZAIDA, et qui reste pour moi une opposition fantôme qui veut mendier les miettes du nouveau régime. Et toi Seydou, tu rentres dans un raccourci de tous les maux de l’Afrique aveugle qui ne voit pas la réalité, que de se plier à la prospérassions des prédateurs sanguinaires.

    Depuis que la transition de Michel Kafando a fait un travail bâclé en laissant la place à des rusés qui sont là pour l’injustice et protégés leurs amis et familles, ‘’’’ l’histoire de la mal gouvernance au Burkina n’est qu’un éternel recommencement.’’’’ Les tenants du pouvoir de nos jours ont traité Blaise Compaoré et sa famille de criminels et de voleurs en le chassant le 31 Octobre 2014, aujourd’hui ils font plus pires que Blaise Compaoré, sans qu’une vraie opposition ne lève le doigt pour rectifier la donne. Seydou, a quoi de bon que je donne des solutions meilleures ? Voilà ce que j’écrivais en Octobre 2014 sur ce même site a Zépherin Diabré chef de l’opposition entouré des RSS et marchant contre le tripatouillage de l’article 37 et le referendum bidon : J’écrivais ceux-ci : ‘’’’On peut courir le risque de croire que toutes les parties présentes sur l’échiquier politique de notre pays vont adroitement contribuer, selon un ordre dicté par un technicien de la construction de la cohésion sociale qui est le chef de l’opposition, à la construction de cette coexistence pacifique, mais le drame au Burkina, s’origine de quelques faits que nous refusons depuis belle lurette de désigner par les mots avec lesquels il faut les désigner, ‘’’on parvient au pouvoir dans des conditions calamiteuse, et ceci expliquant cela, on quitte mal le pouvoir sur fond de dénigrement comme les Achille Tapsoba ethnique tribaliste.’’’’

    Et ma proposition de solution meilleure était de dire à ceux qui allaient reprendre le pouvoir suprême après le régime Sanguinaire de Blaise Compaoré au pays des hommes intègres, de lire leur présence au pouvoir comme un rôle temporaire et non une faveur divine permanente.

    C’est l’arrogance des gouvernants qui incitent les gouvernés à se soustraire des règles démocratiques pour parvenir de nouveau au pouvoir dans des conditions calamiteuse comme le cas de Roch Kaboré et sa clique, et Zépherin Diabré doit être très méfiant avec son entourage qui le manipule pour affaiblir son opposition au détriment des miettes qu’ils mendieront a un pouvoir corrompu. Seydou, tant que les "élus" pourront piller les caisses, les biens et ressources de l’Etat en toute impunité, cette conception du pouvoir et ses conséquences néfastes pour piétiner une opposition comme celle de Zépherin Diabré perdureront. Alors, si toi Seydou tu peux vomir mieux que de ce que je propose pour qu’une opposition forte puisse sortir du lot de ces mendiants, et rectifier les imparfaits du régime Roch Kaboré qui est une continuité du favoritisme, la corruption à ciel ouvert et l’injustice, j’attends avec impatience ton vomissement comme réponse a ma critique fondée sur des argumentations solides. Sinon, c’est a toi de la fermer pour de bon. Je profite remercier Sonia pour sa vision et de son intelligence. Mon honorable Webmaster de Lefaso.net, la vérité ne tue pas, mais fait avancer les choses. Merci de votre compréhension.

    • Le 2 novembre 2017 à 21:12, par SOME En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

      Mon cher ami ka, j’admire ta patience à expliquer a quelques ignares doublés de mauvaise foi. Mais c’en est ainsi que de faire prendre conscience : en vrai pedagogue, il faut repeter et toujours repeter et encore repeter ; ceux qui sont de bonne foi finiront par comprendre...Ce seydou tu comprends bien qui il est et ce qu’il veut en trainant ici... Il ne peut que vomir !

      Diabre est en train de sa faire saborder correctement et joliment et gaiment. Tant pis pour lui Il n’a rien appris de son echec bien merité. Le MPP est la pour preserver son pouvoir, quitte a pactiser avec le CDP
      "C’est l’arrogance des gouvernants qui incitent les gouvernés à se soustraire des règles démocratiques" : c’est trop elevé pour certains a comprendre. Ne te laisse pas perturber par quelque vermine : continue ton noble chemin comme tu l’as toujours fait.
      SOME

  • Le 1er novembre 2017 à 21:31, par cheickh En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    En se perdant dans des chimères si irréalisables, l’opposition achève enfin de nous convaincre, que ce qu’elle se fixe maintenant comme armes de combat, c’est :
    - Soit la diversion par manque d’arguments.
    - Soit la démagogie pour tenter à tout prix de faire chuter directement ce pouvoir.
    Car s’il est une personne dans ce gouvernement voire ce régime, dont la probabilité de démission est la plus faible de tous, c’est bel et bien Simon Compaoré.
    Personne n’ignore qu’il demeure le seul aujourd’hui, capable de remettre systématiquement le navire gouvernemental à flot par sa fermeté et sa rigueur.
    Du reste, en tant que ministre de la sécurité, Pourquoi Simon n’aurait-il pas tous les droits aujourd’hui, de se promener nuit et jour et librement en camisole de chars, s’il estime que c’est la meilleure recette pour lui, pour venir à bout de ces intrigants terroristes toujours en cavale.
    N’est-ce pas la fin qui justifie les moyens ? Alors pourquoi ne pas faire l’effort d’attendre cette fin-là d’abord, avant d’oser le prendre à partie si indûment. Chercher ailleurs hein, sinon ici vous avez encore raté.

  • Le 2 novembre 2017 à 00:38, par Numericien le visionaire En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Ce que le milieu politique doit mettre dans leur tête est que l insurrection avait pour objectif de nettoyer le pays des intégré de tout ce que noui au développement du pays dans son ensemble. Que se soit le Mpp ou Zeff, ils faut qu’ils sachent que le Burkina Faso est un pays où personne et je dit personne ne pourra jamais tromper la vigilance de son peuple béni par Dieu. Je veux que tous les politiciens gardent cela en mémoire car on ne laissera quiconque réveiller nos matyres.

  • Le 2 novembre 2017 à 08:10, par raogo En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    vous pensez que c’est normale au 21 siècle dans un état de droit qu’on puisse toujours allé bruler, menacer des citoyens parce que vous vous entendez pas c’est dommage. Avec la violence vous mettez le Burkina en arrière.
    C’est plutôt votre comportement qui n’est pas bien.

  • Le 2 novembre 2017 à 08:15, par raogo En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Tahirou a démissionné parce qu’il y a problème avec son parti sinon TAHIROU il n’est pas un exemple. S’il avait démissionné pendant les premières heures de sa nomination on pouvait dire qu’il est un exemple.

  • Le 2 novembre 2017 à 10:39, par Yamkoul En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Les 13 Députés UPC ont parfaitement raison de démissionner du Groupe Parlementaire. Comment comprenez vous que M. Zeph.DIABRE qui se dit intellectuel, chef de file de l’opposition puisse pactiser avec les fantômes d’hier ? Ce sont ces fantômes qui vont vous mettre à genou.

  • Le 2 novembre 2017 à 11:44, par Modeste Citoyen En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Simon en âme et conscience sait qu’il doit rendre le tablier après cette bévue ! Cet acte de bravoure sera apprécié positivement par une bonne partie de la population.

  • Le 2 novembre 2017 à 11:59, par Ka En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Ka a toujours écrit ce qui vient de son cœur sans mensonge ni ruse, mais de la vérité et de ce qui va pour les opprimés. Relire ce qu’on écrit avec cœur est de se douter de sa propre sincérité, comme un Italien raté dit,’’’’’’’’’ Veni vidi vinci’’’’’’ qui n’a aucune auto critique fondée pour faire avancer le pays que nous aimons tous.

  • Le 2 novembre 2017 à 12:47, par Moctar Philippe En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    La polémique sur les réseaux sociaux relative au ministre d’Etat en charge de la sécurité, Simon Compaoré vise essentiellement à le provoquer. Le ministre estime que ses images ont été volées et déformées pour des exploitations visant à le traiter de ce qu’il n’est pas. Il ne reconnaît pas avoir tenu des propos déplacés, contrairement à ce que d’aucuns insinuent. Les gens doivent comprendre, que le ministre est libre de rassurer des citoyens en situation d’insécurité, qu’ils peuvent rester tranquilles. Peu importe qu’il utilise le français, l’anglais, l’espagnol ou toute autre langue pour exprimer cette assurance. Ce qui s’est passé, relève d’une violation de la vie privée, que la Commission de l’informatique et des libertés(CIL), le Conseil supérieur de la communication(CSC) ne cessent de dénoncer comme étant des abus de l’internet et des réseaux sociaux. La preuve de cette dérive est clairement établie dans une des images sur Facebook, où le ministre de la sécurité est présenté avec de gros muscles de lutteur, savamment montée avec 2 pistolets et un chapeau noir sur la tête. Tous ceux qui connaissent Simon Compaoré, savent que même pendant sa jeunesse, il n’a jamais eu des biceps aussi costauds comme présentés sur Facebook. Toute personnalité se rendant sur un lieu de conflit avec des risques d’affrontements, a le droit de se protéger avec des gilets pare -balles. Le ministre qui a eu de bons réflexes en faisant sécuriser les domiciles de députés frondeurs de l’UPC, a su ainsi parer à des drames de morts d’hommes, vue la violence des propos et actes de vandalisme qui ont été perpétrés contre certains de ces députés et leurs domiciles. Ceux qui qualifient le ministre de la sécurité de guerrier ,font un abus de langage par adversité politique et pure animosité ,qui ne sauraient tenir la route devant les réflexes sécuritaires du ministre pour protéger des citoyens qui auraient pu être victimes d’une vindicte populaire. Le président du Faso est également l’objet d’attaques malsaines sur les réseaux sociaux. Mais ces deux personnalités ne sauraient se laisser ébranler par ces adversités pour ne pas assumer pleinement leurs responsabilités partout et en tout temps quand cela s’avère nécessaire.

    • Le 2 novembre 2017 à 13:49, par Passakziri En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

      Je pense que vous faites allusion ici à un photo-montage courant sur les résaux sociaux et pas difficile à reconnaitre comme tel . C’est sûrement une parodie que le CSC ne pourra arrêter, le CSC n’ayant pas la clé de l’internet. Ensuite , personne ne se serait plaint si le ministre s’était contenté de faire protéger ces députés par les institutions habilitées à le faire (Police et Gendarmerie ).
      D’autre part , si comme vous le dites <> pensez vous aussi qu’elle a le droit d’exiber des armes de guerre et de proferer des ménaces à l’endroit de Citoyens ? Contribue-t-il ainsi à apaiser la tension ? Ne melangeons pas les choses.
      Si vous aimez Simon , ayez le courage de lui dire que son comportement n’est pas à cautionner, sinon vous finirez par le pousser à l’abîme. Blaise Compaoré ne vous dira pas le contraire. Où sont ses sujets qui remplissaient les Stades recto-verso ? ou sont-ils ceux qui l’adoraient comme un dieu aux abords des rues lors de ces déplacements ? Ce sont tous ces malhonêtes qui ensemble l’ont poussé là ou il est aujourd’hui. Ils sont aussi moralement comptables du sang versé sur le chemin.

      Passakziri

      • Le 3 novembre 2017 à 18:50, par Richa En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

        Vous avez raison. Il vaut mieux dire la vérité aux gens plutôt que de les aduler hypocritement tout en les regardant sombrer pour ensuite faire semblant de les plaindre et ricaner sournoisement de leur débâcle. Le burkinabè est très fort dans ça. Quand on est une autorité, il ne faut pas balayer d’un revers de la main ceux qui osent vous dire les choses en face et sans détour, si c’est fait dans le respect mutuel. Ils vous sont plus utiles que ceux-là très nombreux qui chantent vos louanges à tout va et vous lèchent les bottes avec empressement. Le jour où vous tombez, ces derniers sont les 1ers à rire de vous et à vous accabler après avoir bien profité de vos largesses de grands boss. Si Blaise Compaoré l’a su à ses dépends, c’est bien fait pour lui ; ça le guérira peut-être de sa mégalomanie. Que ses ouailles aux commandes aujourd’hui se le tiennent pour dit. Je pense qu’ils le savent. Simon a intérêt d’écouter ceux qui lui disent de se calmer et de bosser.

  • Le 2 novembre 2017 à 13:33, par Attention En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Militants de l’UPC et alliés de l’opposition, occupez-vous de votre cuisine interne par une gestion rationnelle des démissions de vos députés et autres membres de vos partis. Il ne vous appartient pas de demander les démissions de militants d’autres partis. Vous traitez d’autres citoyens et personnalités de fous, alors que de par vos agissements violents de saccages de domiciles de députés, vous vous comportez en hooligans, pires que des fous. Votre comportement est aux antipodes de la démocratie dont vous prétendez être le reflet.

  • Le 2 novembre 2017 à 17:29, par Lefou En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Zeph est en train de s’enterrer vivant. Dommage pour lui, il est devenu puant et croyez moi. Bravo et mille fois Bravo à Koro Ka pour ses analyses pertinentes. Zeph est actuellement un fantome et les sages doivent le quitter pour ne pas subir le meme sort. Que ceux qui ont des oreilles entendent, je vous remercie

    • Le 2 novembre 2017 à 20:41, par Ka En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

      Merci Lefou pour ta sincérité de dire tout haut ce que le monde sait et dit tout bas. Pour Ka, si le Burkina est dans cet état, c’est le refus de l’alternance politique des inconscients de La NAFA autrefois dite la majorité. Lorsqu’un individu ou un groupe individus monopolisent le pouvoir étatique pendant des années comme Djibril Bassolé et son menteur Blaise Compaoré durant plus de 20 ans au nom des intérêts personnelles, leur pouvoir restera un cancer éternel pour le pays comme c’est le cas actuellement. Encore une fois merci de me lire.

  • Le 3 novembre 2017 à 14:08, par Yak En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    Une proposition au président du Faso et à son 1er ministre. C’est très sérieux Mr le président !
    Puisque votre ami Simon Compaoré, par ailleurs actuel responsable du MPP, ne saurait être semble-t-il sans portefeuille ministériel, je vous propose de le nommer à la culture à la place de Tahirou Barry démissionnaire. Ainsi, il pourra aller avec son gilet pare-balle et sa kalachnikov menacer à loisir les masques. Ce sera son problème avec les masques mais plus le nôtre.
    Et puis, pour avoir plutôt bien géré Ouaga en tant que maire, je pense qu’il sera mieux à la culture. Simon est un personnage haut en couleurs qui ne sied pas à la tête d’un ministère stratégique comme celui de la sécurité. Cependant, malgré ses couacs et son côté un peu goujat parfois, il n’est pas inintéressant car il a des atouts mais pour autre chose. Pas la sécurité.

  • Le 6 novembre 2017 à 12:35, par boudson LE FILITOXER En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    BJR . CETTE VIDÉO N EST PAS AUTHENTIQUE. C EST DU TRUQUAGE. DE LA DIFFAMATION. IL FAUDRA QUE SIMON COMPAORE POURSUIVE CES AUTEURS.C’ EST LE MINIMUM POUR UN MINISTRE DE LA SECURITE DE SE PROTÉGER AVEC UN GILET PAR-BALLES ET UNE KALACHNIKOV DANS CES TEMPS QUI COURENT OU LES DJIHADISTES SÉVISSENT PARTOUT AU BURKINA FASO. SIMON COMPAORE EST DANS SON RÔLE DE MINISTRE DE LA SECURITE N’ EN DÉPLAISE A L ’OPPOSITION. QUI DE VOUS DIRIGEANTS POLITIQUES DU POUVOIR COMME DE L ’OPPOSITION N’ A PAS UNE ARME SUR LUI POUR SA PROTECTION PERSONNELLE. QU’ IL JURE ET IL MOURRA. C EST LA VÉRITÉ.ON A VU BLAISE COMPAORE EN TEMPS DE DÉMOCRATIE ET PAIX SE DÉPLACER AVEC DES CHARS DES MISSILES ET DES SOLDATS ARMES JUSQU ’AUX DENTS. MAIS PERSONNE N ’A LEVÉ LE PETIT DOIGT POUR DIRE UN MOT DANS CE PAYS PAR PEUR DE REPRÉSAILLES. TOUS DES BANDES D HYPOCRITES ET DES POLITICIENS ASSOIFFES DE POUVOIR ET PRÊTS A N ’IMPORTE QUELLE BESOGNE POUR ASSOUVIR SES DÉSIRS CRIMINELS.

  • Le 9 novembre 2017 à 16:08, par seni sophiane En réponse à : Burkina Faso : L’opposition exige le « départ immédiat » de Simon Compaoré, ministre de la sécurité

    je ne connais pas le dessous des choses par ce qu’en politique rien n’est jamais rien si non de mon avis toute personne digne de foi doit avoir le courage de rétrocédé ce qu’on lui a confié si ceux qui l’on confié pense qu’il n’est pas à la hauteur. Un penseur disais que : LA RECHERCHE DE L’ANCIEN C’EST LA DÉCOUVERTE DU NOUVEAU.