Le Premier ministre en visite d’amitié et de travail du 4 au 6 octobre 2017 en République de Tunisie
Le Premier ministre Paul Kaba THIEBA effectue du 4 au 6 octobre 2017, une visite d’amitié et de travail en République de Tunisie. Sur invitation de son homologue tunisien Youssef CHAHED, Paul Kaba THIEBA prendra part à capitale tunisienne, au forum d’affaires Rencontres Africa 2017.
Les Rencontres Africa sont une initiative du ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères et du ministère français de l’Économie avec le soutien de partenaires. La première édition s’est tenue l’année dernière à Paris, et celle de 2017 est organisée dans trois capitales africaines à savoir, la Côte-d’Ivoire, le Kenya et la Tunisie. Près de 1 500 entreprises françaises et africaines y sont attendues.
Dans la mise en œuvre du Plan Nationale de Développement Economique et Social, les investissements privés occupent une place de choix. Les rencontres Africa constituent à ce titre une opportunité pour le Premier ministre Paul Kaba THIEBA de présenter les énormes potentialités, agricole, minière, énergétiques etc, dont regorge le Burkina Faso, afin d’attirer les investisseurs.
En marge des travaux de ce forum, le chef du gouvernement aura une audience avec le président de la République Tunisienne, Beji CAID ESSEBSI, et bien d’autres personnalités dans l’optique de renforcer les relations de coopération entre les deux pays.
Le Burkina Faso et la République de Tunisie entretiennent d’excellentes relations dans divers domaines. En avril dernier, sur invitation du Premier ministre Paul Kaba THIEBA, son homologue tunisien Youssef CHAHED avait effectué une visite d’amitié et de travail au Burkina. Ce fut l’occasion de dynamiser les liens entre les deux pays. L’ambassade de la République de Tunisie à Ouagadougou inaugurée à cette occasion participe de cette volonté.
Son Excellence Paul Kaba THIEBA mettra à profit ce séjour pour échanger avec la diaspora burkinabé de Tunis.
DCI/PM
Vos commentaires
1. Le 4 octobre 2017 à 00:56, par Abob En réponse à : Le Premier ministre en visite d’amitié et de travail du 4 au 6 octobre 2017 en République de Tunisie
M’ba Kaba, toi, tu ne sais plus où aller pour te chercher avec ton PNDES si ce n’est pas chez les arabes-là. Ils ne nous aiment pas dèh ou bien tu ne savais pas ça. Quand-même, bon voyage et bonne chance là-bas. Ramène-nous des dattes ; à coup sûr, elles sont plus sucrées que ton PNDES dont on ne voit pas les résultats. En tout cas, pas pour le moment.
2. Le 4 octobre 2017 à 10:43, par Nabiiga En réponse à : Le Premier ministre en visite d’amitié et de travail du 4 au 6 octobre 2017 en République de Tunisie
Vraiment ces visites de travail et d’amitié, il est fort temps qu’on choisisse ces destinations. La Tunisie, qu’est-ce que l’amitié de la Tunisie va nous apporter pour mériter le déplacement du chef du gouvernement. L’on ne sait pas au niveau de la primature que la Tunisie se cherche, se cherche partout, tant au niveau de l’économie qu’au niveau de la sécurité. Si on n’ira pas en Somalie, il ne faut pas non plus qu’on aille en Tunisie car il n’ y a pas différence entre les deux. Que la primature fasse au profit du contribuable le coût de ce déplacement, les per diems de tous ceux qui ont accompagné le PM etc. Arrêtez de gaspiller les maigres ressources de notre pays dans ces déplacements qui n’apportent rien à la nation. Franchement
Le 4 octobre 2017 à 13:38, par Aïma En réponse à : Le Premier ministre en visite d’amitié et de travail du 4 au 6 octobre 2017 en République de Tunisie
Absolument d’accord Nabiiga ! Les maigres ressources de ce pays enclavé, sont dilapidées dans des démarches hasardeuses et dans des futilités d’où ne sortent rien de bon pour le pays. Des déplacements qui coûtent excessivement chers avec quel retour pour notre pays ? J’avoue que plus d’un burkinabè se pose cette question lorsque nos dirigeants s’envolent pour des visites d’amitié et de travail par-ci et par là. Très franchement, comme vous l’avez souligné, la Tunisie actuellement, se cherche autant que nous sinon plus que nous. Mais bref !