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Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

LEFASO.NET | Marcus Kouaman
mardi 14 février 2017.

 

Après des mois devant le Tribunal de grande instance de Ouagadougou, les protagonistes de la crise CAMEG (Centrale d’achat des médicaments essentiels génériques et des consommables médicaux), sont de retour devant la juridiction administrative. Ce mardi 14 février 2017, le Conseil d’Etat a statué sur le recours en annulation portant sur le décret de nomination des nouveaux administrateurs à la CAMEG.

La juridiction suprême de l’ordre administratif a rendu sa décision sur le recours en annulation intenté par la CAMEG dirigée par Dr Bokar Kouyaté et Dr Jean Chrysostôme Kadéba (PCA et DG de la CAMEG). Me Jean-Charles Tougma un de leurs avocats, a attaqué le décret pris en Conseil des ministres, portant nomination d’administrateurs au compte de l’Etat au Conseil d’administration de la CAMEG.

Le Conseil d’Etat a jugé la requête irrecevable pour défaut de qualité, de capacité et d’intérêt à agir.

De l’avis de Me André Ouedraogo (un des avocats), cette décision ne fait que conforter les nouvelles instances de la CAMEG dirigée par Dr Salifou Konfé et Dr Damien Koussoubé (PCA et DG de la CAMEG). Pour lui, la CAMEG en tant qu’association n’avait aucune qualité car le décret pris en Conseil des ministres ne la concernait nullement. « S’il s’agissait de monsieur Bokar Kouyaté qui introduit la requête, on aurait pu apprécier les choses autrement. Mais là, la CAMEG en tant qu’association n’est pas concernée par la décision », explique-t-il. C’est en cela que se situe le défaut de qualité.

Pour ce qui est du défaut de capacité, Me Ouedraogo avance le fait que le licenciement de Dr Jean Chrysotôme Kadéba le disqualifie pour une quelconque action judiciaire. « Il n’a plus la capacité d’engager la CAMEG parce que, ce qui le lui permet c’était le contrat de travail, lequel contrat a été rompu », avance-t-il.

Le dernier point qui est le défaut d’intérêt, selon l’avocat de la nouvelle équipe, rejoint un peu le défaut de qualité parce que la CAMEG n’est pas visée en tant que telle par la décision qui a été prise en Conseil des ministres. Me Ouedraogo indique que « la CAMEG ne peut pas venir se plaindre de quelque chose qui ne touche pas à ses intérêts en tant qu’association ».

En raison de tout cela, il a invité Dr Kadéba à faire amende honorable (reconnaitre ses torts) et laisser l’institution fonctionner.

Nous n’avons pas pu recueillir l’avis de l’autre partie en ce qui concerne cette décision du Conseil d’Etat.

En attendant, rendez-vous est pris le 13 mars prochain pour suivre le second procès pour faux et usage de faux sur les statuts de la CAMEG, escroquerie à jugement et usurpation de titre. Renvoyée pour la cinquième fois à cette date, l’action a été initiée par les nouvelles autorités de la CAMEG contre Dr Bokar Kouyaté et Dr Jean Chrysostôme Kadéba.

Marcus Kouaman
Lefaso.net



Vos commentaires

  • Le 14 février 2017 à 20:17, par Indjaba En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

    L’équipe de Roch doit payer les droits de Kadeba pour le libérer et libérer tout le monde . On est fatigué de voir un individu contre un Etat dans une affaire qui va bientôt durer une année. Il faut par ailleurs nommer d’autres dirigeants autres que Koussoubé car ces derniers ne pourront pas diriger le personnel actuel de la CAMEG qui les verront en traites.

    • Le 14 février 2017 à 22:49, par Vérité En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

      Payer quels droit à Kadeba ? Même 5 fr on doit pas payer. Kadeba s’est conduit en hors la loi licencié depuis plusieurs mois. Le prochain jugement le condamnera et c’est lui qui doit dédommager la cameg. Quant à KOUSSOUBE, il est dans tout son droit. Même si Roch veut le remercier en nommant un autre DG, ce sera une injustice criarde et très grave. Dans tous les cas, le personnel aujourd’hui est conscient d’avoir été manipulé, certains ont été corrompus à coup de billets, c’est triste et dommage pour la cameg. La nouvelle équipe est attendue au travail.

    • Le 15 février 2017 à 01:28, par Tarpidga En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

      Si il y a des traîtres dans cette affaire, ce sont bel et bien ceux qui pour des intérêts égoïste ont soutenu ces faussaires dans leur forfait. Ils sont allés à l’encontre des intérêts de la CAMEG et de ceux de nos populations. CAMEG là ne peut pas survivre sans BOCAR et ses acolytes ? Vous aviez quel intérêt à bloquer les choses ? Il y en a qui ont agit juste parce qu’ils sont contre le ministre de la santé, et par conséquent la nouvelle équipe. A ces gens là, je veux leur dire de retenir cela : "de la mesure dont vous êtes servi pour les autres, on se servir de cela pour vous." Dieu ne dort pas. D’autres vous barreront la route un jour. Mr kadeba a au moins juit du poste de DG, mais vous, l’opportunité vous passera sous le nez parce que vous avez torpillé la nouvelle équipe un jour.

      • Le 15 février 2017 à 14:27, par Qui dit mieux En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

        En réalité les agents étaient manipulés, d’autres payés à de centaines de billets... Ceux qui s’opposaient au projet étaient châtiés, affectés et même démis de leur fonction. KOUSSOUBÉ pourrait facilement corriger les différents torts commis et relancer la Cameg au plus vite.

  • Le 14 février 2017 à 21:25, par Burkindi En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

    Maintenant que les choses sont claires, il faut en finir une bonne fois pour toute avec ce dossier. Les faits sont tellement graves que même les complices de Kadeba doivent être débusqués et traduits en justice pour mise en danger de la santé des populations. Le président Roch a désormais toutes les cartes en mains pour mettre hors d’état de nuire les malfrats d’un genre nouveau qui mettent en péril l’autorité de l’Etat en usant de l’art de la manipulation avec la complicité de quelques politicards en manque d’inspiration.on est dans un État de droit. Force doit rester à la loi. Kadeba et consorts doivent payer pour cette forfeture. Je le dis et je le répète, plus jamais ça dans mon pays, plus jamais ça. C’est pas bon.

    • Le 14 février 2017 à 23:55, par Zangoté En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

      Autorité de l’Etat, autorité de l’Etat ! de quelle autorité parles-tu ? On est tous fils de ce pays et crois mois : personne ne tolerera que quelqu’un se cache derrière ce vocable pour nuire à tout un pays. Justement, de même que par la critique facile, Roch a accusé Blaise d’avoir infester le pays de Djihadistes, nos "nouvelles" autorités gagneraient à privilégier l’intérêt commun au détriment des récompenses partisanes si elles ne veulent pas être critiquées ou mieux débarquées. Prenez l’exemple des pays qui progressent et vous ne verrez pas cette guerre de chiffonniers qui consiste à payer des gens pour dire du n’importe quoi. Si ce débat a trop duré, c’est parce que l’ancienne équipe a au moins une part de vérité. Que vous le vouliez ou non, le débarquement de l’ancienne équipe entraînera des dédommagements alors que si la nouvelle équipe avait raison, il n’en serait rien. Dans tout ça c’est le contribuable qui trinque et c’est mieux pour lui puisqu’il permet à des gigolos de se foutre de sa bourse. C’est finalement horrible ce qui nous arrive. Je pense qu’à l’allure où vont les choses, les RSS ferraient mieux de rendre le tablier.

    • Le 15 février 2017 à 08:14, par Neekré En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

      Indjaba et Burkindi, vous^êtes des tireurs embusqués : si Kadeba a tort selon vous, il faut aussi reconnaitre que Le Ministre n’est pas clair et coherent. Tout le monde au faso sait que le MPP veut avoir son "depot MEG" pour les "ristournes et les "benefices".

  • Le 15 février 2017 à 01:04, par FLANZON En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

    S’il vous plaît Excellence, Monsieur le Président du Faso, débarrassez-nous de toute cette racaille de vieux mangeurs pleins de nos deniers publics et trouvez-nous des nouvelles têtes pour diriger cette très utilitaire CAMEG. C’est à ce prix que vous ferez le bonheur des laborieuses populations qui ont placé leur confiance en vous à travers les urnes. Le Burkina regorge de cadres compétents, jeunes et de bonne moralité pour nous faire manquer de médicaments à cause de ces 4 personnes qui oublient d’ailleurs qu’ils se souillent davantage dans cette affaire.

  • Le 15 février 2017 à 01:09, par Patenma En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

    KADEBA, BOCAR et leur avocat malhonnête ont réussi à manipuler une partie du personnel autour du faux. Je félicite ces agents courageux qui ont pris le risque de ne pas soutenir ces malfrats et égoïstes. Vous avez sans doute été demis de vos fonctions au profit d’autres qui ont choisi de soutenir le faut. Mais, ne dit on pas que mieux vaut dire la vérité et dormir sansmanger que de mentir pour avoir à manger. M ba Ramde, M ba Pascale, M ba pierre, M ba Ambroise et qui sais je encore ? Êtes vous fiers de vous ? Maintenant que le mensonge fera place à la vérité comment comptez vous faire ? Vraiment vous avez fait un choix qui ne vous honore pas et qui n’a pas permis à KADEBA de se resaisir. Ça veut dire que l’ancienne équipe sexcitait pour rien. Vous les avez soutenu à gérer mouta mouta les sous de la CAMEG alors que qu’ils n’en avaient pas la qualité. Comment on va font ? Il faut sanctionner et à la hauteur du crime. Sanctionner pour l’exemple.
    Chourourrrrrrr.

  • Le 15 février 2017 à 05:40, par Le Faso d’Abord En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

    Burkindi tu es mal inspiré. Tu prends des positions critiques voire acerbes sans apparemment rien comprendre de la situation à la CAMEG. Il ne suffit pas de choisir un camp et lui envoyer inutilement des missiles. Explique nous tes invectives contre le Dr. Kadéba et son équipe. Cette histoire est politique et tu serais mieux inspiré de te retenir, d’observer, de mieux t’informer ou sagement te taire. Arrêtez de polluer l’air en désinformant les gens. Tout le monde sait que la CAMEG est une machine à sous que certains du nouveau pouvoir veulent contrôler là ! Rien à voir avec l’éthique, la volonté de bien faire ! C’est un combat politique qui se mène à travers la CAMEG par des tendances du MPP là !! Sinon pourquoi le président ne tranche pas depuis ? Alors que cette histoire le discrédite et remet en cause sa politique sanitaire. Quand même !

  • Le 15 février 2017 à 07:36, par Vrai En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

    Ce qui est sûr l’état a fait un coup d’état administratif à kadeba et ses collègues.
    C’est donc normal que la chose dure.
    Vous décidez de créer le trouble et vous accusez les victimes.
    Bande de voleurs vous tous qui êtes liés pour vous sucrer la vie sur le dos du peuple par votre projet de gratuité de soins.
    J’ai honte à votre place.

    • Le 15 février 2017 à 10:47, par Patience En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

      Personne n’a fait du tord à ces sangsues à double ventouse. Je pense que c’est plus charitable que chacun vienne, il mange un peu et il bouge. Pourquoi tu veux t’accrocher alors que les conditions dans lesquelles tu es arrivées étaient les moins orthodoxes. CAMESG là c’est la chose à qui ? Une chose est sûre c’est pas un héritage des familles Beau Car et Kd bas ! Alors, qu’ils circulent et laissent la KMEG faire son chemin. Quel égoïsme ? Pouahhhhhh ! Hors dur.

  • Le 15 février 2017 à 07:46, par Dedegueba SANON En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

    Moi je conclus que le pays va vraiment de mal en pire, n’en déplaise aux vociférations indignées des "mppistes".
    Une affaire où l’administration hyperpolitisée, se fourvoie, où pour moins que ça des ministres sous d’autres cieux ( plus civilisés) seraient remerciés, où un ministre brouillon et arogant n’a pas arrêté de cumuler les bourdes, nous voilà virtuellement entrain d’évoluer vers un non droit, où l’État va encore perdre des millions à cause de soit disant la " force politique d’un homme". Et tout cela parce que certains pensent que ce pays là est leur " chose".
    Vivement que cette "guerre des numéros" prennent fin pour que nous ayons une et une seule référence. Car ce "tricephalisme" est infecte, et on en vient à presque regretter BC ?

  • Le 15 février 2017 à 08:13, par nous En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

    Le problème, c’est qu’au BF, chacun profite de la fragilité de l’Etat pour faire ce qu’il veut. La démocratie ne saurait s’accommoder au désordre comme nous constatons aujourd’hui.

    • Le 15 février 2017 à 09:24, par le juste En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

      Vraiment tout ça est bien et beau ; mais à ce que je sache, l’équipe de BOKAR et Kadeba ont profité du rejet de Dr Compaoré par le personnel de la CAMAEG pendant la transition pour être installée. Il n"ont pas été recrutés par un quelconque test ; dès lors si les nouvelles autorité du pays veulent changer d’équipe c’est normal. Au temps du BC ; je ne croie pas que quand on nomme quelqu’un et que l’on doit le remplacer y a problème. Vous savez BC c’est du passer, Bokar n’est pas un Dieu ; il a été proposer par le ministère de la santé qui aujourdh’ui veut le remplacer ; il devrait partir gentillement surtout qu’il est à un pas de la retraite. Merci et Sagesse l’oblige.

      • Le 15 février 2017 à 10:38, par Al pacino En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

        Le juste, ton analyse est vraiment digne d’un Homme juste. Où étaient les pseudo légalistes quand sous la transition l’ex DG, pourtant recruté par appel à candidature était débarqué au profit du Dr Compaoré, puis de ce apatride de Kadéba ?
        Voyez-vous, j’en veux tellement à Blaise pas pour ses assassinats, pas pour les détournements mais pour la mue qu’il a opéré aux Burkinabé : jadis intègre, soucieux de l’intérêt général, Blaise a transformé les burkinabé en de pures égoïstes, prédateurs de deniers publiques.
        Comment comprendre que des individus comme Bocar Kouyaté et Kadéba puissent entrainé le pays dans cette pénurie de MEG au nom d’intérêts égoïstes et inavouables ? les soutiens de ces énergumènes qui sont de bonne foi doivent reconnaitre s’être trompés afin de faire amende honorable.

  • Le 15 février 2017 à 12:32, par Pillinpikou En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

    Ce que je peux retenir sur ce dossier c’est que ce n’est pas ceux là qui se prennent pour victimes et sont les premiers à crier fort qui ont raison. Dans ce pays, de plus en plus, les gens fonctionnent sur du faux. Ils n’ont pas honte de mentir pour conserver leurs acquis. Mais je pense qu’en toute chose, il faut savoir que le mensonge n’aura jamais raison sur la vérité. Choisissons toujours le camp de la vérité quelque soit ce que celà va nous coûter. Le chemin de la facilité nous mène tôt ou tard dans le décor. A bon entendeur, salut !
    Où se trouvent ces inconditionnels manipulés de l’ancienne équipe. Le REN-LAC devrait mener des investigations pour établir qui a pris quoi pour soutenir le mensonge et laisser prospérer les usurpateurs de titre et de je sais quoi encore. L’heure de la vérité a sonné, comment vous allez faire ?

  • Le 15 février 2017 à 13:20, par Salaka En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

    pourquoi vouloir coude que coude nommer à une association indépendante. course aux intérêts monopoles encore. le retoure d’un ancien regime.

  • Le 15 février 2017 à 14:08, par Chacalat En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

    BOCAR et consors savaient bien qu’ils n’avaient la qualité pour agir comme ils l’ont fait. Ils ont dilapidé les sous de la centrale pour payer un avocat peu honnête qui les a poussé à commettre des conneries, tout en chassant qu’ils n’étaient pas dans la bonne ligne de conduite. Mais, c’est quand même étonnant que des adultes agissent de la sorte. Mais je vois, leur soutien et wakman leur a sans doute dit que ça marcherait contre vent et marré. Mais enfin, demandez à Blaise ce que son wakman lui avait aussi dit. Donc, le wak ne s’aurait être un moyen pour faire obstruction à la manifestation de la vérité. Retenez-le, vos manoeuvres sordides peuvent juste vous faire gagner en temps, mais ils vous créent en ce moment plus de problèmes et c’est ça qui est là. Voyons si il y a encore un seul politicien pour soutenir cette ancienne équipe qui a user de mensonge et de manipulations à outrance pour créer tous les problèmes au système d’appro en MEG. Et là aussi, il faut que quelqu’un porte le chapeau. Mr le MS, poursuivez les faussaires en justice pour avoir mis à mal votre système de santé.

  • Le 15 février 2017 à 15:22, par sida En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

    nul n est au dessus de l état si le gouvernement remplace un dg ou mémé un ministre il doit partir

  • Le 15 février 2017 à 17:07, par Chacalat En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

    BOCAR et consors savaient bien qu’ils n’avaient la qualité pour agir comme ils l’ont fait. Ils ont dilapidé les sous de la centrale pour payer un avocat peu honnête qui les a poussé à commettre des conneries, tout en chassant qu’ils n’étaient pas dans la bonne ligne de conduite. Mais, c’est quand même étonnant que des adultes agissent de la sorte. Mais je vois, leur soutien et wakman leur a sans doute dit que ça marcherait contre vent et marré. Mais enfin, demandez à Blaise ce que son wakman lui avait aussi dit. Donc, le wak ne s’aurait être un moyen pour faire obstruction à la manifestation de la vérité. Retenez-le, vos manoeuvres sordides peuvent juste vous faire gagner en temps, mais ils vous créent en ce moment plus de problèmes et c’est ça qui est là. Voyons si il y a encore un seul politicien pour soutenir cette ancienne équipe qui a user de mensonge et de manipulations à outrance pour créer tous les problèmes au système d’appro en MEG. Et là aussi, il faut que quelqu’un porte le chapeau. Mr le MS, poursuivez les faussaires en justice pour avoir mis à mal votre système de santé.

  • Le 15 février 2017 à 18:21, par mninda 05 En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

    Chacalat d’accord avec toi. Début le début de cette affaire ,j’ai toujours eu le sentiment que l’avocat de l’ancienne équipe a basé toute sa plaidoirie sur l’émotion au lieu de se concentrer sur des éléments de droit dont il disposait cependant de très solides .Voilà que par son incompétence,il rend un grand service à un ministre décrié qui quoi qu’on dise n’est pas à sa place .Hélas les burkinabè qui se satisfont facilement du sensentionnel vont encore se faire avoir par les triomphalistes d’aujourdhui .Pourtant la vraie solution à ce dossier pour un nouveau départ est de balayer tous les protagonistes de la crise .La division des travailleurs entre les deux équipes ne va pas faciliter les choses pour un bon fonctionnement de la CAMEG qui doit pourtant assurer un approvisionnement efficace du pays en médicaments .

  • Le 16 février 2017 à 18:24, par Moutamouta En réponse à : Crise à la CAMEG : Le Conseil d’Etat déclare irrecevable le recours en annulation

    Djaaaa l’affaire là même n’était pas du tout un problème. Qui a soutenu ces menteurs et usurpateurs qui ont persévéré dans le mensonge et la bêtise ? C’est maïs.