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Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

LEFASO.NET | Par Nicole Ouédraogo
vendredi 25 novembre 2016.

 

Suite à l’appel de leur bureau national, les militants du Syndicat national des travailleurs de la santé humaine et animale (SYNTSHA), se sont réunis à la bourse du travail ce jeudi 24 novembre 2016 à Ouagadougou. La rencontre avec la délégation gouvernementale tenue dans la soirée du mercredi 23 novembre 2016, était à l’ordre du jour.

« Il n’était pas question de discuter de la plateforme. C’était pour nous faire des mises au point et des mises en garde simplement », c’est ce qu’a laissé entendre le Secrétaire général du SYNTSHA, Pissyamba Ouédraogo, concernant la rencontre avec la délégation gouvernementale.

En effet, sous l’égide de l’Unité d’action syndicale (UAS), le bureau national du SYNTSHA a rencontré une délégation gouvernementale, constituée des ministres en charge de la fonction publique, de la santé et des ressources animales. Selon le SG du SYNTSHA, ladite rencontre a porté sur trois questions.

Le premier point est relatif au délai du préavis de grève. « Nous avons l’accusé de réception du Secrétariat général du gouvernement. Si le gouvernement ne s’entend pas sur les délais, qu’ils aillent régler leur conflit sinon, notre grève est légale » a noté Pissyamba Ouédraogo.

La question du non-respect de la loi en matière de service minimum a été également évoquée. A ce sujet, le SG du SYNTSHA explique : « Nous avons dit qu’il n’existe pas de loi générale en matière de service minimum. Ce que nous avons fait noter, c’est la loi 033 au niveau des Etablissements publics de santé (EPS), qui prévoit un service minimum organisé par l’administration. Sinon, la loi 033, le Ministre de la fonction publique a lu ça publiquement là-bas et devant tout le monde, il a constaté avec nous qu’il n’y avait pas de service minimum prévu » a-t-il dit. Puis, il poursuit : « Ce que nous avons fait en octobre, c’est notre propre initiative, sinon au gouvernement, nous pouvons répondre qu’il n y a pas de service minimum obligatoire ». Précisant que la lutte n’est pas dirigée contre la population, le SYNTSHA confie avoir changé de forme de lutte, suite au mépris du gouvernement.

Et Pissyamba Ouédraogo de nous rappeler : « Hier, ce n’était pas la plateforme, ils nous ont accusé de monter des groupes pour empêcher les gens d’aller travailler ». A ce propos, les membres du syndicat national de la santé humaine et animale disent avoir demandé des preuves : « nous avons dit, produisez- nous un exemple, nous attendons les exemples, ils n’ont pas été capables parce qu’il n’y en a pas » a soutenu Pissyamba Ouédraogo.

Aux dires du SG du SYNTSHA, ce sont de « fausses accusations » qui montent une fois de plus, le mépris du gouvernement. A l’en croire, pendant que les Burkinabè sont préoccupés par les questions relatives au système de santé, « voilà, on vient pinailler sur les détails ». Et M. Ouédraogo de renchérir : « En fait, les populations qui crient, le gouvernement s’en fiche et la rencontre l’a montré. Ils n’ont pas parlé de revendications ou de chercher des solutions » a-t-il signifié.

« On a voulu nous diffamer »

Selon Pissyamba Ouédraogo, le Ministre de la santé a « tenté de nous opposer aux populations en disant qu’on a demandé des soins gratuits pour nos parents, nos grands-parents, nos petits-fils ».

Se basant sur le RAABO de 1991 (conjoint N° AN-VIII 0084 /FP /SAN-AS/MF/CAPRO, portant tarification des actes des professionnels de santé et des hospitalisations dans les formations sanitaires et établissements hospitaliers publics du Burkina Faso), le SG a signifié que la loi octroie une exonération à l’agent de santé, à son épouse, à ses enfants et à ses ascendants directs. « Ça, c’est déjà écrit depuis le Front populaire en 1991 » a-t-il expliqué, précisant que ce n’est pas de l’exagération mais : « on a voulu intoxiquer les populations. On a voulu nous diffamer à travers ce droit élémentaire ».

Par ailleurs, s’exprimant sur les plaintes de la population, Pissyamba Ouédraogo a indiqué que le SYNTSHA n’est pas un syndicat corporatiste. « Nous, on ne lutte pas parce qu’on est de la santé » a-t-il déclaré. Ainsi, il a tenu a préciser qu’au minimum 21 sous-points de la plateforme revendicative sont relatifs aux conditions de travail, en l’occurrence les infrastructures, le personnel, les équipements, les médicaments, etc.

En attendant la fin de cette crise, le bureau national du SYNTSHA dit vouloir d’abord dresser le bilan au niveau de toutes les sections du syndicat sur tout le territoire national. Puis : « Nous nous allons analyser ce bilan et à partir ce de moment, on verra s’il n’y a toujours rien, qu’est-ce qu’il faut faire » a conclu Pissyamba Ouédraog.

Nicole Ouédraogo
Lefaso.net



Vos commentaires

  • Le 25 novembre 2016 à 03:15, par Sid Wakat En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Au SYNTSHA
    Bien que je sois d’avis que la lutte paie, je deplore le fait que les medecins sacrifient les pauvres innocents sur l’autel de leur plateforme revendicative.
    Je respecte l’intelligence de nos docteurs et medecins et n’ose pas m’imaginer un instant qu’ils/elles accepteront de retourner leurs armes (en termes militaires) contre la population. Il y a plusieurs formes de moyens de luttes.

    A nos dirigeants
    Il est grand temps d’ouvrir l’oeil et le bon. Asseyez-vous et discutez pour trouver des solutions idoines aux problemes des populations. C’est votre premier devoir si tant est que vous comprenez la notion de la democratie representative. Vous etes elus pour defendre la cause du peuple. Aussi, devez vous les defendre valablement en echangeant de facon constructive avec les differentes couches de la societe qui a des revendications. Par echanges constructifs, je fais allusion a une discussion franche et ouverte ou les diriges verront en vous des representants honnetes, sinceres, mettant les interets de la population avant tout autre chose.

    • Le 25 novembre 2016 à 11:55, par vision En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

      Cher Sid Wakat, les objectifs de ces luttes syndicales sont loin d’être pour l’amélioration des conditions de vie et de travail des TRAVAILLEURS. En réalité, c’est certains partis politique tapis dans l’ombre en complicité avec l’ambassadeur d’un pays étranger qui réside dans ce pays qui financent les responsables des différents syndicats pour déstabiliser le régime en place. C’est un règlement de compte. Les militants moutons qui ne comprennent rien se battent sérieusement croyant que c’est pour leur bien sans savoir que les responsables syndicaux sont payés pour ça. Comme les OSC ne sont plus crédibles car déjà achetées, c’est sur les syndicats à travers leurs responsables que ces personnes mal intentionnées utilisent pour atteindre leurs objectifs. Le temps nous départagera. Si c’est pas au Burkina Faso, nulle part ailleurs dans le monde, la population n’est aussi naïve. Continuez seulement, le réveil sera très douloureux.

      • Le 26 novembre 2016 à 06:14, par En deuil faute de soins En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

        C’est plausible, c’est de plus en plus plausible la thèse du complot. C’est certainement la mise en œuvre d’une autre version du plan de guillaume soro le putschiste aguerri. Il a pu recruter les syndicats pour faire ce que les djibril bassole n’ont pas réussi. Les autorités légales de ce pays doivent envisager cette hypothèse et se preparér sérieusement pour que les pissyamba et co ne réussissent pas.

      • Le 26 novembre 2016 à 10:58, par sasa En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

        vision pour l’amour de Dieu soyez de bonne foi. apportez la preuve de ces affirmation gratuites. vous avez seulement fait un tour dans les centres de santé à l’intérieur du pays ? je vous assure que la grève était bien suivie (près de 100%). allez en suivant votre logique (si logique il y a) vous voulez dire que ces milliers d’agents de santé grévistes sont aussi manipulés ou bien vous pensez qu’ils sont des enfants qui se laissent bernés par les centrales syndicales ?
        non non non allez-y chercher des explications ailleurs. car désolé votre explication est erronée.
        sans la bonne foi ce pays ne se développera jamais car nous seront comme des autruches qui refusent de voir la réalité en face
        respect à vous !!!!!!!!!!!!

  • Le 25 novembre 2016 à 06:21, par sidwaya sorgho gomi En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Le constat s’impose que face aux revendications sociales des travailleurs, le gouvernement de RMCK ne sait rien faire d’autre que de se comporter exactement comme le pouvoir de Blaise Compaoré à ses débuts : diffamations des travailleurs, intimidations et menaces. alors que les faits sont têtus !

    Rappelons nous que le bureau de ce même syndicat a été licencié dans les années 1997 suite également à une grève. Il a fallu que le syndicat déclenche une grève illimité pour que toute honte bue, Blaise Compaoré avec son regretté ministre Tou Ludovic à l’époque accepte faire marche arrière.

    RMCK et ses deux compagnons n’ont tiré aucun enseignement de leur présence aux côtés de Blaise Compaoré pendant la vingtaine qu’il ont passé ensemble. Ils n’ont absolument rien appris de comment aborder les conflits sociaux.

    Au fait quelqu’un pourrait-il me dire pourquoi le gouvernement et son fameux ministre de la santé, si soucieux de la vie des patients, n’ont pas tenté de réquisitionner conformément aux textes, le personnel qu’il faut pour assurer un service minimum dans les formations sanitaires ? A ma connaissance les textes prévoient bien que le patronnant puisse recourir à des réquisitions en vue d’assurer un service minimum.

    Le gouvernement ou un internaute pourrait-il nous expliquer pourquoi de telles réquisitions n’ont pas été faites ? Si tant il est vrai que le gouvernement est soucieux de la santé des populations ?

  • Le 25 novembre 2016 à 06:23, par Yako En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Écoutez mes chers amis,l’état est en faillite depuis 2 ans.A partir de ce constat,quel remède à apporter ? Moi je propose des législatives anticipées à défaut,un gouvernement de responsabilité nationale afin de débloquer le pays.Comme quoi un choix malheureux peut conduire à l’effondrement national.La situation actuelle est le résultat d’une insurrection voulue et tarifee par une élite sans vision d’avenir.

  • Le 25 novembre 2016 à 06:47, par Alex En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Huummmmm, nous n’avons pas peur des menaces du gouvernement. On attend un mot d’ordre et cette fois j’espère que cette grève sera illimitée. Je sais qu’il y a des individus qui vont nous railler comme d’habitude mais seule la lutte libère.

  • Le 25 novembre 2016 à 06:49, par Avis En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Combien de personnes sont restées sur des tables dans les centres de soins à cause de l’extrême négligence du personnel soignant ! Les exemples sont légions. Jusque-là, on faisait le choix de ne pas ester en justice et de laisser passer. Maintenant, je pense qu’il est temps de passer à un autre niveau de réaction. Ils disent régulièrement qu’ils sont agressés dans l’exercice de leur fonction. Ils ne disent cependant pas ce qu’ils ont bien pu faire pour qu’on en arrive là. La femme du monsieur qui trépassent parce que l’infirmère préfère se retrouver devant le poste TV... Si cette grève était légitime hier, du fait de l’absence du service minimum, elle est aujourd’hui illégitime. Et je trouve franchement ce monsieur Pissyamba hautain, condescendant et arrogant. Aucune raison ne peut justifier qu’on sacrifie ainsi les patients. Le serment d’hippocrate, je me demande ce qu’ils en font !

    • Le 25 novembre 2016 à 08:13, par lapatriote En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

      tout à fait d’accord avec vous. ils ont de ces comportements arrogants et irresponsables vis-à-vis des patients. quelles solutions proposent-ils pour ça ? ils sont les premiers à vendre les produits dans les formations sanitaires aux patients, qui en parlent.
      Même avec un plateau technique dernière génération et un salaire triplé, les gens ne pourront pas changer. La femme du policier en question qui est tombée de la table d’accouchement, que dit le syndicat ?

    • Le 25 novembre 2016 à 10:49, par ollobou En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

      Il faut que beaucoup de militaires, gendarmes et policiers soient formés dans le domaine de la santé pour assurer le service minimum dans de telles situations. Il faut même penser à ce que 1/3 du personnel soignant soit des militaires pour ainsi les rendre plus productifs et en même temps sauver des situations de ce genre que nous traversons. Le sérieux du serment du personnel soignant est à voir.

    • Le 25 novembre 2016 à 11:39, par Bognini En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

      N’indexons pas les individus car ils sont élus par leurs syndicats. le serment d’Hippocrate ne dit dans quelles conditions devraient travailler ces agents, et si dans un état on accorde plus la priorité à d’autres secteurs alors acceptez que les agents refusent d’être comptables de la situation de suicide collectif, et être responsable de la situation. Ouvrez l’oeil maintenant et le bon car avec la gratuité instaurée ce pauvre agent de santé n’en sera plus pour rien : le dégarnissement des dépôts MEG, l’insuffisance de personnel, le manque de matériel médicotechnique. Que chacun sorte son code pénal et on verra...

    • Le 26 novembre 2016 à 08:54, par garou En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

      dites moi quel partie de ce fameux serment oblige l agent de santé à travailler meme si n a pas le matériel réquis ? dites seriez vous d accord que votre femme accouche sous la lumière du lampe torche ou meme d un télépone portable ? et la table de la salle d accouchement de votre hopital de référence qui a c eder sous le poids d une parturiente parce qu elle était rouillée ? si l agent de santé estime que son salaire ne le suffit plus qui etes vous pour contester ?c ’est trop facile de lancer les accuusation qu on est pas concerné

  • Le 25 novembre 2016 à 07:00, par Freeman2 En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Si la plateforme n’est pas satisfaite après la grève sans service minimum, que va faire la synsha maintenant ? Une semaine sans service minimum ?

  • Le 25 novembre 2016 à 07:45, par caso En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Merci de ce justifier mais le manque de service minimum est contre le peuple car si vous femme ou enfant ou intime est malade vous allez vous occupper de lui. Pour une vocation Oui a la greve avec service minimum.

    • Le 25 novembre 2016 à 12:26, par Massabah En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

      Quand le Syntsha faisait une greve illimitée sans service minimum pour barrer la route au RSP en Sept 2015 ; personne ne s’est plain car c’était bien de tuer pour une cause nationale n’est ce pas ? Accepter aussi qu’il se cherche dans les bras des RSS qu’il a contribuer a instaler au pouvoir par la meme methode.

  • Le 25 novembre 2016 à 07:48, par nebson sore En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Je crois que sera une grosse bêtise de satisfaire les revendications indemnitaires des syndicats.

  • Le 25 novembre 2016 à 07:53, par La vérité rougit l’oeil En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Il y a des sujets sur lequel il ne faut pas jouer. Vous ne connaissez pas le Burkinabe encore, attendez seulement que les choses empire et nous aurons une chasse au personnelle de santé au Burkina.
    Et je vous jure que si la situation dégénère, les phrases comme vous ne nous comprenez pas, pitié seront proscrits on appliquera à notre corps défendant la loi du Talion. Le pays est stable autour d’une chaîne d’activité ou on trouve : Eau(ing, chercheurs,hydrologue,hydraulicien, technicien etc)—Santé (infirmier, medecin, agents,pharmacien, techniciens etc.)— Energie(ing,PhD, techniciens, transport, conservation etc.)—Environnement (ing, technicien, PhD etc pour quantification préservation et mobilisation de la ressource)— infrastructures ( ing,phD, techniciens pour un cadre de travail convenable( Bâtiment,route, voirie, assainissement)—Economie(Master, PhD, comptables etc. Pour la mobilisation de finances)—la justice( pour équité) et sociale(cohesion). Cette chaîne incomplète montre jusqu’à quelle point nous sommes interdépendant et que le manque d’un maillon entraine l’arrêt du systeme.

    Faites attention,détruire c’est facile et chacun dans son domaine peut impacter négativement la vie de l’autre agent de santé ou pas

    Attention attention au chantage

  • Le 25 novembre 2016 à 07:54, par Le Zongale En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Vous allez faire le bilan du nombre de morts qu’il y a eu pendant cette grève ? S’il n’y en a pas eu assez, vous verrez comment faire pour qu’il y en ait. Vraiment à dire que ce sont des pères de familles qui raisonnent comme cela, que dis-je, qui résonnent comme cela ! Vous pensez être vous même épargnés ? Je pense que même agent de santé, on a besoin de consulter un autre agent pour certaines pathologies. Je ne vous souhaite pas cela, mais je souhaite que ni vous, ni aucun autre burkinabé ne soit obligé de mourir parce qu’un agent de santé pense que ce qu’il reçoit comme salaire en fin de mois ne suffit pas, alors que lorsqu’il faisait le concours d’entrée dans la fonction, il savait ce qui l’y attendait comme rémunération. Oui à l’amélioration des conditions de vie des agents mais pas à la "sauvage".
    Bien cordialement à vous nos agents "conscients" ?!?!

  • Le 25 novembre 2016 à 07:54, par Mantou En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Au tant on déplore ou condamne la grève sans service minimal, au tant il faut déplorer la passivité du Gouvernement qui d’ailleurs est responsable de toutes ses situations et ne saurait dire être surpris. Ils ont fait rois les magistrats qui d’ailleurs ont détruit ce pays -je pèse mes mots- en détruisant la justice qu’ils ont simplement remplacée par une injustice. Je cherche en vain en quoi ce corps est plus méritoire. C’est lui qui a nourrit et entretenu la corruption dans notre pays. la plupart des immeubles R + , si ce n’est pour maitre x c’est pour maitre y. Il faut que tout le monde réclame parce que nous somme dans un pays non gouverné.

  • Le 25 novembre 2016 à 08:00, par esprit le magnifique En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    les agents de santé viennent de nous démontrer qu’ ils n’ont pas de coeur, seul compte pour eux, le gain.bien que soit légitime la grève, il est impensable de laisser la population sans le moindre soins durant 3 jours.on sait que vous n’êtes pas venus dans la santé par vocation, mais faite semblant.dans tous les pays du monde, la santé va en grève, mais c’est la 1ère fois au monde que les agents décident de ne rien faire pour la population durant 3 jours.le gouvernement est mauvais, j’en conviens mais vous, vous êtes cruels, ciniques sans coeurs.et j’espère qu’il vous reste un minimum de coeur pour regretter tous morts durant votre grève et qui ne pourront plus jamais,plus jamais revenir à la vie.

  • Le 25 novembre 2016 à 08:03, par Serment d’hyppocrate En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Une des versions du serment d’Hippocrate
    Au moment d’être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité.
    Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux.
    Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité.
    J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences.
    Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences.
    Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire.
    Admis(e) dans l’intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu(e) à l’intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les moeurs.
    Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément.
    Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. Je n’entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés.
    J’apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu’à leurs familles dans l’adversité.

    Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré(e) et méprisé(e) si j’y manque.

    • Le 25 novembre 2016 à 11:05, par CP1 En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

      « Je jure devant le peuple burkinabè et sur mon honneur, de préserver, de respecter, de faire respecter et de défendre la Constitution et les lois, de tout mettre en œuvre pour garantir la justice à tous les habitants du Burkina Faso ». Constitution du BF TITRE III - Artcile 44,
      au TITRE I - Article 1 - Tous les Burkinabè naissent libre et égaux en droit. Tous ont égale vocation à jouir de tous les droits et de toutes les libertés garanties par la présente constitution. ... Article 2 - La protection de la vie, la sureté et l’intégrité physique sont garanties...

  • Le 25 novembre 2016 à 08:06, par Sage femme En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    L’histoire retiendra, en tout cas sous la IVe République, que les meilleurs ministres de la santé au Burkina n’ont pas été ceux qui avaient un profil de médecin. Parmi ces ministres qui ont dirigé avec tact et responsabilité le département de la santé on peut citer : Christophe Dabiré (économiste),Ludovic Tou(sociologue),Léné Sebgo(économiste).Quand le ministre de la santé est un médecin, il se pose un problème ,une lutte corporatiste surtout si le ministre n’a pas un esprit de rassembleur et n’est pas d’un échelon supérieur de professeur agrégé de médecine. C’est exactement le cas pour le ministre Smaila qui n’est qu’un assistant de médecine qui manque de respect à ses aînés professeurs agrégés et à l’ensemble du personnel de santé ainsi qu’à l’administration. C’est pourquoi il est incapable de gérer convenablement le ministère de la santé, car il ne sait pas gérer ni les ressources humaines, ni financières. Il fait une gestion clanique et corporative de la santé au profit de ses amis et promotionnaires jeûnes agités qui narguent toute la hiérarchie au ministère. A l’avenir, il faudra prendre en compte ces paramètres pour ne plus nommer un jeune médecin ministre de la santé ou continuer de nommer des responsables d’autres profils qui ont une expérience avérée dans la gestion de l’administration publique, des ressources humaines et financières.

  • Le 25 novembre 2016 à 08:12, par CHIENCHAT En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    ALLEZ EN GREVE EST UN DROIT. SANS SERVICE MINIMUM EST CRIMINEL

  • Le 25 novembre 2016 à 08:23, par MP En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Soutien aux travailleurs du SYNSTHA en lutte légitime et justes. Certaines personnes déplace le débat. Qui est le premier responsable de la santé des populations burkinabé ? C’est le gouvernement. s’il a reçu un préavis et qu’il continue dans le dilatoire c’est qu’il est responsable de toutes les conséquences. Courage travailleurs. C’est maintenant beaucoup découvre votre importance.

  • Le 25 novembre 2016 à 08:41, par Citoyen En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Vous rappelez-vous de la mutinerie de 2011 des militaires ? A l’analyse c’est exactement les mêmes tenants donc les mêmes aboutissants ! Je sais que les infirmiers sont très réfléchis, défendent la cause de la population. En plus vous êtes dans vos droits. Mais, si l’opinion publique est contre votre façon de faire , je vous en prie, revoyez votre façon de lutter. Quand c’est l’autre, il faut lui mettre la pression et quand c’est moi on doit me comprendre........
    Chers collègues infirmiers, ressaisissez vous pour servir avec le même amour et la même conscience que d’habitude. Nous sommes une nation en construction, comprenons-le.
    La nation dans son devoir a cru bon de vous former pour vous consacrer à cette tâche noble et difficile au bénéfice de tous, donc ne retournez pas vos armes contre le peuple croyant faire pression sur un quelconque Gouvernement ! (je me rappelle de la mutinérie des militaires de 2011)...... Finalement, l’Etat doit prendre ses responsabilités même s’il faut faire mal !

  • Le 25 novembre 2016 à 08:43, par Gargantuas En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Cette lutte est légitime, service minimum ou pas , tout dépend du degré d’écoute des dirigeants. Mais qu’est ce qu’on veut, le peuple est pris dans son propre piège pour avoir laisser le "vrai changement" en votant la "continuité". Qu’est ce qui diffère de l’ancien temps de Blaise ? rien, c’est même pire ? Quel dommage...

  • Le 25 novembre 2016 à 08:47, par Francis En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Je pense qu’il faut que la population se lève et soutienne la démarche des agents de santé, pour que le gouvernement prenne enfin ses responsabilités. Certaines personnes ne comprennent pas ce que vivent les agents de santé. Chaque jour des gens meurent par insuffisance de matériels ou de produits.
    Aujourd’hui tu es victime d’un accident ou d’une agression, et on transfert à Yalgado, sans accompagnant tu meurs aux urgences out seul. Comment comprendre qu’à Yalgado on ne dispose que 2 couveuses ? pour combien de million de Burkinabé ? C’est triste !!!
    La lutte c’est pour tout ça. Je comprends pas pourquoi au lieu de soutenir cette action, on condamne les pauvres agents.

    Le gouvernement joue à la sourde oreille depuis combien de mois ? Combien de fois les agents de santé paye de leur poche des soins pour des nécessiteux dans ce pays la ? Ou combien de fois chacun de vous a appelé un médecin chez lui à la maison pour des soins ? S’ils étaient des ennemis du peuple, personne ne ferait cela.
    La santé c’est la base de tout. Luttons ensemble pour que la situation se règle au plus vite, car cela y va du bien de tous. Certains pour une simple toux, prenne l’avion pour consulter.
    Bref, sachons qui défendre !!!

    • Le 25 novembre 2016 à 11:02, par Paligba En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

      Jamais je ne soutiendrai une greve sauvage comme celle la. Bien au contraire ; La prochaine fois, demissionnez tous une bonne fois pour toute et laissez nous mourir.

    • Le 25 novembre 2016 à 12:04, par Objectif En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

      Monsieur Françis, tu as peut être raison de dire que certaines personnes ne comprennent pas mais je pense qu’il faut faire la différence entre "le nécessaire" et "l’urgence". Le personnel ne vas quand même pas sacrifier la santé de la population et vouloir que cette même population le comprenne. Par exemple, un de mes parents ou de mon enfant meure dans cette situation, comment veux-tu que je le comprends ? Déclencher la grève sans service minimum, c’est la pire des erreurs du syndicat qui peut faire échouer cette grève. Même si le fonds est justifié, la forme reste inadaptée.

      • Le 27 novembre 2016 à 17:26, par kabore En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

        Si tu refuse de comprendre la grève cela n’engage que toi. Le nombre de mort que la dengue a fait dans les zones eloignées de Ouaga et meme Ouaga depasse de loin ce que tu pretend pour la grève. Mais pouquoi il y a eu ces mort ? parce que le gouvernement a été négligeant en ne disposant pas de reactif. qu’as-tu dis au gouvernement ?

    • Le 25 novembre 2016 à 21:04, par Christian En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

      Je suis en partie d’accord avec cette lutte. Notament la gratuité des soins et les dotation en équipements de pointe. Cependant, sur l’amélioration des conditions de vie,pouquoi chaque corps doit-il mener sa lutte. La fonction publique n’a t-ellle pas une grille des classifications des emplois élaborée en fonction des niveaux d’etudes ? Avant d’embraser une fonction cjacun est déjà averti de ses conditions de travail,qui en mon sens doivent concerner tous les agents de le même catégorie quelque soit ton domaine. Chaque corps veut avoir un statut qui lui est propre. Que deviendra alors le statit des agenrs de la fonction publique ? Si l’on n’y prend garde,personne ne pourra gérer ce pays un jour si ce desordre. Chaque corps réclame ce qu’il veut,parce qu’il pense etre plus serviable que l’autre. Tut travailleur est serviable et contribue selon son domaine d’intervention au développement du pays. Il y a des gens qui travaillent pour éradiquer la maladie en octroyant presque gratitement é e l’eau potable et des toilettes même aux population les plus demunies du Burkina. Certains agents de santé ne savent même pas comwment leur centre de santé a obtenu soit un forage ou une latrine. C’est des citoyens comme eux qui ont brave vent soleil et pluie,avec tous les dangers que celà peut comporter pour que celà soit.
      Et puis,attention aux dirigeants. Ce n’est pas une augmentation des salaires qui pourra resoudre les problèmes des Burkinabés. Combien de Burkinabés sont fonctionnaires. Et les autres ? Qui doit améliorer leurs conditions de vie ? Ou bien eux ne sont pas des Burkinabés ? Augmentatikn de salaire cionduisent automatiquement augmentation des prix dans les boutiques, augmentation des loyers. Le gouvernement doit travailler plutôt à la baisse des prix,pas seulement sur les peoduits de première nécessité, mais sur l’ensemble des produits.,parcelles,matériaux de construction,produits pharmaceutique. .. Seules ces dispositions peuvent aider les burkinabés a s’épanouir. Tout le reste c’est de l’égoïsme. Nos parents qui sont au village veulent aussi voir leurs conditions de vie améliorées, et c’est leur droit parce que pays nous appartient tous.

    • Le 26 novembre 2016 à 07:08, par Jahkarimo En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

      C’est honteux comme analyse !S’il revient aux populations d’aider le SYNTSHA,dans ses revendications,afin de benificier de soin minimale,qu’ils nous laissent mourir car il aurait plu au bon Dieu qu’ainsi soit notre destin.merci !

  • Le 25 novembre 2016 à 08:51, par Alfred En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Je pense qu’il faut que la population se lève et soutienne la démarche des agents de santé, pour que le gouvernement prenne enfin ses responsabilités. Certaines personnes ne comprennent pas ce que vivent les agents de santé. Chaque jour des gens meurent par insuffisance de matériels ou de produits.
    Aujourd’hui tu es victime d’un accident ou d’une agression, et on transfert à Yalgado, sans accompagnant tu meurs aux urgences out seul. Comment comprendre qu’à Yalgado on ne dispose que 2 couveuses ? pour combien de million de Burkinabé ? C’est triste !!!
    La lutte c’est pour tout ça. Je comprends pas pourquoi au lieu de soutenir cette action, on condamne les pauvres agents.

    Le gouvernement joue à la sourde oreille depuis combien de mois ? Combien de fois les agents de santé paye de leur poche des soins pour des nécessiteux dans ce pays la ? Ou combien de fois chacun de vous a appelé un médecin chez lui à la maison pour des soins ? S’ils étaient des ennemis du peuple, personne ne ferait cela.
    La santé c’est la base de tout. Luttons ensemble pour que la situation se règle au plus vite, car cela y va du bien de tous. Certains pour une simple toux, prenne l’avion pour consulter.
    Bref, sachons qui défendre !!!

    • Le 25 novembre 2016 à 12:47, par En deuil faute de soins En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

      Je pense comme toi qu’il faut soutenir ce syndicat. Ha ça oui il faut le soutenir. C’est sûrement ce qu’il faut faire. Dès qu’on aura fait l’enterrement des morts fautes de soins, on se jettera corps et âme dans La Défense de cette stupidé d’un autre âge. Le gouvernement n’a encore satisfait votre desiderata ?? Il ne va pas le faire de sitôt non plus ? La prochaine fois c’est pour une semaine ou un mois ? Nous ferons les va et vient entre les cimetières et vos sit-in, à vous applaudir, ce Pissyamba est incontestablement un héros, de la trempe des durs, un vrai Jules César des temps modernes. Mais Rome n’a pas été détruite en un jour.
      Paix aux âmes perdues et réconfort aux familles meurtries. Votre douleur s’apaisera quand le temps viendra. Restez dignes, ce n’est pas une épreuve, non loin de là. Vous aurez l’occasion de vivre la grande aventure de restaurations de dignité, de probité et vous pourrez alors faire le deuil de vos proches et de la cupidité du même du coup. INCHALLAH.

      je passais, je repasserais.

  • Le 25 novembre 2016 à 08:51, par Nama En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Que chaque corporation ait son syndicat avant que tous , on aille en rang serré au sytsha, tel que voulu par l’esprit du symeb.
    Tant qu’il existera un corps pingre prétendant être au sommet de l’hymalaya dans la santé, nous entreverront la fracture allant des syndicats à l’administration sanitaire.
    Voilà les bénéficiaires privilégiés qui entrave une lutte légitime. Pourtant cette lutte vient de somptuer les simples médecins généraux en P.
    Continuez avec eux, vous-vous reveillerez quand ils cracheront sur vous après leur catégorisation en Q.

  • Le 25 novembre 2016 à 08:52, par le peuple En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    vous faites honte vous le personnel de la santé.un fonctionnaire, son salaire vient des travailleurs c’est à dire du pauvre paysan avec sa daba , des commerçants et autres que vous refusez de soigner aujourd’hui. apprenez à comprendre ce que signifie la division de travail : chacun joue un role important pour la construction d’une société prospère.vous vous êtes proposés pour s’occuper de la santé de la population qui a mis tous les moyens à votre disposition pour votre formation et qui assure votre salaire à la fin de chaque mois. De grace mes chers agents de santé surtout les plus corrompus ne soyez pas des imbeciles, ou des parasites pour cette société.

  • Le 25 novembre 2016 à 08:56, par Tous responsables En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Bien que les revendications soient compréhensibles, je pense qu’elles sont plus structurelles et ne peuvent pas être résolues "ici et maintenant" avec un pouvoir qui vient de s’installer et qui cherchent les voies de sortir le pays des difficultés dans un contexte de multitudes de grèves et d’insécurité. Cette situation freine l’arrivée des investisseurs pour la relance de l’économie tant souhaitée.
    Où étiez vous sous l’ancien régime ? De mémoire de burkinabés, une grève des agents de santé sans service minimum était rare voire inexistante.
    Je pense que le syndicat veut punir les pauvres populations. Tous les corps des malades morts (hommes et animaux) pendant cette grève doivent être déposés devant les portes des responsables du syndicat et ils doivent être poursuivis pour complicité de mort. Même si la loi n’est pas précise sur le "service minimum" leur serment et leur humanité (s’il en reste encore) les obligent à s’occuper des malades.

  • Le 25 novembre 2016 à 08:56, par yat En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Donc le ministre ne connaît même pas les lois de son ministère ? Et au lieu d’aller négocier pour le bien être de la population, la délégation du ministère est aller exposer ses insuffisances là-bas. C’est dommage. Je comprend pourquoi ROCK parle déjà d’une autre insurrection.

  • Le 25 novembre 2016 à 09:15, par Le rienneux En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Vous savez votre grève bien qu’elle soit légale, elle n’est pas légitime. Cela me fait honte que l’on accepte tuer ses frères pour des besoins personnels. Admettons que l’État satisfasse toutes vos revendications, vous aurez la population dresser à la moindre erreur car le temps c’est "Dieu qui a donné c’est lui qui reprend" sera terminer. L’absentéisme pour se rendre dans les cliniques, terminé. Les ordonnances kilométriques en complicité avec les délégués médicaux terminés. On peut sacrifier le peuple mais pas tout le temps car lorsque le peuple se soulèvera, rien ne l’arrêtera. Pas un pas sans le peuple !

  • Le 25 novembre 2016 à 09:19, par Adou Da En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    qu’ils fassent un an de greve sans service minimum.ce qui est sûr la vie continue.une femme est decedée a l,hopitale yalgado du fait de negligence de l,infirmière.ils vont nous dire que c’est par manque de moyen ou mauvaise conditions.desormais que les patients soient tres regardant sur leur traitement.on doit pouvoir situer les responsabilités et poursuivre en justice s’il le faut

  • Le 25 novembre 2016 à 09:21, par yerbanga joel En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    vraiment le peuple est désoler de votre sans un service minimum pour des assermentés d’hypocrites ; bien que votre revendication légitime. le peuple aurait vous du vous soutenir si et seulement si on assurait le minimum. ce peuple dont vous êtes bénéficiaires de l’impôt consentis par ce vaillant peuple vous dit merci. l’ intérêt supérieur de la nation passe avant tout autres revendications corporatistes surtout la question fondamental e qui est la santé.il ya de cela deux vous n’osez pas sinon,NGWAO. combien sont morts en 72heures de gréves et combien ont rejoint les cimetières par votre faute. a l’ avenir pensez y profondément surtout au peuple ; je sais que parmi ce peuple beaucoup vous ont aider à payer la scolarité de vos études et payer des timbres pour vos concours. cette fois ci, la gréve n’était un succès mais un échec sur toute sa forme. DE LA SANTÉ POUR LE PEUPLE ET DIEU BÉNI MON PAYS LE BURKINA FASO

  • Le 25 novembre 2016 à 09:21, par Nama En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    La aurait été plus légime qu’elle inscrît en lettre d’or, l’harmonisation aux normes internationales et sous-régionales des doplômes.
    A titre d’exemple : Infirmiers et Sage-Femme d’état en a A 3(bac+3), Attaché en A 1...
    O sent en ces concernés de la bassesse d’esprit surtout ses responsables de suiveurs sydicaux.
    Sortez de l’ombre un jour.

  • Le 25 novembre 2016 à 09:22, par Thinkxtra En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Loin de moi l’idée que votre lutte soit simplement dans le but de satisfaire des desseins corporatistes. Il me plait de penser que tout travailleur doit pouvoir vivre décemment du fruit de son labeur, ce qui à mon sens implique d’avoir un salaire décent. Par contre, il est aussi bon de noter que la forme de la lutte est violente et quelque peu critiquable sur le plan moral. J’aimerai juste attiré l’attention sur le fait que la nature a horreur du vide. Vous améliorerez vos conditions et j’espère que vous accepterez aussi cher SYNSTHA que les exigences en matière de qualité deviennent des questions fondamentales pour la population. Plus une seule dame morte en couche parce qu’un agent n’aurait pas fait son travail, plus de remontrances dans vos maternité, plus de mort évitables, plus de raquettes des patients. Je vous l’ai dit, ce sera le revers de la médaille et vous savez ces mêmes magistrats vous attendront sur leur hôtel pour vous sacrifier. A bon entendeur...

  • Le 25 novembre 2016 à 09:47, par zagas En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Je pense que les gens font un jugement sévère et hypocrite au regime de Rock par rapport aux avantages des magistrats.Rappellez-vous que ces avantages ont été concédés lors des états généraux de la justice qui avaient regroupé toutes les couches sociales de notre pays pendant la transition et ensuite votés par le CNT.C’était un droit acquis pour les magistrats avant même l’élection de Rock comme président du Faso.
    Ceux-ci ont bien profité du moment(intélligents qu’ils sont) pour reclamer les decrets d’application car il y avait les élections municipales en vue avec les recours en inéligibilié en cascades contre d’anciens maires et c’est aux magistrats de trancher,ainsi que la validation de ces élections municipales et s’ils partaient en grève ces élections seront biaisées ; pourtant le Burkina avait besoin de ces élections pour parfaire l’institutionnalisation democratique complète et commencer à taper aux portes des partenaires techniques et financiers(PTF) qui sont éxigeants sur ces questions.Pour moi,le président Rock a d’ailleurs eu une décision sage là dessus !!!

  • Le 25 novembre 2016 à 10:12, par CP1 En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Je comprends l’amertume des populations, la grande irresponsabilité revient au gouvernement. La plateforme revendicative n’est pas que pécuniaire alors ne déplaçons pas le débat. Le Gouvernement a été informé de la tenue d’une gréve sans service minimum et que a t il fait. Rien ? Il a joué à la sourde oreille. Par anticipation, le gouvernement devait donner ordre au ministre de la santé à tout faire pour éviter une telle grève ou à s’assurer que le minimum de personnel soit en poste. A comprendre, le gouvernement a failli, en se disant, il n’oseront pas sauté au Rubicon en faisant une telle grève et là il aurait eu le dessus pour casser le mouvement. Même si une révision est en cours sur le statut des médecins et agents de santé, le gouvernement se devait de s’assoir avec le syndicat pour s’expliquer et résoudre les points de divergence. Après le dépôt du préavis, le syndicat a informé le publique mais qu’avait par exemple l’Assemblé Nationale sensé représentée le peuple, rien. Pour d’autres faits moins importants l’Assemblé Nationale communique cas du don de tablettes à l’AN. C’est dire que l’AN a été incapable de faire une sortie pour contrôler/ recadrer la dérive du gouvernement, parce que concentrée qu’elle ait a géré les tablettes données. L’ordre des médecins même si il a réagi tardivement est dans son rôle car certains de ses membres sont aussi dans ce syndicat et il avait interpellé le gouvernement à revoir les conditions de travail des médecins. des agents de santé qui travail dans des conditions difficile sans gant quelque fois. Le gouvernement demande que le service minimum soit assuré sans minimum donné aux agents de santé. Savez - vous que dans certains situation sans gants l’agent de santé ne devrait pas consulté le malade. Oui au respect du serment d’Hippocrate mais dans les conditions où la vie des agents de santé ne sont pas très exposées. En réalité, les populations n’ont pas compris sinon que c’était sur le ministère de santé que les malades, accompagnants devaient se diriger, et si rien n’était fait sur la primature et pourquoi pas à la présidence. Le gouvernement devrait travailler à ce que des travailler puissent manifester tout en travaillant cas des banderoles attachées et que les négociations se poursuivent. Quand les agents des impôts vont en sitting, c’est une masse d’argent non collectée pour réaliser les dépenses au profit de structures étatiques et ce non recouvrement à peut être à l’origine de décès, par manque d’équipements. Toutes grèves à ses conséquences. Personne ne demande combien de morts à causé la grève des agents de l’ONATEL ? Et pourtant, il y a eu des conséquences incalculables. La grève d’un maître du CP1 est également mortel, car c’est un message n’ont transmis à des élèves, et cela joue sur le mental des élèves de l’école et sur leur réussite future, sans oublier que le fait de grève les élèves s’adonnent à autre chose (promenade, alcool, sexe,...) qui peuvent avoir des conséquences. Alors le gouvernement devrait demandé à ce que les manifestations soient revues de sorte à permettre aux agents de travailler et s’engager à poursuivre la négociation au lieu de fuir ses responsabilités. Aux malades et accompagnants le PF a sa prise de fonction a juré de protéger les populations, les malades ont ils été protégés, alors la prochaine fois la cible c’est plutôt le ministère de la santé, et la hiérarchie de ce ministère.

  • Le 25 novembre 2016 à 10:26, par Epéron En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Cette grève fera plus de victimes que l’insurrection et le putsch manqué. vous le savez et semblez l’assumer. Vous montrez ainsi votre âme noire longtemps cachée sous vos blouses blanches. D’une manière ou d’une autre, peu importe le temps que cela prendra, vous payerez pour les vies que vous avez choisi de sacrifier au nom de l’argent. Les proches des victimes vous maudiront , le peuple vous maudira , dieu vous punira pour le serment violé. Ce syndicat payera pour ses actes terroristes.

  • Le 25 novembre 2016 à 10:33, par Lamartine En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    La grève est un droit constitutionnel, la vie des usagers, un droit absolu. Que les agents de santé et les autorités le sachent une bonne fois pour toutes. A l’allure où vont les choses, il est grand temps que la population prenne sa responsabilité face à l’irresponsabilité des dirigeants et au mépris des agents de la santé. Je propose que la population de tout bord observe une grève illimitée au prochain préavis de grève de ces sans cœurs ni sentiment pour la vie humaine !

  • Le 25 novembre 2016 à 11:08, par Habib En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Je pense qu’aujourd’hui on a des syndicats irresponsables ! sur plus de 100 points de revendications seulement 21 concernent les conditions de travail ; conclusion le reste c’est vos intérêts égoïstes ! Le soins de gratuité, ce ne sont pas vos collègues qui prescrivent les produits en doublons ou en triplet et soutirent les surplus pour eux-même ! On vous dénoncera maintenant dès votre retour et j’espère que vous allez défendre vos collègues pour ces crimes volontaires commis dans l’exercice de leur fonction, on vous connaît dans ça ! Autant, on envoi des policiers, des gendarmes, des financiers, .... en prison dans l’exercice de leurs fonctions, on vous enverrait aussi ! L’ASCE-LC doit revoir son intervention pour ne plus se limiter à la gestion financière.
    Les plus intelligents (médecins) de votre corps vous a même interpellé !!!

    Il nous faut un régime exceptionnel pour corriger cette pagaille syndicale. Déjà, je pense que le gouvernement a déjà pris des mesures pour sanctionner tous les agents stagiaires étant donné qu’il n y a pas eu de service minimum c’est tout le monde est allé en grève y compris ceux qui ne sont pas dans les conditions !
    On là déjà fait pour les greffiers donc il faut traiter tout le monde sur le même pieds d’égalité. Il y des gens conscients et compétents qui sont à la porte !
    Vive le Burkina Faso ! Vives les luttes responsables !

  • Le 25 novembre 2016 à 11:32, par Le Vigilent En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Le Procureur du Faso doit poursuivre le Syndicat des travailleurs de la sante pour complicite dans la violation du serment d’Hypocrate par tous ses membres qui ont prete ledit serment et qui ont suivi le mot d’ordre de refus d’assurer le service minimum ;
    Le MBDHP doit a son tour poser une plainte contre le syndicat des travailleurs de la sante du public pour violation des droits d’acces aux soins de sante (a) des malades qui etaient hospitalises ou admis en urgence et qui n’ont pas pu beneficier des soins appropries duarnat la periode de la greve sans service minimum et (b) des populations des zones rurales ou la seule possibilite d’acces aux soins est le recours aux CSPS, dispensaires et maternite du secteur public.
    Vouloir faire porter par le gouvernement la responsabilite du manque d’un service minimum Durant la greve c’est de refuser de reconnaitre que le Serment d’Hypocrate est un engagement personnel du personnel soignant et non pas de son employeur.

  • Le 25 novembre 2016 à 11:34, par Naakansa En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    OOOOOOHHH....... comme j’ai le cœur serré, j’ai les larmes aux yeux au vue de toutes ces grèves à répétitions. Comme si par un coup de baguette magique après le départ de Blaise tout pouvait changé comme dans un rêve !!! Continuez de grever au lieu de penser à travailler pour remettre le pays sur pied. Continuez !!! De toute façon, que ce soit vous ou vos enfants, nous sommes tous dans le même bateau et si ça se trouve qu’il y a eu mort d’homme par faute de l’absence de quelqu’un à un poste quelconque de santé, que la justice divine lui rende son bienfait.

  • Le 25 novembre 2016 à 11:43, par Dieu paie En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Tous ces problèmes aujourd’hui exposés par le SYNTSHA, n’existaient-ils pas avant 2016 ? Si Pissyamba a le courage de dire que "même quand nous travaillons, des gens meurent", je reste sans voix, le cœur plein d’amertume et d’horreur. Je suis très dépité, mais conscient aussi qu’ils ne dépassent pas 1% ceux qui ont choisi ce métier par amour pour la vie humaine.
    A l’attention du Gouvernement de Roch, je dirai : éviter l’amateurisme, du genre ce qui a été fait pour les magistrats. Roch a manqué d’inspiration et de bon sens dans la gestion de ce dossier. Je n’ai jamais vu ça dans aucun pays, même avec la dévaluation de 1993 où le pouvoir d’achat des travailleurs avait diminué de 100%. Il est le seul responsable de cette fronde sociale exacerbée et infeste. Alors qu’il assume.

  • Le 25 novembre 2016 à 12:16, par HINASO En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Tout ce que les gens baratinent sur le net comme quoi cette lutte est pour le bien du Peuple n’est qu’élucubrations et folie meurtrière. Depuis quand on fait du bien à quelqu’un en le tuant ? J’ai toujours été contre la gestion du pays surtout dans son volet santé et éducation depuis le régime déchu (CDP) et actuel (MPP). J’ai toujours été également pour les grèves de ces deux corps que je trouve toujours légitimes. Je conviens par ailleurs avec tous que Smaila Savadogo n’est pas est bon ministre et le pouvoir actuel est nul. Cependant, tuer les pauvres burkinabé sous prétexte que vos conditions de travail ne sont pas bons est criminel. Cette fois ci je suis contre et même très très fâché contre les agents de santé qui ont délibérément décidé d’ôter la vie à leurs compatriotes pour des raisons inavouées (l’argent seul). Vous avez maintenant franchi le Rubicon et là je pense que le Peuple est contre vous et non le gouvernement. On doit se comprendre entre nous pauvres pour attaquer les riches qui nous maltraite et vous agents de santé vous retourner votre armes contre nous. C’est grave et on va se gérer dans les jours qui suivent si vous ne vous ressaisissez pas.
    Je parie que même si on augmente le salaire des agents de santé, moi HINASO, je qualifie ça d’argent salle et souillé à l’image de ceux qui tuent pour s’enrichir parce que vous avez volontairement tué pour vous enrichir. Vos consciences vont vous gronder tôt ou tard du moins pour ceux qui, parmi vous ont encore une conscience. Comment des père et mère et famille peuvent aller en grève sans service minimum dans le domaine de la santé ? Vous êtes plus que des terroristes fossoyeurs de la république tout comme nos gouvernants. Votre sort va ressembler aux militaires de 2011 et aux RSP qui croyaient que sans eux le Burkina Faso ne vas exister.

  • Le 25 novembre 2016 à 12:24, par charles En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    C’est vous qui tapez, c’est vous qui dansez. vous avez choisi de suivre des vampires, alors assumez. Le gouvernement mouta mouta de rock, quelle honte pour les burkinabès, tous des malades mentaux qui vont plongé le pays dans l’extrême misère. yako....

  • Le 25 novembre 2016 à 12:24, par sidsoré En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    mes amis du synstha ! un peu d’eau dans votre vin. Sinon allons rassembles toutes les victimes de toutes les régions et nous allons former coalition des victimes et allons poser plaintes pour :
    - la non assistance des personnes en danger et malades
    - homicide volontaire des agents de santé en service publique
    - non respect d’un service minimum dans un établissement public.

  • Le 25 novembre 2016 à 12:32, par sidnoma En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    L’ordre des médecins et le SYMEB n’ont pas de leçons à donner au SYNTSHA,qu’ils aillent au diable,l’ordre de médecins était ou quand on déposait la plate forme ?on vous connait,syndicat MPP et ordre ( pas tous les médecins) beaucoup sont des corrompus.
    Niakara devrait fermer sa clinique et enfiller sa blouse pour le travail,qu’ils aillent au diable le SYNTSHa est dans son role de demander des meilleurs conditions de travail

  • Le 25 novembre 2016 à 12:32, par joel En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Vous n’êtes certes, pas des croyants. Mais rassurez-vous d’une chose : le jour du jugement dernier vous serez les premiers à entrer dans l’enfer. Si vous ne voulez pas travailler il vous faut tout simplement démissionner, les jeunes attendent à la porte.
    En plus vous voulez santé gratuite pour toutes vos familles. Et si les enseignants de tous les niveaux demandaient école, lycée, université gratuits pour leurs familles, et ainsi de suite ?
    Megdalors !

  • Le 25 novembre 2016 à 12:34, par hehe En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Nous reconnaissons tous le droit à la grève ! Mais de grâce, que les agents de santé mettent de l’eau dans leur vin en assurant UN SERVICE MINIMUM. Sinon leur action sera dirigée contre eux même quand les NON MALADES entrerons en jeux pour sauver les MALADES. NOUS SAVONS QUE C EST PAS EN UN AN QUE LE FASO SERA PROSPÈRE A BIEN ARGENTER TOUT LE MONDE ;
    Un minimum de sacrifice et de solidarité sont demandés !
    A vos CONSCIENCES !!!

  • Le 25 novembre 2016 à 12:40, par Édition En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Tout le monde sais ce que les luttes syndicales ont apportées dans ce pays depuis 66 et meme avant . Ya pas plus aveugle que celui qui refuse de voir. A bon E . Salut

  • Le 25 novembre 2016 à 12:43, par sidnoma En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    La déclaration de l’ordre des médecins est plus guidé par des raisons politiques que pour aider la population (analyser et vous comprendrez). Et, nous disons qu’elle est sans effet dans la mesure où ce sont les médecins et les paramédicaux qui animent le SYNTSHA. Aussi, parmi les médecins qui dorment en clinique(certains médecins), Pr NIANKARA en fait partie. Il a abandonné la formation des étudiants en médecine pour aller chercher l’argent en clinique (responsable de clinique),s’il aimait sa population etait intègre ( deontologie) il n’allait pas se former avec l’argent du contribuable et aller se tailler une clinique pillant et spolluant les pauvres citoyens et demander aux autres collègues de travailler a sauver les vies ?
    Parlant du SG du symeb il est chaque fois entre 2 avions,il ne connait meme pas ce que veut dire conditions de travail dans un CSPS,Dieu vous voit.

  • Le 25 novembre 2016 à 12:45, par ibra le veridique En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Il faut voir de plus près,je ne défends pas les agents de santé mais reconnaissons qu’ils ont raison ,on ne peut pas demander à un médecin ou un gynécologue d’accoucher une femme avec une lampe tampette ou torche chinois,ici au BF les gens sont jaloux,c’est vrai que ce qu’ils demandent me parait du surenchère mais reconnaissons que nos agents de santé sont les mal payés de la sous régions.
    Mon cousin est médecin parmi ses 4 frères mais c’est le plus pauvre parmi eux tous pourtant aucun n’a ses diplômes.
    Moi je suis du privé mais le jour que j’ai appris que mon salaire dépassait de loin celui du cousin mais j’ai crié à l’injustice sans rien comprendre ? c’est la que je me suis posé la question et les autres corps de la santé comment ils vivent ?
    c’est désolant,ce métier de santé,même ingrat.
    Que les gouvernant ouvrent l’œil pour aider surtout les agents de santé et les enseignants,ce sont les seuls corps qui méritent admiration et traitement spécial,un paysan à quoi à foutre d’un magistrat ?

  • Le 25 novembre 2016 à 12:46, par senadja En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    je croix qu’il faut licencier tous ces responsables syndicaux .
    Ensuite l’état doit s’assumer, car le problème actuel de notre fonction publique c’est le recrutement du personnel parallèle. combien de fois des enseignants ou des infirmiers ont dit aux patients ou aux parents d’élèves , ce sont mes parents qui ont payer ma formation. donc ce n’est pas l’État , alors je fais ce que je veux. il faut tout simplement recrutés et formés les agents de l’État par l’État. les autres irons dans les cliniques pour chercher l’argent que leurs parents ont payer pour les former.

  • Le 25 novembre 2016 à 12:59, par Yva En réponse à : Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Mes chers freres et soeurs je pensent que les médecins ne grèvent pas pas par plaisir, ils n’ont pas le choix ils le font tout d’abord pour une meilleure prise en charge de la population nous ne savons pas le travail abatu par jour par chaque medecin, nous devont plutôt améner le gouvernement à les ecouter et resoudre le probleme, si un membre de la famille du gouvernement est malade actuellement celui ci ira en Europe ou en clinique. Soutenons les medecins et n’ont pas les blamer afin que vive le BF

  • Le 25 novembre 2016 à 13:03, par Citoyen En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    A vrai dire, le SG du SYNSTHA Mr OUEDRAOGO Pissyamba n’est autre qu’un égoïste, un criminel.
    En effet, depuis qu’il est à la tête de ce syndicat, il a toujours fait preuve d’un bon sens dans la conduite du mouvement. sauf qu’aujourd’hui il a décidé de franchir la ligne rouge ; mais savez vous pourquoi ? parce qu’il est en fin de carrière à la fonction publique (fin novembre 2016) et à l’hôpital Blaise COMPAORE( en fin décembre 2016).
    Alors, bonjour les dégâts, la pagaille , la merde et tous les risques et dangers possible à ses collègues avant de s’en aller ; de toutes les façons, lui il ne cours aucun risque : il sera remis à ses parents très bientôt pour une retraite assurée , douce et paisible ; quant aux autres collègues ( ses petits frères et ses enfants) tant pis pour la suite de leur carrière. Les dégâts collatéraux lui seront épargnés.
    C’est du civisme , de la méchanceté et du mépris pour la population pauvre qui ne peut se payer le luxe des soins offerts dans les cliniques et soins infirmiers.
    Selon moi, il appartiens aux autres travailleurs de ne pas se laisser entrainer dans la fosse comme des moutons de panurge (comme son prénom en moré l’indique).
    On peut faire la grève pour revendiquer des avantages mais il faut savoir raison garder en concédant au mois le service minimum sinon c’est laisser mourir des innocents que l’on qualifierait de non assistance à personne en danger passible de poursuite par la population en guise de légitime défense(vindicte populaire ???.)
    votre SG vous a conduit dans un tunnel dangereux et suicidaire : ainsi, votre renommé de soignant sauveur est terni aux yeux de la population du Burkina Faso.
    Vous êtes perçus désormais par la population comme des criminels en puissance comme ce fut le cas des militaires de l’ex RSP

  • Le 25 novembre 2016 à 13:08, par Ka En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    ’’’A’’’ Sage femme intervenant 14 : Je confirme a 100%. Comme je disais a l’analyse d’Smaïla qui demandait les uns et les autres de mettre de l’eau dans leur vin, je redis ici encore que cette grève ne devait pas avoir lieu si l’arrogance de ce ministre ne dépassait pas les bornes. Un ministre doit être diplomate, mais pas un prétentieux arrogant qui crie a chaque sortie, même a l’étranger avec la diaspora qu’il est au dessus du président élu. Le problème qui mine nos gouvernants en arrivant au pouvoir, ‘’’c’est de placer neveu, fils, filleul, amis, filles, femmes, dans les postes clés de l’état en croyant relever le défi :’’’ Erreur ! Ces personnes comme ce ministre placer par son parent, est là pour retarder la bonne marche de son ministère en foutant toute la merde sans peur, par ce qu’il est protégé. Un ministère comme celui de la santé ne mérite pas un rigolo enfant gâté par celui qui se croit intouchable. Ayant presque vu les régimes du Burkina depuis son indépendance, c’est la première fois que je vois un ministre de la santé aussi prétentieux et incompétent sans aucune psychologie de gérer du personnel que de les humilier. Sage femme vous aviez raison : Nous avons eu des ministres de santé responsables comme un certain Ludovic Tou, sociologue et gérait le personnel de la santé qui ont un rôle délicat avec respect. Surtout il avait son dernier mot à dire dans le parti majoritaire de l’époque, il était vraiment un homme responsable qui sait mener sa baraque, sans prétention ni se mêler des affaires d’un organisme vital pour le peuple afin d’en profiter : On n’a jamais vu des grèves des agents de santé de cet ampleur. En Afrique, on confond tout : Un pharmacien ou professeur de médecine, ne fait pas forcément un bon ministre de la santé. D’ailleurs, la plupart des médecins ont été de piètres directeurs de nos hôpitaux, ne parlons pas d’un ministre de la santé protéger par son parent qui se croit dieu du Burkina. Espérons que le président Roch Kaboré se réveillera un jour en mettant des personnes capables à la place qu’il faut ?

  • Le 25 novembre 2016 à 13:51, par L’insurgé En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    salut,je dmande a ceux qui accusent les syndicats d’etre un peu raisonnable.Personne dans ce pays ne veut travailler mème s’il est patriote et rester pauvre sinon plus pauvre que avant.pensez a la vie de ces agents aussi qui est sans aucune garantie,ca ne peut q les rendre aigris et causer des mepris aux populations.accepter que si les agents ont un certain minimum,si le minimum de materiel et de personnel y est,les populations auront les meilleur soins !et ce gouvernement se fout de la population parcequ’ils savent qu’ils n’ont pa affaire à des soins au burkina !!!!c’est l’argent de cette population pillé et blanchi par leur salaire extravaguant qu’ils utilisent pour se mettre a l’aise.surtout pour ne pa etre rattrapé par la justice ils flattent nos pauvres magistrats avec des salaires qui ne collent pa avec l’economie du pays !Trop ou tard l’histoire mettra chacun devant ce qu’il a fait !Que les gens ouvre les yeux a temps !!!!!!!sinon jai peur pour mon pays qui sombre d’avantage !!!!!!!!!!!

  • Le 25 novembre 2016 à 14:02, par l’adiabatique En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    la prochaine fois je vous assure ca sera une grève illimitée sans service minimum,il ,faut qu’on se respecte dans ce pays !!!nous avons certes la vocation mais nous ne travaillons pas pour etre aussi pauvre et exposés !!!

  • Le 25 novembre 2016 à 14:17, par La star En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Pourquoi le SYNTSHA ne nous donne pas les différents points de leur revendication et ceux sur lesquels le gouvernement s’est engagé. Nos syndicats donnent l’impression que le gouvernement ne dialogue pas avec eux. Arrêter de sacrifier le peuple pour vos intérêts mesquins et inavoués.
    Je pense qu’il temps pour le peuple de prendre ses responsabilités face aux fonctionnaires véreux qui pensent qu’à leur pance.

  • Le 25 novembre 2016 à 14:25, par par cimbal En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Je pense que la responsabilité totale de cette grêve imcombe au gouvernement car c’est lui qui détient les reponses des revendications du SYNTSHA et refuse de donner.Le gouvernement doit arrêter de tourner en rond sur les revendications du SYNTSHA sinon prochainement ça sera une grêve avec opération caisses vides .

  • Le 25 novembre 2016 à 14:34, par vérité En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    vivement que les victimes de ces trois jours de grève sauvage soient déposées au domicile de Pissyamba Ouédraogo, 1er responsable de ce crime contre l’humanité. il ya largent, il ya votre conscience et il ya Dieu.

  • Le 25 novembre 2016 à 15:04, par Razambwende En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Chaque parti de notre corps a sa valeur c’est pourquoi il faut toujours soigner le membre qui fait mal au lieu de le négliger en hiérarchisant par valeur les différents membres du corps humain.
    La fonction publique est assimilable au corps humain et les différents corps professionnel sont assimilables aux différents membres. Les juges et magistrats sont parti en grève illimité sans service minimum et ont obtenu satisfaction. Alors il faut aussi soigner les autres corps en satisfaisant leurs revendications ou bien leur permettre aussi d’utiliser leur droit de grève pacifique même sans service minimum pour obtenir satisfaction. Si le corps de la santé est si important alors il faut leur accorder satisfaction de leurs revendications et on n’en parle plus.
    Dans tous les cas, tirons tous doucement sur la ficelle afin qu’elle ne se casse pas car mieux vaut un peu qui est sûr que beaucoup qui ne va jamais arrivé. Il y a des pays qui connaissent des arriérés de paiement des salaires alors qu’au Burkina Faso Dieu nous a toujours fait grâce et la popote tombe chaque fin de mois.

  • Le 25 novembre 2016 à 15:05, par Bernard Luther King ou le Prophete Impie En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    1. Que c’est deplorable M. Pissyamba. vous vous prevalez d’un vide juridique pour laisser mourir des malades. Les vides juridiques ont tjours existé. Et les grands voleurs et manipulateurs juridiques, c’est leur predilection. Si c’etait aux USA, je promets que vous pourrez pas briguer un mandat ni parlementaire, ni presidentiel : vous aurez montré jusqu’au vole votre ethique.
    2. Le vide juridique n’est pas un probleme en soi. "Parce que la loi ne prevoit pas de service minimum obligatoire, eh bien, nous , on est quitte". Voilà des gens qui veulent un changement qu’il ne merite pas.
    3. Je jette l’anathème sur tout le bureau SYNTSHA. Vous paierez cette dette karmique avant votre prochaine reincarnation. Mais un detail pour les internautes. Ne vous en prenez pas au personnel de santé. Ils ont obei à un mot d’ordre qui vient d’un bureau d’extremistes criminels.
    4. Bravo SYNTSHA, pour avoir pris le domaine de la santé pour un domaine de brasserie !

  • Le 25 novembre 2016 à 15:07, par SOUGRESOABA En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Il faut que chaque burkinabé réfléchit à son niveau quelle est sa part de responsabilité vis à vis d’un bon ou mauvais évènement. Les syndicats peuvent peut être avoir raison, mais il faut qu’on pense surtout à L’INTÉRÊT SUPÉRIEUR de notre nation, car le gouvernement à travers le ministre sait jusqu’à quel niveau il peut accéder objectivement aux requêtes des syndicats, les syndicats sont aussi conscients jusqu’à quel niveau l’état peut intervenir selon ses ressources. TOUT LE MONDE DOIT ÊTRE SINCÈRE ET OBJECTIF POUR LE BIEN DU PEUPLE BURKINABÉ

  • Le 25 novembre 2016 à 16:33, par pazoete yélé En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    comme le gouvernement a décidé de la gratuité des soins cher la mer et l’enfant, il coupé le "gombo" des infirmiers car la plupart des patient dans les CSPS sont constitués de ces personnes.si non pourquoi décrété une grève sans service minimum, si ce n’est pour tuer la population. si vraiment votre lutte est noble, et si vraiment vous voulez défier l’autorité, il faire faire opération "caisse vide" et voir si toute la population ne va pas adhérer à votre cause. ce que vous aviez fait est qualifiable de crime contre l’humanité.

    la lutte est légale et normale mais il faut savoir lutter

  • Le 25 novembre 2016 à 16:41, par GUEULARD En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    ’’On a voulu nous diffamer à travers ce droit élémentaire’’.

    - C’est vrai ! à l’émission ’’ça va, ça ne va pas’’ du matin du 25/11/2016 sur Horizon FM, le journaliste insistait chaque fois pour demander aux auditeurs ’’Que pensez-vous de cette grève barbare ?’’ tout en insistant sur le mot ’’barbare’’ comme s’il incitait les intervenants à s’attaquer aux Agents de santé. Il insistait tellement qu’à un moment donné un vaillant auditeur lui a demandé de ne pas qualifier cette grève de barbare en lui faisant savoir que la grève est un droit tout en expliquant comment tout le processus s’est passé depuis le dépôt du préavis jusqu’à la grève. Et c’est toute honte bue qu’il a dû arrêter ce subtil manège hypocrite.

    Ensuite il a passé le temps a parler de ce dont il ignore tout, à savoir le serment d’hyppocrate. Il est allé même jusqu’à chercher ce serment sur Internet et l’a lu aux auditeurs de la radio HFM et il dit : ’’Voilà !! Tout est dit dans ce paragraphe !!’’. Malheureusement pour cet apprenti-journaliste, il n’a pas eu l’effet escompté car immédiatement un auditeur a appellé et lui a demandé de lire aussi le serment du président Rock. Voilà qui humilé en voulant humiler les grévistes !

  • Le 25 novembre 2016 à 19:26, par Dedegueba SANON En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Certains internautes dépassés évoquent comme pour amadouer les agents de santé, " l’amour du métier" ? Dites- moi bonnes gens, avec la pression du chômage ils sont combien ceux qui exercent leurs professions par vocation ?
    Allez-y faire un tour lors des concours directs d’accès à l’administration publique et vous verrez.
    Donc n’exigez pas des autres ce que vous mêmes ne pouvez accepter, c’est trop facile de lancer la pierre aux autres.
    BC avait osé dire, lors d’une greve en son temps, que c’est lui qui "payait" les médecins et il a fallu que l’archevêque s’en mêle pour arrêter le massacre.
    Il nous faut juste renouveler notre classe politique, pour espérer. La classe actuelle ne peut pas et ne voudra pas changer les choses.

  • Le 25 novembre 2016 à 19:30, par Abraham En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Je voudrais ici interpeller la conscience et le sens de la responsabilité du Président du Faso et du Premier ministre. Ne restez pas sourds au cri de cœur de votre peuple. Si le Chef de l’Etat n’a pas entendu directement sur le terrain ce cri de détresse, vous Premier ministre vous l’avez entendu de vive voix lors de vos tournées en provinces. Les populations vous ont largement signifié leur ras-le bol pour les agissements exagérés du ministre de la santé qui est en train de nuire à la santé publique par ses intérêts égoïstes, claniques et régionalistes qui ont entraîné des blocages dans l’approvisionnement en médicaments. Vous avez fait savoir que vous avez mis le ministre en garde à ne pas franchir la ligne rouge. Cette ligne est franchie depuis longtemps et le ministre fait pire en compromettant la vie des malades par la grève inédite du SYNTSHA sans service minimum. Le ministre de la santé est entièrement responsable de ce durcissement de la grève du SYNTSHA à cause de son arrogance, ses actes et propos violents, son manque de respect pour le personnel de santé. Le ministre des enseignements secondaire et supérieur qui avait commis une gaffe par la nomination d’un DG décrié du CENOU a vite remplacé ce DG suite à la fronde estudiantine. , Pourquoi vous Président du Faso et Premier ministre persister dans l’erreur à maintenir ce ministre de la santé décrié dont les actions sont en train de constituer une révolte sociale contre le gouvernement et le régime du Président Kaboré ? Vous êtes co-responsables du tort ainsi causé au peuple et des pertes en vie humaine suite à la grève du SYNTSHA et de la maladie de la dengue. D’aucuns disent que c’est parce que le ministre de la santé est protégé par le président de l’Assemblée dont l’institution, lui a publiquement apporté un soutien incongru et provocateur du peuple, lors d’une question orale, qu’il se permet de narguer tout le monde .Mais, les gens savent aussi que le ministre des enseignements secondaire et supérieur est un protégé du président de l’Assemblée .Cela n’a pas empêché que la nomination contestée du CENOU ait été rectifiée rapidement. Est-ce l’Assemblée nationale qui dirige le pays où le gouvernement et le pouvoir exécutif ? Non, prenez vos responsabilités au niveau de l’exécutif. Trop, c’est trop.

  • Le 25 novembre 2016 à 21:15, par kekule En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    c’est la consequence d’avoir un pays dirrigé par trois personnes RSS. impossible pour le sois disant président de prendre des décissions. c’est domage pour le Burkina Faso.

  • Le 25 novembre 2016 à 21:56, par Par LEREGRET En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Compaison n est pas raison : beaucoup d internautes disent que c’est parcequ on qu’on a revu les indemnités des magistrats que les agents de santé insistent sur ce ton. Oui mais je pense que ç est la vocation d abord. Je soutient le journaliste de horizon qui qualifié cette grève de barbare.Magistrats, magistrats... Qui a passé le concours pour vous ?.Il fallait être magistrat

  • Le 25 novembre 2016 à 22:14, par Bush En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Chaque peuple mérite ses dirigeants. Voilà un pays au bord du gouffre au lieu que le peuple fasse Front commun pour mettre la pression sur le gouvernement, voici que des ripoux se mettre à soutenir le gouvernement. Mais resté seulement . vous n’avez rien vu. Continuer à soutenir ceux qui ont dîner avec le diable ça vas vous entendre. Le mpp compte combien de médecins plus le symeb , mais on a pas vu une action spontanée de leur part pour rendre un service minimum. Bande d’opportunistes ils ne connaisent que le dilatoire. Il n’y a pas quelqu’un qu’i aime ce peuple plus que les agents de santé. Je demande à tous ceux qui insultent les agents de santé de faire un tour à yalgado je vous supplie allez y voire. Vous allez comprendre. A bon entendeur !

    • Le 26 novembre 2016 à 05:54, par En deuil faute de soins En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

      Bush !!!!!!
      Jai enterré un parent hier, Oui, on a bien vu comment ce SYNTSHA aime le peuple, ça on a bien vu. Maintenant, cela ne fait plus de doutes. Toi et tes acolytes avez suffisamment démontré à souhait que vous voulez renverser ce régime avec l’appui des dirigeants des syndicats. Après vos coups d’état et vos lâches équipée déstabilisatrices sous couvert d’actions djihadistes, c’est la dernière trouvaille ? Merci de nous avoir ouvert les yeux. A tout bout de champ, les justifiants de ce genocide n’ont que les mots RSS et MPP pour bouc émissaire.Enfoiré de Bush ! Tu parles de RSS et de MPP ? Si ils ont dîner avec le diable, vous nous avez présenté le diable en personne : pissyamba ouedraogo. Le grand Lucifer, flanqué de diablotins en tenue d’ange. Vous venez à présent de réaliser l’énormite de votre bêtise, mais fallait réfléchir avant. C’est trop fort, c’est trop tard. L’insurrection que vous voulez susciter ne prendra pas la direction que vous croyez, y aura des surprises.

      Modérateur, laisse passer. Si des conspirateurs peuvent vilipender des autorités, l’ordre des médecins, les citoyens qu’ils on endeuillée et projettent encore de décimer ont le droit de parler. Laisse passer Modérateur. Merci.

  • Le 26 novembre 2016 à 01:06, par victoire En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Dite moi cette grève elle est humaine ou animale

  • Le 26 novembre 2016 à 06:01, par En deuil faute de soins En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Victoire, Ce n’est pas une grève. C’est tout sauf une grève, c’est la guerre. Contre le peuple et le pouvoir. Si elle était animale, elle allait etre menée par des animaux et affecter les animaux.

  • Le 26 novembre 2016 à 13:07, par brakibra En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    La grève sans service minimum a certainement precipitater la Mort de certains malades. Vivement que le point soit fait et les responsabilités situées.
    Toute action dont l’objectif est de causer la mort doit être considérer comme un crime et la grève du syndicat doit être considérer comme tel.
    Depuis quand on peut former en moins de un an un personnel qualifié.
    Ne vous cacher pas derrière des arguments farfelus pour deguiser vos revendications salariales.

  • Le 26 novembre 2016 à 17:02, par Sidnoma En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    J’ai toujours eu de l’estime pour le SYNTSHA parce qu’il a des militants obéissants. Mais à l’avenir, il faudra que le personnel de la santé se dote d’un bureau exécutif responsable et humain. Il faut éviter que des décisions d’une envergure nationale soient prises uniquement dans des salons à Ouaga par des affairistes à la solde du politique sous le couvert du syndicat.
    Observez la vie de ces responsables syndicaux à Ouaga... Tout sauf du syndicalisme.

  • Le 26 novembre 2016 à 21:10, par KOBINABA En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    Le Dr Taoko a dit que le probleme de la sante au Burkina ce n est pas les infrastructure mais la formation continue des agents.Donc arretez de courir comme des forcennes derriere l argent et formez vous.Comme vous aimez trop l argent venez a Sankariate et ouvrz vos commerces car il ya l argent a prendre.

  • Le 28 novembre 2016 à 14:13, par Patinda En réponse à : Rencontre SYNTSHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative

    post 60 : (Gueulard), pas besoin d’être devin ou apprenti-journaliste pour trouver un qualificatif à cette grève. Fais un sondage autour de toi. Tu verras que moins de 5% cautionne cette barbarie d’une autre époque. Continuez de vous masturber avec vos illusions d’une grève réussie. La prochaine grève de ce genre entamera à jamais votre crédibilité et votre bonne fois de défendre les intérêts des patients. Pays là appartient à tous. Et l’intégrité sous-entend solidarité (entre citoyens malades ou bien portant), sacrifice pour le pays (donc pour son peuple). On n’a pas besoin de laisser mourir des pauvres malades pour prouver que l’agent de santé est important. Vous faites vraiment pitié car vous ne savez même pas que vous faites une grave erreur en vous trompant de cible et pire encore en suivant à l’aveuglette et sans un peu de discernement et d’introspection personnelle et libre des dirigeants syndicaux archipolitisés et corrompus depuis des décennies. Martin Luther King disait : "Je plains l’homme qui ne sent pas le fouet lorsque c’est le dos d’un autre qui est frappé".