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« L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossé, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

LEFASO.NET | Par Oumar L. OUEDRAOGO
mercredi 5 octobre 2016.

 

Les 30 septembre et 1er octobre 2016, se sont tenues à Koudougou (province de Boukiemdé, région du Centre-ouest), les deuxièmes journées parlementaires du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP). A l’occasion, et comme cela est de coutume à l’Assemblée nationale, les autres groupes parlementaires ont été invités à la cérémonie d’ouverture. Ils ont eu droit à la tribune par une prise de parole. Moments propices pour s’adresser des amabilités mais également pour se titiller et là, la représentante du groupe parlementaire UPC (Union pour progrès et le changement) n’a pas manqué le coche pour dégainer contre le MPP (Mouvement du peuple pour le progrès) et surtout en réaction aux propos du président de son groupe parlementaire, Alassane Sakandé, qui, lors de leurs dernières journées à Léo, s’est « adjugé la paternité » de l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre 2014.

Une intervention qui a valu au député Henriette Zoumbaré/Zongo, une salve d’applaudissements des militants et sympathisants du CDP venus assister à la cérémonie. Pour mémoire, lors de ses deuxièmes journées parlementaires tenues du 21 au 24 septembre 2016 à Léo, le président du groupe, Alassane Sakandé, avait déclaré : Ces derniers temps nous assistons à ce qu’on peut appeler de la fanfaronnade de la part de certains partis politiques et de certaines OSC en ce qui concerne l’insurrection des 30 et 31. D’autres mêmes s’arrogent le droit ou le devoir d’organiser des conférences de je ne sais quoi. Mais la réalité historique est là : l’insurrection des 30 et 31 a été pensée et conduite par les forces politiques et patriotiques du Burkina Faso dont le MPP a été le moteur. La décision de lancer l’insurrection a été prise à notre BPN du 25 octobre 2014 au CENASA ». Puis, il conclut : « A César ce qui est à César ».

Ces propos ont soulevé de nombreux commentaires controversés et continuent d’être remis au goût du jour à certaines occasions. En tout cas, ces propos ne passent pas du côté de l’UPC qui s’apprête, de concert avec des partis politiques, à organiser une « Conférence nationale sur l’insurrection ». Et la représentante de la délégation du groupe parlementaire UPC aux deuxièmes journées parlementaires du CDP, Henriette Zoumbaré/Zongo, n’a pas manqué le champ.

En effet, le député profite de la brèche ouverte par le président du groupe parlementaire CDP, Alfred Sanou, lequel est suivi par le représentant du groupe parlementaire MPP. Dans son intervention, Alfred Sanou observe que le pays vit une « profonde crise au triple plan, politique, économique et social », que les populations s’impatientent face aux besoins de réconciliation…, alors que « les anciens-nouveaux dirigeants du pays font dans le tâtonnement et le divertissement, préférant ériger en système de gouvernance, les poursuites judiciaires sur fond politique ».

Puis, le représentant du groupe parlementaire MPP, Lassina Ouattara, succède au parloir. Celui-ci va tenter de ‘’désamorcer’’ les propos de son prédécesseur, en rappelant qu’il n’y a pas longtemps, cadres du CDP et dirigeants du MPP étaient tous ensemble dans le même navire. Pour lui, c’est sans animosité donc que se mène le combat politique. « Le pays va se relever avec la contribution de tous, de vous tous. Chers camarades, je peux m’exprimer ainsi, ce matin, c’est juste un message d’encouragement pour vos journées et pour vous dire que sur le chantier de la construction du pays, nous sommes avec vous. Soyez avec nous, donnons-nous la main. Faisons en sorte que l’histoire de l’insurrection, qu’on a partagé ici, et qui est devenue une histoire commune à nous tous et dont on doit tirer tous les enseignements, faire en sorte que désormais dans ce pays, le changement de pouvoir puisse se faire avec souplesse, que ce soit une culture », a dit en substance, le député Lassina Ouattara. C’est pourquoi estime-t-il que les questions aujourd’hui en débats doivent être celles relatives au développement. C’est cela que les populations attendent aujourd’hui de leurs dirigeants. Puis, il cède la tribune au porte-parole de la délégation suivante.

Là, Henriette Zoumbaré/Zongo de l’UPC fait d’abord observer que la situation du pays « nous préoccupe et préoccupe l’ensemble des Burkinabè ». La fronde sociale s’élargie et l’économie peine à reprendre et la question de la sécurité nous inquiète, poursuit-elle. « C’est dans ce contexte de malaise, que certains trouvent les moyens de divertir l’auditoire. L’argument qui a été servi à l’électorat pendant la campagne, c’est l’expérience de la gestion du pouvoir. Nous constatons, qu’au lieu de trouver des réponses aux attentes de nos populations, nous assistons à des lendemains incertains. Les tâtonnements sont connus de tous et les Burkinabè se demandent à quoi a servi leur sacrifice. La nature de ceux qui conduisent la destinée de ce pays se révèle chaque jour sur la place publique. Les piques et les propos divergents, font les choux gras des médias », enfonce le député.

« Je suis bien contente d’entendre Monsieur Ouattara (Lassina) reconnaître que la situation du pays aujourd’hui est partagée et que, ensemble, vous devez assumer la responsabilité », situe-t-elle avant de marteler : « Après le président du parti, qui trouve que l’exécutif manque d’ambitions, que le paysan du Yatenga n’a que foutre des chiffres, c’est le président du groupe parlementaire MPP qui s’adjuge la paternité de l’insurrection. L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés on appelle ça, un batard ». De son avis, si l’on reconnaît que c’est le 25 octobre (2014) que l’insurrection a été décidée, il faut aussi assumer les conséquences qui en découlent. Pour Henriette Zoumbaré/Zongo, « tout cela arrive à un moment où les Burkinabè attendent, et attendent vainement la satisfaction de leurs besoins pour mieux vivre. Monsieur Ouattara a parlé tout à l’heure de convalescence. Quand quelqu’un est convalescent, on ne l’assomme pas ! ».



Vos commentaires

  • Le 5 octobre 2016 à 03:47, par Sidbala En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Tantie Henriette, je suis désolé mais vos propos sont indignes d’une mère qui se veut conciliante pour ces enfants. Contrairement à ce que vous pensez, le père de l’inssurection c’est le PEUPLE, ni vous de l’UPC ni le MPP et que sais-je. La preuve beaucoup sont sortis mais n’avaient aucun engagement politique. Donc je pense que ce sont les partis politiques qu’il faudrait qualifier de BATARD car chacun de vous ne cherche que ses propres intérêts. Combien du luxe dans lequel vous vivez en tant que député vous en donnez aux pauvres. Au lieu de passer le temps à vous fustiger, mener un débat constructif qui puisse faire sortir le pays de la pauvrété. Qu’on donne la paternité à qui que ce soit parmi vous, je ne vois en quoi ca fait avancer le pays. L’UPC aurait été aux commandes pas sûr que les mêmes tâtonnements ne seront pas observés. Faites avancer les communes dont vous aviez la commande dans les 5ans à venir et vous verrez les résultats au lieu de pleurnicher comme des petits enfants autour d’un jouer dont chacun se reclame le droit absolu.

  • Le 5 octobre 2016 à 05:27, par Lavie En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Vous êtres tous pathétiques. Ce discours incantatoire de la relance économique n’aura comme réplique qu’une déclaration tonitruante de la part du gouvernement pour deux raisons :
    - l’économie du pays n’a pas de levier. Il n’y a pas un produit ou un secteur dont l’accroissement peut avoir une répercussion significative sur l’ensemble de l’Economie. La cote d’Ivoire par exemple peut jouer sur le Cacao pour doper son économie. C’est ne pas par les marchés publics qu’on peut relancer l’Economie de notre pays. On se précipite de dépenser en pensant favoriser la relance économique ;
    - le MPP est un melting-pot (Mélange de personnes) qui après la conquête du pouvoir n’a pas encore réussi à se faire une âme. Le parti est une coquille vide autour de laquelle gravitent trois personnalités et leurs courtisans. Un parti au pouvoir dirigé par un intérim pendant 10 mois. Cela signifie sans doute qu’il n’y pas de directive du parti dans la gestion des affaires de l’Etat et qu’il existe des guéguerres de positionnement au niveau des organes du parti.
    Allons seulement

    • Le 7 octobre 2016 à 22:35, par Mandela En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

      Si je suis d’accord avec vous sur les conditions de création du mpp qui font de lui un melting pot et qui doit maintenant se donner une ame, je ne partage pas votre point de vue sur les questions economiques. Quels sont les leviers éconmiques au Burkina , ils sont connus mon frere : agriculture vivriere, coton mine pour la vieille vision economique, la qualification/education/formation de la majorite de la population ( les plus jeunes surtout) pour en faire des ressources humaines et non des effectifs ou statistiques selon la nouvelle vision economique . le cacao en ci est levier par une volonte politique d’organisation, d’investissements et de transformation des fondamentaux agricoles. Il faut faire de meme au faso dans l’agriculture...ce secteur pèse potentiellement au moins 1 000 milliards de FCFA. Les richesses du sous sol sur les dix dernieres annees ont pesé aussi plus de 800 milliards (aucun franc de ce secteur n’a été investi dans une infrastructure démultiplicatrice de richesses) et bien organisé il peut rapporter en moyenne 500 milliards par an pendant au moins 10 ans...lorgner du coté du ghana, namibie, tanzanie...Bref votre allusion économique est celle inculquée aux voltaiques depuis 1919 et c’est dommage de constater que des economistes et le gouvernement semblent s’y complaire. L’économie c’est l’intelligence, la vision, la volonté politique transformée en politiques publiques et d’application rigoureuse et bien expliquée au peuple pour son adhésion !!!!! La richesse du cap vert c’est pas le cacao ou le café, mais sa vision aussi que l’homme/femme est une richesse...NB:Je suis disposé à des discussions plus structurées.

  • Le 5 octobre 2016 à 06:20, par Gzngobloh En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    l’agonie n’est plus seulement morale mais l’économique aussi . L’heure n’est plus à la bagarre de la paternité de l’insurrection . Interressons nous au bien être du peuple en changer le fusil d’epaule .

  • Le 5 octobre 2016 à 07:26, par alfa maiga En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    il ne sert à rien de se disputer sur ce que le peuple à fait.l’insurrection n’est pas synonyme de parti.hee mes amis,chers députés réunissons nous pour faire avancer la patrie car les choses urgent.

  • Le 5 octobre 2016 à 07:58, par un indigné En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Madame , vous et Sakandé me faites pitié . Quelle gloire tirez vous dans cette diatribe ? Il se pourrait que ni toi et ton mari ; lui et sa femme et même vos enfants n’ ayez nullement participé aux marches . Ce jour là assis au salon devant la télé , suivant France 24 , portail fermé à double tour vous disiez devais certainement à vos enfants de ne point sortir car les hommes de Blaise ne vont pas faire de cadeaux aux marcheurs . Ce que Sakandé a dit ne regarde que lui .
    Je vous lance un défi : Apportez la preuve de votre participation à l’ insurrection .

  • Le 5 octobre 2016 à 08:01, par Rakiss En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    S’il vous plait madame, rectifiez ! un batard c’est un enfant qui n’a pas père et non un enfant qui a plusieurs père. Il est impossible pour un enfant d’avoir plusieurs pères. Et l’insurrection a un père : c’est le peuple

  • Le 5 octobre 2016 à 08:03, par Kôrô Yamyélé En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    - Madame le Député, ce sont ces genres de langages qui ont fini par frustrer les populations et entraîné ce pays dans l’abîme. Vous êtes député et non Dieu le Père ! Et puis on s’en fout complètement et ce ne sont pas les mossis seuls qui peuplent ce pays ! Alors basta !

    Félicitation au premier intervenant. En Effet c’est un langage indigne d’une mère. Je me demande comment elle va se mirer après et comment ses collègues députés vont la regarder à l’hémicycle, et surtout comment ses électrices vont désormais la considérer. Voilà pourquoi je dis qu’il y a plein de gens qui nagent dans des burkinÂNERIES et des burkiNIAISERIES !

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 5 octobre 2016 à 08:07, par PYONG-YANG En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Voyez vous les moutons au fonds de la première photo ? Qui se ressemblent s’assemblent. Je m’arrête là pour aujourd’hui.

  • Le 5 octobre 2016 à 08:13, par LAICO En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Merci Tantie ; SVP comment s’appelle l’enfant d’un bâtard ?

  • Le 5 octobre 2016 à 08:20, par RAWA En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    L’UPC est vraiment pathétique. C’est quoi cette obssession de vouloir s’emparer du pouvoir par un autre soulèvement ? L’inssurection a eu lieu pour que le pouvoir soit conquis par la voie des urnes. Nous n’accepterons plus vos manigances qui nous coûtent en vie humaines. Attendez les élections prochaines pour vous faire valoire. Vous critiquez mais vous n’avez pas encore pu montrer un début de piste pour sortir de la crise. Au contraire, vous tentez de démobiliser les gens.

  • Le 5 octobre 2016 à 08:22, par Ayatola En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Je précise tout net avant de commencer que je n’ai aucune accointance politique d’avec aucun parti. Je suis au regret de constater que les partis politiques de l’opposition prennent pour du pain béni les problèmes d’ordre social, économique et sécuritaire qui accablent le pays. Il vous souviendra que le pays a amorcé sa descente aux enfers depuis le départ de Blaise qui avait hypothéqué l’avenir du pays et de ses habitants par des canailleries et des manœuvres souterraines dont lui seul avait le secret. L’enlisement se poursuivra avec le régime de la transition qui a sans aucun scrupule dilapidé les reliques du trésor public avant de se sucrer par l’octroi d’avantages indus et malhonnêtes. A la décharge donc du MPP, on peut considérer qu’il hérite d’une situation déjà problématique à l’origine. Retenons une fois pour de bon que le pays n’est pas la propriété du MPP mais de tous les Burkinabé. C’est très dommage que ceux qui enfoncent les piques n’aient aucune proposition concrète à faire pour sortir le pays de l’ornière. Ceux qui critiquent ont bien le droit de le faire mais ils feront aussi mieux d’apporter des preuves de ce qu’ils avancent et surtout que ces critiquent soient assorties de propositions pragmatiques de solutions à même de sortir le pays du bourbier dans lequel il se trouve.

    • Le 5 octobre 2016 à 11:42, par Lexys En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

      De quelles preuves vous parlez ? Que l’économie est morose ? Qu’il y a des tâtonnements au sommet de l’Etat et une absence de fermeté qui laisse libre-cours aux remous sociaux et aux crises dans des structures qui risquent d’hypothéquer des politiques sectorielles même du gouvernement ? Ex. avec la CAMEG ? Des rétropédalages dans la mise en œuvre des réformes importantes courageusement initiées par la transition ? (les textes d’application du code minier ne sont pas encore pris, la mise en œuvre de la facture normalisée a été différée pour des raisons inavouées alors qu’elle aurait permis de lutter contre la fraude fiscal notamment celle concernant la TVA, le recouvrement des arriérés de recettes-chèques impayés, la traque des biens mal acquis et Dieu seul qu’il y en a au Burkina...). La liste est longue et on n’a pas besoin d’être un devin pour comprendre que ça ne va pas. Pour les propositions pratiques, on attend d’abord du MPP la mise en œuvre effective de son propre programme avec des gens compétents, qu’il mette des gens compétents et dynamiques (des jeunes qui ont envie de prouver et Dieu seul sait qu’il y en a au MPP) et non des amis politiques, fatigués qui ne peuvent plus rien apporter de positif au processus de développement. Il faut créer ce qu’on appelle des dynamiques positives grâce à une rupture dans les modes et les pratiques. Ensuite, si ça ne marche pas, c’est que la politique propose n’est pas bonne. Il faut changer et les autres proposent des programmes différents dans lesquels on peut puiser des choses positives. Le choc par les investissements massifs dans les infrastructures économiques et de soutien aux secteurs productifs et bien d’autres choses.

    • Le 5 octobre 2016 à 13:55, par Burbur-sob En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

      "Monsieur sans parti", il n’est du devoir de personne d’autre que le MPP, de donner des "propositions concrètes" ou encore "pragmatiques". C’est la responsabilité historique et actuelle du "MPP, la solution", du "MPP, la force tranquille", du "MPP, l’expérience de la gestion du pouvoir"... (et j’en oublie sans doute...!?) à respecter la parole donnée de faire bouger les choses en 3 mois. On a été saoulé de slogans, d’incantations ici, et finalement kokoroko, voilà derrière du chef en public.
      L’opposition participe à la mise en oeuvre des décisions et options de développement DÉCIDÉES par le pouvoir. Rien d’autre !! Les rôles sont clairement répartis : pas d’amalgame, ni de faux-fuyant, encore moins de diversion avec le cas de la Transition. Tous les partis étaient de cette Transition, et notamment le MPP.
      AU BOULOT !? Fo pé, on va voir !!!

  • Le 5 octobre 2016 à 08:32, par vrai En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Et pourtant madame la député a très très raison !!!
    Maintenant que ces gens ne savent plus comment faire pour sortir le pays du gouffre, ils revendiquent la paternité de l’Insurrection ! Mon œil walay ! MPP, tu n’as pas honte ????
    Merci madame la député. Vous êtes une vraie maman. Dieu vous bénira pour votre vérité !

  • Le 5 octobre 2016 à 08:36, par ouatt En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Il ya dans vos interventions trop de proverbes mossés .Toujours de la part des politiques.
    Avons marre de vos sous entendus .Regardez comment se présentent les régions :
    Plateau central, plateau central est , ouest sud , nord .......et les autres !
    Une dame députée qui emploie le mot "BATARD" Quel type de personnage .Nos politiques sont médiocres .

  • Le 5 octobre 2016 à 08:39, par YABSORE En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    dans un premier temps c’est l’UPC qui a tenté de se démarquer du groupe CFOB pour octroyer la paternité de l’insurrection au seul chef de file de l’opposition qui n’était autre que leur président .
    Certains sont allés jusqu’au refus à certains partis de faire le point de leurs militants absents après l’insurrection. pourtant tout le monde demande la transparence mais ces certains avaient préféré le flou pour pouvoir obliger les autres à se recouvrir et il se sont tombés dans le piège * d’êtes-vous vainqueurs de l’insurrection ? Alors assumez vous aussi de la justice des vainqueurs comme l’a proclamé Achille TABSOBA. Des enseignements la compréhension de cette déclaration qui dit que : « l’insurrection des 30 et 31 a été pensée et conduite par les forces politiques et patriotiques du Burkina Faso dont le MPP a été le moteur. La décision de lancer l’insurrection a été prise à notre BPN du 25 octobre 2014 au CENASA ». Puis, il conclut : « A César ce qui est à César » , le Président du groupe parlementaire :
    • n’avoue pas que le MPP est seul meneur de l’insurrection en solitaire mais n’a été que le moteur. On peut être lui contester cette hémogénie, c’est ce que l’UPC l’a fait comme si dessus indiqué.
    • La décision de lancer ses militants dans la bataille a été prise à la date indiquée et ca ce n’est qu’une information portée à la connaissance à qui voudra. En dehors de la presse qui été support à tout le monde pour sa mobilisation, que chaque acteur ou groupes d’acteurs disent comment il(s) est (sont) allé(s) ou arrivé(s) à l’insurrection. Les sans repères, donc pas d’objectifs à atteindre, ont été l’origine du cafouillage et les coups fourrés des pédants populistes, « ethnicistes » et autres opportunistes de l’après l’insurrection. Ethnie

  • Le 5 octobre 2016 à 08:51, par Tonton En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Vous êtes encore à ce niveau là ?
    Quand est ce qu’on commence à travailler ?
    On ne va pas payer ces députés pour chercher la paternité de l’insurrection....

  • Le 5 octobre 2016 à 09:07, par Atlantico En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Madame Zoumbaré, ici vous êtes vraiment tombées très bas ! Comment vous pouvez banaliser le mot BATARD comme dans des bagarres de Yards à Ouagadougou ? Ce mot est venu ternir la portée de votre message et créer de la gène pour ceux qui vous estiment, et j’en fait partie. Comme une balle qu’on tire sur un mur et qui vous revient sur le visage, l’utilisation de ce mot suscitera des réactions que j’imagine déjà virulentes et qui embarrasseront à coût sûr, vos proches. Vous devez donner une meilleure image de vous. Si quelqu’un patauge dans la bout et vous y invite et que vous acceptez, la question ne se posera pas de savoir si cette personne est normale, mais se posera de savoir si vous, vous êtes normale. A moins que vous ne soyez une adepte d’un certain Soumane T. que la mémoire collective des burkinabè retiendra comme un fou (?). Bon courage Madame.

  • Le 5 octobre 2016 à 09:07, par TUUK-SOMDE En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Madame le député. Il est difficile de traduire en mooré " l’insurrection est une batarde" sans faire allusion aux insurgés . Etant élue du peuple , en quelque langue que parlez aucun de vos mots et aucune de vos phrases ne doivent etre à équivoque dans la même langue ou dans la traduction. Voyez comment Safiétou a été mal comprise par une partie du peuple quand elle a dit en bon français " des hommes en robes."

  • Le 5 octobre 2016 à 09:10, par Nanoukda En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    "La décision de lancer l’insurrection a été prise à notre BPN du 25 octobre 2014 au CENASA" !!! Il s’agissait donc d’UN COUP D’ETAT du MPP, et disons le franchement, qui a utilisé donc le PEUPLE comme un bouclier ! Le MPP devrait donc assumer la responsabilité de tous ses morts au lieu de passer le temps à torturer des gens par la loi du plus fort !
    Si la justice est indépendante, le procureur dispose déjà d’éléments suffisants pour ses enquêtes et punir à termes les fautifs parce qu’ils ne sont pas différents de ceux qui sont en prison pour fait de coup d’Etat !
    Eviter les deux poids, deux mesures !

  • Le 5 octobre 2016 à 09:18, par ouedraogo ahmed En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    toi tu ne comprends pas mooré madame donc si on a rien adire il faut se taire

  • Le 5 octobre 2016 à 09:22, par miriya djougou En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    "Un bon enfant apartient plusieurs personnes" Ne sais tu pas a madame ?Cette dame n’a rien compris du message du MPP ou bien refuse de comprendre. Peut etre qu’elle était de la majorité que le peuple a sevré par force. Meme UPC est un des pères de "ce bâtard" dont elle parle !
    Le probleme est que l’UPC veut faire lune Conférence nationale sur l’insurrection sans ses amis d’hier. Ces derniers n’en veulent pas !
    Le mal du Burkina est ses hommes plitiques sans idéologies politik distincte.

  • Le 5 octobre 2016 à 09:27, par kabore En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    j’ai l’impression de voir des enfants se chamailler autour d’un jouet. décidément ces politiciens ne retiennent jamais les leçons du passé, au lieu de chercher les voies et moyens pour faire avancer le pays, on se querelle pour une histoire de paternité de l’insurrection. en quoi revendiquer la paternité de l’insurrection va booster notre économie, régler le problème du chômage ou améliorer notre système éducatif ? quoi qu’il en soit, la culture du "naan seemsamè ou du yel kayé" ne marchera plus le peuple n’est pas votre jouet ou votre torchon, celui qui ne fournit pas de bon résultat quelque soit son parti sera dégagé.

  • Le 5 octobre 2016 à 09:29, par Boinzem En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Ce qualificatif d’insurrection bâtarde me réjouit. Elle a donné naissance à une transition tout autant bâtarde dénoncée par Soumane Touré. Voici une femme politique qui ose dire la vérité.

    Ils sont arrivés en messies et Zeph leur a déroulés le tapis rouge sans aucune méfiance. Erreur de Gaou. Après un simple mea-culpa et dans l’impunité totale par rapport à leurs crimes passés, ils sont devenus du jour au lendemain des stars applaudies par des jeunes naifs sans esprit critique qui ne comprenaient rien en politique. Ils ont trouvé un mouvement citoyen et républicain en marche, porté par l’UPC. Ils ont purement et simplement confisqué le mouvement de contestation pour mettre en oeuvre leur propre plan de confiscation du pouvoir à Blaise "à tout prix" comme ils le disaient. Les RSS en habitués des intrigues et des coups fourrés ont coalisé toutes les frustrations sociales et créé une colère généralisée pour enlever toute réflexion critique contre leurs manoeuvres déloyales.

    Grâce aux médias acquis, ils ont instauré la haine contre leurs anciens camarades du CDP et les ont livrés à la vindicte populaire pour les fautes qu’eux ont commis pendant 26 ans avant de quitter le bateau. N’est-ce pas là une Haute trahison contre le peuple ? C’est le bilan jugé négatif des 27 ans de gouvernance du CDP qui fâchait et la révision de l’article 37 n’était que le prétexte tout trouvé par RSS pour opérer un coup d’état sans en donné l’air. A voir ce qui s’est passé, on s’aperçoit maintenant qui était vraiment le diable dans leur affaire. Aucun d’eux n’a été menacé, inquiété ou emprisonné malgré leurs intentions maléfiques clairement affichées. Blaise COMPAORE a fait du sentiment et les a laisser-faire au nom de la démocratie et sur le conseil des PTF malhonnêtes. Voici où nous en sommes. Depuis 2014 nous sommes dans la galère.

    Ils ont avoué avoir planifié et organisé un coup d’Etat le 25 Octobre (dixit Sakandé). Ibriga et Loada qui n’ont rien compris les ont aidés à légitimer scientifiquement leur coup de force. Ils l’ont appelé abusivement insurrection, trompant le peuple et l’opinion internationale. Tous les acteurs crédules ont été dupés et la déception est grande maintenant pour ceux qui ont été roulés dans la farine. Ils n’ont pas pensé aux conséquences négatives de leurs actes.

    Ils n’ont pas pensé à comment ils vont gérer le pouvoir sans Blaise et ses apports éventuels au nouveau système RSS. Ils n’ont de respect pour rien et pour personne. Pour eux, la fin justifiait les moyens. Ils ont trompé le peuple et tué notre démocratie. Le référendum n’était pas illégal car prévu par la Constitution et la justice vient de reconnaitre que Blaise n’enfreignait pas la loi car les éléments constitutifs du délit n’existent pas. Or si Blaise n’étaient pas coupable, les maitres organisateurs de l’insurrection sont coupables pour le coup d’Etat opéré pour des raisons et objectifs hétéroclites et illégales. Chaque acteur avait son propre agenda et le peuple a été trahi.

    Avec cette insurrection bâtarde, le Burkina recevra tôt ou tard, la palme de l’imposture politique du siècle pour le Chef d’oeuvre des RSS et du MPP pour les raisons suivantes. Ils ont pu dupé tout le monde en se présentant comme des innocents qui connaissent le système COMPAORE de l’intérieur. En réalité, ils étaient le coeur et le moteur du système et opéraient une simple manoeuvre de destruction du système existant pour en créer un autre à leur mesure qui leur appartiendrait. Leur ruse audacieuse a marché parce que Zeph est instable et équilibriste et Maitre Sankara un allié masqué des RSS. Ils ne pensaient que déposséder Blaise du pouvoir par tous les moyens parce qu’il tardait à le leur transmettre.

    Pour réussir leur coup, les RSS ont usé d’une violence disproportionnée contre des compatriotes et des camarades au pouvoir qui ne les ont inquiétés en rien au nom de la démocratie. Que le député Lassina Ouattara disent "aux grands brûlés sortis des bois" (selon la formule abjecte de l’Observateur) que "c’est sans animosité donc que se mène le combat politique", c’est vraiment prendre les CDPistes victimes de vandalisme pour des tarés. Les RSS n’ont pas pensé aux conséquences sociales, économiques et politiques négatives de leurs actes. Ils n’ont pas pensé à comment ils vont gérer le pouvoir sans Blaise et ses apports éventuels à leur nouveau système.

    Ils n’ont jamais été des démocrates car ayant été les piliers et les maitres à penser du long règne de Blaise COMPAORE avec 7 révisions constitutionnelles à leur actif. Maintenant Salif veut faire sa révision constitutionnelle et son référendum pour instaurer son fameux régime parlementaire pour enfin avoir sa part de pouvoir. C’est pour ça qu’il a investi et organisé l’insurrection. Il tient coute que coute à gérer le pays par procuration en mettant Roch dans le poste symbolique de Président que Blaise a refusé d’occuper en disant qu’on dépouille pas un chef de ses attributs (cf article de Ablassé Ouédraogo). Depuis l’insurrection, la vraie patrimonialisation du pouvoir est marche devant nous. Ce que Salif a incité le peuple à refuser à Blaise, il veut en bénéficier lui-même, c’est-à-dire, avoir le pouvoir jusqu’à la mort, quitte à détruire tout le peuple pour assouvir cette ambition macabre en fomentant une insurrection bâtarde. Salif est le vrai père de cette insurrection la plus bête du monde qu’il avait prédit à Blaise en 2013 et financée lui-même en 2014. Que Dieu le pardonne.

  • Le 5 octobre 2016 à 09:33, par bod En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Hommes politiques, vous faites pitié. Arrêtez ce type de discours mensonger et évitez les accrochages inutiles. C’est de la politique que de revendiquer la paternité de l’insurrection. Pourquoi répondre à l’autre quand on sait qu’eux n’ont jamais répondu à vos affirmations à vous. Allons au développement par des propositions concrètes, réalisables et osées car ce pays, au regard des réalités économiques actuelles, n’a besoin que de ca. Quelque soit le parti au pouvoir dans le contexte actuel, les revendications allaient jaillir de toute part. Arrêtez de distraire les gens.

  • Le 5 octobre 2016 à 09:36, par Sidzabda En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Madame la député, je vais vous définir ce que c’est qu’un bâtard pour que vous ne trompiez plus sur cette expression. si une femme pendant les relations intimes pensent à un autre homme, si un enfant est issu de cette relation, c’est un bâtard. si pendant les relations intimes, un homme pense à une autre femme, si un enfant est issu de cette relation, c’est un bâtard.
    alors, dites moi combien de bâtard existe au Burkina Faso ?
    selon votre définition de bâtard, je n’ai jamais appris qu’un enfant à plusieurs pères, alors arrêtez de parler de ce que vous ne connaissez pas car ce n’est pas parce qu’on porte le nom de ZONGO qu’on connait ce que cela fonctionne.

    • Le 5 octobre 2016 à 10:14, par Boinzem En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

      Pour compléter votre définition, sachez qu’un bâtard est un "enfant né" de père illégitime (c’est-à-dire qui n’est pas l’homme avec lequel sa mère est mariée ou vit au moment de sa conception) ou un enfant dont aucun ne veut accepter la paternité. De même, quand plusieurs pères revendiquent la paternité d’un enfant, celui-ci a de forte chance d’être un bâtard parce que cela veut dire que sa mère a copulé avec tous les hommes concernés et ne sait pas qui est le géniteur à moins d’un test ADN. Le bâtard n’a aucune famille à laquelle se rattacher car ignorant qui est son père ou bien que ce dernier n’est pas autoriser à s’afficher comme tel. Quand on ne sait pas qui est le père d’un enfant, on ne peut pas dire à qui il ressemble entre ses deux parents ou d’autres membres de la famille. Le terme bâtard est la marque d’un rejet d’un enfant à qui l’on refuse l’appartenance à une famille parce qu’il est né dans des circonstances moralement et éthiquement inacceptable selon la société.

      Sur la base de cette définition, l’insurrection est bâtarde parce que plusieurs personnes se disputent sa paternité. Elle n’a pas de ligne idéologique claire, pas d’objectifs à court, moyen et long terme précis, pas de vision écrite et connue de tous les "insurgés" ayant servi de fondement à son avènement. C’est à posteriori qu’il va falloir définir le contenu de ce mouvement sociopolitique réalisé par une coalition hétéroclites d’acteurs aux objectifs, intérêts et idéologies politiques différentes et même contradictoires pour sauver les prétendus acquis de l’insurrection.

      Foutez la paix à Madame ZONGO car elle a bien défini le terme bâtard et cela colle bien avec l’insurrection. Autant la révision de l’article 37 était moralement et éthiquement inacceptable, autant l’insurrection violente et bâtarde l’ait aussi. Tous coupables.

  • Le 5 octobre 2016 à 09:46, par kwiliga En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    A vouloir faire dans la métaphore rhétorique, puisque apparemment, c’est la seule capacité de nos hommes/femmes politiques, autant essayer de dire des choses intelligentes.
    Or, un enfant qui a plusieurs pères, ça n’existe pas !!!
    Quant-à "batard", je vous invite à en vérifier la définition, afin de constater combien, au cours de l’histoire, ce terme à été utilisé par les racistes pour salir les enfants métis.
    Mesdames et messieurs les politiques, si vous n’êtes capables que de discours, au moins, faites le correctement et intelligemment.

  • Le 5 octobre 2016 à 09:58, par John le bobolais En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Madame est ce que vous étiez sur le terrain le 30 et 31 Octobre ? L’insurrection a bel-et-bien un seul et unique père c’est le PEUPLE du Burkina Faso. Vous, vous êtes que des "saprophytes".

  • Le 5 octobre 2016 à 10:14, par dara En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    cette dame ne mérite même pas d’être un député du peuple. Avec un langage aussi ordurier, cela dénote certainement de ce que elle même elle est. Donc elle n’a aucune leçon à donner à qui que ce soit.
    l’UPC dans sa cabale pour accéder au pouvoir coute que coute est tombé trop bas.

  • Le 5 octobre 2016 à 10:30, par Boinzem En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Ne vous acharnez pas sur Madame Zongo parce qu’elle est une femme. Vos propos sexistes à son égard ne visent qu’à restreindre sa liberté d’expression. Pourquoi vous ne vous êtes offusqués quand le député Sakandé a parlé en disant que le MPP est le père de l’insurrection ? Le Faso.net a publié ces propos et je n’ai pas vu un tel déferlement de donneurs de leçon. Comme il est un homme et que peut-être vous êtes du même parti MPP, vous êtes restés silencieux. De grâce fermez et n’adressez plus des injures personnelles à la femme car elle ne vous a pas insultés. C’est du reste cette façon de réagir sans réfléchir que nous met actuellement dans la poisse. Finie la tyrannie de la minorité anonyme et irresponsable cachée qui induit le peuple en erreur et ne veut assumer les conséquences.

    Félicitation Madame Zongo pour votre propos. Le peuple c’est aussi vous et moi. On ne peut tromper indéfiniment le peuple et se laver les mains en disant comme Ponce Pilate : Mea Culpa. C’est irresponsable.

  • Le 5 octobre 2016 à 10:42, par Vérité pian ! En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Je répond à koro yamyele. Si tu es intègre affiche toi publiquement. Le peuple Burkinabé s’est affiché les 30 et31,et même beaucoup avant ces dates. Toi tu es du genre fologo de la Côte d’Ivoire. Tu es dans tout comme un cube maggi . Moi je suis un militant de l’UPC, Sakande est du mpp, Mme est de l’UPC. Le peuple s’est insurgé contre le cdp et le régime de Blaise. Aujourd’hui, face aux agissements du mpp, le peuple que nous sommes, nous nous affichons pour dire attention ! Ça recommence, et si ça continue nous dirons non. Si tu veux tu dis oui c’est ton problème. C’est des gens comme toi qu’on redoute. Des caméléons équilibristes.

  • Le 5 octobre 2016 à 10:54, par L’Oguste En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Une femme, une mère qui parle de "bâtard" c’est vraiment du misérabilisme moral et
    civilisationnel.
    L’ insurrection n’a qu’un seul père : Le digne et vaillant peuple burkinabè.
    Je savais que la bêtise humaine avait rang parmi nos députés mais pas à ce point !!!!!

  • Le 5 octobre 2016 à 10:57, par AD VITAM AETERNAM En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Le mot <> selon le dictionnaire LE PETIT LAROUSSE : Né hors du mariage. Qui n’est pas de race pure, en parlant d’un animal. Qui tient de deux espèces différentes ou qui n’a pas caractère tranché. ( une solution bâtarde)
    Juste une contribution...

  • Le 5 octobre 2016 à 11:13, par Manu En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Politiciens, ayant au moins du respect et de la décence pour le peuple. Aucun politique ni formation politique n’a la paternité de l’insurrection. Elle est la résultante de plusieurs facteurs qui ont contribué a forger le rejet du régime d’alors : mal gouvernance, cupidité des politiques et des hommes d’affaire, vols de deniers publiques, corruption galopante....Résultat : Vie cher et Précarité des conditions de vie. Les PRINCIPAUX AGENTS responsables de ces calamités sont aussi aujourd’hui les premiers dirigeants actuels (RSS)

    Les prémisses de ce rejet TOTAL du pouvoir Compaoré c’est peu-à-peu dans les mouvement d’humeurs social à travers les grèves qui devenaient de plus en plus fréquentes et importantes et les rancœurs contre des chefs militaires qui ont abouti aux mouvements dans les casernes le plus important s’est passé en 2011. En cela, la paternité de l’insurrection est à mettre mettre à l’actif de la SOCIETE CIVILE qui a su entretenir la grogne sociale et la conscience des plus déterminés. Certes des politiques visionaires ont rejoint la contestation grandissante plutôt. Mais les plus opportunistes tels que le MPP (opposants de la 25è heure) ont juste bénéficié et surfé sur le contexte.

    NB : Il y a plus urgent à faire dans ce pays où tout est précaire, prioritaire que de se disputer la paternité d’une insurrection dont on dait pertinemment qu’elle revient au peuple.

  • Le 5 octobre 2016 à 11:18, par sauve souri En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    madame vous pouvez courir devant rsp ? vous pouvez pas faire mieux que ceux qui son au pouvoir actuel

  • Le 5 octobre 2016 à 11:34, par Manu En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Politiciens, ayant au moins du respect et de la décence pour le peuple. Aucun politique ni formation politique n’a la paternité de l’insurrection. Elle est la résultante de plusieurs facteurs qui ont contribué a forger le rejet du régime d’alors : mal gouvernance, cupidité des politiques et des hommes d’affaire, vols de deniers publiques, corruption galopante....Résultat : Vie cher et Précarité des conditions de vie. Les PRINCIPAUX AGENTS responsables de ces calamités sont aussi aujourd’hui les premiers dirigeants actuels (RSS)

    Les prémisses de ce rejet TOTAL du pouvoir Compaoré c’est peu-à-peu dans les mouvement d’humeurs social à travers les grèves qui devenaient de plus en plus fréquentes et importantes et les rancœurs contre des chefs militaires qui ont abouti aux mouvements dans les casernes le plus important s’est passé en 2011. En cela, la paternité de l’insurrection est à mettre à l’actif de la SOCIETE CIVILE qui a su entretenir la grogne sociale et la conscience des plus déterminés. Certes des politiques visionnaires ont rejoint la contestation grandissante plutôt. Mais les plus opportunistes tels que le MPP (opposants de la 25è heure) ont juste bénéficié et surfé sur le contexte.

    NB : Il y a plus urgent à faire dans ce pays où tout est précaire, prioritaire que de se disputer la paternité d’une insurrection dont on sait pertinemment qu’elle revient au peuple.

  • Le 5 octobre 2016 à 12:15, par BILI-BILI En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Pauvre ZEPHIRIN ; je comprends maintenant ta defaite aux elections face à ROCK. Avec un entourage pareil ; on ne peut que "’ brouter l’herbe’ .

  • Le 5 octobre 2016 à 13:06, par ASTON En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    C’est ce qu’on appelle une "fausse sortie". C’est le peuple qui a mené courageusement sa révolution et triomphé. MPP comme UPC, vous avez été tous surpris et dépassés par la victoire du peuple ! Nous sommes témoins des tergiversations qui s’en sont suivies . Si comme vous le prétendez, vous aviez été préparés pour canaliser les choses, certainement que Zida du RSP n’aurait pas géré la transition avec les résultats chaotiques qu’on connait. Le père de l’insurrection reste notre peuple avec sa jeunesse courageuse. Arrêtez donc de nous enfumer ...

  • Le 5 octobre 2016 à 13:25, par Azania En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Bonjour,
    l’insurrection est la fille du peuple. Et je suis étonné qu’une personne politique qui jouit aujourd’hui de la naissance de cette fille la qualifie de "batard". J en appelle à la décence et à un peu de respect pour le peuple. Pour une personne politique, qui siège dans notre auguste assemblée, c ’est vraiment désolant. Je pense que la direction de l’UPC que je pense responsable devrait la rappeler à l’ordre.
    Arrêtons les réthoriques et les postures démagogiques vides qui n’apportent rien au débat et aucune solution aux problèmes rëels des populations.
    bonne journëe

  • Le 5 octobre 2016 à 13:43, par Galilée En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossé, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Quand j’ai lu ce texte je me suis demandé s’il faut rire ou pleurer. Cette femme est une honte pour les intellectuels de notre pays. Sa réflexion ne dépasse pas le bout de son nez. L’insurrection a un père et c’est l’ensemble des patriotes de ce pays. Pour tout dire c’est le fruit de la lutte des sans culottes. Que des hommes politiques veulent se l’approprier c’est leur droit mais le père d’un enfant est connu et est unique

  • Le 5 octobre 2016 à 13:51, par Sidzabda En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    internaute 28 Boinzem si la dame avait dit que c’est l’UPC qui est la mère de l’insurrection, personne n’allait s’élever contre. mais dire c’est bâtard et venant encore d’une femme, c’est très regrettable et il faut avoir le courage de le dire. dis nous sous quel tropique tu as déjà appris qu’un enfant à plusieurs pères ou tout court qu’il n’a pas de père ? alors, nous n’avons jamais dénier à l’honorable député sa liberté d’expression, mais retiens qu’elle s’est déshonorée en parlant de bâtard, on l’aime bien mais faut lui dire la vérité, quitte à ce que vous souffrez avocat tapis dans l’ombre

  • Le 5 octobre 2016 à 13:55, par sarkozi En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossé, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    zeph est un homme bon mais son derrière est mauvais

  • Le 5 octobre 2016 à 14:12, par BC En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossés, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Quitté la bas ! Est ce que si Blaise n’avait pas fait ce qu’il a fait et si Blaise n’avait pas été ce qu’il a été, est-ce qu’il allait avoir insurection populaire ?
    Pourquoi il faut chercher le ou les papas ? Au moins on est sûr de la mère : c’est La Blaise et son CDP. Allez lui demander , est-ce la maman a dit qu’elle ne connait pas ?
    Quittons dans ça la et cherchons a créer situation pour enfanter le dévéloppement  : c’est cet enfant là on attend !!!!

  • Le 5 octobre 2016 à 15:28, par ka En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossé, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    A cette journée parlementaire des misérables, aucune personne d’entre les acolytes présents, ne se rappelle du passé, et dans leur petite tête, traîne la continuité a la répétition. A les écouté, tous les coups sont permis pour remettre le peuple a genou. A ce que j’ai vu et entendu, tous ces bouffons vivent dans un éternel ré-commencement, malgré tout ce qu’ils ont vécu dans le passé, ils font toujours les mêmes erreurs comme si ces problèmes n’avaient jamais existé. On dit que l’être humain doit connaitre une situation afin d’en extirper les désavantages et les avantages : Ce qui sépare l’être humain de l’animal, c’est comprendre une situation qui l’arrange. Tous ces responsables des partis politique réunis a cette journée, ont oublié l’insurrection des 30 et les 31 Octobre 2014 dont le nombre de la jeunesse a fait la différence. L’habitude lorsque l’homme se fait brûler par une flamme, il fait désormais attention à cette flamme, ce qui est tout le contraire de l’animal, mais quand on attend SanKandé et madame Zongo ainsi que d’autres, ils ressemblent à des animaux, même brûlé par une flamme, ne font pas attention. En fait ce qui sépare ces responsables des partis politique a des animaux, c’est de se battre comme des lions pour le pouvoir sans partage, comme fait le MPP à nos jours, et le CDP pendant 27 ans. Madame Zongo avec tous ces bouffons, on vous connait tous : Lorsque vous aviez le pouvoir pour en tirer les avantages au maximum, vous devenez tous comme des animaux qui ne se rappellent plus du passé, ni ne reculent devant aucune flamme pour remplir vos gosiers. En conclusion, oublier ou faire semblant d’oublier le passé ou la victoire de la jeunesse du 30 et 31 Octobre 2014, c’est faire preuves de stupidité pour arnaquer son peuple. Qu’un autre Thomas Sankara renaisse, et relève le défi, en mettant tous ces bouffons a la MACO pour une longue réflexion, pour que les blancs, les éternels impérialistes ne nous regardent plus de loin avec un complexe de supériorité.

  • Le 5 octobre 2016 à 16:26, par vérité no1 En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossé, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Pour une femme, tenir de tels propos est très déplorable ! Un bâtard est avant tout un être innocent ! Silence, je vais vous éclaircir sur le terme bâtard ! Ceux-là qui utilisent un dictionnaire risque de se perdre et se retrouver au pôle Nord !
    Chez nous les Mossis, un bâtard est né d’une femme qui essaie de dribbler son mari pour faire un autre enfant avec un autre monsieur tout en vivant sous les toits de son mari ! L’enfant est né le plus souvent suite à un accident ou un mauvais calcul pour ne pas dire involontaire ! Étant humaniste, elle refusera l’avortement jusqu’à l’accouchement et fera croire à son mari que l’enfant l’appartient ! D’ailleurs si c’est pas un charlatan ou un ami qui va dire au mari, il ne saura rien ! L’enfant devient bâtard lorsque les gens commencent à savoir !
    Chez les mossis, de tels enfants sont négligés dans la société mais le mari l’acceptera et le vrai père n’est pas fou pour réclamer son enfant ! L’exemple palpable c’est l’autre qui vient de... là-bas au bord de l’eau !!!!!!!!

  • Le 5 octobre 2016 à 16:30, par ziguehi En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossé, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    je suis vraiment decu de bcp internaute. pourqouoi voulez vous empecher l’UPC que vous meme vous appeler affectueusement parti d’opposition de faire son travail d’opposant.
    pourquoi voulez vous dire à UPC de ne pas critiquer un gourverment et un président qui au lieu de mettre en branle son soit disant programme de société passe tout son temps à nous parler des aneries. pourquoi vous ne vous plaignez pas quand ce Monsieur du groupe MPP a dit que l’insurrection est leur fille unique dont la grosses a été prise le 24 octobre.
    pourquoi laisser le MPP insulter la mémoire de nos martyrs.
    Oubien vous manger avec ces gens là ?
    KORO YAMYELE tu decois tu raisonne comme un MMPISTE trop et suis sur que tu n’etes pas de l’insurrection car entre la parole et l’acte le fossé est gigantesque
    .

  • Le 5 octobre 2016 à 17:04, par ka En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossé, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    A cette journée parlementaire des misérables, aucune personne d’entre les acolytes présents, ne se rappelle du passé, et dans leur petite tête, traîne la continuité a la répétition. A les écouté, tous les coups sont permis pour remettre le peuple a genou. A ce que j’ai vu et entendu, tous ces bouffons vivent dans un éternel ré-commencement, malgré tout ce qu’ils ont vécu dans le passé, ils font toujours les mêmes erreurs comme si ces problèmes n’avaient jamais existé. On dit que l’être humain doit connaitre une situation afin d’en extirper les désavantages et les avantages : Ce qui sépare l’être humain de l’animal, c’est comprendre une situation qui l’arrange. Tous ces responsables des partis politique réunis a cette journée, ont oublié l’insurrection des 30 et les 31 Octobre 2014 dont le nombre de la jeunesse a fait la différence. L’habitude lorsque l’homme se fait brûler par une flamme, il fait désormais attention à cette flamme, ce qui est tout le contraire de l’animal, mais quand on attend SanKandé et madame Zongo ainsi que d’autres, ils ressemblent à des animaux, même brûlé par une flamme, ne font pas attention. En fait ce qui sépare ces responsables des partis politique a des animaux, c’est de se battre comme des lions pour le pouvoir sans partage, comme fait le MPP à nos jours, et le CDP pendant 27 ans. Madame Zongo avec tous ces bouffons, on vous connait tous : Lorsque vous aviez le pouvoir pour en tirer les avantages au maximum, vous devenez tous comme des animaux qui ne se rappellent plus du passé, ni ne reculent devant aucune flamme pour remplir vos gosiers. En conclusion, oublier ou faire semblant d’oublier le passé ou la victoire de la jeunesse du 30 et 31 Octobre 2014, c’est faire preuves de stupidité pour arnaquer son peuple. Qu’un autre Thomas Sankara renaisse, et relève le défi, en mettant tous ces bouffons a la MACO pour une longue réflexion, pour que les blancs, les éternels impérialistes ne nous regardent plus de loin avec un complexe de supériorité.

  • Le 5 octobre 2016 à 18:23, par Sage En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossé, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Ca fait pitié d’entendre une femme parler ainsi de bâtard.
    En quoi le fait que des gens se réclament être les pères de l’insurrection en fait un bâtard ? Le peuple se soulève, des gens sont tués et c’est cela que cette dame appellent BATARD ? Que plusieurs personnes s’octroient la paternité d’une chose de bien (ce qui est le plus souvent le cas d’ailleurs), n’en fait pas un BATARD.
    En outre, dans la plupart des cultures au Burkina, un enfant a plusieurs pères et plusieurs mères. Maintenant sur le plan biologique, personne ne devrait se bomber la poitrine pour affirmer qu’il n’est pas un "BATARD" (expression de la dame), parce qu’il n’en sait rien ; et dans ce domaine, il y a eu beaucoup de surprises. Dans certains cas, la personne n’est pas directement "BATARD" (expression de la dame) mais son grand père ou arrière arrière grand père l’a été ; donc attention ! Dans tous les cas, où est la responsabilité de celui que vous traiteriez de "bâtard" ?

  • Le 6 octobre 2016 à 03:05, par yakini pakabi En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossé, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    mes freres burkinabe, ayant le dialogue et soyons honnetes et patriotes ; moi je ne vois pays au monde ou tu endeuiller des familles et tu t’assoies aisement dans une assemblé et tu parle ; levons assassinons ceux qui ont endeuiller nos familles ; vous avez piller le peuple et le pays ; le jour ou on va s’organiser vous aller rejoindre Blaise en Cote D’Ivoire

  • Le 6 octobre 2016 à 07:15, par Burkina En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossé, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    On ne se bat jamais pour la paternité d’un bâtard. C’est justement parce que personne ne revendique officiellement sa paternité qu’on le nomme ainsi. Quand on se bat pour la paternité d’un bâtard, c’est qu’il s’agit d’un bâtard de luxe, un bon bâtard quoi. Je suppose que c’est ce que l’honorable député (grâce à l’insurrection bâtarde) veut dire. Tout régime qui dirigera le Burkina ou n’importe quel autre pays au monde comme on l’a fait pendant les 27 années du régime Compaoré sera balayé par une insurrection, à moins d’être des bâtards et non des BURKINA. Dans un pays où les Hommes politiques ont un minimum de dignité, d’honneur pour eux -mêmes, et de respect pour leur peuple, cette bonne dame devrait, sinon démissionner, au moins s’empresser de présenter des excuses pour son propos infamant, voire blasphématoire. L’INSURRECTION POPULAIRE DES 30 ET 31 OCTOBRE MÉRITE RESPECT ET CONSIDÉRATION SAUF SI ON ÉTAIT DU CAMP DE CEUX QUI OPPRIMAIENT LE PEUPLE. Quand on vous a mis à un rang où vous arborez les Couleurs Nationales, on ne doit plus parler comme on...!

  • Le 6 octobre 2016 à 20:24, par comptobrol@gmail.com En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossé, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    En moore on dit Bisong ya ninb fan biiga ; ce qui veut dire un bon enfant est lenfant de tout le monde ; Si tous les partis reclamme la paternite de linsurection , cest que linsurrection a ete une bonne chose .
    Soyons uni travaillons tous a developper notre cher Burkina.

  • Le 6 octobre 2016 à 20:25, par comptobrol@gmail.com En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossé, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    En moore on dit Bisong ya ninb fan biiga ; ce qui veut dire un bon enfant est lenfant de tout le monde ; Si tous les partis reclamme la paternite de linsurection , cest que linsurrection a ete une bonne chose .
    Soyons uni travaillons tous a developper notre cher Burkina.

  • Le 6 octobre 2016 à 21:54, par Dedegueba SANON En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossé, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Mon premier propos ayant été " censurés", je reviens en précisant ceci.
    Beaucoup d’internautes se perdent dans des dicertations inutiles sur le terme batard. Là où la bonne dame a voulu " piquer" un adversaire politique. Cessez de lui tirer dessus et rappelez vous qu’elle n’a pas le monopole du langage choquant dans cette jungle politique. Il y a eu ici des pyromanes et des tueurs à visage découvert.. Il y a eu Lingani, il y a eu Derme il y a eu feu Salif il y a eu Salia etc...
    C’est de bonne guerre de rabattre le caquet au surexcité député du MPP qui a voulu travestir l’histoire. Le monsieur qui a fait face à deux RSP les mains nus est de l’UNIR, Hervé qui a été face à face avec BC n’est pas MPP que je sache...il y a même d’authentiques militants du
    CDP qui ont contribué à cette lutte.
    Retenons donc le fond du ddiscours de la bonne dame et progressions. Elle n’a dit que la stricte vérité. On nous a roulé.

  • Le 8 octobre 2016 à 20:40, par Sidonie En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossé, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Nous allons enterrer le Mouvement Pili Pambé avec ses géniteurs et ses cortèges de malheur bientot. Y en marre des tous ses déchets. Ils peuvent rien faire de bon. Blaise COMPOARE les a engraissé pendant près de 30 ans, ils ne sont plus capable de raisonner, ils sont même malades, comment voulez vous qu’on s’en sorte avec des épouvantails.
    VIVE LE VRAI CDP d’aujourd’hui. Ce sont eux qui empêchait Blaise de travailler convenablement passant tout le temps à le mentir.

  • Le 11 octobre 2016 à 17:41, par MPP EGAL CDP En réponse à : « L’insurrection est arrivée et a plusieurs pères. Chez les Mossé, on appelle ça, un batard », martèle député Henriette Zoumbaré/Zongo du groupe UPC

    Tous ceux qui attaquent la bonne dame ne comprennent pas francais. Elle veut dire tout simplement qu’en acceptant les propos du mpp se declarant pere de l’insurection, c’est accepter qu’on "batardise" notre insurection alors qu’elle ne l’est pas. Donc ce n’est pas qu’elle traite notre insurection de batarde mais qu’elle le serait si on acceptait lui accorder un autre pere que celui qu’on lui connait c’est a dire le vrai peuple. Par consequent, c’est simple : il nous revient de refuser cette batardisation de notre inssurection en nous adressant au mpp et non a lhonorable depute de l’upc.