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« Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

vendredi 24 juin 2016.

 

« Les groupes d’auto-défense refusent de se soumettre à l’autorité de l’Etat ». C’est, en résumé, ce qu’on peut retenir du compte-rendu fait par nombre d’organes de presse burkinabè sur la rencontre nationale des groupes d’auto-défense (Koglwéogo) tenue le mercredi, 22 juin 2016 à Kombissiri, chef-lieu de la province du Bazèga, située à environ 45 kilomètres au sud de la capitale.

Cette rencontre se tient une dizaine de jours ‘’seulement’’ après le communiqué ‘’d’avertissement’’ du ministre d’Etat, ministre de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et de la sécurité intérieure. Dans ce communiqué, signé du 10 juin 2016, le ministre Simon Compaoré, après avoir dénoncé la violation des textes législatifs et réglementaires en vigueur sur la protection de la vie et de l’intégrité physique des personnes, rappelait aux Koglwéogo que « la détention et le port d’arme à feu doivent en tout temps et en tout lieu, être conformes à la règlementation en vigueur au Burkina » et que « toute personne appréhendée en flagrant délit d’infraction à la loi pénale, doit être immédiatement remise aux forces de sécurité intérieure (la Gendarmerie nationale et la Police nationale) ».

Toujours dans la même note, le ministre soulignait que « sont formellement interdits, les séquestrations, les sévices corporels, les traitements humiliants et dégradants, les cotisations forcées, les amendes, les taxes, les contributions aux dépenses et les remboursements de biens dissipés ; sont également interdits, les déplacements en groupe avec port ostensible d’armes à feu ou d’armes blanches ». Puis, il appelait les membres des associations Kolgwéogo à l’esprit de discernement dans les actes qu’ils posent, « afin d’éviter toute situation préjudiciable à l’ordre et à la paix publique qui ne saurait désormais être tolérée après toutes les explications et la sensibilisation faites ».

Dans ce contexte, la rencontre nationale de ces organisations d’auto-défense, ce 22 juin 2016 à Kombissiri ne pouvait pas passer inaperçue. Et le lien est vite établi par le contenu des messages livrés au cours de ces concertations nationales. « Les Koglwéogo refusent de déposer les armes. Ils continueront à infliger des amendes et battront les éventuels délinquants qui seront appréhendés », lit-on dans le quotidien des 1200 logements, Le Pays, rapportant les propos de cette rencontre nationale. D’ailleurs, pour Boukary Kaboré dit le Lion (militaire à la retraite et homme politique bien connus), l’arrivée des Koglwéogo au Burkina sonne le retour de la dignité des Burkinabè. « La déclaration du ministre de la sécurité intérieure a semé la confusion dans la tête des gens. Je pense que c’était une erreur. Un voleur ne peut pas être armé d’une kalachnikov et le ministre va demander aux Koglwéogo de le poursuivre les bras ballants. Ce n’est pas possible », rapporte Le Pays du message de « Le Lion », présenté comme le président des « Wibsé », c’est-à-dire président des Koglwéogo chargés de traquer les voleurs.

« Les ‘’Koglwéogo’’ vont continuer à appliquer -leurs- méthodes faites de châtiments, d’amendes et porter-leurs-armes pour traquer et mettre hors d’état de nuire les bandits et les autres délinquants », peut-on retenir également des déclarations du chef Kolgwéogo de Sapouy, Saidou Zongo, mentionnées par le site de l’Agence d’information du Burkina (AIB).

Autant conclure donc à un bras de fer qui ne dit pas son nom. Mais, l’objectif final de chaque partie (autorités et groupes d’auto-défense) étant la défense des citoyens et populations burkinabè, une solution devra, diligemment, pouvoir être trouvée à la satisfaction de tous. Car, un Burkina ingouvernable n’est à l’honneur de personne, à commencer par les autorités et les Koglwéogo.

Oumar L. OUEDRAOGO
Lefaso.net



Vos commentaires

  • Le 23 juin 2016 à 17:09, par Mme Coul En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    "Mais, l’objectif final de chaque partie (autorités et groupes d’auto-défense) étant la défense des citoyens et populations burkinabè, une solution devra, diligemment, pouvoir être trouvée à la satisfaction de tous. Car, un Burkina ingouvernable n’est à l’honneur de personne, à commencer par les autorités et les Koglwéogo". Votre conclusion est très sage mr le journaliste, vous êtes un grand homme. Dieu bénisse le Burkina.

  • Le 23 juin 2016 à 17:19 En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Pauvre "lion" ! Ce que tu n’as pas eu par les armes, tu veux le chercher par les armes ? Tu es trop bête et incompétent pour réussir une telle prouesse. Tu es simplement un prof de gym. Alors, arrête de tromper ces pauvres koglweogo analphabètes, comme tu as trompé tes hommes du bataillon à Koudougou (tu as fui les laisser se faire massacrer). Si ça chauffe, tu fuiras laisser les koglweogo aussi. Tu te rappelles du caporal Koné Sékou ? Il semble que tu es responsable de son assassinat ? Tu peux expliquer ?

  • Le 23 juin 2016 à 17:27 En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Mr le ministre, pourquoi toutes vos règlementations sont toujours en faveur des délinquants ? On a parlé en long et en large la corruption de vos FDS et rien de concret n’a été promis au citoyens. La justice est corrompue, rien n’a été dit dans ce sens. Dites seulement que ce sont les koglweogo que tu moyen. Mais pas question de céder à des provocations de ce genre. Les FDS et les juges ont montré leur faille et les limités dans la lutte contre l’insécurité. Monsieur de ministre de grâce laisse le pays en paix. Depuis l’arrivée des koglweogo dans la région de l’Est les délinquants se cherchent. Les populations dorment paisiblement, l’élevage se porte très bien. Mais voilà visiblement un ministre déterminé à foutre la tranquillité des citoyens en l’air. Mais nous aux aguets et on te voir venir. On te comprend, puisque tu est tout temps entouré de garde de corps voilà pourquoi cette erreur fatale de ta part. Vive les KOGLWEOGO. La patrie ou la mort nous vaincrons.

  • Le 23 juin 2016 à 17:37, par SS 20 En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    L’affaire des koglwéogo ne doit pas diviser les burkinabè de bon sens !
    Nous sommes dans un état républicain et force doit rester à l’état par ses FDS , les FDS ne sont pas des collègues aux koglwéogho , bien au contraire ils doivent être des collaborateurs pour apporter leur soutien dans la limite de la dissuasion ,de la dénonciation .

    Les dérives constatées récemment sur un certain Elhadj Sondé ,l’enfant suspendu par les pieds sur un arbre ,etc...en l’espace d’un mois il y a eu combien de travers par l’agissement de ces koglwéogo !?
    Dans cet élan ,tout le monde va s’armer et nous vivrons comme au Texas.

  • Le 23 juin 2016 à 17:50, par Nongba En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Heiii, le Lion toi aussi ? Tu aimes trop ça !

    C’est vrai que tu es un Lion et que ton domaine de prédilection c’est le wéogo mais pardon il faut revenir en ville. Même si c’est au zoo on va te mettre, en tout cas nous on te veut pas en brousse.

    SVP arrêter vos conneries et revenez dans la république. On peut vous tolérez mais respecter quand même un minimum, sinon vous allez tout gâter.

  • Le 23 juin 2016 à 17:55, par Constat En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    "Où sommes-nous maintenant ?" Réponse :dans des problèmes qui seront difficiles à gérer dans les temps à venir à cause des calculs politiciens des gouvernants du moment. Boko Haram au Nigeria, les Djandjawid au Soudan, les anti-balaka et les seleka en Centrafique, etc. ça vous dit quelque chose ? Le pire est devant si rien n’est fait à temps concernant ces hors-la-loi de Kolgwéogo qui défient les lois de la république. Allons seulement.

  • Le 23 juin 2016 à 18:04, par Le Mercure En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    L’autorité de l’Etat ne se négocie pas une seconde.L’Etat doit s’assumer pleinement et entièrement sans équivoque.
    Tout ça ce sont les conséquences d’une tergiversation d’un gouvernement en quête de marque.

  • Le 23 juin 2016 à 18:04, par Steph En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Korhogo, 28 mai (AIP) – Un magistrat du parquet de Korhogo a rendu hommage aux chasseurs traditionnels dozos, pour leur « importante contribution à l’œuvre de justice » dans le ressort territorial du tribunal. « Permettez que je vous dire merci pour tout ce que vous avez fait pour nous permettre d’appréhender certains grands criminels. (…) Votre œuvre est à saluer », a déclaré vendredi le substitut du procureur de Korhogo, Dion Ernest, dans une intervention, lors d’une assemblée de plus d’un millier de membres de la confrérie. Les dozos de Korhogo ont notamment permis de retrouver, début janvier, 32 motos volées près d’un cimetière de la périphérie de la ville, ce qui a permis par la suite à la police de démanteler le réseau de bandits, rappelle-t-on.

  • Le 23 juin 2016 à 18:06, par Le Mercure En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Que le lion arrête de défier l’Etat car il risque d’assumer l’ entière responsabilité de la dégradation de la situation.

  • Le 23 juin 2016 à 18:35, par some. En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Au regard de la réponse de ces groupes d’autodéfense il est nécessaire de s’interroger la possibilité à les encadré. affaire à suivre

  • Le 23 juin 2016 à 19:19, par TANGA En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Internaute n°2 sans nom, sais tu seulement ce qui s’est passé à KOUDOUGOU ?
    Ne parlons pas de ce que l’on ignore SVP. Le massacre de KOUDOUGOU doit être jugé quelque soit le nombre d’années après. Les spécialistes du coupé collé, à vos marques car chacun doit parler.

  • Le 23 juin 2016 à 19:57, par bila En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Apres les mousquets et bougdandouilles,d ici 3 mois ils seront armes de kalachs .Et comme l appetit vient en mangeant,c est le pouvoir qu ils viseront car ils se proclameront comme les justiciers envoyes de Dieu.Ou facilement 4 malettes pleines de cfa et un coup d etat a la"KOLKHOSIENNE RUSE"est vite fait.RETENEZ BIEN CETTE CONTRIBUTION AU FORUM ET L HISTOIRE NOUS LE DIRA>
    NOSTRADAMUS

  • Le 23 juin 2016 à 20:03, par ratamanegre En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Ca y est.nous sommes dans la spirale infernale:insurrection ; transition ; coup d’État a la transition ; perte de l’autorité de l’état ; groupes armés incontrôlés(pardon koglweogo armés incontrôlables).maintenant ils ont un leader politique et militaire en la personne du lion.notons qu’ils avaient déjà leur leader religieux et contimiers.et nobeissent à aucune loi sauf la leur.De tels ingrédients ont déjà produit la guerre civile ou la rébellion ailleurs.
    DIEU protège le Burkina Faso

  • Le 23 juin 2016 à 20:03 En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    il faut que le gouvernement trouvée un solution si y a les koglwéogo sais que y a
    quelque chose qui n’est vas pas la sécurité de la population ne pas assure

  • Le 23 juin 2016 à 20:24 En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    ce n’est plus le lion mais l’hyiene es forets.il cherche à manger en profitant de la bravoure des autres

  • Le 23 juin 2016 à 20:35, par le patriote balma En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    En cas de dérapage, je tien pour responsable les trois lâche que sont les RSS.pour des intérêt électoral il ont entrenu le petit serpent.le serpent a donc eu le temps de grandir sous leur silence.maintenant qu’il on eu l pouvoir MAIRIE et PRESIDENSIEL il veule abattre le serpent devenu gros python.ce qui laisse penser que : selon le virus (RSS) l’avenir du MPP est primordial a l’avenir de l’ETAT BURKINABÉ

  • Le 23 juin 2016 à 20:37, par YIRMOAGA En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Qui seront les encadreurs ? Avant que les koglwéogo ne se fassent opérationnels, qui osait faire une déclaration face aux nombreuses attaques des délinquants qui tuaient chaque semaine presque ? On sait aussi que les produits de braquage rentraient à Ouaga et alimentaient les maquis ? Suivez les émissions en français pour vous convaincre que les intellos sont les soutiens des délinquants et les émissions en Mooré pour vous convaincre de la détresse du monde paysan ? Celui qui veut, qu’il aille voler en campagne et il va oublier son français ?Ceux qui craignent une récupération ou transformation en rébellion, les paysans vivent l’enfer du razzia des délinquant n’eût été la présence des koglwéogo ?
    Le Lion est dans son droit puisqu’il avait entrepris étant à Koudougou en activité ?

  • Le 23 juin 2016 à 20:40, par vigilant En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    je pense qu’il faut voir le probleme des koglweogo sous un autre angle...tout d’abord je me demande quel est la position exacte du ministre de la decentralisation, de part ses declarations qu’il a eu a faire...soit on pro-koglweogo et on cherche a les encadre,soit on est contre et on applique dans toute sa rigueur...seul l’Etat a le monopole de la violence...au mentor "le lion" nous ne sommes pas dans un firewest...on peut pas semer de l’ordre en semant du desordre...nul n’est au dessus de la loi...continuons le dialogue comme ca la toujours ete au pays......

  • Le 23 juin 2016 à 20:46, par donald koanda En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    ce groupuscule manque dun esprit de dicernema.le rapport de leurs actes est plus decrié donc le ministre doit penser a leur disparition.

  • Le 23 juin 2016 à 21:10, par doux En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    je suis desolé de ce defi lancé à l’Etat. si kolgweogo et ses alliés aiment le Burkina, si vous voulez servir votre nation, si vous voulez qu’un jour vos filles et fils vous soient reconaissants, svp, entrez dans l’Etat de droit. Mais si vous savez que vous voulez creer une rebellion en vous cachant derriere cette image, nous vous disons d’ores et deja que vous avez echoué. Vous vous comportez comme les amis de boko aram, mais DIEU garde le burkina faso. stp le lion cette fois vous avez mal raisonné. Rattrapez vous pendant qu’il est temps. Merci

  • Le 23 juin 2016 à 21:14, par burkinbila En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Hey.koglweogo.attention.votre initiative peut être louable mai n’oubliez pas que vous mettrez tout le pays dans une insécurité plus grave que celle que vous combattez si vous montrer que n’est rien dvant vous.c’est très dangereux,attention.

  • Le 23 juin 2016 à 21:26, par burkinbila En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Kan la case du voisin brule.....koglweogo,pourkoi ne pas aller au secours du mali contre les djihadistes ?

  • Le 23 juin 2016 à 21:36, par TIENFO En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Ils ont cherché le pouvoir, ils l’ont trouvé au soir du 29 novembre 2015. Pourront-ils honorer les engagements pris vis-à-vis du peuple ? Tellement les défis à relever sont nombreux et les ressources limitées. En tout cas je n’aimerais pas être à leur place. Les RSS semblent être dans de beaux. Je pensais que la déclaration de Simon était basée sur quelque chose de très solide. Une telle sortie médiatique devrait faire suite préalablement à un accord des différents acteurs concerné par la question. En tout cas le tout puissant MATDSI est dans une impasse. La commune de Ouaga est différente du MATDSI à tous les égards. Maintenant qu’il est publiquement défié par les koglwéogo que va-t-il se passer ? Je dirai à la suite de l’artiste musicien Daouda KONE "tu n’as pas dit que tu peux, il faut peut on va voir, tu as fais ton malin jusqu’à, voilà toi hoo kokoloko". Parlons sérieux. Il n’est jamais trop tard de toujours bien faire. D’après nos sages, "l’humilité précède la gloire et l’orgueil la déchéance". Le bras de fer conduira à un seul vaincu : le Peuple. Que chacun mette de l’eau dans son vin et tout ira pour le mieux. Je propose une assise nationale avec autour de la table : l’Assemblée Nationale, l’exécutif, le judiciaire, les syndicats, les OSC, toute personne ou organisation ressource. Asseyons nous et discutons. Le plus grand gagnant de ces assises c’est le Peuple. Car de la discussion jaillit la lumière.

  • Le 23 juin 2016 à 22:00, par Cequejenpense En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Simon Compaore est INEFFICACE a son poste. Il faut se le dire. Mais etant N*3 du RSS on n’est pas pret a lui retirer son poste de ministre de la securite et de l’administration territoriale. Ce serait une HONTE. Un AVEU D’ECHEC. Donc on le laisse nous entrainer dans son tatonnement. Oubliant que les ingredients d’un cocktail explosif se reunissent petit a petit (je touche du bois) a partir de petite crise entre village, entre habitant d’une commune, entre pro et anti koglweogo, entre koglweogos et familles de victimes de leurs agissement, etc.
    Une honte, un aveu d’echec n’est-il pas mieux que de laisser un pays s’enfoncer dans une situation de crise et de violence profonde ? A ce que je sache, le gouvernement n’a pas hesite un seul instant lorsqu’il s’est agit de nous (le burkina entier) mettre la honte dans l’affaire Soro dans l’interet du "bon voisinage" des peuples et celui de la nation...

    Le premier ministre Paul Thieba devrait etre franc avec le President. S’il n’est pas pret de lui laisser les mains libres quant aux choix pour la securite interieure notamment par le remplacement du SUPER "bout de ministre" alors que lui Thieba rende sa demission.

  • Le 23 juin 2016 à 22:06, par Aby En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Il faut absolument que l’Etat soit sevère envers Koglweogo. C’est la negociation au debut avec les autorités qui leur a donné tout ce poids.Meme sur un plateau d’or,on ne negocie pas avec quelqu’un qui refuse de se soumettre à la loi. Tout le monde voit que le voleur a tord mais on le punira tjrs en fonction de la loi.Aucun Ministre n’acceptera ces choses dans son pays.Il le ferra au nom de quelle loi ?ou comment rendra t-il compte ?Je suis deçu qu’un instruit comme Le Lion face ces graves erreurs. M. Le Lion si vs etiez le president du Faso au nom de quelle loi accepterez-vs que des individus achetent et portent des armes sans papiers, qu’ils creent leur propre justice...meme si on vs laisse faire,vs vs tueeré entre vs a la longue.reflechissez bcp on ne defie pas l’autorité de l’Etat,c’est sacré.

  • Le 23 juin 2016 à 22:16, par la racine En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Cher parents et cher amis je suis très désolé de certaines réactions. Ne voyons pas la chose comme les sans tête ou les Sans cerveaux, mais ayons une vision très longue et pensé a l’avenir .ça commence par les bandits volent ont doit les arrêtés, les bandit frappes et tue ont doit les tués et en fin ils ont des kalachnikoves nous assi il nous faut des kalachnikoves et avec les déchus de la politique ainsi que les ennemis de l’autre côté a nous allez pour k o.que le tout puissant nous garde.

  • Le 23 juin 2016 à 22:28, par sidbala En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Pour la sécurité du pays les KOGLWEOGO doivent exister et aider les FDS à gérer le pays. simon n’est pas d’accord, les koglwéogo n’ont qu’à lui demander des compter. Si lui simon il soutient les malfrats il n’a qu’a dire on va voir son cas ?.
    Après il faut les koglwéogo va voir aussi le cas de pédés et autres qui gattent aussi la société et les drogeurs aussi. BON VENT A KOGLWEOGO.

  • Le 23 juin 2016 à 22:35, par Pardon En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Comme Koglwéogo est débout simon il dit aux polices de sortir saque JOUR pour prendre les motos des gens ; il n’a qu’a aider Koglwéogo à sacher les voleurs et les coupeurs de routes ; ce n’est pas en ville le problème, c’est en brousse lui meme connait, qui est fou. KOGLWEOGO fait ton travail nous on te soutient.

  • Le 23 juin 2016 à 22:43 En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    MON PAUVRE PAYS ! JE N OUBLIERAI JAMAIS CE JOUR ( YA ENVIRON 2 ANS) OÙ LES BANDITS ONT ATTAQUÉ VERS 21H 2 ALIMENTATIONS ET 1 LUDIC LYDIA SANS ETRE INQUIÉTÉS. JE ME RAPPELLE TJRS DE CE JOUR OU UN DE MES VOISINS À ÉTÉ BRAQUÉ VERS 1H DU MATIN ET LES MÊMES BANDITS ONT ENSUITE ATTAQUÉ UN KIOSQUE AVANT DE PARTIR ET LES FORCES DE L ORDRE ST ARRIVES PLUS DE 2 HEURES APRÈS. DANS MON VILLAGE PERSONNE NE S ENGAGE ENCORE DANS L ÉLEVAGE CAR TU TRAVAILLE POUR LES VOLEURS. C EST TROP FACILE DE PARLER LE GROS FRANÇAIS DU GENRE FORCE DOIT RESTER A LA LOI, ETAT DE DROITS ET OOBA OOBA ! TOUT LE MONDE A LE DROIT DE SE DÉFENDRE DANS UN PAYS OU EN RÉALITÉ L ETAT PEINE SÉRIEUSEMENT EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ. C EST BIEN DE QUADRILLER OUAGA CONTRE LES DJIHADISTES MAIS LE PAYSAN A SON DJIHADISTE C EST LE BRAQUEUR, SON VOLEUR DE BÉTAIL. ON DOIT TRAVAILLER A CE QUE CES KOGLWEOGO AIENT CONFIANCE EN LA JUSTICE DONT MOI MÊME JE N AI AUCUNEMENT CONFIANCE, IL FAUT AVOIR LE COURAGE DE LE DIRE LA JUSTICE EST CORROMPUE DANS SON ENSEMBLE,LES QUELQUES JUGES HONNÊTES SONT TRÈS LOIN DE OUAGA

  • Le 23 juin 2016 à 23:02, par PARTO En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Simon s"est fait bruler les doigts, il a utilisé les kolg weogo pour les elections et il revient changer de l’engagen Monsieur le chef suprême des kogl weogo. Allons seulement et bravo à Boukari le Lion

  • Le 23 juin 2016 à 23:07 En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    MESSIEURS LES DIRIGEANTS D AUJOURD’HUI, VOUS ÊTES ÉLUS GRÂCE SURTOUT À CES VILLAGEOIS (SANS DÉNIGREMENT ) CAR TOUT LE MONDE SAIT COMMENT LES ÉLECTIONS SE PASSENT DEPUIS LE TEMPS DE VOTRE EX AMI BLAISE COMPAORE. VOUS AVEZ MÊME SOUTENU PENDANT UN MOMENT TJRS AVEC BLAISE LE PROJET DE RÉFÉRENDUM POUR LA MODIFICATION OU NON DE L ARTICLE 37.JE SAIS QUE VOUS COMPTIEZ SUR NOS PARENTS QUI N ONT PAS EU LA CHANCE D ALLER A L ÉCOLE. AUJOURDHUI VOUS ETES ÉLUS ET CES GENS VOUS POSENT UN PROBLÈME REEL C EST A DIRE LEUR SÉCURITÉ. DIRE QU IL YA L INSÉCURITÉ PAROUT AU BURKINA C EST COMME DIRE QU IL YA DES BLANCS EN FRANCE.LA JUSTICE BURKINABÉ SE SENT BEAUCOUP GENEE CAR C EST COMME SI ELLE A FAILLI, LES FORCES DE L ORDRE SONT GENEES CAR CES GENS SANS FORMATION MONTRE AUX YEUX DES BURKINABÉS QU ILS SONT PLUS EFFICACE DANS LE BURKINA PROFOND.MAINTENANT LE GOUVERNEMENT DOIT TRANCHER ET NATURELLEMENT IL PREND POSITION POUR LES 2 DERRIERS CITES MAIS IL DOIT AVOIR LE COURAGE DE DIRE LES MANQUEMENTS QU IL YA DANS LA JUSTICE ET LES DIFFICULTÉS QUE LES FDS RENCONTRENT VU LEUR NOMBRE ET LEURS ÉQUIPEMENTS. MESSIEURS LES DIRIGEANTS ESSAYER UN MINI RÉFÉRENDUM SUR KOGLEWEOGO OU NON ET VOUS ALLEZ VOIR LES RESULTATS AUX VILLAGES

  • Le 23 juin 2016 à 23:27, par Boxeur En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Mais je ne sais pas si le lion est vraiment un Patriote,car pour un officier supérieur de l’armée Burkinabe c’est une honte même s’il est en retraite, il est fou ce monsieur ou il a vu une association défier l’autorité, en plus moi je pense qu’il faut mettre les gens à leur place le Burkina compte plusieurs milliers d’associations de domaines différents mais c’est pas du désordre :il faut un état un gouvernement une administration une sécurité une défense pour que la population prenne ses responsabilités qui sont enotre autre l’accompagnement de l’état pour le développement de la nation donc cette association ne peut pas ni défier l’état. Moi je ne parle pas de koglweogo mais d’association donc il y a une indiscipline qui cache un carnet, je valide si cela se fait dans le respect de l’autorité de l’état et que les populations ne se laisse pas tromper car le Burkina Faso revient de loin avec un président de tout les burkinabes sans aucune distinction et à boukari kabore de faire attention car on sait de quoi il est capable dans ce pays (rébellion ou pas tu viens de confirmer que tu as des militaires pour ça alors le peuple te tiens à l’oeil, tu as droit au respect mais tu aussi respect au gouvernement au chef de l’état et au peuple sinon on va te dénigrer )si tu n’as plus rien pour vivre il faut chercher travail car tu ne peux plus tuer comme avant et aux voleurs aussi attention car maintenant pas de pitié. Je précise que le lion dit qu’il a tuer quand il était à Koudougou donc je propose une ouverture d’enquête contre lui pour rendre justice à ses familles car pour c’est pas responsable de dire de telles bêtises dans la presses avec fierté et aroganse, comme il démontre qu’il est de mauvaise foi alors les koglweogo attention à lui sinon votre objectif va être détourner car le lion veux se venger (il dit qu’il ne veut pas le pouvoir pour voler l’argent du peuple et pour il à bénéficier de la subvention de l’état pour les élections aux quelle il à participer dans ce pays ,il n’a qu’à voir l’exemple du colonel Natama qui est patriote (une école primaire bien équipé pour des générations futures )

  • Le 23 juin 2016 à 23:28, par ka En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Ce qui est certain, les nouveaux groupes des Kolg-weogo commencent à perturber le programme de sécurité et l’attente de Simon Compaoré qui croyait, qu’on pouvait mettre en boite ces Kolg-weogo économique et dévier leurs consciences pour un autre But. Pour le vieux Ka, qui a connu les Kolg-weogo de nos ancêtres, formé de père en fils, et travaillant volontairement avec les chefs des villages, pour arrêter les voleurs par surprise sans torture ni rançon, ne ressemblent plus à ces kolg-wéogo politisés sans formation, et qui deviennent des criminels en puissance. Pour une bonne coopération entre les Kolg-weogo et les autorités compétentes, il sera mieux d’une séparation totale, et confier les vrais Kolg-weogo aux autorités coutumiers qui gèreront avec sagesse ces groupes comme ce fut depuis la nuit des temps avec les DOZOS, et les Kolg-wéogo de Mané, qui arrêtent les malfrats par surprise selon leur formation, sans violence, et les remettent aux chefs coutumiers, et ces derniers les remettent à la gendarmerie ou à la police. Des primes peuvent être données selon les prises. Aujourd’hui, des petits malins, anciens militaires, les Djihadistes, des Imams, veulent détourner idéologiquement les Kolg-wéogo a leur profits, ou même dans l’idée de Simon, c’est de politiser ces groupes pour remplacer le RSP sous une autre forme. Pour l’amour de notre pays, Laissez les Kolg-wéogo à leur place, comme depuis la nuit des temps, car ils viennent de père en fils, formé de père en fils, travaille volontairement de père en fils pour un chef et son village. Essayer de les détourner de leur vrai chemin, c’est de mettre le feu au Burkina, en plus si des anciens militaires rentre dans leur jeu.

  • Le 23 juin 2016 à 23:49, par Californian En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Ça y est !!! Je réapparais ! En son temps je me posais la question suivante :<>. La pagaille organisée par Simon est en train de prendre une autre tournure. Hé bien aujourd’hui la question que je me pose est la suivante : << Si les kolgweogos refusent d’ obéir à l autorité de l ’ état à qui la faute ?>> . Je vous avais prévenu !!!. Simon n’ est pas un intellectuel, il n’a pas le flair il n’ est pas qualifier pour diriger un tel ministère. Attention à la dérive !!! Les conséquences sont énormes et dangereuses. Deuxièmement comment retrouver les armes qui ont été illégalement distribuées à ces tortionnaires et les récupérer. Je propose que le les Forces de défense et la Police procèdent à une récupération de ces armes d’ abord. Cela demande une maturité politique et une stratégie pour amener les détenteurs de ces armes à les déposer. Simon n’ a aucune idée de la gravité de sa nouvelle trouvaille. Si un dialogue et une vraie volonté de la part des citoyens burkinabe et les soit disant kolgweogos ne se trouvent pas à l’ordre du jour alors je crains que la désobéissance sera l’hymne nationale du pays. Une erreur et une faute ont été commises. Il faut trouver une solution. Chers Burkinabe ne bouchez pas vos oreilles ; ouvrez vos yeux. Il est encore temps. Simon n’aime pas le Burkina. Analyser ses déclarations et ses différentes formules. La sagesse et la paix font défaut dans sa personne.

  • Le 24 juin 2016 à 00:22, par Jeunedame seret En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    En prière ; à l’église du pasteur SIMON. Chef suprême des kogleweogo. Il ne peut plus rien face à ces propres koglewéogo !? Et s’il démissionnait ? Quand on est à bout de sa suprématie, on se plie à temps.

  • Le 24 juin 2016 à 05:17, par rawa En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Où sommes nous maintenant ? Nous sommes dans la merde ! Voila où nous en sommes !

  • Le 24 juin 2016 à 06:27, par Hien Simplo En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Je pense que la cpi doit lancé un mandat d’arrêt contre le lion et ses collaborateurs car le burkina a ratifié des accords qui le contraignent a ne pas imposer des traitements dégradants et inhumains
    Le lion pense être encore dans un Etat fasciste mais ce qu’il oublie est que aujourd’hui ces mensonges ont été découverts et il ne peut plus manipuler d’autres burkinabes contre d’autres.

  • Le 24 juin 2016 à 06:30, par Francis En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Si au départ les koglweogo inspiraient de la sympathie, aujourd’hui, avec toute cette défiance à l’autorité de l’Etat et l’esprit d’INCIVISME qui les anime, on peut légitimement se demander : "pour qui roulent les koglweogo" ? Ils sont en train de faire un véritable maillage du pays (même si à l’Ouest les Dozos s’en démarquent) ; de s’assurer la sympathie et le soutien multiforme des populations ; de fouler au pied l’autorité de l’Etat et de tenir tête aux FDS. Quand viendra l’heure des Gourous qui exploitent leur « naïveté », ils seront équipés d’armes modernes, recevront des valises d’argent liquide larguées par des hélicoptères, et, à la Mao, encercleront les villes à partir des campagnes. Qu’Opposition et Pouvoir ne se méprennent pas. Vous êtes tous dans leur viseur. Et personne n’échappera. Il est temps pour nous tous de parler le même language à propos de ces groupes d’auto-défense. A bon entendeur : Salut

  • Le 24 juin 2016 à 07:37, par TUUK-SOMDE En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Chers koglwéogo, je suis un fonctionnaire de province et à ce titre je vous soutiens car vous assurez ma sécurité. Par contre, la venue du lion n’est pas à votre advantage. Lui il cherche une armée structurée pour liberer Gilbert GUEGUERE et remener Blaise. Ecoutez le attentivement et soyez attentifs à ses. Propos et agissements. Il est vrai qu’ à Koudougou il a été célèbre et admiré dans la traque des voleurs et il a réussi. Gardez le en sous ordre.

    Au lieu que Simon vous abandonne aux ennemis du Burkina, il gagnerait à vous associer à sa traque contre les terroristes.

  • Le 24 juin 2016 à 07:43, par Kôrô Yamyélé En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    - S’il vous plait, foutez la paix à Boukary KABORÉ alias ’’Le Lion’’ !! Foutez-lui la paix ! Il a été comandant de région militaire dans ce pays, Chef de Corps du BIA (Bataillon d’intervention Aéroporté) de Koudgou. Ses éléments étaient craints comme la peste par ceux du Conseil devenu RSP plus tard. Lui-même était craint par votre fameux général Gilbert DIENDÉRÉ. Il a été brave lors de la guerre de Noel et y a fait ses preuves. Il a eu la médaille d’or à cet effet à la place de la Révolution. Il a refusé la trahison contre Thomas SANKARA et il ne trouvait aucune justification sur son assassinat, et a voulu résister après avoir eu la caution de plusieurs autres Chefs de Corps dans les régions militaires. Au dernier moment, ces derniers, félins qu’ils sont à commencer par son représentant à Dédougou en son temps, l’ont trahit et se sont alliés à Blaise et Diendéré. Il est donc resté seul et a assumé. Les gens ignorent beaucoup de choses ! Le Lion a quitté le Burkina après avoir démobilisé ses hommes et les a ordonné de se rendre pour éviter le massacre car tous les camps militaires convergeaient vers Koudougou. Mais c’était sans compter avec les criminels de la trempe de Blaise et Diendéré. Non seulement le lieutenant Kéré Daniel, les aspirants Sanou, Sakandé et bien d’autres ont été tués et enterrés à la hâte entre Koudougou et Tiogo-mossi, mais ils ont fouillé toutes les maisons à Koudougou comme à Réo. Ce que les gens ignorent aussi, c’est que le premier tir est parti à 6h00 du matin a Koudougou et lorsque les gens de Pô sont rentré au BIA, ils n’y ont trouvé personne ! Pas un seul militaire ni matériel : Le Lion s’était déplacé avec ses hommes et tout le matériel pendant la nuit. Il s’était replié dans la brousse vers Réo et attendait la nuit pour fondre sur les crimiels venus massacrer à Koudougou. Pris de panique, les soldats venus de Pô et leurs officiers courraient partout et violentaient la population. Les anciens et leaders de Koudougou ont négocié avec lui et il a finit par accepter d’arrêter les hostilités, mais les criminels Blaise et Diendéré eux, ont trahi les anciens de Koudougou car après avoir accepté, ils ont attrappé et tué plein de soldats du BIA. Et comme d’habitude, le Poltron Diendéré n’y était pas en personne et il donnait des ordres depuis Ouaga. Il y avait là-bas d’autres braves officiers dont certains ont aussi été tués plus tard car craints par ces 2 criminels patentés. Il s’agit de Gaspar SOMÉ surtout mais il y avait aussi Alain BONKIAN qui y était comme un certain GNISSI et Maiga (originaire de Seba je crois). Constatez avec moi : aucun mossi parmi eux et un seul est du Sahel sinon tous les autres sont de l’Ouest (Bonkian de Koumbia entre Houndé et BoBo), Gaspar de Diebougou, Gnissi de Pompoy (Bâlé) ! Il semble que ce dernier (Paix à son âme) se serait même révolté plus tard et s’est brouillé avec Diendéré auquel il a craché la vérité en lui disant qu’il refuse de faire un massacre !

    Suite à tout ceci, Diendéré et Blaise les pauvres criminels ont démantelé le BIA qu’il craignaient comme la mort. Ensuite ils ont dégagé Le Lion de l’armée. Par la suite Le Lion parti au Ghana, est revenu sous un prétexte fallacieux de reconciliation. Pendant ce théâtre, il a même dansé avec Chantal COMPAORÉ et croyait naivement en la sincérité de Blaise et Diendéré. Voulant aller à Dédougou le lendemain de ce bal fallacieux pour voir ses hommes, il a fait un grave accident sur la route en brousse mais est sorti indemne. Blaise et Diendéré se sont moqués de lui et l’ont spolié de tout !! Que voulez-vous qu’il fasse ? Vous oubliez l’histoire ! Rappelez-vous que c’est ce même Lion qui a prit la brousse pour que le Gouvernement de JBO libère Sankara et Blaise ! Il était en son temps à Bobo-Dioulasso comme commandant de la CIA (Compagnie d’Intervention Aéroportée) devenue plus tard BIA et ramenée à Koudougou.

    Calmez-vous, soyez moins injurieux et nous allons vous enseigner l’histoire de votre propre pays !!!

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 24 juin 2016 à 07:49, par MOREBALLA En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    La malhonnêteté politique reprend de service. Monsieur Simon, on voyait venir, hier seulement les louanges aux koglwéogo étaient à la dimension du culte de la personnalité qui étaient accordées à Blaise COMPAORE, et ça dans la dynamique qu’on était aux portes des élections municipales. Monsieur Simon sans oser porter à votre sublime rang de cacique d’hier et maintenant, j’ose dire et affirmer que vous êtes resté un fin malhonnête politique doublé de la caquette d’un homme sans parole donné. Venons-en aux faits. Monsieur le super Ministre, faites un appel aux braqueurs et autres voleurs de déposer les armes et d’arrêter de voler sinon Simon va tous les traduire en JUSTICE. Si l’homme politique est un éternel inconstant politique et un actif en état de veille permanent où toutes les paroles et armes sont permis pour sa cause, j’ai surtout peur des acteurs politiques des affranchis politiques du système COMPAORE. Je les nommais hier les repus du système COMPAORE, aujourd’hui je les nomme les renégats affranchis du système poste insurrectionnel.

  • Le 24 juin 2016 à 07:58, par le sage En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    il est facile de critiquer koglwéogo quand on connaît nos campagnes le temps d’un voyage dans un car et qu’on a eu la chance de ne pas tomber sur des braqueurs, moi je les juge aux résultats et ils en ont eus les meilleurs. je comprends, beaucoup se sentent ménacés quant à leur raison d’être, c’est ce qui justifie les spéculations sur les futures intentions des braves d’aujourd’hui, nos sauveurs. mais je crois qu’il n’y a pas plus patriotes que les koglwéogo parmi leurs détracteurs parce que eux, risquent leur vie pour la paix et la quiétude des honnêtes citoyens, certains ont choisi le clavier pour, selon eux, sauver le pays du danger. je sais qu’ils ne sont pas sans reproche ces koglwéogo, mais, même les spécialistes ne le sont pas, c’est pourquoi je propose qu’on les encadre et les forme pour nous épargner les calculs politiques. c’est un point de vue.

  • Le 24 juin 2016 à 07:59, par Yako En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    "Le phénomène koglweogo"est la résultante d’une transition "alternance"mal négociée.L’on se sait aujd avec certitude non seulement Blaise n’allait pas être candidat en 2015 mieux il entendait passer le témoin à une autre génération moins compromise c.à.d tous sauf sa génération 1982/1983.Comment y parvenir ?seule l’article 37 lui permettait d’avoir le temps et la stratégie indispensable pour mettre hors-jeu cette génération RSS et compagnie.Contrairement à ce qui est murmuré jamais la dévolution successorale en la personne de François n’a jamais effleurer sa tête.Conclusion:L’histoire semble lui donné raison.En effe,à y voir de près derrière les kolgweogo il ya ce calcul conservatoire du mpp "au cas où"si l’on sait la division qui mine l’armée sur laquelle les RSS ne peuvent compter pire ils la soupçonnent.Alors les koglweogo serait-ils l’arrière garde mpp aux cas ou ?L’avenir nous le dira.

  • Le 24 juin 2016 à 08:00, par Yako En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    "Le phénomène koglweogo"est la résultante d’une transition "alternance"mal négociée.L’on se sait aujd avec certitude non seulement Blaise n’allait pas être candidat en 2015 mieux il entendait passer le témoin à une autre génération moins compromise c.à.d tous sauf sa génération 1982/1983.Comment y parvenir ?seule l’article 37 lui permettait d’avoir le temps et la stratégie indispensable pour mettre hors-jeu cette génération RSS et compagnie.Contrairement à ce qui est murmuré jamais la dévolution successorale en la personne de François n’a jamais effleurer sa tête.Conclusion:L’histoire semble lui donné raison.En effe,à y voir de près derrière les kolgweogo il ya ce calcul conservatoire du mpp "au cas où"si l’on sait la division qui mine l’armée sur laquelle les RSS ne peuvent compter pire ils la soupçonnent.Alors les koglweogo serait-ils l’arrière garde mpp aux cas ou ?L’avenir nous le dira.

  • Le 24 juin 2016 à 08:01, par wonou En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    A l’attention de l’internaute 8. Vous auriez dû ajouter que les dozos vont ce travail sans s’opposer à l’autorité de l’Etat, sans séquestrer les délinquants, sans les torturer, sans leur imposer des amendes à leurs propre profit. Être dozo c’est non seulement un savoir-faire mais c’est surtout un savoir-être ancrés dans la culture des populations de l’ouest du Burkina Faso. C’est le courage et la probité. Que l’on cesse de dire que les kolgweogos c’est comme les dozos, c’est une comparaison insultante pour ces derniers. Jamais dans les rangs des dozos vous ne trouverez un délinquant converti. Autre chose. J’ai été outré que les kolgweogos disent à Kombissiri lors de leur rencontre qu’ils avaient rencontré Rock Marc Christian Kaboré pendant sa campagne qui leur aurait promis la reconnaisse officielle pour leur appui s’il est élu. Le président doit réagir pour situer les citoyens car les kolgweogos veulent faire comprendre qu’il y a eu un deal et que leur défi de l’autorité de l’Etat s’explique par le refus d’une des parties d’honorer sa parole. C’est urgent et grave d’autant plus que des hommes politiques commencent à avoir des accointances avec ces organisations d’auto-défense.

  • Le 24 juin 2016 à 08:02 En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Le gouvernement civil est à l’épreuve dans cette affaire de Koglowégo. Est-ce que les civiles sont capables de gouverner ce pays ? Il va falloir le montrer. Je ne crois pas qu’on puisse défier un gouvernement militaire de la sorte. Les civiles ont montré que leur seule préoccupation dans ce pays, c’est l’électorat. Ils ont vidé la MACO et blanchit tout le monde à cause des voix. Les koglowéogo ne sont qu’un produit de la compromission pour le pouvoir. Pour ma part, c’est une erreur de voter des lois pour écarter définitivement l’armée du pouvoir parce que, je vous le dis et vous aller le vérifier, les civiles ne peuvent pas gouverner à l’heure actuelle. Blaise a faillit, mais il faut de jeunes officier pour débroussailler ce pays avant que les civiles ne gouvernent. Web master, SVP

  • Le 24 juin 2016 à 08:03, par brindesagesse En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    de toutes les interventions si je ne m’abuse, personne n’a parlé de comment faire pour sortir de cette situation.
    depuis le depart du BLAISO NATIONAL tous les burkinabés sont devenus spécialistes en ci ou en ca un peu comme RFI qui regorge d’une multitude de spécialistes pour chaque événements.

    1)un groupe de personne armés s’auto proclame protecteur de la population avec le consentement de la même population il vous suffit juste d’organiser un referendum pour que chaque membres de la population vote POUR OU CONTRE le maintien de ce groupe

    2) Si la population vote NON, on ne prend pas de gants on dissout par tout les moyens possible ce groupe je dis bien par tout les moyens

    3) si la population dans sa grande majorité vote OUI on maintient ce groupe mais on le recadre on les formes et on établit des règles (même si elle seront rédigées en langues locales) POUR QUE LE GROUPE SACHE COMMENT FONCTIONNER EN ADEPQUATION AVEC LES REGLES DE LETAT SOUVERAINS QUE NOUS SOMMES.

    4) MERCI DE CRITIQUER OBJECTIVEMENT CE QUE JE DIS AU LIEU DE SORTIR VOS GRIFFES ET LACERER MES PROPOS SANS PRENDRE LA PEINE DE LES ANALYSER

  • Le 24 juin 2016 à 08:05, par ka En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Merci Steph 8, de nous apporter cette nouvelle des DOZOS qui sont un exemple a calqué aux autres groupes économiques des Kolg-Wéogo qui n’ont pas été formé de père en fils avec sagesse et discipline. Kolq-Wéogo oui, mais au modèle de DOZOS et ceux de Mané mieux formé, mieux discipliné, et qui arrêtent les malfrats avec surprise sans violence et les remettent aux autorités volontairement sans demandé des comptes.

  • Le 24 juin 2016 à 08:18, par le bon sens En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Simon a joué avec le feux on l’avait pourtant prévenu

  • Le 24 juin 2016 à 08:22, par demain En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    bonjour je pense qu’il faut recadrer le débat pour une vue objective. je ne suis pas militant du MPP et non plus supporter de Simon. Alors je demande à mes frères de faire des propositions concrètes allant dans le cadre du renforcement du système sécuritaire au pays des hommes intègres. Par exemple un militaire aguerri dans ce domaine pour appuyer Simon. Ou bien trouver d’autres moyens pour travailler former et encadre les koglwéogos tout en les tenant à l’œil.

  • Le 24 juin 2016 à 08:27, par Yamba Zoungrana En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Tous ceux qui sont contre les koglwéogo sont les collaborateurs direct ou indirect des bandits de grands chemins (coupeurs de routes) et voyant déjà leurs intérèts mis en jeux ils n’hésitent pas à banir les actes combien louables de nos braves villageois qui ne visent rien d’autres que la sécurisation de leurs biens. Les koglwéogo n’auront pas de raison d’exister si l’Etat venait au secours de nos pauvres paysants en sécurisant tout le pays 24h/24 et à tous les niveaux. je vous avoue que la disparition des koglwéogo favorisera la monté en puissance du grand banditisme dans notre pays et ça sera catastrofique.

  • Le 24 juin 2016 à 08:27, par KAFANDO Bila En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Penser que ceux qui sont contre le koglwéogo sont des voleurs , c’est absurde ! Au sein des Koglwéogo ,il existe des voleurs au col blanc ! Je désapprouve les méthodes inhumaines, les morts d’hommes. Attendons ! Ce sont les bavures et exactions mal gérées qui feront disparaître ces groupes.

  • Le 24 juin 2016 à 08:28, par Minnayi En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Cet article est très révélateur de l’impasse dans laquelle le gouvernement se trouve actuellement. Au début, tout le monde a averti le super MATDSI mais il n’a cru qu’à ses déclarations populistes dans la seule intention de se faire des électeurs aux municipales. Comme les élections sont terminées, il pense maintenant revenir à la raison. Je l’ai déjà dans ce forum (le jour de l’annonce de ces mesures dites "fortes" à l’encontre des koglweogo) et je répète, je crains que ce ne soit trop tard pour appliquer ces mesures. Le Gouvernement rame d’ailleurs à contre courant puisque le même Simon a déjà dit "vives les koglweogo qui respectent la loi" tout en sachant qu’aucun d’entre ne respecte la loi. Bref, je pense le vert est déjà dans le fruit et donc difficile de l’extraire. Et en tous les cas, les autorités doivent assumer.

  • Le 24 juin 2016 à 08:38, par kïkïrga En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Le lion, pardon nous ne sommes pas dans les années 1986 les années de la barbarie où tu faisait brûler les moustaches des gens, ou en encore faire tuer un simple voleur qui a tenté d’enlever le porte-monnaie de quelqu’un l’ors de la fête d’un 8 mars à Koudougou, et tu as ordonné aux femmes de le tabasser parce que c’est le jour de leur fête et ce m. à osé voler. les femmes en fil indienne à chacune donné une gifle au pauvre type et ensuite il a été piétiné par les militaires avec leurs rongeasses et trimballé ensuite dans la cours du haut commissaire et fusié sous les yeux des gens et les femmes chacune a attrapé sa tête crier et elles ont regretté de l’avoir touché croyant que ça allait se limiter aux gifles. ce jour cette barbarie à gâché la fête des femmes. Maintenant on est en démocratie et il a bel et bien des tructures pour çà. Quand blaise était au pouvoir Est-ce que tu osais te comporter de la sorte. On dit que quand le chat n’est pas là, les souris dansent. Ses RSP allaient casser tes rotules tu allais comprendre que depuis ton jeune âge si tu n’a pas pu faire quelque chose de sage pour qu’on garde ton bon souvenir, c’est pas maintenant que tu dois te comporter de la sorte pour créer un rébellion. Ce rébellion si tu es homme tu devrais le créer pour affronter blaise. Si tu es fort tu part aider les maliens à affronter les djihadistes. Mon cher gouvernement, SVP ! envoyez le lion et ses koglewéogo au mali pour libérer les maliens et là toi le lion on saura que c’est toi qui es invisible et fort. Lâche que tu es, tu devrais rester défendre les kéré et ky Bertoua que tu as fui laisser on les a tué. C’est les âmes des innocents que tu as tué et fait tuer à Koudougou qui te hantent comme çà. Si j’étais à ta place, j’aurais depuis longtemps me suicidé au lieu de vivre avec cette honte. Tu dis que tu es fort, si jamais un djiadiste rentre au burkina ici encore, toi et ton troupe de rebelles, honte à vous éternellement. soit un vieux sage ou tu fonce au mali stp. mes chers villageois, si ça chauffe il va fuir vous laisser comme il a fui laisser son camp. Imaginez tout un camps n’en parlons de vos bougdanduilles.

  • Le 24 juin 2016 à 09:00, par Ablo En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    A TOUS CEUX QUI N’AIMENT PAS LES KOGLEWEOGO, Pardon, pardon, pardon, pardon. je suis d’une région où l’insécurité était grandissante où on ne pouvait pas faire deux mois sans que des bandits n’assassinent quelqu’un à son domicile où sur la voie. Mais grâce aux koglewéogo, la quiétude est revenue, de nos jours même si tu laisses ta moto au marcher le lendemain tu repars trouver ça au même endroit ou tu te rends compte qu’on l’a remise à ces derniers ou aux FDS. j’en ai fais le constat moi même. DE GRACE, ENCADREZ- LES ET NE CHERCHEZ PAS A LES SUPPRIMER. SINON, NOS PARENTS EN PROVINCE, EN SOUFFRIRONT. Parlant des sévices corporelles et les ports d’arme des KWGO, quelqu’un a parlé de TEXAS, bien sur c’est parce que là-bas les fameux ’’ droits de l’homme’’ ont gâter les gents que chacun a une arme et bonjour le désordre. je suis pas musulman mais pourquoi chez eux on parlait de ’’sharia’’ ? Etat de droit, Etat de droit est-ce les bandits de grands chemins se disent qu’ils sont dans un Etat de droit ? SUIVEZ UN PEU LE FILM 24H CHRONO, VOUS ALLEZ VOIR COMMENT DES FOIS L’ACTEUR ’’JACQUES BAUER’’ MET D COTE LES LOIS POUR SAUVER UN GRAND MONDE, EN SÉVISSANT UN TERRORISTE. de grâce, de grâce. Salu à tous !

  • Le 24 juin 2016 à 09:07 En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    soutient au koglweogo. vous avez le soutient du peuple.

  • Le 24 juin 2016 à 09:29 En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Monsieur le Président Rock Kaboré, on veut la république, un point, un trait. C’est pour ça que le peule vous a élu. Sinon, chaque région créera son groupe d’auto défense et vous n’allez pas vous trouver dans les appellations. C’est quoi ce bordel de kolgwéogo. Pourquoi les VADS travaillent en bonne intelligence avec la police et eux ne veulent pas. Ils traitent les FDS de tous les péchés, eux-mêmes sont-ils descendus du ciel ? Monsieur le Président Kaboré, si l’Etat n’est plus le dernier recourt du citoyen, étant donné que vous ne pouvez rien contre les kolgwéogo, que devons-nous faire ???????????????????????????????????????????????????????

  • Le 24 juin 2016 à 09:30, par bouin En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    au 55 ! on parle de suppression lorsqu’on a installé. C’est pas l’état qui a installé les koglowéogo. Il ne peut que les empêcher, ou encore les mettre en garde de ne être tortuaires parce que force reste à la loi. Ils peuvent torturer sinon même tuer un innocent par erreur. De grâce, que le vieux cdr lion aussi quitte dans çà. Il est démodé.

  • Le 24 juin 2016 à 10:05, par FASOPANGA En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Le jour où les koglweogo auront des kalaches et pick up, les forces de l’ordre devront se plier devant eux ! Soit on les soumet à la loi tout de suite en leur donnant un ultimatum ( je suis sûre que certains vont se soumettre à l’autorité de l’Etat), soit on se prépare à entrer dans un pays régit par 2 constitutions et 2 pouvoirs !

  • Le 24 juin 2016 à 10:05, par moiaussi En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    On n’a pas dit qu’on n’aime pas les koglowéogo, c’est leur façon de se comparer à ceux que l’état à confié la sécurité, et ils font ce que ces derniers même ne font pas aux voleurs. aaaaa jusqu’à pendre ou suspendre des voleurs mêmes en l’envers ? On aime les koglowéogo, se sont nos frères, ils font un travail au risque même de leur vie, mais qu’ils sachent que même la tige bien arrogée par la pluie ne doit pas se comparer au bois. S’ils résistent aux décisions du ministre de la sécurité s’est qu’ils sont hors la lois ils désobéissent l’autorité. C’est pas bon. Comment vous voulez que nos autorités puissent être écouté et respecté à l’extérieur . De grâce, suivont les règles de la république. Donc bientôt ils vont créer leurs hôpitaux et autres structures et vont dire que les structures de l’état ne font pas bien leur travail, et ils vont demander de diviser le pays en deux comme au soudan. Que l’esprit de dieu entre dans leurs cœurs ils qu’ils suivent les instruction de simon au bénéfice de tous. Je vous remercie. Chers koglowéogo, n’écoutez pas ceux qui vous pousse vers un avenir sombre. modérez votre façon de faire et vous serez applaudit.

  • Le 24 juin 2016 à 10:10, par BB En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    La conclusion du journaliste est très bonne. Mais la plupart des internautes ne font que des fuites en avant. Il y a du concret dans ce que les KOGLWEOGO disent, et il est mieux que les internautes de bonne foi apportent une réponse concrétè pour aider à décanter la situation pour le bonheur de tous. Les KOGLWEOGO vivent quotidiennement des exactions des délinquants. Ils se demandent comment faire face aux phénomènes des razzias. En tout cas, ça ne sera pas en affrontant des gens armés les mains nues. Ca sera suicidaire. Mettez vous en tête que les KOGLWEOGO sont des gens comme vous, ont besoin de goutter à la belle vie comme vous, ont besoin de vivre tout simplement comme vous. Aider les SVP au lieu de passer tout le temps à les vilipender. Je suis certain que la plupart des gens qui critiquent les KOGLWEOGO sans management sont des gens sans racine familiale en campagne. Ça c’est sûr.

  • Le 24 juin 2016 à 10:23, par bod.d En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    A la recherche d’un médiateur à même de concilier les deux parties. Car FS et Koglwéogo doivent se compléter pour sauver ce beau pays. Ns avons tous failli en abandonnant ce pays pendant des années durant aux braqueurs.

  • Le 24 juin 2016 à 10:28, par koikoikoi En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    kôrô yambyélé, le lion est bien instruit pour se jeter dans çà, on n’a pas besoin de tout ce que vous racontez comme parcours du lion pour savoir qu’il est fort. Vu son âge, c’est sa sagesse qui pouvait qu’on le qualifie d’un grand serviteur du burkina. C’est pas à ses derniers moments qu’il doit mettre l’huile au feu contre notre pays. Il devait se comporter de la sorte pour derranger son ennemi blaise quand il était au pouvoir. Disons la vérité. Moi même j’ai été formé par le lion (formation militaire) et je le connais. Il faut lui dire de se respecter par ce qu’il n’est pas à l’étranger. Nous sommes ses parents.

  • Le 24 juin 2016 à 10:29, par pam En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Des structures similaires au koglweogo existent au Ghana et au Nigeria. Il serait sage pour nos autorités d’aller s’imprégner de leurs expériences. Sinon, tout le monde sait que le kogleweogo est un couteau à double tranchant.

  • Le 24 juin 2016 à 10:29, par verité En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    merci au koro yamyelé (numéro 40)pour cette belle expo.c’est tout a fait bénéfique de connaitre l’histoire car en parcourant ses commentaires on a l’impression que beaucoup raconte se qui les vient a l’esprit.pour ce qui est des koglweogo que monsieur le ministre sache qu’il est le seul responsable de ce qui arrive présentement.

  • Le 24 juin 2016 à 10:31, par BEOGGNINGA En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Cela ne fait pas bien pour le Burkina de se retrouver avec des associations hors la loi qui ne respectent pas les injonctions des autorités. Mais encore faut - il que les autorités ne se contentent pas de mesures à la limite bureaucratiques qui ne proposent rien de concret pour la sécurité de la population surtout en milieu rural. Faites un tour aussi dans les villages, dans les zones rurales et discutez avec les populations pour savoir ce qu’elles pensent des koglweogo et ce qu’elles proposent pour la suite, vous verrez qu’elles savent des choses et qu’elles savent où se trouvent leurs intérêts, elles vous feront des propositions concrètes.
    Qu’est ce que l’Etat propose concrètement pour lutter contre l’insécurité dans les zones rurales afin d’enlever aux koglweogo leurs arguments, il faut des mesures concrètes et des explications en termes simples aux populations.
    Quant au cas du lion, en tant qu’ancien militaire et surtout officier de notre armée il devrait se mettre en marge de ces koglweogo pour éviter les mélanges de genres, les récupérations et surtout ne pas troubler davantage la situation. POUR OU CONTRE LES KOGLWEOGO, Là n’est pas la question, LA VRAIE QUESTION C’EST COMMENT FAIRE POURQUE LES POPULATIONS RURALES NE SOIENT PAS DEPLUMEES TOUT LE TEMPS DES FRUITS DE LEUR LABEUR.

  • Le 24 juin 2016 à 10:36 En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    par le VISA tous ceux ki sont contre les kogleweogos sont des voleurs.Allez vous en on s,en foue de vous

  • Le 24 juin 2016 à 10:38, par Bouisida En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    La vérité toujours la vérité.Merci à TIENFO internaute 23 pour sa solution magique. Que SIMON prenne son temps pour écouter tout le monde concernant les questions de sécurité pour ne plus prêter le flanc à ses détracteurs. Une large concertation est toujours nécessaire dans le cas express des KOGLWEOGO.Ceux qui les combattent n’ont jamais été victimes d’attaques des délinquants. Les koglweogo sont une réponse à la croissance de la criminalité dans notre pays où l’ETAT à lui seul ne peut assurer la sécurité des hommes et des biens. Les KOGLWEOGO doivent être encadrés pour être plus efficace sur le terrain. Qu’ils comprennent que nous sommes dans un ETAT de droit qui est régi par des textes et des lois et ce qui fait de nous citoyens de cette nation c’est le respect et l’obéissance à ses textes et lois. Les koglweogo ont joué un rôle par le passé et ils sont toujours incontournables dans la lutte contre le grand banditisme au BF. Mais qu’ils fassent attention pour ne pas emboiter les pas des CDR sous la révolution car ils verront le peuple face eux.

  • Le 24 juin 2016 à 10:42, par sidsomde En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Kôrô Yâmyelle , tous mes respects vous avez parlé !! ils me semble que beaucoup d’internautes d’aujourd’hui sont des gamins, ils n’ont pas vécus ce que vous dites, qu’ils se calment s’ils ne connaissent pas LE LION !

    Quant à l’histoire Koglweogo les gens amplifient la chose et même la presse, les burkinabè sont en majorité des hommes de paix , vous ne vivrez pas ce que vous "prophétisez" comme désastre, koglweogo et SIMON ont le même but !

  • Le 24 juin 2016 à 10:43, par SIDSOBA En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Bonjour a tous,
    J’interviens sur ce forum pour évoquer deux points qui me semble important :
    1-/ Les groupes d’autodéfense ont été toujours aux cotés des populations pour lutter contre les delinquents sans bruit ni médiatisation de leurs actions. Mais personnellement, j’ai entendu parler des Koglwéogo lorsque notre Ministre de la sécurité a commencé a médiatiser leur ses groupes d’autodéfense. Erreur de comble, son directeur de cabinet est venu sur le plateau de la RTB animé une émission sur les groupes d’autodéfense en les défendant. Je me rappelle bien que le magistrat le Sieur Moriba TRAORE avait attiré l’attention du Directeur de cabinet du ministre en disant je cite "on peut ne pas aimer quelque chose mais l’histoire doit nous enseigner. Avec la bonne foi de feu Président T.I. N SANKARA (qu’il repose en paix), il y a eu des dérives des CDR,....". Ensuite il y a eu une tournée du ministre pour sensibiliser mais n’a jamais été ferme dans ses propos. D’où, cela à galvaniser les Koglwéogo. Ce jour là j’ai dis que cela va péter a la figure de nos dirigeants actuels. Quel que soit leur noble actions, les Koglwéogo ne doivent pas narguer nos FDS en sillonnant les territoires comme ils veulent et quand ils veulent. C’est ça qui est là maintenant d’après les frères ivoiriens.

    2-/ Après les élections municipales, le ministre dit que c’est fini " les gens vont savoir que l’Etat existe..." et il va au front contre les Koglwéogo, alors là il ne seront pas d’accord. Ces gens là ont été amadoués par les autorités et aujourd’hui on veut nuire ??? jamais il n’accepteront.

    Mon inquiétude : Soit il y aura un affrontement entre Kolgwéogo et FDS ce que je ne souhaite aucunement soit les Koglwéogo se retirent et les populations qui ont retrouvées la quiétude et la sécurité vont se rebeller contre les autorités. Dans tous les cas si la sagesse ne nous guide pas on sera dans la merde et on est déjà dans la merde.
    Fini de berner les populations.

    A bon entendeur salut !

  • Le 24 juin 2016 à 10:43, par togsida En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    au n° 61, il n’y a personne qui n’a pas un village, sache que même en ville on est pas en sécurité. Il ne passe pas un jour sans qu’on entende un crime, malgré les dozo de bobo, c’est pas une fille qu’on a égorgé en début de semaine ? je sais que tu es très jeune et pas murît en conscience. Est-ce tu peux imaginer les conséquences de ces groupes s’ils ne suivent pas les instructions de l’état ? sort circuler tard à ouaga même et tu saura que même à ouaga tu n’est pas en sécurité. Allons dans le bon sens.

  • Le 24 juin 2016 à 10:49 En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Les kolgweogo doivent respecter les lois de la republique et accepter de se soumettre à l’autorité.ce n’est pas existence de kolgweogo le probleme mais leur manière de faire.l’etat doit maintenir la pression pour qu’ils agissent selon les lois.

  • Le 24 juin 2016 à 10:58, par Tapsoba R(de H) En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Tout ce que je sais ,est que l élu du peuple ,son excellence RMCK ,risque d assumer la responsabilité des actes posés par les koglwéogo ,s il n est pas capable ,en tant que président de la République de faire respecter la constitution(les koglwéogo ne sont pas des citoyens à part de la République qu il faille caresser au sens du poils) comme son article 36 le stipule :
    - "Le Président du Faso est le Chef de l’Etat.
    Il veille au respect de la Constitution. Il fixe les grandes orientations de la politique de l’Etat.
    Il incarne et assure l’unité nationale.
    Il est garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire, de la permanence et de la
    continuité de l’Etat, du respect des accords et des traités."

    Or,que dit la constitution en son article 2 ?
    - "La protection de la vie, la sûreté et l’intégrité physique sont garanties."
    C est ainsi que tous les crimes commis sous le régime BC ont été imputés à ce dernier en tant que premier responsable du pays.Que Roch Kaboré arrête de vouloir satisfaire tout son entourage ,y compris Mr Simon Compaoré,son super ministre d Etat,en nommant un ministre (homme de tenue pourquoi pas ?) de la sécurité .
    - Pas sûr que les koglwéogo comprennent le sens même de l autorité de l Etat. Pour eux,l affaire se limite au MPP avec qui ,des accords secrets seraient noués avant les élections .

  • Le 24 juin 2016 à 11:00, par Savadogo En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Les Koglweogos sont des initiatives locales de sécurité. Dans le contexte locale d’insécurité qui est la nôtre, leurs contributions est salutaire au moment où les moyens de l’Etat sont limités à ce niveau. Voilà pourquoi les autorités les ont tolérés en tentant de les encadrer afin que leurs actions se fassent dans les limites des prescriptions (règles et normes) de l’Etat Burkinabé. Tant que cela est respecté, je ne vois pas de problème.
    Mais depuis un certain temps, le constat est que ces groupes se sont arrogé le droit et le pouvoir de défier ouvertement l’autorité de l’Etat et ses règles de vivre ensemble établies par tous et pour tous. Cela constitue un refus de se conformer aux règles et lois de la société, en gros à l’autorité de l’Etat. C’est une rébellion. Et toute rébellion dans ce contexte doit être combattue fermement avec tous les moyens de l’Etat. Il y va de la survie de notre nation commune qu’est le Burkina Faso. Les autorités doivent sortir de leur torpeur et des calculs politiques pour prendre à bras le corps le problème et affirmer fermement l’autorité de l’Etat.

  • Le 24 juin 2016 à 11:21, par sidnoma En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Internat 2 et 15 sachez que c’est un débat et dc ne faite pas étalage de votre bassesses et d’individus mal éduqué en insultant "le lion". Vous êtes probablement ds délinquants, bandits de grd chemin et assassins si non dans ce débats vous n’avez pas besoin d’insulter. N’Gao si le lion vous attrape vous sentirez l’odeur de la mort

  • Le 24 juin 2016 à 11:21 En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    SIMON DOIT DÉMISSIONNER, C’EST L’UNE DES SOLUTION. FAUT PAS QU’IL VA INSULTER LA CONSCIENCE DES BURKINABÉ. C’EST LUI QUI A FAIT, QUI FAIT DES KOLWEOGO CE QU’ILS SONT AUJOURD’HUI. CE TYPE M’ÉNERVE DE JOUR EN JOUR

  • Le 24 juin 2016 à 11:22, par BB En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Quand au grand frère Boukari le lion, j’avoue que j’ai un faible pour lui. C’est tout simplement le vrai prototype burkinabé. Intègre, il ne met aucun gant pour s’exprimer et le fait sans fioriture. J’aime bien sa façon de faire les choses mais je le trouve un peu solitaire et ne se lasse jamais de lutter. Il aurait pu s’accoquiner avec les RSS et bouffer tranquillement que personne n’aurait à dire, il a mené la lutte farouche pour bouter Blaise et sa clique dehors, mais non il repart en campagne pour mener la lutte de sensibilisation de ses compatriotes à la résistance et à la bravoure. Bravo Boukari le lion, que Dieu te protège !

  • Le 24 juin 2016 à 11:29, par Lionceau En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Internaute 40 Koro Yamyélé.
    J’apprécie votre tentative de nous enseigner ou de nous mystifier mais reconnaissez que vous faites exprès d’ignorer ce qui c’est passé à Koudougou en octobre 87.

    Dire que les officiers Somé, Bonkian et le sous officier Maiga sont des braves : c’est selon. Comme vous défendez si bien le lion, demandez lui ce qui aurait pu lui arriver si vos braves "Non-Mossi" Gaspard, Bonkian et Maiga l’avaient eu à Koudougou.

    Au sujet du fait qu’il n’y avait pas de mossi dans le commandement de l’expédition. Renseignez vous encore. Chercher à savoir qui était le commandant de l’expédition.

    Aussi, entre nous, vous dites que Blaise et Diendéré n’étaient pas là-bas, qui donc a tiré sur les suppliciés ?

    Enfin, comme vous êtes si bien informé sur le sujet, dites nous comment se fait-il que dans le commandement du BIA, le lion aie pu se sauver et Kéré son adjoint, sanou, oubda, et ki non ? Ne nous dites surtout pas que c’est le wak.

    SVP Kôrô, si vous voulez nous enseigner, donner nous bon enseignement.

  • Le 24 juin 2016 à 11:29, par yako En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    @koro Yamyele,arrete de raconter des balivernes.Je releve ici 2 points relevant de conte de "zabre daga" 1- jamais sous csp2 Blaise n’a ete arrete au point que le lionceau rentre en resistance pour les liberer (TS &BC)En fait tu parles du 17 mai selon ta version mais il ya les faits tels que je les ai vecus.2-Pourquoi l’adjudant SS (repose en paix)n’a jamais pardonne a votre lionceau sa trahison"en fait ils les a abandonne"a la 1ere heure.3-Demandez au lieutenant Etienne Zongo aide de camp du PF Sankara qui ne l’a quitte que vers 13h que vaut notre LION ?justement il a pris le risque de suivre l’homme au Ghana que de deceptions et qu’elle etait la conclusion du president Jerry J Rawlings sur les capacites reelles tant militaires que politiques de petit Boukary a organiser la resistance !!!Bref.Je suis temoin moi aussi (incorpore dans la CIA Bobo 79/86 Puis BIA oct 86 a nov 87) de l’histoire alors te laisser raconter des betises serait criminel.L’histoire c’est l’histoire elle doit obeir a la verite.Bien a toi.Fraternellement Yako

  • Le 24 juin 2016 à 11:41, par TUUK-SOMDE En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    No 54.soit objectif. Tous es plein de haine pour le lion et plein d’admiration pour Blaise et le rsp. Le lion a fui à koudougou et Blaise a tué des hommes désarmés qui se sont rendus. A ce titre c’est ton héro. Le RSP n’a jamais combattu autres personnes que des gens désarmés. Sa seule bravoure est de tuer des burkinabè civiles et miltaires désarmés. C’est une lacheté.La seule fois qu’il s’est mesuré à des hommes armés, c’était en septembre 2015 lors du coup d’Etat ?. Si tu es aussi héros que Blaise et son RSP, sort de l’anonymat et rencontre le lion rien qu’en débats à la télé.

  • Le 24 juin 2016 à 11:48, par ka En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    A mon compagnon de lutte et promo Körö Yamyélé, J’ai rarement partagé les analyses quelquefois tendancieuses des internautes qui parlent et ne savent pas ce qu’ils disent, mais de toi a moi, chapeau pour l’histoire du régiment de para à po sur le BIA de Koudougou et de son héros Boukari Kaboré dit le Lion dont il y a toujours des témoins qui vivent à Koudougou. Encore une fois je te tire le chapeau pour cette histoire qui reste un tableau noir dans les crimes commis par Blaise Compaoré et de son allié Diendéré Gilbert. J’avoue que je n’étais pas enclin à le revivre par ton intervention, surtout par rapport aux préjugés de certaines personnes vivantes et qui se cachent derrière un pouvoir truffé des mensonges. Toutes mes félicitations à toi mon ami pour cet enseignement de haute facture pour la jeunesse qui veut que rien ne soit plus comme avant. Alouna Traoré, le vieux Lion Boukari Kaboré, Toé fidèle, et notre ami Etienne Zongo, les fidèles des fidèles de notre cher Thom, doivent te lires avec les larmes aux yeux.

  • Le 24 juin 2016 à 11:48, par TUUK-SOMDE En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    No 54.soit objectif. Tous es plein de haine pour le lion et plein d’admiration pour Blaise et le rsp. Le lion a fui à koudougou et Blaise a tué des hommes désarmés qui se sont rendus. A ce titre c’est ton héro. Le RSP n’a jamais combattu autres personnes que des gens désarmés. Sa seule bravoure est de tuer des burkinabè civiles et miltaires désarmés. C’est une lacheté.La seule fois qu’il s’est mesuré à des hommes armés, c’était en septembre 2015 lors du coup d’Etat ?. Si tu es aussi héros que Blaise et son RSP, sort de l’anonymat et rencontre le lion rien qu’en débats à la télé.

  • Le 24 juin 2016 à 12:08, par le meme En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    quand un bandit tue un innocent on voit peu de commentaires.quand les kolgweogos font une gaffe toutes les expressions juridiques de l’Etat de droit sortent de nulle part.
    soit vous êtes de connivence avec les délinquants soit vous encourager les bandits à détenir une arme et tuer les innocents.soyons sérieux.avant de critiquer analyser d’abord les actes positifs posées par eux.certains parlent comme si les kolgweogos n’ont jamais attraper un délinquant.chacun s’assoit on est dans un état de droit .quel droit ?on vole des troupeaux entiers est c’est là votre état de droit ?on braque des pauvres citoyens et on les dépouille de tous les biens est ce là votre état de droit ?j’ai l’impression que les gens n’ont aucun lien avec les paysans.certes on a tous des parents paysans mais je pense que vous vous en fichez de leur misère. les faits sont là : n’avez vous pas remarquer que les braquages ont diminué ?soyons sérieux pour une fois dans notre vie.vous avez raison vous êtes nés à ouaga grandis à ouaga et travaillé à ouaga.vous n’avez aucune idée de la souffrance des campagnards.ce sont des burkinabes qui ont decidé de sauvegarder leur patrimoine et vous ne faites que les denigrer sans jamais apporter un soutien moral..chacun est là il faut les supprimer il faut les supprimer... gros gros français et les delinquants ?s’il faut supprimer ceux qui ont de bonnes innitiatives et les bandits ? il faut les soutenir ?soyons serieux mes freres

  • Le 24 juin 2016 à 12:15, par DG En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    je suis très déçu de l’état comment un voleur a le droit de tuer et voler et au retour la population n’a pas le droit de le toucher pour cela autant de Blaise vous avez pri les même mauvaise décision ensemble pour l’éducation et voilà k l’incivisme prend de l’ampleur dans le pays ; la drogue se vent comme des arachides ; les élèves frappent leurs enseignants je serai bref ; par contre quand Blaise au pouvoir a voulu vous neutralisez par tout les moyens vous vous êtes pas laisser faire jusqu’à ce k vous avez manipuler la population a saché Blaise pour vous ; pour k vous pussiez gouverner après en protégeant bien ; dieu sauve notre cher burkina

  • Le 24 juin 2016 à 12:22 En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    chers compatriotes,
    Arrêtons et réfléchissons, à vrai dire ce sont les calculs politiciennes qui ont donné du tonus aux kolgwéogo :
    -  Le président n’a pas été ferme quand, on l’a interviewé sur le Koglwéogo ;
    -  le président de l’assemblée s’est amusé en nommant Simon Compaoré Chef suprême des kolgwéogo ;
    -  Simon lui-même a cautionné les Kolgwéogo en disant qu’il fallait les encadrer simplement ;
    -  le premier ministre n’aborde que timidement la question ;
    -  Alidou Ouédraogo lui a expliqué le sens des kolgwéogo et leur origine en les caressant dans le sens des poils.
    En somme nous avons manqué de fermeté face à la dérive des kolgwéogo
    Avec ces réactions mitigées teintées de calculs politiques, que pensez-vous que les kolgwéogo vont faire face cette subite intransigeance du gouvernement ? C’est de jauger les forces en présence ! Dire non aux injonctions du gouvernement et voir ce qu’il va faire ! C’est ce que les kolwéogo sont en train de faire.
    La question qu’on peut se poser maintenant est la suivante : s’il est vrai que ce sont les calculs politiciens qui nous ont amenés dans cette situation, c’est que ces hommes politiques ont aussi réfléchi à une stratégie de sortie de crise. Alors, quelle est cette stratégie ?
    La situation est grave, car c’est ainsi que bookou aram, les anti-ceux-ci ou cela ont commencé. On défi l’autorité de l’état et l’état essaie de colmater les brèches pour que la situation ne se détériore pas en oubliant que c’est des tactiques qui ne marchent pas, la fermeté doit être de mise quand il s’agit de faire respecter l’autorité de l’état et la vrai. C’est en cela que réside aussi la différence entre le civil et le militaire. Le militaire vous dira toujours que les civils sont indisciplinés, laxiste et le civil dira que les militaires sont brutaux et très rigide.
    Je propose une dose de civil, une dose de militaire pour mettre fin aux dérives des kolgwégo, je ne dis pas de les supprimer car ils trouvent leur légitimité quelque part, mais il faut qu’ils vivent comme des gens civilisés, dans une république, respectant ses lois et soumis à l’autorité de l’état.

  • Le 24 juin 2016 à 12:27, par TUUK-SOMDE En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    n44. C’est pas l’histoire qui Donne raison à Blaise. C’est vous. C’est sous Blaise que les voleurs sont prospéré.

  • Le 24 juin 2016 à 12:29, par Solitaire En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    A tous ceux qui louent et reclament les koglweogo doivent retenir ceci : On ne prétend pas lutter contre un mal en devenant soit meme vecteur de ce mal, l’apparution de ces groupes en quelques temps seulement a causé combien de gaffes ?...Un pays ne peut se gerer si chacun au nom de je ne sai quoi, peut s’arroger le droit d’imposer, d’amander, de sequetrer, de tuer ;..., cela s’appelle de l’anarchie et de ma petite expérience, aucune société n’a prosporé dans ce modèle...Ceux qui croient avoir raison de soutenir ces anarchistes déguisés en defanseurs des populations seront seuls responsables de ce qui adviendra ; on est tous burkinabé, et quant il ya une ménace à la paix et à la tranquilité sociale, il est plus sage à mon avis de trouver des solutions idoines plutot que de créer les conditions d’une probable explosion de la société...L’expérience des autres Etats voivent nous servir d’exemple car nous ne sommes pas différents,si par la grace de Dieu nous nous sommes
    jusqu’à présent tirer d’affaire, nous devons avoir à l’esprit que dans ces en crise il ya aussi des hommes de Dieu et nous faisons aucunement l’exception...

  • Le 24 juin 2016 à 12:29, par Filspaysan En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Distraction et hypocrisie pures accompagnées de foutaises.
    L’Etat est le maitre penseur de ces troubles

  • Le 24 juin 2016 à 12:29, par ratamanegre En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Le Lion a oublié ce que sankara disait"un militaire sans formation politique est un criminel en puissance".Que serait alors un koglweogo avec kalach sans formation ? Un futur putschiste ? Un génocidaire ? Pour les former il aurait fallu qu’ils répondent quand on les appelle.si onne peut pas convoquer oublié entendre un koglweogo, je pense que personne ne pourra plus jamais être convoqué devant qui que ce soit.en ce moment vous comprendrez quon aux portes e ka guère civile.......

  • Le 24 juin 2016 à 12:33, par SOME En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Quant à l’intervenant n°2, et a toute cette clique qui trouve l’occasion de s’en prendre à Boukare dit le lion, inutile de venir nous faire de la diversion : on connait cette méthode bien huilée au Burkina. Cette question sera jugée et traitée en son temps. Nous savons quelle est la vraie nature de ce monsieur est devenu quelqu’un qui roule pour Blaise. Nous attendons les conditions favorables pour les amener a jour. On voit que la manipulation commence à fonctionner dans la tete de certains qui ne peuvent pas ou plus exactement ne veulent pas voir la réalité. Mais passées les premières salves des mercenaires attitrés, viennent les idées de personnes plus équilibrées et plus posées, plus objectives. La racine n°26 a bien vu la question. N’allons pas plus loin, pour paraphraser sankara.

    Mon cher ami Ka, non il n’est pas plausible que les kolweogo fassent le boulot dangereux à la place des gendarmes, soldats et autres. Pourquoi devraient –ils restés à boire les bières et même a draguer les femmes des kolweogo alors que ces derniers mettent leurs vies ne danger alors qu’eux ils sont payés pour cela : c’est leur profession non ? Chacun choisit sa profession avec les risques qui vont avec.
    L’épopée manding de nos ancêtres du Wassulu nous proclame :
    « Si tu ne peux organiser, diriger et défendre le pays de tes pères, fais appel aux hommes plus valeureux ;
    Si tu ne peux dire la vérité en tout lieu été en tout temps, fais appel aux hommes plus courageux ;
    Si tu ne peux être impartial, cède le trône aux hommes justes ;
    Si tu ne peux protéger le faible et braver l’ennemi, donne ton sabre de guerre aux femmes qui t’indiqueront le chemin de l’honneur…
     »
    C’était eux les dozos, les vrais, pas ces faux qui ont pris fait et cause pour un parti, contrairement à l’éthique des dozo. Les vrais dozo ont été les premiers a edicter la charte des droits de l’homme que l’ONU a copiée dans l’esprit et dans la lettre sans oser le reconnaitre.
    SOME

  • Le 24 juin 2016 à 12:47, par verityclear En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Bonjour, je suis d’avis avec tous les internautes qui restituent l’histoire vrai du lion et du BF, car je sais que Koro yamyedé a tord et raconte du faux. Merci à tout ceux qui ont vecu la tuerir de koudougou à nous faire profiter de leurs connaissances sur cette partie de l’histoire noire du Burkina faso. J’ai toujours dit que le lion était un espion à la solde du pouvoir de Blaise et est actuellement à la solde des RSS qui font d’ailleurs la meme politique que Blaise.
    Liberez Guingueré
    Liberez Bassolet
    Vive le Burkina Faso

  • Le 24 juin 2016 à 13:05, par caoot En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Le Tribunal Pénal International vous attends tous à la Haye, avec votre chef Simon Compaore

  • Le 24 juin 2016 à 13:07, par le bon citoyen En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    L’autorité de l’Etat ne se négocie pas une seconde.L’Etat doit s’assumer pleinement et entièrement sans équivoque.
    Tout ça ce sont les conséquences d’une tergiversation d’un gouvernement en quête de marque.

  • Le 24 juin 2016 à 13:09 En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    chers compatriotes,
    Arrêtons et réfléchissons, à vrai dire ce sont les calculs politiciennes qui ont donné du tonus aux kolgwéogo :
    -  Le président n’a pas été ferme quand, on l’a interviewé sur le Koglwéogo ;
    -  le président de l’assemblée s’est amusé en nommant Simon Compaoré Chef suprême des kolgwéogo ;
    -  Simon lui-même a cautionné les Kolgwéogo en disant qu’il fallait les encadrer simplement ;
    -  le premier ministre n’aborde que timidement la question ;
    -  Alidou Ouédraogo lui a expliqué le sens des kolgwéogo et leur origine en les caressant dans le sens des poils.
    En somme nous avons manqué de fermeté face à la dérive des kolgwéogo
    Avec ces réactions mitigées teintées de calculs politiques, que pensez-vous que les kolgwéogo vont faire face cette subite intransigeance du gouvernement ? C’est de jauger les forces en présence ! Dire non aux injonctions du gouvernement et voir ce qu’il va faire ! C’est ce que les kolwéogo sont en train de faire.
    La question qu’on peut se poser maintenant est la suivante : s’il est vrai que ce sont les calculs politiciens qui nous ont amenés dans cette situation, c’est que ces hommes politiques ont aussi réfléchi à une stratégie de sortie de crise. Alors, quelle est cette stratégie ?
    La situation est grave, car c’est ainsi que bookou aram, les anti-ceux-ci ou cela ont commencé. On défi l’autorité de l’état et l’état essaie de colmater les brèches pour que la situation ne se détériore pas en oubliant que c’est des tactiques qui ne marchent pas, la fermeté doit être de mise quand il s’agit de faire respecter l’autorité de l’état et la vrai. C’est en cela que réside aussi la différence entre le civil et le militaire. Le militaire vous dira toujours que les civils sont indisciplinés, laxiste et le civil dira que les militaires sont brutaux et très rigide.
    Je propose une dose de civil, une dose de militaire pour mettre fin aux dérives des kolgwégo, je ne dis pas de les supprimer car ils trouvent leur légitimité quelque part, mais il faut qu’ils vivent comme des gens civilisés, dans une république, respectant ses lois et soumis à l’autorité de l’état.

  • Le 24 juin 2016 à 13:25 En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Internaute 41 "BRINDESAGESSE". Il faut relire l’internaute 23 "TIENFO" qui a fait une proposition de sortie de crise.

  • Le 24 juin 2016 à 13:56, par vital En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    - Les échos qui parviennent de Kombissiri à l’issue de la rencontre des Koglwéogo dénotent d’une outrance à l’autorité. Aucun individu, ou groupe ou association ne doit pas mettre en péril l’autorité de l’état.
    - Les Koglwéogo ont peut être raison mais la manière de poser leur problème est tellement maladroite si bien que je me pose la question à savoir s’il n’y a pas un non dit derrière les causes nobles qu’ils prétendent défendre.
    - A l’image des agents de santé communautaire, on peut les organiser. Cela passera par un recrutement, une formation avec un système de motivation bien établi , l’obtention d’un document ou d’un permis d’exercer cette fonction. La question des armes doit être revue et elle doit etre conforme à la réglementation en vigueur.
    - Courage à notre Ministre Simon
    - Chaque partie doit mettre l’eau dans son vin.Le Burkina a ratifié des conventions internationales et le respect de ces conventions conditionnent les financements extérieurs dont la survie de notre pays en dépens

  • Le 24 juin 2016 à 13:56, par Bien N’zièlia En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Avant tout propos, je demande pardon à tous. Après écoute des interventions dans les radios et la lecture des commentaires, je constate que la majorité des burkinabè y compris les autorités apprécie positivement l’intervention des groupes d’auto-défenses pour la sécurité de la population. Mais la pomme de discorde se trouve dans la procédure utilisée pour amener les mis en cause à avouer leurs forfaits. Conscient de cette faiblesse dans leur travail car ne repondant pas aux règles établies, les groupes ont demandé par la voix d’un de leur chef sur omega FM, l’accompagnement des forces de défense et de sécurité (FDS) par l’affectation des agents dans les groupes pour suivre leurs opérations et profiter les recadrer. A mon avis, cette solution est une reponse à nos inquiétudes. Non seulement elle établit une complicité entre FDS et groupe local de sécurité, mais aussi et surtout elle permet d’assurer le maintien de la sécurité selon les lois de la republique de façon efficace sans oublier que les risques de récupération politicienne ou djihadiste seront minimisés au regard des rapports qui seront faits par les agents de sécurité intégrés dans les groupes à leur hiérarchie.
    Aucune oeuvre humaine n’étant parfaite, je m’interroge sur la réaction de certain sur les manquements des groupes locaux de défense en rapport avec les assassinats, les viols, les humiliations, les spoliations de biens matériel et financier, les violences de toute sorte causées par les bandits presque tous les jours sur les voies, dans les rues des villes et villages et à domicile.

  • Le 24 juin 2016 à 13:59 En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    SALUT A TOUS LES INTERVENANTS !!!!! MOI PERSONNELEMENT JE NE SAIT PAS SI JE SUIS L’AFFAIRE KOGLWEGO !!!! MAI JE PENSE BIEN QUE JE SUIS POSONS NOUS UNE QUESTION "POURQUOI KOGLWEGO ?????" JAILAIS REPONDRE QUE KOGLWEGO EST NEE SUITE A CE QUE LES PAYSAN VIE COMME PROBLEME DE SECURITE ET NON EN PREVISION DE LEUR SECURITE COMME ON FAIT DANS LES BANQUES(DES POLICIERS) ; LES DOMICILE ET LES SERVICE DES PATRONS(VIGILE) ET MEME DANS LES KIOSQUE DE PMUB(LA GENDARMERIE NATIONNALE) ECT....... PARDON RESPETER UN PEU LES PAYSANS. JE DIRAIS AU INTERNAUD ET MEME SIMON SILS NE SONT PAS DES "DELINQUANTS" DE PROPOSER DES SOLUTIONS POUR SAUVER UN PEU CES PAYSAN DES DELINQUANT AU LIEU DE PARLER DAN LE VIDE !!! SI LE BANDITISTME DIMUNIE LES KOGLWEGO VONS DISPARESTRE D’EUX MEME !!!! DE GRACE

  • Le 24 juin 2016 à 14:12, par Pagnangde En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    "Rencontre Nationale des koglweoge le 22 juin a kombissiri"
    Quelle autorité administrative a donne l’autorisation pour cette manifestation ?
    Soyons logiques.
    Le Gouvernement attend quoi pour donner l’ordre d’anéantir au plus vite cette gangrène ?
    L’analphabète de Saidou Zongo, sait-il ce que veut dire droit de l’homme ?
    Portait-il des jolis habits comme cela avant de créer les koglweogo ? Il faut quelqu’un pour lui dire que si les forces de l’ordre n’arrivent pas assurer totalement la sécurité, c’est en partie au nom de la protection du droit a la vie , de l’homme. Sinon, il y a les moyens.

    CE QUI M’ÉNERVE MES FRÈRES, C’EST LE COMPORTEMENT DE boukary kabore. J’AVAIS DU RESPECT POUR CE MONSIEUR PRÉTENDU INTELLECTUEL MAIS....
    JE L’ATTENDAIS A ETRE LE CONSEILLER DE CES ANALPHABÈTES AFFAMES, MAIS CE QUI SORT DE LUI ME FAIT FUIR MA PROPRE PERSONNE.

    Je me rappelle qu’a Hounde, chaque fois qu’il y attaque a mains armées, les forces de l’ordre le trouvaient sur les lieux seul. Est-ce qu’il n’est pas un ancien chef de gang qui veut se reconvertir pour échapper aux koglweogo ?

    DONNER L’ORDRE FERME A LA POLICE ET A LA GENDARMERIE D’ARRÊTER CE TINTAMARRE.
    Saidou Zongo, le fameux Naaba qui vient de Kombissiri, Djianga, tous ces gens peuvent être mis au frais pour incitation a la violence, torture, extorsion, vol, meurtre et crime contre l’humanité en attendant.
    LE LION A DÉSHONORÉ MA CONSCIENCE.

  • Le 24 juin 2016 à 14:24, par ka En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Un individu qui dit vécu dans l’histoire ne peut être qu’un minable soldat sans grade qui ne connait rien au secret de la hiérarchie militaire, que de cirer les bottes de ses supérieurs au mess des officiers. Une fillette raté du RSP ne peut pas raconter l’histoire des crimes commis par ses supérieurs, que de ce que lui-même a commis par recommandation de ses supérieurs. Petit YAO ou qui sais-je, laisse raconté l’histoire du Burkina par ceux qui l’ont vécu à l’intérieur et à l’extérieur, ceux qui ont arpenté les couloirs de son pouvoir jusqu’à avoir des cheveux blancs et une retraite mérité : ‘’’Depuis le referendum de septembre 1958, même si Körö et moi s’apprêtaient pour le primaire ou le collège, nous étions conscients quand la grève historique du peuple voltaïque obligea Lamizanna a renoncer un gouvernement essentiellement composé des militaires. Malgré notre jeune âge de l’époque on a participé à l’adoption de notre constituions en 1978. Nous étions au cœur de l’état avec Saye Zerbo et son CMRPN dont les Körö Yamyélé commençaient a découvrir l’extérieur pour nous ramener, nous a l’intérieur, le potentiel pour l’avancer de la Haute-Volta. Malgré les multiples intempéries, le 7 Novembre 1982 nous devons tenir la tête de l’état pour que les institutions du CSP de Jean-Baptiste Ouédraogo s’organisent. Et rebelote le 17 mai 1987 de sérieuses contradictions au sein du CSP entraînèrent le coup d’état réactionnaire : ainsi furent arrêtés le capitaine Thomas Sankara premier ministre, le commandant Lingani et le capitaine Henri Zongo. Ce coup d’état est boudé par nous les cadres de l’état, et le peuple qui exprime sa désapprobation par les journées historiques des 20 et 21 Mai 1983. Le 4 août 1983, les ouvriers, élèves, étudiants, travailleurs du public et les éléments progressistes de l’armée rentrent dans une insurrection populaire pour dire non au régime anti- populaire de Jean-Baptiste Ouédraogo. Et comme c’était une habitude au pays des hommes des intègres, le 15 Octobre 1987 nous y voilà, nous les cadres, et racines des multiples partis politiques, étions obligés d’accompagnés un jeune capitaine sans formation politique, mais criminel en puissance, pour que le Burkina avance. Petit soldat ou fillette du RSP nommé Yao, que ça soit Körö ou moi, ou même Etienne Zongo que tu cites sans connaître vraiment, nous avons arpentés sans que tu sache qui est qui les couloirs du pouvoir, du CSP au CNR, en passant par le CDP que nous avons créé avec Yé B. en associant plusieurs partis politiques, et mettre par crainte un introverti à sa tête. Alors si Körö Yamyélé malgré son âge raconte ce qu’il sait, c’est plus rassurant qu’une vague histoire d’une fillette du RSP formé pour tuer, et qui ne peut en aucun cas connaitre le secret du pouvoir et ses couloirs. S’il fallait te raconter sur le net les pages idéologiques, et les principes d’action révolutionnaires du CNR, tu allais t’enterrer vivant avec ton soutien a un criminel. YAO, laisse la vérité éclatée, et qui tiendra au-dessus des magouilles et les mensonges, pour une jeunesse innocente qui veut un pays qui s’émerge, sans des crimes, sans l’impunité, sans la corruption a ciel ouvert, sans les ruses pour tuer son prochain, ou même ses propres parents pour le pouvoir. Un pays sans ses continuités et sa vraie histoire qui vont pour son peuple, ne peut évoluer, ou émerger. Ne perturbe pas les internautes qui ont des arguments solides pour faire avancer le Burkina. Ton soutien à Blaise Compaoré ne concerne qu’à toi seule. Je suis le premier admirateur de Blaise Compaoré pour le développement des 6 engagements du programme présidentiels de 1998 que j’ai participé a concrétisé parmi une bonne équipe, avec les objectifs de la révolution inachevée de Thom qui ont été réalisés, et qui continu de nos jours que nous voyons a travers le pays, mais chacun doit payer ses actes criminels selon la justice qui l’exige. Sans une justice équitable, il n’y a pas un pays de droit, et tout devienne du brouillon.

  • Le 24 juin 2016 à 14:31, par jAM TAN En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Pour moi, force doit rester à la loi, il ne faut pas badiner avec la sécurité du peuple. Certes les KOGLWEOGO ont fait un bon boulot depuis leur avènement mais je pense que ce n’est pas une raison de défier l’autorité de l’état..Dans quel pays au monde on a vu confier la sécurité du peuple à des analphabètes. Donc de grâce, respectez l’autorité de l’état. c’est encore plus déplorable quand un officier inférieur (pardon supérieur) se mêle dans cette danse incivique.j’ai nommé Boukary Kabore alias l’hyène pardon "le lion". Simon ne doit pas lésiner avec les moyens, on ne chasse pas un petit lièvre avec amusement et on ne tue pas un petit serpent en riant. Boukary avait rejoint la forêt (dixit Patrice GUESONGO, radio Burkina 1987) mais il est revenu mais je suis sûr qu’il repartira mais rien n’est moins sûr. Le défi est lancé à l’état et aucun citoyen n’a le droit de défier l’autorité de l’état.A bon entendeur , salut.

  • Le 24 juin 2016 à 14:39, par ka En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Je t’appelle YAO puisque tu ne mérite pas le nom de notre belle ville Yako.

  • Le 24 juin 2016 à 15:14, par Le Boss En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    AU Burkina Faso, les gens s’attardent plus sur ce qui ne devrait pas être une préoccupation. Aujourd’hui, la presse s’acharne sur le ministre de la sécurité intérieure à propos des Kogolwéogo. A la limite on se demande si elle ne l’incite pas à commettre la « bêtise » qui consisterait à décréter la dissolution de ces structures. Mais jusque-là, celui-ci semble comprendre ce langage mesquin et se conduit en grand responsable, en Homme d’état. Les Kogolwéogo sont confondus au peuple réel, celui qui vit de sa sueur comme nous l’ont appris nos ancêtres. Aucune ethnie ou groupe ethnique au Burkina Faso n’éduque sa descendance en enseignant le vol comme moyen de subsistance. Mais pourquoi s’acharner contre des structures qui ne font que combattre des pratiques ‘’importées’’ ? Si le vol n’est enseigné nulle part dans notre pays, comment le voleur peut-il avoir des droits ? Pourquoi la presse qui ne passe un seul jour sans évoquer ce sujet, ne se ressaisiraient pas en informant (j’ai envie de dire en éduquant) les populations que désormais au Burkina Faso, il est formellement interdit de voler et que quiconque s’hasarderait ne devrait point se plaindre du traitement dont il ferait l’objet de la part des kogolwéogo ? J’aurais même compris si cette presse demandait au ministre de solliciter une trêve (1à3 mois) auprès des Kogolwéogo afin qu’elle en profite pour sensibiliser les populations à l’abandon du vol ? Au cours de cette trêve, tout voleur appréhendé serait conduit tranquillement à la police. Comment voulez-vous que ces structures arrêtent d’amender les voleurs ? Avec quoi assureraient-elles leur très grande mobilité qui fait leur force ? Les membres de ces structures communiquent sans doute énormément au téléphone, allez-vous leur créer un groupe fermé d’utilisateur (GFU ou flotte) afin qu’ils communiquent gratuitement ? Tant que ces structures ne vont torturer et amender que des voleurs, elles auront le soutien et la bénédiction des populations à la base et ce sera tant pis pour ces gens qui ont institutionnalisé le vol, qui en vivent au point de croire que les autres doivent l’admettre. Un voleur n’a de droit que tortures et amendes. Un gouverneur de la région de l’Est disait : « les voleurs, les délinquants et les bandits doivent savoir qu’au nombre des risques de leur métier, il y a la mort » pour dire que tuer un voleur n’a rien de mauvais. Chers journalistes, employez-vous à faire comprendre aux habitants de ce pays que désormais, « l’art de vaincre sans avoir raison » ne marche plus. Vive les Burkinabè honnêtes, dignes et intègres. Que le reste s’exile et nous laisse vivre cette nouvelle ère qui caractérise le Burkina d’aujourd’hui. Que le gouvernement se préoccupe des autres problèmes qui empêchent le peuple de vivre convenablement. Vive le Kogolwéogo juste, vive le Burkina Faso.

  • Le 24 juin 2016 à 15:19, par rayacziri En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Les koglweogo viennent ainsi de degoupiller une bombe contre la paix au Burkina. En portant le lion a leur tete, lui qui reside a l’Ouest du pays ou les koglweogo ne sont pas autorises. Peut-t-il rester la-bas sans mettre sa structure en place ? S’il tente de le faire que va-t-il se passer avec les chefs coutumiers de la zone et les.dozos ?

  • Le 24 juin 2016 à 15:29, par Ino En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Nous sommes à une phase décisive de désobéissance de l’autorité par nos frères et vaillants Koglwéogo. Dites nous , quelle décision de l’autorité va dans le sens de restaurer la rupture de confiance entre les FDS et les juges avec nos citoyens ?je serai d’accord avec Simon s’il use de son pouvoir pour faire sanctionner la sécurité et justice corrompues. Rien de cela, on nous demande de se taire pendant que l’économie s’effondre du fait de l’insécurité. c’est eux qui ont chanté un peu partout qu’ils peuvent.Allons seulement dans cette incompétence de vos services de sécurité de jouer leur rôle régalien, rôle pour lequel ils sont payés. En conclusion ils(FDS et les Juges, Simon et sa suite politique) ne méritent pas leurs salaires. A bas les corrompus .

  • Le 24 juin 2016 à 15:47, par lecorbeau En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    "Un voleur ne peut pas être armé d’une kalachnikov et le ministre va demander aux Koglwéogo de le poursuivre les bras ballants." Voila qui est bien dit.Vous passez votre temps à défendre le droit des voleurs et vous voulez privez les honnêtes citoyens des leurs.Vous dites aux koglweogo de ne pas prélever des taxes chez les voleurs pendants que ces derniers ont le droit de cambrioler et voler le bien d’autrui.Les taxes imposé aux voleur s’appelle tout simplement "amendes" ou "dommage et intérêts". Et même dans la justice moderne cela existe.Si les bandit ont le droit de violenter les populations alors acceptons que les populations puissent les infliger le même traitement.Nous sommes pour la loi de Moise : "oeil pour oeil", "dent pour dent"

  • Le 24 juin 2016 à 16:14, par Lionceau En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Le corbeau 87
    c’est dans cette loi de Moise que tu vas te retrouver avec un BC et un RSP.

  • Le 24 juin 2016 à 16:27, par SAGA En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ? Internaute 45 , Parlez de ce que vs savez et sans regionalisme. on a étudié les dozo et on sait ce qu’il en est. On ne doit pas les comparer pour des raisons d’objet et de mode opératoire. Entre mysticisme, rites initiatiques et actions de bravoure simple et esprit d’ouverture, y a pas comparaison. Tout le monde n’est pas dozo dans les villages de l’Ouest, alors que tt le monde est koglwéogo ailleurs. N’insultez pas l’intelligence des gens avec votre aigreur et esprit partisan. C’est triste pour toi et tes semblables

    Internaute 45 , Parlez de ce que vs savez et sans regionalisme. on a étudié les dozo et on sait ce qu’il en est. On ne doit pas les comparer pour des raisons d’objet et de mode opératoire. Entre mysticisme, rites initiatiques et actions de bravoure simple et esprit d’ouverture, y a pas comparaison. Tout le monde n’est pas dozo dans les villages de l’Ouest, alors que tt le monde est koglwéogo ailleurs. N’insultez pas l’intelligence des gens avec votre aigreur et esprit partisan. C’est triste pour toi et tes semblables

  • Le 24 juin 2016 à 16:37, par SOME Zubada En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Internaute 2, ne tronque pas l’histoire. Tu as peux etre quelque chose contre Le Lion, mais sache que la mort, que dis-je les morts inutiles de nos vaillants soldats et frères en 1987 ne saurait etre mis sur le dos du Lion. Le Lion s’est retire et tout le monde le savait, il a demande a ses homes de ne pas combattre car c’est lui (Le Lion) qu’on (Blaise et Diendere) voulait. Les hommes du Lion n’ont pas combattu, ils se sont rendus et ont ete froidement et inutilement abattus. Quel gachis ?? Ceux qui ont fait ca sont encore la (Bonkian, Sibidou Ganmene, tous colonels majors). Gaspard etait aussi a la tete de ces tueurs, malheureusement, il n’avait pas compris qu’on l’utilisait pour ensuite le faire.
    Je ne soutiens pas LE LION dans sa nouvelle initiative avec les Kolgweogo, c’est tres maladroit et triste de sa part surtout qu’il etait a la conquete du pouvoir politique. Cependant, il n’est pas responsable des morts de Koudougou en 1987. Les responsables sont : Blaise Compaore, Diendere qui est le vrai donneur d’ordres et planificateur, et les executants cites plus haut. Renseigne-toi dans le milieu militaire, de nombreux temoins sont encore vivants et ils ne vivent que dans le regret de leurs actes.

  • Le 24 juin 2016 à 16:58, par ka En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Mon jeune ami et camarade SOME, je confirme, mais si les kolg-wéogo insistent a resté dans l’auto défense de notre pays, il est temps qu’on trouve un compromis adéquate : Soit ils gardent leurs statu de kolg-wéogo ancestrale formé et discipliné de père en fils, pour servir bénévolement avec des primes et des gratifications raisonnables à leur rang : Ou obéir nos institutions et ses lois à travers leur ministre de tutelle qui les dictes ses ordres, comme déposer les armes, et se former selon les directives de la sécurité nationale. Oui je te comprends avec nos agents de sécurité payer pour ne rien faire, mais ceux-ci viennent de nos gouvernants qui n’ont aucune notion de rigueur et de la discipline, à commencer par les ministres coureurs de femmes, des DG nommés là où il ne faut pas, excet. Croisons les bras et pensons que tout va changer avec nos interventions suivis des arguments solides qui vont pour l’intérêt du peuple et non pour les gouvernants. Comme à la place de la révolution, la jeunesse a dit que rien ne sera plus comme avant, nous demandons à Dieu que cela soit écrite et exécuté par nos gouvernants, à sa tête Roch Kaboré. La patrie ou la mort, nous vaincrons.

  • Le 24 juin 2016 à 17:04, par Kon N’doungtouly En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    La solution c’est de prier le Dieu qui est fort par lui même là pour que le vaudou de François compaoré n’influence plus sur notre cher Faso .Il ne peut être que négatif.
    Aussi permettez moi de dire au lion du Boulkiemdé qu’il est mal inspiré en adhérant aux KWG.

  • Le 24 juin 2016 à 17:31 En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Enfaite M. le ministre n’a pas voulu se prononcer clairement sur l’affaire Koglwéogo avant les élections municipales par peur de ne pas avoir certains maires et conseillers et Koglwéogo s’est bien installé.au lendemain des élections on veut mettre fin à leur prestation.Il faut prendre les décision au bon moment.Les forces de sécurité, nous avons l’impression qu’ils sécurisent seulement les autorités et non la population.Pour cela permettez aux Koglwéogo d’assurer leur propre sécurité.

  • Le 24 juin 2016 à 17:43, par Yako En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    @Ka,quand je dis que tu racontes des bêtises en voici les preuves.17 mai 1983=arrestation de T.Sankara alors 1er ministre csp2.et non 17 oct 1987.Une dissertation de ce genre ne peut que porter préjudice à l’authenticité de faits tels que nous les avons vacu au jr le jr, à moins que tu ne sois atteint par la démence (effets de l’age) Puis,relis toi même 2 ;3 ;4 fois tu decouvriras les incohérences.Je commence à douter sérieusement si tu as vécu vraiment les événements politiques depuis 1980 oubien ils t’ont été raconté sur une terrasse de café.Dans tous les cas tu es dangereux pour la jeunesse parce que falsificateur inconscient de l’histoire !!

  • Le 24 juin 2016 à 17:45, par Lionceau En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    A internaute 87 Ka.

    j’apprécie votre langue de bois mais permettez moi de relever quelques incorrections sur ce passage de votre poste. On dirait que vous êtes même plus dans le noire que le Kôrô

    "Et rebelote le 17 mai 1987 de sérieuses contradictions au sein du CSP entraînèrent le coup d’état réactionnaire : ainsi furent arrêtés le capitaine Thomas Sankara premier ministre, le commandant Lingani et le capitaine Henri Zongo. "

    Pour le reste, particulièrement votre parcours politique, je ne sais pas, vous racontez des prouesses dont vous et le Kôrô êtes témoins. Là aussi, enfin !? "Ntoin sèe bouèg bangda koeguin" ie celui qui peut manger tout seul un mouton se reconnait aisément par sa voix.

    Donc Tonton Ka, en rappel :
    1- Le 17 mai, c’était en 1983 et non en 1987.
    2- Feu Le capitaine Henri Zongo n’a pas été arrêté. le 17 mai Il a pu échappe comme Blaise, au filet et s’est refugié au Camp guillaume Ouédraogo avec des éléments d’où il a opposé une résistance.

    Enfin, comme vous et Kôrô êtes des fins idéologues et connaisseurs, est ce que vous pouvez me donner la signification du mot "fabulation" ?

    Parce que moi aussi je suis un petit soldat et notre école là n’est pas allez loin. Donc pardon, expliquez mot ce que veut dire ce mot, j’ai tellement hâte de le découvrir parce qu’il y a quelqu’un qui m’a traité de mythomane et raconter à tout le monde que je fais de la fabulation.

  • Le 24 juin 2016 à 19:54, par ka En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    A Yako ou lionceau ou qi sais-je : Comme je te disais, te raconter sur le net les pages idéologique de notre révolution inachevée te mettra dans un trou. Pour les fautes de frappe, n’importe quelle personne peut se tromper, et le lecteur corrige en passant. A mon âge sans secrétaire dont j’étais habitué, le clavier me joue des tours, mais si tu me lis c’est que tu me comprends. De ma mémoire vivante, le 7 novembre 1982 institution du CSP après avoir renversé le régime du CMRPN. Le CSP avec à sa tête JBO pour le destiné de la Haute-Volta. Le 17 mai 1983 dont j’ai commis la faute de frappe, (7 a la place de 3) durant toute la journée des sérieuses contradictions s’enflamment au sein du CSP qui a provoqué le coup d’état réactionnaire : Alors furent arrêtés le capitaine Sankara premier ministre, le commandant Lingani, et le capitaine Henri Zongo respectivement secrétaire général et membre du secrétariat général du CSP. C’est l’histoire qu’on enseignera à nos enfants, à nos petits-enfants, dans les écoles primaires, et même sera réciter comme une récitation. Tes détails, je les connais mieux que toi. Le débat continu car la nouvelle génération attende la vraie vérité, pas les fautes de frappe d’un vieux clavier qui lâche un vieux Ka. Si tu as d’autres faits de tes crimes, racontes les, la jeunesse voudra tout savoir, et pourquoi Blaise Compaoré et toi doivent êtres a la CPI au lieu de défendre l’indéfendable qui sont vos crimes gratuits. Le Burkina est un village, et tout se sait, allons seulement YAO, car la frontière n’est pas loin, à moins que tu y es déjà.

  • Le 24 juin 2016 à 21:31, par SOME En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Merci mon frere KA, tu as souvent de bonnes idees mais là, je me permets de differer de toi. Tu divagues là ! A coté de la plaque a propos des Kolweogo. Tu sembles mal a l’aise avec ces kolweogo et tentes de faire de l’equilibrisme (sans pejoratisme). Tu fais un bon diagnostic de la situation, mais tu ne vas pas jusqu’au bout pour une conclusion logique : tu ne peux pas dire de croiser les bras et esperer que… : « Croisons les bras et pensons que tout va changer avec nos interventions suivis des arguments solides qui vont pour l’intérêt du peuple et non pour les gouvernants. Comme à la place de la révolution, la jeunesse a dit que rien ne sera plus comme avant, nous demandons à Dieu que cela soit écrite et exécuté par nos gouvernants, à sa tête Roch Kaboré. » J’hallucine ! tu te plantes ! c’est a croire que tu provoques expres ! Si les jeunes doivent croiser les bras que vont faire les vieux alors ?
    Quant à ton Roch, s’il continue comme ca, j’ai bien peur pour lui qu’il ne reste pas a la tete pas bien longtemps. Il avait une certaine aubaine, il a tout gaché.
    SOME

  • Le 24 juin 2016 à 21:36, par SOME En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    o « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ? par SOME
    Avait-on besoin d’être un devin ou un clairvoyant pour prédire ce qui est arrivé ? Non, c’était une évidence. Tellement évident que l’on se pose la question si ce n’est pas cette réaction qui est attendue. J’ecrivais ceci « …Les autres mesures c’est purement et simplement une dissolution ou demander qu’ils aillent se faire tuer. Et comme ils n’obeiront (et on les comprend aisement), il y aura une confrontation avec les forces de l’ordre. Est ce ce qui est recherché ?

    aujourd’hui je m’en convainc de plus en plus. Et pourquoi ? Afin de mettre en œuvre ce que eux ils ont concocté pour faire voir a ce peuple qui a osé… ce crime de lèse-majesté.
    Ce qui « m’étonne », c’est qu’il y a toujours des individus aux aguets pour se précipiter sur lefasonet et être les premiers à se faire les francs tireurs et à défendre l’indéfendable. Mais bon ! Les chasseurs de primes, les mercenaires, etc. ont toujours existé et ne vivent que pour eux. Ce n’est surtout pas au bout de 27 ans de pourriture morale des cœurs et des esprits au burkina qu’il faut s’attendre a autre chose de la part de certains.

    Tous ceux qui parlent d’état républicain, de justice qui doit faire son boulot etc. et toutes ces connneries, ne perdons même pas notre temps à essayer de discuter avec eux tellement ils sont tarés et esclaves mentaux… ils ne peuvent s’élever au delà d’autre chose. Quand vous vous indignez que l’autorité est défiée, posez vous la question pourquoi ? Posez vous d’abord la question de savoir dans quel pays nous vivons, dans quel état sommes nous : pour un citoyen responsable, ou tout simplement un être humain responsable, la désobéissance dans ce cas devient un devoir : il est hors de question de se laisser tuer parce qu’il y a un état de droit, une république qui ne se soucie même pas de savoir qu’il a des devoirs envers le concitoyen.

    Les droits de l’homme sont l’envers des devoirs de l’homme : ils vont ensemble, jamais l’un sans l’autre, on l’oublie trop souvent. C’est quoi même la république. Qui représente la république si ce ne sont pas les kolweogo ? Ou sont l’armée, la police, gendarmerie etc.? Qui sont des institutions de la république chargées de la défense et sécurité de la république ? Ou sont-elles ? Que font-elles ? Pourquoi on ne les entend meme pas ? Le role de l’armée, c’est parfois meme de desobeir au politique quand ce politique n’est plus a la hauteur et que l’avenir de la patrie est mise en danger.

    L’épopée manding de nos ancêtres du Wassulu nous proclame :
    « Si tu ne peux organiser, diriger et défendre le pays de tes pères, fais appel aux hommes plus valeureux ;
    Si tu ne peux dire la vérité en tout lieu été en tout temps, fais appel aux hommes plus courageux ;
    Si tu ne peux être impartial, cède le trône aux hommes justes ;
    Si tu ne peux protéger le faible et braver l’ennemi, donne ton sabre de guerre aux femmes qui t’indiqueront le chemin de l’honneur…
     »
    SOME

  • Le 25 juin 2016 à 04:47, par yako En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    @114 Lionceau,merci bcp pour ce temoignage j’espere que nos historiens de la "cosa-nostra"Ouagalaise vont apprendre a relativiser leur pretendu engagement.En fin,a coup sur ils ont vecu les evenements sur une ferrasse de café sur Kouame Nkruma.

  • Le 25 juin 2016 à 11:57, par JAIM’S En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Bonjour très cher(e)s compatriotes pour le souci que chacun de vous manifeste d’une manière ou d’une autre pour notre Cher FASO !
    Selon moi,le gouvernement RSS est trop passif et attend toujours les extrêmes situations pour agir.
    Beaucoup des problèmes de notre pays ont très souvent eu leur origine étroitement lié à la justice et il y’a lieu de vraiment revoir la conduite de ses acteurs et dresser des lois fortes pour sanctionner à la hauteur les fautifs et décourager éventuellement ceux qui seront tentés de déconner.
    Je n’étais pas contre les KOGLWEOGO qui sont appréciés dans bons nombre de milieux ruraux mais à vouloir fonctionner sans le règlement collectif ou la loi est inadmissible.Comment peut-on encadrer ou recadrer des individus qui refusent de se soumettre à la CONSTITUTION ? Si ce n’est pas pour de l’indiscipline ou pour des intérêts égoïstes sinon pour du patriotisme,qu’ils se soumettent à l’autorité de l’état et qu’ils fonctionnent comme les DOZOS exemplaires.
    Chères autorités d’un point de vue général,vous êtes parti sur une mauvaise base mais je crois qu’il n’est pas encore tard.La justice est le maillon faible de notre pays.Réorganisez la avec le concours de toute la couche sociale et imposer vous à faire respecter les nouvelles lois.Que DIEU protège notre chère faso.

  • Le 25 juin 2016 à 13:28, par ka En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    SOME mon jeune camarade, si tu lis les admirateurs aigris de Ka comme un certain YAKO avec 50.000 Pseudos, qui m’accuse de manquer de sagesse tu comprendras : Pourtant le moment de la sagesse s’arrête avec un régime sanguinaire qui a meurtri un peuple, et un autre qui patine et humilie ce même peuple en quête d’un vrais changement. Toi, le citoyen, Körö Yamyélé, vérité n01 qu’on n’entend plus, Achille de Tapsoba, nous étions là avant l’insurrection pour un même Objectif, ‘’’’l’alternance politique du Burkina avec sa jeunesse.’’’ Et nous sommes là encore avec les anciens mange-mil et les lèches pieds de Blaise Compaoré qui n’ont plus rien, et essayent a tout prix de saboter la victoire des jeunes. Nous ne pouvons a moins d’un an d’élection présidentiel, mettre un turbo d’accusation a un président avec son programme accepté par 53% du même peuple déjà meurtri dans sa chaire par les crimes gratuits, et la corruption a ciel ouvert. Ce Roch Kaboré, est devenu un Roch Kaboré de tout le peuple Burkinabé avec ses 53% adopté par le peuple et selon notre constitution. Ça sera la même chose si Zeph avait eu ce pourcentage. Maintenant je vais te dire une chose que tu connais déjà du marxisme-léninisme, qui nous enseigne en théorie que la bourgeoisie exploite les masses laborieuses et opprime le peuple. Pour que celui-ci échappe à l’exploitation et a l’oppression, il lui faut renverser par la violence la bourgeoisie et qu’il prenne le pouvoir. Quand les masses laborieuses comme toi et moi, avec toute la jeunesse a la place de la révolution, ou dans la rue mettent en pratique, elles deviennent révolutionnaires, et font la révolution qui leur permet de prendre le pouvoir qui patine devant un peuple averti. Ce qui n’est pas permit en 2016 dans un pays dit de droit et démocratique car c’est un coup d’état. Alors nous devons avec nos critiques qui doivent être fondées sur l’argumentation solide et non de dénigrement, convaincre Notre Roch Kaboré et son équipe : pour cela, nous devons tenir notre rôle d’internautes de la majorité et de l’opposition, pour mieux rectifier les choses. Nous ne devons pas prendre parti prise pour un individu, ou un parti, mais dire les choses comme elles sont, que ça fait fâché les mange-mil ou les internautes aigris, il faut toujours resté sur cette vérité qui fâche pour un Burkina qui veut avancer sans les crimes gratuits, sans l’injustice, ni l’impunité, ni la corruption a ciel ouvert. Quant aux Kolg-wàogo, je reste sur ma position : Que le pouvoir opte pour un groupe de Kolg-wéogo neutre et volontaire, formé de père en fils, sous l’autorité des chefs coutumier qui reçoivent des directives du pouvoir central : Ou un groupe de kolg-wéogo qui respecte les règles séculaires dictés par le ministre du tutelle, et sans désobéissance. Merci de me lire.

  • Le 25 juin 2016 à 17:51 En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Simon ou es-tu wallai, si tu es digne, tu dois démissionner. On t’avait prévenu, tu es trop têtu. Rappelles toi, c’est vous avec votre système CDR qui a tué la révolution. Dégages et laisse Roch travaillER

  • Le 26 juin 2016 à 06:04, par LeLoupBlessé En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Pour moi, parmi tous les intervenants, il y a des honnetes citoyens, il y a des suivistes, il y a des delinquants et des pro delinquants. moi je veux mon Pays en Paix. Arretons les debats inutiles. Parmi les Koglweogo, ils y a ceux qui veulent preserver leurs biens, et ceux aussi qui n’ont rien d’autre que regler leur compte. Mr Poutocko n’a qu’à reviser ses leçons.

  • Le 27 juin 2016 à 11:11, par Lionceau En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Aaah sacré tonton Ka, a vous relire
    "Comme je te disais, te raconter sur le net les pages idéologique de notre révolution inachevée te mettra dans un trou"

    Je sais maintenant à qui Sankara s’adressait quant il disait en aout 87 : "Nous préférons un pas avec le peuple que 10 pas sans le peuple"

    Il devait avoir effectivement des spécialistes d’engloutissement "mise en trou" à ses alentours.
    Et avec ça on parle de "notre révolution inachevée". ça ne pouvait pas être autrement ? Koro Ka vous croyiez que les gens allaient vous laisser les "mettre dans un trou sans réagir" waiii ! ti boin ?.

    Ce qui me fait mal c’est que ce sont des gens comme vous qui avez saboté le projet politique de Sankara avec vos idéologies et méthodes inconséquentes, et c’est dans ça également vous êtes en soutenant le lion dans ses égarements. La leçon des CDR brouettes ne vous a pas suffit.

    En tout cas nous on est là. Petit lion mais lion quand-même. Si vous êtes inconséquent on vous le dira et ce sont pas les injures dignes des débats d’étudiant des années 70 qui vont nous faire reculer.

  • Le 28 juin 2016 à 18:13, par ka En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Lionceau, les enfants qui jouent avec des scorpions risquent de regretter d’êtres nés. Nous sommes dans un état de droit, et chacun peut exprimer librement de ses opinions, mais à ne pas dépasser les bornes pour le bien de tous. Que les âmes de Thomas Sankara et de Norbert Zongo reposent en paix. Attention petit, n’accuse pas ce que tu ne connais pas.

  • Le 30 juin 2016 à 18:40, par Lionceau En réponse à : « Affaire Koglwéogo » : Où sommes-nous maintenant ?

    Pardon Tonton Ka. Pardon
    Vous aussi vous avez été contestataire et agressif comme moi non ? Surtout au collège et à l’université. Je ne fais que suivre vos pas.
    Et puis sous la révolution, vous aviez créée l’UNAB (Union National des Anciens du Burkina)
    Je me rappelle qu’à l’époque, il n’y avait pas internet et vous regroupiez les papy là pour leur enseigner "lenine et Karl max, ché Guevara ...." et puis aussi leur apprendre à défiler aux pas bloqués.
    A chaque fois que Papy revenait il disait que les enfants de maintenant là vraiment ils ne respectent plus rien quoi. Comment voulez vous me faire marcher sous le soleil là avec ma goutte, parce que c’est la révolution ? et puis moi à mon âge vous allez m’assoir pour faire récitation ? Thomas avec ses grandes o...., il n’a qu’à savoir que je suis aller à l’école avant lui. Il ne faut pas il va me fatiguer.

    Il disait ça tout le temps mais le lendemain il repartait encore. (rires...)

    Mais tonton Ka, vous avez fatigués les papy là sous la révolution deh !