Retour au format normal
lefaso.net

Le président de l’Assemblée nationale chez le Mogho Naaba : La question de l’incivisme s’invite aux échanges

samedi 14 mai 2016.

 

Le président de l’Assemblée nationale burkinabè a effectué une visite de courtoisie au Mogho Naaba Baongo, le vendredi 13 mai 2016. Accompagné de trois vice-présidents du parlement, Salifou Diallo est allé remercier le roi de Ouagadougou pour sa contribution à la paix sociale au Burkina Faso. Après avoir prodigué des conseils et bénédictions à ses hôtes, le Mogho a évoqué la question de l’incivisme grandissant dans notre pays. Il a souhaité que des solutions idoines soient trouvées pour endiguer ce mal.

Salifou Diallo et son équipe ont été accueillis par le Larlé Naaba et le Poé Naaba sur le perron du palais. Avant d’être conduits dans la salle d’audience où le chef des lieux, le Mogho Naaba, les y a rejoints. Outre le président du parlement, la délégation comptait trois vice-présidents que sont Bénéwendé Sankara, 1er vice-président, Juliette Bonkoungou, la 3e vice-présidente, et la 5e vice-présidente, Salamata Konaté/Ouattara. Les hôtes du jour sont venus avec des posters contenant la liste exhaustive des députés qu’ils ont remis au Mogho Naaba. Question de lui permettre de se faire « une idée de la représentation nationale ».

Après une trentaine de minutes d’échanges, le patron du parlement burkinabè exprime la satisfaction de la représentation nationale « d’avoir accompli cette tâche qui était incompressible ». Il s’agissait, dit-il, de venir exprimer leur gratitude au Mogho Naaba pour sa contribution à la recherche de la paix sociale dans notre pays. « Le Mogho Naaba nous a prodigué des conseils, surtout dans le vote des lois en faveur du peuple et surtout en faveur de la paix sociale et de lutter contre l’incivisme qu’il perçoit dans notre pays aujourd’hui. Voici le sens de notre visite de ce matin et nous voudrons ici saluer le rôle de tous les responsables coutumiers à travers le pays, qui font toujours montre d’accompagnement et de soutien à la paix et au progrès dans notre pays
Incivisme », a déclaré Salifou Diallo à l’issue des échanges.

S’agissant de la question de l’incivisme, Salifou Diallo a précisé que la restauration de l’autorité de l’Etat incombe au gouvernement, à l’exécutif, mais pas au parlement. « Nous avons des lois assez claires, transparentes pour le maintien de l’ordre au Burkina Faso et nous appelons effectivement le gouvernement à appliquer ces lois dans le respect strict de la volonté populaire qui se manifeste à travers la loi », a-t-il souligné avant d’ajouter que « s’il y a lieu de légiférer à nouveau pour renforcer le maintien de la paix et de la culture du civisme, nous allons y procéder ».
En tous les cas, le Mogho Naaba a émis le vœu de voir les élus nationaux s’investir pleinement dans la lutte contre ce phénomène qui va grandissant. Et qui n’est pas seulement l’apanage des jeunes.

Moussa Diallo
Lefaso.net



Vos commentaires

  • Le 13 mai 2016 à 23:44, par kolokolo En réponse à : Le président de l’Assemblée nationale chez le Mogho Naaba : La question de l’incivisme s’invite aux échanges

    Justice pour tous les fils du burkina assassines !

    *Thomas Sankara

    *Norbert Zongo

    ***Dabo Boukary

    Et tous !!!

  • Le 14 mai 2016 à 04:01, par MOMO En réponse à : Le président de l’Assemblée nationale chez le Mogho Naaba : La question de l’incivisme s’invite aux échanges

    "saluer le rôle de tous les responsables coutumiers". Il dit bien "tous" mais il n’en visite qu’un seul. C’est cela le premier incivisme au Burkina qui consiste à ne respecter les autorités coutumières qu’à travers une seule d’entre elles. Ensuite, dit mr diallo, c’est au gouvernement de lutter contre lincivisme. Alors pourquoi aller voir le mogho naba pour ça ?

  • Le 14 mai 2016 à 04:05, par Le vigilant ! En réponse à : Le président de l’Assemblée nationale chez le Mogho Naaba : La question de l’incivisme s’invite aux échanges

    Hélée Salifou !!! Qui ta montré la route de cette maison ??? Y’ a pas longtemps que tu as mis pieds ici. Nous espérons qu’il va s’inspirer du pouvoir du Mogho , à savoir pour que l’incivisme finisse il faut que lui meme reconnaisse le pouvoir d’un seul chef. Laissez donc le gouvernement travaillé !!!! Si ce gouvernement échoue c’est tout le MPP qui sera mis à la porte. L’incivisme est aussi dans le langage . L’incivisme c’est aussi le non respect des autres et ton prochain. L’incivisme c’est aussi le non respect de ton propre NAABA du village ou de ta ville. L’incivisme c’est de ne pas banaliser le problème des kolweogos en présentant certains des membres du gouvernement comme chef suprême des kolweogos . L’incivisme c’est la surestimation de soi. Bref !!’,, bref !!!!!

  • Le 14 mai 2016 à 06:24, par gangobloh En réponse à : Le président de l’Assemblée nationale chez le Mogho Naaba : La question de l’incivisme s’invite aux échanges

    Vraiment dommage qu’on soit obligé de poster des policiers à chaque carrefour pour réguler la circulation ? Nous aimons copier nos ancêtres les gaulois alors prenons exemple sur eux. Si eux devaient poster des policiers aux feux tricolores, imaginez le nombre . Ne soyez pas des boeufs qu’il faut diriger avec un bâton. Faut il ô perdre la raison ou la logique à cause de l’aigreur ? je pense que non. Soyons des humains au sens propre du mot.

  • Le 14 mai 2016 à 06:24, par YIRMOAGA En réponse à : Le président de l’Assemblée nationale chez le Mogho Naaba : La question de l’incivisme s’invite aux échanges

    Foutaises ? Que voulez-vous ? Vous aviez semé les germes de l’impunité en élargissant les délinquants politiques en espérant une adhésion à votre parti déjà majoritaire, si bien que la frustration des honnêtes militants qui ont accouru dès la création du MPP se voient trahis ? L’incivisme ira grandissante tant vous allez jouer à ce jeux de lilib lib. On demande pas de condamner, mais juger et situer la responsabilité de tout un chacun ? L’arrogance des mêmes gelés de votre ex parti sont de retour et c’est pas le MORO qui peut faire quelque chose, lui qui est apolitique en apparence ?
    Prenez des lois contraignantes en commençant par vous mêmes dans l’application comme gage de bonne foi ?
    Vous dites que vous allez reconstruire en moins de.........., quel conseil le MORO peut-il .........?

  • Le 14 mai 2016 à 09:28, par doudouno le cobra En réponse à : Le président de l’Assemblée nationale chez le Mogho Naaba : La question de l’incivisme s’invite aux échanges

    Il ne reste plus qu’à donner le pouvoir d’état au Mogho Naaba ; puisque c’est la seule autorité coutumière de ce pays.

  • Le 14 mai 2016 à 14:35, par Moi aussi En réponse à : Le président de l’Assemblée nationale chez le Mogho Naaba : La question de l’incivisme s’invite aux échanges

    Hummmmm ! Nous nous livrons innocemment à un jeu dangereux et nous boirons la tasse un jour. Si le prochain Président de l’A.N, a un plus grand sens de la REPUBLIQUE et ne rend pas visite au Mogho Naaba, on le lui fera payer. N’ayons pas une courte vue quand nous sommes une autorité au sommet de l’Etat.
    Depuis un moment, les actes posés par Salifou Diallo ainsi que certains de ses propos m’inquiètent. Je me demande s’il est toujours apte à faire la politique ?

  • Le 14 mai 2016 à 14:36, par Moi aussi En réponse à : Le président de l’Assemblée nationale chez le Mogho Naaba : La question de l’incivisme s’invite aux échanges

    Hummmmm ! Nous nous livrons innocemment à un jeu dangereux et nous boirons la tasse un jour. Si le prochain Président de l’A.N, a un plus grand sens de la REPUBLIQUE et ne rend pas visite au Mogho Naaba, on le lui fera payer. N’ayons pas une courte vue quand nous sommes une autorité au sommet de l’Etat.
    Depuis un moment, les actes posés par Salifou Diallo ainsi que certains de ses propos m’inquiètent. Je me demande s’il est toujours apte à faire la politique ?

  • Le 14 mai 2016 à 16:39 En réponse à : Le président de l’Assemblée nationale chez le Mogho Naaba : La question de l’incivisme s’invite aux échanges

    Je suis maintenant convaincu que le président du Faso est entouré de bras cassés quand le président de l’assemblée nationale Salifou Diallo dit sans honte que s’agissant de la question de l’incivisme,de la restauration de l’autorité de l’Etat,cela incombe au gouvernement,à l’exécutif mais pas au parlement.J’allais être d’accord avec ses propos si nous étions vraiment dans un Etat normal,démocratique avec une réelle séparation des pouvoirs mais reconnaissons humblement que ce n’est pas le cas.Alors ces gourous d’un autre âge cherchent à nous duper,à nous arnaquer y compris que le président du Faso qui est aussi un bras cassé.Ce qu’ils savent faire(les RSS et consorts.....),ce sont les arnaques,les coups tordus etc etc etc !

  • Le 14 mai 2016 à 19:08, par Amadoum En réponse à : Le président de l’Assemblée nationale chez le Mogho Naaba : La question de l’incivisme s’invite aux échanges

    Certains problemes peuvent etre resolus par le symbolisme et d’autres pas. Mais notre situation au Burkina Faso, c’est que nous n’avons plus de symboles credibles. Pendant les presque 30 ans du regne de M. Compaore et ses hommes, ils se sont arranges pour souiller toutes les personnes et institutions du pays ; ils ont fait descendre dans l’arene de la plotique partisanne toute personne credible qui etait sensee etre ecoutee. En son temps, sur ce meme site, nous avions prevenu du danger a voir les chefs coutumiers/tradidionnels, avec leur bonnet rouge, dans le jeu de la politique. Nous voyions a l’horizon un momnent difficile comme celui que nous traversons aujourd’hui. Avec tout le respect que j’ai pour le Naba des Mossis, je veux qu’il sache qu’aucun Naba ne peut endiguer ce fleau. M. Diallo ferait mieux d’economiser son energie et son temps et au Mogho Naba d’etre pret a faire face aux indisciplines.

    Seuls le bon example de nos dirigeants, l’education civique et morale de nos enfants, et la correction examplaire des caids indisciplines. Si nous, nous entendons sur ces trois points, la situation peut etre remediee, avec le temps.

  • Le 14 mai 2016 à 20:50, par Yako En réponse à : Le président de l’Assemblée nationale chez le Mogho Naaba : La question de l’incivisme s’invite aux échanges

    On a refusé le sénat à Blaise alors que la suite des événements ont bien montré qu’on y échappera pas pour peu qu’on soit cohérents.En effet,le 30 et 31 oct 2014 la république et ses institutions ont bien montré leur limite en moins de 24 pas une seule institution n,a tenu.Armée, police,parlement,partis politiques...seul le pouvoir coutumier/religieux a tenu faisant office de république et pourtant il n’a aucune existence formelle ni dans la constitution ni dans les institutions qui en sont issues.
    Conclusion:Si nous voulons bâtir un état qui tient la logique commande de tenir compte de ces forces de stabilisation au cas ou.Faute de quoi la république demeure l’affaire des élites urbaines loin du pays réel.D’ou la nécessité de prendre en considération ces pouvoirs intermédiaires à travers la mouture de l’avant-projet de la nouvelle constitution en gestation.Enfin,l’histoire reconnaîtra la sagesse du président Compaore à travers son projet "sénat"se faisant,il était en harmonie avec son pays ;le pays réel et non celui des élites urbaines beaucoup plus préoccupée par le pouvoir que par la paix sans laquelle il n’ya point de progrès social ni économique.

  • Le 14 mai 2016 à 23:16, par le peuple En réponse à : Le président de l’Assemblée nationale chez le Mogho Naaba : La question de l’incivisme s’invite aux échanges

    C’est un parlement en phase avec ses populations. c’est que les institutions soient ouvertes et aillent au contact des leaders d’opinion. En tout cas bravo à l’Assemblée pour cette visite chez le Mogho.

  • Le 15 mai 2016 à 07:15 En réponse à : Le président de l’Assemblée nationale chez le Mogho Naaba : La question de l’incivisme s’invite aux échanges

    Monsieur le Président de l’Assemblée Nationale et ses VP, je dois vous instruire utilement pour vous dire que ce qui se passe au Burkina Faso actuellement est très très grave. Le Mogo Naaba, qui est visionnaire, voit déjà ce qui risque de se passer pour l’ordre public dans les mois à venir. On ne peut pas exiger le respect des textes par le citoyen lambda alors même que les professionnels du droit violent à longueur de journée les textes légaux qu’ils sont sensés appliquer.
    Morceau choisi. Le Procureur Général de Ouaga, M. Laurent PODA dit qu’il y a "des indices graves et concordants" qui pèsent sur le Bâtonnier Mamadou TRAORE, mais il ne consulte pas le Bâtonnier en exercice pour notifier lesdites charges. Et pourtant, on continue allègrement de maintenir Me Mamadou Traoré en prison à la MACA : C’est ça, malheureusement, M. Salifou DIALLO, ou l’exécutif (Ministre de la justice) le premier acte d’incivisme du Tribunal militaire. Qu’est ce que le Ministre de la Justice lui aussi attend pour limoger le Procureur Général et le traduire devant le Conseil de discipline du Conseil supérieur de la magistrature tout comme les magistrats de la Cour de cassation qui pondent deux arrêts contradictoires dans la même journée et bien d’autres magistrats qui violent délibérément les textes légaux ? 2 ème acte d’incivisme des magistrats civils.
    L’Etat de droit est un ensemble d’exigences non négociables. L’Etat de droit commence par le respect des textes nationaux et internationaux par les magistrats militaires et civils.
    Or c’est tous les jours que les textes légaux sont violés dans notre beau pays par certains magistrats mécréants ou ignorants : par exemple certains magistrats incarcèrent de nombreux citoyens à la MACO sans même les inculper...au mépris des textes légaux. Chacun paiera tôt ou tard ses actes d’incivisme car Dieu aime le Burkina Faso. Qui savait que Blaise Compaoré allait fuir du Burkina Faso en plein midi ? Peu de burkinabè ont tiré leçon de cette main divine. Poursuivez seulement !
    Sinon, cette visite du Mogo Naaba est une bonne chose même si je suis républicain pur et dur et prince de naissance.

  • Le 16 mai 2016 à 17:48, par Dibi En réponse à : Le président de l’Assemblée nationale chez le Mogho Naaba : La question de l’incivisme s’invite aux échanges

    Je ne sais pas si ce chef coutumier ethnique parmi tant d’autres est visionnaire ou pas, mais je constate que depuis un certain temps, le régime clanique, clientéliste, affairiste corrompu, criminel, néocolonial prédateur de Blaise Compaoré et toute la collaboration MPP (Roch C Kaboré, Salif Diallo et Simon Compaoré) au pouvoir, n’arrêtent pas d’en référer de façon récurrente et continue à ce chef local mossi bien placé au centre d’une manipulation politicienne éhontée.
    En a t-il conscience ?
    Et que visent ces manœuvres d’acteurs politiques réactionnaires qui viennent flatter son égo et avouer leurs incompétences ?
    Doit-il être le seul féodal dans cette néo-colonie qu’est devenue le Burkina-Faso, à bénéficier de tant d’attentions et d’égards ?
    Attentions et égards qui font de plus en plus de sa personne, le premier personnage politique morale de ce pays si culturellement divers (avec des communautés sans chefferie et avec chefferie) et si animé par la construction d’un destin commun.
    Les Roch C Kaboré, Salif Diallo, Simon Compaoré, Barry Alpha, Sankara Bénéwendé et toute cette élite politique sans vision stratégique pour notre peuple et encore culturellement portée à l’avachissement quasi pathologique et obsessionnelle devant toute autorité féodale ou coloniale par atavisme spontané, toute cette élite dis-je qui est aux affaires de la République même néocoloniale, devrait gérer avec prudence et sans ostentation ses rapports de soumission et d’alliances aux autorités traditionnelles.
    Il en va de notre histoire commune future où notre unité reste tissée par la diversité ; ce qui condamne le souci de cette unité par la diversité à rester le point cardinal et non l’inverse.
    Dire cela n’insulte ici personne ; encore moins le premier personnage du royaume de Ouagadougou dont je ne sait rien de la réalité de son existence actuelle en tant qu’entité étatique établie au sein de l’espace territorial de notre peuple.
    Je ne sais pas si le premier personnage de cette entité du passé ou du présent est le plus éclairé et le plus sage de tous les rois et princes de ce pays ? Et en quoi il serait le premier d’entre eux ?
    Est ce parce que notre capitale est à Ouagadougou ? Celle-ci pourrait être à Bobo-Dioulasso, Banfora, Oudalan, Fada, Kampti ou Tenkodogo ; pourquoi pas si des nécessités l’imposent. L’histoire est riche en déménagement de capitale.
    Mais de là à ce que toute la République aille tous les matins prendre l’onction du pouvoir chez un monarque du pays mossi, cette mise en scène récurrente, devient gênante pour l’écriture d’un avenir commun dans la République, dans le respect de l’unité et la diversité de notre peuple.
    Maurice Yaméogo, Lamizana, Saye Zerbo, Thomas Sankara, n’étaient pas en ballade tous les quatre matins dans la cour du Mogho Naba de Ouagadsougou pour avis consultatif.
    Il est possible que Compaoré et ses suivants aient transformé ce pays en monarchie constitutionnelle mossi. Et si tel est le cas ?, alors qu’on nous le dise et que l’opinion de notre peuple soit éclairée.
    C’est urgent et préoccupant pour l’avenir ! Et que nos grands constitutionnalistes se prononcent !
    Na an lara, an sara !
    La patrie ou la mort nous vaincrons !

  • Le 17 mai 2016 à 07:40, par SOME En réponse à : Le président de l’Assemblée nationale chez le Mogho Naaba : La question de l’incivisme s’invite aux échanges

    decidemment tout le monde travaille a opposer les burkinabe. Meme benewende s’y s’est precipité : voila le nouveau sankarisme. voila la mort vraie de thomas sankara
    C’est maintenant donné clairement que c’est le moro naba qui gouverne le payas. Qu’on ne vienne pas tenter de nous expliquer ceci cela : on a vous vu venir. Mais sachez (mais vous le savez de toutes facons, mais on le dit quand meme), sachez qu’il n’ens era pas ainsi. le rwanda que vous vous voulez instaurer au burkina ne se passera pas. Le burkina n’est pas l mossi tout seul (ni les lobi tout seul) : il ya ne serait-ce que mes esclaves turka, gouin, etc Alors calmez vous !
    Sankara a tenté de creer un etat-nation, vous vous etes ingenué a le detruire mais le peuple est plus mature que vous !
    LA PATRIE OU LA MORT... NOUS VAINCRONS !
    SOME

  • Le 17 mai 2016 à 12:27, par SOME En réponse à : Le président de l’Assemblée nationale chez le Mogho Naaba : La question de l’incivisme s’invite aux échanges

    Oui c’en est trop Mais c’est parce que nous nous indignons et on laisse faire. Nous devons donc exiger une clarification aux autorités : sur quelles bases se trimbale-t-on la bas ? NON ! nous n’en voulons pas. organisons nous et notre NON soit effectif. On n’est pas contre la chefferie traditionnelle, loin s’en faut ; mais JAMAIS a imposer un chef aux autres burkinabe. Vous cherchez par tous les moyens a creer la guerre tribale ici au burkina : ca ne passera pas !
    LA PATRIE OU LA MORT NOUS VAINCRONS
    vous ne le comprenez pas car pour vous c’est le roi, le naba, etc etc ce que vous voulez... c’est votre probleme (entre vous mossi), pas celui des burkinabe. Proclamez la royaume mossi pendant que vous y etes !!!
    SOME