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Situation nationale : Le Cadre d’expression démocratique exige un audit du Conseil national de la transition

mercredi 4 mai 2016.

 

Rendre à la justice son indépendance et son impartialité, rendre public le dernier rapport de l’Autorité supérieure de contrôle d’Etat et de lutte contre la corruption (ASCE/LC) sur la gestion de la transition et faire l’audit du conseil national de la transition. Telles sont les exigences du Cadre d’expression démocratique (CED) exprimées par Pascal Zaida et Abraham Badolo, lors d’une conférence de presse animée ce mercredi 4 mai 2016 à Ouagadougou.

Pour le cadre d’expression démocratique (CED), le Burkina Faso est arrivé à un niveau où la justice doit être indépendante et les dossiers doivent être traités en toute impartialité. Pour preuve, Pascal Zaida insiste sur le fait que sous la transition, des personnes ont été brimées sur la base de leurs opinions politiques. Ce renouveau démocratique amorcé devrait, selon le conférencier, sonner le glas de la justice des vainqueurs et faire émerger « une justice authentique fondée sur les valeurs réelles ».
Parallèlement, il a dénoncé, sans les citer nommément, l’immixtion de certaines organisations de la société civile dans les décisions de justice. A l’en croire donc, il ne doit y avoir aucune pression extérieure et l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre ne saurait être une constitution pour gérer le Burkina Faso.

Régler cette affaire avec du tact

Concernant les mandats d’arrêts, Pascal Zaida avance que c’est une décision passionnée des autorités de la transition qui « risque d’entraver la bonne marche de la démocratie. Par conséquent, il appartient au pouvoir judiciaire et aux autorités actuelles d’en tirer les conséquences afin de garantir la paix et la stabilité pour l’ensemble des Burkinabè », a dit Pascal Zaida. Quant à Abraham Badolo, l’affaire des écoutes téléphoniques a fait un si grand tollé qu’aujourd’hui, on n’en parle plus. Il y a donc « un flou » qui mériterait selon lui que le président du Faso, Roch M. C. Kaboré, règle cette affaire avec plus de tact.

Violation de la charte de la transition et de la constitution

Sur le récent rapport de l’ASCE/LC, le cadre d’expression démocratique a souhaité qu’il soit rendu public. Aussi, le CED a annoncé qu’il compte demander au parlement de mettre en accusation les membres du gouvernement de la transition épinglés dans le rapport. Pour eux, il y a eu violation de l’article 1 de la charte de la transition qui prône entre autres « le sens de la responsabilité et la probité » et de la constitution en ses articles 72 et 73.
Le premier stipule que « Les membres du Gouvernement ne doivent s’exposer à aucune situation susceptible de créer des conflits entre les devoirs de leurs fonctions et leurs intérêts privés » et le second de préciser « Pendant la durée de leurs fonctions, les membres du Gouvernement ne peuvent directement ou indirectement acheter ou prendre à bail tout ce qui appartient au domaine de l’Etat. La loi prévoit les cas où il peut être dérogé à cette disposition. Ils ne peuvent prendre part aux marchés et aux adjudications passés par l’Administration ou par les Institutions relevant de l’Etat ou soumises à son contrôle ».

« Nous allons nous assumer »

L’autre exigence exprimée par le CED, c’est l’audit du conseil national de la Transition. Le mouvement veut savoir plus sur la gestion de l’institution par Chérif Sy durant les 13 mois qu’il a passé en tant que président. « Il faut que tous les jeunes s’apprêtent. Ceux qui pensent qu’ils vont venir voler et piller le Burkina Faso après notre insurrection et s’en sortir indemnes, qu’ils sachent qu’ils ont menti. Nous allons nous assumer s’il le faut », a lancé Abraham Badolo tout en se réservant d’en dire davantage.

Herman Frédéric BASSOLE
Lefaso.net



Vos commentaires

  • Le 5 mai 2016 à 00:50, par Lavie En réponse à : Situation nationale : Le Cadre d’expression démocratique exige un audit du Conseil national de la transition

    Le mot en vogue au Burkina Faso est AUDIT. Mais le président Rock doit faire beaucoup attention à ne pas déstabiliser les institutions de la république. Certaines personnes des OSC ambitionnent de nuire à celles d’entre elles qui ont au préalable participer à la gestion de la Transition. L’ASCE/LC doit également agir avec intelligence pour que l’audit ne soit pas une arme de destruction massive au Burkina Faso. Le premier rôle de l’audit est de dévoiler des imperfections en vue de favoriser leur correction. Il sied ici de rappeler aux messiers ZAIDA et BASSOLO que le CNT relève du pouvoir réglementaire et que même en rêve, il n’est pas possible à l’ASCE/LC ou à la cour des comptes d’y effectuer un audit. La seule possibilité est une enquête parlementaire dont la réalisation nécessite le respect strict des règles et procédures en la matière.
    Oh Seigneur, je prie pour avancer, Ils prient pour que tombe. Que ta main me soutienne pour l’éternité.

  • Le 5 mai 2016 à 03:07, par yelmingaan blaan saa hien En réponse à : Situation nationale : Le Cadre d’expression démocratique exige un audit du Conseil national de la transition

    tragi comédies aux pays des hommes intégres ou en ce moment la mode est de se faire enroller pour participer aux tirs groupés sur la transition pendant qu on libére les grands voleurs en leurs rendant leurs biens on annule des mandats d arrêts pour un soit disant vice de forme qui ne derange que notre justice nationale récemment acquise et domptée a coup de liasses et tout cela est favorable a un excès de zéle qui pousse certains prosélytes comme leCGD AU SACRILEGE LORSQU ILS AFFIRMENT SANS CONSIDERATION DES FAMILLES ENDEUILLés par le coup d etat que les mandats d arrêts procèdent d une decision passionnée de la transition:la morale s est evanoui au pays des hommes intègre,pourra t elle etre réaniméé ?

  • Le 5 mai 2016 à 08:30, par M.S. En réponse à : Situation nationale : Le Cadre d’expression démocratique exige un audit du Conseil national de la transition

    Il y a trop de farceurs au Faso. Ainsi va la démocratie, il semble. Ne dit-on pas qu’il faut du tout pour faire un monde ? Badolo et Zaida ont donc le droit de faire et dire qqch de temps en temps pour donner un sens (peu importe lequel), a leur existence. Quand on se veut crédible, messieurs Badolo et Zaida, on exige d’abord le blanchiment (par la justice bien sur), des personnes mises en cause dans les différents rapports precedents de l’ASCE et autres structures de controle de l’Etat et des enquetes parlementaires ; l’audit des 27 ans de Blaise Compaore dont les resultats pourraient etre comparees aux audits des differents organes de la Transition

  • Le 5 mai 2016 à 09:58, par Jacques En réponse à : Situation nationale : Le Cadre d’expression démocratique exige un audit du Conseil national de la transition

    Et nous revoilà dans l’acharnement contre Zida et la transition. Comme dit l’internaute 13, ‘‘Qui a intérêt qu’on ne fouille pas la gestion de Compaoré ???’’ N’est-ce pas surprenant ? Écoutez, même si les ministres de la transition avaient pris un peu de manière illicite (ce qui reste à prouver), je ne trouve pas à redire quand je vois le bon que nous avons fait en matière de gouvernance et de démocratie. Actualité oblige, citons la loi sur la presse, la loi sur le délit d’apparence dont parlait le REN-LAC hier, etc.
    Si depuis l’indépendance il y a 56 ans, chaque gouvernement avait piqué les sous contre une avancée, je crois qu’on n’en serait pas là. Dans tous les pays du monde (USA, Japon, Chine, Canada, Europe, les gouvernants volent. Le dernier exemple en date, c’est les Panama Papers. La particularité de l’Afrique, c’est qu’on vole sans travailler.
    Pendant les 27 ans de Blaise Compaoré, si à côté de chaque année de pillage et de vol de nos ressources, il y avait aussi de vrais actes positifs, je pense qu’il n’y aurait pas eu d’insurrection. Alors, s’il vous plaît.
    Pour la mémoire collective, voici quelques acquis de la transition cités par un internaute qui se reconnaîtra peut-être : dissolution du RSP, élection transparente, échec du coup d’Etat, amélioration de la situation des travailleurs, vote de nouveau code minier, verrouillage de l’article 37, égalisation des agents de l’Etat (fonctionnaires et contractuels), sommation pour paiement des créances de l’Etat (ceux qui avaient émis des chèques sans provisions) ; arrestation de personnes trempées dans les affaires de parcelles, gel d’avoir pour qu’il n’y ait pas fuite de fonds, arrestations de fraudeurs dans les concours de la fonction publique (une première au BF), loi sur la presse, loi sur le délit d’apparence, etc. Qui dit mieux ?

  • Le 5 mai 2016 à 10:22, par Gaoussou En réponse à : Situation nationale : Le Cadre d’expression démocratique exige un audit du Conseil national de la transition

    Il faut une enquête sur la source de financement de cette dite OSC, qui n’est en fait qu’une des officines du CDP. Je suis convaincu que le Procureur du Faso n’aura même pas à se fouler la rate tant ça pue la corruption. ZAIDA par exemple chômeur chronique et invétéré devrait expliquer à l’ASCE-LC son train de vie (délit d’apparence).
    Par ailleurs on ne fera pas seulement l’audit de la transition mais aussi et surtout des 27 ans de votre regretté régime de tous les abus de Blaise Compaoré.

  • Le 5 mai 2016 à 10:51, par BADO En réponse à : Situation nationale : Le Cadre d’expression démocratique exige un audit du Conseil national de la transition

    Il n’ y a pas de doute que ces deux individus au passé médiocre soit à la solde des anciens putschistes. On finira par mettre ma main sur les sources de leurs financements et ils la boucleront pour de bons.

    Je ne connais pas ce ZAIDA mais apparemment ce BADOLO est loin d’être un homme honnête.

  • Le 5 mai 2016 à 11:25, par ngoonga En réponse à : Situation nationale : Le Cadre d’expression démocratique exige un audit du Conseil national de la transition

    Intrnaute 2. Rectificatif ils ne sont pas du CGD mais plutot du CED. Ce sont des règlements de comptes auxquels le peuple BURKINABE ne se fera pas prendre.Pardon épargner les OSC de vos conflits de personne qui se cache derrière le mot OSC.

  • Le 5 mai 2016 à 13:05, par maanneere En réponse à : Situation nationale : Le Cadre d’expression démocratique exige un audit du Conseil national de la transition

    Mr zaida,un peu de cohérence !vous dites non a l’imixion des osc dans les décisions de justice ce et en même temps vous montrer a la justice ce quelle doit faire.vous étés simplement amère pour n’avoir pas pris part a la transition.

  • Le 5 mai 2016 à 13:10, par Sidpawalemdé Sebgo En réponse à : Situation nationale : Le Cadre d’expression démocratique exige un audit du Conseil national de la transition

    Amusant...
    Ceux la même qui ont milité pour la modification de l’article 37, qui ont traité l’insurrection de "coup d’état" et "changement non constitutionnel de pouvoir" revendiquent aujourd’hui l’insurrection populaire des 30 et 31 Octobre comme la leur ! Si le ridicule tuait...

    Mieux, après avoir été incapable de mobiliser suffisamment pour empêcher l’insurrection malgré qu’ils avaient le pouvoir d’état, les moyens financiers et matériels, la police et l’armée, après avoir en vain essayé de mobiliser contre le CNT, le nouveau code électoral et contre le gouvernement Zida, après avoir échoué à mobiliser pour soutenir le coup d’état le plus bête du monde, voila donc que ces gens nous annoncent que "les jeunes" (lesquels ? Les mêmes qui les ont chassé du pouvoir ?) doivent s’apprêter parce qu’eux vont les mobiliser !!! Et contre quoi ? Contre les dirigeants de la transition qui ont géré le pays un an, pendant qu’on libère ceux qui ont pillé pendant 27 ans.

    Ils "exigent" de publier un audit que Zida lui même a demandé de faire en précisant qu’il devait être publié ! Mais ne parlent pas des audits qui ont valu des inculpations et arrestations des dignitaires du régime Compaoré. Ils fustigent les OSC qui commentent les décisions de justice mais eux même parlent "d’incarcérations arbitraires", de "prisonniers politiques" pour des gens qui ont détourné et/ou tué, et demandent au président d’interférer dans les procédures judiciaires ! Ils deviennent juges et experts pour apprécier des indices et preuves et les procédures ! Même pour des gens payés pour ça, c’est simplement à vomir de malhonnêteté, de prétention, d’incohérence et de duplicité...

    Mais ce que je ne comprends pas, c’est comment se fait-il qu’ils aient de tels relais et échos dans la presse malgré le peu de crédibilité de leurs déclarations ? Chacune de leurs conférences de presse fait le plein alors qu’ils sont notoirement connus comme griots. Pourquoi ?

  • Le 5 mai 2016 à 14:55 En réponse à : Situation nationale : Le Cadre d’expression démocratique exige un audit du Conseil national de la transition

    Pourquoi ne voulez vous pas d un audit de la du CNT ? Sy chérif l analphabète devenu patron par erreur de la transition a volé. Il faut qu il réponde .

  • Le 5 mai 2016 à 15:52, par TOUT RISQUES En réponse à : Situation nationale : Le Cadre d’expression démocratique exige un audit du Conseil national de la transition

    Mr zaida un peu de respect pour votre conscience et je pense que vous avez depassé aujourdhui les 18ans donc vous etes majeur.sachez que nul ne peut empecher le soleil de se lever ni de se coucher alors votre soleil s’est couché et prié le bon dieu qu’il vous accorde longue vie pourque vous assistez a la levée prochaine du soleil.Ainsi va la vie c’est la loi de la nature.la politique c’estb comme un match de football quand vous perdez commencer immediatement le prochain macth en la preparant soigneuseument sinon SI vous passez votre temps a critiqué l’adversaire il vous collera encore une nouvelle defaite.BONNE CHANCE A TOIET BEAUCOUP DE COURAGE.

  • Le 5 mai 2016 à 18:02 En réponse à : Situation nationale : Le Cadre d’expression démocratique exige un audit du Conseil national de la transition

    M Zaida, pourquoi tu ne demandes pas un audit des 27 ans du regime compaoré ? On sent de la malhonnêteté dans tes prises de positions. On sait que tu as soutenu la modification de l’article 37, tu es contre la transition, mais soit au moins un peu honnete. Demande un audit des 27 ans de pouvoir du CDP et les caisses de l’état seront bien pleine et le peuple sera à l’abri du besoin.

  • Le 5 mai 2016 à 18:02, par Ali Diallo En réponse à : Situation nationale : Le Cadre d’expression démocratique exige un audit du Conseil national de la transition

    BRAVO LA JEUNESSE

  • Le 5 mai 2016 à 22:50, par Dibi En réponse à : Situation nationale : Le Cadre d’expression démocratique exige un audit du Conseil national de la transition

    Faisons attention à ce que l’on dit : "l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre ne saurait être une constitution pour gérer le Burkina Faso".
    Ce propos relève d’un révisionnisme réactionnaire mesquin ; car si le soulèvement populaire du 30 et 31 ne constitue pas une constitution, il en est et sera la matrice de cette dernière. Et ce soulèvement (passé ou à venir dans l’histoire de notre peuple) constitue un moment d’affirmation et de définition historique de notre peuple en acte de lutte, de résistance contre un régime néocolonial félon ; soulèvement qu’il a payé par le sang versé de ses martyrs que nul n’a le droit de mépriser ou de mésestimer par des considérations désinvoltes. Moment qu’aucune argutie ou ergotage de formalisme juridique ne saurait nier ou contester. C’est un moment fondateur dont le pouvoir MPP a récupéré les suites, faute d’un développement révolutionnaire de rupture.
    Avant donc de demander des comptes à la Transition (qui doit aussi des comptes à notre peuple) , allons par étapes et par nécessité.
    Pendant que les enquêtes sur la gestion de la Transition continuent, le peuple burkinabè est en droit de demander à l’équipe MPP aux affaires deux exigences :
    - laisser une justice indépendante instruire la gestion criminelle du régime Compaoré et ses suites.
    - s’occuper de gouverner le pays de façon cohérente et non erratique et irresponsable suivant la mission programmatique électorale qu’ils se sont fixés ; et non prendre les Burkinabè pour du bétail électoral à qui ont fait des promesses et on continue comme avant au temps de l’ère Compaoré qu’ils ont servi au sommet.
    Au regard de cette double exigence, tous les Burkinabè ont droit à la parole contre tous ceux et celles (personnalités ou groupes d’individus) qui ont des desseins de régression sociale et d’escamotage politique sur des bases révisionnistes réactionnaires.

  • Le 6 mai 2016 à 01:39, par le rempart En réponse à : Situation nationale : Le Cadre d’expression démocratique exige un audit du Conseil national de la transition

    Est ce le meme zaida qui soutenait bec et ongle blaise c ou c un autre ?

  • Le 6 mai 2016 à 05:30, par le rempart En réponse à : Situation nationale : Le Cadre d’expression démocratique exige un audit du Conseil national de la transition

    Moi je décerne le prix blaise compaore pour la honte et la politique du ventre a pascaline zaida et son mouvement de merde dont j’ai pas le nom !!

  • Le 6 mai 2016 à 09:30, par Dibi En réponse à : Situation nationale : Le Cadre d’expression démocratique exige un audit du Conseil national de la transition

    Faisons attention à ce que l’on dit : "l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre ne saurait être une constitution pour gérer le Burkina Faso".
    Ce propos relève d’un révisionnisme réactionnaire mesquin ; car si le soulèvement populaire du 30 et 31 ne constitue pas une constitution, il en est et restera la matrice de cette dernière. Et ce soulèvement (passé ou à venir dans l’histoire de notre peuple) constitue un moment d’affirmation et de définition historique de notre peuple en acte de lutte, de résistance contre un régime néocolonial félon ; soulèvement qu’il a payé par le sang versé de ses martyrs que nul n’a le droit de mépriser ou de mésestimer par des considérations désinvoltes. Moment qu’aucune argutie ou ergotage de formalisme juridique ne saurait nier ou contester. C’est un moment fondateur dont le pouvoir MPP a récupéré les suites, faute d’un développement révolutionnaire de rupture.
    Avant donc de demander des comptes à la Transition (qui doit aussi des comptes à notre peuple) , allons par étapes et par nécessité.
    Pendant que les enquêtes sur la gestion de la Transition continuent, le peuple burkinabè est en droit de demander à l’équipe MPP aux affaires deux exigences :
    laisser une justice indépendante instruire la gestion criminelle du régime Compaoré et ses suites.
    s’occuper de gouverner le pays de façon cohérente et non erratique et irresponsable suivant la mission programmatique électorale qu’ils se sont fixés ; et non prendre les Burkinabè pour du bétail électoral à qui ont fait des promesses et on continue comme avant au temps de l’ère Compaoré qu’ils ont servi au sommet.
    Au regard de cette double exigence, tous les Burkinabè ont droit à la parole contre tous ceux et celles (personnalités ou groupes d’individus) qui ont des desseins de régression sociale et d’escamotage politique sur des bases révisionnistes réactionnaires.

  • Le 6 mai 2016 à 12:22, par Paix En réponse à : Situation nationale : Le Cadre d’expression démocratique exige un audit du Conseil national de la transition

    Ce nommé ZaÏda me fait honte. Après avoir défendu bec le ongles la modification de l’article 37 et le coup d’état lâche, tu trouve moyen de venir parler comme tu as participer à l’insurrection. Tu ne mérite même la nationalité burkinabè.

  • Le 6 mai 2016 à 18:34 En réponse à : Situation nationale : Le Cadre d’expression démocratique exige un audit du Conseil national de la transition

    Il me fait honte ce pascal zaida. Aucune dignite, aucune fierté. Tu merite pas d’être burkinabé