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Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

mercredi 17 février 2016.

 

Le ministre d’Etat, ministre de l’Administration territoriale et de la sécurité intérieure, Simon Compaoré était face aux responsables des compagnies de téléphonie mobile dans la matinée du 16 février à Ouagadougou. Telecel, Telmob et Airtel ont un rôle majeur à jouer pour la sécurité de l’ensemble du territoire, ceci par l’identification de tous les clients. Ce rôle leur a été rappelé. « Personne, quelle que soit sa qualité, ne doit détenir une puce sans être identifié », a martelé Simon Compaoré.

Simon Compaoré, ministre d’Etat, ministre de l’Administration territoriale et de la sécurité intérieure veut la collaboration des compagnies de téléphonie mobile pour assurer la sécurité du territoire. Instrument incontournable, le téléphone portable est l’outil utilisé par tout le monde, pour de bonnes ou mauvaises actions. D’où l’importance de connaitre la vraie identité qui se cache derrière chaque numéro.

Le ministre a donc invité les patrons de compagnies de téléphonie mobile à identifier tous leurs clients. « Personne, quelle que soit sa qualité, ne doit détenir une puce sans être identifié », a martelé Simon Compaoré.

Il a en outre invité ses interlocuteurs à collaborer avec les services de l’Etat en charge de la sécurité des biens et des personnes, pour neutraliser d’éventuels actes qui sont de nature à compromettre la quiétude des citoyens et la marche de la république. Il leur a été demandé de ne constituer aucune entrave à la collaboration. « C’est parce qu’on vit qu’il y a des sociétés de téléphonie… », a-t-il indiqué.

Tous les abonnés sont identifiés, mais…

En réponse, les trois patrons des compagnies de téléphonie mobile ont tous loué l’initiative. Selon eux, en tant que qu’entreprises qui se veulent citoyennes, elles ont intérêt à jouer leurs partitions aux cotés des autorités. D’une même voix, ils ont rassuré que l’identification de leurs clients est presque complète. Qu’elles soient de Telecel, Telmob ou Airtel, toutes les puces ont un nom derrière. Le hic, c’est la fiabilité de l’identification. Entendez par là que les compagnies de téléphonies n’ont pas de moyen de vérifier l’authenticité du document qui a servi à l’identification d’un client.
Avec donc une fausse carte d’identité, un faux passeport, une fausse carte professionnelle, les téléphonies enrôlent tout le monde. Une collaboration avec l’Office nationale d’identification est donc en vue pour assurer la fiabilité des bases de données des différentes compagnies.
En plus de la fiabilité de la base des données, il y a le fait que ce n’est pas forcément celui qui a été identifié qui utilise la puce.

« Nous avons des bases des données déjà identifiées. Toutes les SIM sont identifiées. Le travail reste la fiabilisation de ces identifications. Notre relation déjà engagée avec l’ONI (Office national d’identification, ndlr) et avec la sécurisation des canaux de vente, dans les semaines et mois à venir, nous arriverons à de bons résultats » a rassuré le premier responsable de Telmob, Sidi Mohamed Naimi.
Pour le directeur général de Airtel, l’identification des abonnés est un problème crucial et difficile à la fois. Et c’est déjà important d’en parler. « Au cours des échanges, il est clairement ressorti que nous allons collaborer avec les services du ministère de la sécurité, notamment l’ONI afin de qualifier nos bases d’abonnés qui sont en réalité identifiées, mais qui pour certains cas ne sont pas très fiables. Il y a des noms, des dates de naissance sur des numéros, mais la question c’est la fiabilisation des identités », a pour sa part ajouté Ben Cheick Haïdara, le DG de Airtel.

« Nous regardons ensemble dans la même direction », ont rassuré les trois opérateurs au ministre.

Difficile de rencontrer les compagnies de téléphonie mobile sans parler de la qualité de leurs services. Et Simon Compaoré n’a pas raté l’occasion, même s’il a rappelé que cela n’est pas de son ressort. Mais étant donné que c’est une question récurrente et susceptible de provoquer des troubles, le ministre d’Etat, ministre de l’Administration territoriale et de la sécurité intérieure a invité les opérateurs à faire plus d’efforts pour améliorer leurs prestations.

Tiga Cheick Sawadogo (tigacheick@hotmail.fr)
Lefaso.net



Vos commentaires

  • Le 16 février 2016 à 22:38, par vérité no1 En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    D’accord avec Simon, il faut identifier les abonnés, mêmes ceux qui ont plusieurs numéro pour leurs maîtresses, on veut connaître qui elles sont réellement ! Ah ah ah, tout va se savoir !!!!

  • Le 16 février 2016 à 22:42, par vérité no1 En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Celui qui ne veut pas se faire identifier, eh bien, qu’il vive sans téléphone comme un taliban ! Point barre ! La sécurité d’abord ! Point barre !

  • Le 16 février 2016 à 23:29 En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    le populisme là c’est bon maintenant là...ça me rappelle les paresseux lorsqu’on cultivait les champs passaient le temps à faire plus de bruit pour donner l’impression qu’ils travaillaient comme nous

  • Le 17 février 2016 à 04:17, par wègda En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Papi Simon, n’oublie pas d’identifier les chambres de passe aussi. Vraiment tu travailles beaucoup hein. As tu toujours les reins solides ?

  • Le 17 février 2016 à 07:25, par Baroudeur En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    En parlant d’identification, les compagnies de telephonie mobile ont une grande part de responsabilite. Les SIM cartes se vendent a portee de main partout sans identification. La CNIB et le passeport doivent etre des pieces maitresses pour l’identification. Les cartes d’identite professionelles devront etre exclues. Une copie des documents ci-cites devra etre attachee au formulaire d’identification. Les companies de telephonie devront a leur tour faire des photographies recentes des personnes sollicitant l’achat d’une SIM carte. Tout le dossier complet devra etre scanne et conserver pour faciliter les recherches.

  • Le 17 février 2016 à 07:35, par KIDA En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    beaucoup de courage au ministre. Que les responsables des téléphonies jouent leur rôle. celui qui se fait pas identifié qu’on retire sa puce.

  • Le 17 février 2016 à 07:39, par wedaga En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    La qualité des services de ces réseaux est même primordiale pour assurer les services. Comment peut on participer à la lutte contre les personnes mal intentionnées si la communication et la navigation sont nulles. Aucun de ces réseaux ne fait un effort pour satisfaire les clients. Il faut laisser d’autres réseaux démontrer de quoi ils sont capables, notamment ORANGE qui fait ses preuve en RCI et au Niger

  • Le 17 février 2016 à 07:46, par peulh En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Bonne initiative, mais l’identification seulement ne suffit pas car beaucoup utilisent des pièces d’identité ramassées dans la rue pour se procurer des puces. Je propose que les téléphonies mobiles lance une Campagne d’identification physique avec pièces d’identité en Main. C’est à dire que pendant ce temps, tous les abandonnés doivent se présenter aux agences pour se faire identifier et si possible recueillir leurs empruntes digitales. Avec sa, je pense tous ce qui detiendrait des puces seront réellement les propriétaires et tous le monde sera en sécurité.

  • Le 17 février 2016 à 07:46, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    - Je suis entièrement d’accord avec Mr SIMON et je le soutien d’ailleurs pour cette décision. Cependant, il faut avant tout exiger des compagnies de téléphonie un travail de qualité ou les dégager. Personnellement j’ai remis 3 fois la copie de ma CNIB mais toujours on me réclame une copie encore. C’est pour faire quoi avec ? Est-ce pour utiliser pour d’autres ? Je n’en sais rien !

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 17 février 2016 à 08:14 En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Simon doit demissionner

  • Le 17 février 2016 à 08:16, par ragomzanga En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    La sécurité d’un pays est avant tout du ressort de tous les citoyens avant d’être l’apanage de ceux en charge de la sécurité à savoir la police, la gendarmerie, les militaires, les experts et autres....Il faut aider le Ministère de la sécurité intérieure....
    RAGOMZANGA

  • Le 17 février 2016 à 08:30, par sheiky En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Il est clair qu’il faut identifier tout le monde. Celui qui prend une puce en son nom pour la donner à quelqu’un d’autre doit savoir qu’il est juridiquement responsable de l’utilisation de cette puce. Si vous n’en avez plus besoin il faut détruire ou la remettre à l’opérateur. Ce sont de petites bonnes pratiques qui peuvent résoudre des problèmes et apporter une bonne dose de discipline au Faso.
    Il faut également mieux maîtriser les points de ventes. Tous les opérateurs doivent avoir des lieux bien identifiés de vente des puces. Il faut utiliser les commerces et en homologuer dans chaque quartier où chaque endroit important. La délivrance d’une puce ne pas être banalisée comme actuellement même si elle doit demeurer accessible à tous. De toute façon les gens s’y plieront parce que le besoin ne disparaîtra pas avec plus de rigueur

  • Le 17 février 2016 à 08:44, par changeons En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Simon, tu as notre soutien. La sécurité, c’est l’affaire de tout le monde. Celui là qui pense que ton action n’est que du populisme n’a qu’à aller voir les grecs. Bon vent à toi Simon, et à toute ton équipe. Courage. On te suit et on te crois.

  • Le 17 février 2016 à 08:53, par le mandib En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    je suis d’accord pour "un numéro de téléphone un nom"il faut plutôt vaincre ces pirates qui possèdent des numéros d’autres pays ,qui se trouve ici au Burkina et qui les utilisent à d’autre fait .

  • Le 17 février 2016 à 09:19, par JeSuisOuaga En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Je travaille dans le domaine en tant qu’ingénieur. Depuis près de 10 ans, il est demandé aux opérateurs d’identifier les usagers. Le secteur de la telecommunication est un domaine de SOUVERAINETE NATIONALE. C’est un processus d’autant plus urgent que les terroristes, voleurs, putschistes,braqueurs utilisent les telephones en toute impunité pour s’organiser et tuer et disparaitre.
    Il faut couper les lignes non identifiées et pénaliser les operateurs.

  • Le 17 février 2016 à 09:35, par lewang En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Un domaine ou il faut ouvrir lóeil est que celui des grossistes. il má été donner de remarquer que pour contourner la mesure et écouler beaucoup les puces déjà actives, l’operateur demande au grossistes de s’identifier (par ignorance ou cupidité) sur plusieurs puces qu’il a commande. après celui ci les revend (déjà identifies a son nom) aux clients qui n’ont plus besoin de s’identifier, puisque déjà actifs. Si ces acheteurs commettent un délit et on remonte la chaine, vous verrez que c’est au nom d’un grossiste. Le deuxième phénomène, ce sont les interventions (revendeurs) auprès de ces operateurs. tu es presse et tu remets la photocopie de ta pièce, et après, ca sera démultiplier pour activer d’autres puces a ton insu. Dc faites bcp attention ! ensemble on va vaincre le mal !

  • Le 17 février 2016 à 09:45, par Kasseto En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Vouloir cest pouvoir ,dans un monde ou les portables et ses derivés se vendent comme des arachides, je me pose la question comment notre CDR FATIGUE pourra appliquer cette loi. La ou le FBI a echouer a new york ou certains operateurs pour recuperer la clientele errante par manque d identite legale.demande de glisser un nom ,neme un nom d oiseau et ton puce est activé. A moins que notre CDR applique sa rigueur maximale en attibuant cette vente de puce a la police ou la gendarmerie. Ce CDR en est capable.

  • Le 17 février 2016 à 09:47, par Omso La Joie En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    BONNE RÉFLEXION M.LE MINISTRE.
    INTERNAUTE 1 NE CROIS TU PAS K CE SONT LES FEMMES KI ONT +SIEURS PUCES POUR LEUR VAGABONDAGE SEXUEL ?

  • Le 17 février 2016 à 09:47, par Ah non pour nos maitresses ! En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Par exemple moi, pour mes maitresses, c’est mon identité qui est là-bas. Ce n’est pas tout qui doit se savoir. Si ma maitresse utilise son portable dont la puce est identifiée à mon nom et autre, c’est moi qui suis responsable. Alors pourquoi " Verité n°1" s’acharne sur nos maitresses. Le problème, ce sont les puces sans identité. Par conséquent, il ne faut pas angoisser nos maitresses. Fo pa facé, nou samizé !

  • Le 17 février 2016 à 10:54, par VP En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Moi je vais me permettre de donner quelques conseilles au nouveau Ministre chargé de la Sécurité :
    1- Il faudra revoir votre système ou manière d’approche.Je veux dire par là d’éviter de tout faire vous même ;
    2- Faites entièrement confiance aux spécialistes de Sécurité qui sont à vos cotés ;
    3- Planifiez vos actions et vos interventions devant la Presse ou en Public ;
    4-Évitez de menacer vos collaborateurs ou de les faire des remarques en présence d’autres personnes ;Car ils sont dangereux et mauvais ;
    5-Soyez effacé car un Ministre de la Sécurité n’est pas comme un Maire qui doit être chaque fois partout ;
    6- Vous devrez jouer un rôle de stratége . C’est à dire vous devrez constituer un cabinet composé d’hommes ayant la capacité stratégique de sécurité.
    7-Ne mélangez surtout pas la Stratégie à l’opérationalisation ni à l’exécution ou à la tactique.

  • Le 17 février 2016 à 11:44, par Fatim En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Je suis bien d’accord, la faute incombe aux compagnies de téléphone qui vendu les puces à travers des intermédiaires pour plus de chiffres d’affaires. même qd tu a payé ta puce au siège avec ta pièce, bien identifié, on t’envoie message que tu n’es pas identifié et qu’il faut repasser avec les mêmes doc. que les gens fassent leur travail correctement et laissent les autres vaguer à leurs occupations.

    A cette mesure, il faut aussi contrôler les consommations d’unités, car pour un "sans emploi fixe ou indéterminé" qui consomme bcp ds la com, suspicion et interpellation pour le lutte contre le grand banditisme.

    Aussi, il faut contrôler les immigrations et l’exode rural. Exiger l’établissement de papier par l’administration pendant l’exode, le motif, et le suivi pour éviter que l’intéressé ne tombe dans le grand banditisme par manque de travail.

  • Le 17 février 2016 à 13:30, par baonfou En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Il Faut qu’on reste vigilant. avec une population non lettrée et qui cherche tous les jours à trouver des solutions pour une vie meilleure, toute offre alléchante est bien à prendre.
    On cherche là, à déplacer le problème pour faire encore des victimes innocentes.
    Les compagnies de téléphonie mobile sont les seules coupages et s’il y a une action à mener pour la sécurité de tous, c’est là bas qu’il faut s’orienter. Combien coûte une puce de téléphone aujourd’hui ? on peut avoir aujourd’hui 5 voir 10 puces pour la même compagnie de téléphone. Alors les puces sont jeté partout dès la fin des promotions fantaisistes. Pendant que ces même promoteurs disent être incapable de diminuer le coût de la communication ils font des promotions de 300% pour les nouvelles puces ? Il faut vous attaquer au vrai problème s’il vous plait.

  • Le 17 février 2016 à 14:06 En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    ET OUI IL FAUT LE FAIRE

  • Le 17 février 2016 à 14:33, par victoire En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    du courage Simon tu y arrivera le Burkina compte beaucoup sur toi
    c’est sur le terrain que tout se joue

  • Le 17 février 2016 à 15:15, par ladjitoua En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Pendant qu’on y est, que fait-on des numéros masqués ? N’est-ce pas une forme de délinquance ?

  • Le 17 février 2016 à 16:01, par Zounofol En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Ét si on exigeait un certificat de résidence pour avoir une carte SIM, on gagnerait en recettes fiscales. On pourrait aussi demander une contribution de ses compagnies qui se font des milliards sur le dos de nos pauvres collectivités en installant les pillon mème dans les lieux d,habitation alors la couverture est médiocre.

  • Le 17 février 2016 à 16:39, par BB En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Bonne initiative ! Mais j’ai un problème à soumettre. Quelqu’un peut il m’aider ? En 2005, j’ai acheté une SIM Celtel (aujourd’hui Airtel) immatriculée à mon nom. Après environ deux ans d’absence du pays entre 2009 et 2010, ma SIM a été interrompue. De retour au pays, je me suis rendue à Airtel Bobo pour récupérer ma SIM, l’agent commercial qui m’a reçu m’a fait comprendre que je ne pouvais plus entrer en possession de cette dernière. J’ai donc demandé de supprimer mon nom de leur base de donnée comme utilisateur de cette SIM, il m’a répondu que c’était impossible. J’ai donc pris une nouvelle SIM pour laquelle qu’il me dit qu’il est une fois de plus impossible de l’immatriculer à mon nom parce qu’étant déjà au nom d’une autre personne. La solution proposée c’est de venir ensemble avec la personne dont le nom est attributaire de la SIM que j’utilise actuelle avant de procéder à changement. Comment faire pour retrouver ce dernier ? Comment aussi faire pour résilier de la base de donnée de Airtel pour ma toute première SIM Celtel ? Ces pratiques de Airtel sont elles normales ? J’ai eu le même cas avec Telecel qui a résolu mon problème.

  • Le 17 février 2016 à 17:18, par André En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Ce TYPE (Simon) est un vrai bosseur, un patriote qu’il faut accompagner !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  • Le 17 février 2016 à 17:25, par vérité no1 En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Vous avez raison internaute 19, ça ne permet pas d’identifier les maîtresses ( ça me fait mal ). On doit voter une loi pour fouiller les chambres de passe, j’etais contre mais c’est la meilleure manière de lutter contre le terrorisme sexuel ! Les Ouagalais ne dorment pas la nuit et si cette énergie devrait être appliquée pour le développement, on allait être parmi les premiers !!!!!!

  • Le 17 février 2016 à 17:45, par Gabson En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    J’ose croire qu’il n’yaurait plus de numéros masqués. Dans tous les cas, je ne les décroche plus !

  • Le 17 février 2016 à 17:52, par L’alternateur En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Bonjour chers internautes,
    Nous allons petit à petit découvrir toutes les informations sur l’insurrection. N’est ce pas avec des puces ghaneenne que l’insurection a été préparée ? Voilà pourquoi toutes ces précautions sont prises, mais c’est peine perdue. Les mêmes causes produisent les mêmes effets mon cher SIMION. Tout va se savoir et ce jour là, alors la sirène de la mairie annoncera le départ nocturne de certains pyromanes. Wait and see the. ........

  • Le 17 février 2016 à 18:03, par Droit d’expression En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Je n’aime pas Simon, mais je le soutiens dans cette initiative. Il faut que les compagnies en question arrêtent de vendre les puces n’importe comment. L’identification des abonnés permettra de suivre ceux et celles qui constituent une menace pour la sécurité de notre pays. Ceux qui n’y sont pas favorables devraient se passer tout simplement de téléphone portable. Courage à Simon sur ce point !

  • Le 17 février 2016 à 18:09 En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    dites aux opérateurs de faire leur travail, on ne va pas s’identifier chaque année quand même, on est fatigué chaque année c’est pareil, moi sa fait plus de cinq fois que je m’identifie

  • Le 17 février 2016 à 18:43, par zerbo En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Je soutiens Mr Simon mais il faudra mettre les policiers et les gendarmes aux renseignements que de laisser les militaires et les sapeurs pompiers gerer renseignements du pays. ils n’ont pays pas leur places aux renseignement

  • Le 17 février 2016 à 20:11 En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Dites aux opérateurs de faire leur travail. Comment prendre qu’une SIM payée avec la copie de CNIB pour les besoins de l’identification peut 5 ans plus tard n’être pas correctement identifié ? Et quand tu veux comprendre, la personne chargé de vous recevoir vous dit qu"elle même ne comprend pas et ne peut pas d’expliquer.

  • Le 18 février 2016 à 00:36, par wenlasida En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    A mon avis monsieur le ministre d’Etat avec tout le respect que je vous dois, on pouvait faire mieux avec peu. Il vous suffisait de faire un courrier confidentiel mentionnant le pourquoi de cette décision(Sécuritaire) et précisant une date butoir charge aux téléphonies de vous donner à échéances un rapport chacun. Tel que éventré je crains que ces voleurs et autres brigands ne prennent des CNIB volées pour se procurer des puces par exemple. Je me demande tel que fait qu’elle est la finalité(identification ? sécuriser d’avantage,...)
    Afin peut être que je me trompe mais pour moi on pouvait faire mieux et en silence.

  • Le 18 février 2016 à 07:44, par DAO En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Internaut 11 je suis parfaitement d’accord avec vous : il faut aider le ministre car la sécurité c’est l’affaire de tous. je salue cette initiative du ministre. Il faut un nom dernière chaque puce ; mais la question essentielle est la suivante : ce nom est-il bon ou faux par rapport à l’identité de l’utilisateur ?
    d’où deux questions essentielles
    1 quelles sont les pièces exigées ?
    - pour les nationaux, à mon avis il faut limiter à deux : la CNIB et le passeport national .
    - pour les étrangers instituer un certificat d’identification délivré par le service d’immigration ; ce certificat pourrait servir comme document officiel pour s’abonner à une telelphonie mobile. je comprends le desagrement que cela pourrait creer parmis nos frères étrangers, mais une bonne communication avec eux pourrait les convaincre. Il ne s’agit pas d’une carte de séjour comme en Côte d’Ivoire à l’époque et pour lequel les étrangers étaient persécutés !
    2 la viabilité des CNIB et passeport nationaux : il faut faire périodiquement, des rapprochements en les differentes base de données de la police Police et le Centre d’identification Nationale.

  • Le 18 février 2016 à 11:16, par OCy En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Etant donné que beaucoup veulent que les autorités mettent bcp de moyens dans la sécurité comme si le trésor était un puits inépuisable et qu’en même temps on évite ou feinte les impôts, je propose qu’on augmente la communication de 0.1F (1.6F/mn au lieu de 1.5F/mn). Les 0.1F/mn seront reversés à l’Etat pour la sécurité à chaque fin d’année

  • Le 18 février 2016 à 11:52, par DAO En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    je soutiens la proposition de l’internaut 37 Ocy

  • Le 18 février 2016 à 17:08 En réponse à : Sécurité du territoire : Simon Compaoré veut un nom derrière chaque puce de téléphone

    Bravo monsieur le ministre, vous avez le soutien des burkinabè car c’est un pas de plus pour la sécurité du pays. Mais ce sont les opérateurs qui doivent fournir l’effort financier pour résoudre ce problème ; ils engrangent des bénéfices depuis plusieurs années ; c’est le moment de montrer aussi leur attachement au Faso. Cela ne sera pas juste de faire encore peser cela sur le Peuple.
    Merci
    Dieu bénisse le Burkina