Retour au format normal
lefaso.net

Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

samedi 6 février 2016.

 

Monsieur le Ministre,

Je suis triste et profondément heurté de constater le nombre élevé de villas inhabitées dans la cité des logements sociaux de Bassinko. On dénombre à peine une villa sur cinq des logements régulièrement attribués depuis juillet 2013. Ce constat de villas abandonnées est incompréhensible dans une ville comme Ouagadougou où les besoins en logement étaient estimés déjà à « 8000 logements par an en 2006 » d’après le contexte justifiant le projet 10 000 logements sociaux.

Ce projet, me semble-t-il, a fait du souci d’équité, de justice dans l’accès au logement des personnes aux revenus moyens une priorité des priorités. En mettant en place cette politique publique de logements sociaux, l’Etat entendait apporter une « thérapie de choc » au fléau du logement dans la ville de Ouagadougou. Malheureusement, à l’issue des attributions des logements de la cité de Bassinko, le rêve de bon nombre de citoyens s’est transformé en cauchemar.

Ainsi, les mêmes pratiques révoltantes dans l’attribution de ces logements sociaux continuent leur petit bonhomme de chemin. Des Burkinabè lambdas comme Madame KONKOBO/ THIOMBIANO POSSIBO dont le témoignage publié par Lefasonet du 12 novembre 2014, se rendent compte des faux espoirs suscités par nos gouvernants. En effet, comment peut-on imaginer que des citoyens comme Madame KONKOBO/ THIOMBIANO qui ont accepté de brader les scolarités de leurs enfants pour les logements sociaux de Bassinko en sont toujours à la quête tandis que des « privilégiés » reçoivent ces dits logements depuis juillet 2013 et les abandonnent jusque là aux reptiles et aux voleurs ?

Et mieux, des bénéficiaires véreux ont cédé leurs logements aux adeptes de transformation de maisons d’habitation en église avec la faveur et le silence coupable des autorités compétentes. D’autres acquéreurs plus nantis ont déjà rasé les villas acquises pour de somptueux duplex ne répondant plus à l’esprit du social et au grand dam des autres résidents.

Rien ne justifie cet état de fait du moment où le projet des logements sociaux de Bassinko avait été présenté par l’Etat comme une politique visant à créer des villes nouvelles afin d’abriter des citoyens aux conditions modestes à l’exemple de l’Asie. Cette politique est pourtant bien soutenue par certaines structure de l’Etat comme la SONABEL et l’ONEA qui ont mis en place des mécanismes facilitant les modalités de branchement moyennant seulement 30 500 FCFA pour l’accès à l’eau potable et 59 000 FCFA pour l’électricité en moins de trois semaines. A cela s’ajoute-le fait que des infrastructures sociales comme le plateau omnisport, l’école primaire, le CSPS (dispensaire, maternité et logements infirmiers etc.) sont complètement réalisées. Malgré tout, ces spéculateurs entendent exploiter la misère des pauvres et augmenter le nombre de sans-abris dans la ville de Ouagadougou.

En tant que citoyen, je suis en droit de m’alarmer et de me poser des questions : Bassinko, est-ce un programme de logement mal réfléchi, dénaturé ou plutôt mal géré ? On pourrait dire au risque, de se tromper, que les vieilles et mauvaises habitudes, en plus d’avoir la peau dure, ont de plus en plus raison des convictions et engagements de nos gouvernants. Le citoyen à qui l’État doit assistance et protection se rend malheureusement compte que ses peines et souffrances ont encore de beaux jours devant lui. Les larmes des pauvres vont devoir couler davantage à défaut d’avoir à leur côté des femmes et des hommes sensibles à leur sort.

Monsieur le Ministre, en choisissant ce moment précieux où vous vous installez en qualité de premier responsable du ministère de l’Habitat et de l’Urbanisme, je vous invite à prendre des mesures afin que les logements sociaux inhabités de Bassinko reviennent à ceux pour qui cette politique de logements sociaux a été véritablement mise en place. J’ai foi que cette requête qui vise plus de justice, d’équité et de solidarité dans les programmes de logements sociaux figurera en bonne place dans vos premières actions à la tête de ce ministère.

Veuillez, Monsieur le Ministre, excuser la liberté que j’ai prise en vous exposant ce triste tableau et vous prie de croire en l’assurance de ma haute considération.

Charles B.



Vos commentaires

  • Le 5 février 2016 à 15:39, par fifi En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    en fait ces maisons ont des propriétaires qui veulent demenagé mais l’absence d’eau, d’electricité et de route empêche le bon vivre. en plus de la distance, l’obscurité est source d’insécurité. dans les logements wendpenga, il n’ya aucune viabilisation . les routes ne sont pas degagées.

  • Le 5 février 2016 à 15:52, par moi meme En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    j’ai acquis une villa a basinko, je ne peux pas déménager pour les problèmes dinsécurité, les murs font 3 couches, pas de plafond et la maison demande des retouches, je suis a cours d’argent scolarité des enfants et prets pour payer l’avance de la maison, il me faut attendre d’ici avril pour demander un autre pret pour élever les murs, revoir la peinture, plafond avant de démanager, aussi l’état de la route me fait peur, pourtant on avait dit qu’elle sera bitumé, voici la réalité

  • Le 5 février 2016 à 16:04, par kajo En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    C’est bien beau de construire une citée. Mais il ne faut pas oublier que la voie d’accès à la citée est pratiquement impraticable en saison pluvieuse. Je crois qu’il fallait commencer par la construction d’une bonne route d’accès même sans bitûme, et vous verrez que toutes les villas seront prises d’assaut en si peu de temps.

  • Le 5 février 2016 à 16:06, par observateur01 En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Belle analyse ! La politique des logements sociaux doit être repensée ! Ils crient haut et fort que ce sont des logements destiné au Burkinabè moyen, alors qu’au regard de leurs criteres d’attribution, le Burkinabè moyen en est exclus ! Juste un petit echantillon pour justifier que c’est du social et le reste est vendue à des dizaines de millions !
    Au regard des salaires de nos fonctionnaires, combien sont ceux qui peuvent contribuer à hauteur de 100 000 francs et plus le mois pendant près de deux decenies !

  • Le 5 février 2016 à 16:23 En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    moi j’habite à quelques mètres de cette cité et je puis vous dire que l’un des problèmes de cette cité est le manque de routes, d’eau et d’électricité. aussi la distance et le mauvais état de la route reliant le rond point de la jeunesse à bassinko. cette route est très dégradée avec les manifestations contre la modification de l’Article 37 et le coup d’état du vaurien de Diendéré. le manque de route fait que cette cité et le quartier d’à côté est truffé de serpents (très venimeux en plus). je le sais car nous en tuons tous les jours que dieu fait dans nos cours et aux alentours de nos concessions je suis d’avis avec M. B. Charles pour dire aux autorités de faire quelques choses pour cette cité, car cela relève du bon sens et du respect pour leurs concitoyens pour lesquels ils sont aujourd’hui aux affaires. chaque jour que je rentres et sortes de chez moi j’ai une seule impression de ma personne. je ne suis pas comme les autres BURKINABÉ qui sont juste à côté de moi,. eux ils ont l’eau, l’électricité et les routes sans avoir à corrompre un agent de l’ ONEA, sans avoir à acheter un poteau SONABEL. mais habiter chez moi est ma source de détermination et je dis aux dirigeants actuels que nos souffrances se transformeront en malédictions sur eux si ils le font par mépris.

  • Le 5 février 2016 à 16:24 En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    logements dit sociaux n’ont que le nom car hors de portée des plus pauvres. Quand on regarde cette cité, les questions sautent aux yeux : est-ce un standing adéquat pour les familles qui ont souvent 10 personnes et plus à loger ? la route du centre de Ouaga pour s’y rendre est un véritable risque au vue de sa vétusté ! que dire de la qualité des finitions ? de loin, on voit que c’est très médiocre comme le souligne l’internaute 2 qui doit chercher un prêt pour la réparer !

  • Le 5 février 2016 à 16:26, par de En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Ok pour l’analyse. Mais le phrase "D’autres acquéreurs plus nantis ont déjà rasé les villas acquises pour de somptueux duplex ne répondant plus à l’esprit du social et au grand dam des autres résidents" n’a pas sa place.
    La cité peut évoluer

  • Le 5 février 2016 à 16:27, par BKS En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    M.Charles, vous faites bien d’interpeller M. le Ministre sur la question des logements sociaux de Bassinko. Seulement, vous n’êtes pas aller au bout du problème. En effet, vous auriez fait une bonne lettre si vous vous étiez donné la peine d’approcher quelques bénéficiaires non résidents des logements sociaux pour comprendre pourquoi ils n’y sont pas. Beaucoup vous diront qu’ils n’y sont pas parce qu’il y a pas d’eau, d’électricité, l’état des voies, la voie rouge reliant la route de Ouahigouya aux cités n’étant pas éclairée, il y a l’insécurité (je vous informe qu’il y a ni un commissariat ni un poste de gendarmerie à côté). Ces raisons que j’ai données ne sont que quelques unes. Pour votre gouverne, je vous apprend que si avec les maigres salaires, les gens acceptent supporter les traites pour ces logements et encore payer mensuellement des loyers, c’est qu’ils n’ont pas le choix. M.Charles, si votre écrit n’est pas teinté de jalousie, je vous invite à vous déplacer sur le terrain afin de voir les conditions de vie des résidents. L’ONEA dit que l’eau c’est la vie ? Une barrique d’eau te coûte 500 F souvent 750 F.

  • Le 5 février 2016 à 16:33, par un habitant du coin En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Aucune voirie, en cas de pluie on est inquiet ! pas d’éclairage, pas de routes ! Cestes l’Etat a beaucoup de priorités, mais les promoteurs doivent faire pardon aussi. il faut investir des sommes importantes dans ces maisons ( réfections, fissures en pagaille, pas de clôture, les serrures à changer, peinture, les portes intérieures, salon et chambres à agrandir, terrasse à faire, toilettes extérieur et intérieur, je m’arrête là, etc...) pour pouvoir y habiter. sinon Ayaaaaa.

  • Le 5 février 2016 à 16:36, par Mawuéna En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Mmm....ce n’est pas parce qu’on n’est propriétaire qu’on est "sans-abri" !

  • Le 5 février 2016 à 16:51, par changeons En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    BKS, si vous dites "Seulement, vous n’êtes pas aller au bout du problème, au lieu de critiquer son écrit, il faut simplement le compléter avec ceux vous vivez. C’est en complétant son écrit que l’on aura une situation exhaustive et permettre aux autorités de prendre le problème au sérieux.

  • Le 5 février 2016 à 17:06 En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    M. Charles B. ; Je suis désolé pour vous ; ce n’est pas de cette façon qu’on pose un problème. Les attributions ont été faites sur la base de critères qui sont définis par le Ministère ; (Revenu salarial, n’être pas déjà attributaire d’un logement social, etc...) ; Si tu as des exemples attributions qui ne sont pas conformes aux critères il faut les dénoncer ; Et de plus ce que tu ignores c’est que tous les logements à Basinko ne sont pas des logements sociaux ; il y a des logements économiques pour lesquels les attributaires ont payé cash pour les avoir parce que l’Etat avait besoin d’argent cash pour financer certains aspects du projet.Tu as pris la photo d’une villa inhabitée pour faire ta défense. Je vais vous montrer en quoi votre défense est nulle ; Si je suis attributaire d’un logement social pour lequel on me coupe un montant mensuel et qu’un de mes proches me donne actuellement un logement gratuitement avec certaines commodités dois-je obligatoirement allé occupé ma villa à Bassinko avec les difficultés actuelles ? Vous êtes peut-être dans une situation difficile mais essayer de réfléchir un peu plus surtout si vous voulez écrire à un MINISTRE.

  • Le 5 février 2016 à 17:10, par Mme KOUDOUGOU En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    je vis dans la cité depuis 2014 mais la construction du CSPS n’ est pas encore fini donc on peut pas dire que la cité est doté d’un csps. Nous n’avons pas l’eau courante,ni l’électricité. Les voies d’accès sont de mauvaise état. C’est la galère

  • Le 5 février 2016 à 17:21, par Sheiky En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Moi je m’étais engagé sur ce projet avant de me retirer vite fait. Si vous voyez le plan du projet c’est vraiment alléchant. Il était prévu du bitume sur les voies principales etc... EN plus, le prix de la vente devait prendre en compte la viabilisation. Mais comme d’habitude, ces projets ne vont pas à leur fin et des gens se sont "sucrés" sur le dos des pauvres. La majorité des personnes voudraient bien habiter leur maison, mais vue l’état de la voirie, la distance et le manque de route, ils attendent des lendemains meilleurs pour venir habiter.
    On doit changer définitivement au Faso et mener tous les projets à leur terme.
    Bassinko peut être un joyau si on y met les moyens et avec l’échangeur en cours. Créer des quartiers périphériques avec des zones selon le standing (sociaux - économiques - duplex). Des exemples sont ailleurs et bien réussis. Arrêtons l’amateurisme.
    Tout ce qui est imaginable par l’homme est réalisable par l’homme.

  • Le 5 février 2016 à 17:27, par changeons En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Les mêmes interpellations peuvent être adressées à l’ONEA/Ziniaré, une entreprise qui refuse de vous faire un branchement même si vous avez votre argent. Très triste pour cette sociétés d’Etat. Au nouveau ministre du secteur d’ouvrir l’œil sur les pratiques de certains agents et de faire le ménage.

  • Le 5 février 2016 à 20:16, par freedom En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Je vis aussi ds la cite je vois que bcp font un amalgame il est quetion ds larticle des logem de cegeci le csps je confirme est bien realise mais pas encore fonctionnell donc je ne vois rien de faux ds cette lettrr

  • Le 5 février 2016 à 20:27, par freedom En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Jai eu exactement leau et lelectricite en moins de 3 semaines moi je prefere que la tele aille voir la zone dt parles Charles pr comprendre que ts ceux qui parle deau et electricite ne disent pas la verite Rien je justifie labandon des 1eres villa attribuees

  • Le 5 février 2016 à 20:30 En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    SOPRIM SA a eu le marché pour construire des logements sociaux mais n’a pas de fonds pour les réaliser. la société accuse la BOA de ne vouloir lui faire une avance pour le début des travaux. Du coup les attributaires sont dans l’impasse

  • Le 5 février 2016 à 21:46 En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    5 fevrier, 17:06. combien de burkinabe tu connais qui donnent leur villa a leur parent pour loger cadeau ? N’ importe quoi !

  • Le 5 février 2016 à 23:00, par Amad En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Cest telement vrai le constat fait par M. Charles que je ne comprends les propos de Mme Koudougou. Je suis M. Ouedraogo et j’habite dans les F et je connais bien la cité. J’aimerais en toutes sincérité posé quelques questions à Madame Koudougou pour que ceux qui ne connaissent la cité fassent leur analyse. Est-ce faux que bcp de logements attribués en 2013 sont inhabités ? Est-ce faux que l’ecole primaire est réalisée ? Est-ce faux que l’électricité et l’eau sont disposnible ds les A, B, C... depuis fort longtemps et au prix mentionnés ? Est-ce faux que le CSPS est completement construit ? Je termine par cette dernière question pour dire que tout est vrai et les mots choisis par M. Charles sont très clairs. Je confirme que le CSPS est completement construit et électrifié, mais il faut que bcp comprennent que l’Etat ne fait rien sans qu’on ne le bouscule. Bcp savent cmt l’école construite a été fonctionnelle. Je vais m’arreté là pour ne pas etre trop long et j’invite ceux qui ont un constat constraire de le faire en donnant des informations vérifiables, car moi je souhaite que la télé comme l’a dit quelqu’un fasse un tour pour taire certaines personnes. A mon avis, il ne faut pas deplacer le probleme soulévé ici qui est celui de villas attribuées et inoccupées. Je vois des gens dire qu’il ont payé les villa cash et qu’ils peuvent en faire ce qu’ils veulent. Je les invite à chercher à aller voir le cahier des charges publié par CEGECI.

  • Le 5 février 2016 à 23:24, par Karim En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    je suis vraiment triste de voir ce constat quand je sais que je suis allé voir CEGECI pour savoir cmt avoir ces maisons pour enfin loger decemment ma famille. Leur reponse est categorique, il n’ya plus de lgmt on peut vous mettre en contact avec d’autres promoteurs que je suis allés rencontrer et qui ne presente pas de conditions supportable. Alors que ce qui peuvent aider l’Etat à prendre au serieux ce que dit cet auteur le fasse. Notre état ne peut pas continuer d’aller mendier de l’argent pour aider ces populations et se permet d’attribuer ces logements à des gens qui ne sont pas ds le besoin

  • Le 5 février 2016 à 23:37, par Barry En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    "Monsieur le Ministre, je vous invite à prendre des mesures afin que les logements sociaux inhabités de Bassinko reviennent à ceux pour qui cette politique de logements sociaux a été véritablement mise en place". Voici la phrase qui résume le souhait de ce journaliste. je crois que l’article tel que présenté ne souffre pas de débat. Soit l’Etat aide les burkinabé qui veulent acquerir des maisons de le faire dignement, soit il continue de faire la politique des riches qui sont dans la spéculation foncière et un jour tout s’embrase. Je reponds à celui qui dit que ce n’est pas parcequ’on est propriétaire qu’on est sans abris pour dire l’esprit des logements sociaux n’est pas fait pour des secondes residences ou des maison de passe

  • Le 5 février 2016 à 23:48, par Madame Yaméogo En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    J’avoue que je souffre bcp de l’état delabré des cours inhabitées qui m’entroure que je félicite l’auteur de cet écrit. Meme avant hier, jai reçu la visite d’un long serpent venant de ces cours. Dieu seul me protege avec mes enfants. Au moins meme si ces propriétaires ne vont pas les occuper, je pense qu’ils ont le devoir de les entretenir. Et puis, on se demande que feront les voleurs qui arrache les portes quant il n’aura plus de porte à arracher ? Il pourront s’en prendre à nous par la faute de ceux qui pris ces maisons pour les laisser et les revendre plus tard.

  • Le 6 février 2016 à 00:18, par Yannick En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Vraiment propre cette analyse, soutenons ce combat contre l’accumulation des maisons par des bailleurs vereux

  • Le 6 février 2016 à 00:26, par Mr Cool En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    je ne suis pas d’accord avec toi Ajo qd tu dis qu’il fallait commencer par la construction d’une bonne route d’accès même sans bitûme, et vous verrez que toutes les villas seront prises d’assaut en si peu de temps. Non, je ne dedouane pas l’etat, mais à Karpala ou je vis, il ya pas de bonnes routes mais vient voir si les gens ont abandonné leurs maisons. Ces gens là qui ont laissé leurs maisons ds l’heurbe n’étaient pas dans le besoin

  • Le 6 février 2016 à 00:44, par Traoré En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    oui, cest vrai, il ya quelqu’un qui a pris 2 villas et les a déja cassé pour construire un semblant d’étage. Celui qui pense que c’est normal doit savoir que l’Etat a dit aux populations qui avaient des champs labas que c’est pour loger des pauvres. Alors dit moi que va penser ces populations en voyant des étages poussés quelques mois seulement après l’attribution ?

  • Le 6 février 2016 à 00:58, par Amina En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Affaire ces villas non habitées à Bassinko, ce n’est pas maux de ventre, c’est maux d’yeux.BKS, je suis résident et je temoigne qu’il ya bien l’eau et l’électricité ds la zone dont parle Charles, maintenant on est confronté à des coupures d’eau mais ça c’est général au Faso. Aussi je voulais ajouter que les gens doivent distinguer les cités de l’etat des autres cités comme CGE et Wenpanga pour comprendre la lettre. Je ne dis pas que ceux qui resident labas meritent leurs conditions, mais je vois que des gens veulent profiter poser leurs problemes comme si ce qui dit dans la lettre était faux. Non, si la RTB veut qu’elle vienne constater.

  • Le 6 février 2016 à 01:12, par Amina En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Que Madame Koudougou, nous dise où elle habite à Bassinko pour que moi aussi je la comprenne. Il n’ya pas d’eau, d’électricité dans les cités de Bassinko ? Le CSPS n’est pas fini ? Qu’elle aille voir avant de parler. L’etat n’est jamais pressé sinon il ne reste que l’equipement et l’inauguration. Ce sont ces genres de temognages mensongers qui ne sont pas bien. On peut dire qu’il n’ya pas l’eau partout mais dire qu’il n’ya pas d’eau courante à la Cité de bassinko, c’est pas vrai. Moi, j’ai eu l’eau et l’électricité comme l’a dit l’écrit sans donner 5f à un agent de ces services. Jai payé et je suis venu constater un jour que c’est fait.

  • Le 6 février 2016 à 06:26, par Excellent est mon nom En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    salut a tous les intervenants.
    Une chose que je note, nous aimons trop nous plaindre. Dans ce BURKINA Nouveau qui commence, soyons sobre et pensons aux autres.
    il ya des localités dans ce pays ou il n’ya même pas d’accès...pourtant ils sont Burkinabè. Apprenons a assumer.
    Exemple, dans mon lopin de parcelle a Bonheurville ou j’ai aménagé il ya 3 ans... il ny’ avait ni eau ni accès. Je puisais l’eau au robinet de Mba Bilgo. mais des années après l’ONEA s’est amené. Grace a Mba Michel, un bitume de transition est en construction...
    Pourtant, dans mon village de Latodin, grâce a la FDEL, il y’a l’électricité mais pas de voie en terre digne d’un département. On ne se plaint pas, on continue de prier pour toutes nos autorités.
    INCHALLA, ça va aller. On ne se résigne pas, mais nous nous devons d’être sobre.

  • Le 6 février 2016 à 08:03, par sidwaya En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    La belle cité de Bassinko que j’ai baptisé la Cité des Rois et des Anges est en péril.Il n’y a pas de voie d’accès,il n’y a pas d’eau et d’électricité chez Wendpanga et CGE.C’est la CEGECI seul qui a l’eau et l’électricité pour ces locatires.Si il ya des personnes qui n’ont pas encore intégré ou qui ont détruit pour reconstruire c’est parceque des maisons construites par la CEGECI sont en train de tomber en ruine.La télé ou la presse en général peuvent y faire un tour pour le constat.Des grands caniveaux construits par des entrepreneurs sont à ciel ouvert devant les concessions constituant des dangers pour la population et les enfants.Les serpents y pillulent et nous les combattons chaque jours.J’ai du abadonner mon véhicule pour circuler à moto car la route detruit chaque fois mon pot d’echappement et mon cartère.Il ya aussi une voie toute simple qui relie BASSINKO à RIMKIETA puis NONSIN que l’ancien Gouvernement a refusé de bitumeR dans le cadre des déviation de l"echangeur du nord.le nouveau Gouvernement doit sauver la Cité des Rois et des Anges.

  • Le 6 février 2016 à 09:17, par Ouattara En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Vivement que le ministre fasse quelque choses, j’habite les villa économique des series C et j’ai amenagé en juin 2015 que ceux qui veulent viennent voir la réalité. j’adhère pleinement à cette requete.

  • Le 6 février 2016 à 09:23, par Sidnaba En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Pourtant moi je cherche une maison avec torche. Effectivement j’ai vu à la Télé RTB un jour que l Blaise Compaoré au Katar parlait de Bassinko pour avoir de l’argent. Alors à quoi ça sert d’aller prêter des milliards pour venir construire des maisons qui resteront fermées 10 ans parceque leurs propriétaires ont payé cash ? S’il ne veulent pas que l’etat s’engage à reprendre pour loger de nouvelles personnes.

  • Le 6 février 2016 à 11:17, par Anna En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Belle analyse avec beaucoup de courtoisie, c’est sur que le ministre ne sera pas insensible et que tu aura une villa au cas ou tu es dans le besoin

  • Le 6 février 2016 à 13:00, par Badisak En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Bonjours chers internautes,
    Je pense que l’auteur de l’article a eu le mérite de poser un problème ; il peut se tromper sur certains détails ; mais au lieu de tomber à bras raccourcis sur lui comme l’ont fait certains, il me paraît bon de rectifier là où il s’est trompé, compléter là où il le faut et permettre ainsi à l’autorité d’avoir une bonne compréhension des problèmes afin d’y apporter une réponse adéquate.
    Il conviendrait à mon sens de faire l’état des lieux pour d’abord s’assurer que les attributions ont été faites selon la liste des noms retenus conformément aux critères qui ont guidé le travail de la commission qui a examiné les dossiers de demande. Cela permettra de savoir si les choses ont été bien respectées à ce niveau. On pourrait convoquer les attributaires qui n’ont pas encore rejoint pour les entendre et comprendre leurs véritables problèmes. A l’analyse, on comprend difficilement comment un travailleur modeste peut se payer le luxe de laisser à l’abandon une maison pour laquelle des prélèvements sont faits mensuellement sur son salaire et vivre en location surtout en ces temps difficiles. S’il se trouve des gens qui ont déjà pu solder leur compte au point d’entamer des travaux de transformations pour en faire des duplex, c’est leur droit ; mais cela voudrait signifier que ces derniers ne sont pas dans la catégorie de gens à laquelle ces logements sont destinés (des travailleurs à revenus modestes) ; à moins d’avoir amasser une richesse en si peu de temps.

    Les entreprises en cause pour malfaçon ou travaux inachevés doivent eux aussi s’expliquer sur les manquements pour que les responsabilités soient situées et assumées par qui de droit.

    En termes de suggestion, je pense que l’État fera un grand bien en se portant garant pour permettre que tous les demandeurs retenus puissent entrer en possession de leur maison et faire établir un contrat sous forme de location vente avec un délai au delà duquel ça deviendra une location simple si le montant n’est pas soldé. La maison devient à partir de ce moment une propriété de l’État.

  • Le 6 février 2016 à 13:18, par Mely En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    yaaaaako ! vraiment le citoyen lamda souffre. mais plus rien ne sera comme avant. la colere noire des burkinabe est là. la justine divine s’est rapprochée des burkinabe lamda. donc wait and see.

  • Le 6 février 2016 à 13:37, par Mme KOUDOUGOU En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    La lettre parle des 15000 logements ; est-ce qu’elle a distinguée les promoteurs ? Non. Je suis dans la cité construit par CGE. A ma connaissance quand je quittais la maison ce matin (06/02/2016) il y avait des gens qui creusait sinon nous n’avons pas l’eau si ce n’est que la fontaine que nous avons eu en septembre ou octobre je ne me rappelle plus bien. Nous n’avons pas électricité. Le dit CSPS dont les finitions ne sont pas terminée ne peut être considéré comme fini la n’est pas le problème, il n’est pas fonctionnel.

  • Le 6 février 2016 à 14:32, par Yisso En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    a mon humble avis,il ya des promoteurs peu credible qu’on doit purement et simplement écarté.De ceux là il faut compter SOPIM international

  • Le 6 février 2016 à 15:37, par Amina En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Ah voila, je comprends maintenant Mme Koudougou, mais la lettre précise bien les logements regulièrement attribués par l’Etat en Juillet 2013. Aviez reçu votre mais de la loterie de l’Etat. Je pense que non, donc CGE, Wendpanga, ça c’est un autre probleme que moi je connais que vous meme vous aurez pu porter faisant comme l’auteur de cette lettre.

  • Le 6 février 2016 à 17:42, par Kelly. En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Au lieu de résoudre le problème, le ministre Bagoro est passé juste pour le déplacer et se remplir les poches. Rien a changé dans ce pays là, les pourris sont les mieux récompensés.

  • Le 6 février 2016 à 18:12, par IRA Boureima En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Je félicite l’auteur de cette lettre et je voulais ajouter qu’il ne s’agit pas seulement des cités de Bassinko, il existe d’autres cités comme les deux cités à Kaarpala où on trouve des logements non habité. Je précise qu’il y a bel et bien de l’eau et d’électricité mais malheureusement ces logement son devenus des lieux où on déverse des ordure et toutes les ouvertures sont enlevé par des personnes mal intentionnés ce qui ça pose problème avec le voisinage (malheureusement ici on ne peut pas publier de photo). La question ici pourquoi ces logements ne sont pas encore occupé ? Est ce un deal qui des Agents du Ministère en charge des logements ou bien il y a autre problème. Je suggère qu’on recense tous logements non occupé et les réattribuer. Je reste disponible au 78 30 44 00 pour vous indiquer tous ces logements (plus de 50) qui sont devenus des nids de rencontre des drogués et autres.

  • Le 6 février 2016 à 21:43, par Binger En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Mon rêve s’est transformé en cauchemar quand je me suis renseigné du prix des différentes villas. Je trouve les prix très élevés pour un cadre moyen de ce pays qui a d’autres chats a fouetter, soyons un peu sérieux !!!

  • Le 7 février 2016 à 11:21 En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Je ne suis pas du tout d’accord avec l’intervenant 15 lorsqu’il dit que rien ne justifie l’abandon des 1ère villas attribuées car l’état des voies d’accès à la cité de Bassinko en est une raison non négligeable (dégradées et obscures la nuit), source de danger et d’insécurité (accidents, agressions physiques). Vous me direz peut-être que ces problèmes sont communs à plusieurs quartiers de Ouaga, mais sachez que que le cas de cette cité de Bassinko (et non du quartier Bassinko) est tout à fait différent. Il y a des difficultés qui sont tellement frappantes qu’on a pas besoin d’habiter ladite cité pour le savoir. Je me demande même s’il vit réellement à Bassinko.

  • Le 7 février 2016 à 16:55, par jumo En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Internaute 19 Karim ; mais c’est ca justement la politique capitaliste et stratégique des anciens gouvernants : on invente un soi disant projet social pour appâter les gens. Derriere, il y a un enjeu economique a rentabiliser à 300% . Vous venez comme des oiseaux migrateurs, on attribue quelque villas "sociaux". Le reste n’est pas social.il faut aller voir d’autres promoteurs alors que ce sont les memes types deguises. Il faut payer fort !!. Au début, vous vous engagez, vous prenez des credits et vous tombez yannnk dans le filet et vous voila morts : Villas tres chers, mal construites, qui en respondent pas aux norms. les politiciens affairieste, tres capitalists à l’africaine (ici, ils n’ont aucun respect pour le client) utilisaient meme le gourvenement pour atteindre leur fin.
    Maison pas finie, crédit à la banque. on ne peut pas demenager et il faut continuer à payer des loyers. on n’a plus d’argent pour se nourrir convenablement. Madame fait la bagarre chaque soir. Certains ont trouve refuge chez la fille de bar et rentre tres tard.
    MAis considerons que c’est des projet pour le future pour les enfants, car au moins, la parcelle est là. Courage.

  • Le 8 février 2016 à 09:56 En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Je suis sûr que l’auteur de cette "lettre ouverte" est passé par là, il a vu des villas avec des herbes, il a pris des photos et hop il a écrit une lettre dans laquelle il cite une Burkina lambda dont il connait son histoire, il cite "des privilégies" dont il n’a pas daigné connaitre leur histoire (le pourquoi de la non occupation). Tout compte fait, je félicite néanmoins l’auteur de la lettre pour avoir soulevé un pan de la réalité de Bassinko, c’est-à-dire des demandeurs insatisfaits et des attributaires insatisfaits également.

  • Le 8 février 2016 à 10:03 En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Je remercie M.Charles pour sa lettre au Ministre,moi j’habite la cité Wend-Panga depuis Juin,ma famille et moi avions été victime à plusieurs reprise de tomber avant d’accéder notre logement en saison pluvieuse par manque de voirie à notre niveau ,nous avons reçu l’eau courante en octobre par l’installation d’une borne fontaine après l’union d’une force avec CGE et GITP,pour la voirie et l’électricité nous n’avons aucune lueurs d’espoir,nous demandons au ministre de faire quelque chose pour nous.Depuis 2014 la banque nous coupe,en plus j’ai pris un second prêt pour clôturer toute ma cour,et mon voisin étant nantie ne pense pas aménager de suite donc,il a mis sa villa à la disposition de 2 manoeuvres de Wend-Panga qui nous dérangent les nuits en faisant du bruit nocturne à l’aide leurs montures à des heures indue (23h,24h voire même 2h du matin) en plus de cela ils sont souvent en groupe pour faire du bruit,M. le ministre faites quelle chose pour nous.Merci

  • Le 8 février 2016 à 10:20, par 1er En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    A tous ceux qui crient "plus rien ne sera comme avant" soyez vigilants. sinon tout deviendra pire qu’auparavant. Il suffit de suivre celui-là même qui a prononcé cette phrase pour la première fois. de Lieutenant colonel" il est passé à " Général de division". A bon entendeur, salut.

  • Le 8 février 2016 à 10:59, par Kaka En réponse à : Lettre ouverte au ministre de l’Habitat à propos des villas inhabitées de la cité 1500 logements sociaux de Bassinko

    Merci à l’internaute Badisak pour son excellente contribution.......que tous les concernés de cette histoire (ministre, plaignants, partie civile, défense.....) prennent en compte qu’il a dit.