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Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

samedi 10 janvier 2015.

 

Le conseil national de transition devait rencontrer la presse ce vendredi 9 janvier, à 20h. Après plus d’une heure d’attente, les journalistes ont été priés de revenir demain 10 décembre parce que des éléments « techniques ne sont pas prêts ». L’ordre du jour du point de presse n’a pas été précisé, mais nul ne doute qu’il s’agit des émoluments des députés qui se chiffrent à près de deux millions de FCFA et qui créent la polémique.

La toile a été inondée ce 9 janvier 2015 par ce qu’il convient d’appeler l’affaire du salaire des députés du CNT. Ceci après le débat organisé sur la télévision nationale et qui a permis de lever le voile sur ce que perçoivent les représentants du peuple à l’issue de l’insurrection populaire.

Peu après 19h, les différentes rédactions ont été contactées par le service de communication du CNT pour une conférence de presse à 20h. Ils étaient là, nombreux. Même si l’ordre du jour ne leur a pas été notifié les journalistes savaient à quoi s’attendre.

Jusqu’à 20h, rien. Les journalistes installés dans « l’assemblée » sont laissés à eux-mêmes. Las d’attendre, ils décident de libérer les lieux. « C’est chaud, il semble qu’ils n’arrivent pas à s’entendre sur ce qu’ils doivent dire à la presse », entendait-on dans les couloirs ». « Il fallait qu’ils s’entendent avant de nous appeler », fulminent des confrères.

Malgré les négociations certains sont partis.
C’est finalement à 21h 24 minutes que Chériff Sy, le président du CNT se présente pour se fondre en excuses et finalement déclarer que le point de presse est reporté à demain 10 janvier à 10h.

« Nous pensions pouvoir finir avant même que vous ne veniez, mais nous n’avons pas pu finir à temps, parce que nous comptions sur des éléments financiers que nous n’avons pas eu ce soir. Donc vous allez nous excuser, non seulement vous avez attendu longtemps, il semble même que certains de nos confrères se sont énervés, à juste raison. On s’en excuse. On va vous demander vraiment de nous en excuser et de faire l’effort d’être là demain à 10 h. La déclaration que nous avons actuellement n’est pas complète. Nous ne voulons pas que ce sur quoi nous voulons nous entretenir avec vous, nous ne puissions le faire avec des éléments chiffrés avec des propositions que nous allons faire », ce fut la déclaration du président.

Rendez-vous donc ce samedi à 10h pour savoir ce que les députés « révolutionnaires bourgeois » comme se plaisent à les appeler certains diront à la presse. Vont-ils revoir leurs émoluments à la baisse ? Wait and See.

Tiga Cheick Sawadogo
Lefaso.net



Vos commentaires

  • Le 10 janvier 2015 à 01:24, par Sans rancune En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Quel cafouillage. Et dire que ce sont ces gens là qui vont voter les lois qui s’imposeront à nous. La vérité est simple et rapide à dire. Mentir c’est compliqué.

  • Le 10 janvier 2015 à 01:34, par ROG Le Sage En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Si ce qu’ils ont à dire au peuple n’est pas plus lourd que le silence, qu’ils se taisent.
    On attendait mieux d’eux mais apparemment la déception est au rendez-vous. Chers députés, membres du CNT prenez en compte les aspirations des populations pour mener à terme la transition au risque de voir son courroux s’abattre sur vous.

  • Le 10 janvier 2015 à 01:41, par Zangul En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Un President du Faso, qui perd son sang-froid (déjà) contre les critiques dites faciles+un PM qui se fait remonter les bretelles par son propre Régiment d’origine et contraint de lâcher quelques copains vomis par la foule+un gouvernement visiblement fâché avec les règles de l’Administration et de la Justice+un CNT pris en flagrant délit de rapacité=un peuple de plus en plus déboussolé. Où va la Transition, après seulement deux mois ?

  • Le 10 janvier 2015 à 05:48 En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Quel chaos ! On sent l’ embarras puisqu’ on sait que le chat est sorti du sac. On sait que vous vous surpayez( 1800000F pour boire de l’ eau et manger mouin zindo ? Avouons que c’est la course a l’ enrichissem,ent illicite).

  • Le 10 janvier 2015 à 05:56, par cyrille depuis new york En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    ainsi donc vous avez chasse blaise pour continuer a spoiler le peuple , franchement nous ne sommes pas encore sorti de l orniere , vivement que
    Sankara se reveille

  • Le 10 janvier 2015 à 07:57, par Bon vent En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Dire que ces montants ont été revus à la baisse ! C’est dire que les députés de la 4 ème république avaient plus que ces montants ; et pendant ce temps personnes d’entre eux n’a pas d’impôt alors que celui qui gagne 25.000 CFA paie sont impôt. Il faut poursuivre tous ces médecins, tous ces diplomates, tous ces banquiers ; tous ces universitaires et mêmes ces repris de justice qui se sont réfugiés derrière l’immunité parlementaire pour ne pas répondre de leur vol devant la justice et qui ont pris plus de 5 fois les salaires des plus hauts cadres de l’Etat sans payer d’impôt. Il ne fallait plus mettre les anciens députés la bas. Le patron de BENDRE a été piégé !!!

  • Le 10 janvier 2015 à 07:59, par YIRMOAGA En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Je pense que le CNT n’a rien à dire autre que ce que le conseiller de transition SANKARA a dit. 1.778.000f pour chaque élu. Mais les cessions, les jours fériés sont payés ? Aussi ce que SHERF peut dire de nouveau, c’est que les élus renoncent à leur émolument, point barre. Pas besoin d’autre argumentaire, au risque d’inviter à la protestation populaire de la rue au profit des parents des martyrs. A 10h donc pour qu’on entende la vérité sinon.......?

  • Le 10 janvier 2015 à 08:04, par KKP En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Un député CNT ne devrait pas percevoir plus de 300 000f vu les circonstances qui les ont conduit au CNT. S’ils ne revoient pas vite à la baisse leur traitement, qu’on dissolve alors le CNT !

  • Le 10 janvier 2015 à 08:14, par ns En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Tout le monde réagit le plus souvent de la même manière devant l’argent. Aucun de nous n’est parfait, même en France, aux Etats-Unis, etc.., ils sont aussi corrompus que nous, mais là-bas ils est difficile de voler l’argent public car les instituions sont fortes. Ils nous faut donc au Burkina Faso, des institutions fortes sinon, on n’est pas au bout de nos peines. Regardez l’attitude de ceux qui ont chassé l’ancien régime. Quelle honte ???

  • Le 10 janvier 2015 à 08:20 En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Il n’est pas facile de s’ imposer sankariste devant une foule surexcitee de la Place de la Revolution. Ca ne s’ improvise pas, etre sankariste. Il faut le vivre. Religionisme, regionalisme, nepotisme, gabegie, c’est pour ca on a pris tant de risques que les officiers nouveaux - braves meme ne pouvaient prendre ? Bien sur, on a pas eu ces galons pour mourir mais pour se nourrir.
    La patrie ou la mort, on va nourriture.

  • Le 10 janvier 2015 à 08:24 En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    La bousculade pour etre au cnt n’augurait rien de bon. Finalement c’est pas pour servir le peuple. Allez a la soupe bande de @#%€& ! Vivement que les elections arrivent pourqu’on en finisse avec cette transition chaotique.

  • Le 10 janvier 2015 à 08:38 En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    l’étau se resserre tout doucement autour du cnt. nous allons avoir la peau de ces suceurs de sang qui se nomment pompeusement députés. quelle honte.

  • Le 10 janvier 2015 à 08:45, par Leyla En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Cher journaliste veuillez revoir vos calculs car le total est loin de ce que vous annoncez. Vous avez plus de 500000 FCFA de trop.ca fait beaucoup pour une erreur

  • Le 10 janvier 2015 à 08:45, par Attention aux règles du droit En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Si le gouvernement de transition ne fait pas attention, certaines de ses décisions hâtives risquent de se retourner contre lui en matière de droit. Si le gouvernement veut s’arroger le droit de faire des nominations et des limogeages selon ses humeurs et intérêts masqués, des citoyens qui seraient arbitrairement limogés pourraient ester en justice pour que le droit soit dit et bien dit. Par exemple, un DG nommé par suite d’appels à candidatures pour un mandat à durée déterminée, s’il est arbitrairement limogé pourrait revendiquer ses droits en termes de dommages et intérêts à coups de millions et ce serait la faute du gouvernement de transition si la justice doit exiger du trésor public des frais pour dédommager des citoyens brimés. Me.Sankara a fait savoir que la sanction de suspension des partis politiques était maladroite après le rétablissement de la constitution. L’expérience du CNT prouve déjà que les prétendus acteurs de la société civile qui jouaient aux donneurs de leçon en matière de bonne gouvernance sont loin de la réalité aujourd’hui où ils se transforment en affairistes prêts à s’enrichir très vite et bien avant la fin de la transition. Pour y parvenir, ils veulent installer leurs hommes de complicité dans l’administration publique et aux postes juteux. A ce rythme, les prochains rapports de l’ASCE risquent de comporter des noms des membres du CNT et du gouvernement de transition. Ils auraient alors prôné le changement du pays pour leurs propres intérêts et non au nom du peuple en général.

  • Le 10 janvier 2015 à 08:56, par levillageoi En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Franchent ils gangnereaint la confience du en revoyant à la baisse leurs émoluments car c’est trop pour un AN de transition

  • Le 10 janvier 2015 à 08:59, par la paix En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Je propose au President de la transition,au Premier Ministre,aux membres du gouvernement et aux membres du Conseil National de Transition et les presidents d,institution de ne s,octroyer que 50% de ce gagnaient leurs predecesseurs de l,ancien regime pour etre en phase avec le peuple.La raison,la dignite et l,honneur doivent sublimer le desir du gain.
    Le peuple vous demande de donner l,exemple par le sacrifice de vos gains et de voir que vous etes anime d,un autre esprit que ceux que vous avez remplace sinon faites revenir Blaise et reinstallez les deputes dechus.Le peuple vous fait confiance,meritez cette confiance par vos actes.Deja il y a un ecart entre vos declarations et ce que vous empochez.L,OPACITE et le manque de transpatence dans vos salaires et avantages font que le peuple ne voit pas la difference entre vous et ceux qui ont ete chasses.
    Vivement que la verite et la transparence et l,esprit de Sacrifice guident la periode de Transition.

  • Le 10 janvier 2015 à 09:04, par tikrinoma En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Le "peuple" s’est vraiment laisse berner. On va tous payer cher notre manque de lucidite. il est facile d’etre de l’opposition et de critiquer. Gare a ceux qui vont venir pleurer ici. On assume simplement, on corrige ce qui est corrigeable et on continue.

  • Le 10 janvier 2015 à 09:18, par le panafricain En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Je ne comprend pas les Burkinabés , j’ai l’impression que dans ce pays les gens sont trop aigris

    Laisser les aussi profiter ce sont des Burkinabés , ils méritent eux aussi de profiter de ce que provient du Pays
    Une question même s’ils n’ont pas été élus vous pensez que ceux qui ont été élus dans le passé sont plus crédibles que "ces sa-profite des martyrs" ! le choix des représentants de la société civile s’est effectué uniquement entre les "copains de ouagadougou" et j’en passe !
    ceux la même qui disaient que si les gens refusent les " cailcédras" vos les voter
    Laisser les tranquille ’arrêter votre malhonnêté

  • Le 10 janvier 2015 à 09:29, par sogotele sanou En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Vous n’avez rien vu encore ! Je parie que Kafando et Zida qui ont usurpé la victoire de l’insurrection populaire burkinabé vous promettent pire que cela dans les surprises désagréables, nauséabondes. Que le RSP soit réformé ; lui Zidda et Kafando ne sont pas à la place où ils se trouvent, car ils ne sont point les protecteurs et garants d’un ordre que l’insurrection mérite. La patrie ou la mort, nous vaincrons ! Tel est notre credo.
    Je suis seulement triste pour la pauvre dame Joséphine Ouédraogo qui se trouve engluée dans cette merde, une situation que je n’envie pas du tout pour elle. Mais DIEU tout puissant veille au grain.
    Pour une transition, vous avez vu que les masques tombent très vite et que les vrais visages se découvrent !
    Aucun projet de société pour l’Afrique, cette belle AFRIQUE que ses enfants vouent aux gémonies, foulent aux pieds.
    SEULS SANKARA, KADAFI, KUAME NKRUMAH, NELSON MADELA, JERRY JOHN RAWLLINGS, PATRICE LUMUMBA, ETC. TOUS CES DIGNES FILS DE L’AFRIQUE SONT MERITANTS.

  • Le 10 janvier 2015 à 09:31 En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    honte a mon pays j ai vraiment honte de pence, que je suis burkinabé cher députe du CNT vous nous faite honte avec votre gouvernement

  • Le 10 janvier 2015 à 09:32, par Freeman En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Je comprends maintenant pourquoi ça a chauffé quand il a fallu coopter les membres du CNT. Les gars ils savaient déjà le miel qu’il y avait devant. Non, franchement il nous faut adopter une autre façon de faire de la politique. Et voilà je vais me lancer en politique avec comme seul programme "faire la politique autrement". La politique doit être une affaire d’engagement, un sacerdoce, et non pas une course aux émoluments. Et c’est sur ce point précisément que j’admirais Thomas Sankara.
    Dieu sauve le Burkina !

  • Le 10 janvier 2015 à 09:32, par Dimathème En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Question : combien gagne un professeur titulaire ou un professeur agrégé ? Salaire mensuel + frais annuel de recherche. Je veux juste comprendre s’il est plus facile de se faire de l’argent en devenant député ou en se bardant de diplôme.

  • Le 10 janvier 2015 à 09:37, par yekereya ani En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    montant raisonnable ou pas, il faut revoir et corriger les abus. A ce rythme, on imagine combien prendra officiellement un ministre sans compter les flous

  • Le 10 janvier 2015 à 09:47, par le che En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    ci qui est sur on va le chasser ça moi je suis très convaincu que même si il on 800000 c’est trop pour des gens designer au doigts pour une travail au plus fort raison 1.8 koi ? JE ne veut par prononcer .SANKARA DISAIT :" nous devons accepter s’imposer l’austérité a même de pouvoir résoudre nous desseins".il moi j’ai cru a l’idéal sankariste je vais marche même seul sur le conseil national de la transit .j’ai mal dans ma peau .et quand on réfléchi nous allons encore demeurer dans le ténèbre d"après le CHE si toute personne se montant par le nom on service des autres pense d’abord a lui.ils sont cuis c’est gens la.

  • Le 10 janvier 2015 à 09:50, par Jeanine Debo En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Les membres du CNT n’ont pas une légitimité établie ! cela se confirmera à la longue !
    Nous finirons par avouer que le Burkina sous Blaise marchait bien sauf l’article 37 !
    Fallait-il jeter le bébé avec l’eau du bain ?
    Salif Diallo le machiavel de la République est à la base de ce montage qui va nous mener à la catastrophe !!!

  • Le 10 janvier 2015 à 09:56, par Hien Deyir Simon En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    C’est vraiment trop comme émoluments d’hommes et de femmes choisis parmi les plus intègres (disait-on) pour venir au secours d’une démocratie en panne. C’est regrettable de savoir que les hommes politiques burkinabè ne voient que l’argent dans la politique. En fait, je comprends, on combat ceux qui sont pouvoir pas pour sauver le peuple, mais seulement pour des intérêts personnels, individuels et égoïstes. Honorables députés, revenez et jouez la balle à terre.

  • Le 10 janvier 2015 à 09:58 En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Chériff Sy, c’est la déception totale .L ’ argent quand tu nous tient ; qui pouvait croire que ce monsieur qui était prompte à critiquer le régime de Blaise pouvait tomber si bas.Il n’est vraiment pas facile d’être un Sankara ou un Norbert Zongo qui ont accepté le sacrifice suprême pour défendre les masses.

  • Le 10 janvier 2015 à 10:08, par attentio En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    On dirait que les CNTiste on recu des frais dinstalation.certain roule deja dans de vehicule de luxe non imarticuler dabord et ils on mem un chauffeur.tout ca au frai de qui ? Cher journaliste merci de verifier en leur posan la kestion

  • Le 10 janvier 2015 à 10:11, par thenewcomer En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    C’est vraiment désolant. autant faire revenir les Naboho qui eux au moins ont de l’expérience. ça commence à ressembler à l’histoire des crapauds qui voulaient d’un nouveau roi. ..

  • Le 10 janvier 2015 à 10:22, par Pearson En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Le salaire du député ne doit pas cacher la réalité du peuple. Les membres du CNT eux-même devraient dénoncer cette rémunération exagérée par rapport à notre contexte. Combien gagne un enseignant ? Combien gagne un médecin ? Quelle est l’utilité d’un député dans notre contexte comparer à un enseignant, un médecin ? Le CNT doit contribuer à poser des bases saines pour les futurs députés et non se mettre dans une logique de pillage des maigres ressources constituées essentiellement de nos impôts auxquels eux-même ne sont pas souvent soumis. Les mêmes restrictions devraient aussi s’appliquer à tous les membres du gouvernement.

  • Le 10 janvier 2015 à 10:49, par simpore Rodrigue En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    shérif S’Y m’a tellement déçu.lui qui a tellement décrié le régime déchu et a son tour il n’arrive pas a faire mieux.je commence à croire que certaines personne crient parce qu’il avaient faim. on va sortir vous mater maintenant (CNT). nous ne voulons plus de vous dans nos affaires.bande de saprophytes.

  • Le 10 janvier 2015 à 10:54, par wonou En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    On se demande comment le président du CNT, fondateur de Bendré dont nous connaissons la ligne éditoriale sankariste et antiblaise a pu accepter une telle chose ! Il y aussi les députés de l’AN défunte issus notamment du PDS/METBA et du l’UPC qui ont été décevants dans cette affaire lorsqu’on se rappelle leur opposition à la politique de l’ancien système que ces partis qualifiaient de gabégique. Et puis tous ces jeunes qui se sont battus pour intégrer le CNT, décevants !

  • Le 10 janvier 2015 à 10:55, par wonou En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    On se demande comment le président du CNT, fondateur de Bendré dont nous connaissons la ligne éditoriale sankariste et antiblaise a pu accepter une telle chose ! Il y aussi les députés de l’AN défunte issus notamment du PDS/METBA et du l’UPC qui ont été décevants dans cette affaire lorsqu’on se rappelle leur opposition à la politique de l’ancien système que ces partis qualifiaient de gabégique. Et puis tous ces jeunes qui se sont battus pour intégrer le CNT, décevants !

  • Le 10 janvier 2015 à 10:58, par justice En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    On comprend aisément pourquoi les Hervé OUATTARA du CAR se sont regroupés au sein du bloc 21 pour prévenir les contestations contre leurs salaires. Mais c’est mal connaitre le peuple intègre du Burkina. On sortira pour vous faire comme les ex députés suceurs du peuples et peut être même pire. Vous ne perdez rien pour attendre, bandes d’escrocs de la republique !

  • Le 10 janvier 2015 à 11:00, par robert En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    fait tres bien relaté félicitation check tiga continue comme ça dans ton metier le peuple a besoin des journaliste digne de releyé l’information juste sans machination.
    pour ces Hommes du CNT je pense qu’il faut qu’ils reviennent a la raison car le peuple est en veille.

  • Le 10 janvier 2015 à 11:09, par delta En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    S’ils ne touchent pas plus que les députés partis c’est pas grave. Tout fonctionnaire aspire à une hausse de salaire et nous attendons tous la revalorisation salariale. Pour la même catégories, comparez les salaires des gendarmes, policiers et magistrats avec le reste des fonctionnaires. Si nous sommes sortis les et octobre c’est pour améliorer les conditions de vie.On ne doit pas diminuer leurs acquis. Où vous devez aussi voir du coté des ministres, primature, Kopssyam, CSC, armée, etc.

  • Le 10 janvier 2015 à 11:23, par Plume du Peuple En réponse à : Salaire du Conseil national de transition : un "butin de guerre" inadmissible pour le petit peuple

    Le traitement des membres de la CNT (Conseil National de Transition) est un inadmissible « butin de guerre » ! Dixit le Peuple insurrectionnel du Burkina Faso !

    Près de 2 millions de FCFA par mois (1 778 000 FCFA), que s’octroient sans rémission les membres censés représenter le peuple insurrectionnel du Burkina Faso.

    C’est le salaire adjugé par des « intellectuels burkinabé » dans une phase transitoire vers un avenir… meilleur. Pour coup sûr, il est déjà meilleur pour le CNT !

    Le PIB/habitant du Burkina tourne autour de 500 dollars/an en 2014, environ 300 000 CFA/an. Tout cela veut dire, en général, qu’un Burkinabè possède 25 000 CFA/mois. Vous pouvez continuer les calculs…

    Ce CNT, selon le peuple, ne sait plus d’où il vient, ou bien il est amnésique (il oublie vite). Des jeunes sont morts et enterrés parce qu’ils avaient marre de l’injustice. Tout le monde en avait sans doute marre, mais tout le monde ne meurt pas non plus pour des causes nobles.

    Il y a une maladie chez tous les intellectuels. Ils se croient meilleurs au bas peuple (ceux qui n’ont pas fait de longues études). C’est peut-être l’instinct du « bouffe rapidement avant qu’il ne soit trop tard » qui a conduit les nouveaux responsables du pays à accepter ce salaire digne d’un pays très développé. Malheureusement le Burkina Faso n’est pas encore très développé. Et justement, c’est ce que désirent tous les Burkinabés en ce moment, et qui touchent comme salaire mensuel, une moyenne de 50 000 FCFA, avec des impôts par-dessus le marché.

    « Rien ne sera comme avant ?! » est une question ou une affirmation ? En tout cas, le salaire de la CNT est un gros morceau qui ne passe dans les petites gorges chaudes des Burkinabè en ce moment. Représenter tout un peuple « insurrectionnel et intègre » est un exercice difficile pour certains intellectuels.

    Le Burkina Faso a soif, non seulement de « justice sociale » mais de « témoins crédibles » intellectuels ou non, à mon humble avis.

    Plume du Peuple

  • Le 10 janvier 2015 à 11:29, par Le Salut En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Il n’y a aucun salut en l’homme.
    Malheur à l’homme qui se confie en l’homme.
    Il n’y a de salut qu’en Dieu (Jérémie 17v7)

    Voyez vous ceux qui sont mort croyaient qu’ils luttaient pour changer le pays dans sa gestion. Ceux qui ont pris cet argent (CNT) démontrent que ceux qui sont mort sont mort pour rien, vraiment pour rien. Blaise est vivant et le pays bouffe l’argent au détriment du peuple réel. Ce n’est qu’un changement d’équipe de vautours.

    Aucun homme ne peut vous aider. Cherchez Dieu !!!

  • Le 10 janvier 2015 à 11:42, par wuroyiretian En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    "A chaque peuple ses représentants" serions-nous tentés de dire ! Peut-être que nous avons là les représentants à notre image, à l’image de la société burkinabè, pour ne pas dire les représentants que nous méritons. "On connait le burkinabè là !... : envieux, jaloux...que ferais-vous si tu étais à ma place ?" (cf réponse du Prf Laurent BADO à l’interview d’un journaliste) Oh Cherif et autres du CNT !!! C’est trop facile...! quand le pouvoir et l’opportunisme nous tiennent ! "Les caméléons équilibristes et les hibous au regard gluant". Au moins paix aux victimes des 30 et 31 octobre, et bombonce à volonté à ceux qui en profitent.

  • Le 10 janvier 2015 à 11:52, par FOSTER En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    CHERIF Sy et son staff ne font pas honneur au peuple

  • Le 10 janvier 2015 à 12:05, par La loupe En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Ces députés doivent avoir constamment à l’esprit qu’ils sont issus d’une révolution qui a été si soudaine, si belle qu’elle fait aujourd’hui école dans le monde. C’est un compromis social qui a donné naissance au CNT et si nous en sommes arrivé là, c’est parce que les inégalités, les injustice, l’arrogance avaient atteint les sommets. Le pouvoir de l’argent et de la force durant 27 ans n’a pas eu raison du peuple, alors ne rentrez surtout pas confrontation avec le peuple. L’ex Assemblée Nationale a été l’épicentre de la révolte ; débrouillez-vous pour qu’elle ne le redeviennent pas.

  • Le 10 janvier 2015 à 12:14, par Yidy En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    C’est décevant la situation dans laquelle se trouve le pays après près de 3 mois de pouvoir. Le CNT est il incapable de formuler une autre grille de traitement que celle élaborée par le régime précédent qui a été détrôné par l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre ? C’est douloureux et honteux. A cette allure, vous allez reconduire toutes les lois et formes de gouvernance contre lesquelles la population s’est battue et sacrifié la vie de sa jeunesse. Ne vous laissez pas appâter par le gain facile. Travaillez plutôt à mettre en place des institutions fortes capables de générer des richesses et veiller à une meilleure et équitable répartition de celles-ci. Il est évident que ce n’est pas aisé, mais de grâce ne proposez rien qui soit pire que ce que le pays connaissait. Bon courage

  • Le 10 janvier 2015 à 12:19, par Beton En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Leyla,il ne s’agit nullement d’une erreur,le calcul est exact.Vous avez visiblement pris en compte qu’un seul jour de session par moi,pourtant ils y sont tous les jours sauf quelques dimanches et jours fériés.

  • Le 10 janvier 2015 à 12:26, par jhon En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    la somme de ce qui est présenté ici fait 1 201 000 FCFA au lieu de 1 778 000

  • Le 10 janvier 2015 à 12:42, par wuroyiretian En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Quand on sème le vent on court le risque de récolter la tempête à moins de s’y prendre à temps et de planter des arbres. Avec de tels émoluments on pourrait penser que nous avions le vent mais maintemant nous avons la tempête. Et comme souvent la tempête sait qu’elle ne durera pas alors elle veut tout racler le temps de sa présence.

    Burkina ! I foo !

  • Le 10 janvier 2015 à 13:06, par baaba En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Celui qui est à même de stopper cette hémorragie est bien CHÉRIF SY, il a connu le plus grand homme publique de l’Afrique"THOMAS SANKARA" source de tout ce qui est honnête en matière de gestion du patrimoine d’État.
    Pour ce qui est du cas des autres , j’ai vu venir, mais de la part de SY !!! Non.

  • Le 10 janvier 2015 à 13:14, par Dignité En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    A celui qui ne comprend pas le calcul du journaliste en parlant d’écart de plus de 500 000 FCFA, qu’il tienne compte que les 20 000 FCFA d’indemnité de session n’est que journalier ! Et comme le calcul se fait pour le mois, il faut multiplier par le nombre de jours de sessions par mois avant de faire l’addition. Selon toute vraisemblance, ils ont considéré au moins 25 jours de session par mois, soit 500 000 FCFA d’indemnités de session par mois !

  • Le 10 janvier 2015 à 13:16, par Campusard En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Quand on parle d’austérité budgétaire et particulièrement de la réduction du train de vie de l’Etat, tous les burkinabè, en particulier les hommes et femmes sont responsabilisés dans le cadre de la transition, doivent savoir que "les déficits d’aujourd’hui sont des impôts de demain".

  • Le 10 janvier 2015 à 13:50, par Ka En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Zida nous affirmait lors de son premier message à la place de la révolution que toute décision au Burkina Faso se fera avec le peuple. A ce rythme de décider sans le peuple, ‘’’’salaire excessif des députés en herbe, nomination d’un poste de ministre a un repris de justice, un corrupteur et incompétent a la CAMEG, ’’’’’exceptera, Exceptera. Trop c’est trop pour une équipe qui se veut de la transparence pour préparer un présidentiel transparent pour une alternance apaisée. Pour un Burkina qui veut se redémarrer sans l’injustice, sans l’impunité, et sans corruption, je demande que les salaires des députés en herbe soient réviser, et qu’ils rendent ou soit retenu du surplus. Si le peuple muri est sorti avec courage et dire a un régime corrompu que ça suffit, ce n’est pas un premier ministre et son président de fantôme qui vont encore duper ce peuple prêt a tout pour que ça ne se répète plus. Je m’adresse a mon héro enfant qui est Hervé, celui dont mon soutien est sans réserve, de se lever et remettre de l’ordre dans le groupe du Bloc 21 dit du cailloux. La soudure fait la force, et vous aviez besoin du Balai citoyen pour concrétiser vos objectifs qui sont de faire ce qui est mieux pour le peuple meurtri par une tyrannie de 27 ans, et non profiter du denier public. Beaucoup d’internautes du monde entier me posent cette question ! ‘’’’Comment les jeunes qui toi le vieux KA soutienne puisse s’en sortir du bourbier d’escroquerie des salaires bidons offerts par les responsables de la transition afin de les manipuler ?’’’’ Moi je demande à Hervé de faire le premier pas, et refuser son salaire et maintenir sa position de soutenir tout le peuple dont 99% n’a pas un repas par jour. Il sera la fierté de la transition, et un exemple pour le Boc 21. Vive l’alternance politique et économique au Burkina.

  • Le 10 janvier 2015 à 13:56 En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    hahahahahaha......ces désignés qui se prennent pour des députés ont fixé leur salaire mensuel à 800 000 francs mais désolé,je ne suis pas satisfait. ça doit être moins de 500 000 francs sinon celui qui n’est pas d’accord parcequ’il gagne mieux ailleurs qu’il dégage parcequ’il y a de vaillants burkinabè intègres qui peuvent s’investir mieux pour moins que ça. franchement sy chérif m’a trop déçu

  • Le 10 janvier 2015 à 14:00, par B En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Je viens d apprendre au journal de 13 h15 a la RTB que un Deputé CNT touche plus que le Deputé de Blaise Compaoré. C est pourquoi je pleure. Wouiii wouiii wouiii !!! Ramenez moi Blaise Compaoré. Avec lui au moins on etait dans la legalité

  • Le 10 janvier 2015 à 14:05, par ichigo En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    En Guinée-Bissau, un député touche environ 900 euros par mois, tandis qu’en Afrique du Sud il en gagne 8 000 euros. Entre ces deux extrêmes, des pays comme le Sénégal et la Côte d’Ivoire offrent environ 3 000 à 3 500 euros par mois à leurs élus nationaux. Au Congo-Brazzaville, la rémunération plafonne à 3 100 euros, tandis que de l’autre côté du fleuve, en RDC, le salaire d’un élu à la Chambre grimpe à 6 000 euros en moyenne. Le Burkina Faso est plus chiche avec 1 100 euros sans la prime de cession. Au Burundi, un élu touche 1 700 euros, ce qui correspond au salaire d’un député tunisien, soit deux fois moins qu’un député algérien. Les Kényans, avec environ 7 500 euros par mois, sont donc parmi les mieux payés.

    Ces évaluations ne tiennent pas compte d’un certain nombre de primes et d’avantages qui varient en fonction des pays et peuvent parfois doubler le salaire.

    Mais il faut aussi souligner que, contrairement à la France, où un député gagne 13 500 euros primes comprises, en Afrique beaucoup de députés redistribuent une part importante de leurs revenus. Ne serait-ce que parce qu’ils doivent souvent financer eux-mêmes leurs campagnes électorales. Ce qui n’est pas le cas dans les démocraties occidentales.

  • Le 10 janvier 2015 à 14:54, par Ka En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Zida nous affirmait lors de son premier message à la place de la révolution que toute décision au Burkina Faso se fera avec le peuple. A ce rythme de décider sans le peuple, ‘’’’salaire excessif des députés en herbe, nomination d’un poste de ministre a un repris de justice, un corrupteur et incompétent a la CAMEG, ’’’’’exceptera, Exceptera. Trop c’est trop pour une équipe qui se veut de la transparence pour préparer un présidentiel transparent pour une alternance apaisée. Pour un Burkina qui veut se redémarrer sans l’injustice, sans l’impunité, et sans corruption, je demande que les salaires des députés en herbe soient réviser, et qu’ils rendent ou soit retenu du surplus. Si le peuple muri est sorti avec courage et dire a un régime corrompu que ça suffit, ce n’est pas un premier ministre et son président de fantôme qui vont encore duper ce peuple prêt a tout pour que ça ne se répète plus. Je m’adresse a mon héro enfant qui est Hervé, celui dont mon soutien est sans réserve, de se lever et remettre de l’ordre dans le groupe du Bloc 21 dit du cailloux. La soudure fait la force, et vous aviez besoin du Balai citoyen pour concrétiser vos objectifs qui sont de faire ce qui est mieux pour le peuple meurtri par une tyrannie de 27 ans, et non profiter du denier public. Beaucoup d’internautes du monde entier me posent cette question ! ‘’’’Comment les jeunes que toi le vieux KA soutienne puisse s’en sortir du bourbier d’escroquerie des salaires bidons offerts par les responsables de la transition afin de les manipuler ?’’’’ Moi je demande à Hervé de faire le premier pas, et refuser son salaire et maintenir sa position de soutenir tout le peuple dont 99% n’a pas un repas par jour. Il sera la fierté de la transition, et un exemple pour le Boc 21. Vive l’alternance politique et économique au Burkina, vive la transparence.

  • Le 10 janvier 2015 à 14:59 En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Dans tout ca cest Cherif Sy qui me fait honte.Quand on s´en tient a ses declarations au temps du regime de Blaise compaore alors on se dit que ce type ( Cherif Sy ) luttait pour ses propres interets et non celui du peuple. Mr cherif sy ton masque est tombe´ et on a decouvert ton vrai visage d´opportuniste .Vivement que le vrai president elu du peuple prenne fonction et que prenne fin votre rapacite´.

  • Le 10 janvier 2015 à 15:04 En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    La bousculade pour etre au cnt n’augurait rien de bon. Finalement c’est pas pour servir le peuple. Allez a la soupe bande de @#%€& ! Vivement que les elections arrivent pourqu’on en finisse avec cette transition chaotique.

  • Le 10 janvier 2015 à 15:10, par le mangalais En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Je suis déçu de ce Chérif, il faisait parmi les personnes désignées pour la présidence, quelle honte !! Je commence à comprendre l’être humain. Juste des aigris pour annexer les autres sans efforts de sacrifice. Quelle merde

  • Le 10 janvier 2015 à 15:12, par Nabiiga En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Ainsi donc, j’ajoute ma voix et voici ce que j’ai à dire :

    Salaire de base de 753,000 francs cfa doit être réduit à 300 mille francs. Certains vont me dire, Nabiiga, yaa laafi, comment veux-tu qu’ils survivent ? Eh bien ce sont des députés de notre révolution, La révolution a réussi grâce aux sacrifices, au prix de la vie de certains. Nous les avons inhumés quelque part et les avons décorés des martyrs, reste maintenant à savoir si Dieu à une place dans son royaume pour les matyres des révolutions, surtout la révolution burkinabè. Autrement dit, ils ont donné leurs vies afin que nous vivions sans les frères sanginaires, Blaise et François. En sus, est-ce que l’état burkinabè a donné. de l’argent aux familles .épleurée sinon que la prise en charge des funérailles. Si le gouvernement de la transition l’a fait, qu’on le dise haut et fort à tout le monde avec l’appui, le montant exact qui a été donné aux familles des compartriotes qui sont tombés sous les balles. Grosso modo, si certains ont perdu leurs vies et les familles épleurées n’ont rien reçu des coffres de l’état pour les soutenir, ne serait-ce que pendant une brève période de temps les familles dec ces compatriotes qu’il nous plaise d’appeler des martyres, que quelqu’un se lève pour donner une seule bonne raison pourquoi les députés ne doivent pas légiférer gratuitement pour nous. Quelle sacrifice peut dépasser la perte de vie.

    85 mille frais de santé doit être supprimé sans aucun ménagement. Que quelqu’un me dise pourquoi ils doivent avoir droit à un prime de santé. Combien de burkinabè ont ce droit et sont-ils plus important que les autres.

    Ils n’ont pas besoin de 230 mille pour le carburant. Quel carburant ? Si les députés issus des partis politiques avaient droit à un tel prime, c’était justifié dans la mesure où il devaient à tout moment, se rendre dans leurs circonscriptions pour rendre compte aux électeurs, pour les écouter et, la plupart de temps, prendre en charge leurs besoins. Moi, Nabiiga, j’en connais des députés de l’ancien parlément et je sais parfaitement ce qu’ils subissaient des mains de leurs électeurs : mur tombé, haya, c’est le député qu’il faut aller voir, manque de frais de scolarité, il faut aller voir le député, maladie, nourriture, en fait les députés étaient des démi dieu, pas dans le mauvais sens mais des démi dieux censer régler tous les problèmes. Les députés avaient des voitures mais le gouvernment soustrait 500, 000 par mois de leur salaire contre le prêt de voiture. Du coup, eux-mêmes, ils se cherchaient sans compter les responsabilités auprès des électeurs. Assez sur la justification de primes pour le carburant des anciencs députés. Les députés de la transition n’ont pas d’électeurs à plaire encore plus leur rendre compte de ce qui se passe à Ouaga. Si c’est pour se rendre aux sessions, l’armée burkinabè a des cars, des autobus, et des camions pour le transport des troupes, que l’armée fasse pardon et mettre un ou deux de leurs engins au profit des députés de la transition, lesquels engins feront le tour de Ouaga pour les chercher et les déposeront chez les sessions finies. C’est le seul carburant qui sera justifiable.

    Frais de sécurité est le plus insolite de tout. Nom de Dieu, combien d’entre eux avait un secrétariat avant et de plus, pourquoi faut-il avoir un secrétariat. Tenez vous bien. En Eritrée, juste à côté de nous, lorsque le pays a pu finalement se soustraire de l’Éthiopie et est donc devenu indépendant, il fallait assurer la continuité de l’état sans les Éthiopiens et les financement associés à ces derniers. Alors, que fallait-il faire car le nouveau pays n’avait rien, les écoles devaient ouvrir, les hôpitaux devait avoir de personnel etc alors, au travail tout le monde, tout le monde travailler sans salaire.. Les OnG distribuait de la nourriture un peu partout. J’ étais de passage dans ce pays-là à cette époque. Même si aujourd’hui, ils ont un imbécile là-bas comme président, il faut dire que les Éritréens ont fait d’énormes sacrifices pour arriver où il sont aujourd’hui. Pour revenir aux frais de secrétariat, il faut un secrétariat s’il y a un besoin de secrétariat. N’étant pas expert de bureaucratique, l’on a un secrétariat pour assurer que le personnel organise des réuions, des rendez-vous, prendre des notes, compose des lettres, repondre au téléphone, bref, amoindrire la tâche du patron car trop occupé pour savoir s’occuper de tout. Maintenant, les députés doivent-ils avoir un secrétariat ? je dit bien non et non car des simples citoyens dont la charge que nous leur avons donnée ne demande pas qu’ils soient si occupé jusqu’au point où ils ne peuvent pas s’occuper de leur messages, ne soit pas capable de frapper leur propre lettres. À la rigueur, qu’on trouve un petit coin à Ouaga, une salle de conférence d’un ministère, qu’on dotte cette salle de conférence d’une dizaine d’ordinateur, quelques téléphones et voilà, l’affaire est faite, ils peuvent bien subvenir à leurs besoins beaucratiques. Voilà, 300 000 mille franc et pas un wachiri de plus. C’est à prendre ou à laisser

  • Le 10 janvier 2015 à 15:39, par sidsaya En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Peuple du Burkina qu’attendais-tu d’autre de cette insurrection dite populaire des 30 et 31 octobre ? La Révolution du 4 août 1983 est morte et enterrée avec ses idéaux. Le "sankarisme" c’est de la pure comédie. Vive le libéralisme sauvage, le vol et la course à l’enrichissement.

  • Le 10 janvier 2015 à 15:44, par assane En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    N°13 Leyla, l’erreur qui semble s’être glisser dans le total du journaliste est dû au fait que tels ue présenté on a pris que l’indemnité de session d’un seul jour (20 000F). Dans les faits, si les honorables députés font 30 jours dans le mois, il faudra multiplier 20 000 F par 30 ce qui donnera 600 000 F. Récapitulatif : 753000+600000+85000+230000+113000=1781000FCFA.
    Mais à leur décharge, ce ne sera pas toute l’année qu’ils auront 30 jours de sessions dans le mois ! Peut-être même pour se faire l’avocat du diable, qu’ils pourraient faire des mois sans être en session !

  • Le 10 janvier 2015 à 16:09, par BUCK En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    A bien voir il ne doit pas avoir de problème.
    Puisqu’ils ont chassé Blaise COMPOARE pour pouvoir piller les deniers publics. Donc ils peuvent se faire payer le salaire qu’ils veulent
    OUBIEN ????

  • Le 10 janvier 2015 à 16:12, par or En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Dommage pour le Burkina qui commence déjà à regretter le Président Blaise COMPAORE. Et SY du Bendré dans tout ça, grand donneur de leçons devant l’éternel, quelle honte !

  • Le 10 janvier 2015 à 16:19 En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Il parait qu’ils ont revus leur salaire à 800000. Mais je trouve que c’est toujours trop pour des gens qui n’ont aucune légitimité. 800000 Francs c’est plus de 26 fois le smic. Mes chers députés de la transition comme le disent nos frères de Rood Woko, c’est bon mais c’est pas arrivé. Ajoutez encore de l’eau dans votre vin pour qu’il soit buvable par ceux qui ont en un certain moment de l’histoire placé leur confiance en vous. Car je sais que cette confiance est à jamais entachée. Moi je propose un salaire de 400000 maximum 500 000.

  • Le 10 janvier 2015 à 16:24, par Intelect 2000 En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    C’est l’esprit de petites gens. On parle de course à l’enrichissement. A 17 Millions le mandant. Ca ne fait même pas le prix d’une villa économique à Bassinko !!! Quand même il faut être raisonnable ; on veut que ces gens abandonnent leur job pour travailler pendant 10 mois sur l’avenir de la nation et de surcroît il ne pourront pas prétendre à des postes électif pendant 05 ans et on veut qu’ils bossent gratuitement.... Quand même... Je pense qu’il faut que les gens se clament et laisse les gens travailler. Ces gens n’ont pas voler leur salaire. Vous pensez qu’un DG des Douanes ou du Trésor touchent combien ???

  • Le 10 janvier 2015 à 16:32, par malthus En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    On les attend au tournant. Quelqu’un a dit un jour qu’ il n’y’a pas de bonheur dans la politique.
    Je comprend maintenant parfaitement de quoi il voulais parler. Oh la cupidité de l’homme noir.
    C’est vraiment intolérable que dans les circonstances que tout le monde connait, il n’ont pas eu la hauteur d’esprit de voter des lois pour réduire le train de vie de l’état surtout pour le prochain gouvernement. Franchement, je suis déçu. tu es en brousse en train de trimer avec un salaire misérable malgré ton bac+ 12 ; Pendant ce temps des officiers "députés révolutionnaires bourgeois" disent que eux ils avaient déjà plus de 2 millions avant de venir au CNT. Cela fait que la motivation, se saigner maintenant pour le pays n’est plus d’actualité. Maintenant ceux qui prennent les gros salaires la, c’est eux qui vont faire le maximum. Maintenant je sais comment travailler. Le strict minimum

  • Le 10 janvier 2015 à 16:32, par étudiant engagé En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Vite Vite Vite
    Les salaires des profs d’Université doivent être doublés. Si vous avez autant d’argent à donner aux membres du CNT pas de raison que les enseignants de l’Université continuent à trimer.
    ZIDA heyiiii
    KAFANDO heyiiii

  • Le 10 janvier 2015 à 16:44, par Le Manitou En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Je pense qu’on doit revoir à la baisse le salaire de ces messieurs, sinon dite moi que font ils d’extraordinaire que le citoyen lambda Burkinabé ne peut il pas faire ? On vous voit venir, ça ne m’étonne guère, certains que je connais ont dû batailler pour être au CNT dans l’espoir de se faire une fortune. Bande de vautours, si vous voulez l’argent allez voir ailleurs pas sur le dos du peuple. Si vous n’êtes pas content de mon écrit tant pis, c’est tout de même la vérité. croyez vous que vous êtes les seuls a avoir mené la lutte du changement, nous sommes tous des acteurs de ce changement, si vous êtes au CNT, c’est parce-que nous estimons que tout le monde ne peut pas y être. Alors arrêtez de vous sucrer sur le dos du peuple, sinon N’gaw

  • Le 10 janvier 2015 à 16:49, par Le Manitou En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Je pense qu’on doit revoir à la baisse le salaire de ces messieurs, sinon dite moi que font ils d’extraordinaire que le citoyen lambda Burkinabé ne peut il pas faire ? On vous voit venir, ça ne m’étonne guère, certains que je connais ont dû batailler pour être au CNT dans l’espoir de se faire une fortune. Bande de vautours, si vous voulez l’argent allez voir ailleurs pas sur le dos du peuple. Si vous n’êtes pas content de mon écrit tant pis, c’est tout de même la vérité. croyez vous que vous êtes les seuls a avoir mené la lutte du changement, nous sommes tous des acteurs de ce changement, si vous êtes au CNT, c’est parce-que nous estimons que tout le monde ne peut pas y être. Alors arrêtez de vous sucrer sur le dos du peuple, sinon N’gaw

  • Le 10 janvier 2015 à 17:18, par Bahiya En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    C’est tout simplement dommage ! voici les raisons profondes de notre sous développement. l’intérêt personnel avant celui du peuple. Moi même qui vous parle je me rend compte que je ne ferai pas mieux que ceux que je critique. Sinon que chaque pays a de quoi nourrir toute sa population. Dieu n’est pas injuste envers les pays ou les personnes. c’est notre comportement personnel ou collectif qui nous détermine par rapport aux autres. Quand comprendrons -nous enfin Nobert ZONGO qui disait que "Nul n’a un avenir dans un pays qui n’en a pas". chers membres du CNT, profitez au maximum que vous pouvez car ceux qui vous critiquent font ou feront comme vous. C’est la mentalité majoritaire des africains qu’on l’accepte ou non.

  • Le 10 janvier 2015 à 17:33, par la paix En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Je commence a douter que ce soit pour l,interet du PEUPLE BURKINABE que Blaise et son regime ont ete renverses.Le POUVOIR pour s,enrichir VITE sur le dos du PEUPLE BURKINABE me semble etre la veritable MOTIVATION ET MOBILE des uns et des autres.
    Un examen de CONSCIENCE de nos autorites de la transition, nos HOMMES POLITIQUES et partis politiques doit SE FAIRE afin que chacun revoit sa COPIE.Si l,alternance c,est ote toi pour que moi aussi MANGE alors c,est tristement triste pour le PEUPLE BURKINABE.
    Si l,interet du PEUPLE BURKINABE n,est pas TA MOTIVATION TON miroir TE jugera et condamnera..

  • Le 10 janvier 2015 à 18:07, par thoms En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    SA METONNE PAS DU TOUT CEST LE DEBUT DABOR VOUS AVEZ CHASSER BLAISE DONC FO ASSUMER...LE PAYS IRA EN COUILLE PETIT A PETIT VOUS LE CONSTATEREZ DE VOUS MEME...UN CNT NUL DES INCAPABLES SEULEMENT VOILA POURQUOI MOI JE PREFERAIS BLAISE...

  • Le 10 janvier 2015 à 18:12, par tiourabè En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    le gouvernement actuelle est plein de menteurs. le MATDS qui fait une communication orale en Conseil de Ministre pour dire que toutes les délégations spéciales sont déjà mises en place. très grave. c’est très faut. le tiers même des DS ne sont pas mises en place. j’invite quiconque le veut à vérifier sur le terrain. il a quel intérêt à mentir de la sorte ?

  • Le 10 janvier 2015 à 18:18, par Idansè En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Combien gagne les membres du gouvernement de la transition par mois ? Et le PM ? Et le PF ? Eclairez moi svp

  • Le 10 janvier 2015 à 18:36, par Puupelem En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Malheur à ceux qui bâillonnent leur peuple ! La patrie ou la mort nous vaincrons !

  • Le 10 janvier 2015 à 19:02, par Lassané En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Bande d escrots et de voleurs. Meme si vous n avez pas peur de Dieu, n ayez honte. Vous aussi membres du CNT

  • Le 10 janvier 2015 à 19:30, par wenlasida En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    SY me déçoit énormément. lui qui a passé le temps à gratter le papier contre la mauvaise gestion, la mauvaise foi des dirigeants passés a plongé sur la première carotte. DICK MARCUS qui n’a jamais vendu cinq CD de sa vie...Hervé OUATTARA qui hurlait ...n’importe quoi
    Ce CNT comme on pouvait s’en douter est un ramassis de....

  • Le 10 janvier 2015 à 20:31, par TRAORE En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Que DIEU soit avec nous valeureux peuple du Burkina afin que notre lutte si courageuse ne devienne un clou planter sur notre tête.
    Si ma mémoire ne me joue pas des tours je crois que c’est face a la miser et la promiscuité du peuple d’une part et d’autre part l’arrogance , l’enrichissement illicite et le désir permanent du pouvoir qu’est née l’insurrection.
    On vous fait confiance, en mettant en mode pause nos luttes syndicales pour l’amélioration de nos conditions de vie et voila vous n’arrivez pas a vous distinguer des autres.
    Je lance un appel solennelle a tous mes collègues travailleurs du secteur public et privé de commencer dés ce jour a murir la réflexion sur nos action a venir notamment l’injustice salariale entre contractuel et fonctionnaire sans oublier la révision de la grille salariale.
    A bon entendeur,salut

  • Le 10 janvier 2015 à 21:01, par Joseph En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    CNT merci de tenir compte de la réaction du peuple qui vous a envoyé là ou vous êtes après l’insurrection. chers camarades je voudrais faire une proposition qui à mon sens sera plus logique car chacun fait ses propositions de salaire de 200mil à 600mil. Pourquoi ne pas se baser sur les indemnités de session de 20000F par jour + le forfait carburant.
    Les députés seront payés par leur présence au CNT. Si tu participes à 20 séances c’est 20000x20= 400.000F, 10 séances 20000X10=200.000F etc. Beaucoup d’avantage pour l’assiduité au travail.
    NB. il parait que se sont les militaires du CNT qui ont de gros salaire qui sont les plus ré tisant, arguant qu’ils perdent au change

  • Le 10 janvier 2015 à 21:06, par Monfaso En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Meme réduit à 883 000 c’est trop ! 300 000 c’est à prendre ou à laisser !

  • Le 10 janvier 2015 à 21:06, par Sidpawalemdé Sebgo En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    @Leyla, intervenante n°13 : Il s’agit d’une omission par "sous-entendu". Le montant de 20.000F/jour de session doit être multiplié par 30 jours (oui, même les jours fériés sont payés !) soit un total de 600.000Fcfa par mois pour ce poste.Le total est donc correct.

  • Le 10 janvier 2015 à 21:25, par Ka En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Zida nous affirmait lors de son premier message à la place de la révolution que toute décision au Burkina Faso se fera avec le peuple. A ce rythme de décider sans le peuple, ‘’’’salaire excessif des députés en herbe, nomination d’un poste de ministre a un repris de justice, un corrupteur et incompétent a la CAMEG, ’’’’’exceptera, Exceptera. Trop c’est trop pour une équipe qui se veut de la transparence pour préparer un présidentiel transparent pour une alternance apaisée. Pour un Burkina qui veut se redémarrer sans l’injustice, sans l’impunité, et sans corruption, je demande que les salaires des députés en herbe soient réviser, et qu’ils rendent ou soit retenu du surplus. Si le peuple muri est sorti avec courage et dire a un régime corrompu que ça suffit, ce n’est pas un premier ministre et son président de fantôme qui vont encore duper ce peuple prêt a tout pour que ça ne se répète plus. Je m’adresse a mon héro enfant qui est Hervé, celui dont mon soutien est sans réserve, de se lever et remettre de l’ordre dans le groupe du Bloc 21 dit du cailloux. La soudure fait la force, et vous aviez besoin du Balai citoyen pour concrétiser vos objectifs qui sont de faire ce qui est mieux pour le peuple meurtri par une tyrannie de 27 ans, et non profiter du denier public. Beaucoup d’internautes du monde entier me posent cette question ! ‘’’’Comment les jeunes que toi le vieux KA soutienne puisse s’en sortir du bourbier d’escroquerie des salaires bidons offerts par les responsables de la transition afin de les manipuler ?’’’’ Je demande à Hervé de faire le premier pas, et refuser son salaire et maintenir sa position de soutenir tout le peuple dont 99% n’a pas un repas par jour. Il sera la fierté de la transition, et un exemple pour le Bloc 21. Vive l’alternance politique et économique au Burkina, vive la transparence.

  • Le 10 janvier 2015 à 21:33 En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Tout simplement du dégoût que de voir les "députés" CNT se contredire sur les montants servis :
    - selon Alexandre Sankara : 1.778.000 CFA
    - Aziz SANA ne dit pas autre chose : il avoue avoir reçu plusieurs enveloppes de montants dont il a du mal à se souvenir, tant c’était trop pour du jamais vu !
    - le "Questeur", je ne sais qui : parle de 1.053 000 F, mais la sommation des sommes communiquées dépassent. Et d’ailleurs, il hésitait sur les montants
    Simplement dommage, et à dire que ce sont ces gens là qui vont rédiger les textes dits néttoyés qui régiront la vie du Burkina post insurrection, c’est pitoyable !

  • Le 10 janvier 2015 à 21:38, par N’gaw En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Combien va-t-on payer les familles des martyrs alors ? c’est eux le mérite, mais ces ramassis de désignés !
    Je ne comprends pas pourquoi la TRANSITION ne veut pas s’entourer de technocrates, d’hommes d’expérience pour aider dans l’analyse des CVs, la recherche d’informations pour les promus, bref, dans la recherche des gens valables pour être dans les instances.
    L’échec s’annonce déjà !

  • Le 10 janvier 2015 à 21:40, par BENGHAZI En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    SY m’a beaucoup déçu. Lui qui, sous la 4ème république, avait une plume acerbe contre la mal-gouvernance et autres enrichissements illicites, est aujourd’hui le Président d’un CNT où chaque prétendu député touche plus 1 778 000f. Vraiment, le changement ce n’est pas un mot ; c’est un comportement, pour paraphraser Félix Houphouet Boigny. Le CNT doit revoir sa copie avant que le peuple ne l’exige. A bon entendeur, salut !

  • Le 10 janvier 2015 à 21:48, par soumpougdou En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Les pauvres et ceux qui sont morts ont tord. Et c’est là que ça blesse. Les gens du RSP ont perçu chacun 300 000 frs suite à leur mutinerie

  • Le 10 janvier 2015 à 23:06, par Le Sage En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    On dissous le CNT, et on vire tous les membres actuels.
    On ré-élit d’autre membres.
    Et par mois on donne à chacun le montant de son dernier salaire(avant son entré au CNT) + un forfait mensuel de 200.000Fr pour le service rendu à la nation.
    Le sage.

  • Le 11 janvier 2015 à 00:34, par Sidpawalemdé Sebgo En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Soyons clairs :

    Depuis qu’on a annoncé le vote du budget, ceux qui connaissent le fonctionnement de l’assemblée savaient qu’il y avait anguille sous roche. En effet, la question de leur salaire est un préalable indispensable, afin qu’ils soient fixés avant de travailler, d’une part, et d’autre part de calculer le budget de l’assemblée qui est inclus dans le budget de l’état avant de le voter. Le silence sur cette question, alors que le budget global était abondamment commenté montrait bien qu’il y avait malaise. Il suffisait d’attendre que ça sorte car il était clair que même parmi les députés de transition certains allaient être choqués. Les chiffres minorés qu’ils avancent veulent "oublier" les "faux frais" genre santé, secrétariat, etc.. bref noyer le poisson, ce qu’ils auraient réussi sans la mobilisation.

    Maintenant, qu’ils essaient de se justifier et mal, c’est pathétique mais normal, l’essentiel c’est qu’ils soient revenus à de meilleurs sentiments. Si certains estiment perdre au change par rapport à leurs anciens revenus, cela signifie deux choses : La première qu’on devrait aussi s’intéresser à leur salaire de la où ils viennent si c’est l’état qui le paie. La deuxième c’est qu’ils n’ont pas assez de sentiment patriotique pour le Burkina pour accepter ce (petit) sacrifice pendant dix mois et dans ce cas ce serait mieux qu’ils cèdent leur place à d’autres. Restons donc mobilisés.

    Dieu aime le Burkina Faso. La patrie ou la mort nous vaincrons !

  • Le 11 janvier 2015 à 09:31 En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Alexandre Sankara mérite toutes nos félicitations pour avoir eu le courage de se présenter sur le plateau de la tnb pour dire la vérité au peuple, chose que beaucoup se sont refusés de faire. Ma proposition est qu’il ne faut plus jamais permettre à une institution fut-elle l’Assemblée Nationale de décider du salaire de ses membres.

  • Le 11 janvier 2015 à 10:27, par ONE WAY En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Je suis complètement ahuri. Je me demande si c’est vraiment une réalité ?
    Quelles sont les motivations de ces soit disant députés choisis pardon nommés arbitrairement. Quels sont les mérites de ses gars là !!!
    Je pense très sincèrement comme le disait le Cercle des Jeunes pour l’alternance et la démocratie qu"il faut que les acquis de l’insurrection populaire soit sauvegardés .
    Quelle honte ? Que pensent le premier ministre ZIDA et le président KAFANDO dans tout ca ?

  • Le 11 janvier 2015 à 10:28, par ONE WAY En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Je suis complètement ahuri. Je me demande si c’est vraiment une réalité ?
    Quelles sont les motivations de ces soit disant députés choisis pardon nommés arbitrairement. Quels sont les mérites de ses gars là !!!
    Je pense très sincèrement comme le disait le Cercle des Jeunes pour l’alternance et la démocratie qu"il faut que les acquis de l’insurrection populaire soit sauvegardés .
    Quelle honte ? Que pensent le premier ministre ZIDA et le président KAFANDO dans tout ca ?

  • Le 11 janvier 2015 à 10:48 En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Si le depute sankara dit la verite c’est alphonse qui est son ancien camarade ment. Il hesitait en donnant les « reponses »

  • Le 11 janvier 2015 à 11:37, par Mamou En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Tout d’abord, il faut saluer le courage, le patriotisme de ces hommes et femmes qui ont choisi de conduire la transition pour un Burkina Faso plus démocratique et plus équitable. Il faut rappeler aussi que la situation de crise dans laquelle se trouve notre chère patrie, ne doit pas nous faire omettre qu’il y a d’autres chantiers sur lesquels notre pays doit concentrer ( l’éducation, la santé, l’emploi des jeunes, l’amélioration des conditions de vie des populations, la promotion des PME/PMI qui sont le socle de tout développement économique, etc.). Aussi, la répartition des faibles ressources dont dispose notre pays doit se faire en tenant compte de tous ces facteurs, être basée sur le principe de l’équité et tenir compte du réel travail que abattront ces valeureux hommes et femmes du CNT. Aussi, chaque membre du CNT ne devrait pas percevoir une rémunération en dessous ou exagérément supérieure de celle qu’il percevait "avant CNT". Il faut donc trouver la meilleure formule afin de préserver une paix durable au pays des hommes intègres.
    Peace and love au Burkina Faso.

  • Le 11 janvier 2015 à 12:10, par Joseph En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Camarades ne perdons pas de vue que la transition c’est notre transition, si elle échoue nous aurons tous échouer, nous félicitons tous les Burkinabè pour leur vigilance quant à la conduite de notre révolution. Plus rien ne sera comme avant, cela ne veut pas dire que nous allons foutre la merde et faire échouer notre transition, Blaise et ses disciples se moqueront de nous ! Alors focalisons nous sur ma proposition car les propositions des uns et des autres sont éloignés.
    Pour éviter les divergences au niveau des propositions salariales des députés du CNT,Je pense qu’il est mieux que les députés du CNT soient payés à la tâches. Les indemnités de session sont de 20000F par jour, je suggère qu’ils soient payés par rapport à leur présence si tu participes à 10 séances c’est 20000×10=200000F, si assidu à 20 séances c’est 20×20000= 400.000F etc..plus bien sûr le forfait carburant.
    Finissons avec cela et passons aux points qui fixeront durablement l’avenir de notre démocratie, code électoral, la relecture de la constitution etc...
    Soyons vigilant et faisons avancer notre pays par nos propositions dans le sens.
    Le RSP nous nargue et veut confisquer notre Révolution !

  • Le 11 janvier 2015 à 12:17, par Joseph En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Camarades ne perdons pas de vue que la transition c’est notre transition, si elle échoue nous aurons tous échouer, nous félicitons tous les Burkinabè pour leur vigilance quant à la conduite de notre révolution. Plus rien ne sera comme avant, cela ne veut pas dire que nous allons foutre la merde et faire échouer notre transition, Blaise et ses disciples se moqueront de nous ! Alors focalisons nous sur ma proposition car les propositions des uns et des autres sont éloignés.
    Pour éviter les divergences au niveau des propositions salariales des députés du CNT,Je pense qu’il est mieux que les députés du CNT soient payés à la tâches. Les indemnités de session sont de 20000F par jour, je suggère qu’ils soient payés par rapport à leur présence si tu participes à 10 séances c’est 20000×10=200000F, si assidu à 20 séances c’est 20×20000= 400.000F etc..plus bien sûr le forfait carburant.
    Finissons avec cela et passons aux points qui fixeront durablement l’avenir de notre démocratie, code électoral, la relecture de la constitution etc...
    Soyons vigilant et faisons avancer notre pays par nos propositions dans le sens.
    Le RSP nous nargue et veut confisquer notre Révolution !

  • Le 11 janvier 2015 à 12:54, par pingson Wilson En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    Les mots me manquent pour qualifier le président du Cnt.qui pouvait imaginer que mr cherif sy va roulé le peuple dans la farine ? Un président du cnt sort dire publiquement que les députés touchent 1.053.000f .quelle honte pour une autorité de cette envergure ? Le député sankara que je respecte très bien à dit la tte vérité et son homologue sana vient confirmer qu’un député cnt touche 1.773.000f.mr cherif sy pour votre respect et dignité je vous demande de démissionner si vs avez honte de vous même. Le peuple ne peut plus vs faire confiance et je peux vs rassurer que c’est une grosse erreur de vs désigner comme président du cnt.si vs aimez votre peuple renoncer votre salaire à 500.000f.

  • Le 12 janvier 2015 à 09:22, par BOUDA En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    C’EST VRAI QU’ILS ONT PÉCHÉ MAIS CES CRITIQUES ACERBES DES INTERNAUTES ME FONT PENSER A QUELQUE CHOSE DE CRUCIAL.LE MOSSI DIT QUE "zin teng mi maoré".HISTOIRE DE DIRE QUE TOUTE PERSONNE EN DEHORS D’UN PHÉNOMÈNE PENSE TOUJOURS S’Y CONNAITRE .MÊME VOUS TOUS QUI CRITIQUEZ OU QUI GLOSEZ,IL SUFFIT QU’ON VOUS Y JETTE ET VOUS VOUS RENDREZ COMPTE QUE C’EST BEAUCOUP PLUS Compliqué QUE CA. SACHEZ QUE CEUX QUI CAFOUILLENT ACTUELLEMENT GLOSAIENT AUSSI COMME VOUS.C’EST SIMPLEMENT VOUS DIRE D’ÊTRE INDULGENTS CAR VOUS AVEZ SUPPORTE LE DÉFUNT RÉGIME PENDANT 30 ANS. ACCEPTEZ DONC CES QUELQUES IMPERFECTIONS ET QU’ON CONTINUE.MERCI

  • Le 12 janvier 2015 à 16:15, par ouatt En réponse à : Conseil national de transition : Le point de presse « avorté », rendez-vous ce samedi à 10h

    MESSIEURS LES MEMBRES DA LA CNT NOUS VOUS DEMANDONS PARDONS, IL FAUT FAIRE UN GRAND SACRIFICE REVOYEZ LES MONTANTS A LA BAISSE. VOUS ETES LA BAS POUR LE PEUPLE DONC IL FAUT ECOUTER CE PEUPLE ET CE PEUPLE VOUS DEMANDE DE BAISSER VOS SALAIRE. FAITE PARDON ON VOUS COMPREND MAIS VOUS AUSSI COMPRENEZ NOUS (LE PEUPLE).