Lancement du Projet de lutte contre l’exclusion des femmes accusées de sorcellerie : Le Fonds commun Genre apporte plus de 169 millions de FCFACent soixante-neuf millions cinq cent trente-huit mille cinq cent quatre-vingt-dix-huit Francs Fcfa, c’est la somme que le Fonds Commun Genre (FCG) a apportée au projet de la Commission Justice et Paix (CJP) pour lutter contre l’exclusion des femmes accusées de sorcellerie au Burkina Faso dont le lancement de la seconde phase a eu lieu le vendredi 19 décembre 2014 à Ouagadougou. En effet, le FCG dont l’objectif principal est de « Contribuer au renforcement de la durabilité des actions en matière de genre à travers l’amélioration des mécanismes de coordination et de promotion des approches innovantes » a été mis en place en 2005 par un ensemble de Partenaires Techniques et Financiers au Burkina Faso, pour soutenir les efforts des partenaires nationaux dans la promotion du genre et dans la lutte pour l’égalité hommes-femmes. Depuis sa création, le FCG a financé plus de 70 organisations à cet effet. C’est dans ce contexte que la CJP bénéficie de l’appui financier du FCG dans la promotion des droits des femmes et particulièrement de celles accusées de sorcellerie. En décembre 2014, la CJP dénombre plus de 589 femmes exclues de leur famille pour cause d’accusation de sorcellerie. À travers le financement en cours, le FCG entend renforcer la contribution de la CJP à la lutte contre l’exclusion sociale et les violences faites aux femmes à quatre niveaux : la sensibilisation des populations et des leaders communautaires pouvant influencer les décisions par rapport à l’exclusion des femmes, la prise en charge des femmes accueillies dans les centres, le retour en famille des femmes admises dans les centres, et le renforcement du dispositif de prévention des violences. Pour le Gestionnaire du Fonds commun Genre, Diakonia |
Vos commentaires
1. Le 10 janvier 2015 à 18:32, par yiraba En réponse à : Lancement du Projet de lutte contre l’exclusion des femmes accusées de sorcellerie : Le Fonds commun Genre apporte plus de 169 millions de FCFA
Ce n’est pas des fauses accasations ya une par de veriter dedans ne jouer pas au toubab.celle qui dit ouvertement que elle est pour qulque chose de la mort .contacter moi je vous montrerais une vielle elle se promenne ds le village et sasoir sur tout les tombes des enfants qu’elle a tués ,et dit de regarder dans sons derière que les enfants mettrent leur dois ds son anus.au cammeroun ya des magistrat qui juges ces cas.
2. Le 10 janvier 2015 à 19:21, par Kanzim En réponse à : Lancement du Projet de lutte contre l’exclusion des femmes accusées de sorcellerie : Le Fonds commun Genre apporte plus de 169 millions de FCFA
Il y a de la comédie dans cette affaire de lutte contre les femmes accusées de sorcellerie. Pourquoi encore et toujours de la sensibilisation qui dire et qui n’a pas eu d’effet ? Pourquoi ne pas appliquer les lois qui s’y réfèrent, comme la diffamation, l’abandon, l’obligation de prise en charge des parents, les violences physique, morale et verbale..etc.? J’imagine des programmes de sensibilisation fortement médiatisés, des ateliers et interviews et autres émissions, pour justifier un gaspillage de fonds, sinon une appropriation égoïste desdits fonds ? C’est vrai que tout malheur génère ses profiteurs, comme les pilleurs des d
fonds rassemblés lors de l’inondation du 1er septembre. mais de grâce, qu’on arrête de se foutre de nous, avec des médiatisations honteuses d’une activité qui ne sert à rien. Demandez seulement à tous les acteurs de la prétendue sensibilisation pourquoi la maman d’un chef de village ou de canton n’a jamais été accusée de sorcellerie ?
3. Le 11 janvier 2015 à 12:40, par BUUD-YAANDE En réponse à : Lancement du Projet de lutte contre l’exclusion des femmes accusées de sorcellerie : Le Fonds commun Genre apporte plus de 169 millions de FCFA
POURQUOI ON N’A JAMAIS CHASSE UN HOMME POUR SORCELLERIE, CEST TOUJOURS LES PAUVRES FEMMES A QUI ON VEUT RETIRER LES BIENS APRES LE DECES DE LEURS MARIS QUI SUBISSENT CETTE INJUSTICE.
4. Le 11 janvier 2015 à 13:13, par yiraba En réponse à : Lancement du Projet de lutte contre l’exclusion des femmes accusées de sorcellerie : Le Fonds commun Genre apporte plus de 169 millions de FCFA
salut mr si la maman du chef de village n’est fait pas la pratique elle ne pas chassée .ses des pratique abominable qui exciste ds nos village et même ds les villes.il faut etre victime pour croire .on a vu des vielles a leur dernière soufle elle devoile tous les enfants et meme des adultes qu’elle a attrapée voici mon contacte 78046014 je te montre un fait propre sans detoure merci
5. Le 12 janvier 2015 à 09:47, par Le sage En réponse à : Lancement du Projet de lutte contre l’exclusion des femmes accusées de sorcellerie : Le Fonds commun Genre apporte plus de 169 millions de FCFA
Ma bouche sera la bouche des malheurs qui n’ont point de bouche, ma voix, la liberté de celles qui s’affaissent au cachot du désespoir. (Aimé Césaire, Cahier d’un retour au pays natal)
Oui il faut que quelque chose soit fait contre l’injustice pour que, comme le dit Kazim, aucune maman ne soit battue, exclue des siens pour cause de sorcellerie.
6. Le 12 janvier 2015 à 10:11, par Le sage En réponse à : Lancement du Projet de lutte contre l’exclusion des femmes accusées de sorcellerie : Le Fonds commun Genre apporte plus de 169 millions de FCFA
Belle conclusion de Kanzim.
Ma bouche sera la bouche des malheurs qui n’ont point de bouche, ma voix, la liberté de celles qui s’affaissent au cachot du désespoir. (Aimé Césaire, Cahier d’un retour au pays natal)
Ainsi, il faut lutter pour rétablir la justice pour les victimes actuelles et faire en sorte plus rien ne soit comme avant, c’est à dire à l’instar de la maman du chef, qu’aucune mère ne soit battue, exclue des siens pour cause de sorcellerie.
7. Le 12 janvier 2015 à 10:13, par Le sage En réponse à : Lancement du Projet de lutte contre l’exclusion des femmes accusées de sorcellerie : Le Fonds commun Genre apporte plus de 169 millions de FCFA
Belle conclusion de Kanzim.
Ma bouche sera la bouche des malheurs qui n’ont point de bouche, ma voix, la liberté de celles qui s’affaissent au cachot du désespoir. (Aimé Césaire, Cahier d’un retour au pays natal)
Ainsi, il faut lutter pour rétablir la justice pour les victimes actuelles et faire en sorte plus rien ne soit comme avant, c’est à dire à l’instar de la maman du chef, qu’aucune mère ne soit battue, exclue des siens pour cause de sorcellerie.