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Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

Point de vue
jeudi 16 octobre 2014.

 

En donnant volontairement pour titre à mon dernier écrit sur Lefaso.net "Et pourtant ce référendum est illégal", je me doutais bien que quelque professionnel du Droit et/ou de la politique allait me répondre, l’objet de l’article, le problème qu’il soulève et pose étant que l’on nous démontre et établisse la légalité du référendum ou, à contrario, l’illégalité et l’illégimité d’une résistance à ce référendum.

Or voici que vaquant à mes occupations un proche m’alerte qu’un écrit de Djibo Mamadou faisait obliquement référence, non pas dans son titre, mais en milieu de page, à mon dernier texte, en citant mon petit nom.

Je constatais justement dans mon article que les enfantillages de cour d’école tenaient lieu de débats, à défaut d’un débat sur l’article 37 (ce qui veut dire aussi bien que cet article ne fait pas débat), eh bien en voici la preuve, nous y sommes.

Puisque, à la lecture de l’écrit de Djibo, je ne trouve rien qui ressemble à une réponse digne et argumentée à la hauteur de mon texte, alors même que, tout le monde le sait maintenant, l’intention de ce Monsieur (oui l’intention, s’il n’est pas un automate, mais une conscience qui sait ce qu’elle fait) était bien, comme à son habitude, par réflexe pavlovien conditionné, de riposter à mon écrit (je n’en ai pour preuve que la citation de mon nom). Rien, absolument rien de tel qu’une réponse ne m’est faite par le Monsieur. Me faut-il répondre à quelqu’un qui me riposte sans me répondre ? Alors je viens par ce post-scriptum lui donner encore plus l’occasion de me répondre vraiment, car je reste sur ma faim.

Puisque donc mon nom est cité dans le dernier écrit de Djibo ("L’appel à la souveraineté du peuple est indépassable" ; soit, volontiers indépassable, mais sous quelle forme qui exclurait aussi, disais-je, la résistance et la révolte, c’est ce qui n’est pas décidé), qui, en lieu et place d’une argumentation, se contente de faire un portrait "philosophique" de moi, il me faut au moins commenter ce procédé et cette méthode étranges, qui sont les siens, et que j’attribue à un manque évident de courage intellectuel et d’arguments pour soutenir un débat à la hauteur de mon article qui soulève et pose un problème bien plus sérieux et grave, sur la légalité d’un référendum que ce Monsieur soutient (le soutenir n’est toutefois pas interdit, de même qu’y résister jusqu’à la révolte, mais il faut argumenter).

Ce procédé de Djibo est celui d’un philosopher qui n’a de nom que philosopher fuyant en avant et se dérobant à l’évidence comme à la lumière, un philosopher à la sauvette : tapi dans l’obscurité et l’imprécision de ses savoirs et connaissances qu’il pense mettre au service d’une cause politique tout aussi obscure et d’avance perdue quoi qu’il se passera demain au Burkina, ce Monsieur n’attend que d’attaquer superficiellement et furtivement pour se dérober. Comme les araignées vénimeuses dont nous parle Nietzsche (sauf que notre Monsieur manque de vénin, manquant pathétiquement d’arguments politiques et philosophiques) : "Ces araignées vénimeuses, elles disent du bien de la vie, tout en restant tapies dans leur tanière, à l’écart de la vie ; c’est parce qu’ainsi elles peuvent faire mal" (Ainsi parlait Zarathoustra, "Les tarentules", traduction Goldschmidt).

Je n’ai pas le choix, si je parle de bestioles et d’animaux, c’est certainement le seul moyen pour moi de me rendre accessible et intelligible à Djibo, car des références animalières il s’en délecte à longueur de ses écrits : chiens, taureaux, chats, étalons, juments : à n’en pas douter, notre philosophe à la sauvette n’est que le philosophe de la "virginité" des juments, et des chiens et chats qui s’attirent. Et il fait bien de parler d’obsession : si c’est obsession, il connait, en étant le philosophe burkinabè par excellence : en témoigne la ritournelle ennuyeuse de son langage volubile et ressassé : "le vieux Kant" par-ci, par-là, à toutes les sauces, le nom "Badiou", sans savoir et dire jamais de quoi ce Badiou est justement le nom quand je parle de révolte (j’y arrive plus loin).

La "riposte" peu courageuse, parce que désarmée, sans les armes pour contre-attaquer, la riposte à la sauvette, escarmouche qui ne fait pas mouche, n’est que l’aveu de ce que Nietzsche encore appelle la "pensée petite" : "La pensée petite est pareille à la moisissure : elle rampe et se tapit et prétend n’être nulle part" (op,cit, "Les compatissants").

Or voici que ce Djibo retourne contre moi, et en guise d’arguments, ses propres insuffisances et la petitesse de sa pensée, pour faire de moi l’un des philosophes qui, dit-il, "tentent, avec des arguments tirés par les cheveux" etc...

C’est ce que Freud appelle une projection, le fait de déplacer et d’attribuer à l’extérieur et aux autres ce qui, en réalité vient de nous et est nôtre : "Lorsque nous ne cherchons pas en nous-mêmes les causes de certaines perceptions sensorielles comme nous cherchons d’autres perceptions, mais les déplaçons vers l’extérieur, ce processus normal mérite lui aussi le nom de projection" (Le président Schreber, Payot, pp.132-133). "Processus normal" et " aussi", parce que précisément la projection est pathologique, paranoïaque.

Car, tout de même, le fait d’avoir parlé d’intention dans mon seul dernier article ne peut pas suffir à faire de moi un obsédé des intentions. Ou alors c’est ignorer même ce que signifie "obsession" en français. Et pas plus que le mot obsession, le Monsieur ne semble pas savoir ce que "intention" signifie : dans une philosophie de l’action (praxis), comme est action la politique, il ne peut y avoir d’agir et d’intention sans un sujet agissant, sans agent. Par conséquent, affirmer comme Djibo, que le référendum n’a pas d’intention est un enfantillage de plus ; puisque derrière le référendum il y a bel et bien, non des automates, mais des sujets conscients, des politiques et des citoyens (dont lui-même Djibo) qui le veulent et entendent s’en servir comme moyen de continuer à gouverner le pays au-delà du mandat actuel. Oui, comme moyen, tout moyen n’étant pas matériel et manipulable comme, prétend-il, une casserole de cuisine (une obsession culinaire de plus) : la guerre est bien un moyen pour asservir ou libérer un peuple, la révolte un moyen pour etc, l’intention étant précisément dans le "pour" : si une casserole de cuisine n’a pas d’intention en elle-même, étant objet, il y a bel et bien un sujet qui s’en sert dans une intention particulière : pour faire à manger, ou pour donner un coup sur la tête d’un assaillant. Voyez le comble, c’est que je suis obligé de faire un cours de philosophie niveau Terminale à notre philosophe Phd pour sortir des enfantillages...

Quant à la "volonté du peuple" qui n’aurait pas non plus d’intention, je n’ai aucune leçon à recevoir de ce Monsieur, que je renvoie à un article précédent de moi intitulé "Hypothèse sur un hypothétique référendum", dans lequel j’écrivais que la volonté générale ne désire pas, mais est un commandement, une loi : la Constitution actuelle est bien cette volonté générale et cette loi.

Voici donc l’esquisse d’un portrait intellectuel de ce Djibo : un véritable lit de procuste, de très petite taille, qui ramène, que dis-je, rétrécit les solides arguments des autres (dont moi en l’occurrence) à sa seule petite mesure, n’étant pas capable de s’élever à la hauteur même modeste des autres. Un diplômé qui n’a pas les moyens intellectuels d’un débat politique et philosophique digne et de hauteur, les armes intellectuelles pour contre-attaquer.

Si l’on affine son portrait esquissé, ce Monsieur n’est même pas un vrai imposteur intellectuel, lui qui pourtant ne voit que les impostures intellectuelles des autres, vérité projective oblige, et jamais ses propres incohérences à défendre un président qui n’a pas moins tué et fait tuer que Gbagbo ; car un imposteur est celui qui trompe son monde sciemment, en toute connaissance de cause, connaissant la vérité, mais la masquant aux autres. Or notre Monsieur Djibo ne voit même pas la vérité, n’ouvre jamais les yeux pour voir l’évidence de la vérité, démuni qu’il est des outils de la réflexion et de l’analyse qui seules pourraient l’y conduire. Et du coup, il ne trompe jamais personne, si ce n’est lui-même.

Plutôt qu’un imposteur, ce Monsieur est un plaisantin bien ridicule, un ridicule monté sur des échasses. Voici comment je le démontre, en deux points :

1/ Pour ma part je n’ai jamais aligné de ni, ni, ni dans aucun de mes écrits sur fasonet. En revanche, je ne trouve en ce Monsieur Djibo que la figure de oui multiples, par lesquels ce béni-oui-oui maudit l’acte même de penser. Alain écrivait dans ses Propos sur les pouvoirs : "penser c’est dire non. Remarquez que le signe du oui est d’un homme qui s’endort ; au contraire le réveil secoue la tête et dit non".

Gardez bien en mémoire ce motif du réveil, j’y reviendrai bientôt. Le peuple burkinabè aujourd’hui se réveille et dit NON à un pouvoir personnel, à un référendum illégal, à un clan politique qui veut nous imposer un président dont le mandat légal est bientôt achevé, et qui selon la loi ne peut plus se représenter en 2015, pendant que notre philosophe endormi pousse des oui-oui qui n’arriveront pas à bénir ce que la Constitution elle-même rejette et proscrit.

De même, dans le chapitre sur "Le réveil" d’Ainsi parlait Zarathoustra, Nietzsche nous rappelle que le oui est ce par quoi une bête de somme, l’âne (pour rester dans le zoo de Djibo), se caractérise et se reconnait : "- Mais l’âne, là-dessus, de braire : OUI-HAN. Quelle sagesse sacrée est-ce là qu’il ait de longues oreilles et qu’il ne dise que oui et jamais non !". Le hi han, hi han permanent (oui, permanent !) et ennuyant , c’est le "JA-HAN" (ja ja) allemand que Goldschmidt traduit précieusement par OUI-HAN.

C’est le ridicule d’un Monsieur qui annonce à la terre entière qu’il est "disciple de Wittgenstein" et ne décrit "que ce qui est sur la table" (peut-être encore une table de cuisine, qui sait), mais qui refuse obstinément d’ouvrir ses yeux ou de se réveiller pour VOIR ce qui est pourtant sur notre table politique et constitutionnel. Rappelons : "La philosophie place seulement toute chose devant nous, et n’explique rien ni ne déduit rien. -Puisque tout est étalé SOUS NOS YEUX, il n’y a rien à expliquer. Car ce qui est caché, par exemple, ne nous intéresse pas". Eh bien c’est Wittgenstein qui écrit ces lignes dans ses Investigations philosophiques (Tel, Gallimard, 1961, 126, page 168. Je souligne en majuscules).

Eh bien une intention du président Compaoré, qui ne serait pas explicite mais caché, n’intéresse ni moi ni les burkinabè (voilà pourquoi je demandais qu’il la rende explicite, avant tout dialogue). Ce qui nous intéresse, c’est ce qui est sûr la table de la Constitution et sous nos yeux, et que nous lisons : "Le Président du Faso est élu pour cinq ans au suffrage universel direct. Il est rééligible UNE FOIS". C’est bien l’article 37 de notre Constitution (les majuscules sont encore de moi) ! Mais notre disciple de Wittgenstein, étrangement, n’a plus ses yeux pour VOIR ce qui est sous nos yeux : peut-être confond-il, puisque chez lui tout est confus et confondu (je n’ai jamais confondu légalité et illégale, comme il prétend, dans ses confusions, sinon je n’allais pas dénoncer un référendum illégal à partir de la légalité de la seule Constitution !), peut-être notre wittgensteinien confond-il "disciple de Wittgenstein" avec "esclave de Blaise Compaoré"...

Avant les Investigations (parfois traduites Recherches : Untersuchungen en allemand), Wittgenstein écrivait : "ce qui peut être montré ne peut pas être dit" (Tractatus logico-philosophicus, 4.1212, p53 op.cit.). Et dit ou exprimé dans/par une proposition, un énoncé du langage. De sorte que l’absence d’énonciation et d’énoncé ne signifie pas qu’il n’y a rien, mais au contraire qu’il y a quelque chose qui SE MONTRE, car il n’y a pas de mystère, pas d’énigme (6.5). Et donc, conclut Wittgenstein : "Ce dont on ne peut parler, il faut le taire" (op.cit. 7.). Il faut le taire, précisément parce que ça, ce quelque chose, se montre, se voit.

Que notre wittgensteinien se taise (sans lui interdire de parler et opiner) pour VOIR ce qui se montre sous nos yeux, sous ses yeux, dans notre Constitution actuelle, et pour justement le décrire (je ne fais, pour ma part, que phraser ce qui, ainsi, se montre et se donne à voir. Les burkinabè (moi le premier) s’en "tapent" souverainement, s’en moquent que notre béni-oui-oui soit disciple de Wittgenstein (il faudrait donc aussi le montrer en ouvrant les yeux sur ce qui, en effet, s’impose à nous en tant qu’il est sur la grande table nationale qu’est notre Constitution) : et moi-même, de quel philosophe suis-je le disciple ?

Et tous ceux qui s’expriment sur lefaso.net, juristes, étudiants, sociologues, journalistes, informaticiens, etc, de qui sont-ils les disciples ? On s’en moque. Sauf notre bête de somme serviteur béni-oui-oui de philosophe qui se satisferait bien d’un lenga de soumission au même président (oui, au même dis-je). Quant à moi (je fais exprès ici de lire et citer le même Nietzsche qui a fait découvrir la formule du "vieux Kant" que notre philosophe Djibo, tout content alors, ressasse), quant au peuple burkinabè, voici notre seul NON présent et à venir : "Moi, ramper ? Jamais encore je n’ai, de ma vie, rampé devant les puissants" (op.cit, "Sur le mont des oliviers").
Les burkinabè n’ont pas à ramper et s’agenouiller pour remercier le président Compaoré de les laisser, comme il prétend lui-même, libres de s’exprimer. Cette liberté, nous ne la revendiquons ni ne la mendions au président qui nous en ferait cadeau quand bon lui semble : c’est un droit qu’il nous doit. Qu’il nous prive de nos libertés et droits, et alors, lui-même le sait, il devra rendre des comptes, comme d’autres tel un Gbagbo justement, que Djibo a la lâcheté d’attaquer menottes aux poignets, et enfermé dans une prison qu’il mérite largement, mais manque de courage véritable pour dire à Monsieur le président Compaoré que ça suffit ! Merci mais ça suffit : aucun courage, aucune virilité juste pour le dire... Là encore, notre wittgensteinien n’a plus ses yeux, ni ses mots pour dire et décrire... Quelle cohérence et, ose-t-il, quelle "élégance morale", même pas kantienne mais simplement ordinaire, y a-t-il à taper sur un prisonnier, à ne paraître s’indigner que contre un président qui justement paie ses délires, alors même que l’on fait des courbettes d’esclave intellectuel et de béni oui-oui à un président par lequel seul on jure, et pour lequel on préfère ne pas respecter une Constitution ?

C’est que Djibo fait l’aveu, en ne jurant, comme beaucoup d’autres, que par notre président actuel, "l’un des cinq meilleurs du continent" (1. les sources dites américaines ne sont pas précisées, donc pas crédibles. 2. Monsieur Compaoré n’est pas LE meilleur en Afrique !!), et en sous-estimant les opposants au pouvoir, il fait l’aveu de sa propre incompétence et de son incapacité, si même il en avait l’occasion, à participer au gouvernement et au développement de notre pays. Il ne s’en sent et sait pas capable, puisqu’il nous dit qu’un seul en est et en sera capable. Et du coup, cette incapacité sienne et avouée, il l’attribue encore et aussi, par déplacement et projection, aux opposants du régime : attention, nous suggère-t-il, écoutez-moi bien, vous êtes tous incapables de gouverner demain le Burkina (Blaise seul le peut : mais qu’en sait-il au juste, notre arriériste qui du coup se fait grand devin liseur de demain, et qui, à défaut de voir, se met à prévoir ? ), PARCE QUE MOI j’en suis incapable, et ne sais pas à la hauteur ! (Mais je précise d’emblée pour les esprits courts et brefs que ce n’est pas parce que j’attends de gouverner que je suis contre le référendum !).

Or, de fait, comment un individu qui n’est pas ou ne se sent pas capable de gouverner son pays, peut-il passer son temps à donner des leçons de leadership à tous nos opposants, sans ridicule de plaisantin ? De quel droit condamne-t-il ainsi les opposants politiques à l’incapacité de gouverner ? Pour qui se prend-t-il, notre Monsieur ?

"Le Burkina Faso, écrit-il, est devenu un exportateur de stabilité que saluent tous les grands d’ici ou d’ailleurs" : Eh bien, dis-je, que le même Burkina Faso soit aussi IMPORTATEUR DE DÉMOCRATIE juste et transparente des pays de ces mêmes grands d’ici et d’ailleurs, puisque exporter (si c’était même exact que raconte Djibo) n’empêche pas d’importer ! Que notre pays importe AUSSI la démocratie, c’est ce que signifie pourtant le NON actuel au référendum et à la révision de notre Constitution, pour que demain notre pays puisse aussi exporter de la démocratie pour certains de ses voisins, aucun pays ne pouvant exporter que ce qu’il a et produit !... Nous souhaitons justement l’heureuse alternance pour aussi l’exporter ailleurs. Pourquoi donc ce Monsieur exportateur d’une stabilité de façade et de surface, est-il contre ?...

2/ J’en arrive au deuxième point, par où je démontre encore le ridicule de notre plaisantin.

Le (non)philosophe du "vieux Kant", des ustensiles de cuisine, des animaux vierges ou pas vierges qui s’attirent, des citations ni queue ni tête et jamais pertinentes... s’est, par un "ouf", essoufflé sur un mot, "terminus", en dressant ce qu’il pense être mon portrait philosophique : alors qu’il aurait pu poursuivre sa litanie, et faire de moi aussi le philosophe (avec d’autres) du...TERMINUS qu’ est 2015 pour son président providentiel ! Djibo aurait dû poursuivre, si ce mot de terminus, que sans doute il redoute, ne lui en avait pas coupé le souffle, mot-syncope, poursuivre et faire aussi de moi, d’après mon dernier article, le Philosophe de la légitimité, le Philosophe des prérogatives, le Philosophe de la résistance populaire, du bien public sincèrement désiré, le Philosophe de la RÉVOLTE et de l’ÉMEUTE : et là, précisément, il aurait rencontré...BADIOU (l’aurait-il pour autant même reconnu, s’il ne le connaît guère ?).

Le ridicule que Djibo étale à ce point, ridicule de plaisantin monté haut sur des échasses, c’est d’oser citer et réciter non pas Badiou, mais le nom seul de Badiou, après celui d’un Blaise Compaoré qui de son passé de révolutionnaire a fait table rase, et pourfendre des révolutionnaires, des sankaristes ( moi-même serais sankariste aux yeux de Djibo, puisque j’ai parlé de "rectification permanente", ce qui est une grossièreté en un sens, la rectification s’étant faite...contre Sankara, et dans son sang : par coïncidence, nous sommes aujourd’hui un 15 octobre, notre philosophe au réflexe conditionné tiendra là la preuve de mon sankarisme, puisque j’écris et pubie un écrit le jour anniversaire de la mort de Sankara !...), des partisans de l’insurrection et autres militants de la rue.

Ce Monsieur ne doit pas savoir, et je le précise ici simplement pour les lecteurs, qu’ Alain Badiou est un philosophe français, communiste jusqu’à la moelle, maoïste jusqu’aux concepts, révolutionnaire mondialement connu, et reconnu comme tel, jusque dans ses oeuvres philosophiques et dramaturgiques (théâtre). Le citer pour nous demander de conserver Blaise Compaoré, l’ancien, contre toute nouveauté qui serait aventure, c’est d’un ridicule à mourir de rire ! Qui est précisément Saint Paul, pour Badiou, sinon la rupture même avec l’ancien ( la loi juive et la sagesse grecque), symbolisée par et dans la conversion de Paul, que Badiou tient pour une déclaration universelle et d’universalité, laquelle universalité se soutient dans le principe de l’égalité de tous les hommes ? Le communisme, ou "l’hypothèse communiste" n’est pas abandonnée ni reniée par Badiou.

Et si précisément, en citant Saint Paul, ce n’est pas la singularité du sujet qui fonde ce qu’il dit, mais plutôt ce qu’il dit qui fonde et soutient sa singularité, c’est que justement il n’y a pas de singularité sans l’universalité. L’universalité est égalitaire par excellence, elle est...communiste. D’où vient que notre marabout intellectuel du pouvoir Compaoré, qui n’en a rien à faire ni de l’universalité (il dénonce l’universalité contenue dans les démocraties occidentales qui, si elles ne sont certes pas communistes, n’en renferment pas moins de l’égalité : d’où le bond en avant maoïste que Badiou en "attend" pour que l’hypothèse communiste, seulement en suspect, en échec provisoire, s’y réalise), d’où vient que ce Monsieur qui n’en a rien à faire ni de l’universalité ni de l’égalité (puisque à ses yeux Blaise n’est pas comme tout le monde, pas comme nos opposants, un dieu ou homme providentiel), cite et récite le nom même de Badiou pour soutenir son oui-oui au président Compaoré et à l’ancien, pendant qu’il s’oppose au NON de la résistance au référendum, et qu’il s’oppose à la...révolte ?

Que Djibo lise l’ouvrage de Badiou qui a pour titre "Le réveil de l’histoire" (Circonstances, 6). J’ai invité le lecteur à bien suivre ce fil du RÉVEIL, qui va de Nietzsche à Alain Badiou, en passant par Alain : c’est de révolte et d’émeute qu’il s’agit au final, dans cet ouvrage de Badiou sur les révolutions arabes...

Se référer à Badiou le maoïste, au Philosophe du communisme et de l’émeute insurrectionnelle, comme ose le faire Djibo, pour défendre Blaise Compaoré devant lequel il courbe l’échine, et pour appeler aux urnes de ce que Badiou appelle le "capitalo-parlementarisme", et sans même se rendre compte et voir, tout lecteur de Badiou que ce Monsieur prétend être, que l’émeute populaire de la "dictature populaire" n’a même pas besoin, chez Badiou, d’être légitime, elle n’est justement pas une "revendication", elle se donne à elle-même, radicalement, une légitimité qu’aucuns droit ni loi ne fondent et justifient (et c’est cela la radicalité et la nouveauté du nouveau), c’est une honte intellectuelle : c’est exactement comme si quelqu’un lisait du Bill Gate ou du George Soros pour défendre le communisme et le maoïsme ; ou bien encore, pour ceux qui suivent les débats philosophiques, comme si un philosophe allait chercher dans Jean-Pierre et Emmanuel Faye des arguments et des références pour défendre...Heidegger !!...

Lire et citer un révolutionnaire communiste et maoïste contre des ...révolutionnaires, des sankaristes (dont moi-même, dit-il), des marcheurs (Djibo oublie que du côté du pouvoir il y a aussi eu des marches et des meetings qui se sont..dégonflés d’eux-mêmes !), et des partisans de l’insurrection même légitime, tout en s’étalant publiquement sur les contradictions et incohérences des autres (cf.la récente "réponse" de Djibo à Étienne Traoré !), et tout en décrétant que les arguments des autres sont, écrit-il, "tirés par les cheveux", sans même être jamais capable de leur opposer la moindre argumentation construite ( en cela, notre pourfendeur du ni ni ni fait infiniment bien pire que ce qu’il critique, puisqu’il ne fait que nier et dénoncer mais sans révolte aucune pour proposer du nouveau et du mieux dont il n’est pas capable), c’est se donner le sérieux d’un bouffon...

Disciple auto-proclamé de Wittgenstein, mais qui nous éloigne plus qu’il ne nous rapproche du "maître" (lui-même Wittgenstein n’a jamais été ni voulu être le disciple d’un maître !), lecteur soi-disant d’Alain Badiou dont toute la teneur profondément communiste et révolutionnaire de toute sa pensée ne pourra jamais s’ajuster au conservatisme béni oui-oui de notre plaisantin, voilà très exactement ce que je tiens pour le ridicule monté haut sur des échasses. Le contre-sens, la contre-vérité intellectuelles et précisément philosophiques sont, à n’en pas douter, les seules "armes" de notre philosophe commis à la contre-attaque paranoïaque...

En conclusion :
Ce Monsieur Djibo est le philosophe d’une cause perdue, car Monsieur Blaise Compaoré n’est plus, et ne sera plus, quoi qu’il ait fait pour ET contre les burkinabè, l’avenir du Burkina Faso.

Ce Monsieur n’est que le triste coryphée auto-télécommandé d’un choeur invisible et du reste introuvable.

Ah ! A propos d’obsession, je relis dans un Magazine que les abonnés du "Nouvel Observateur" connaissent, Obsession (#15, 12/2013) les propos l’ex-avocat Jacques Vergès, que rapporte son confrère Roland Dumas, et qui n’ont justement rien à voir avec l’obsession (quoique !) : " Aux critiques de Kiejman [= un autre avocat], il avait répondu : ’peut-on empêcher un nain de pisser sur les chaussures d’un géant ?’" !

Je ne suis pas un géant, ne jouis d’aucune grandeur ni naturelle ni d’établissement, mais le ridicule de ce Monsieur me rend géant : que Djibo continue de me pisser sur les chaussures, même du haut de son ridicule monté sur des échasses, ses jets urineux ne m’atteindront jamais le visage et la figure... Qu’il vise donc au moins mes godasses, puisque c’est le seul endroit que son ridicule peut atteindre : mais même là, il est encore capable de me rater...

Alors, imaginez : qu’est-ce qu’un pisse-court peut faire, et pourra faire, si les burkinabè, souverains pas seulement dans les urnes, mais AUSSI dans les rues, ordonnent brutalement au prince sur les épaules duquel il essaie de se jucher et se tenir, honteusement perché de ne pas voir ce qui se passe en-bas, en-dessous, que pourra-t-il de toutes façons faire, lui comme son prince, si la masse souveraine leur ordonne, comme en Égypte, à Moubarak, de "dégager" ? Rien.

Je soutiens que la révolte populaire n’est pas une nécessité, mais une possibilité. Alors que le référendum, lui, n’est ni nécessaire ni possible, parce que illégal...

Debrsèoyir Kwesi Christophe DABIRE.
Donè.
di.kombo@yahoo.fr



Vos commentaires

  • Le 16 octobre 2014 à 15:59, par commando invisible En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Monsieur Debrsèoyir Kwesi Christophe DABIRE,ça c’est ce que vous pensez il n’a jamais été dit que c’était une réponse a votre écrit et puis si c’est le cas n’a t-il pas le droit,nous sommes tout a fait d’accord avec l’écrit de Djibo qui l’a bien argumente d’ailleurs contrairement a ce que vous dites.Comme quoi vous trouvez donc que cet écrit n’es pas a la hauteur,de toute les façons le référendum justifiera bien le choix du peuple.

  • Le 16 octobre 2014 à 16:03, par cogito ergo sum En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Un proverbe sage originaire du togo disait ceci :« Si tu te tapes la tête contre une cruche et que ça sonne creux, n’en déduis pas forcément que c’est la cruche qui est vide. »Ne juger donc pas aussi rapidement monsieur Djibo,vous ne partager certainement pas les mêmes avis et vous devrez comprendre cela.Donc cher philosophe faites preuve de respect car le respect soigne l’aspect !!!

  • Le 16 octobre 2014 à 16:07 En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Tous ceux qui ont un Phd doivent porter plainte contre Djibo pour "Usurpation de titre" car ses écrits n’honorent pas ceux qui ont acquit chèrement ce titre comme moi !
    Djibo n’a même pas le niveau troisième (donc sans BEPC) , qu’il me démontre le contraire s’il peut !
    merci

  • Le 16 octobre 2014 à 16:07, par gros bras mince En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Soyons ambitieux et n’oublions pas que le pays nous appartient a tous,je dit ça parce que je sait que beaucoup sont ceux qui se laisse berner tout suite par des mensonges et se laisse emporter tout suite par la colère.Ces gens sont capables de faire des dégâts rien que pour le plaisir personnel et ça c’est a bannir de la société.Eh bien monsieur Debrsèoyir Kwesi Christophe DABIRE vous devrez faire attention a ce que vous dites,nous allons au référendum parce que c’est le peuple qui le veut !!!

  • Le 16 octobre 2014 à 16:11, par cogito ergo sum En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    monsieur Debrsèoyir Kwesi Christophe DABIRE, notre politique doit s’inspirer de notre culture,de nos valeur sociale,c’est pourquoi nous voulons que les gens comprennent qu’elle est fait et est d’une façon pragmatique c’est dire la simple capacité à s’adapter aux contraintes de la réalité ou encore l’idée selon laquelle l’intelligence a pour fin la capacité d’agir, et non la connaissance.Je crois que la jeunesse en majorité n’a pas encore compris ce fait et on tendance a demeurer sur la même idée selon laquelle le changement se fait par un changement,nous devons rester sur la même dynamique et évoluer au cour du temps avec le monde,c’est surtout ça l’essentielle.Et c’est que monsieur Djibo veut faire comprendre a cette jeunesse,si ça vous cause problème eh bien on n’y peut rien !!!

  • Le 16 octobre 2014 à 16:14, par réciproque fausse En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Monsieur le fait de dire"Dois-je répondre à Djibo ?" est déjà une réponse,a quoi sert la réponse alors,je ne prendrai pas cette peine de vous lire,vous avez faussé dès le début ce qui laisse voir que rien de bon ne peut s’en suivre.

  • Le 16 octobre 2014 à 16:16 En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Mr. Dabiré, rassurez-vous, y’a longtemps que les internautes ne lisent plus les torchons de Djibo.
    Dommage que Lefaso.net pour jouer la carte de la démocratie ne soit pas très regardant sur la qualité des hommes qui contribuent sur le site.
    Sinon, Djibo serait mis en quarantaine depuis longtemps tel un victime de ébola pour qu’il ne fasse pas de victimes supplémentaires comme lui...
    Ceci dit, je voue un grand respect et compassion aux victime de l’épidémie ébola.
    Que Dieu nous sauve...
    merci

  • Le 16 octobre 2014 à 16:19, par la fille du capo En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    "En faisant cet écrit rempli de mensonges, de contrevérités et d’anachronismes, vous êtes bien dans votre rôle de nuire par tous les moyens la majorité politique"monsieur Djibo n’a pas parler dans le vide car il argumenté point a point tout ce qu’il a avancé avec des preuves a l’appui,c’est vous qui voulez tromper la vigilance du peuple mais c’est peine perdu.Ce début d’écrit illustre votre faiblesse a vous défendre vis a vis de ce qui a été dit par Djibo pour vous ouvrir un peu l’œil !!!

  • Le 16 octobre 2014 à 16:20, par poil de mouton En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Monsieur le philosophe vous savez comment qualifie t-on ces genres d’écrit,c’est de la salade,une diarrhée de mot,du verbiage inutile,tout ce qui vous importe c’est le changement,peut tu me dire un instant le changement de qui par qui,vous n’avez rien compris de la politique,on ne change pas l’équipe qui gagne,on a toujours gagné avec le président et il sera là encore et encore.

  • Le 16 octobre 2014 à 16:24, par d8d8 En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Mort de rire , allez y cher intellos , nous on s’en fout des gros mots , on veut seulement l’avis du peuple rien d’autre !!!

  • Le 16 octobre 2014 à 16:26, par le magicien En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Les enfants savent courir mais ils ne savent pas se cacher. Très belle réplique à ce pseudo philosophe de Djibo qui fait la danse du serpent cireur pour grappiller des miettes du clan Compaoré. Bel argumentaire de très haut niveau. Dabiré tu es un digne fils du Burkina Faso, tu es un homme réfléchi et respectable contrairement à ce Djibo qui se prostitue juste pour remplir ses intestins. Je ne suis pas philosophe mais ce dont je suis sûr c’est que quelque soit la durée de la nuit, le jour finira par se lever.

  • Le 16 octobre 2014 à 16:27, par entre juge et parti En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Comme nous le savons tous nous sommes dans un Etat de droit démocratique véritable, donc il faut respecter la Constitution, cependant il faut noter que le référendum est inscrit dans la constitution et par conséquent son application ne sera donc pas une violation a la constitution mais mieux son renforcement . Blaise COMPAORE est incontournable dans ce qui se passe actuellement au Burkina et l’appel pour le référendum est juste et justifier,il faut que le chef de l’Etat prenne les dispositions pour annoncer le référendum dans quelques temps.

  • Le 16 octobre 2014 à 16:30, par JOCY En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Popoporopo ! Je l’avais dit, voici la fessée ! Aïe, elle fait mal, pour un homme normal, mais pour un âne comme Djibo ça m’étonnerait ! Bravissimo DABIRE

  • Le 16 octobre 2014 à 16:30, par 4- 8 En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Monsieur Dabiré,il faudra nous coller la paix.Vous êtes une fois encore venu par ce présent article nous démontrer que vous ne jouissez pas de toutes vos facultés mentales.Comment au stade où nous sommes quelqu’un puisse se permettre de dire que le référendum est illégal.Même les éminents experts en la matière sont d’accord qu’il est légal.Il faut vous chercher ailleu

  • Le 16 octobre 2014 à 16:34, par salif dialo En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Et pourtant ce referendum est légal , légal par sa référence au peuple pour trancher une question qui concerne l’organisation sociale de notre Etat démocratique dès lors le referendum est légal pour soit il répond à la définition de le définition de la démocratie ’’ le pouvoir du peuple pour le peuple et par le peuple ’’ pensez y

  • Le 16 octobre 2014 à 16:35, par Van Gogh En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    J’ai comme l’impression, en lisant Monsieur Dabiré qu’il n’a pas grand chose à faire d’autre que de faire étalage de son "volumineux" savoir. Je suis fier de savoir que le pays possède des fils aussi connaisseurs que vous mais je suis de ceux qui pensent qu’une connaissance utile est celle que l’on lègue à la postérité. Alors, au lieu de passer votre temps à citer les autres, qui plus est des occidentaux, je serais bien plus fier de vous voir citer vos compatriotes et autres africains qui eux, ont su léguer une partie de leur savoir à la postérité. Et si d’aventure vous étiez plus courageux que Monsieur Djibo, peut-être choisirez-vous de léguer aussi quelque souvenir mémorable à la postérité ? Sauf respect...

  • Le 16 octobre 2014 à 16:36, par grosso En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    La loi c’est le peuple , alors seule elle , peut remettre en cause une autre voire la loi , alors seul le peuple peuple remettre en cause , une autre volonté populaire antérieure, vive le referendum !!

  • Le 16 octobre 2014 à 16:40, par sow En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Mr Dabiré , ce que vous et les opposants n’ont pas encore compris , c’est le fait que chaque chose en son temps , ici le temps des discours et meeting sont révolus nous sommes aux temps des actes et bientôt tout serait clair comme de l’eau de roche la souveraineté populaire est indispensable à le démocratie

  • Le 16 octobre 2014 à 16:40, par KA TOUB WIITA En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Ce Dabiré,il me parait comme un comédien.Tu écris tout un livre pour ne rien dire a la fin.Ait pitié de toi même.Tu pourrait consacrer tout ce temps a faire autre chose de mieux.Dormir par exemple.Tu perds ton temps alors que le référendum c’est pour bientôt.

  • Le 16 octobre 2014 à 16:40, par Verdad En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    l’article n’a pas de sens du moment que vous parlez plus de vous que de la situation nationale,cela ne devrais pas se poser !je vous demande a encore vous informer au près des braves juristes qui n’écarteraient pas de vous dire que l’article 37 est modifiable !
    certes que vous travailler au compte de l’opposition mais ayez le courage de reconnaître ce que notre constitution stipule !nous sommes pour la démocratie,pour la paix donc favorable au RÉFÉRENDUM !

  • Le 16 octobre 2014 à 16:41, par KA TOUB WIITA En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Ce Dabiré,il me parait comme un comédien.Tu écris tout un livre pour ne rien dire a la fin.Ait pitié de toi même.Tu pourrait consacrer tout ce temps a faire autre chose de mieux.Dormir par exemple.Tu perds ton temps alors que le référendum c’est pour bientôt.

  • Le 16 octobre 2014 à 16:42, par tche En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    L’appel a la souveraineté est plus qu’une nécessité mais une urgence !seul le referendum nous sortira tous d’affaire,et amènera la quiétude et le calme !
    OUI au referendum !!!!!

  • Le 16 octobre 2014 à 16:45, par d8d8 En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    S’il est vrai que la démocratie c’est le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple, cela signifie qui si le peuple veut qu’il se représente il n’y a aucun incontinent a cela. le blaiso a dit qui si le peuple veut qu’il se représente il le fera. alors allons au référendum si le peuple refuse qu’il se représente, alors fini Blaise. Mais en attendant c’est le peuple qui l’a mis au pouvoir et c’est ce meme peuple qui doit lui dire de quitter le pouvoir pas des groupes d’opposants dramanedrame@yahoo.fr

  • Le 16 octobre 2014 à 16:45, par jeune conscient En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    PARTISAN inconditionnel du referendum je le suis tout comme Mr Djibo !
    sans pour autant vous comparer,reconnaisser que Mr Djibo est votre père politique,alors incliner vous devant lui ce sera noble et majestueux de votre part
    vive le referendum !!!

  • Le 16 octobre 2014 à 16:50, par Femme intègre En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    VIVE le referendum,le referendum prévu par notre sacré constitution !
    vive le referendum
    oui a a la modification de l’article 37
    oui au sénat
    seul la lutte paye

  • Le 16 octobre 2014 à 16:50, par femme intègre En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    L’Appel à la souveraineté populaire est indépassable.et chaque homme politique de ce pays le sait très bien,car au delà de la loi existe une loi qui fait fonctionner cette loi et cette loi est bel et bien celle du peuple.et je pense que le moment est venu d’arrêter tous les discours dans les marche et service et aller au référendum comme nous le dit ce grand philosophe burkinabé.(Djibo)

  • Le 16 octobre 2014 à 16:50, par Gnamienf En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Ah ! C’est délicieux de lire de genre d’écrits, soigneusement pensés, bien structurés et malgré tout ouverts aux débats et au dialogue intellectuel. Franchement, ce Djibo est encore malade de son peu d’intellectualisme et s’en jette dans la marre des nageurs de sables froids...

  • Le 16 octobre 2014 à 16:50, par KALAN TE BAN En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Dabiré,tu tente depuis là vainement de nous faire dormir debout mais tu laisse pas.Et même si tu ne vis pas au Faso,tu devrais t’informer,les gens ici ne parlent de la légalité du référendum.Ils sont plutôt occupés a choisir une date pour le tenir.Donc t’es en retard,vois tu ?

  • Le 16 octobre 2014 à 16:51, par l’éclairé En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Je crois que le pauvre ( puisqu’il ne se croit pas capable de diriger le BF à la place de Blaise et ignore que M. DABIRE peut lui donner un cours d’éducation civique et morale) Djibo va pouvoir digérer cette réponse.
    Merci encore M. DABIRE de lui rappeler que le tyran constitutionnel va dégager.

  • Le 16 octobre 2014 à 16:52, par ziza En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Mon professeur ! Arrêtez d’assommer DJIBO. Il ne fait pas le poids. Vous le savez bien ;l’aigle ne fait point la chasse aux mouches. Nous attendons vos reflexions et vos analyses (dont je me delecte inlassablement) sur bien d’autres sujets plus importants que les délires de Djbo, cet "intellectuel" au tube digestif epaissi et "aux intestins fragiles".
    Assurément le débat sur l’article 37 et le referendum nous a revelé que le Burkina compte de vrais intellectuels capables d’éclairer et de "désaliéner les consciences" (dixit Ebenezer N’joh MOUELLE"). Merci à vous kwessi christophe DABIRE, Sayouba TRAORE, Etienne TRAORE...

  • Le 16 octobre 2014 à 16:54, par Ernesto DJEDJE En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    On dit très souvent que les injures sont les tout derniers recours pour celui qui manque d’argument,on vois bien que ce dire est vérifier car dans cet écrit le manque d’argument fait que vous ne dites rien de bon a part les mots grossiers que vous employer et qui faite de vous sûrement un employé.

  • Le 16 octobre 2014 à 16:56, par wendlassida En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Quelle sagesse ? Quelle hauteur d’esprit ? M. Dabiré seul Dieu peut vous qualifier
    Quant à Djibo, il fait parti de la famille des instruits et non des intellectuels
    Même instruit il y a un minimum de visibilité et clairvoyance, là notre Monsieur fait preuve d’une myopie intellectuelle

    S’il vous plait M. Dabiré ne perdez plus votre temps à répondre celui qui regarde sans voir

  • Le 16 octobre 2014 à 17:03, par BAOBAB En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    - CHRISTOPHE, ne répond pas à ce flibustier de DJIBO ! On le lit ici chaque fois ce foulosophe !

    BAOBAB

  • Le 16 octobre 2014 à 17:09, par Burkinbi En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Bonjour,
    J’avoue que je n’ap pas pu tout lire mais j’ai appris la philosophie aujour’hui dans ce Post.
    En fait il ne fallait pas répondre le coup de pieux de l’âne par le coup de pied...
    Comme vous l’avez si bien dit blaise n’est et ne sera jamais l’avenir du Burkina donc c’est peine perdue !
    Il n’est même pas courageux de convoquer son fichu réferendum. Et comme le dit un chanteur "Tout ça c’était WOBA WOBA, donc tout ça n’est que verbiage creux !
    Ce foulosophe et son maitre sont du passé !
    Tous unis pour l’ALTERNANCE en 2015, nous vaincrons !

  • Le 16 octobre 2014 à 17:11, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    - Cher Monsieur Debrsèoyir Kwesi Christophe DABIRE, je vous tire mon chapeau ! Vous êtes un vrai intellectuel. Votre écrit est parfait sur tous les plans ! Félicitation à vous. Vous êtes une vraie ’’tête’’.

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 16 octobre 2014 à 17:13, par cerf volant En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Vous êtes vous même ridicule,n’oubliez pas que c’est le vrai fou que se moque de la folie et vous êtes mieux placé que moi pour comprendre cela,les BABA de la philosophie !!!!

  • Le 16 octobre 2014 à 17:19, par BF2015 En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    JUSQU’À preuve de contraire nous sommes toujours avec les écrit de Mr Djibo qui est un grand analyste politique et partisan de la paix !nous sommes dans une tournure dans la quelle il est lieux de préserver la paix,mais a vous écoutez vous êtes prêt a tout pour accéder a Kosyam !en entendant on s’attrape au jour du referendum !!!

  • Le 16 octobre 2014 à 17:21, par Wendwaoga En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    il y’a des érudits. Mr DABIRE en est un. Félictations

  • Le 16 octobre 2014 à 17:27, par Tapsoba®(de H) En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Ha ya,Djibo ! Wã-pa fo m’bo-f yãndé ? Ton prof (Etienne TRAORE en l occurence) avait dit que tu n étais pas brillant ;malgré tout tu n as cessé de l attaquer à chacune de ses sorties comme pour lui prouver que tu as changé.Il ne t a jamais répondu ,histoire de ne pas descendre dans la boue avec toi.Et vlan,comme l habitude est une seconde nature,voilà ce que tu récoltes une nouvelle fois en t en prenant à notre penseur à coups de concept.Tes insufisances sont dévoilées au grand jour .Mon grand-père m a toujours dit ,que le margouillat se fasse introniser chef,il demeure toujours une proie pour les enfants.Alors ? Alors...que chacun sache dans quelle direction danser.

  • Le 16 octobre 2014 à 17:27, par SOME Eric En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    QUI a cette audace pour nous dire que le referendum n’est pas légale !en ou il n’est pas légale ?
    en plus de sa légalité il est légitime,car plus de la moitié de la population sont pour son application,il n’y a que quelques opportunistes qui disent non au referendum,et si cela était pour la bonne cause tant mieux,loin de cela il dise non uniquement pour assoupir a leur désir et marqué un tant soit peu l’histoire au Burkina !
    nous le peuple nous ne sommes pas du tout amnésique,on se rappel de par le passé ce que ses mêmes gaz de l’opposition ont fait a l’opposition Burkinabé,ainsi par mémoire nous ne laisserons pas cette opposition avoir le pouvoir,car ne pourra jamais faire mieux que Blaise.
    OUI au referendum !!!

  • Le 16 octobre 2014 à 17:33, par rien en face En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Pourtant ce referendum est légal . légal vraiment légal car rien de plus légal que ce le peuple voudra alors les grosse théorie basta monsieur

  • Le 16 octobre 2014 à 17:34, par Vision CLaSS En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    en un mot simple,court et fiable OUI au referendum qui est une marque de la démocratie.

  • Le 16 octobre 2014 à 17:41, par OUEDRAOGO YAMWEKRE En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Bonsoir, bien dit, merci pour toutes ces réponses.
    Si DJIBO est vraiment homme qu’il vienne au FASO raconter ses histoires.
    Quelqu’un de son rang ne raisonne pas ainsi, quel PHD ?
    Il fait honte à sa race.

  • Le 16 octobre 2014 à 17:41, par NGaw En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Wohhhooo, nous on est pas des intellectuels ohh on ne compend rien, ce sont les intellos qui parlent ici et qui s’attendent, mais de la façon dont Dabiré répond à Djibo là on dirait qu’il avait pris pour lui hein, il avait pris pour lui mal mal mal même. Mais ah c’est si tu peux que tu réponds hein, on dirait que Djibo attaque mal mal hein donc attention pour ne pas trop prendre pour toi.

  • Le 16 octobre 2014 à 17:43, par ka En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    NE suivez pas ce Monsieur c’est un opportuniste,je le connais personnellement,j’ai toujours été pour la lutte,mais jamais je ne vais cautionner la dérive de certain que l’on juge intellectuel !
    mais le combat continu !

  • Le 16 octobre 2014 à 17:46, par SERVAL En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Que du régal à lire ce Monsieur. Je sens qu’il s’est retenu plusieurs fois avant de rédiger ce pamphlet.

    Le débat d’idées, c’est ça. J’attends la réaction de Djibo. Pourra-t-il pisser plus loins que les godasses de Dabiré ?

    Wait and see.

  • Le 16 octobre 2014 à 17:49, par kaboré ludovic de tanghin En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    En tout cas nous là , on ne connait pas gros français mais une seule chose est claire et sûr pour nous autres : l’ultime solution de sortie de crise c’est l’expression du peuple au référendum .

  • Le 16 octobre 2014 à 17:54, par kabore sayoudou En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    La seule chose que je vois dans ce texte , ce n’une substitution de mots tendant à mettre à nu la culture de ce monsieur rien d’autres .alors ,si vous vivez encore dans le romantisme nous on est loin de là vive le referendum

  • Le 16 octobre 2014 à 17:54, par kaboré ludovic de tanghin En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    l’opposition a quittée la table de discussion par ce que son argument contre le référendum n’est pas défendable .Aussi faut -il ajouter qu’ils sont leur propre avocat et non l’avocat du peuple car le peuple saura se défendre à travers les urnes .

  • Le 16 octobre 2014 à 18:03, par LoiseauDeMinerve En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Monsieur Christophe DABIRE, comme le dirait un Prof. au BENIN, vous êtes "une nom en philosophie". Félicitations ! Congrats !

  • Le 16 octobre 2014 à 18:05 En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Merci Mr DABIRE. Soyez béni au Nom du SEIGNEUR pour votre langage de vérité.Votre combat pour la vraie démocratie nous fortifie contre ce qui est illégal le mensonge, l’injustice. Vous êtes un vrai intellectuel. Vous défendez des causes justes. Certains hommes ont vendu leurs âmes pour se faire la fortume car ils n’ont jamais à travailler ils sont obligés de chanter ou de mentir à longueur de journée les louanges de leur "seigneur BC" pour se nourrir.

    QUE LE SEIGNEUR BÉNISSE LE BURKINA FASO. AMEN
    PAIX ET JOIE A TOUS LES BURKINABES. AMEN

    NON AU REFERENDUM
    NON AU SÉNAT
    NON A LA RÉVISION DE L’ARTICLE 37
    VIVE LE PEUPLE BURKINABÉ
    VIVE LA DÉMOCRATIE À 2 MANDATS
    VIVE L’ALTERNANCE 2015

    ACHILLE TAPSOBA
    Partisan inconditionnel de l’Alternance

  • Le 16 octobre 2014 à 18:07, par Burkinbila En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Je ne savais pas que des philosophes pouvaient s’insulter comme ça, au moins j’ai des références littéraires pour mes investigations futures

  • Le 16 octobre 2014 à 18:08, par DEB BIE En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Mr Dabiré, votre réflexion est tellement profonde et intellectuelle que votre interlocuteur challenger de ce débat sur le référendum Mr Djibo ne pourra comprendre grande chose tellement le niveau est élevé. Vous même vous savez que les philosophes de l’ère Compaoré comme Mr Djibo, ont appris la philo à l’Université de Zogona dans des amphis surpeuplés assis par terre et la thèse ou PHD par internet. De grâce, à l’avenir, il faudrait être concis et précis pour permettre à nous autres non philosophes de comprendre le débat. Je vous félicite pour la courtoisie et surtout vos illustrations par les animaux utilisées.

  • Le 16 octobre 2014 à 18:09, par faisons un effort de réflexion En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    De tout ça moi je ne comprend rien dans les positions des gens là même qui crient non aui referendum , Monsieur Dabiré d’ou vient la divergence entre votre point de vue et celui de votre patron ROCH qui a dit sur Africa 24 que le referendum est légal et qu’il est question d’éthique ? mais malheureusement l’organisation d’une société ne saura prendre sa source dans les émotions , vive le referendum , un conseil pour vous , ayez le courage de vous entendre entre vous avant de sortir , sinon que l’employé et l’employeur disent des choses opposées on se demanderait qui suivre , nous on vous demande seulement de venir dans les urnes pour voir qui est le plus soutenu , oui au referendum !!

  • Le 16 octobre 2014 à 18:09, par Kô-tigui En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Bonsoir Monsieur Dabiré !

    J’ai lu avec plaisir ton adresse à Djibo. Chaque fois que je le lis, ce Djibo-là, je suis consterné. Malheureusement, je porte le même nom que lui, et cela me peine.
    Je voudrais te demander de ne plus le répondre. Laisses le !
    Nous savons que ceux qui luttent pour le référendum ne le font pas pour le bien de tous, mais plutôt pour leurs strapontins.
    Il va sortir encore des citations dont lui seul comprend quelque chose.
    Vraiment, il me décourage, il me fait vomir, "ce Jimbo", différent du notre !
    Merci

  • Le 16 octobre 2014 à 18:19, par Le Randonneur En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Félicitation à vous. Ce mr Djibo est de ceux qui n’attendent que la perte du citoyen Blaise Compaoré. Des pousse au crime qui justifient l’arrieration de l’Afrique. Mais il ne faut pas lui en tenir rigueur. Il faut du tout pour faire un monde.

  • Le 16 octobre 2014 à 18:20, par ouedraogo ousmane En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Salut toi, je ne suis rien pour te comprendre mais y’ a un adage qui dit :
    "si une parole est vraie point besoin de la comprendre la tête fera des signes de oui, oui)
    Merciiiiiiiiiiiiiiiii Ne prend plus la peine de répondre a ce béni oui oui.

  • Le 16 octobre 2014 à 18:22, par ouedraogo ousmane En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Salut toi, je ne suis rien pour te comprendre mais y’ a un adage qui dit :
    "si une parole est vraie point besoin de la comprendre la tête fera des signes de oui, oui). TU MÉRITES D’ÊTRE LE GRAND PÈRE.
    Merciiiiiiiiiiiiiiiii Ne prend plus la peine de répondre a ce béni oui oui.

  • Le 16 octobre 2014 à 18:23, par Moi jeune ! En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Quoi même , vous attendez que je vous dise une chose et cette chose est la suivante , Nous jeunes de maintenant nous avons pas le temps de ces théories on ne tient compte que de ce qui est nécessaire or ce qui est nécessaire , c’est ce qui concours à notre bien être alors nous avons pas le temps pour citer les auteurs à notre age , donc vous pouvez prendre votre temps à écrire , mais tachez de bien vouloir laisser ceux qui ont encore leur avenir devant décider , et après on viendra vous lire pour passer le temps sinon en aucun vous apportez quelque chose de productifs à notre situation . vive le referendum

  • Le 16 octobre 2014 à 18:24, par kaboré ludovic de tanghin En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Nous n’avons pas besoin des écris romantiques mais de faits concrets, brefs et sensés .
    Le kilométrage de vos écris montre que vous êtes de la vieille école qui ne savent que tourner autour du pot.Cher monsieur allons aux faits .Pourquoi dis- tu que le référendum est illégal pourtant la constitution est claire là dessus .tes pères que sont ROCK et zephirain le reconnaissent également .ROCK l’a même souligner sur Africa 24 !

  • Le 16 octobre 2014 à 18:28, par le boss En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Salut.Voici un intellectuel....Je suis très très content de votre réponse donnée à M. Djibo.

  • Le 16 octobre 2014 à 18:30, par Id. En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Merci Christophe ! Il est clair, tout le monde sait ici que Djibo n’est pas un bon lecteur circonstancié des grands auteurs, mais il veut vivre au dessus de ses moyens en faisant recours à la diversion ! Imaginez ce que cela peut donner dans la vie si ce n’est pas le vol "intellectuel", qui est autant grave que l’imposture matérielle !
    Le vraiment ridicule dans tout ça, c’est que nous sommes sur la toile WWW. un portail mondial ouvert comme ça waaahhhh ! où tout le monde voit tout le monde "dans un quartier mondial" selon ton frère Somé Tuorouz Hervé. Tu cites un auteur, l’élève de terminale, forumiste chevronné qu’il est, tape sur google et toutes les informations s’affichent sur ledit auteur. Dans ça là pour mentir, il faut être plus intelligent que ça dêh !
    Enfin, j’emprunte ces expressions à un forumiste qui t’appréciait en dernière position (n° 77 ou 78) dans ton précédent article :
    " c’est du costaud ! du lourd, du balèze !" ... Dabiré n’a pas pour l’instant en tout cas, son 2 sur cette tribune en terme de raisonnement rigoureux précis, honnête et achevé. ça au moins c’est clair, que l’on soit pro ou anti-referendum, il faut reconnaitre que le lièvre a de longue oreille, même si you veut pas reconnaitre that it court vite...
    Félicitation !
    signé, celui que tu reconnaitras peut être

  • Le 16 octobre 2014 à 18:32, par country’s son En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Cher monsieur même votre patron Kabore reconnait la légalité du referendum , et donc de la révision de l’article 37 ; ou bien la légalité change selon notre position , alors je vous invite à rentrer au pays pour qu’on puisse juger de la légalité objective du referendum qui servira à recueillir la volonté du peuple du Faso vive le referendum

  • Le 16 octobre 2014 à 18:35, par GUILLAUME En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    TON discours est incompréhensible,ce qui n’a jamais été le cas avec Mr Djibo. je vous rappel qu’on parle pour se faire comprendre ok ?

  • Le 16 octobre 2014 à 18:46, par Fasobiiga En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Soyez les bienvenus à la guerre des foulophes !!!!

  • Le 16 octobre 2014 à 18:57, par Toxsidngannkom En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Alors, de ce que je viens de lire, ça achève de convaincre que Mr PhD, puisqu’il se plaît avec ce titre, n’est qu’un pseudo-intellectuel car incapable de dire avec courage la verité, mais se contente seulement de troquer la verité avec une promesse ou un espoir. Oubliant que ce comportement n’ennoblit pas son auteur.
    Dire la verité à Mr Blaise revient à l’aimer car c’est une attitude d’homme responsable, le contraire comme le soutient Mr Djibo c’est être malhonnête et irresponsable à tout point de vue.
    La constitution pour ma petite compréhension est comme un testament qu’un père connaissant la nature des relations susceptibles d’opposer ses enfants, leur établit pour éviter toute frustration. A cet effet certains enfants, après avoir tout dilapider ce qui leur revient et cherchent à changer le contenu du testament dans le but d’en ruiner les autres enfants partie prenante du testament. Ainsi la revolte des uns contre les autres devient légitime, biensûr dans le sens de ceux qui s’en tiennent à l’esprit du dit testament.
    Vraiment mettons notre connaissance au profit de la verité, gage d’une vraie.
    Merci bcp Mr Dabiré pour votre attachement à la verité.
    Gloire à l’éternel ! Paix aux justes.

  • Le 16 octobre 2014 à 18:59, par Bibèga En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    VOUS ferriez mieux de revoir votre façon de rédiger vos articles car très incompréhensible !cette époque de long article est révolus !je vous demande de faire un travail simple et compréhensif afin que les uns et autres puisse comprendre le fond de votre spéculation !
    comme vous ne cherchez pas a vous faire comprendre,nous allons le faire a votre place !
    oui au referendum
    oui a la modification de l’article 37

  • Le 16 octobre 2014 à 19:01, par T.S En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Juste Cher Christophe pour memoire,Djibo n,est certainement pas bon mais il fut major de notre promotion 85/87 UO,tu le sais bien.Inutile de deverser ta haine sur l,homme pour sa prise de position que Je ne partage pas d,ailleurs.Il faut grandir un peu.Bien a toi.TS

  • Le 16 octobre 2014 à 19:02, par gros bras mince En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    De longs écrit qui n’apporte rien au paysage politique si ce n’est de l’ombre,de tel écrit on en est pas besoin et sachez raison gardé pour n’est pas salir votre aspect.Nous sommes débordés par ces écrits qui n’est rien d’autre que votre ombre !!!

  • Le 16 octobre 2014 à 19:07, par country’s son En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Trop c’est trop , lefaso.net y a quoi même ? si vous ne pouvez pas publier quelque chose qui colle avec la réalité foutez la paix , des longs articles qui ne disent rien qui tournent dans le passé en citant des auteurs ne procure que des illusions , que se soit Djibo ou Dabiré , libérez le planché les jeunes ont de concret !!

  • Le 16 octobre 2014 à 19:15, par SING En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Bien dit.Tout le monde sait que djibo était en campagne de publicité pour je ne sais quoi encore. Il sait très bien qu’il défend une cause perdu, mais comme à l’image de Salia SANOU, le rêve n’est pas interdit au Faso pourvu que leur rêve soit virtuel.Que ça fait pitié de mettre son enfant à l’école et qu’il finisse par devenir inutile pour la société.

  • Le 16 octobre 2014 à 19:18, par RAS En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Réponse propre.

  • Le 16 octobre 2014 à 19:24, par réciproque fausse En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Ecrit trop long,ambiguë,confus et touffus tachez d’être bref,conçu et précis dans vos écrit a venir on ne cesser jamais de vous dire ça. Sincèrement on ne vous comprend pas monsieur !!!!!!!!!!!

  • Le 16 octobre 2014 à 19:27, par YIRMOAGA En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Toute cette litanie pour dire quoi ? Heureusement que mon temps ne me permet pas de lire au risque de me perdre ou du moins tout confondre ? Et pourtant on avait laissé passer en filigrane que le choix du gourou se portait sur l’autre, son ange gardien ? Chose normal, mais les internautes avaient émis des inquiétudes quant on sait la roublardise du type ? Personne ne connait ses vrais intentions mais ç’allait être mieux que le choix sur le petit PRESI ? On tente de narrer les gens avec ds projets depuis un certain temps en passant par les crédits sans garantie etc etc. Le projet TAMBAO où on clamait le premier convoyage en JUIN passé sur le port, et j’avais attiré l’opinion que tout était du bleu f, l’autoroute Bouaké Tambao-Niamey etc, donc il faut une continuité pour la réalisation donc ? Et les 100.000.000E US de Taïwan pour lutter contre ébola, c’est du bluf aussi ou pour le RFRDUM ? Au lieu des écrits logs longs, posez-vous la question de savoir le comment comment des annonces de tels projets sans aboutissement ?

  • Le 16 octobre 2014 à 19:32, par sow En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Balivernes !! rien que des balivernes , monsieur Dabire votre écrit est abracadabrant on y voit rien comme interet pour cette nouvelle génération que nous sommes on veut des choses claire , le droit permet un referendum oui au non !! c’est ce dont on a besoin c’est tout .

  • Le 16 octobre 2014 à 19:33, par gawatchè En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    La réplique est cinglante (poroopre !!!) le match est fini car du score fleuve de la première mi-temps l’adversaire ne se relèvera jamais.
    Grand merci à DABIRE de nous apporter ce soutient intellectuel, moral, psychologique,etc.
    cela nous rassure et nous convainc que nous sommes sur la voie de la vérité de la liberté ; car souvent en plein combat il arrive que le combattant doute du bien fondé de son combat et c’est là qu’il a besoin qu’on lui dise : continu vas y tu est sur la bonne voie la voie de ta liberté, de ton émancipation.
    Alors que la lutte continue et de plus belle, point de répit jusqu’à la victoire final, celle du peuple.
    Pas de référendum !pas touche à l’article 37 !

  • Le 16 octobre 2014 à 19:33, par KALAN TE BAN En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Il y’a des articles qu’il faudra nous épargner.On ne peut être là a lire des articles qui ne veulent rien dire s’il vous plaît.Vous écrivez un bouquin avec un langage pédan et vous voulez quoi ?Cher Dabiré,faites nous le plaisir de ne plus nous envoyer ça.

  • Le 16 octobre 2014 à 19:33, par hergood En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    C’est du propre. No comment !
    vs êtes le meilleur, je vous l’avoue.
    Be blessed !
    GOOD bless Burkin’ FAso.!!!!

  • Le 16 octobre 2014 à 19:37, par jeune conscient En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    URGENCE:nous demandons au modérateur de faire preuve de professionnalisme en tenant compte de l’esprit et du quotidien de ceux qui consultent votre site !pensez y a la jeunesse qui est le plus concerné,publier de long article ne nous éduque en aucun sens en toute franchise,je fais allusion a Djibo et a Dabiré qui ne se lasse de publier de long article de fois incompréhensible surtout celui de Dabiré

  • Le 16 octobre 2014 à 19:44, par Onymes de Poitiers En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    En tout cas, voilà français déhhh ! Nous les profanes, on se délecte de ces écrits !
    M. Djibo, tu dis quoi ? Dagaritchè a parlé ! propre même...Rien que la vérité.

  • Le 16 octobre 2014 à 19:55, par ABDOUL En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    DJBO N’A JAMAIS EU LES ARGUMENTS POUR CONVAINCRE EN PLUS IL MANQUE DE RESPECT POUR SES AINES.

  • Le 16 octobre 2014 à 19:57, par Lui En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Tchié ! Dja ya philosophe dans philosophe : philosophe-cherche-à-manger-djibo-phd et philosophe qui connait et merite son titre !
    Je n’aimerais pas etre à la place de ce monsieur Djibo PHD philosophe. Si ce monsieur Djibo enseigne, ses etudiants vont surement commencer à derserter son cours !

    C’est ca on dit toujours là monsieur djibo phd : au lieu d’aller prendre l’argent chez Blaise pour justifier l’injustifiable et se faire massacrer intellectuellement en publique, c’est mieux d’aller chercher travail pour gagner de l’argent meme si c’est Djossi !

  • Le 16 octobre 2014 à 19:58, par electron 1er En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Vous ne semblez pas comprendre la politique,il ne sert a rien d’essayer de décrire une situation sans trop la connaitre,le référendum est bien légale et justifier,il n’y a pas de débat a ce niveau,en cote d’Ivoire on dit le plus souvent que même souris saoule connait carrefour de chat.

  • Le 16 octobre 2014 à 20:05, par vérité no1 En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Une belle réplique, Djibo a vendu son âme au CDP !!!!!

  • Le 16 octobre 2014 à 20:41, par Chris En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Merci Christophe ! J’avais peur de rentrer dans la cour des "philosophes" tant souvent les concepts sont difficiles a comprendre. Mais Christophe vient de démontrer qu’un VRAI PHILOSOPHE peut se faire comprendre par n’importe qui : lui-même comprend parfaitement ce qu’il dit contrairement a notre obscure Djibo, mercenaire de la plume. Je le rangeais chez les philosophes, mais aujourd’hui je l’y enlève et je ne crois pas non plus qu’il mérite une place chez les littéraires....Si Djibo avait une dignité !!!!!!!!!!

  • Le 16 octobre 2014 à 21:20, par YELKAYE En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Ah oui pour la première fois , je lis un article complet. Je suis très content . Ce forum n’est pas du gout des titrologue et pseudo intello qui ont le ventre plein et veulent juste surfet sur internet pour savoir de quoi on parle dans le pays. Pour la première fois je vois une interprétation complète de ZARATHOUSTRA : le HÉRO de nietshcht. Wahoo. Je reviens avec un commentaire complet. Merci CHRISTOPHE, je vous écris très prochainement......
    Je recommande vivement au MODERATEUR de designer comme personnalité de l’année du FASONET. une bonne idée n’est ce pas ?

    YELKAYE

  • Le 16 octobre 2014 à 22:03, par terroristejj En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Ha wèèèh !!!ainsi dit tjrs mon professeur Bado quan il est depassé par une situation.Alor moi je dis ah wèèèh !!aux ecrits de monsieur Dabiré.à lire ça saute à l’oeil tou de suite qu’il se sent tellma morveux qu’il est entrain de se moucher.En fait la verité telle qu’elle est dite par le Pr Djibo est une verité qui fache,qui rougi les yeux et qui assome !!!jusqu’à demain je dirai qu la souverainété du peuple est indepassable,lui qui est perçu comme le seul juge de sa destiné.

  • Le 16 octobre 2014 à 22:39, par Fanfan En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Comme certains ont dit, c’est du balèze, c’est costaud waiii !!! en tout cas si j’étais Blaise pour choisir même entre Dabiré et Djibo je n’hésite pas longtemps c’est dabiré, le gars maîtrise bien son affaire y a rien à dire. Bravo

  • Le 16 octobre 2014 à 22:41, par Fanfan En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Comme certains ont dit, c’est du balèze, c’est costaud waiii !!! en tout cas si j’étais Blaise pour choisir même entre Dabiré et Djibo je n’hésite pas longtemps c’est dabiré, le gars maîtrise bien son affaire y a rien à dire. Bravo

  • Le 16 octobre 2014 à 23:04, par BF2O15 En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Ah oui,je vois que le sieur Professeur Djibo empèche bocoup de dormir à chaq fois qu’il écrit !!!ces articles sont tellma plein de vérité qu ça ne manque pas de rougir les yeux de certaines personnes !!!!monsieur Djibo si vou n’arretez pas comme ça vou risquez de faire tro de victimes dè !!!

  • Le 16 octobre 2014 à 23:29, par Yaz En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    TS toi tu es aigri ca se voit, nous sommes en quelle année même ??? Alors grandis, toi. Je connais le petit bonhomme de Christophe depuis longtemps, petit de taille mais immense érudit, Je le reconnais bien dans cet écrit limpide et très riche. Y a pas beaucoup qui peuvent produire un article aussi documenté et dense même en un mois, ça c’est christophe, je ne vois pas de haine moi, quand on sait la vérité il faut la dire c’est tout ! Mon petit Chris ton "disciple" te salue bien bas !! Tu es grand

  • Le 17 octobre 2014 à 00:11, par Le citoyen En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Ah ! Voila qui vient confirmer mon désir a lire ce Dabire. En son temps, j’ai aussi qualifie l’article de Djibo de torchon, ne reflétant pas le niveau d’un Ph.D. Quand on s’exprime en ’ni, ni, ni’ on comprend directement que celui qui parle a des limites sérieuses. Monsieur Dabire, vous êtes aussi pointu dans vos arguments comme Touorouzou Herve Some (que je connais bien). Et, je suis sur qu’il sera ravis de lire votre article. Ça m’étonnerait pas qu’on le lise bientôt, même si je le sais occuper en ce moment avec les cours. Vous avez donne les sources de toutes vos allégations, citations, pas comme ce Djibo, qui se permet (en tant que PhD) de faire des affirmations sans donner de preuves ou des sources. Quand on décide d’être un PhD, on s’engage a créer le savoir, et non se contenter de dire des choses que toute personne peut dire. Même mon grand père pourrait dire que BC est parmi les 5 meilleurs présidents d’Afrique". Mais la preuve, ou est-elle ? En tout cas monsieur Dabire, en tant PhD (candidate), sachez que vous m’aviez donner envie d’être pointu en argumentation, surtout dans un domaine aussi complexe que la politique.

  • Le 17 octobre 2014 à 00:33, par 2M En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Djibo ne sait pas qu’il ne fait que donner l’occasion à Christophe de se faire plaisir car c’est quelqu’un qui aime vraiment philosopher, et ça se lit ! Ça peut continuer comme ça indéfiniment djibo se fera ridiculiser publiquement pour rien. Christophe ne réponds plus, tu as suffisamment montré qu’il est ridicule. Donc tu as des chats (et non des juments oups !) à fouetter !!.. Non ? Penses-y

  • Le 17 octobre 2014 à 01:08, par sissilondres En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    C’est de la propagande et répond à ce que Djibo est aujourd’hui que de dire que "Djibo était major" de notre promotion puisque j’y étais aussi. Nous nous connaissons tous encore dans cette promotion. Et les profs comme Mr Etienne.T , Badini, Warin etc....s’en souviennent. Ce que vous ne savez pas c’est que Dabiré est une personne respectueuse des autres et simple ne se vantant jamais. On se connaît depuis les années 80 dans un établissement où il montrait déjà ces qualités et son sens de la rigueur. Qui de nous peut imaginer la charge affective qu’il porte sur lui en sacrifiant son temps et sa santé par ces écrits qui nous éduquent ? : l’amour du peuple Burkinabè.
    Djibo a poussé le bouchon un peu loin en s’éloignant du mondes des idées objectives pour des confusions et des contre-vérités idéelles allant à oublier comment s’écrit Hannah Harendt. Ce qui ne fait pas sérieux dans la profession pour les Docteurs !!. Sans oublier que Djibo tend à l’attaque de la personne.
    Il reste pour nous avant tous des fils du pays avec seulement de divergences conceptuelles et politiques. L’avenir toujours juge de la vérité et la vérité est plus forte que l’histoire.

  • Le 17 octobre 2014 à 01:29, par josuane En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Monsieur DABIRE, toutes mes félicitations. Mais ne perdez plus votre temps. Il y a des gens qui ne réfléchissent plus. Ce sont de simples automates qui répondent aux articles sans les lire. Blaise est tout pour eux. Ils ne vivent que pour le défendre. Ils n’observent m^me pas que même les premiers responsables du CDP font maintenant attention quand ils parlent. Bougma, Paramanga, Couldiaty... sont si prudents !!!

  • Le 17 octobre 2014 à 02:38 En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    BRAVO POUR LA BELLE FESSÉE INFLIGÉE A CE DJIBO/.

  • Le 17 octobre 2014 à 09:07, par MEDA DO En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Intellectuellement, on n’a jamais pu soutenir la légalité et la légitimité du referundum : il n’y a pas d’arguments

  • Le 17 octobre 2014 à 09:11, par K.D En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Disciple auto-proclamé de Wittgenstein.Dis-moi Dabire combien de livre as -tu ecrit ?ZERO.Mr Djibo lui au moins a ecrit sur l,epystemologie"projet fondationnels de Wittgenstein" donc il est en droit de se reclamer de lui puis que sa these doctorale porte sur les recherches de ce dernier en maths.Nous appartenons a la meme promo que Djibo a l,UO,sans prendre position pour Djibo il etait quand meme le major de notre promo 87.Vouloir le contredire sur un terrain purement politique est normal.Seulement,Voila ce que Je ne partage pas c,est de vous attribuer la piena sapienza,alors que tu n,es qu,un diplome en philo comme lui.Ah le narcisisme quand tu nous tient.

  • Le 17 octobre 2014 à 10:04, par RAPUGUMPANGA En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    bien dit monsieur DABIRE . celui qui défend le référendum et la révision de l’article 37 défend seulement son ventre et pas l’avenir de ce pays. si la date du référendum est choisi Blaise compaore et ses cireurs de chaussures verront de quoi le peuple est capable. le président compaore partira en 2015 de gré ou de force.
    non au referendum
    non a la révision de l’article 37
    non au sénat
    non au pouvoir a vie

  • Le 17 octobre 2014 à 10:28, par douèssaa En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    honte à tous ceux qui prônent le référendum. le mensonge n’a qu’à beau courir, la vérité finit toujours par le rattraper.

  • Le 17 octobre 2014 à 10:59, par Sniper En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Cogito ergo sun : une grave erreur est de croire que nous avons une culture unique au Burkina. Ce pays compte bien une soixantaine de nationalités et la culture meme dominante n’est pas celle de tous. Meditons sur cela, car les minorités ont aussi leur mot à dire ....

  • Le 17 octobre 2014 à 11:33 En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    "Il n’y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir", dit l’adage. M. Djibo PhD est capable de voir les dégâts de Blaise et son système sur la société burkinabé, mais tout comme l’autruche, il refuse de les voir. Il refuse surtout d’appliquer sa rationalité chèrement acquise à la critique du système Comaporé dont il fait idéologiquement partie et dont il est obligé d’en faire une apologie. Il est certainement "le philosophe du non respect de la constitution" et fait probablement partie d’une élite politoco-intellectuelle repue qui a toujours fait le mal de ce pays. Des gens que le peuple a formés chèrement pour l’aider à réfléchir sur son avenir, mais qui en fait de course, préfèrent jouir que de réfléchir. Quel gâchis ! On peut aimer Blaise, mais se refuser, comme un fanatique, à voir les débats de son système sur l’avenir de notre pays est un déni intellectuel.
    Je ne m’adresse pas à ces perroquets qui passent leur temps, parce qu’étant incapables de comprendre quoi que ce soit au débat actuel, à dire OUI au Referendum ! CE REFERENDUM EST ILLEGAL, ILLEGITIME, depuis la personne qui a généré cette idée jusqu’à toutes tentatives de Forcer le passage. Même s’ils vont tuer des gens pour faire ce référendum, je dirai HAUT ET FORT AVEC MONSIEUR DABIRE QU’IL EST ILLEGAL ET ILLEGITIME. le peuple burkinabé avait attendu mieux de son élite politico-intellectuel gouvernante.

  • Le 17 octobre 2014 à 11:37, par MEDA Do En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Bel écrit, M.Dabiré ! Tout le monde voit clair et est déterminé maintenant et il sera difficile sinon périlleux de vouloir passer en force dans la révision de l’article 37 ;la toute dernière révision qui a ramené le mandat à 5 ans nous a surpris et on éprouve aujourd’hui une honte à force d’y penser:comment cela a pu se passer aussi facilement ? Nous sommes debout et sommes convaincus que nous serons fiers de dire à nous enfants et aux jeunes de demain comment nous avons été de dignes défenseurs de la démocratie, parce que nous allons gagner, n’importe comment !!!!

  • Le 17 octobre 2014 à 11:40, par Dèdèguèba SANON En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Mes respects Professeur, je pense qu’il vaut mieux ignorer les écrits de ce Djibo. Il n’en vaut pas la peine, et vous perdrez votre temps avec lui. Ils ne sont pas fairplays vos (nos) vis à vis et pas bons joueurs.
    Ce que je vois venir c’est un passage en force avec un référemdum qui sera boycotté par la majorité du "peuple conscient". Mais souvenez-vous que leur homme "irremplaçable" s’est déjà fait elire sans gène par moins de 30% de la population (unique candidat pourtant).

  • Le 17 octobre 2014 à 11:48, par Koumbem Tipousga En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Je peux dormir tranquille. je suis soulagé car ce virus de Djibo commençait a intoxiquer beaucoup de cerveau. Monsieur Dabiré = anti-virus de Djibo. Merci encore mon philosophe. Djibo tout comme Nyamsi est payé pour écrire. Il faut le laisser faire.

  • Le 17 octobre 2014 à 11:59, par kouraogo marcelle En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    OUI au referendum,nous n’avons pas le temps pour les longs discours ok ?
    Blaise est le meilleurs de tous nos hommes politiques,avec lui c’est l’avenir tranquille,c’est sans panique.
    moi je dis oui au referendum et je suis engagé pour son application

  • Le 17 octobre 2014 à 13:28, par sanouwoulé En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    J’invite le docteur Djibo à ne pas répondre à une casuistique pleine et aveuglée par la haine. Membre de la même promotion que le docteur Djibo et le sieur Dabiré, je dois dire que Djibo était le major de notre promotion 85-87 de Philosophie à l’U.O. le fait qu’il a surclassé le narcissique Dabiré a causé un traumatisme en celui-ci dont les symptômes éclatent dans ce texte injurieux. Docteur Djibo, je vous en supplie : ne répondez pas à ce narcissique dont les traits schizoïdes transparaissent dans son texte. Soyons de bons citoyens, de bons promotionnaires. Cultivons l’amour. Accorde-lui ta fraternité. appelle-le à la paix fin qu’il apaise son coeur. Un loser reste un loser.Docteur Djibo, sache que sa bave n’atteint point la hauteur de tes vues. Dabiré veut épater la galerie, se croit sorti de la cuisse de Jupiter. Laisse-le aller traire les poules.C’est un haineux mégalomane, indécrotable. Vive le référendum !

  • Le 17 octobre 2014 à 15:34, par zping En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Ne répondez plus à Monsieur Diido. Laissez-le "baliverner ". Référendum, référendum, référendum ; dites-moi : qui m’a consulté le 15 Octobre 1987. Vous aussi.

  • Le 17 octobre 2014 à 16:59, par Passeck En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Monsieur Sanou,
    on peut être le major d’une promotion sans être le meilleur d’entre, et ce n’est pas moi qui vous l’apprend. Nous llecteurs savons apprécier la veleur de l’un et de l’autre à travers leurs écrits respectifs. Arrêtez de nous parler de votre passé d’étudiants car pleins en ont.

  • Le 17 octobre 2014 à 17:25 En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Monsieur Sanou, aujourd’hui, vous êtes devenus quoi ? Ecrivez si vous avez le niveau de monsieur Dabiré et nous on se contentera de commenter. N’importe quoi. Etienne Traoré a dit que Djibo ne faisait pas partie des étudient brillants, donc, il ne le reconnait pas. D’où vient alors cette histoire de major ? Le premier en classe est-il le premier dans la vie ? Monsieur Sanou, dites nous qu’est-ce que vous devenu après avoir assisté Djibo dans son majorat. Quel rang occupiez vous ?
    Session sur session ?

  • Le 17 octobre 2014 à 20:09, par Un sage du village En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Simplement super. Un philosophe doublé d’un intellectuel de haut vol, ce DABIRE. J’avoue que j’ai toujours eu des nausées à lire DJIBO. Il (DJIBO) dévalorise le titre de Docteur et de Phd. Quand il aligne ses textes et ses « petits arguments idiots » pour défendre le DIABLE, toute honte bue, je me demande si son cerveau n’est pas à l’envers, et surtout comment des scientifiques sérieux ont pu décerner le titre de Phd à un tel CANCRE, intellectuellement malhonnête. J’espère qu’il va clouer son « BEC » maintenant, et arrêter de nous polluer la toile (Fasonet).

  • Le 18 octobre 2014 à 00:44, par Id. En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Parler de major de promotion, ça c’est un autre enfantillage encore ! le travail que l’on abat au 1er et 2nd cycle universitaire n’a rien du tout à avoir avec les recherches de 3ème cycle. c’est comme le jour et la nuit ! Mais il faut avoir rédigé au moins un rapport de stage (document de synthèse), au mieux un mémoire de maîtrise pour comprendre cela ! La thèse, c’est pour les séniors ! et encore quelle spécialité ? on ne peut s’aventurer dans toutes les spécialité et il faut avoir la modestie de le reconnaitre ! Djibo se promène partout ! entre temps il était sur l’éducation pour réduire les inégalités : on a mis son drap là bas ! donc arrêtez là avec vos enfantillages ! parole d’un docteur.

  • Le 18 octobre 2014 à 02:22, par La Cantinique En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Dabire, vous avez bien fait de repondre a Djibo. Il y avait le risque de paraitre impopulaire mais la marque des grands hommes, c’est de ne pas avoir peur d’ etre impopulaire quand l’ appel du devoir est plus fort. Ce garcon commencait a trop bien faire. J’ ai reproduit une partie de votre article du 20 janvier conmtre les pratiques cantiniques de ce monsieur : Il compile et plagie en secret mais depsne ou communique de facon ostentatoire. Le cantinmsime donc ne s’ applique que dans le cas specoifique d’ un Burkina ou la gouvernance fout le camp et ou la corruption et l’ impunite aont pignon sur rue. Mais lisez plutot". Tous ceux qui ecrivent, faites attention. Produisez du propre car tout ce que vous ecrivez, reste pour l’ histoire.

    " Des intellectuels se présentent cependant comme des philosophes, mais nous proposent toujours à l’arrivée des réflexions n’ayant rien d’une démarche philosophique qui consiste, nous semble-t-il, à soulever et poser avant tout des questions et des problèmes auxquels on trouve des idées et des concepts pour essayer d’y répondre. Ils avancent pour ainsi dire masqués dans leurs intentions, et ne nous vendent pas exactement ce qu’ils nous étalent : une arnaque intellectuelle en somme.

    Aussi, ce qu’il faut prendre en compte, mesurer et penser sérieusement, c’est ceci : que ce masque et cet étalage ensemble relèvent et participent d’une logique et d’une pratique que je propose ici, dans le seul contexte burkinabè connu de tous, de subsumer ou de rassembler sous un concept : le cantinisme. Qu’est-ce que c’est ? Ni le kantisme (KANT n’a rien à y voir), ni, si la langue vous fourche, le crétinisme (on ne pense pas à insulter, on pense).

    Le cantinisme, c’est la logique et la pratique de cantines. Comme concept, au sens où Gilles DELEUZE l’entend, c’est un tout, une entité dont les composantes sont connues et récitées des burkinabè : corruption, impunité, incivisme..., anarchie (qui est moins l’absence de principes et règles que le non-respect des principes et règles par ceux-là mêmes qui sont censés les protéger et garantir).

    Mais le trait principal du cantinisme, le voici : dans le domaine aussi bien des idées et connaissances que dans celui des biens matériels, se cacher et cacher pour compiler et accumuler, mais montrer et exhiber dans la consommation, la dépense ou la publication. Autrement dit, il y a dans le cantinisme ce double aspect de dissimulation et de planque quant à l’acquisition, mais d’ostentation et d’exhibition dans la dépense matérielle ou la communication intellectuelle.

    Pour ne pas donner l’air de parler dans le vide, voici une illustration de cantinisme intellectuel : le président du conseil constitutionnel, Monsieur MILLOGO a accordé une interview aux journalistes MM. Boureima DEMBELE et Saidou ZOROME (publiée sur lepays.bf le vendredi 25 octobre 2013), interview dans laquelle il a bien pris soin de s’abstenir, de par sa fonction même, de se prononcer sur les débats actuels autour du sénat et de la modification de l’article 37. Et pourtant le philosophe Mamadou DJIBO, dans son tout dernier article sur lefaso.net ("De l’engagement constructif et du leadership : Mamadou Djibo explique pourquoi il faut un référendum sur l’article 37"), a trouvé le moyen de vouloir faire dire au président MILLOGO ce qu’il n’a pas dit, en le citant au début de son article. Voici les extraits concernés de cette interview ( les parenthèses sont de nous, pour ne pas tout reproduire ici) :
    Journalistes : " Pourquoi avoir décidé alors seulement maintenant de la mise en place du Sénat alors qu’il est adopté depuis (...) ?"

    M.MILLOGO : "(...). Et je crois qu’il faut plutôt déterminer les attributions, dans la mesure où on ne peut plus remettre en cause le Sénat puisqu’il existe dans la Constitution"

    (Remarque : on voit bien qu’il s’agit jusque là du sénat, et pas de l’article 37. Continuons)

    Journalistes : "Peut-on l’enlever de la Constitution ?"

    M.MILLOGO : "Ça c’est facile. Il suffit de faire une révision de la Constitution et, en ce moment, le problème ne se posera plus. L’on a révisé la Constitution pour mettre en place le Sénat, et maintenant, il faut la réviser pour l’en extraire"

    Or c’est cette dernière réponse de M.MILLOGO que M. Djibo cite en début de son article pour, l’espère-t-il du moins, appuyer et conforter son obsession ou idée fixe de référendum qui modifierait l’article 37. La vérité c’est qu’en rien ni jamais le président du conseil constitutionnel n’invite à un référendum sur cet article. Au contraire, lorsque la question lui a été posée, voici sa réponse :

    Journalistes : "quel est votre avis sur le débat actuel sur le Sénat, d’aucuns estiment qu’il est inopportun vu les nombreux défis qui restent à relever. Aussi l’on lie la mise en place de ce sénat à la modification de l’article 37"

    M.MILLOGO : "Ce sont des questions politiques sur lesquelles je ne peux pas me prononcer..."

    Que les lecteurs me pardonnent cette longueur, mais c’est pour la cause de la vérité et de l’honnêteté intellectuelles, car M.Djibo détourne l’autorité et les propos du président MILLOGO pour servir son désir de référendum (le titre de son article nous le souffle), et surtout dissimule ce détournement intellectuel, tout comme on ferait l’acquisition frauduleuse d’un bien que l’on cache et exhibe à la fois : cantinisme. Or une seule et même idée que l’on ressasse à longueur d’articles (il faut un référendum, il faut un référendum), sans analyse, de la part d’un philosophe qui se présente comme tel, ne peut qu’être creuse. Que cela paraisse rassurant ou inquiétant, selon que l’on adhère ou non à cette idée : on ne fera décidément jamais une grande politique avec une petite philosophie. Allons donc plus loin, en essayant d’analyser davantage les choses".

  • Le 18 octobre 2014 à 07:52, par DENIS En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    KD na pas l’air de savoir ce qu’est une thèse de doctorat. Ce que djibo a publié c’est sa thèse phd. Christophe est Docteur il a donc aussi écrit une Thèse forcément, mais lui ne parle jamais ici de ses maître ni de sa thèse. Qu’est-ce que wittgensmachin vient faire dans la politique actuelle d’ailleurs ? A l’ uo si Christophe n’était pas dernier il devait donc être aussi le major de certains et de beaucoup, toi même compris

  • Le 18 octobre 2014 à 07:53, par DENIS En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    KD na pas l’air de savoir ce qu’est une thèse de doctorat. Ce que djibo a publié c’est sa thèse phd. Christophe est Docteur il a donc aussi écrit une Thèse forcément, mais lui ne parle jamais ici de ses maître ni de sa thèse. Qu’est-ce que wittgensmachin vient faire dans la politique actuelle d’ailleurs ? A l’ uo si Christophe n’était pas dernier il devait donc être aussi le major de certains et de beaucoup, toi même compris

  • Le 18 octobre 2014 à 09:00, par BAbelt En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Un puissant écrit mais qui malheureusement ne sera pas compris par ce "foulosophe" de Djibo qui n’est animé que par l’intention nuisible de servir les forts du moments !

  • Le 18 octobre 2014 à 11:45, par Ka En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    A tous ceux qui lisent Ka depuis des années, j’ai toujours été contre la modification de l’article 37, contre l’injustice et l’impunité toléré par le président Blaise Compaoré. Tous les sites d’informations des réseaux sociaux en ligne connaissent ma position. Sur faso.net, les lecteurs lebanco.net viennent de me dire qu’un intrus appeler ka vient de laisser un message en faveur de la modification de l’article 37 en mon nom. ’Message 45 du dois-je répondre a DJIBO’’’’ ce Ka est un intrus. Le vrai ka reste un défenseur de l’alternance politique et économique dans le continent Africain pour l’avenir de notre jeunesse. La bataille des faux intellectuels mangent mil, ne sont pas mon plat préféré. Mr. Compaoré doit respecter nos lois et quitter le pouvoir en 2015 : la lettre et l’esprit de l’article 37 interdisent tout président du Faso de briguer 3 mandats présidentiels consécutifs, un point un trait. Pas de referendum bidon, la parole donnée doit être respecté avec dignité d’un homme qui se dit fort. Un homme fort sans parole est un homme sans rien dans la culotte.

  • Le 18 octobre 2014 à 13:45, par Au_Secours En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Je n’étais pas à l’UO avec DJIBO et DABIRE mais je vois bien la différence. Je suppose qu’à l’UO il n’y avait pas qu’une seule matière. Celui qui a fait l’école ne serait-ce que jusqu’en Terminale doit savoir que le premier de classe n’est pas forcément étoile dans toutes les matières. Il peut aussi être cancre dans certaines disciplines et brillants ou super-brillant dans d’autres. Mais dans cette matière philosophique avec objectivité tout le monde voit que Mr Dabiré est haut et plus haut que Mr DJIBO.

  • Le 18 octobre 2014 à 21:58, par La Cantinique En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Dabire, tu as sauve Djibo. Ma colere etait grande et je metais dis que le premier jour que je rencontre ce farfelu, je lui bombe le front. Tchrrrr... Et il se dit docetur. Docteur de mon c.. ouiais.

  • Le 19 octobre 2014 à 00:23, par Megci En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Merci, Mr. Dabire. Il va repondre a ce pingoin pour lui rabattre le caquet. Mis il va tenter le baroud de deshonneur. Il va essayer de vous repondre et sa pirouette va retomner plate comme une galette.

  • Le 21 octobre 2014 à 15:47, par KO ? En réponse à : Post-scriptum (1) : Dois-je répondre à Djibo ?

    Heyii ! Djibo, on dit quoi ? Faut pas laisser mon petit dagari -la te fkpatra, hein ? On dirait que tu as ete soule de coup par ce petit Yoyo National strasbourgeois mais pas pas bourgeois tout pres du peuple qui mange avec les mains propres. Dagari- tchie, vous les dagari- memes koi, Vous etes mauvais ! Tu cognes quelqu’ un , toi meme tu vois qu’ il a ebola mental et tu continues de le souler de coup. Quand meme. Vous n’ etes pas dans la meme division. Poids plume leger et Superwelter ne boxent ensemble. Djibo est en quete d’ une reconnaissance , d’ une identite intellectuelle et meme professionnelle et surtout de gros sous. Qui ne voit pas la legerete de l’ homme ? Sinon, a part un avocat que j’ ai vu s’ amuser avec son titre sur cefaso.net, je n’ai jamais vu quelqu’ un si c’est pas Djibo. Le diplome coute cher pour avoir. Donc, quand tu l’as eu, il faut te respeter un peu solment.
    Hema le Maitre de passage a Poitiers