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Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

lundi 6 octobre 2014.

 

A l’initiative du Centre pour la gouvernance démocratique (CGD), les Organisations de la société civile (OSC) membres du Front de résistance citoyenne (FRC) ont animé un « dialogue démocratique » pour, disent-elles, nourrir la réflexion et contribuer ainsi aux efforts pour sortir de la crise politique que connaît notre pays depuis un certain temps. C’était le vendredi 03 octobre 2014 à Ouagadougou.

L’inscription - dans l’agenda du dialogue entre la majorité et l’opposition - d’un point relatif à la contribution de la société civile à la recherche de la paix, a suscité de relance du débat public au sein du FRC. D’où le dialogue démocratique de ce 03 octobre 2014. Et le but de ce débat, précise le Pr Augustin Loada, Directeur exécutif du CGD, « n’est pas de convaincre quelqu’un à changer de position ; mais c’est vraiment de voir ce qu’on pourrait avoir comme propositions qui peuvent nourrir la réflexion, et amener notre pays à sortir de cette situation » de crise politique ‘’artificielle’’. Et d’ajouter, « Notre objectif aujourd’hui n’est pas de dégager une feuille de route, encore moins de parvenir à un consensus ; mais nous pensons qu’il est important de recueillir toutes les opinions et contributions pourvu qu’elles aillent dans le sens du bien commun ; ce que nous voulons, c’est non seulement la paix, mais aussi la démocratie ».

Dans ce sens, « la proposition la plus élaborée » du FRC se rapporte au compromis qui permettrait le couplage du référendum modificatif à l’élection présidentielle de 2015. Ainsi, présage le Pr Loada, ceux qui veulent l’alternance auront un nouveau président et ceux qui veulent le référendum pourront modifier la Constitution. Et à en croire le Pr Luc Marius Ibriga, président du FOCAL (Forum des citoyennes et des citoyens de l’alternance), ce référendum de 2015 va poser – à froid - une question objective au peuple qui dira en réponse, s’il confirme son choix de 1991 ou s’il pense que notre démocratie est si forte qu’il est temps d’aller à la non-limitation des mandats présidentiels. Ce référendum, foi du Pr Ibriga, n’a pas de conséquence sur l’alternance en 2015. Mieux, précise-t-il, non seulement la démocratie interne au sein des formations politiques pourra rayonner en vue de l’élection présidentielle, mais aussi le constitutionnalisme burkinabè s’en trouvera renforcé

Justice transitionnelle, médiation internationale,…

Le cadre du jour a aussi été l’occasion de se pencher sur le recours à la justice transitionnelle qui permettrait – en temps opportun - de savoir s’il est possible, et sous quelles conditions renforcer ou élargir l’amnistie déjà prévue par la Constitution au profit des chefs d’Etat. La question de la facilitation internationale a également été abordée. Sur ce point, et de l’avis du Pr Loada, c’est aux Burkinabè de trouver un compromis qui permettrait d’éviter des affrontements.

Le dialogue majorité-opposition a deux insuffisances

Relativement au dialogue entre la majorité présidentielle et l’opposition politique, le FRC n’est pas intéressé d’y prendre part. C’est du moins, ce qu’a laissé entendre M. Ibriga avec toutefois la précision : « En tant que citoyens organisés, nous avons notre point de vue à donner sur des situations de la vie nationale ». Et de prévenir, « Il ne faut pas limiter ce dialogue à un dialogue politicien ».

Ce dialogue, le Pr Loada dit y voir déjà deux insuffisances : « c’est le fait qu’il ne réunit que des partis politiques, et c’est aussi parce que celui par qui le problème est arrivé en est le facilitateur ». A l’en croire, c’est un dialogue qui sera conduit sur fond de manque de confiance. Et selon lui, si ce dialogue pouvait permettre d’expliciter les raisons pour lesquelles certains cherchent le pouvoir et d’autres veulent s’y maintenir, la crise actuelle pourrait être facilement résolue et pour le long terme.

Le dialogue démocratique, c’est…

En attendant, le Pr Loada a tenu à rappeler la perception qu’a le FOCAL d’un tel dialogue : « Un authentique dialogue démocratique, c’est un processus d’interaction. Processus à travers lequel les humains s’écoutent mutuellement, de manière suffisamment profonde. Chacun fait de sérieux efforts pour prendre en compte les préoccupations des autres, même si des désaccords persistent. Personne ne renonce à son identité ; mais chacun reconnaît suffisamment les revendications valables des autres pour agir différemment envers l’autre. Le dialogue n’est pas conforme avec le débat, en ce qu’il encourage la diversité des pensées et des opinions, plutôt qu’à les supprimer. Dans la pratique du dialogue, il y a un accord selon les concepts et les croyances ; dans un débat, il n’y a qu’une seule réponse correcte, et des pressions exercées pour le triomphe de cette réponse. Dans le dialogue, on reconnaît la possibilité d’une meilleure réponse que celle initialement conçue. Le dialogue démocratique est basé sur divers principes : l’approche doit être inclusive, participative, et non basée sur l’exclusion. Le dialogue démocratique doit reposer sur la coresponsabilité, c’est-à-dire que le dialogue ne doit pas être un moyen pour poursuivre un agenda caché ».

Avoir à cœur le bien commun

Au demeurant, relève le Pr Loada, « Il est important que les Burkinabè règlent cette crise sans dégâts ; et cela va renforcer notre démocratie ». Et de préciser, « C’est important qu’on ait à cœur le bien commun ». Pour sa part, le Pr Ibriga précise que « Les problèmes récurrents des Burkinabè ne sont pas dans l’article 37, mais dans l’eau, la santé, l’éducation ». « Il faut clore le chapitre de l’article 37 pour ensuite se consacrer à la résolution de ces problèmes », a-t-il préconisé.

Fulbert Paré
Lefaso.net

Lien utile : Dialogue majorité-opposition : Une offre empreinte de scepticisme, selon le Front de résistance citoyenne (FRC)



Vos commentaires

  • Le 6 octobre 2014 à 10:36 En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    Bien pensé et j’espère que le CFOP saisira la perche tendue par la société civile ! En couplant le referendum aux élections à venir non seulement le Burkina minimisera les coûts d’une double élection mais aussi cette procédure départagera le camp de la modification de l’article 37, si tenté qu’elle n’est pas liée à Blaise Compaoré, et le camp de l’alternance !!!

  • Le 6 octobre 2014 à 10:38, par Anita Manour En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    où va mon Burkina Faso ? Pendant que certains cherchent à faire seulement 5 ou 10 ans au pouvoir, d’autres en ont déjà fait 27 ans et malgré qu’ils soient l’œil et l’oreille des autres pays dans la résolution des crises, refusent mordicus telle une adhérence, de se décrocher du fauteuil de chef suprême des armées, de premier magistrat, de président du conseil des ministres etc. etc.

  • Le 6 octobre 2014 à 10:44, par salut du peuple !!!!! En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    L’initiative est louable dans ce sens déjà que c’est pour apporter une touche a ce dialogue pour un éventuel consensus vois compromis,mais il est aussi important de la noter que contrairement a ce qu’annonce l’article en son début,le Burkina n’est pas en période de crise mais si elle se faire sentir sachez que ce n’est pas le cas.

  • Le 6 octobre 2014 à 10:51, par cogito ergo sum En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    Le président Compaore est encore très indispensable pour l’avenir de la nation ce que d’aucuns ne comprennent pas du tout,on a besoin de garder ce cycle de progrès continue c’est pourquoi donc le Burkinabé ne veut pas voire ne doit pas prendre ce risque de faire qu’une alternance pour alterner.ça sera un regret a la fin et tous seront complice et responsable,faisons donc attention a ce que nous disons et entendons !!!!!!!!

  • Le 6 octobre 2014 à 11:01, par KONAN En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    Décidement chacun cherche son Gombo , cette histoire est politique , et donc il faudrait savoir que la société civile n’a pas sa place autour de la table , elle ne peut qu’ être observatrice de éventements tout en tenant compte de ses revendication dans son domaine vive le Dialogue , vive la tenue du referendum

  • Le 6 octobre 2014 à 11:04, par commando invisible En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    Monsieur Loada,il est bien d’énumérer certains maux de notre société qui certes n’ont pas atteint le top mais connait une nette amélioration,on ne peut en aucun cas pouvoir faire de telle sorte que tout soit parfait,aucun pays au monde ne peut l’être donc la question aujourd’hui est de savoir qui est bien pour le peuple,pour répondre aux soucis de ce peuple ?Sans hésiter et vue ce qu’il a pu faire comme réalisation la réponse est immédiate,il s’agi du président Compaore. Maintenant si toi tu as des différents personnels avec lui ce n’est pas la problème du Burkinabé mais toi ton problème.

  • Le 6 octobre 2014 à 11:11, par le woudy En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    La solution a tout ce bavardage qu’on pourrait qualifier d’inutile est bel et bien le référendum,moi je dirait plutôt que Assimi Kouanda arrive a convaincre le camp d’en face de laisser tomber leur question d’éthique et de morale,ces salades enfin qu’on aille au référendum et je crois que c’est ce qui sera fait.Tout ça a pour but que ce fameux référendum se tient dans la quiétude,la tranquillité !!!

  • Le 6 octobre 2014 à 11:17, par electron 1er En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    Bien parler Konan,la question est d’ordre politique et se discute entre politique d’où l’absence de la société civile,moi je reste convaincu que l’opposition qui reste camper sur sa position finira par céder car la vérité triomphe toujours !!!!!! le référendum,la marche vers le succès

  • Le 6 octobre 2014 à 11:18, par Sidpasata Veritas En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    Je suis d’accord avec le FRC qu’il faut à la fois assurer l’alternance en 2015 et régler la question de la modification de l’art 37 que posent les pro-référendum. Mais je ne suis pas d’accord pour sa proposition de "couplage du référendum modificatif à l’élection présidentielle de 2015". A cela, plusieurs raisons :

    - Il faut absolument refuser ce précédent qu’un président du Faso puisse remettre en cause une disposition constitutionnelle tout simplement parce que la perspective de la présidentielle lui inspire une telle attitude sur la seule base de ses intérêts personnels égoïstes. Cette fermeté dans le refus de subir les caprices du prince renforcera notre démocratie.
    - Si la question soulevée pas la limitation veut sincèrement conduire une réflexion sur la solidité de notre démocratie qui serait estimée assez mature pour se passer d’une telle limitation constitutionnelle, alors que cette réflexion, qui doit être menée en profondeur et sereinement, soit renvoyée après la présidentielle. Cela d’autant plus qu’une telle modification, même couplée à la présidentielle, ne devrait avoir aucun impact pour l’alternance en 2015. Pourquoi donc se presser à engager une réforme si importante dans un période déjà surchargée par l’enjeu électoral de la présidentielle de 2015, alors même qu’il n’y a aucune d’urgence à cela ?!! La meilleure solution à mon humble avis, c’est laisser la présidentielle de 2015 se faire normalement et que le dialogue des partis politiques vise leur engagement à poursuivre la réflexion après 2015.
    - Le couplage référendum-présidentielle a pour seul avantage de réaliser une économie des moyens financiers à mettre en œuvre : ce fut le cas et le but annoncé du couplage des dernière élections législatives-municipales de 2012. Mais le couplage référendum-présidentielle rendrait le scrutin compliqué pour la majorité des électeurs, car il s’agira d’une part de désigner un candidat à la présidence, et d’autre part de répondre à une question purement théorique sur un principe de modalité de réalisation de l’alternance démocratique. On peut alors douter que cette population puisse avoir l’éclairage nécessaire pour agir en connaissance de cause dans une opération aussi complexe. Par contre, si ces deux consultations se font séparément, les partis politiques auront plus de temps pour expliquer aux électeurs les enjeux de chacune de ces consultations. On peut objecter que cela ferait plus de dépenses. Mais si comme le prétendent les uns et les autres, l’enjeu final est l’approfondissement de la démocratie, alors il faudra prendre le temps et l’argent pour réaliser cette réforme tout en améliorant la conscience politique de nos populations : ce serait alors aussi un investissement sur le capital humain (amélioration la qualité du corps électoral) de notre nation pour son avenir. La précipitation et l’accumulation des enjeux est toujours en faveur de manipulateurs qui sont de véritables pêcheurs en eaux troubles, qui n’ont aucun intérêts à ce que les populations d’électeurs comprennent les vrais enjeux des débats politiques.

    DANS TOUS LES CAS, IL EST IMPORTANT QUE DANS LA PHASE ACTUELLE DE LA VIE DE NOTRE NATION, TOUS LES BURKINABÉ CONSCIENTS DES ENJEUX POLITIQUES RESTENT MOBILISÉS ET VIGILANTS POUR NE PAS LAISSER DES POLITICIENS DÉTOURNER LE DESTIN DE LA NATION EN SACRIFIANT LE BIEN COMMUN NATIONAL A LEURS SEULS INTÉRÊTS ÉGOÏSTES.

  • Le 6 octobre 2014 à 11:27, par poil de mouton En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    Professeur je lu de A a Z vos propos mais je n’y vois rien de nouveau,non seulement l’article est confus,touffus mal dit et a la fin rien de nouveau,tachez de faire meilleurs a votre prochaine sortie.Comme eux et moi,nous avons foi au président Compaore et on est sûr qu’il sera d’un grand apport pour le progrès de notre pays.

  • Le 6 octobre 2014 à 11:45, par gros bras mince En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    Tout les regards sont tournés actuellement vers le président du Faso,le peuple a toujours monter sa volonté de l’avoir a nouveau comme président et je suis sûr que le peuple attend avec impatience l’annonce du référendum,c’est ma sincère conviction et je sait que beaucoup d’autre la partage.

  • Le 6 octobre 2014 à 12:17, par yeux ouvert En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    Laissons la question de dépense a cote,là il s’agi de la paix et le stabilité politique de notre pays nettement plus important que les dépenses,c’est une raison qui ne tient pas du tout,la paix,président des mots n’a pas de prix et lorsqu’on la perd on ne saura l’attraper. Quel qu’en soit le coût même si c’est tout le budget qui est en jeu je crois que la question en vaut la chandelle.

  • Le 6 octobre 2014 à 12:21, par chef de classe En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    Tous en gager,tous a y gagner voila ce qui en est pour la pensée de chaque Burkinabé,j’ai foi en ce dialogue et je suis sûr qu’a sa sortie nous irons paisiblement au référendum sans rancune tant las gens voire les opposants ont compris que la politique ce n’est pas la guerre !!!!

  • Le 6 octobre 2014 à 12:22, par gros bras mince En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    Tout les regards sont tournés actuellement vers le président du Faso,le peuple a toujours monter sa volonté de l’avoir a nouveau comme président et je suis sûr que le peuple attend avec impatience l’annonce du référendum,c’est ma sincère conviction et je sait que beaucoup d’autre la partage.

  • Le 6 octobre 2014 à 12:28, par un politique En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    La consultation du peuple est nécessaire et obligatoire dans ce cas de figure et ce n’est ni en 2015 ni après 2015 mais maintenant,ne mélangeons pas les chose,si le, peuple le réclame maintenant c’est pour que le président Compaore reste et c’est inutile qu’on le fasse après lui.

  • Le 6 octobre 2014 à 12:55, par bombardier En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    cè 2 soit disan Pr la font chier en fin de compte,leur vision n’est nukllema de nature à arranger les choses du tt !!!vive l dialogue sou la médiation de celui qui sait mieu le faire !!!!

  • Le 6 octobre 2014 à 13:00, par le tché En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    « Il est important que les Burkinabè règlent cette crise sans dégâts ; et cela va renforcer notre démocratie »laisse entendr le Pr Loada.Mais comment si ton inconséquence et ta stipudité te condui à t’opposer o dialogue dejà enclenché pour ce cela.Qu propose tu alor peti Pr ?si y a rien à propser laisse nou avancer !!!!!!

  • Le 6 octobre 2014 à 13:05, par l’amazone En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    Ahi ta ka boyii,an bii dialogué la loo !!!moogo kolo nounou.Aw na koun ba ba nounou yé.moogo lankoolo filè an dala dè.

  • Le 6 octobre 2014 à 13:07, par réciproque fausse En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    Que l’opposition mette un peu d’eau dans son vin pour que tout se passe mieux,ce qui est sûr le président a tout moment peut annoncer la date du référendum et là c’est peine perdu je pense pour eux car en aucun cas vous avez le droit ni le pouvoir de le faire !!!

  • Le 6 octobre 2014 à 13:40, par yeux ouvert En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    Monsieur Diabré sait bien que les choix qui lui font face ne le sont pas a tout prix favorable,il va devoir qu’il mette de l’eau dans son vin si non il risque de tout perdre,mieux ne pas s’opposer au référendum qui pourrait lui sourire au grand jour comme il le désir tant/ne pas faire face au président Compaore en 2015.ça ne marche pas comme ça,le peuple sera consulté avec plaisir !!!

  • Le 6 octobre 2014 à 18:53, par tintin En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    L’opposition n ira jamais au référendum. Nous appelerons au boycott si besoin. Vous ferez votre référendum seul sans nous avec avec la crise qui sans suivra

  • Le 6 octobre 2014 à 19:48, par c’est quoi mème !!! En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    Tjrs à trouver des insuffisances aux initiatives,quelqu belles et nobles qu soit-ell,il suffi qu cela vienne du pouvoir en place !!pourquoi cela,ne pouvon nou pas murir un peu et stopper nos hostilités aveugles et aveuglantes.J n reconnè vrèment plus mes prof de la première année,ils sont tous devenus des marchands d’illusions !!!!moi,citoyen intègre et raisonnable je dis oui à ce dialogu et j refuse d’accepter qu ns sommes en crise car aucune illégalité ne frappe cette initiative de nou soumettre,à nous seul detenteur de la souveraineté et seul arbitre,une question qui divise !!!!nou allons trancher et personn n l fera à notre place,point......

  • Le 6 octobre 2014 à 19:54, par lefilsintègre En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    decevan ces professeurs !de toutes les façons j l’ai tjrs di et j l reitère,le tournan d l’histoire du Burkina sera le jour où les burkinabè prendront conscience qu leur seul salu viendra du president compaoré !!!!!!

  • Le 6 octobre 2014 à 21:03, par justin En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    J’ai toujours été contre n’importe quelle attente entre deux camps en vue de l’imposer à la majorité. Non pas que je suis contre toute forme d’autorité mais aucune personne ne peut écrire le destin ou du moins l’histoire d’autrui à sa place. Par deux fois les autres ont pris cette lourde décision sans la consultation du peuple tout entier pour l’imposer non pas a eu mais a toute la nation entière tout génération confondu. La question nous ait posé une fois de plus et comme toujours nos grand frère ont voulu la contourné mais hélas la problème a pris une forme nouvelle. Le peuple actuel connaissant les enjeux de cette décision pourront décider. Vive le référendum

  • Le 6 octobre 2014 à 21:12, par kambou En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    Au regard de cette scène on irait jusqu’à assimiler l’opposition de femme émanciper qui n’a pas le désire de s’affranchir mais plutôt d’égaler les hommes. Mesdames excuser moi mais on aura beau dire égalité entre femme et hommes, mais l’on peut faire fi de l’ordre naturelle des choses n’en parlons pas de la physionomie de tout un chacun. En disant non au référendum elle n’a pas cherche d’autres solutions au problème mais c’est contenté de montrer son radicalisme légendaire. Non afficher haut et fort sans argument mais cela pour attirer l’attention. Que de la mauvaise foi

  • Le 6 octobre 2014 à 23:24, par mbihas En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    Je loue sincerement votre proposition,mais c’est la credibilite de l’election qui reste a verifier.on NE peut faire confiance a un chat meme s’il a fait un pelerinage.ne vous amusez pas avec ces gens,Il sont des voleurs a vie

  • Le 6 octobre 2014 à 23:43, par NGuess En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    Le référendum sera couplé au élection alors CENI acceptera aussi les candidatures indépendant pour ces élections présidentielle d’ordre exceptionnel . Cela serait preuve de mauvaise fois de parler de coût des élections en ces moment car personne de nous n’a oublier les coûts du recensement biométrique n’en parlons pas des présidentielles de 2000 2005 2010. Oui dans une souci d’économie pourquoi ne pas revenir à la royauté ? Là on aurait plus de référendum et on pourra économiser pour réaliser de grande chose

  • Le 7 octobre 2014 à 22:17, par Encore, encore En réponse à : Dialogue politique : Le Front de résistance citoyenne entend nourrir la réflexion

    C’est ça, avoir été à l’école. Sinon penser que le soleil ne se lèvera plus au Burkina parce qu’un individu dont on a vu les débuts est le seul à pouvoir le diriger, c’est tout simplement être borné et limité ou alors être guidé par son ventre et non par sa tête.