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Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

mardi 30 septembre 2014.

 

Majorité et Opposition se sont retrouvées de nouveau ce lundi 29 septembre, à Kosyam, pour « arrêter » les points qui feront l’objet de la discussion dans le cadre du dialogue initié par le Président du Faso.

Ce 3ème rendez-vous entre les parties a accouché d’un « consensus » autour de cinq (5) points qui vont guider la discussion. Il s’agit de la question de la révision de l’article 37, de la question de l’installation du Sénat, des questions relatives à l’organisation de l’élection présidentielle de novembre 2015 et des questions liées à l’organisation et au fonctionnement du Conseil constitutionnel et, enfin, de la question de la contribution de la société civile dans la recherche de la paix.

C’est le compte-rendu rendu fait par les co-présidents, Assimi Kouanda et Zéphirin Diabré, à l’issue de leur concertation qui a duré de 10 heures à 13 heures 30. Là-dessus, pas de commentaires ; c’est le laconisme. Pour le moment, aucune date n’a encore été fixée pour le prochain rendez-vous de travail : « On vous tiendra informés », ont-ils simplement lancé à la presse.

Les délégations sont également restées, quasiment, les mêmes avec quelques absences de part et d’autre.

Oumar L. OUEDRAOGO
Lefaso.net



Vos commentaires

  • Le 29 septembre 2014 à 18:53, par Ka En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Mr. le président Compaoré pourquoi ce dialogue de dupe ? S’il était de bonne foi, pourquoi n’aviez-vous pas convié la société civile, la diaspora, le balai Citoyen, le syndicat, les sages qui sont les chefs coutumiers manipulés par votre fondation, afin qu’ils soient témoins d’un vrais dialogue de consensus nationale comme ce fut le cas de 1999 avec le conseil des sages notre référence de démocratie. A mon avis ce dialogue est orchestré par les 3 entêtés que vous, qui sont, ‘’’’Alain Yoda, celui qui décide a la place du peuple avant de dialoguer, Achille Tapsoba le maitre de la répression, Hermann yameogo le diviseur homme de la zizanie, et afin Asssimi Kouanda le politique a la fiction. MR. le président Blaise Compaoré, si vous n’aviez rien à vous reprocher, si vous aviez la conscience tranquille avec tout ce que vous avez fait et assumer, si vous savez que vous pouvez retrouver la confiance de votre peuple en respectant la lettre et l’esprit de l’article 37 qui interdisent tout président du Faso de briguer 3 mandats présidentiels consécutifs, et de votre parole donner au conseil des sages en 1999 de quitter le pouvoir après votre dernier mandat en 2015, de votre serment constitutionnel, alors n’ayez pas peur en cherchant une aiguilles dans une botte de foins : Partez honorablement après ce dialogue, dont votre fille Djemila sera fière de vous, pour ce geste d’un grand homme qui veut permettre une alternance politique apaisé pour la nouvelle génération des Burkinabé.

  • Le 29 septembre 2014 à 18:57, par BF2015 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Vraiment qu’ils trouvent rapidement un consensus sur ces
    différents points afin les burkinabè soient en paix !!

  • Le 29 septembre 2014 à 19:09, par Indjaba En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Justement l’opposition doit être prudent car elle doit à tout prix éviter de marcher au pas du CDP. Le CDP a déjà discuté en long et en large de ce dialogue avec Blaise et leurs anthropologues et autres socio-psychologues. Blaise et le CDP savent ce qu’ils font , combien de temps cela va prendre, comment va réagir l’opposition, comment va réagir l’opinion publique nationale et internationale, quel profit en tirer, quel sera l’impact sur la lutte de l’opposition (on voit de plus en plus de photo où zeph et Assimi semblent amis et c’est bons pour créer la confusion chez l’analphabète), quel profit en tirer etc. Donc plus l’opposition s’enlise dans un dialogue interminable, mieux ça vaut pour eux. Voilà qu’ils ne savent plus quand les travaux reprendront. Il faut absolument un deadline sinon le piège se refermera à cout sûr sur Zeph et collaborateurs. Blaise joue au damier, il fait semblant de laisser bouffer ses pions mais en réalité il cache une stratégie derrière. Quand il va se lever c’est pour tuer le match. Attention ! attention ! C’est comme ça qu’il a blagué tout doucement ses amis de la révolution et la suite on la connait.

  • Le 29 septembre 2014 à 19:10, par dealer En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Monsieur Zeph et sa troupe sont entrain de dealer sur le dos du peuple ignorant les aspirations profondes des citoyens et en écartant même la société civile qui se bat plus sur le terrain de la mobilisation. L’UPC a déjà fait un deal raté dans la mairie centrale mais tout se sait dans ce pays de savane.Merci aux vrais partis d’opposition comme le FFS de Norbert TIENDREBEOGO et le PAREN de Tahirou BARRY de se démarquer de cette grosse farce. Le peuple n’acceptera jamais la trahison.
    Blaise=Terminus

  • Le 29 septembre 2014 à 19:11, par liberte En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    CE qui nous intéresse le plus c’est la question de l’article 37,je pense qu’on doit laisser le peuple manifester sa liberté a travers la démocratie !
    OUI referendum
    OUI a la modification de l’article 37
    OUI au senat

  • Le 29 septembre 2014 à 19:12, par 4- 8 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Pour ma part je suis convaincus que ce dialogue a l’initiative du président Compaoré portera des fruits.Nous exhortons toute la classe politique (majorité et opposition)a bien vouloir mettre tout en oeuvre pour que tout aille pour le mieux.A bon entendeur salut !

  • Le 29 septembre 2014 à 19:12, par vérité no1 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Pas de modification de l’article 37 et Blaise même le sait ! Je n’ai jamais souhaité agresser quelqu’un mais je crois qu’avec l’article 37, je peux me transformer en Jeremino !!!!!!

  • Le 29 septembre 2014 à 19:14, par toto En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    au lieu de stresser le peuple, si le président prenait son courage et à deux (2) en tant que homme et disait au peuple burkinabé qu’il sera candidat à sa propre succession, je pense qu’il soulagerait tout le monde y compris lui même.

  • Le 29 septembre 2014 à 19:15, par BILI-BILI En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    L’opposition risque de se faire encore rouler dans la farine. Pourquoi vouloir débattre de quelque dont on veut pas, ? C’est le principe même de "révision de l’article37" qu’on ne veut pas. c’est tout. Les débats devraient se mener sur " processus" de départ de BLAISE.
    Et voici les 5 points sur lesquels les débats devraient porter :
    - Quelle sortie honorable pour le président BLAISE COMPAORE ?
    - La question du verrouillage total de l’article ;
    - La question de l’amnistie des anciens chefs d’état ;
    - La question relative à l’organisation des élections présidentielles 2015 ; (sans BLAISE bien sûr)
    - Idée d’une réconciliation nationale.( le peuple burkinabé a besoin d’une réconciliation entre elle même)

  • Le 29 septembre 2014 à 19:15, par Tapsoba®(de H) En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Vraiment dialogue de dupe comme vous le dites mr "Ka".Pourquoi discuter de contribution de la société civile dans la recherche de la paix sans inclure cette composante ?Mais ne soyons pas dupes s ils restaient exclus lors des prochains débats,Ils savent que cette même composante de la société dite civile dans sa majorité est un apport à l opposition.En tous les cas,on est vigilant et attendons la suite des évènements.Qu il pleuve ou qu il neige(même si nous sommes au sahel),la ruse ne passera pas.

  • Le 29 septembre 2014 à 19:17 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    ka, je vous comprends, mais de grace n’ouvrez pas la porte au FEDABC, ABC, Tanties de.., amies de... s v p ...on ne s’en sortira pas avec ces militants du Rassemblement des Cinq Doigts vers la bouche

  • Le 29 septembre 2014 à 19:17 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Blaise Compaoré,il est temps d’arrêter de nous tourner en bourrique car j’ai l’impression de revivre un CCRPbis mais parcourons les 5 points un à un :
    La question de la révision de l’article 37 : Il faut évacuer ça dans tes rêves farfelus jusqu’à te poser des questions.L’article 37 restera comme tel.Tu n’as plus de numéro pour la compétition présidentielle de 2015.Tu es disqualifié.
    - La question du sénat : Il n’est même pas question à moins de choisir vos sénateurs qui accepteront de travailler bénévolement sans un centime du contribuable.Marre de ces sangsues qui ne savent vivre qu’au crochet des pauvres contribuables.Pas de sénat au BF
    - L’organisation de la présidentielle de 2015 : L’organisation de cette présidentielle aura bien lieu en 2015 sans Blaise Compaoré qui aurait épuisé toutes ses cartouches jusqu’à demander un lenga d’où ce 3ème point soulevé sinon je ne comprends pas sa pertinence.Sûrement dans son statut actuel de garibou,il espère son report pour avoir son lenga.Pauvre Blaise,tu crois faire pitié à qui.En tout cas le problème financier ne peut se poser puisque tu étais prêt à débourser plus de 40 milliards pour ton fichu référendum.Tchurrrrrr
    - La réorganisation du Conseil constitutionnel : Blaise Compaoré,ta mission à la tête du Burkina Faso prend fin en fin 2015 et donc pourquoi attendre 28 ans pour te poser cette question ?Laisse le soin au prochain président faire ce qu’il veut de ce conseil constitutionnel de béni oui oui.
    - La contribution de la société civile : Encore un divertissement de ce pouvoir à l’agonie avec encore ce 5ème point.
    En un mot,si j’étais sur la table des négociations,je dirai ceci:Occupez-vous de ce que vous voulez mais sur l’article 37,il n’y a pas débat dessus tout comme sur le sénat.Nous ne voulons pas de sénat au Faso et nous disons NON à un référendum pour permettre à Blaise d’être le Jean Bedel Bokassa du Burkina.
    Par contre sur la réorganisation du conseil constitutionnel,faites ce que vous voulez tout comme vous pouvez dire ce que vous voulez de la contribution de la société civile.
    Conclusion,je dis à l’opposition:Méfiance,méfiance pour ne pas tomber dans le piège de ces bandits sans vergogne

  • Le 29 septembre 2014 à 19:18, par Supervagabond En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Quel Burkina Faso veux-tu nous laisser
    En héritage ?
    Un Burkina Faso des clans ?
    Un Burkina Faso sans élan ?
    Ou encore un Burkina Faso des assassinats sans assassins ?
    Quel Burkina Faso veux-tu nous laisser
    En héritage ?
    Un Burkina Faso du moindre effort ?
    Un pays où le pauvre a tort ?
    Un Burkina Faso sans égalité de chances ?
    Un pays où la morale agonise ?
    Quel Burkina Faso veux-tu nous laisser ?
    Un pays qui ne doit pas survivre à toi ?
    Un pays où ceux qui travaillent le plus
    Sont ceux-là qui gagnent le moins ?
    Un pays où les médailles se partagent
    Selon l’appartenance politique
    Et non selon le mérite ?
    Quel Burkina Faso te plaira-il bien de nous laisser ?
    Un pays avec des Touaregs dans la garde
    Plétorienne, car tu n’as pas confiance
    En tes propres hommes qui t’ont servi
    Deux décennies durant ?
    Un pays, dans lequel tout handicap physique
    Vous rend non rentables et obsélètes ?
    Que pays veux-tu bien nous laisser ?
    Un pays où on fabrique des narionnettes politiques ?
    Un pays où tout développement sans toi
    Ne serait pas possible ?
    Un pays où l’égoisme est cité comme
    Bonne moeur politique et revendu sur
    Le marché par tes sbires ?
    Quel pays te plaira-t-il bien de nous laisser ?
    Dieu vivant sur la terre Burkinabè
    Toi, dont le règne est chanté par tes partisans.
    Toi, dont le seul nom dans les guerres
    Suffit pour amener les pires ennemis
    A la tables des négociations
    Toi, dont le règne est plus précieux que
    Le pétrole
    Tes alliés politiques t’ont déeifié dans le
    Mensonge, le plus sordide
    Quel pays veux-tu enfin nous laisser ?
    Un pays où le riche mange du pauvre ?
    Pris sur un mur Facebook

  • Le 29 septembre 2014 à 19:20, par KA TOUB WIITA En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Franchement je réjouis d’apprendre que les choses avancent au niveau du dialogue.Nous esperons ca continue ainsi afin que les populations puissent être tranquille.Et j’ai foi en la chose.Vous aussi croyez y.Bravo a Blaise Compaoré

  • Le 29 septembre 2014 à 19:27 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Une fois de plus, la diaspora a été occultée par les "maîtres des lieux". L’histoire vous rattrapera bientôt. A bon entendeur, salut !

  • Le 29 septembre 2014 à 19:28, par Père Fouras En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Ce pseudo-dialogue est voué à l’échec.

  • Le 29 septembre 2014 à 19:32, par Kamélé En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Quelle sera la valeur ou la validité, la légitimité ou la légalité (je ne connais pas le mot approprié) des décisions prises à la fin de ces concertations. on se souviens des conclusions et de l’utilisation des conclusions du CCRP, du collège des sages, etc. Que fois-ci est-ce que les conclusions seront applicables dans l’immédiat ? le président qui vous a convoqué vous a donner 2 points à débattre, vous vous êtres débrouillés pour en trouver 5 points. tout cela pour nous distraire et tourner autour des 2 grands points

  • Le 29 septembre 2014 à 19:32, par Bonfer En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Pourquoi la question de l’A37 revient-elle encore sur la table de dialogue ?. Il y aura blocage au début Le dialogue de la duperie va commencer. Mr Blaise veut réviser la constitution.. Tout le monde doute de la sincérité du dialogue c’est un canal pour faire miroiter l’opinion internationale qu’on se parle et foncer rapidement vers le referendum. Le referendum se prépare petit à petit ils veulent nous rouler dans la farine. Convoquer le referendum c’est provoquer la révolte du pauvre peuple Burkinabé en souffrance permanente. La lutte continue car ils tiennent à modifier l’A37 par force le peuple saura donner une bonne réplique. Soyons vigilants et prêts à défendre cette constitution qu’ils veulent immoler sur l’autel de l’injustice et du mensonge.Soyons prêts à défendre l’A37

    QUE LE SEIGNEUR BÉNISSE LE BURKINA. AMEN
    PAIX ET JOIE A TOUS LES BURKINABÉS.AMEN

    NON AU REFERENDUM
    NON AU SÉNAT
    NON A LA RÉVISION DE L’ A37.
    VIVE LE PEUPLE BURKINABÉ
    VIVE LA DÉMOCRATIE A 2 MANDATS
    VIVE L’ALTERNANCE 2015

  • Le 29 septembre 2014 à 19:37 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Je ne comprends plus l’attitude de l’opposition. Elle avait réclamé un mandat du PF à la majorité lors de la tentative de médiation de Jean Baptiste et autres. A t elle oublié ce mandat ? N’est il pas exigible dans ce cas ? Surtout que Blaise ressemble à un caméléon qui change de couleur en fonction du milieu où il se trouve pour échapper à ses prédateurs.

  • Le 29 septembre 2014 à 19:38, par Valeur En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Gare à l’opposition si elle trahit le peuple burkinabè en faisant une concession sur "la non modification de l’A37", "la mise en place du SENA" et un quelconque "référendum" ou encore sur "un linga de Blaise". Notre NON est NON. Qu’il s’en aille et qu’il nous laisse tranquille. Aussi "faibles" que nous sommes, nous auront suffisamment de ressources pour construire notre cher pays nous même, on n’a besoin ni de dictateurs, ni d’hommes forts pour y parvenir.

  • Le 29 septembre 2014 à 19:38, par Idrissa COULIBALY En réponse à : L’opposition dans le piège de Blaise COMPAORE

    La vigilance a manqué à l’opposition politique burkinabé dans l’offre de dialogue du Président COMPAORE. Considérant qu’une négociation nécessite toujours des concessions d’une part et d’autre. Les 3 points (A37, Sénat et Referendum) jadis non négociables doivent cependant et alors être négociés. Quel point l’opposition est elle en mesure d’abandonner pour se voir attribuer la lourde responsabilité d’entreprendre des missions d’explications à l’endroit des nombreux citoyens qui comptent sur eux, sans être traité de vendus comme l’OBU et bien d’autres qui sont partis se feuiller auprès du pouvoir. Pour moi, il n’y a pas de problème pouvoir-opposition, il ya un problème avec Blaise lui même. Donc ne renvoyons pas les problème à d’autres instances c’est Blaise face à l’opposition sans intermédiaire.
    Dambé

  • Le 29 septembre 2014 à 19:40, par levoyant En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Bonsoir,
    Avec tout le respect que je porte aux internautes, lisez ma pensées : Il se prépare un gouvernement d’union national je vous assure et en ce moment il serait préférable que nous quittions tous le pays.

    Cordialement

  • Le 29 septembre 2014 à 19:40, par nassourou hama En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Ce dialogue entre en droite ligne sur la situation politique nationale et on sait aussi que les villageois n’ont aucune information sur la vie politique, je préconise k dans chaque camp (majorité et opposition) on puisse désigné un leader. ces deux leaders vont faire un débat télévisé en direct à la RTB pour s’expliquer sur la situation nationale.Ainsi le peuple comprendra tous les enjeux politiques.

  • Le 29 septembre 2014 à 19:41, par lilboudo En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Voici les principales conclusions du dialogue :
    1. révision de l’article 37 : l’article est mieux rédigé comme il est ; on ne le touche pas
    2. installation du Sénat : on adopte un sénat réduit (question de satisfaire la majorité), avec un mode de désignation non politicien ; du meme coup, on peut rendre les fonctions de député et de sénateur bénévoles (ah ah)
    3. organisation de l’élection présidentielle de novembre 2015 : on donne les moyens à la CENI pour rattraper le retard, et organiser l’élection à la bonne date. Chaque composante se met à la recherchede son candidat. Blaise fait un communiqué pour dire qu’il est non partant officiel
    4. organisation et au fonctionnement du Conseil constitutionnel : quelques reglages à faire, notamment pour que le conseil soit plus indépendant, et n’entérine plus les revisions inconstitutionnelles de la constitution (notamment pour instaurer un pouvoir personnel) ;
    5. contribution de la société civile dans la recherche de la paix : qu’est ce que les politiciens ont à discuter de la contribution de la société civile ? Que la société civle s’organne elle meme et trouve sa place dans la recherche de la paix

    Dialogue terminé ! On applique les points cidesssus et on avance, vers l’alternance

  • Le 29 septembre 2014 à 19:49 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    C’est quoi cette histoire ; toi Zéphirin on t’a envoyé toi et les autres pour quoi ? La première condition du dialogue comme nous l’avons dit depuis leur foutu CRPC est que on enlève des points de discussion leur foutu modification de l’article 37 et de leur foutu Sénat. NOUS NE SOMMES PAS D’ACCORD AVEC CES POINTS DE DISCUSSION. NOUS ALLONS RESSORTIR. NON, NON, NON et NON.

  • Le 29 septembre 2014 à 19:57, par PRESIDENT FONDATEUR En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Je ne comprends rien des 2 premiers points (A.37 et Senat) qui figurent dans l’ordre du jour du dialogue. La position de l’opposition et de la mouvance est connue et figée alors sur quoi va donc porter le débat. Je crains qu’il ne s’agisse d’une farce pour après nous dire comme il n’y a pas eu de consensus alors le PF peut convoquer son référendum. Attention à l’opposition qui joue sa crédibilité dans ce dialogue. Nombreux sont les Burkinabè qui épousent votre cause sans être d’aucun partis politiques, alors de grâce, soyez à la hauteur de nos attentes.

  • Le 29 septembre 2014 à 20:03, par L’épervier du désert En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Toutes ces 5 questions trouvent leurs solutions dans celle de la Première qui est : pas de révision de l’article 37. Cette technique de dialogue est pour nous détourner de la réalité et nous serons surpris par le temps. De grâce faisons l’économie de dépenses d’énergie inutile, la solution est à coté. Je ne suis pas pessimiste mais ce dialogue là à déjà du plomb aux pieds.
    Bon courage

  • Le 29 septembre 2014 à 20:03, par vim koega En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Mr ka comprenez bien qu’au début du dialogue était invité les membres de la société civile !l’opposition a refusé !alors c’est quoi vous voulez au juste ?ce qui est sure a la suite de ses dialogues s’il n’y a pas de compromission le peuple sera obliger de laisser manifester leur liberté par le referendum !vive la paix !

  • Le 29 septembre 2014 à 20:06, par Le Vigilent En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Si quelqu’un est cause d’une quelconque crise susceptible de constituer une menace pour la paix au Burkina, qu’il sache qu’aucune amnistie ne pourra le mettre a l’abri de la justice de notre pays et encore moins a celle de la CPI.
    On ne peut pas avoir bénéficié du pardon sans le préalable "vérité et justice" pour de nombreux crimes, surtout des crimes de sang, commis a l’encontre de dignes fils du Burkina Faso et vouloir refuser de respecter les engagements pris pour mériter un tant soit peu ce pardon. C’est toujours le peuple burkinabè qui doit faire violence sur soi même et au même individu d’abuser de la confiance de ce peuple sans jamais se repentir sincèrement. La patience du peuple a des limites et aucune médiation ni aucune répression ne pourra l’empêcher de demander des comptes a cet individu qui a prend plaisir a le trahir pour ses propres intérêts et ceux de son clan de prédateurs.
    Il demande de lui permettre de réaliser ses fantasme ou il met le feu a la maison !? Cela rappelle les méthodes des Djihadistes.

  • Le 29 septembre 2014 à 20:06, par réciproque fausse En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Parmi toutes ses questions je ne vois seulement qu’une relative a la situation nationale de nos jours,il s’agi de la question de la modification de l’article 37 ;c’est surtout la dessus qu’il faut discuter enfin de trouver un compromis et je ne vois d’ailleurs qu’une seule issu,il s’agi notamment de l’organisation d’un référendum pour départager les uns et les autres.Vite que le président du Faso fixe la date de ce fameux référendum.

  • Le 29 septembre 2014 à 20:20, par avion dans sac En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    nous somme toujours patient dans ce pays a ce que ces gars nous libère pour que chacun de nous aille se faire parler le cœur dans les différents urnes qui seront la a accueillir le peuple burkinabé. et pour cela nous on demande a ce que le président élabore son décret...

  • Le 29 septembre 2014 à 20:25, par l’immigrant En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    il ya là deux points sur lesquels on ne dialogue pas :
    - question de la revision de l’article 37 : pas question,sinon apres blaise
    - installation du senat : pas question, sinon après blaise
    Pour la question relative a l’organisation des elections presidentielles en novembre 2015 :
    - elles doivent avoir lieux a cette date mais sans blaise comme candidat car la constitution lui en interdit,
    On peut debattre sur l’organisation et le fonctionnement du conseil constitutionnel afin qu’il puisse etre une institution forte qui ne soit pas à la disposition des hommes dits "FORTS"
    On peut dialoguer sur la contribution de la societé civile dans la recherche de la paix car aucune société ne peut connaitre une croissance vraie sans paix./
    Je remarque cependant qu’il manque une personne a la table du dialogue pourque ce dialogue soit franc:celui qui doit occuper la chaise vide en face de nous ,car lui-meme est l’objet du dialogue !!!!!
    Quand un pere convoque ses enfants pour trouver une solution a une crise,il doit lui-meme participer a la resoultion de probleme,(surtout quand il est le principal concerné),a moins qu’il ne veulent pas qu’on lui demande son point de vue !!!!!!

  • Le 29 septembre 2014 à 20:26, par la mer dans verre En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    la dernière chose qu’il faut faire dans ce pays est de convoquer nos militants de ce rendre devant les urnes pour se prononcer sur cette question qui ne fait que durée..
    mais aussi il faut rappeler que le président du Faso doit presser les gars des partis politique a ce que on applique ce que est légal..donc nous on attend le président du faso

  • Le 29 septembre 2014 à 20:26, par chef de classe En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Le vrai dialogue c’est dans l’urne que l’on devrait aller recueillir les points de vue,c’est une question qui fait l’objet d’intérêt national et ce qui fait la particularité de cette question c’est que chaque camp reste radicale sur sa position et cette allure il faut bien le référendum pour pour une résolution rapide et immédiate.

  • Le 29 septembre 2014 à 20:27, par article 37 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Bravo à l’opposition et au pouvoir pour ce sursaut. Toute la nation vous regarde pour préserver la paix et la stabilité. Ce sera une belle occasion de dire au FP de s’en tenir à la loi fondamentale. Offrir lui toutes les garanties de quitter le pouvoir sans être inquiété.
    Il faudra donc éviter les positions radicales qui ne donneront rien. Il peut avoir bien sûr toute forme e concession sauf la révision de l’article 37 et la transition.

    La constitution n’a pas prévu de transition. Il faut que l’on se comprenne parce que personne ne veut encore un régime d’exception.

    Bon courage à vous tous.

  • Le 29 septembre 2014 à 20:29 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    merci beaucoup nos cher papa que le tout puissant allha protege le burkina faso

  • Le 29 septembre 2014 à 20:30, par kouss En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Merci pour ce processus déclenché pour avoir un consensus autour des questions pendantes de notre système démocratique.Vivement qu’on trouve un terrain d’enttente pour le bien de tout le peuple burkinabè qui ne mérte pas une transition chaotique.Que chacun y mette du sien pour trouver la solution durable.

  • Le 29 septembre 2014 à 20:33, par enfant du peuple En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    même nous qui sommes en province attendions cela pour aller ce faire entendre par les urnes du Faso .et on veut que chaque citoyen fasse autant que nous pour le maintient de la paix au Faso,donc allons y mes chers parents burkinabé.
    car la seule manière de nous faire entendre c’est d’aller au référendum pour que ces politicien sachent que nous aussi comptions dans ce pays.

  • Le 29 septembre 2014 à 20:34, par Burkinabé que toi En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    D’autant plus que les deux camps ont réussis a s’asseoir autour d’une table c’est déjà quelque chose de louable dans la mesure où ce dialogue est pour justement trouver un juste milieu,chacun va essayer de mettre un peu d’eau a son vin pour que le peuple soit en paix,que monsieur Zeph choisisse de passer par la voix référendaire pourquoi pas ?

  • Le 29 septembre 2014 à 20:38, par Arnaud parqueu En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    ceux qui ne connaissent pas vraiment la politique vont crier sur ce forum a ce que le référendum n’est pas lieu.mais il faut qu’il sache que c’est le peuple qui décide de tous dans ce pays et sans eux aussi il n’y a rien comme développement.pour cela il faut que ces hommes politique qui ont un esprit de développement de bien vouloir accepter le référendum une arme du peuple.

  • Le 29 septembre 2014 à 20:44, par vieux pere En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    il faut l’adoption de la constitution pour que les burkinabés ne se laisse plus rouler dans la farine comme nous l’avions vu dans ce pays avec des hommes politiques,qui ont eu a passer leur temps a aller mettre dans la tête de nos chers parents que la consultation du peuple est une chose a ne pas en parler dans ce pays sans oublier que se rendre au pouvoir doit forcement passer par le peuple..mais si c’est cela ils veulent on trouvera une solution très rapide,

  • Le 29 septembre 2014 à 20:47, par toé prosper En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Ka ,s’il y a quelque chose de dupe c’est bien ton commentaire ,ou penses tu que nous sommes ? Dans un Etat ou dans un empire ? sache que dans l’organisation d’un Etat ces gens que tu as cité sont pas de l’ordre des décideurs alors réveille toi !!

  • Le 29 septembre 2014 à 20:48, par oued.ar En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    le chef de l etat est un homme de paix , le dialogue est sa devise, c est une bonne initiative de rencontrer les opposants ,que le resultat soit pour le bonheur du peuple .

  • Le 29 septembre 2014 à 20:49 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Monsieur le Président, le Peuple a accepté 2005 et l’histoire de rétroactivité qui vous a permis de faire ces 2 mandats de 5 ans. Maintenant le terminus c’est fin 2015. Attention, à ne pas trop tirer sur la corde, les burkinabè sont patients voire très très patients ; Mais, attention, cette fois à ce que la goutte d’eau ne fasse pas déborder le vase. Vous avez fait voté un statut confortable pour les anciens chefs d’état, alors, prenez votre retraite paisible. Sinon, le mur de Tandja sera bientôt devant vous.

  • Le 29 septembre 2014 à 20:55, par sihda la sihda En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    tous ceux qui ne voudrions pas la tenue du référendum ne doivent pas se comporter comme des citoyens burkinabés,car a ce que je sache c’est que le référendum est comme un vote que chaque burkinabé doit faire face a cela sans contester.
    mais pour cela il faudra que chacun fasse preuve de sagesse pour que le date soit élaborée dans un bref délai et nous allons se faire entendre.

  • Le 29 septembre 2014 à 20:59 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    l’opposition ne devait meme pas aller a ce debat. on ne doit pas discuter avec quelqu’un qui veut modifier une loi fondamental. l’opposition doit rompre avec ce dialogue ici et maintenant. Ne discuter jamais avec un hors la loi.

  • Le 29 septembre 2014 à 21:00, par cerf volant En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Nous ne sommes pas des ennemies juste des adversaires politiques,cela prouve une fois de plus que nos autorités sont des gens qui se soucient abondement de ce pays,de l’avenir des fils et filles de ce pays.Je suis de ceux qui sont optimistes quand a l’avenir de ce pays avec Blaise Compaore.

  • Le 29 septembre 2014 à 21:06, par tche gbe En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    cinq points pas cinq point nous on veut aller au référendum pour le respect de ceux qui ont eu a élaborer cela pour le peuple burkinabé et en suite partir pour de bon.
    et je sais que seul les vrais burkinabé accepterions cela.donc accepter le pour mieux trancher le peuple qui est diviser.

  • Le 29 septembre 2014 à 21:07, par le Burkinbila En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Donc le referendum est remis aux calandres grecques maintenant ? Il ne figure pas dans les cinq points donc il ne constitue plus un point de discorde puisque la question est dorénavant écartée.

  • Le 29 septembre 2014 à 21:08 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    La politique est vraiment est métier à apprendre !!! Nous les "nuls" sommes perdus, largués, embrouillés. Le prési fait comme s’il s’agissait de l’affrontement de 2 camps : l’un favorable a son maintient (les pro modification de l’article 37) et l’autre demandant son départ (garant de la constitution). Et lui, dans tout ça, le médiateur (pro), le neutre invite les gens à s’entendre.
    Même Machiavel n’avait pas prévu ça.
    Chapeau bas, Prési !!!! Tournes leur la tête ; endors nous !!!
    Mais dans tout ça, Dieu t’a-t-il donné le secret de l’immortalité ? ceux qui ne peuvent pas vivre sans toi doivent le savoir !!!
    Et ton peuple dans tout ça !!!
    Tout ce qui compte, c’est ton pouvoir ?!?!?!

  • Le 29 septembre 2014 à 21:12, par tche gbe En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    tous cela est de faire trener les choses pour nous,mais une chose est sur est que le peuple burkinabé est dans l’attente de cette date pour la tenus du référendum et départager les citoyens burkinabés sur cette question qui ne fait que faire des histoire entre les burkinabés chaque jours que fait naître ici au Faso.

  • Le 29 septembre 2014 à 21:16, par zak En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Rien que de la poudre aux yeux !
    L’opposition doit restée vigilante pour ne pas être complice de la supercherie, car tout ce qui intéresse le camp d’en face c’est uniquement la révision de l’article 37 afin de perpétuer leurs forfaits et leurs crimes contre le peuple burkinabè.
    Si c’est réellement un dialogue sincère dans le respect strict de la constitution, sans aucun tripatouillage malicieux, tous les burkinabè applaudiront !

  • Le 29 septembre 2014 à 21:16, par YIRMOAGA En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    3 points sont à discuter à mon humble avis ? 1*) L’organisation et les missions du conseil constitutionnel. 2*) définir les conditions de la participation de la société civile dans la recherche de la paix. 3*) l’organisation des élections de 2015, comment réussir les enjeux dans la transparence, et garantir la sortie honorable de SEM, en fin de mandat. Tout autre point sera caduc et va provoquer une rupture de dialogue. La constitution reste en état, et le sénat n’est pas une urgence.

  • Le 29 septembre 2014 à 21:29, par D8D8 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    avis a tous ceux qui vous vont se tenir prêt pou le maintient de la paix au Faso,je vous dire que ces 5 points serons traiter comme le président le voudra donc ne vous faites pas d’idée car nous allons aller nous exprimer devant les urnes et non aller courir dans les rues de Ouagadougou comme certains le font a nos parents.
    je vous le redit encore une fois encore allons au référendum.

  • Le 29 septembre 2014 à 21:39, par sans fetiche En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Pourvu que ce dialogue n’accouche pas d’une souris,le souhait de tout les Burkinabés est que le pays garder toujours son calme et sa quiétude et pour ça il faut une seule chose,le référendum bien sûr pour que chacun puisse aller s’exprimer dans les urnes.

  • Le 29 septembre 2014 à 21:39, par la voie du peuple En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    il faut que ces burkinabés ai un esprit de démocratie et non autre forme d’Etat.le pays des hommes intègres ne doit pas se laisser berner par ces gars qui ne veulent que semer le désordre dans le pays comme dans le chambre d’un Etudiant.mais qu’il sachent que nous les laisserons pas continuer dans ce sens mes chers amis internautes.
    sur cette question des 5 points il faut ces acteurs politique nous disent très rapidement ce qu’il faut faire avant la fin de la semaine.

  • Le 29 septembre 2014 à 21:43, par l’amazone En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    tais-toi pauvre type,ecoute tu di tes betises la tou le temp et personne ne te parle et tu crois que tou es permis,ici nou on è raisonnabl et on sait qu cet homme,notr présiden y a pas son 2.si il a decidé d dialogué cè parce qu il a d bonn intention envers toi,moi et tou ls burkinabè si non dan bocom de pay en farafina ici,ls présiden fon ce qu eux ils veule et le peupl ni la class politiq n son pa consulté.Donc ouvr ts gro yeux de maudi et voi sinon........

  • Le 29 septembre 2014 à 21:51, par youssouf En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    mais c’est lent cette histoire de la tenue du référendum,il faut ces leaders politique sache que le pays des hommes intègres est a dans la phase ou il faut libérer le peuple en les envoyant devant les urnes pour qu’il puisse se prononcer aussi.
    et celui qui n’est pas content qu’il aille se faire entendre au palais de kossyam la on s’aura qu’il n’est pas heureux de cela.

  • Le 29 septembre 2014 à 21:52, par D8D8 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Pa d’inquiétude ls gars,le guide trouvera une solution à ce problèm !il a l’habitude d ces genre de mediation et y a aucun doute,il satisfaira tout le mond !!!!

  • Le 29 septembre 2014 à 21:58, par waraba En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    même ceux qui comprenne pas le français sont impatient de cette date car ils sont tous fatiguer de ce que les acteurs politique sont en train de faire dans ce pays et je pense bien que moi et toi aussi sommes tous dans ce sentiment que ces gars qui sont aussi impatient a attendre cette date pour trancher entre les burkinabé.

  • Le 29 septembre 2014 à 22:01, par enfant térrible En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    ha ha ah !!!si toi "ka" ou "ka ka" j n sai quoi tu avai l 1/10ième de l’intelligence d Blaise,peu ètre tu ne raconterais pa ds cochonneris pareils !!!Moi,enfant terrible,j néai plu de doute sur la grandèr d’ame et d’espri de c pacificateur de Blaise et j me battrai bec et ongl pour sortir des ignorants comme toi des tenètres pour ls ramener à la lumière !jouisseur.

  • Le 29 septembre 2014 à 22:01, par sans fetiche En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    N’oubliez pas votre propre odeur,c’est très important,dans ce monde des humains aucune place pour la faiblesse encore moins pour les pessimiste,je suis sûr que le cfop qu’est monsieur Zeph comprend ou du moins comprendra l’enjeu de la situation et que le référendum se tiendra dans un bref délai au plaisir de moi,toi,nous et vous enfin tout les Burkinabés.

  • Le 29 septembre 2014 à 22:06, par SORE En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    on verra bien ou cava nous mener ! le peuple vous observe, ayez le courage de défendre vos pensées les plus sincères et plus objectives ! moi en tout cas je prévois des résultats mitigés !

  • Le 29 septembre 2014 à 22:16, par sans fetiche En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Comme on le dit dans le jargon courant,il n’y a pas de problème sans solution et il faut être optimiste et avoir confiance a ce centre de dialogue tout en espérant que l’opposition mette un peu d’eau dans le vin enfin qu’on puisse organiser le référendum.C’est tout ce dont les Burkinabés s’attendent.

  • Le 29 septembre 2014 à 22:28, par ouaga inter En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    5 points,je pense bien que a l’issu de ces points on pourra nous donner une date exacte de la tenue du référendum et non nous faire sortir des discours qui ne concorde pas avec celui de la tenue du référendum.

  • Le 29 septembre 2014 à 22:37, par Hamado En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Abat toutes formes de dialogues A bat toutes formes d’entente entre deux individus pour l’assouvir au peuple A bat tous décision qui n’émane pas du peuple. Vive la liberté vive la liberté d’expression Vive l’expression du peuple Vive le référendum. En avant pour un Burkina prospère

  • Le 29 septembre 2014 à 22:39, par salut du peuple !!!!! En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Au lieu de passer son temps a critiquer a ne negativer tout autour de vous,vous ferriez mieux de donner du souffle a cette initiative de monsieur Compaore meme si vous l’aimez pas sachez bien qu’il est sur son droit chemin.

  • Le 29 septembre 2014 à 22:42, par abiba En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    ce problème doit cesser maintenant et chacun doit faire ce que lui est de droit.tous simplement accepter le référendum pour le respect de la constitution du Faso,et je pense bien que ces gars de l’opposition devraient tous fait a ce que le référendum ait lieu pour arrêter les discours qui ne sont pas bien pour le bon développement de notre pays.

  • Le 29 septembre 2014 à 22:44, par toé prosper En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    La volonté des sujets du roi sont pour le roi et pour ses idées . Ils le supporteront vaillamment tant qu’il voudra être sur leur cheval de bataille !!

  • Le 29 septembre 2014 à 22:47, par Tiraogo En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Où est passé le principe de l’opposition qui disait qu’il n’y aura pas de dialogue sur l’article 37 et le Sénat ? Que ces 2 éléments étaient indiscutables ?
    Pauvre Burkina ! Notre soit disant opposition est tombée dans le jeu du grand illusionniste national. L’opposition est morte ce soir avec tout le peuple pour le bonheur de la famille Compaoré.

  • Le 29 septembre 2014 à 22:50, par gros bras mince En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Soyons ambitieux et n’oublions pas que le pays nous appartient a tous,je dit ça parce que je sait que beaucoup sont ceux qui se laisse berner tout suite par des mensonges et se laisse emporter tout suite par la colère.Ces gens sont capables de faire des dégâts rien que pour le plaisir personnel et ça c’est a bannir de la société.

  • Le 29 septembre 2014 à 22:57, par gros bras mince En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Nous tous des frère et sœur de sang,nous formons tous une famille et tout problème doivent être résolue en famille par nous même,nous devons être en mesure de laver le linge sale de la famille en famille comme il l’a toujours été,cette question n’en serait pas une exception et j’ai foi en cette dialogue qui déjà vue les premières tendances sont a encourager et donner du souffle.

  • Le 29 septembre 2014 à 23:03, par honneur 1er En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    je sais que ces gars de l’oppositions vont essayer de comprendre que ce pays des hommes intègres n’est pas un champs de mil ou quand tu es plein dans le vendre tu peux venir faire ce que tu veut.mais plutôt un Etat dans le quel ou il faut respecter ce que l’on appel la constitution..et pour cela des hommes comme moi et toi devrions être capable de l’accepter comme l’arme de notre exprime politique.

  • Le 29 septembre 2014 à 23:05, par Encore, encore En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Je retiens seulement une chose, le Burkina n’est pas un jardin privé. On ne peut pas dans état démocratique, négocier pour violer la loi et empêcher une alternance à cause d’un individu, soit -il le plus intelligent. Pourquoi ne nous a t-il pas sorti du sous développement et de la misère dans lesquels nous croupissons, durant ces 28 ans, s’il est si intelligent ?.

  • Le 29 septembre 2014 à 23:09, par Encore, encore En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    A y réfléchir, c’est une manoeuvre pour diviser l’opposition !

  • Le 29 septembre 2014 à 23:11, par réciproque fausse En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Quelqu’un qui se souci de son frère,de sa sœur de son alter ne peut en aucun cas ne pas soutenir cette initiative,on vous connait maintenant vous qui receviez des miettes de la part de ces va t’en guerres pour déverser des déchets sur le net,sachez bien que vous êtes les premiers qui en partissiez dans ces genres de situation et vous comprendrait votre douleur tôt ou tard !!!!!!!

  • Le 29 septembre 2014 à 23:13, par reconnaissance En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    ils n’ont qu’a ce voir et nous donner des résultats que nous on a attends que de se donner des jours de rencontre que nous on ne comprend absolument rien la dedans.
    et je suis convaincus que ces gars de l’oppositions vont tous faire a ce que le décret présidentiel ne soit élaborer dans de bref délai.mais si cela venait d’être fait je suis certain que je risque de me rendre chez l’un de ces gars pour plus d’explication.

  • Le 29 septembre 2014 à 23:19, par jeune conscient En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    je ne comprend pas pourquoi le président cause beaucoup avec ces gars de l’opposition.il faut libérer le peuple que d’écouter ces pauvres politiciens qui n’ont aucun mot de développement pour les burkinabés..et personne ne peut me dire sur ce forum que l’un de ces gars a déjà eu a faire quelque chose remarquable sur ce territoire burkinabé.
    la seule chose que les burkinabés attendent c’est la date du référendum pour aller se prononcer sur la question.

  • Le 29 septembre 2014 à 23:33, par ouaga 1er En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    certaines personnes parlerons sur cette question de dialogue,et je dois leurs dire que c’est ce que nous on appel trouver un consensus dans un français un léger pour des personnes comme vous ! mais il faut vous compreniez que ce pays des burkinabés ne dois pas être laisser dans les bras de certaines personnes.

  • Le 29 septembre 2014 à 23:39, par Tuund tenga yinga, tuund saka kum En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Vous- la, disons - nous la verite. Quelle consensu vous voulez sur des points qui n’ ont jamais ete consensuels meme dans le CCRP avec ses limites que l’ on connait. Blaise fait simplement dans la provocation. Il veut amener la guerre dans ce pays parce qu’ ainsi, il pourra semer tout etablissement de son bilan humain catastrosphique. C’ est la verite. Sinon quel consensu pour quelque chose qui est clairement mis dans la constitution ? A- t- on plus consensuel que ce qui clairem,ent ecrit dans la constittuion ? Notez que le probleme n’ achoppe pas sur une question ’ d’ interpretation. Donc, c’est le forcing seulement. Quelqu’ un veut que les choses se passent comme lui il l’ entend. Manque de respect du peuple et e sa constitution. Lui conceder ses caprices, c’est accepter qu’ a chaque fin de mandat on doit caresser celui qui doit partir dans le sens du poil. Apa !!

  • Le 29 septembre 2014 à 23:40, par zougba En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    avant la consultation du peuple il faut que ces dialoguistes ce consultent avant de nous faire la part de leurs discours.et juste après eux nous on va rentrer en phase de décision par le voie référendaire.donc que chacun se laisser aller comme dans une piscine pleine d’eau.

  • Le 29 septembre 2014 à 23:45, par analyseur En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    il n’y a rien a dire sur l’article mais il faut que ces gars sache que nous impatient du decret présidentiel face a la tenue du référendum.
    mais une chose est certaine est que le dernier mot reviendra au peule burkinabé et non a ;personne d’autre,donc acceptons les urnes que de se promener pour dire des sales trucks a nos parents dans les rues de Ouagadougou.

  • Le 29 septembre 2014 à 23:48 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Faut-il Dialoguer avec Blaise Compaore ?
    Avec ces cinq points les Burkinabè sont en train de se demander s’il faut discuter avec Blaise Compaore. Les Burkinabè commencent à se poser des questions sur leur opposition, qu’elle réfléchisse encore si elle ne veut pas naviguer à la dérive, séparée des Burkinabè…elle court un grand risque en jouant avec le feu qu’est Blaise Compaore…

  • Le 29 septembre 2014 à 23:54, par reflexion En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    nous on parle plus beaucoup car la date de la tenue du référendum n’est plus loin,et après cela chacun sera très tranquille dans ce pays,que de ce permettre de rester sous les apatame a café et dire des choses qu’ils ne connaissent pas..
    donc a toutes et a tous soyons tous prêt a aller affronter notre destin qui doit être commun

  • Le 30 septembre 2014 à 00:04, par Jeunedame seret En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    dialogue, trialogue, quadrilogue.. cinéma de personnes agitées ! Qui de vous est intègre au sens noble du terme ? Mr le président et votre suite, allez-y en psychiatrie. Vous n’avez pas la paix dans vos têtes ; donc vous ne pouvez pas nous garantir la paix.

  • Le 30 septembre 2014 à 00:10, par l’investisseur En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    dialoguer oui,mais refuser la tenue du référendum je dis haut et fort non,car nous les citoyens voulions a ce que notre constitution soit appliquer ici au Faso et non la sautée a cause des hommes qui pensent qu’a eux seulement.
    et en plus ils sont tous des sexagénaires,et aussi n’ont aucun plan de développement pour le Burkina Faso.

  • Le 30 septembre 2014 à 00:45, par DAMOCLES En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Vraiment, ce faux dialogue est un vrai recul pour la démocratie burkinabé. Du temps perdu, de l’énergie gaspillée, de l’argent dépensé inutilement pour un problème que l’on connait : A savoir Le refus obstiné d’un individu de quitter le pouvoir après près de trente ans de gestion solitaire. Et qui a toujours usé de ruse de pour se maintenir sans jamais respecter sa propre parole. 19 octobre 1987, Collège des sages, CCRP, MAEP, et aujourd’hui ce dialogue périmé.

  • Le 30 septembre 2014 à 01:05 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Les gens rêvent. Tous sera fait pour mélanger tout le monde et se mélanger eux mêmes car rien et absolument rien ne sortira de ce fameux dialogue inutile. Le président dépensera des milliards (l’argent des contribuables) pour chercher à corrompre et les œufs se casseront car un dialogue franc recommande la société civile et peut être les syndicats. Ceux là même qui sont la sève du peuple et qui sont de toutes les tendances. Vous verrez la suite. Le problème est celui qui est médiateur de sa propre crise.

  • Le 30 septembre 2014 à 01:34, par article 37 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Bravo à l’opposition et au pouvoir pour ce sursaut. Toute la nation vous regarde pour préserver la paix et la stabilité. Ce sera une belle occasion de dire au FP de s’en tenir à la loi fondamentale. Offrir lui toutes les garanties de quitter le pouvoir sans être inquiété.
    Il faudra donc éviter les positions radicales qui ne donneront rien. Il peut avoir bien sûr toute forme e concession sauf la révision de l’article 37 et la transition.

    La constitution n’a pas prévu de transition. Il faut que l’on se comprenne parce que personne ne veut encore un régime d’exception.

    Bon courage à vous tous.

  • Le 30 septembre 2014 à 08:48, par Gina En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Ecoutez moi bien son excellence, je suis une fille qui s’inquiète pour le devenir de sa mère patrie, et j’aime bien mon pays. Toutes ces histoires de dialogues et que sais-je d’autre n’ont aucunement leur place actuellement sur la scène politique nationale, car vous voulez prendre le peuple pour bête et ça je m’y oppose farouchement. La constitution est là pour être respectée et en tant que premier concerné, donnez l’exemple car plusieurs générations vous regardent. Partez simplement, ne forcez pas les choses, vous ne pouvez plus vous représenter et c’est tout. Y a plein d’autres citoyens qui peuvent diriger le pays et je dirais même mieux. Le Burkina n’appartient pas à un individu ou à un clan, mais à nous tous. Partez, partez, partez !!!! Vous avez fait vos preuves, et nous les générations actuelles, nous avons besoin de changement, et ça doit être sans vous !!!

  • Le 30 septembre 2014 à 09:07 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Les 3/4 des points vont se terminer par un dialogue de sourd. Le président prend son Peuple pour des idiots. Pire, il est en train de nous prendre en otage avec ces lubies de pouvoir de pseudo démocrate à vie avec la règle de mal gouvernance érigée en système d’état. Si cela doit se terminer en queue de poisson, le président sera le seul responsable. Cela fait 18 mois que le pays tourne en rond, dans un climat délétère peut propice aux affaires et, donc, de se développer. Aucun des résultats attendus pour la SCADD et des OMD ne seront atteint fin 2015.

  • Le 30 septembre 2014 à 09:16, par Jeanine Debo En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    des juges constitutionalistes pourraient mieux trancher ! Les politiciens sont entrain de partager un gâteau et ce gâteau c’est nous !!!

  • Le 30 septembre 2014 à 09:40, par @lpha2014 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    plutôt que de nous faire perdre du temps, il convient au préalable de demander à la Cour Constitutionnelle si BC peut être candidat en 2015 compte tenu de l’arrêt rendu en 2005 qui l’a autoriser à se présenter à la présidentielle. Si comme on doit s’y attendre la réponse est non on sait au moins que le referendum est inutile et nous faisons de precieuses economies

  • Le 30 septembre 2014 à 09:44, par Manglé En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Vigilance ! La majorité risque de trainer l’opposition jusqu’en 2017 dans ce dialogue. Le peuple ne vous suivra pas. Une chose est sûre, il ne vous reste que deux mois. Si d’ici fin novembre 2014, vous ne finissez pas ce dialogue, le peuple sortira dans la rue pour manifester son mécontentement. Nous voulons que notre pays soit "vivable" et que la paix règne. Le président est-il le seul fils de ce pays. Arrêtez d’embrouiller le peuple.

  • Le 30 septembre 2014 à 09:45, par xwutre En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    C’est clos ; l’opposition a été doublée. Souvenez vous que Zeph disait ke l’article 37 et le senat etait non négociable ; alors pourquoi les accepter comme terme de réference ?

  • Le 30 septembre 2014 à 09:47, par sama samira En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Que Dieu protège le Burkina Faso

  • Le 30 septembre 2014 à 09:48 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Vigilence et courage au CFOP. Cependant ça commence mal pour le CFOP par ce que je pensais que la révision de l’article 37 n’est pas négociable. Et voilà qu’il est en premier des négociations. Ensuite la mise en place du SENAT. Quel revendication du CFOP figure parmi les point énuméré ? Rien. Sauf l’organisation du référendum qui est écarter pour l’instant. Blaise et son CDP démarre très bien avec ces points et c’est déjà une victoire pour eux.

  • Le 30 septembre 2014 à 09:59, par bark biiga En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    mr le président cinq points au centre des négociations veut dire quoi ? la négociation doit se porter sur trois points a savoir la mise en place d’un gouvernement d’union nationale, la préparation des élections de 2015 et comme hisser économiquement le Burkina notre patrie sur le plan international après vos 27 ans au pouvoir. Les cinq points soulignés sont sans importances car le peuple ne veut plus de toi, du sénat, et l’article 37 intouché. Mr les opposants le peuple a confiance en vous donc ne nous décevons. la patrie ou la mort nous vaincrons

  • Le 30 septembre 2014 à 10:02 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    l balai citoyen va faire quoi la-ba, t’inquiète un frère, il est déjà représenté par son mentor qui est co-président

  • Le 30 septembre 2014 à 10:13, par Ragnangsamyé 2 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Partagez vous rapidement vos postes pour qu’on puisse respirer la paix dans notre cher Faso !!!

  • Le 30 septembre 2014 à 10:24, par pilipili En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Mon Président Blaise Compaoré, dites nous en français clair ou si possible en mooré (des spécialistes en traduction se chargeront de le traduire pour nous), de quoi avez vous réellement peur si vous quittez le pouvoir en 2015 ?

    Cette crise virtuelle que avez créée et entreteniez ne se résume qu’en vous et vous seul. Mon président que nos ancêtres vous guide sur la voie de la sagesse afin que les pauvres burkinabè que nous sommes puissions continuer de vivre en paix. amen

  • Le 30 septembre 2014 à 10:25, par douèssaa En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    OPPOSITION PAS DE TRAHISON, ON VOUS TIENT A L’OEIL. PAS DE MODIFICATION DE L ARTICLE 37, PAS DE SENAT. NUL N EST AU DECU DE LA LOI. C EST PAR RUSE QU IL A FAIT 28 ANS. LE BURKINA N EST PAS UN ROYAUME. TROP C EST TROP . PLUS PERSONNE NE DOIT EXCEDER 10 ANS AU POUVOIR. DU RESPECT POUR LES AUTRES

  • Le 30 septembre 2014 à 10:34, par pas politique En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Gare à vous ! vous pouvez tous concéder sauf le départ de Blaise en novembre 2015 !!

  • Le 30 septembre 2014 à 10:43, par Yougbare Ousseni En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    " Il s’agit de la question de la révision de l’article 37, de la question de l’installation du Sénat..."
    5 - 2 = 3
    il reste 3 points

  • Le 30 septembre 2014 à 11:13, par Tapsoba®(de H) En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    @ "xwrute",ne vous en faites pas ce n est pas clos.c est le pouvoir qui risque plutot de s enfermer dans son propre piège à mon avis et je vous explique .Si vous lisez la contribution dU Pr Traoré Etienne publiée dans Lobservateur.bf ce jour même et dans zoodomail.com hier,vous remarquerez que le pouvoir dès le départ a voulu prendre l opposition du haut dans sa lettre d invitation à elle faite, en parlant de légalité de la révision,de modalité consensuelle de sa révision et ce qui est du sénat ,comment le mettre en place.Des questions fermées auxquelles l Opposition n avait pas le choix dans ses réponses.Mais à l arrivée, Zeph et sa troupe ont tout fait pour ignorer ces préalables d où le choix de Blaise de laisser les deux camps de s entendre sur les termes de référence(TDR) .Différent de la manière de procéder lors du CCRP et Zeph a bien fait de le faire savoir dès le premier jour .Aujourd hui,savez vous pourquoi il n y a ni de modalités du dialogue ni de date pour la suite des pourparlers ? Le désacord réside d abord dans le sort réservé aux points non consensuels qui ne manqueront pas .L Opposition exige ,comme au ccrp,de les laisser en l état et la majorité exige le référendum et vous remarquerez par la même occasion que l opposition est bien sortie du piège(légalité,manière consensuelle de révision et mise en place du sénat comme si elle était déjà d accord sur le principe même de la révision de la constitution et de la mise en place du sénat) dans lequel on voulait l enfermer dès le début .Inéluctablement on s achémine vers le retour à la case départ,aux mêmes résultats qu au ccrp.

  • Le 30 septembre 2014 à 11:14, par silence En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Aujourd’hui le problème du Burkina n’est plus uniquement une affaire des politiciens. Car ils peuvent s’entendre entre eux mais c’est pas sure que le peuple va accepter. Donc s’ils font pas attention ils seront tous chassés.
    Le problème de fonds c’est le système politique qui est totalement remis en cause.
    Toi Bilai tu veux quoi encore au Burkina ? On peut plus rien pour toi et on est fatigué de toi.

  • Le 30 septembre 2014 à 11:19, par Verdad En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Cinq points sur la table de dialogue !!c’est bien mais cette fois ci
    il faut que les hommes politique s’accorde afin que l’esprit des burkinabè
    soit tranquille.Que Dieu donne la paix au Burkina !!

  • Le 30 septembre 2014 à 11:25, par L`OBSERVATEUR En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    5 PROPOSITIONS DE SORTIE DE CRISE :
    1- MODIFICATION DE L`ARTICLE 37 : A REMETTRE APRES 2015 ET QUE LES CANDIDATS OU PARTIS POLITIAUES SOUHAITANT MODIFIER L`ARTICLE EN FACENT UN PROGRAMME DE CAMPAGNE ELECTORALES ET DE CANDIDAT.
    2- MISE EN PLACE D`UN SENAT NON BUDGETEVOIRE AVEC UN NOMBRE TRES REDUIT(30-50) COMPOSE DE COMPETENCES AVEREES(A DOMINANCE DES COMPETENCES APOLITIAUES Y COMPRIS LA SC).
    3- QUESTION LIEES A L`ELECTION DE 2015 : ENGAGER UNE DISCUSSION AVEC LA DIASPORA POUR OBTENIR UN CONSENSSUS SUR L`EXPERMANTATION DE LA PARTICIPATION DES ZONES A FORTE CONCENTRATION DE NOS COMPATRIOTES Y COMPRIS LA MODIFICATION DE LA LOI ELECTORALE AFIN DE PERMETTRE L`INSTALLATION DE BURAEUX DE VOTE DANS DES VILLES A FORTE CONCENTRATION DES BURKINABES MEME S`IL N`Y A PAS DE CONSULAT OU D`AMBASSADE.
    4.DEMANDER AU CONSEIL CONSTITUTIONNEL DE PROPOSER DES SOLUTIONS SUR LE FONCTIONNEMENT DU CONSEIL A PARTIR DE LA CONSTITUTION ACTUELLE OU A REVISER APRS 2015.
    5.CONTRIBUTION DE LA SC. A LIER AVEC LA MISE EN PLACE DU SENAT REDUIT A DOMINANCE DE COMPETENCES APOLITIAUES Y COMPRIS LA SC.

  • Le 30 septembre 2014 à 11:26, par Nawalaguemba En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Il faut saluer la grandeur d’âme et la hauteur de vue de nos hommes politiques, d’accepter d’entamer un dialogue pour laver le linge sale en famille, la Famille de Diaba Lompo, de Guimbi Ouattara, de Lompolo Koné, de Nazi Boni, de Naba Yadéga, de Rougbenga, de Georges Nébié, d’Henri Guissou, d’Alfred Diban, d’El Hadj Triandé, d’Asséta Nagbila, et j’en passe. La bénédiction Divine et celle de nos ancêtres continueront de guider les dirigeants de notre "petit pays pauvre", mais "grand" par notre volonté à tous de vivre en communauté, dans la Paix et la Solidarité au quotidien, loin de discours enflammés axés depuis sur trois points et sur des questions « d’éthique », et faisant table rase des préoccupations des paysans et du travailleur moyen. Que les apprentis politiciens de la petite semaine rengainent leur " pauvreté d’esprit" comme disait le Petit Lamizana, qu’ils gardent leur haine envers Hermann, Assimi, Achille, Yoda, François, Blaise, Djamila (qui n’a rien à voir avec les actes de son père), et tous ceux qui œuvrent au consensus pour un "supplément d’âme pour une société consensuelle".

    Cinq points au centre des négociations, c’est déjà un grand pas vers une sortie de crise sans compromission aucune pour le CFOP, le Front Républicain et la Majorité présidentielle : l’essentiel demeure la préservation de la stabilité, des acquis politiques, économiques et sociaux, parfois obtenus au prix du sang (Sankara) et de la cendre (Norbert Zongo).
    C’est à la Communauté Internationale en général, l’Union Européenne, l’UA, la CEDEAO, l’UEMOA, le Conseil de l’Entente, le Liptako-Gourma, Taiwan, le Japon, la Suède, les USA en particulier et les négociateurs privés (tels Santo Egidio, la Fondation Tony Blair, et HD Centre), d’accompagner le Burkina Faso à faire aboutir ses négociations "en temps de paix". Nous appuyer par des programmes d’urgence de création d’emplois au profit des jeunes et des femmes en Régions nous éloignerait d’une expansion géographique de cet islamisme triomphant à coup de tètes cérémonialement tranchées, et sera une preuve tangible de soutien comme le MCA, que d’attendre de parachuter en temps inopportun des tonnes de "vivres et de médicaments" dans un décor de villages faits de cases brulées, de charognards repus de cadavres et de chars calcinés !

    L’espoir est permis ! A ce que je sache, les Samos n’ont pas, à ce jour, adressé un Mémorandum demandant à Sa Majesté le Mogho Naba, disant qu’ils veulent "l’Indépendance" : le Roi probablement leurs aurait répondu comme De Gaulle ! "Ils veulent l’Indépendance, qu’ils la prennent !". Avec toutes les conséquences qui pourraient s’en suivre.... Heureusement pour ces filous !

    Vivent les devanciers : Maurice le Visionnaire, Lamizana le Papa, Saye l’Anticipateur, JBO le Sage, Sankara l’Audacieux et.... Blaise Le Silence d’or (Nateng’rawa comme disait Salfo Albert Balima).

    Et Vive aussi la Parenté à plaisanterie ! Un Coucou aux Samos (le goudron arrive bientôt à Toma et Tougan, soyez patients, c’est pas une natte qu’on prend poser).
    Dans l’attente de l’Aide internationale en temps de paix et ……du goudron à Tougan, Bonne semaine de travail !

  • Le 30 septembre 2014 à 11:27 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Comme l’article 37 est en tête de liste, le dialogue va se terminer en queue de poisson dès ce 1er point sauf si Blaise dit qu’il ne se représente pas fin 2015.

  • Le 30 septembre 2014 à 11:34, par amed En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Blaise a la solution. Unitile de faire du dilatoire. Et cette solution c’est de partir en novembre 2015.

  • Le 30 septembre 2014 à 11:40 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Je pense que Blaise et l’Opposition sont dans un combat de boxe, et Blaise épuisé ne boxe plus et s’accroche pour éviter le chao. Donc si l’opposition le (Blaise) laisse reprendre du souffle, tant pis pour le peuple.

  • Le 30 septembre 2014 à 11:42, par ELKABOR En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Les 5 points proposés pour les discussions sont pertinents. Toutefois, je voudrais m’apesantir sur le point1 à savoir la modification de l’article 37. Ce point est au centre du désaccord. Pourquoi certains ne veulent-ils pas que l’on l’inscrive et que les forces politiques en débattent les yeux dans les yeux au lieu de le faire par meetings interposés ? L’opposition a des référenciels sérieux pour réfuter avec la plus grande rigueur les arguments de la partie au pouvoir à vouloir modifier cet article notamment 1. Le rapport du collège des sages dont les conclusions sont d’actualité et c’est bien le refus du pouvoir d’appliquer toutes les recommandations qui nous a conduit à la nouvelle situation. 2. Les conclusions du CCRP orchestré par le pouvoir lui-même dont le point majeur était que lorsqu’on ne parvient pas à un consensus sur une question donnée on laisse cette question en l’état, la modification de l’article 37 était bien dans ce cas. 3. Le rapport des médiateurs auto-saisis qui ne manque pas d’intéret dans le fond même si cette médiation a échoué pour des raisons de forme. 4. L’écrit de la conférence épiscopale des catholiques qui est très profond et aborde directement ou indirectement toutes les questions inscrites à l’ordre du jour de ces négociations. Par ailleurs, personne n’a jamais soutenu que l’article 37 n’était pas modifiable, mais la question essentielle est de savoir pourquoi procéder à sa modification avant les élections de 2015 ? La réponse objective à cette question est : pour permettre à Blaise Compaoré (un individu) de se présenter à l’élection présidentielle de 2015. Or la loi est impersonnelle, d’où le problème fondamentale de droit.
    Pour finir, je voudrais attirer l’attention de tous ceux qui crient "allons au réferendum" que cette question n’est pas inscrite au débat actuel pour la bonne et simple raison qu’elle sera tranchée avec cette question de modification ou non de l’Article 37. Faisons confiance aux représentants de l’opposition qui savent d’où ils puisent leur légitimité pour leur participation à ces négociations. Ce ne sont pas des morts de faim, ni des gens qui tirent le diable par la queue au point de brader la lutte du peuple burkinabè pour l’alternance, qui est l’essence même de la démocratie. Alors attendons patiemment les résultats des négociations.

  • Le 30 septembre 2014 à 11:47, par poil de mouton En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Je suis sûr,j’ai foi en ce dialogue en l’esprit de compréhension de Zepherin et je suis sûr que l’on finira a trouver un compromis,nous allons aller au référendum pour que chacun de nous puisse aller faire valoir son point de vue.

  • Le 30 septembre 2014 à 11:48, par Fasoden En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Voici ma modeste contribution :
    1 - article 37 : Blaise Compaoré avait dit que seul les décisions consensuelles du CCRP seraient mises en oeuvre. Le CCRP ne s’est pas accordé sur la modification de l’article 37 donc on ne revient plus sur cette modification. Il faut plutôt décider de sacraliser cet article pour qu’il ne soit plus modifiable.

    2 - Sénat : mettre en place une commission tripartite (pouvoir, opposition, société civile) pour revoir la forme du sénat :
    - revoir considérablement à la baisse le nombre de sénateurs
    - aucun sénateur ne soit nommé par le chef de l’état ou qui que ce soit
    - les sénateurs seront élus au suffrage universel
    - l’élection des sénateurs aura lieu en même temps que l’élection présidentielle, en novembre 2015
    - les sénateurs n’auront ni salaire ni émolument mais des indemnités de session
    - dissoudre le conseil économique et social

    Si ces deux points sont bien gérés, les trois autres deviennent un dessert leger.

  • Le 30 septembre 2014 à 11:53, par commando invisible En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Tout les regards sont tourné vers le CFOP,il suffit que ce monsieur par l’état d’esprit qui l’anime accepte donc de passer par la voix référendaire pour résoudre ce problème et vous verrez que ce qui était derrière en train de sauter,a crier non au référendum ne sont en réalité que des coléreux.

  • Le 30 septembre 2014 à 11:57, par SING En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Le CDP envoie ses questions pièges à travers son militant chevronné "Adjima David THIONBIANO"accepterez vous un gouvernement d’union national ?" et ces opposants gato de répondre sans réfléchir pour l’intérêt du pays pour la paix nous acceptons d’aller à un gouvernement d’union nationale".Comme si tout ceux qui sont contre les pratiques de Blaise sont leurs militants. Il y a même des cdpistes (éclairés) qui sont contre la monarchisation du pays. Combien de fois vous allez vous prostituer pour des postes ministériels ? Si vous osez, à cause de postes de sinistre vendre cette lutte pour un lenga de Blaise, alors Blaise aurait réussit à montrer aux yeux de tous votre vrai visage.

  • Le 30 septembre 2014 à 12:06 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Je sais que le naam aveugle l’homme mais je demande à nos gourvernants de lire la Bible, parole de Dieu. Car cette parole est un guide pour tout Homme. Des chefs, rois ont existé mais ce que la Parole de Dieu a déclaré s’accomplit même si elle tard de venir.
    "Qui a vécu par l’épée, périra par l’épée" Matthieu 26:52

  • Le 30 septembre 2014 à 12:11, par Le Penseur En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Le seul point sur lequel devrait porter les débats est la question suivante auquel le président devrait répondre par OUI ou par NON :
    " Excellence Monsieur le Blaise Compaore, Président du Faso, avez-vous l’intention de vous représenter en 2015 à l’élection présidentielle ? "
    C’est la seule question qui mérite vraiment une attention aujourd’hui, car tout le reste en découle.
    Si le président n’a pas l’intention de se représenté, plus de débat sur toutes les autres questions.
    Ce serait conforme aux textes en vigueur, à la morale, à l’éthique, au respect de la démocratie et de l’alternance, au respect du peuple burkinabè,...
    Par contre si par hasard une telle intention mijotait dans sa tête, c’est qu’il peut y avoir problème et débat. Il va falloir qu’il nous dise pourquoi un tel rêve lui aurait passé par la tête ?

  • Le 30 septembre 2014 à 12:23, par Le citoyen En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Tout le monde parle du peuple. " C’est le peuple qui doit décider, et cela dans l’urne, etc...". Well, on connait comment la "Chambre De Passe" (CDP) a remporté ses élections antérieures par la voies des urnes. A ceux qui nous bourrent les oreilles incitant les gens a aller au referendum, sachez que ce même peuple a déjà montré qu’il n’en veut pas le 23 aout passé. Jamais un événement n’a mobilisé autant de monde dans l’histoire contemporain du BF. Alors, non seulement le referendum que vous demandez est d’office caduque, en raison de son objet (portant sur un seul individu), mais aussi le peuple du Burkina Faso l’a continuellement rejeté (cf marche du 23 aout 2014).
    Quelqu’un a donné l’exemple du referendum tenu en GB pour affranchir les Écossais vis-a vis du contrôle du gouvernement central de la GB, pour justifier la tenue d’un referendum au BF. Bien, ce que ce dernier n’a pas compris, c’est que le referendum en Écosse avait un intérêt général, qui est le droit a l’auto-détermination du peuple Écossais ; alors que ds notre cas, le referendum vise a maintenir un homme au pouvoir ; donc un intérêt personnel. Toute chose qui n’a rien a voir avec le referendum récemment tenu en Écosse.
    Un referendum est organisé pour satisfaire aux besoins d’un peuple et non d’un individu, d’un clan. "Le Burkina Faso n’est pas un jardin privé, et pour modifier l’article 37, il faudra passer sur nos corps" (Gorba).

  • Le 30 septembre 2014 à 12:24, par Ka En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Vim Koega ne défendez pas ce qui est indéfendable, Hermann et Assami Kouanda ont opté et confirmer que le dialogue reste entre le CDP et le front républicain contre le CFOP, sous le contrôle du président du Faso, c’était à laisser ou a prendre, c’est le pouvoir qui décide. Si vous n’êtes pas au courant, nous sommes les plus avertis. Ne m’en voulez-vous pas.

  • Le 30 septembre 2014 à 12:25, par werason En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    c est jeu d enfants qu ils sont entrain de faire ma majorité connais la vérité comme l opposition ;J CROIS QUE ZEPH AVAIS DIT QU ON NE PARLE PLUS DE L ARTICLE 37 du referentum et de senat. j crois que tout ca c est aouut. et de surcroit blaise n a pas de considération pour les gens . sinon le collège des sages le president jean baptiste sont des hommes plus respectable que c est ces personne qui l entoure disant voulant faire de la dialogue pour leur propre interet. je crois qu il es temps a blaise de comprendre. sinon ah laurent g est a la cour penale

  • Le 30 septembre 2014 à 12:26, par Ka En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Réponse à L’anonyme du Zoodmail : Souvent la vérité n’est pas bonne à dire, le mensonge reste l’ennemi numéro un de la vérité : pourtant la vérité est la vraie solution de tous les conflits. Si je cite les noms de certaines personnes, c’est qu’ a l’occasion d’un entretien de la presse avec le chef du groupe parlementaire Alain Yoda, ce dernier a lâcher de trop en disant que tout ça se décide par ceux qui gouvernent, et François Compaoré d’ajouter ceux qui ont les armes, avant le dialogue : Pourtant ils ont étés élus par le peuple souverain selon nos constitutions, et tous conflits passent par un dialogue avant des décisions. Je ne dirai aucun mal à l’ancienne équipe qui était autour du président avec des objectifs concrètes de développement pour notre pays a commencer par tous les 6 engagements du programme électorale de 1998 réalisé à 90% que nous louons tous. L’actuelle équipe autour du représentant du peuple, le fait chanter par son relâchement sur la corruption à ciel ouvert, qui est devenu pour eux une drogue, et qu’ils oublient le peuple meurtri par le même fléau qui est la corruption pour un clan familiale. Sauf l’alternance avec la jeunesse en prime, peut mettre fin à la situation nationale, et permettre le pays que nous aimons tous de suivre l’émergence du 21 e siècle.

  • Le 30 septembre 2014 à 12:48, par Filsdupays En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Toutes ces discussions peuvent se résumer en ces deux termes :

    Blaise va se représenter en 2015 ?
    Blaise ne va pas se représenter en 2015 ?
    Quelles implications pour le Burkina pour l’une ou l’autre option ?
    A tête reposée et en répondant à cette dernière question on n’est en passe de dire que si Blaise pose problème à une partie du peuple car la constitution à l’état actuel ne lui permet pas de se représenter, alors il faudrait écarter l’option une. Cela voudrait à dire qu’on ne fera aucune analyse de ses actions durant ses mandatures qu’elles soient bonnes ou mauvaises. Quelle alternative reste pour son parti ? Il y a des personnes valeureuses à même de diriger ce pays. Pourquoi Blaise ne les fait pas appel ? Soit qu’il manque de confiance en eux de pouvoir poursuivre son œuvre ; soit qu’il a tout simplement peur de répondre à certaines questions dérangeantes sous ses mandats, garantie de non poursuite que certainement même son meilleur confident ne pourrait lui offrir ?
    Mais la vie nous apprend à s’assumer. Il ne sera pas le seul à vivre dans la hantise après le pouvoir ? Car on doit répondre même des actes de ses partisans qui ont profité de son ombre pour commettre certains actes répréhensibles. Autant les faire répondre tout de suite au lieu d’attendre d’être entendu en tant que témoin un jour.
    Les points à l’ordre du jour des négociations ne donnent aucune lisibilité de ce que Blaise veut. Alors que tout porte à croire qu’il est le seul bénéficiaire de tout ce remous. Personne ne saura faire le bonheur d’autrui à sa place.

  • Le 30 septembre 2014 à 12:49, par Ka En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Vim Koega ne défendez pas ce qui est indéfendable, Hermann et Assami Kouanda ont opté et confirmer que le dialogue reste entre le CDP et le front républicain contre le CFOP, sous le contrôle du président du Faso, c’était à laisser ou a prendre, c’est le pouvoir qui décide. Si vous n’êtes pas au courant, nous sommes les plus avertis. Ne m’en voulez-vous pas.

  • Le 30 septembre 2014 à 12:57, par fasobiga En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    après une brève lecture des commentaires, je suis à jamais conforté dans ma position. voilà que tout le monde veut participer à cette concertation ( société civile, chefs coutumiers,sages, et j’en passe.) même moi je veux participer car je sais que je mobilise plus que certains chefs politiques assis à cette table. donc il est nécessaire et même impérieux que le PEUPLE puisse se prononcer sur toutes les questions par un référendum.si en 1999 on avait adopté la constitution par référendum,aujourd’hui cette situation n’allait pas se poser ; c’est parce que ça été un arrangement de la classe politique. Encore on assiste à un arrangement de la classe politique, c’est donc sûr que la même situation se présentera dans l’avenir. il faut résoudre cette question une fois pour toute et seul le référendum est la solution. tout dernièrement les écossais sont aller au référendum le non a gagné,il n’y a pas eu de guerre ; les catalans aussi s’apprêtent à aller au référendum,il n’aura pas non plus de guerre. en conclusion SEUL LE REFERENDUM permet de résoudre définitivement une question.

  • Le 30 septembre 2014 à 12:57, par omar En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Le président du Faso est la première personne à jouer balle à terre pour ne pas mettre le pays à feu et à sang ; mais je ne suis entrain de comprendre que le président tient toujours à son projet et il emportera l’entière responsabilité car le referendum ne passera pas tant que nous serons vivants

  • Le 30 septembre 2014 à 12:58, par guy En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    OUI au referendum,la force appartient au peuple:et le dialogue ne peut aucunement rien changé !
    vive la démocratie
    vive la paix

  • Le 30 septembre 2014 à 12:59, par L’etalon En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Laisser la population aller dans les urnes c’est mieux !!!
    Le dialogue est une perte de temps qui n’apportera pas grandes choses !!
    Donc il faut nécessairement que le président du Faso convoque la société
    civile au dialogue c’est encore mieux !!

  • Le 30 septembre 2014 à 13:20, par BJ En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    si l’opposition admet que la question de l’article 37 est négociable, c’est bien dommage. Je crois qu’il est même préférable d’impliquer le peuple à travers le référendum.

  • Le 30 septembre 2014 à 13:22, par cogito ergo sum En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Le référendum est une question indiscutable puis que le dit projet se trouve dans la constitution du Burkina,son refus n’a point de sens car on ne fait qu’appliquer la loi,on ne peut pas être démocrate et puis être contre le référendum.

  • Le 30 septembre 2014 à 13:36, par yeux ouvert En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Au vue des 05 questions que comporte le document on peut dore et déjà même si je décrit une situation sans trop la connaitre s’attendre a un compromis et pourquoi pas aller au référendum !!!!rien de telle que d’organiser ce référendum en toute transparence et chacun aura la paix.

  • Le 30 septembre 2014 à 13:44, par laloi En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Decidement, ces messieurs n’ont rien appris de la revolution. J’ai vraiment l’impression que tous les enseignements de Thomas Samk, n’est benefiques que la nouvelle generation. Ces gens n’ont aucune dignite, aucun courage et ils ne meritent vraiment pas le nom Burkinabe.

  • Le 30 septembre 2014 à 13:55, par cogito ergo sum En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Le président du Faso pouvait bien passer par autre voix pou organiser le référendum mais s’il a tenu par passer par la voix du peuple c’est qu’il est confiant et veut que tous soit responsable de ce qui pourrait advenir ;raison et argument n’ont jamais manqué pour justifier ce référendum,tout personne qui se dit démocrate ne peut être contre ce projet de loi.

  • Le 30 septembre 2014 à 13:55, par El_monstro En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Comme disent nos amis ivoiriens, c’est du blaguer tuer. Il n’y a pas 5 questions sur la table... La seule et vraie question qui préoccupe Blaise, c’est l’article 37. Les autres questions, c’est du cosmétiques. Juste du divertissement. Le prochain président pourrait revenir sur des questions d’enjeu national

  • Le 30 septembre 2014 à 14:10, par Diao le Dictator En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    si sacun de présidant avais se idee setadir anfid de son mandat qu il fait le REFERENDUM
    on aurais pas le chanjement

  • Le 30 septembre 2014 à 14:20 En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    svp nous ne somme pas en crise comportons nous en de vrai responsable.se qui souhaite la crise se sont les memes qui nous braque hé hé hé burkinabè goussi da wa manè bangin yé
    en plus eux tous la wo ils ont tous a un moment donné géré se burkina faso avec le président.oubien
    sais pas pasceque x a fait sa que y je doit faire otant.
    vous savez que le burkina faso forme une seule famille ;donc donc pensez à nous.
    n’oublier jamais une chose très important de la vie nul n’est éternel. le baobab

  • Le 30 septembre 2014 à 15:53, par xwutre En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Mrci Tapsoba(deH) pr ces précisions ; c reconfortant

  • Le 30 septembre 2014 à 17:24, par Delacroix En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    C’est mieux de laisser les gens aller au referendum pour décider sur
    ces cinq point au lieu de perdre du temps au palais !

  • Le 30 septembre 2014 à 18:27, par cuisse de serpent En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    espérons que nos politiciens trouverons une porte de sortie !sinon nous en avions marre d’être enfermé dans la même chambre !depuis quelques mois ;s’il n’y a toujours pas de clé on forcera la porte afin de soufflez un peu !et cette force c’est le referendum !!!

  • Le 30 septembre 2014 à 18:43, par sabot de poule En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    C’est évident que vous n’allez pas vous entendre !je propose que vous laissez le peuple trancher ce litige national qui nous empoisonne tant le quotidien !au final on pense que c’est mieux que l’on parte au referendum pour que l’on puisse avoir la paix.

  • Le 30 septembre 2014 à 20:08, par Le Dépassionné En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Chers Messieurs, je vous écoute, mais certains croient que tout peut aller du tic au tac. Je pense qu’il va falloir que chacun ait le sang froid pour ce qui est de la suite des pourparlers ainsi que du conducteur de l’agenda. pour ne pas avoir à faire un travail de Sisyphe.

  • Le 30 septembre 2014 à 20:34, par Ka En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Comme je disais dans une presse écrite en 1999, je ne suis contre personne, même pas mon petit frère Blaise Compaoré qui s’entête et qui sait que régner ne peut pas être éternel. J’en veux a tous ceux qui ne pensent pas à l’avenir du Burkina qui passera par la jeunesse comme mon neveu qui m’a donné cet ordi avec intelligence, afin que j’exprime ouvertement. J’en veux tous a ces fonctionnaires responsables pourris qui sont au fond de leurs bureaux avec des maitresses assissent sur leurs genoux et ne savent rien faire de concrets pour le pays que de la triche et du magouille pour leurs proches. J’en veux a tous ces responsables de service qui détournent les concours publiques pour des proches non qualifiés. J’en veux a la corruption a ciel ouvert dont une belle mère se prenne pour un Dieu. J’en veux a l’injustice, j’en veux a l’impunité, j’en veux au régime de Blaise Compaoré détenu depuis 2013 par des égoïstes qui ne pensent pas ce qui est mieux pour le peuple, mais ce qui est mieux pour eux et leur proches. Donnons la chance à l’alternance, pour qu’une nouvelle équipe de bonnes actions concrètes pour l’émergence de notre pays accompagne les jeunes à s’exprimer et de donner un élan magique a notre pays pauvre mais riche de son sous-sol, et très riche socialement et en contact humain. La lettre et l’esprit de l’article 37 qui interdisent tout président de briguer 3 mandats présidentiels consécutifs, et que le conseil des sages à renforcer intelligemment avec la parole donner du président Blaise Compaoré, doivent êtres respecter pour une alternance politique qui est le volant solide de notre jeune démocratie. Mon premier message a tout dit. Avez nous vraiment besoins de ce dialogue dont la constitution avec son article 37 est très claire ? Avons-nous besoins des caprices de quelques personnes qui bloquent tout le consensus national de 16 millions d’habitants ? Dans un pays démocratique comme la France et les Etats Unis ou l‘Allemagne, ces personnes en minorité seront internées de force pour abus de pouvoir. Tout est dit à cause de mon enfant très intelligent qui n’arrive pas à réussir a un concours dans la fonction publique, tout est dit sur la femme de mon voisin qui était obliger de céder sans dignité a un chef de service pour avoir un emploi parce qu’elle est en précarité totale avec sa famille, tout est dit pour les étudiants qui peinent dans les Universités sans des prises en charge adéquate, tout est dit pour un changement qui apporte du vrais changement du 21e siècle dans notre pays, et non un changement de fiction et de corruption. En relisant tous les messages avec quelques internautes étrangers sans les D8D8 les pourris de la corruption, 98% se tournent à ce que j’ai formulé comme vœux. Qu’on m’excuse car je n’ai plus rien à perdre que de lutter pour ce que est mieux pour le Burkina et son peuple que nous aimons tous.

  • Le 30 septembre 2014 à 23:56, par Le Dépassionné En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Le référendum est une prérogative du président du Faso outre les autres voies. Demander le dialogue de sa part est un signe de volonté de rassemblement de tous au delà des divergences et des différences. Je pense que le CFOP devrait suivre un peu la loi pour aboutir au consensus minimal. M Ka, n’est ce pas ?

  • Le 1er octobre 2014 à 00:16, par Le Dépassionné En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Le référendum est une prérogative du président du Faso outre les autres voies. Demander le dialogue de sa part est un signe de volonté de rassemblement de tous au delà des divergences et des différences. Je pense que le CFOP devrait suivre un peu la loi pour aboutir au consensus minimal. M Ka, n’est ce pas ?

  • Le 1er octobre 2014 à 13:06, par ZOUZOU 1er En réponse à : Dialogue politique national : cinq points au centre des négociations

    Je suis inquiet sur l’avenir proche du Burkina. Prenons garde et ressaisissons-nous pendant qu’il est encore temps. Pour que Dieu bénisse le Burkina, il faut que les burkinabè posent des actes louables. Chaque burkinabè est interpellé.