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Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

mercredi 6 août 2014.

 

Le Président du Faso, Blaise Compaoré, a accordé trois interviews à des médias internationaux, le mardi 5 août 2014 à Washington. Il s’agit de TV5, de France24 et de BBC.

Les journalistes des trois médias ont, entre autres, focalisé leurs questions sur la phrase de Barack Obama : « L’Afrique a besoin d’institutions fortes, mais pas d’hommes forts », sur le débat à propos d’un référendum ou pas au Burkina Faso, sur la candidature du président du Faso en 2015, sur la situation au Mali, la situation politique au CDP après le départ de certains démissionnaires, etc.

Avant toute chose, Blaise Compaoré a indiqué que la rencontre entre le Président Américain, Barack Obama et les Chefs d’État Africain, est une opportunité de s’inspirer des bonnes pratiques étasuniennes, afin de booster le développement sur le continent africain.

Répondant à la question portant sur la phrase de Barack Obama, Blaise Compaoré a avancé qu’il comprend la position du président Américain qui s’inspire certainement de l’histoire de son pays, les Etats-Unis, qui ont une vieille histoire de démocratie, mais aussi qui ont traversé une longue histoire tumultueuse de lutte, de remise en cause, avec l’intervention d’hommes forts, à certaines périodes, afin d’arriver à leur version actuelle de démocratie.

Pour le Président du Faso, chaque peuple a son histoire et il « n’y a pas d’expérience unique à partager à travers le monde ». Ainsi, il a laissé entendre qu’il « n’y a pas d’institutions fortes, s’il n’y a pas d’hommes forts pour poser les jalons de ces institutions, dans la durée ». Et de poursuivre : « Je pense que chaque pays doit forger son processus pour tendre vers l’idéal, dans la stabilité ».

A propos de la situation au Mali, avec la médiation qui se poursuit en Algérie, le président Compaoré a laissé entendre : « notre souhait, c’est qu’à Alger, il puisse avoir rapidement des résultats qui tiennent comptent des acquis et préserve la paix dans ce pays ami. Nous pensons qu’en temps de crise, la solution peut venir de partout… »

En ce qui concerne les démissionnaires du CDP, le Président du Faso a fait remarquer qu’il observe les débats en cours dans la classe politique burkinabè avec sérénité, car ainsi est faite une vie politique, en démocratie.

Blaise Compaoré se présentera-t-il en 2015 ? A cette question, le chef de l’Etat burkinabè a signifié que ce qui le préoccupe, pour le moment, c’est de mener à bien son mandat jusqu’à terme, en 2015, pour le bien-être du peuple burkinabè.

La Direction de la Communication de la Présidence du Faso



Vos commentaires

  • Le 6 août 2014 à 13:49, par karatyélé En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Bien parlé mon Prési.

    tu es fait la fierté du Burkina et toute l’Afrique.

    Lancer le référendum vite. on va montrer aux aigris qu’ils ne sont rien.

    • Le 6 août 2014 à 16:14, par avion dans sac En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      très bien parler,vous avez penser qu’il allait avoir des leçons venant de Barack ?même s’il est le président de la première puissance mondiale,n’a pas ce droit

      • Le 6 août 2014 à 17:44, par Kamélé En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

        C’est très dommage que les journalistes de TV5, France24 et BBC aient organisé cet interview avec Blaise sans me concerté. Ces journalistes n’ont pas su réagir au propos de Blaise selon lequel "il n’ y a pas d’institutions fortes sans homme fort". Blaise les a renvoyé à la question de la primauté de l’oeuf ou de la poule. C’est trop dommage, ces journalistes n’ont pas prendre la balle au rebond. Si j’étais parmi ces journalistes j’allais répliquer en disant ceci : « Excellence Mr le président du Faso, depuis le 4 août 1983, vous étiez le 2ème homme fort du Burkina Faso, depuis le 15 octobre 1987 vous êtes le 1er et unique homme fort du Burkina Faso et depuis 1987 votre petit frère est le 2ème homme fort de votre pays. Votre famille est la 1èrefamille forte du Burkina Faso depuis octobre 1987 et votre village est le 1er et plus fort chef lieu de province, de région du Burkina Faso. Mais, jusqu’en 2014 soit 27 ans de règne (donc d’homme fort) votre pays n’a pas encore réussit à avoirdes institution forte comme une armée véritabmement republicaine, comme une justice indépendante, une céni indépendante, etc. Pour peur à la justice de simple dossier comme celui de Norbert Zongo et Thomas sankara n’ont jamais avancé malgré que l’homme fort que vous êtes depuis 1987 soit le 1er magistrat du pays. Dites nous ne pensez vous pas qu’en 27 ans de règne (donc d’homme fort-ya) si vous n’avez pas reussit à avoir des institutions a la hauteur des crimes perpétrées au pays, ne pensez-vous pas qu’il faut laisser la place à un autre homme fort en novembre 2015 ? Voici la question qui a manqué. Ensuite quelle que soit sa réponse, il fallait lui demander de citer les critères d’un homme fort et lui demander s’il répond à ces critères. S’il dit non, après 27ans de regne, il doit quitter. S’il dit oui,, alors on lui demander pourquoi malgré sa force, les dossiers facile comme Norbert Zongo, Thomas Sankara et le juge Nébié n’avance pas ?

        • Le 7 août 2014 à 05:17, par Ghost En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

          Burkinabé, jaloux, ingrat et hypocrite. Toi tu es qui pour qu’on te consulte avant un interview du président du Burkina Faso ? Tu te surestime trop. Qu’il soit numéro 1 depuis la naissance de Jésus-Christ ou depuis la mort de Mohamed, le problème est où ? Il faudra utiliser ce que tu penses posséder comme intelligence pour convaincre tes proches à ne pas voté le CDP sinon on se connaît tous dans ce pays la. Quand vous avez faim vous vous laissez guidé par les diables qui dorment en vous. Aigris sociaux voilà ce que vous êtes.

        • Le 7 août 2014 à 08:06, par l’enragé En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

          Merci mon frère. très bien vu. c’est comme si tu étais dans mes pensées. Je crois aussi que c’est la honte du Burkina qu’il est allé étaler là-bas, puisqu’on dira qu’il est à l’image de son peuple. voyez par vous même cette aberration : depuis 27 ans au pouvoir toi tu ne savais pas qu’il fallait des institutions fortes au Burkina Faso ? Je tire la conclusion que ton règne de 27 ans n’est qu’échec et honte ! qu’est ce qui te surprend dans tout ça la ? Et grave encore, je ne sais pas ce qu’il entend par "homme fort". Si le peuple ne l’est pas pour lui, lui l’est encore moins ça au moins c’est clair. Et si aussi sa compréhension d’homme fort consiste pour lui à tout mettre en œuvre pour s’éterniser au pouvoir, nous on l’attend en 2015. A bon entendeur salut !

        • Le 7 août 2014 à 09:00, par tapis rouge En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

          Mon cher Kambele tu es vraiment dans le décor,c’est pourquoi tu peut même pas être a la place de ces journalistes,il y’a rien qu’on puisse lui reprocher et c’est pourquoi il est serein et le sera toujours.

        • Le 7 août 2014 à 17:07, par goamtenga de sapone En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

          Dans le même sens :

          « L’Afrique a besoin d’institutions fortes, mais pas d’hommes forts » dixit OBAMA. Président des USA , puissance mondiale et premier fournisseur d’aides par ses institutions fortes !

          « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts », dixit COMPAORE Blaise, président du Burkina Faso, dernier mondial et premier demandeur d’aides par ses hommes forts !

        • Le 7 août 2014 à 22:35, par horty_saw@yahoo.ca En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

          Nooon Kamélé !!!, vous avez tout à fait raison, moi même j’aurai souhaité que vous soyez parmi ces intervieweurs qui n’ont pas creusé dans les réponses de SEM Blaise Compaoré...
          Honnêtement, il faut qu’il songe à la paix de notre pays et cédé la place à une autre personne. L’alternance n’a jamais fait du mal à personne, au contraire... Son excellence, prenez votre retraite par la grande porte et laisser un autre homme fort exprimer ses talents...!
          Une citoyenne qui tout comme les autres burkinabés veulent voir le "Pays des Hommes Intègres en paix" !
          J’ai signé Baark_Bigaa

        • Le 8 août 2014 à 13:33, par FutureBurkina En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

          Merci pour toutes tes pertinentes questions. En fait, c’est des responses connes d’un dictateur aveuglé que par son pouvoir, près à tout pour le maintenir. Et ce genre de reponses ne valent pas la peine de s’y attarder. C’est peut etre pour ça qu’ils n’ont pas accueilli la balle au rebond. Mais j’aime bien tes questions. Merci !

      • Le 6 août 2014 à 20:59, par ABDOUL NAS1er En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

        UN HOMME FORT N’A PAS BESOIN DE L’AIDE DES AMERICAIN.

      • Le 7 août 2014 à 14:46, par Manu En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

        il n’y a pas d’institution forte sans homme éclairé et rationnel. Vous n’avez rien compris. Ceux qui nous devancer dans la démocratie on la sagesse de nous apprendre à travers leur expérience. L’homme fort dont il s’agit (au sens de Blaise) viendra de la société civile ou de l’opposition. Car, si FORT soit-il, Blase n’a pas encore pu poser les jalons d’institutions fortes au Burkina EN 28 ANS DE règne. Il apparaît clair que celui que l’ont attend n’est DONC pas lui Blaise. Mais QUELQU’UN QUI PENSERA AU PEUPLES et osera risquer le SACRIFICE.

    • Le 6 août 2014 à 17:04, par Le peuple en mouvement En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Ce sont les institutions qui font les hommes et non le contraire. Si les institutions sont fortes, tout le monde devient fort. Or, la réciproque est loin d’être vrai et bien souvent les hommes forts conduisent leur peuple dans les excès, la tyranie, la guerre. Mouboutou n’était-il pas un homme fort ? Hitler aussi ?

    • Le 6 août 2014 à 17:40, par L’Autre Africain En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Je respecte Blaise quant il ne parle pas.Parce que quant il parle, il ne tarde pas à prendre le décor.

    • Le 6 août 2014 à 18:20, par ENERIQUE En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      « Je pense que chaque pays doit forger son processus pour tendre vers l’idéal, dans la stabilité » dixit Blaise Compaoré !j’ajoute que chaque peuple a son histoire,voyez vous qu’il assez de pays développé,pensez vous qu’ils qu’ils ont eu recours au même processus ?chaque peuple crée son histoire.le Burkina est purement différent des Usa !bien parle Mr le président

    • Le 6 août 2014 à 19:28, par Tingré En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Très bonne réaction de notre président face a cette presse,
      il faut des fort comme le président Blaise pour bâtir de institutions
      fortes.Du courage mon président dans la mise en œuvre de votre
      programme pour le bien de la population burkinabé.

    • Le 6 août 2014 à 19:32, par Depuis Berlin En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Quand on "joue" dans une certaine catégorie, on ne défie pas un père de famille(l’oncle Sam), devant sa famille(peuple américain) dans sa cour(USA). Le manque de subtilité casse très souvent la calebasse d’eau ou brise le miroir.

      Un conseiller qui ne joue plus son rôle, au sein du palais, devient un véritable acteur de théatre qui attend impatiemment la fin de la pièce.

      A bon entendeur...

    • Le 6 août 2014 à 20:19, par Moussa En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Les institutions fortes sont installlees par une justice forte et independante... Pas par des homes forts. Dans quel siècle vit ce Monsieur ?

    • Le 6 août 2014 à 20:32 En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Le problème mon cher président, c’est que les hommes forts ne sont reconnus qu’à leur mort « extrême » ou par les autres. Bref, ce sont toutes ces personnes que nous appelons « visionnaires ». En êtes-vous un ???? Probablement !!!! Mais pour le moment, nous n’en savons rien et voudrions que vous permettiez au peuple Burkinabê que nous sommes de le découvrir quand vous serez partiiiiiii.
      Bye BLAISE

    • Le 6 août 2014 à 20:40, par la honte de la famille En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      A voire les commentaires le nommé vérité no1 semble être malade ou a t’il rompu son contrat avec le MPP !

    • Le 6 août 2014 à 20:48, par kouassi bio va En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      IL faut que les Africains comprennent que nous sommes un continent souverain et condamné a devenir un pays développé !ce faisant nous devrions soutenir nos président,bien sûre quant ils agissent légalement !en ce qui concerne notre voisin le BF,je pense bien que Blaise est dans la ligne de mire,c’est pour dire qu’il peut modifier l’article 37 car votre constitution le permet:je vous souhaite une bonne sortie de crise froide,n’écarter point la vérité.le referendum est votre salut !

    • Le 7 août 2014 à 02:30, par TAMPIN En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Ainsi donc, Blaise estime que les institutions fortes ont besoin d’hommes fort pour vivre. Comme il le dit, prenons-le au mot. Il est le seul homme fort au Burkina, c’est pourquoi la Présidence (une des institutions du Faso) est très forte. Outre donc lui, qui va diriger le SENAT et l’Assemblée nationale ? Ne me dites pas que Soungalo est fort, sinon Blaise l’aurait imposé au CDP. Conséquence, supprimons ces deux institutions.
      Le pouvoir judiciaire est-il fort, non selon Blaise, puisqu’il ne le dirige pas (étant en rappel le seul homme fort).
      C’est quoi un homme fort ? Est-ce celui qui estime avoir le pouvoir de faire souffrir des millions d’être comme Hitler, ou est-ce celui, plein de sagesse et de bon sens qui conseil, aime son peuple et se sacrifie pour lui comme Mandela, NKrumah et Sankara. Quand l’homme fort quittera l’institution qu’elle a rendue forte, que fait-on ?
      La vie humaine a toujours une fin. Et le ba-ba d’un simple manuel dit que l’homme passe, mais les institutions restent. Alors rendons les institutions fortes par des textes justes. Obama a donc raison.

    • Le 7 août 2014 à 08:45, par Le consultant En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      A lire à travers cet homme fort du Faso, Chaque pays doit lutter pour arriver à son idéal comme les américains et les pays de l’Europe ont fais pour accéder à la démocratie.
      Ils ont lutté, bravé les armes, tué, les différentes révolutions, le sang a coulé pour arriver là.

      Par contre le Prési a oublié que nous sommes au 21e donc le Faso n’a pas besoin de voir le sang pour atteindre son but.

    • Le 7 août 2014 à 09:27, par Titi En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Nelson Mandela fut un homme fort, ses 27 ans de prison valurent mieux que les 27 ans de pouvoir patrimonial de ton dieu président. Y en a marre la.

    • Le 7 août 2014 à 10:41, par sogoda En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Bravo à toi : un référendum contre les aigris........, c’est pas enfantin ça ???????????????????

    • Le 7 août 2014 à 14:04, par lyelbi En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      A propos de la notion d’homme fort !
      Obama est une homme puissant et fort ! Certainement parce qu’il est président des USA. Koffi Anan a été et est un homme fort à cause de l’ONU. Ce n’est ni Obama, ni Anan qui fait les USA ou l’ONU.
      Quand on dit d’un président d’un pays classé en tête des pays tendant vers le développement zéro qu’il est fort, en fait ça signifie qu’il est dictateur. Dans le genre Idi Amin Dada, Bokassa, etc.
      Un homme fort à la tête de l’Association des "vaut-rien" du quartier signifie quoi ?

      Et moi ! Si aujourd’hui, on me nomme à la tête de l’OMC, je deviens de fait un homme fort parce que l’OMC est une institution forte !

      A défaut d’être un homme fort, j’espère avoir été assez bon avec ma petite démonstration.

    • Le 7 août 2014 à 15:01, par Konaté En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Mais bien sûr qu’il faut des hommes forts pour des institutions fortes. C’est Blaise est fort comme il le prétend, il ne se serait pas de soucis pour son héritage. Après plus de 25 ans de règne, il aurait tout préparé, même sa succession. Un élève ne peut pas prétendre à plus de 5 ans de scolarité au lycée pour passer au bac avec la mention bien. De toutes les façons, il ne faut pas se leurrer, Blaise ne pourra pas, même s’il met en place le syndicat des présidents partants avec Faure, Sassoun et autres, résister face à ceux à qui il quémande. Ses propos me rappellent ceux prononcés par habré du Tchad devant François Mitterrand lors du sommet de la francophonie tenue en 1990 à Baule. En effet, Habré pour répondre à la mise en garde de Mitterrand sur l’instauration de la démocratie pluraliste en Afrique, dira ceci : "les africains ne sont pas suffisamment mûrs pour l’exercice de la démocratie..." Il a été appuyé en cela par le président malien Moussa Traoré. La suite, on la connaît. D’aucuns me diront que Blaise n’est pas Hébré et Moussa Traoré. Cependant, ils doivent aussi savoir que Blaise n’est peut - être pas Habré et Moussa Traoré pour pouvoir résister. Par ailleurs, l’attitude de Blaise est en premier lieu une insulte aux cadres de son parti. Il se comporte comme si au sein même de son parti, il n’y a pas de cadres capables de poursuivre ses œuvres. Alors où sont passés les milliards injectés dans la formation et le renforcement de ces cadres ? Blaise fait comme si après lui se sera le déluge. Ceci démontre que de ses ans de règne, il ne faut retenir qu’échec, car la constitution lui recommande d’œuvrer pour la cohésion nationale. Aussi, il montre par là que seul étant président de la république il est capable de faire quelque chose pour la paix et le progrès de son pays. Je me demande pourquoi insiste t il tant ? Hé ! mes frères, la vérité, ce n’est pas Blaise a peur de l’effritement du Burkina qu’il quittera le pouvoir, mais plutôt il a peur pour lui même.

      • Le 7 août 2014 à 17:19, par NAZANGA En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

        Bien dit Konaté, ce n’est point le fait de mourir qui peut faire pleurer un père de famille, mais plutôt le désordre qu’il laissera après sa mort. Cela dit, j’abonde dans le même sens que beaucoup de mes prédécesseurs en affirmant ceci : Notre cher président a peur du sort qui sera réservé à lui-même et à sa famille. Je reste persuadé que ce sort serait moins grave s’il partait en toute tranquillité sans faire trop de bruit.
        je demande par ailleurs à nos frères des pays voisins de se garder de tout commentaire inconstructible. Nous sommes assez murs pour distinguer le faux du vrai.
        Avec tout le respect que je dois à ce président (Blaise C.), qu’on me permette de lui apprendre que ce sont les institutions fortes qui font des hommes forts. Autrement, ça sonnerait la monarchie et l’on serait au moyen âge.

    • Le 7 août 2014 à 16:24, par Noyesman En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Quand je pense que les internautes con-vaincus du CPD/FEDAPBC comme Karatyélé se sont rués sur Djafar Hema le prêcheur musulman lorsqu’il a dit si Blaise est un vrai professeur, il doit trouver son remplaçant parmi ses élèves. Maintenant la preuve est établie à travers sa nouvelle interview que celui-ci n’est ni un vrai professeur, ni un bon élève de la démocratie qu’il pense conduire à la lumière de la réalité burkinabé. Par hommes forts, Obama fait allusion aux dictateurs ou dirigeants despotes, Blaise a-t-il la même définition du concept ? Si oui, alors il y’a un problème de communication. Il y’a 27 ans, les services de renseignements français et américains au nom du capitalisme et de la démocratie ont offert le pouvoir à Blaise sur un plateau d’or au Burkina Faso. Aujourd’hui, le capitaine qui a troqué la tenue treillis contre les beaux costards n’entend pas recevoir des leçons de l’un de ses anciens alliés. Le seul aspect qui m’a plu dans cette interview, c’est que Blaise en tant que Chef d’Etat assume la responsabilité de tout ce qui va survenir. Monsieur le Président Puisse la sagesse guider vos décisions afin que vous évitiez le pire à notre chère patrie d’ici à novembre 2015.

    • Le 7 août 2014 à 18:39, par Ne sais plus quoi dire En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Des femmes et des hommes, citoyennes et citoyens bâtissent des Nations et des institutions très fortes. Ceux d’entre eux qui accèdent à la tête de ces institutions sont de fait des femmes fortes et des hommes forts. Il est clair qu’Obama ne serait pas l’homme fort capable de convoquer une cinquantaine de chefs d’états à qui il prévient qu’il ne pourra pas leur accorder des entretiens individuels et tous y courent. Si Obama devenait président d’un de ces pays classé après le 170eme suivant l’indice de développement, on ne parlera plus de sa force.
      Dans nos pays qui se disputent les dernières places en matière de développement et candidats permanents à l’aide au développement, un homme fort est généralement un dictateur à l’image de Idi Amin Dada, Bokassa, Mobutu, Eyadema, et j’en passe.
      A propos de l’expérience africaine et plus singulièrement du Burkina Faso : c’est une expérience de Pays Pauvre Très Endété, mendiant, luttant pour apprendre à ses habitants à parler et écrire français. Des hommes jadis intègres ou voulant l’être et qui désormais sont résolument décidés à devenir des moutons et des prostitués. Des individus qui chanteraient volontiers chaque matin des prières à Blaise pour qu’il demeure au pouvoir ! Sans leur homme fort, ils ne sont rien et ne seront rien. Certains ont confessé qu’ils seraient prêts à mourir pour lui. Mensonge et hypocrisie. Comme les prostitués qui feignent de jouir à grands cris pour mieux mériter les pièces que le client leur donnera. Je sais qu’une bonne partie des adeptes du Dieu Blaise Compaoré ont oublié Dieu. Ont-ils aussi oublié qu’ils ont des enfants ou en auront.

    • Le 7 août 2014 à 19:51, par KALIL En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Très bonne réponse mon président,le président du Faso
      démontre vraiment sa grandeur.Nous sommes fière de vous
      Mr le président,pour toutes ces raisons nous somme prêt a
      soutenir votre candidature pour les présidentielles de 2015.
      Le referendum est vraiment nécessaire pour nous les burkinabés
      conscient qui reconnaissons vos mérites.

    • Le 7 août 2014 à 20:29, par KASSA En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Le pays a besoin d’un homme fort comme Blaise compaoré
      pour évoluer,c’est la belle réponse qu’il fallait a Obama pour
      qu’il sache que les africains son souverain et peuvent proposer
      aussi une méthode pour rendre nos institution fortes.
      Vas y mon président le palais est encore pour toi en 2015.
      Les jaloux vont maigrir

    • Le 8 août 2014 à 08:15, par jeune Guinneen En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Je suis d’accord de sa réponse,cette bravoure de la part du
      président burkinabé est a saluer et son intelligence dans vision
      pour notre continent.Mr le président du Faso est vraiment un grand homme
      et il peut faire beaucoup pour le continent.Je joint ma voix au burkinabé
      pour soutenir son projet de referendum.Merci pour ses efforts de paix en Afrique.

    • Le 8 août 2014 à 09:21, par Le peuple en mouvement En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Moi j’ai honte de savoir que la direction de la communication de la présidence ait publié de telles bassesses d’un Chef d’Etat. C’est comme si on nous montrait sa nudité. Ça fait pitié, la morale a foutu le camp présidentiel !

  • Le 6 août 2014 à 14:02, par pasiskolo En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    le president du Faso trouve toujours des tournures pour justifier les actions negatives qu’il compte entreprendre. le peuple ne se presse pas.

  • Le 6 août 2014 à 14:12, par Titi En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Les prédateurs de présidents africains désirent au prix de leur longévité. La racine est vitale à l arbre mais reste cachée dans le sous sol. Ils ne sont point des grands hommes sinon des usurpateurs. Ce qu ils n’ont pas réussi en 30 ans de règne absolu dans le népotisme clanique acerbe un grand homme le réussira en peu de temps. Ils ont préféré batir des fortunes avec les richesses de leurs pauvres citoyens. Les assoiffés de pouvoir n ont pas besoin de fortifier les institutions ils renforcent leurs pouvoirs en mettant sur pied des structures mafieuses . C est le systeme de vautours. Les grands hommes a l image de Thomas Sankara, patrice Lumumba Kwami Nkurma sont partis mais l histoire les rendent immortels à jamais

  • Le 6 août 2014 à 14:13, par L’Etalon Enragé En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Mais justement ! Ce sont les institutions fortes qui rendent l’homme fort, Mr le Président du Faso. Un président n’est pas au-dessus des institutions comme l’a fait savoir un jour un apprenti homme politique du Faso.

  • Le 6 août 2014 à 14:21, par Gengnien En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Il ne va pas changer le Blaiso. Toujours à louvoyer comme cela est de coutume. Les hommes qui se sont dit forts (Houphouet, Moboutou et autres Empereur de centrafrique), qu’ont il laissé comme etat avant de partir : misère et guerre. A bon entendeur salu

  • Le 6 août 2014 à 14:22, par Méline En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Parfaitement d’accord avec le Président. C’est à force de vouloir imposer leur démocratie qu’ils ont foutue la libye, l’afghanistan et autres pays dans la merde et l’insécurité légendaire

  • Le 6 août 2014 à 14:25, par tenga kossa mè En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Il n’a qu’à bien parler dèh parce qu’apparemment ses courtisans comprendront autre chose que ce qu’il a voulu dire avec ses "paraboles"

  • Le 6 août 2014 à 14:38, par Serenité En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Donc Blaise se dit lui-meme "fort" hein ! Un homme fort ne fuit pas en pleine nuit a Ziniaré parceque des militaires tirent a coté de chez lui. Et depuis 27 ans il n’a pas encore posé les jalons de ces institutions dans la durée et demande encore des années supplementaires ? Dans toute l’histoire des Etats Unis, quel Presdient a fait plus de deux decennies au pouvoir pour instaurer ces institutions fortes qui font de ce pays un exemple de democratie ? C’est comme ça quand on n’a pas poussé loin les etudes. Un President niveau BAC qui veut repondre a un President diplomé de Havard. Barack Obama peut être ton Prof, monsieur Docteur Honori Causa qui n’a jamais ecrit une simple dissertation. Blaise ne fait que repeter ce que ses conseillers griots lui disent de dire. Lui-meme il ne comprend pas grand chose dans cette salade et 2015 le surprendra. Ce qui est sûr, nous gardons notre serenité.

  • Le 6 août 2014 à 14:38, par Lahilaaa En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Pour savoir répondre, il sait répondre. Habile le blaiso.

  • Le 6 août 2014 à 14:40, par vérité no1 En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    On n’a pas besoin d’hommes forts pour nos États pauvres, les hommes forts restent dans l’armée.

  • Le 6 août 2014 à 14:41, par LA S0lUTION En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Et comme toujours notre président en
    grande star sur les médias internationaux et il est chaque fois prêt a occulter les vraie réalité du pays. J’espère qu’il aura ce courage un jour de vivre la dur réalité en
    face. Demain n’est pas loin Incha’Allah.

  • Le 6 août 2014 à 14:41, par Nisaala En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Mr le DC, que ca soit a Wasington,Paris,Ouagadougou ou que ca soit sur RFI,France 24, Jeune Afrique ou sur Salankoloto, le Presi finira par lacher la fameuse phrase que tout le peuple attend :"on ira au referendum ou on n’ira pas au referendum".comme disent les dioula"lo kadjan, a sebalitè"(quelque soit la durée de la nuit, le jour apparaitra).

  • Le 6 août 2014 à 14:47 En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    La réponse de Monsieur le président ne diffère pas de celui du président Barack Obama car c’est les hommes forts qui permettent d’assoir des institutions fortes. Dans le cas du Burkina, Blaise a permis d’assoir des institutions fortes donc le Burkina peut poursuivre son développement sans problème. Même sans le FMI ou la Banque Mondial les Burkinabè pourront poursuivre ses nobles oeuvres.

  • Le 6 août 2014 à 14:52, par Lechlarstin72 En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Blaise joue au dure à cuire et veux faire comprendre à Obama qu’il ne peut rien changer à son envie de rester au pouvoir. Je penses que l’opposion devrait prendre cela comme une déclaration sur la mise en place du cenat et l’annonce de la modification de l’article 37. je vous paries que dès son retourd des USA il annoncera des dates.

  • Le 6 août 2014 à 14:53, par Spartacus du Burkina En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    C’est décevant,la conception que le PF a de la situation au pays,que ceux qui rêvent qu’il décevra le CDP se réveille.
    Pour être honnête,tu ne peux pas rétorquer aux Américains en te référant a leur situation des années 1800,nous somme en 2014 soit 200 ans après.Les Burkinabe te demande juste le respect de la constitution pour poser "une base solide de démocratie,de bonne gouvernance et surtout une bonne image du pays".
    Si nous raisonnons "en Africains"comme vous le dite,nous avons en mémoire tout ces troubles dans bon nombre de pays africains qui on été créées par des président comme vous qui voulaient se maintenir au pouvoir.Les Américains ne veulent que nous aider a éviter des problèmes,sinon qu’il est des problemes au faso ou pas,ça ne les empêchent en rien dans leur avancée,mais c’est quand on veut étaler ses desirs monarchiques qu’on les renies et les rejette en bloc.Tous les troubles sociaux politiques en Afrique on rarement bénéficier de mesures préventives,la plupart il faut que les gens commence a se rentrer dedans avant de voir des forces de maintien de la paix se pointer ;nous ne voulons pas de cela au Faso,c’est pourquoi nous accueillons la positions des Américains avec faveur. Je pense Mr le PF que tes 28 ans de règne ne se solderont pas par une humiliation de ta personne parce que tu aura choisit la "petite porte" en voulant protéger tes poulains.Dieu garde le Faso et nous évite des troubles-Cordialement

  • Le 6 août 2014 à 14:55, par YIRMOAGA En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    EXC, pas de souci, votre mandat ira jusqu’à terme dans de bonnes conditions. Du reste on est inquiet quant à l’issu de 2015, votre ambition pour la suite, vu que vos supporteurs exigent de vous un forcing pour une éventuelle modification qui risque de conduire le pays dans une crise ? Vous n’aviez pas un élève qui puisse conduire vos œuvres comme le prétend le l’Imam DJAFAR ? Un digne EX prési est encore mieux que le pays soit dans une situation......sous un mandat forcé ?

  • Le 6 août 2014 à 14:55, par Idrissa En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Tout est clair maintenant !

  • Le 6 août 2014 à 14:56, par Omer En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Les hommes forts sont ceux qui respectent la loi afin de faire granir les institutions et les faibles sont ceux qui les modifie à volonté afin de rester à vie au pouvoir.

  • Le 6 août 2014 à 14:58, par socrate En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    C’est au temps ou vivaient les êtres préhistoriques tel l’homme du Neandertal.

  • Le 6 août 2014 à 15:00, par faso man En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Pensez vous q’un idiot peut gouverner un pays plus de 27 ans ?
    Blaise Compaore serait toujour president parce que les vrais fils burkinaber te soutiendront jusqu’a ton dernier jour .

    • Le 6 août 2014 à 16:59, par ZHAM En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Mon frère ce n’est pas palabre ! C’est grâce à Maurice YAMEOGO (PAIX à son âme) que le BURKINA (EX-HAUTE VOLTA) est indépendant aujourd’hui mais lui était parti sans problèmes pour éviter une effusion de sang parce qu’il aimait beaucoup son peuple et en général son pays. On est tous d’accord que Blaise COMPAORE a travaillé dans ce pays. C’est sous son règne que nous avons eu des échangeurs, des stades, des augmentations de salaire même si elles sont insignifiant pour bon nombre de fonctionnaires...donc nous lui sommes très reconnaissant pour cela. Mais tout n’est pas rose sous son pouvoir particulièrement la gestion des communes par ses "pillons" dits maires qui ne font que créer la zizanie autour des lotissements et des parcelles qu’ils vendent à leurs démarcheurs pour se remplir les poches. Les pauvres n’ont pas droit à la justice : quand tu ne peux pas payer un avocat pour de défendre auprès du TGI, tu n’obtiendras jamais satisfaction... Et puis notre pays s’enfonce de plus en plus dans la corruption car de nos jours avec rien, tu n’auras rien. On n’est fatigué de tout ça et 28 ans au pouvoir sont déjà suffisant pour lui. Le pays compte beaucoup d’intellectuels et d’hommes politiques pouvant naviguer le bateau BURKINA a bon port. Merci.

  • Le 6 août 2014 à 15:01 En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Texte sans intérêt !

    C’est vrai qu’il faut justifier de votre séjour la-bas ! trop dur votre métier ! Que Dieu vous aide !

  • Le 6 août 2014 à 15:02, par façondevoir En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Restez là à bondir sur les bouts d’entretien pour tromper la vigilance de la jeunesse. Nous attendons de pied ferme celui qui maintiendra Blaise après 2015. J’ai chaque fois envie de vomir quand je lis ou écoute ces griots. Votre Blaise même s’il est bon comment s’il n’est pas capable de respecter sa parole, de penser aux autres et non à lui seul et son entourage c’est qu’il est foncièrement mauvais.
    En 2015 quelque soit la personne qui va être président en dehors de Blaise même si c’est pour un mois, cela fera sérieux.

  • Le 6 août 2014 à 15:04, par Yakoub En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Voici la réalité, pas d’instititions fortes sans hommes forts, et c’est vraie vraie, USA a feté son 287 eme anniversaire d’independance le 4 juillet passé, il faut toutes l’afrique comprenne que... pas forcement l’alternace qui va la devéloppé et la faut aussi des hommes forts. Merci M. le PRESIDENT ! J’attendais votre reponse à Obama et à Kerry !

    Vous l’avez fait et c’est acceptable comme reponse, et c’est la vraie aussi

    Many Thanks

  • Le 6 août 2014 à 15:04, par john En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    "n’y a pas d’institutions fortes, s’il n’y a pas d’hommes forts pour poser les jalons de ces institutions, dans la durée" Bien dit mon prési ! Que Obama aille au diable ! Blaise est fort est il sera là pour une institution forte ! Obama c’est qui ?

  • Le 6 août 2014 à 15:05, par bihaanga En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    monsieur le president pourquoi tourner autour du pot ?nous sommes a 16 mois de novemebre 2015 pourquoi ne pas donner ta position des maintenant pour guider ton peuple que tu aime tant ?

  • Le 6 août 2014 à 15:07 En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    ’’il n’y a pas d’institutions fortes, s’il n’y a pas d’hommes forts...’’. Héééé Allah. Ce que les vas-nu-pieds de radio "mille colines" chantent à longueur de journées là, Blaise aussi va répéter la même chose à Washington. J’ai honte pour lui car ne sait il pas que homme fort égal dictateur ? Yaako !

  • Le 6 août 2014 à 15:11, par ALTERNANCE En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Excellence, cher Président, vos conseillers ont failli ! La mise en place d’institutions fortes auraient-elles besoin d’un homme fort ou d’hommes forts ? Beaucoup de gens penseront que ce sont plutôt des hommes forts que ces institutions ont besoin.

    Si vous prétendez qu’aujourd’hui vous êtes le seul homme fort du Burkina Faso, vous reconnaissez vous-même que pendant plus de 25 ans vous aviez travaillé à rendre tous les autres burkinabé faibles afin de rester au trône. Sinon, nul besoin de plus de 25 ans pour constituer une masse critique d’hommes forts pour le bien de votre pays. Et s’il se trouve que c’est vous le seul homme fort, considérer que vous soyez demain incapable de diriger, alors le Burkina disparaîtrait ?! Non, ce pays a beaucoup d’hommes forts, plus jeune, plus intelligent, connaissant les réalités du pays et plus juste que vous et votre clan. Alors faites bien l’auto-critique de vos déclarations avant de les publier

  • Le 6 août 2014 à 15:21, par Indjaba En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Parce que les USA ont tâtonné avec la démocratie pendant 200 ans avant de trouver la meilleure formule en démocratie, il faut QUE le Burkina aussi tâtonne pendant 200 ans alors qu’il peut utilisé la formule qui a fait et qui fait ses preuves aux USA. Parce que des Burkinabè partaient à pieds à la Mecque et que le Burkinabè n’a pas encore découvert son propre avion, il faut les Burkinabè d’aujourd’hui continuent d’aller à la Mecque à pied. Si on par de ce principe, le Burkina ne doit pas utilisé le fruit d’aucune recherche qui ne vienne pas de ses chercheurs. Par conséquent les Burkinabè ne doivent plus prendre l’avion ou la voiture car ils ont leur réalité à part. Il a fallu plus de 200 ans aux américains et occidentaux pour créer la voiture et l’avion. Chers Burkinabè, n’utiliser plus médicaments américains, les cellulaires, les ordinateurs etc. Tâtonnons pour trouver des outils adaptés à nos réalité car il a fallu des décennies aux autres pour découvrir ces objets qui consistaient au début à répondre aux besoins de leurs population. Quand même ! il y’a quoi à la présidence même pour que les chefs d’Etat africains en soient si obsédés ?

    • Le 6 août 2014 à 15:47, par article 37 En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Alors, quelle réponse pour sa mandature ? L’homme du 15 octobre qui rêvait d’un avenir radieux pour le pays n’est pour courageux. Il ne sait pas s’il va demander la modification de la constitution. Il a eu 28 avec deux mandat de de 7 ans, 2 mandat de 5 ans et quatre années de mandat d’exception.

      Nous l’attendons à Ouagadougou.

    • Le 6 août 2014 à 16:24, par Souké En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Dites-nous bonnes gens ! De quelle force doit disposer un homme pour rendre une institution forte ? Personnellement je pense que c’est juste une question de gouvernance, de volonté politique. Prenons le cas de notre justice. Comment un juge peut-il être fort et rendre un bon jugement s’il n’est pas indépendant ? En acceptant même que ce sont des hommes forts qui font les institutions ; ça veut dire que pendant 27 ans de pouvoir le président COMPAORE n’a pas encore trouver d’homme fort pour nos institutions comme la justice (corrompue jusqu’à la moelle), le conseil constitutionnel et j’en passe ? Il est en manque d’argument pour justifier la forfaiture qui se profile à l’horizon. On parle de paix alors que pour des intérêts égoïstes on est prêt à mettre le pays à feu et à sang. Soyez un bon visionnaire et non un simple politique.

    • Le 6 août 2014 à 18:06, par Komkapel En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Très bien répondu, mon frère. C’est un excellent raisonnement par l’absurde. Les Africains veulent toujours une chose et son contraire, c’est ce qui fait qu’ils seront toujours les derniers. Prompts à utiliser sans retenue les technologies créées par le génie des occidentaux (voitures de luxe, châteaux de luxe, costumes de luxe, etc.), mais refusant catégoriquement de faire les efforts que ceux-ci ont faits pour arriver à ce niveau : très triste ! "Pas d’institutions fortes sans hommes forts" ??? quelle ineptie !

    • Le 6 août 2014 à 18:19, par Komkapel En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Très bien répondu, mon frère Indjaba. C’est un excellent raisonnement par l’absurde. Les Africains veulent toujours une chose et son contraire, c’est ce qui fait qu’ils seront toujours les derniers. Prompts à utiliser sans retenue les technologies créées par le génie des occidentaux (voitures de luxe, châteaux de luxe, costumes de luxe, etc.), mais refusant catégoriquement de faire les efforts que ceux-ci ont faits pour arriver à ce niveau : très triste ! "Pas d’institutions fortes sans hommes forts" ??? quelle ineptie !

  • Le 6 août 2014 à 15:43, par ousmane En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Bien dit :"il n’y a pas d’institutions fortes, s’il n’y a pas d’hommes forts pour poser les jalons de ces institutions, dans la durée ". Mais qui est l’"homme fort" ? Evidemment pas celui qui n’arrive pas à se départir de son intérêt personnel. L’homme fort est celui arrive à transcender les penchants de son être humain (égoïsme) pour rechercher l’intérêt général. En exemple, Jésus a accepté mourir sur la croix pour ouvrir la voie à la délivrance de "l’humanité".
    S’il faut parler d’homme fort à l’échelle du Burkina Faso, j’évoquerais le Président Maurice YAMEOGO (qui a quitté le pouvoir pour éviter le bain de sang), le Président Sangoulé LAMIZANA (qui a géré les finances publics du pays comme des deniers ne lui appartenant pas) et le Président Thomas SANKARA (qui a toujours défendu la liberté et l’indépendance vraies du pays des hommes intègres au prix de sa propre vie).
    A mon avis, c’est ça être homme fort.
    Il n’est pas tard pour certains de limiter les dégâts. Que voulez vous que l’histoire retienne de vous ?

  • Le 6 août 2014 à 15:46, par guimbo En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    bien dit le blaiso faut pas que barack croit que s’il était président au burkina il s’en sortirait comme au usa. faut débat, institutions fortes il faut quelqu’un pour posé les jalons si non au burkina ce serait le front populaire jusqu’a nos jour. alors cette opposition qui refuse la voie des urnes n’avait méme pas de tribune pour parler d’alternance par la rue. je pense que notre président est un grand il dit sa vision de la democratie méme en terre usa. c’est ca le courage africain chaque fois des lecons de l’occident, nous en avons mare. blaise tu fais la fiérté de ton pays merci beaucoup.

  • Le 6 août 2014 à 15:50, par ouedassi En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    L’Allemagne sous Hitler avait des institutions fortes, Hitler est un Homme, est il un HOMME FORT ? Burkina Faso sous la Révolution avait des Institutions démocratiques et populaires fortes, Sankara est un HOMME FORT, pourquoi régler les contradictions internes du CNR avec des fusils ? Les Institutions en Libye sous Kadaffi fonctionnaient, est-ce pour autant que Kadafi n’est pas un homme fort ? Les Instituions en Afrique du Sud sont fortes, Mandela est un HOMME TROP TROP FORT, Mandela a fait un mandat de cinq ans. POUR AVOIR DES ARGUMENTS CONTRE LA DÉMOCRATIE IL SUFFIT D’AVOIR CINQ MINUTES D’INTERVIEWS AVEC BLAISE OU QUELQU’UN DU CDP. L’ALTERNANCE N’EST PAS A NÉGOCIER DANS UNE DÉMOCRATIE. DEPUIS 1991, L’IDÉE DE MOURIR AU POUVOIR N’A JAMAIS QUITTE BLAISE.DANS TOUT CA QU’EST-CE QU’UN HOMME FORT SELON BLAISE ? QU’IL NOUS DONNE LE PORTRAIT ROBOT, LE PROFIL, LES CARACTÉRISTIQUES D’UN HOMME FORT ? EN QUOI, COMMENT PEUT-ON RECONNAITRE UN HOMME FORT.

  • Le 6 août 2014 à 15:52, par ouedassi En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    L’Allemagne sous Hitler avait des institutions fortes, Hitler est un Homme, est il un HOMME FORT ? Burkina Faso sous la Révolution avait des Institutions démocratiques et populaires fortes, Sankara est un HOMME FORT, pourquoi régler les contradictions internes du CNR avec des fusils ? Les Institutions en Libye sous Kadaffi fonctionnaient, est-ce pour autant que Kadafi n’est pas un homme fort ? Les Instituions en Afrique du Sud sont fortes, Mandela est un HOMME TROP TROP FORT, Mandela a fait un mandat de cinq ans. POUR AVOIR DES ARGUMENTS CONTRE LA DÉMOCRATIE IL SUFFIT D’AVOIR CINQ MINUTES D’INTERVIEWS AVEC BLAISE OU QUELQU’UN DU CDP. L’ALTERNANCE N’EST PAS A NÉGOCIER DANS UNE DÉMOCRATIE. DEPUIS 1991, L’IDÉE DE MOURIR AU POUVOIR N’A JAMAIS QUITTE BLAISE.DANS TOUT CA QU’EST-CE QU’UN HOMME FORT SELON BLAISE ? QU’IL NOUS DONNE LE PORTRAIT ROBOT, LE PROFIL, LES CARACTÉRISTIQUES D’UN HOMME FORT ? EN QUOI, COMMENT PEUT-ON RECONNAITRE UN HOMME FORT. Foutaise quand tu nous tiens !

  • Le 6 août 2014 à 15:53, par siat En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    si en 27 ans Blaise n’a pas encore réussi à mettre des institutions fortes c’est qu’il n’est pas un homme fort. par conséquent il doit céder la place à quelqu’un d’autre qui j’espère sera fort pour mettre les institutions fortes et partir. Blaise Compaoré, je suis ton petit enfant mais je pense qu’un homme fort c’est celui qui a du respect pour les institutions et par conséquent pour les textes qui régissent le fonctionnement de l’Etat. pensez vous que si s’etais moi au pouvoir et que je voulais modifier l’article 37, je n’allais pas avoir la division du peuple dont vous parlez ? c’est plus fort et plus sage de respecter les textes que de vouloir les modifier chaque fois à son avantage

  • Le 6 août 2014 à 15:55, par INTEGRE En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    bien dit mon président un jour vous comprendrez que cette démocratie dont parle ses américains et aussi ses européens ses juste pour leurs propre intérêts. Ils ont.

  • Le 6 août 2014 à 16:00, par passionenergie En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Le Président du Faso a encore prouvé qu’il était loin d’être déconnecté des évènements comme certains voudraient le laisser penser. Oui, ce sont des hommes qui ont construit ce monde. JESUS MOHAMED LE BOUDHA MAO SETONG DEGAULLE CHIRCHILL GEORGES WASHINGTON MARTIN LUTHER KING NELSON MANDELA et j’en oublie

  • Le 6 août 2014 à 16:08 En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Sérénité ? Blaise a dit sérénité ? han !!! sérénité fait courir dans tous les sens ? Pardon tout sauf sérénité, tu es dans la panique totale...

  • Le 6 août 2014 à 16:21, par LE VIEUX En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    "...En ce qui concerne les démissionnaires du CDP, le Président du Faso a fait remarquer qu’il observe les débats en cours dans la classe politique burkinabè avec sérénité, car ainsi est faite une vie politique, en démocratie..."

    Donc il n’insulte plus les RSS comme dans Jeune Afrique. Il "observe" et devient tout-à coup "sérein". CDP, FR, FEDAP/BC et autres. Vous comprenez maintenant ? Sauve qui peut !

  • Le 6 août 2014 à 16:41, par mouss En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Bien parlé Mr le président, le monde même est l’incarnation d’un esprit fort, c’est DIEU. Le christianisme est fondé sur la résurrection d’un homme fort Jésus. L’islam est rependu par la détermination d’un homme fort : le prophète Mohamed. L’Amérique doit sa découverte à un homme fort Christophe Colomb. Les états unis doivent leur fierté de nation libre grâce à des hommes forts que sont les 56 signataires de la déclaration de l’indépendance et les 39 signataires de la constitution. C’est insulter notre intelligence qu’un président qui, sur sa monnaie figure une un homme fort (dollar figure Georges Washington) dit que notre continent n’a pas besoin d’un homme fort. Ce que l’Afrique n’a pas besoin, c’est l’impérialisme américain et le terrorisme politique de barack obama

    • Le 7 août 2014 à 08:23, par Tapsoba®(de H) En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Cher "mouss" ,restons dans le débat qui nous intéresse,celui de la gestion d un Etat.Parmi les signataires de la déclaration d indépendance des USA et de la constitution que vous faites bien de souligner,qui d entre eux a dirigé les USA plus d une décénie durant parce que le pays qui venait d accéder à son indépendance aurait eu plus besoin d hommes forts(si Obama parlant d hommes forts faisait allusion à leur propension à vouloir s éterniser au pouvoir) ? Georges Washington ,dont l image figure sur le dollard et dont la nouvelle capitale(la première capitale US ayant été d abord PHILADELPHIE jusqu en 1799) de l Union porte le nom,a seulement eu le mérite d être le premier dirigeant de ce pays mais n a fait que 2 fois 4 ans =8 ans au pouvoir,de 1789 à 1797 ,pas plus .Même au plus fort des troubles marqués par la guerre de sécession (1861-1865),Abraham Lincoln n a été qu un président de crise puisque cette période coïncidait exactement à son seul mandat de 4 ans.Le seul président ayant fait plus d une décénie au pouvoir au milieu du 20 ème siècle est Franklin Roosevelt 1933-1945 .Depuis,il est formellement interdit ,grace au 22 ème amendement de la constitution ,de faire plus de 2 mandats successifs ,quelque soit sa popularité .Raison pour laquelle Bill Clinton a dû libérer les lieux malgré qu il soit resté populaire après 8 ans .Alors,vous remarquez bien que dès l accession des USA à l indépendance,les politiques ont été unanimes que même s il était nécessaire de faire des amendements périodiquement,il fallait avoir confiance aux institutions naissantes qu aux hommes,fussent-ils des héros,car la vie d un homme quelque soit sa force et sa longévité est éphémère par rapport à celles-ci.

    • Le 7 août 2014 à 10:30, par Tapsoba®(de H) En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Cher "mouss" ,restons dans le débat qui nous intéresse,celui de la gestion d un Etat.Parmi les signataires de la déclaration d indépendance des USA et de la constitution que vous faites bien de souligner,qui d entre eux a dirigé les USA plus d une décénie durant parce que le pays qui venait d accéder à son indépendance aurait eu plus besoin d hommes forts(si Obama parlant d hommes forts faisait allusion à leur propension à vouloir s éterniser au pouvoir) ? Georges Washington ,dont l image figure sur le dollard et dont la nouvelle capitale(la première capitale US ayant été d abord PHILADELPHIE jusqu en 1799) de l Union porte le nom,a seulement eu le mérite d être le premier dirigeant de ce pays mais n a fait que 2 fois 4 ans =8 ans au pouvoir,de 1789 à 1797 ,pas plus .Même au plus fort des troubles marqués par la guerre de sécession (1861-1865),Abraham Lincoln n a été qu un président de crise puisque cette période coïncidait exactement à son seul mandat de 4 ans.Le seul président ayant fait plus d une décénie au pouvoir au milieu du 20 ème siècle est Franklin Roosevelt 1933-1945 .Depuis,il est formellement interdit ,grace au 22 ème amendement de la constitution ,de faire plus de 2 mandats successifs ,quelque soit sa popularité .Raison pour laquelle Bill Clinton a dû libérer les lieux malgré qu il soit resté populaire après 8 ans .Alors,vous remarquez bien que dès l accession des USA à l indépendance,les politiques ont été unanimes que même s il était nécessaire de faire des amendements périodiquement,il fallait avoir confiance aux institutions naissantes qu aux hommes,fussent-ils des héros,car la vie d un homme quelque soit sa force et sa longévité est éphémère par rapport à celles-ci.

    • Le 7 août 2014 à 14:29, par Tapsoba®(de H) En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Cher "mouss" ,restons dans le débat qui nous intéresse,celui de la gestion d un Etat.Parmi les signataires de la déclaration d indépendance des USA et de la constitution que vous faites bien de souligner,qui d entre eux a dirigé les USA plus d une décénie durant parce que le pays qui venait d accéder à son indépendance aurait eu plus besoin d hommes forts(si Obama parlant d hommes forts faisait allusion à leur propension à vouloir s éterniser au pouvoir) ? Georges Washington ,dont l image figure sur le dollard et dont la nouvelle capitale(la première capitale US ayant été d abord PHILADELPHIE jusqu en 1799) de l Union porte le nom,a seulement eu le mérite d être le premier dirigeant de ce pays mais n a fait que 2 fois 4 ans =8 ans au pouvoir,de 1789 à 1797 ,pas plus .Même au plus fort des troubles marqués par la guerre de sécession (1861-1865),Abraham Lincoln n a été qu un président de crise puisque cette période coïncidait exactement à son seul mandat de 4 ans.Le seul président ayant fait plus d une décénie au pouvoir au milieu du 20 ème siècle est Franklin Roosevelt 1933-1945 .Depuis,il est formellement interdit ,grace au 22 ème amendement de la constitution ,de faire plus de 2 mandats successifs ,quelque soit sa popularité .Raison pour laquelle Bill Clinton a dû libérer les lieux malgré qu il soit resté populaire après 8 ans .Alors,vous remarquez bien que dès l accession des USA à l indépendance,les politiques ont été unanimes que même s il était nécessaire de faire des amendements périodiquement,il fallait avoir confiance aux institutions naissantes qu aux hommes,fussent-ils des héros,car la vie d un homme quelque soit sa force et sa longévité est éphémère par rapport à celles-ci.

  • Le 6 août 2014 à 16:52, par Boucantier En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    BLAISE, IL N’Y AURA DE REFERNDUM DANS CE PAYS LA ! ON T’ATTENDDS DE PIEDS FERME

  • Le 6 août 2014 à 16:56 En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    BLAISE = 27 ans de pouvoir = HOMME FORT = Burkina Faso, avant dernier sur le développement humain = avec la moitié de sa population qui vit dans la pauvreté.
    Pour rappel, cela fait au moins 100 ans que les Etats-Unis sont la 1ère puissance économique au monde avec des présidents qui ont fait à chaque fois 4 ou 8 ans au maximum comme président. CONCLUSION : Institution forte = USA et développement, homme fort = BF et son sous développement chronique. Même en restant 100 ans au pouvoir, le Burkina resterait toujours aussi pauvre avec notre soit-disant homme fort, Blaise.

  • Le 6 août 2014 à 17:01, par LE PEUPLE En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Blaise si tu etais fort, en 27 ans tu allais mettre des institutions forte en palce. Si tu a échoué avec des institution faible c’est parce que tu n’est pas fort. Laisse un autre compatriote faire le boulot !

  • Le 6 août 2014 à 17:18, par Fasobiiga En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Please webmaster il faut nous poster la video de ce entretien. Decidement c’est apartir de l’étrange que nous gagnons les infos les plus decisives ....

  • Le 6 août 2014 à 17:55, par LE PEUPLE En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Blaise si tu etais fort, en 27 ans tu allais mettre des institutions fortes en place. Si tu a échoué avec des institutions faibles c’est parce que tu n’est pas fort. Laisse un autre compatriote faire le boulot !

  • Le 6 août 2014 à 18:39, par SIDI En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Nous avons plus besoin des institutions fortes que d’hommes forts, si en 27 nous n’avons pas pu trouver cet homme fort je pense pas que nous le trouverons. aucun president des USA n’a fait 27 ans au pouvoir. meme si les USA ont traverser des periodes avant d’arriver a cette etapes neanmoins ils n’ont pas modifier la constitution a chaque fois qu’un homme le veut

  • Le 6 août 2014 à 18:50, par Bohalls Star En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Des hommes forts !? s’il y en a au Burkina ; c ’est tout dire que le départ du président Blaise Compaore ne saurait en aucun cas entraver les poses des jalons des institutions fortes vu que lui n’est pas le seul homme fort.

  • Le 6 août 2014 à 19:06, par marius En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    vous n’avez pas repondu a la derniere question presi.2015

  • Le 6 août 2014 à 19:10, par Doubis En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Prési pardon ! laissez la place à quelqu’un d’autre après 27 ans au pouvoir que voulez vous de plus ; vous serez le recordman des présidents au burkina faso pour toute l’éternité si vraiment vous aimez ce beau pays des hommes intègre comme vous le dites ; alors laisser la constitution tranquille et partez en 2015 dans la paix et dans la tranquillité ; nous verrons ce que le nouveau va nous apporter pour ce pays donnez la chance à quelqu’un d’autre c’est ça la démocratie ; au lieu de mettre les mêmes burkinabè les uns contre les autres simplement pour la modification de la constitution ; vous même vous aviez accepté cette constitution n’est-ce pas de changer de langage en tant qu’ un homme intègre.

  • Le 6 août 2014 à 21:42, par E En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Dans nos pays les individus ont souvent tendance à se prendre pour des personnes indispensables sans qui les institutions n’existeraient pas. Ainsi naissent les dictateurs.

    Mobutu était un homme fort, Kadhafi était également un homme fort, Moubarak l’a également été. Voyons ce que ces pays sont devenus.

  • Le 6 août 2014 à 21:50, par Dikiélté En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Bravo mon Président, bien sûr que le Burkina n’a pas de leçon à recevoir de qui que cela soit mais il faut faire attention ; vous avez répondu à Obama c’est courageux. Vous avez réussi votre coup médiatique, cependant nous savons tous qu’il faut des Hommes forts pour construire le pays ou posé des jalons de ces institutions fortes que nous cherchons tous.Prenons le cas du Burkina Faso, Qui sont forts, c’est vous et votre entourage, aucune institution de notre pays ne fonctionne correctement ou cela fonction à sens unique. Prenons un exemple sur la justice au Faso, aucune enquête n’aboutit (Norbert Zongo, Thomas Sankara, Nébié Salifou, Oumarou Clément etc) .Un autre cas, pour un fraudeur d’or qui doit normalement prendre 7 ans de prison parce que le jeune magistrat intègre fait son boulot normalement, qui croit sincèrement que son institution est forte, verra le délinquant communier sa peine à 6 mois avec sursis parce que l’ordre est venu d’"en haut" comme nous aimons le dire ; pendant que le petit délinquant se verra infliger 3 à 6 mois fermes pour un vol de deux poulets ou d’ane. Certains commerçants soit disant dans le parti majoritaire, ne payent pas normalement leurs impôts ou les cotisations de leurs employés et "il n’y a rien" comme ils ont l’habitude de dire ! Effectivement il faut des Hommes forts pleins de sagesse et de l’intelligence du Roi SALOMON, pour conduire des institutions afin que ses dernières se fortifient. Au Burkina nous avons vu le Président à l’œuvre durant 27 ans, toutes les institutions sont en place, sauf bien sûr le sénat, mais sans "âmes" car l’autorité de l’état est en perte de vitesse (corruption à outrance et impunité règne en règle absolue pour certains barons). Qu’est ce qu’il faut faire en ce moment ? Sinon dans d’autres cieux il y a eu des hommes forts dont le peuple chantait leurs louanges "Grâce à la volonté de papa Mathias Nguéma, Dieu créa la Guinée Equatoriale" ou encore "le miracle unique de la Guinée Équatoriale" ils sont morts et leur pays est resté ; ou encore comme le CHAH d’Iran qui était fort et avait des institutions fortes car il avait : 500 000 hommes dans l’armée bien équipés ; 75 000 gendarmes ; 60 000 policiers ; 500 000 agents informateurs malgré cette puissance il a fuit un beau jour du 11/02/1979 à bord d’un Boeing 707 qu’il pilotait lui même. Pourtant il a régné 37 ans 4 mois 25 jours.Mon Président est au pouvoir depuis 27 ans, il faudrait qu’il s’occupe de lui même et de sa famille. Que Dieu nous éclaire d’avantage et surtout qu’il sauve le Burkina Faso.

  • Le 6 août 2014 à 21:55, par THIIUS En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Chers lecteurs, depuis quand la présidence publie t elle ce genre de communiqué ? Ça cache un malaise quelque part. Définissez moi s’il vous plaît ce que c’est qu’un homme fort ? La présidence s’est laissé prendre au piège. OBAMA en parlant d’homme fort ironisait en fait. En somme voici ce qu’il faut comprendre "les rois sont rois parce qu’ils ont des royaumes. Ils sont des esclaves quand ils n’ont plus de servants et de servantes, de chevaliers et de preux seigneurs. Les rois sont prisonniers quand ils sont obligés de se cacher dans leur cour". Un homme fort est ce le vainqueur dans un duel loyal ou l’ombre qui défait ses adversaires dans le dos ? Dites moi qu’est ce qu’un homme fort ? Est ce celui qui de la force du bras agrandit le royaume ou celui qui par peur des conspirations fini déchirer son royaume en mille morceaux ? Qu’est ce un homme fort finalement ?

    • Le 7 août 2014 à 09:17, par Rakiis En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Mon cher Kamélé, quand vas-tu grandir ? A quel titre, des journalistes de renommée internationale doivent s’entretenir avec un" thèseur" libre comme toi ? Ces journalistes sont mieux informés que toi.

    • Le 7 août 2014 à 09:22, par lenationaliste En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Je suis d’accord avec notre président parce que ces americains ont foutaise sur nous. pourkoi vouloir toujours que nous ayons pour référence la facon de faire de ces gars aux moeurs légères. A cette allure ils finiront par nous dire que la démocratie signifie qu’il faille adopter l’homosexualité dans nos pays pour donner l’égalité à tous. Alors si déjà le Président leur donne cette réplique, ils comprendront que ce président n’est pas de nature à accepter les conneries sous le label occidental

    • Le 7 août 2014 à 09:35, par shadec En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      ce dont ont besoin des institutions fortes, ce ne sont pas des "hommes forts" qui font dans la durée mais des "héros" au sens hégélien du terme,ces hommes hors du commun qui sont portés à se sacrifier pour l’épanouissement possible de leur peuple et sont destinés "à brûler pour éclairer leur siècle" ; ces hommes qui n’ont pas besoin de plusieurs décennies pour faire bouger sérieusement les lignes, réaliser des oeuvres durables

    • Le 7 août 2014 à 09:42, par shadec En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      c’est pathétique tout ça, pourquoi un tel entêtement ?

    • Le 7 août 2014 à 09:54, par abdel En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Président MERCI de nous rappeler que chaque peuple a son histoire .la notre nous préoccupe vraiment sachant que le quotidien d aujourd’hui est l histoire de demain, ainsi même les responsabilités de vie et à vie connaissent aujourd’hui de l’alternance ; pour ne citer que LA ROYAUTE D’ESPAGNE et LA CURIE ROMAINE ’PAPAUTE’

    • Le 7 août 2014 à 11:04, par Abady En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      Peut être faut-il des hommes forts pour poser les bases d’institutions fortes (vice-versa) comme il le dit. Peut être que Compaoré fait parti des Hommes fort à ce qu’il semble suggérer. Mais là n’est pas la question, Si après tout le temps de son règne il n’a pas pensé ou pu poser des bases saines pour des Structures indépendantes dans son pays c’est pas maintenant à la fin de son mandat qu’il doit commencer ces travaux. Ce rôle revient à son successeur qui je l’espère sera aussi fort comme lui. Le rôle de Compaoré serait alors de soutenir ce dernier dans la réalisation de ce projet pour le bien être de sa chère patrie Burkina. Car n’oublions pas que la force sans la NOBLESSE n’aboutit à rien.

    • Le 7 août 2014 à 11:22, par article 37 En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      le Burkina est animé par quatre grandes forces centrifuges très opposées :

      1- la force conservatrice de Blaise COMPAORE animé avec des CDPistes des FEBACiste, des belles mères et des petit président. Pour eux, tout le mérite est à eux, oubliant les circonstances dans lesquels Blaise lui même est arrivé.

      2- la force d’opposition dont les rangs sont en train de grossir. Les gens qui sont prêts à mobiliser pour empêcher le référendum pour la modification de la constitution et l’avènement su sénat.

      3- la force des non alignés composé de la société civile et des personnes qui peur de la situation actuelle. Il y a des gens qui en ont marre mais qui ne veulent rien dire, il y en qui ont donné leur position mais que les gens ne prennent au sérieux. Il y a l’ancien collège des sages qui refuse de donner une position qui relève de l’esprit de son rapport.

      - 4 la force de la justice qui petit à petit commence à jouer son rôle et attends les acteurs qui vont vont créer les troubles qu’ils soient du pouvoir ou du reste. Cete justice instrumentalisée, traitée de tous les maux, meurtrie par les assassinats et les intimidations.

  • Le 7 août 2014 à 04:38, par Ralph En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Yaa wastin your times nobody talking about africa here America media don’t even know is africa presidents here all we know africa is not better then America

  • Le 7 août 2014 à 08:18, par Thién En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    C’est dommage que ce président qui n’a jamais dit une phrase sensée, veuille prendre le contrepied d’une vérité universelle que Obama leur a donnée en guise de leçon ! Au lieu de comprendre que l’on parle de la vie des nations en terme de continuité, ce monsieur nous parle des hommes forts ! Ici, on ne peut pas opposer la nation aux hommes, c’est pour cela qu’une institution forte, ne pourra qu’etre dirigée par des hommes de valeur que l’on pourra remplacer à la pelle ! La finalité n’est donc pas la force de l’homme qui nous intéresse ici mais les institutions, car l’homme est mortel mais l’institution ne mourra jamais ! Il vaut mieux avoir le courage de se taire souvent que de sortir des trucs ridicules ! Pauvre Burkina !

  • Le 7 août 2014 à 08:25, par Max En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Quand on parle d’Abraham Lincoln, du général De Gaulle, de Nelson Mandela, c’étaient des" hommes d’Etat " et non des "hommes forts" ! L’homme fort en fait c’est le Dictateur du genre Staline, Mao Tsé Toung, etc ! Et notre Blaise n’a rien compris au sens du terme "homme fort" car il y a vu un sens positif ! Alors que c’est un terme qui est en fait péjoratif !

  • Le 7 août 2014 à 08:28, par mountuan TRAORE En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Depuis l’interview accordée à Jeune Afrique Blaise COMPAORE s’est révélé aux yeux du monde : Arrogant et très avide du pouvoir. Il a une autre conception du pouvoir et ce que Salif DIALLO avait perçu mais tard : la patrimonialisation du pouvoir et je dirais la personnalisation du pouvoir.

    Un homme fort ne se dit pas homme fort il laisse les autres le constater. L’homme mortel n’ai jamais fort.

  • Le 7 août 2014 à 08:29, par NulNestIndispensable En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Kadafi se croyait fort mais aujourd’hui où est-il ? Moboutou, Tandja, Charles Thaylor, Bagbo, Sadam tous se croyaient forts mais en réalité ils étaient faibles. Un seul coup de feu suffit pour qu’ils sachent qu’ils sont faibles. C’est le peuple qui donne la force et qui retire la force. Le peuple Burkinabé veut d’un autre homme en 2015 raison pour laquelle la constitution a limité le nombre de mandat à 2. Au lieu de mettre le feu et demander aux pompiers de l’éteindre, évitons de mettre le feu au pays car tout le monde y gagnera.

  • Le 7 août 2014 à 08:32, par Fort fort En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Avec tout le respect que je vous doit, avant vous il y a eu des hommes forts et même plus fort et on quitte le pouvoir sans trop de mic-mac, pendant votre période au pouvoir vous vous montrez homme fort, c’est bien, sachez qu’après vous quelque soit le moment de votre départ il y aura des hommes forts et même plus forts que vous. du courage pour la fin de votre mandat.

  • Le 7 août 2014 à 08:32, par Lecitoyen En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    "L’Amérique aux américains ! disaient les américains aux britanniques" au début de l’indépendance des USA, lorsque le colon britannique voulait s’ingérer dans la politique intérieure américaine. De même nous disons " l’Afrique aux africains". Que le Président Obama nous laisse tranquille et nous le demandons de nous laisser le respecter, car nous avons un grand respect pour les USA.

  • Le 7 août 2014 à 08:41, par sergy En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Toi Blaiso homme fort ?Assassin fort oui.Merde donne nous la date du réferendum si tu es réellement un homme fort.ëtre fort là ce n’est pas tué à bout de bras des amis,des étudiants ,journalistes...

  • Le 7 août 2014 à 08:42, par l’homme fort blaise compaoré En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    comment un capitaine sans matière grise, sans expérience peut-il réagir mieux que ça ? en réalité, blaise est fâché contre les USA du fait qu’ils refusent de considérer les hommes forts comme lui, et de surcroit, les USA ne s’en fichent pas mal d’un homme fort, moi je donnes raisons à blaise, il n’est pas allé loin à l’école, ce qu’il maitrise dans la vie, c’est trahir et tuer ses proches ou amis pour s’accrocher au pouvoir, c’est le président le plus nul de l’histoire du burkina, s’il était un homme fort, pourquoi en, 27 ans de règne, son pays est classé dernier dans le monde en termes d’alphabétisation, s’il était un homme fort, pourquoi, e, 27 ans, on ne peut pas avoir un kit pour réaliser une autopsie, s’il était un homme fort, pourquoi, après 27 ans, les élèves prennent les cours à même le sol ?, monsieur le président , que ça te fasse mal, tu n’es pas un homme fort et d’ailleurs on en a pas besoin, les cimetières sont remplis d’hommes forts

  • Le 7 août 2014 à 08:44, par jojo En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Un Vrai et Bon Burkinabè devrait être fier du Président COMPAORE !!!!!!!!! je suis très fier et d’avis avec lui ! Barack a parlé en fonction de l’histoire de son peuple que nous avions tous étudié et appris ! Quant au BF, cher Président, pour l’objectif que vous vous êtes assigné, à savoir la paix et la stabilité, gérer le pays comme vous l’entendez car vous êtes le seul qui maîtriser les rouages du système !!!! bravo au CDP de la clairvoyance pour le choix de leur leader qui est BC !

  • Le 7 août 2014 à 09:08, par liberté En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Tout est clairement dit. Des 16 000 000 de burkinabé seul Blaise est homme fort.
    Quelle insulte ! une invite aux intègres de lui démontrer le contraire. Pas de referendum malgré sa force.

  • Le 7 août 2014 à 09:11 En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Bien sûr, notre bien aimé président n’a pas compris que le terme "homme fort" est fort péjoratif. Il indique généralement un militaire sorti des rangs et qui s’impose politiquement par des manœuvres sordides en principe au prix du sang. Exactement comme le cas du Faso où Blaise est arrivé par le sang versé de son ami Thomas Sankara et ses 12 compagnons. Regardez par la suite tous les massacres qui ont suivi. Il aurait du comprendre que la force n’est pas toujours la solution. Car actuellement, lui ne commande plus de troupes, mais d’autres officiers en commandent. Mettons notre pays sur la voie civilisée d’une vraie démocratie.

  • Le 7 août 2014 à 09:20, par Lysianne En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    le débat est clos et c’est le référendum qui va départager les pros et anti référendum. c’est mieux pour les anti de se mettre au travail. Il faut dire qu’il y a de la mauvaise fois dans la réaction des uns et des autres parce que les propos du Président du Faso extenso est :"je comprend la position du président Américain qui s’inspire certainement de l’histoire de son pays, les Etats-Unis, qui ont une vieille histoire de démocratie, mais aussi qui ont traversé une longue histoire tumultueuse de lutte, de remise en cause, avec l’intervention d’hommes forts, à certaines périodes, afin d’arriver à leur version actuelle de démocratie. et il a poursuivi « n’y a pas d’institutions fortes, s’il n’y a pas d’hommes forts pour poser les jalons de ces institutions, dans la durée ». Voilà qui est bien dit. Et Blaise Compaoré qu’on le veuille ou pas est l’homme fort du Burkina et de la sous région .

  • Le 7 août 2014 à 09:21, par mano En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    il est fier de s’autoproclamer HOMME FORT dans l’un des pays les plus pauvres du monde....on est au comble de la mediocrité

  • Le 7 août 2014 à 10:06, par le cdpiste déchaîné En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    il me semble décidément plus facile d’être président aux USA que d’être simple maire dans certains pays en Afrique ! Pourquoi ? Parce qu’aux USA on a un peuple fort avec des institutions fortes. Mr. Blaise COMPAORE si vous êtes "fort" après plus de 30 ans de pouvoir sans instituer une "institution forte" dans ce pays, je vous demande par "sagesse" de laisser les affaires avant que celles ci ne vous laissent. NELSON MANDELA n’a eu besoin que d’un mandat pour faire renaitre l’Afrique du Sud. Mettez vous dans la peau de MANDELA un instant et vous vous rendrai compte de ce que s’est qu’un homme fort. vous(BLAISE COMPAORE)seul ne peut pas construire ce pays, vous n ’êtes qu’un "simple mortel" et le BURKINA survivra sans vous. "seul les médiocres ont besoin de décennies pour réaliser des choses grandes". moi je vous aime beaucoup (je suis cdpiste) et vous avez poser votre pierre dans l’édifice BURKINA. svp ne la détruisez pas !

  • Le 7 août 2014 à 10:06, par maria En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    la presse ESpagnole dit que le BURKINA-FAS est le pays le plus pauvre du monde et le dernier classement le burkina etait 185/188.donc occuper -vous de regler les problemes de sous-developement que de rferendum.

  • Le 7 août 2014 à 10:11, par Le Pacifique En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    En lisant certains commentaires, je me pose bien de question. Faut-il que je vous dise que Barack Obama n’a pas de leçon à donner à Blaise Compaore ! Faut -il que vous dise que Barack Obama n’a pas plus à faire que Blaise Compaoré ! Soyons fiers un jour de nous mêmes pour mériter le respect des autres. Je reviens

  • Le 7 août 2014 à 10:34, par Ganouam En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    J’ai vraiment mal à mon Afrique. Dites-moi chers frères et sœurs burkinabè ou africains. Comment de temps faut-il à un homme fort pour mettre en place des institutions fortes si tant est le cas ? Ce que je retiens de nos dirigeants africains, c’est que lorsqu’il faut tendre la main, ils oublient les mots comme "souverain, indépendant, autonome". Mais lorsqu’on parle de leur mandats à la tête de leurs Etats, ça y est. Ils se souviennent de ces mots-là. Si le Burkina en 27 n’a pas pu générer d’autres hommes et des femmes fort(e)s capables d’assurer la relève, alors l’élite aura totalement échoué. Mieux vaudrait que nous tous nous en pleurions s’il nous reste un temps soit peu de dignité. Que le Tout Puissant nous sauve !

  • Le 7 août 2014 à 11:07, par Wendlaboum En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Notre Homme Fort est donc Faible,
    Blaise aurait tout à fait raison si par "hommes forts" il entendait ceux qui sont capables après 27 ans de forcing, de léguer des mécanismes et des institutions viables. Or lui-même a reconnu dans Jeune Afrique qu’il redoute de voir le pays s’effondrer après lui. Si après 27 années notre homme fort, n’a pas encore fait émerger ces institutions fortes, on peut alors en déduire que Son Excellence Blaise Compaoré n’est pas l’homme fort dont l’Afrique a besoin. Pourquoi a-t-il choisi de faire la démonstration de cette faiblesse chez l’oncle SAM. Soit son service de COM n’a pas assez d’influence sur sa COM, son wackman lui ont annoncé qu’il vivrait 200 ans pour faire émerger un jour les institutions fortes dont le Burkina Faso a besoin.

  • Le 7 août 2014 à 11:12, par ON S’EN GABA En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    JE PENSE QUE CA SERA MIEUX SI COUS AJOUTER UN LIEN POUR AIMER ET NE PAS AIMER LES COMMENTAIRES ?CAR IL Y EN A VRAIMENT DE QUALITÉ ET BIEN D’AUTRES POURRIS, HYPER POURRIS MÊME DE DIRAIS,DIGNE DE VRAIS BÉNI OUI OUI.UN HOMME FORT ????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????

  • Le 7 août 2014 à 11:17, par Elie En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Enfin, les stratégies se dévoilent. le mot "fort" est lâché, et qui parle de fort parle de force. C’est seulement par cette théorie de la musculation que l’on peut justifier cet entêtement. Sinon aucun signe social ne peut présentement légitimer une telle nécessite de philosopher autour de l’article 37. La force d’un homme fort réside dans sa sereine capacité à se soumettre à une règle qu’il s’est lui même fixée et qui l’a toujours protégée à toute épreuve. Si notre démocratie va dépendre des humeurs des hommes dits forts, on verserait simplement dans l’autocratie. On dit le roi est mort, vive le roi ! car les hommes passent mais les institutions demeurent. Arrêtez donc d’insulter notre conscience !

  • Le 7 août 2014 à 11:34, par espri En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Oui homme , parce que ce capitaine a Fini avec la vie d’un autre capitaine thomas sankara et ce journaliste norbert zongo et bien d’autres peut etre sa,sinon je ne voie pas ou vs etes fort mesieur

  • Le 7 août 2014 à 14:10, par Pr En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Mobilisons nous pour que l’alternance devienne realite. Elle est vitale parce qu’elle nous evite de faire des dictateurs avec les richesses du pays.

  • Le 7 août 2014 à 14:13, par Lassina En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Justement, ça prend un président fort pour respecter la constitution en toute légalité. Etre fort ne veut pas dire forcer pour rester. Les grands hommes savent partir quand il est temps de le faire. J’espere que notre president sera fort pour laisser la place a quelqu’un d’autre apres 27 ans de pouvoir. Ce sera la preuve qu’il veut instaurer des institutions solides.

  • Le 7 août 2014 à 14:39, par Amour divin En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Ceuc qui connaissent la bible savent que le peuple de Dieu a fait face à des Hommes forts pour pouvoir avoir la paix et bénéficier des richesses de leur nation. Goliath fut l’un des Hommes forts. Toute la nation d’Israël fut humiliée pendant un long moment avant que Dieu envoie un petit enfant non qualifié à la guerre et à la politique. David quitta le troupeau de son père pour aller combattre l’Homme Fort et sa tête fut coupée. Si quelque’un dit qu’il est un homme fort. Dieu a une solution pour les hommes forts. Peuple du Burkina Faso, l’histoire démontre qu’on ne négocie pas avec les hommes forts.

  • Le 7 août 2014 à 15:31, par Théophanel En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Humm ! pouvoir quand tu nous tiens. Moi je n’accepterai même pas être PF pendant une semaine ! ça doit être très dur d’être président dèh ! tu ne peux même pas sortir sans tout un système de sécurité ; des motards, des véhicules blindés, des gardes du corps, des radars, des etc.....

  • Le 7 août 2014 à 16:33, par passionenergie En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    la vérité rougit les yeux mais ne les CREVENT PAS. Des gens que le PF a pris le risque de défier OBAMA. Merci EXCELLENCE si c’est le cas. Sachez que si l’Afrique accuse encore un retard abyssal pour son développement c’est parce qu’il y a des couards qui ne pensent qu’à leurs petits avantages de petits bourgeois. Etudes finies on a du travail, on se marie, on construit une maison, on fait des enfants et la vie est gagnée. Dire non à un grand Monsieur comme OBAMA relève du suicide. ça se dit après patriote. Demandant la non application de la CONSTITUTION ou du moins dans un sens de peur de perdre ses avantages. BLAISE a très bien parlé. S’il n’est pas d’accord avec le Président américain il le dit. Il est un homme.

  • Le 7 août 2014 à 16:45, par Evé En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    SIMPLEMENT PROPRE ET FRANC ! mes respects Prési. c’est ça on veut !

  • Le 7 août 2014 à 18:02, par Le Fatotchiè En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    La question que moi je me pose est de savoir si mon président a réellement compris le sens de l’expression :"on n’a pas besoin d’homme fort,mais des institutions fortes". A lire les réponses données par mon Blaiso,je pense très honnêtement qu’il n’a rien compris de l’expression. sinon qu’elle veut tout simplement dire que : les hommes passent d’une manière ou d’une autre quelque soit leur intelligence ou leurs capacités ; par contre les institutions demeurent toujours et restent au service du peuple pour le bien être.Donc mon cher président ne polémiquez pas là dessus ! Ne faites pas allusion à la force que vous,vous connaissez !

  • Le 7 août 2014 à 18:20, par Ka En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Mr.le présidente Compaoré, les 16 millions des burkinabé vous connaissent comme leurs dix doigts. Personne ne conteste un referendum au Burkina, mais vous avec un CDP et FEDAP au pouvoir avec la corruption à ciel ouvert dont le denier publique sert à acheter des voix a un peuple meurtrie et dans la précarité, un referendum bidon ne servira à rien. Le mieux pour vous, est de sortir l’armée en 2015 et se déclarer président à vie. Les 16 millions des Burkinabé sait que ce referendum sera truqué pour tripatouiller l’article 37 dont la lettre et l’esprit vous interdisent de briguer 3 mandats présidentiels consécutifs.

  • Le 7 août 2014 à 18:48 En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Que Blaise COMPAORE nous donne un seul exemple de pays africain, où il y a eu un homme fort et une constitution forte. Il n’y en a pas. Par contre il y a des pays africains où ont régné des hommes dit forts (dictateurs) qui n’ont toujours pas d’institutions fortes (RDC, Lybie, Guinée, Burkina, Mali, Niger, Tchad, Cameroun, Gabon, Congo, Côte d’Ivoire, etc...). Affirmer qu’il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts, est une rhétorique nulle et dénudée de tout sens, voire ridicule même.

    • Le 8 août 2014 à 13:03, par l’incrédule En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      ’’ il n’y a pas d’institutions fortes ,s’il n’y a pas d’hommes forts pour poser les jalons de ces institutions dans la durée. Prenons cette assertion à certains mots près ! La durée ici mentionnée a t’elle une limite ? évidemment non ! cela signifie qu’ une institution aussi forte soit elle aurait toujours besoin des hommes forts puisque ces hommes sont appelés à mourir laissant la continuité de ces institutions . ce qui nous intrigue ici c’est qu’il y a deux connotations possible à cette assertion . La première voulant nous faire comprendre que le président en est un(hoe fort ) .Qu’il a déjà poser les jalons des institutions et qu’il s’en ira ou bien il estime qu’il n’ y a pas encore d’hommes forts pour continuer à consolider ou à pérenniser ces institutions. En conséquence , ces institutions auraient toujours besoin de lui . Mais n’oublions pas que ce sont ces mêmes institutions fortes qui définissent leurs modes d’accès et leurs gestions à travers des textes . Tout est textes ; mode d’accès et gestion. autrement dit on y accède par la force de façon illégale et illégitime .S’il quitte le pouvoir ,il serait un ’’ homme fort ’’ rassuré d’avoir posé des jalons dans la durée ...pour la durée au nom de la durée

  • Le 7 août 2014 à 20:37 En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    J’ai l’impression que vous commencez à être partial ou avez vous été menacé par ceux qui ont déclaré qu’ils ont des armes (député CDP) ? Alors laissez passer les analyses des uns et des autres sans parti pris.

  • Le 8 août 2014 à 08:04, par ........ En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Pendant, qu’on y est, il veut pas prendre le titre de ’’Empereur 1er’’ ?

  • Le 8 août 2014 à 10:26, par Le Justicier En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    Si en 27 ans de pouvoir de Blaise Compaoré, le Burkina n’a véritablement pas eu encore une institution forte c’est fort regrettable pour notre président et ses partisans qui le prend pour un homme fort. Cela veut dire que nous n’avons qu’un boulanger.

  • Le 8 août 2014 à 11:08, par YVES En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    L’Afrique n’a pas besoin d’Hommes forts mais d’institutions fortes ce qui est vrai. Les institutions fortes renforcent la démocratie et participent au développements. Mais les Hommes se disant forts sont des dictateurs et ils finissent toujours très mal(exemples Tandja au Niger, Moboutou en RDC, Kadafi en Libye)

    • Le 8 août 2014 à 18:48, par Burkina Faso 27 ans d’errance !!!! En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

      À force de vouloir faire feu de tout bois, on finit par se draper dans toutes les incongruités mêmes les plus invraisemblables. Il y a une différence fondamentale entre les deux conceptions : conception républicaine et conception personnelle du pouvoir d’État. Les institutions républicaines ne riment pas avec un homme politique fort, les grands modèles de républiques sont le résultat de penseurs (philosophes, politologues, politistes, historiens, sociologues : Weber, Comte, Rousseau, Spencer...). À l’évidence notre cher président est bien loin d’en avoir la carrure. Votre force subliminale repose sur des années de prédations,de réseaux d’obligés, de pression, d’intimidation. Tout ça ne vous survivra guère, car après vous il s’écroulera comme un château de cartes. Dans un peuple mur et épris de civisme et de culture républicaine vous auriez du mal a avoir un tel parcours. La, la responsabilité historique interpelle l’élite a un sursaut républicain et civique qui permettra de redonner dignité et honneur a notre cher Faso.

  • Le 11 août 2014 à 15:02, par Adélaïde/lafine En réponse à : Le Président Compaoré face à la presse à Washington : « Il n’y a pas d’institutions fortes sans hommes forts »

    L’Homme fort est celui qui ne craint point la mise en place de mesures impopulaires pour le bien de son pays.
    Le Burkina est un pays où règne l’anarchie la plus totale.