Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».Dans le reportage diffusé au JT de 20 heures le 18 janvier 2014 sur la manifestation organisée par l’opposition et des associations de la société civile contre la révision de l’article 37 et la mise en place du sénat, les téléspectateurs voient défiler sur leur petit écran des images plutôt insolites. Dans la foule qui a transformé le podium en piste de danse, un homme capte particulièrement l’attention. Il porte un grand boubou brodé à bandes, un couvre-chef de couleur rouge bordeaux, et brandit de sa main gauche une canne, signes de son statut de chef traditionnel, dépositaire d’une autorité morale dans la société moaga. Ce chef atypique, qui esquisse des pas de danse au rythme de la musique reggae n’est autre que le Larlé Naba Tigré, Victor Tiendrebéogo à l’état civil, sans doute le ministre le plus médiatique du Mogho Naba Baongo, l’empereur des Mossés. Elu en 1992 et réélu sans discontinuer député de la majorité présidentielle, il est le seul des 70 députés à n’avoir pas signé une déclaration de soutien au président Blaise Compaoré que ses collègues ont publiée début janvier. Pis, il a rendu son tablier en tant que député et membre du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) et a rejoint avec armes et bagages les anciens caciques du parti qui sont allés créer le Mouvement du peuple pour le progrès (MPP). A lui seul, il cristallise les débats sur la place et le rôle de la chefferie traditionnelle dans l’organisation et la gestion de l’Etat laïc et démocratique en construction dans notre pays. Citoyens entièrement à part, les chefs peuvent-ils être partisans sans saper leur autorité auprès de leurs sujets ? Le Larlé Naba a-t-il des ambitions ministérielles ? Est-il réellement harcelé depuis sa démission du CDP ? En s’engageant dans des partis politiques, lui et ses collègues ne mettent-ils pas à rude épreuve l’unité et la cohésion de la royauté moaga ? Autant de questions auxquelles celui qui est par ailleurs très actif dans l’entrepreneuriat social a répondu sans faux fuyants, en toute sincérité, durant près de deux heures, chez lui, sous un grand chapiteau faisant office de salle de réunion. Lefaso.net : Quelle est la place et les fonctions du Larlé Naba auprès du Mogho Naba ? Le Larlé Naba est le deuxième ministre du Mogho Naba, et c’est l’un des ministres chargés de la guerre. Dans l’état traditionnel moaga, il est le Dimtansoba, chargé de la guerre, pendant que le Tapsoba, qui est le Goungha Naba est lui, chargé de l’institution des armées et responsable de l’approvisionnement en armes, c’est-à-dire les flèches, les lances, etc. Il y a enfin le Tensoba qui est à Saba, dans la banlieue Est de Ouagadougou. Le Larlé Naba est comme le chef d’état major particulier du président de la république. Dans les temps anciens, si le Larlé Naba ne périssait pas dans une guerre, le Mogho Naba pouvait être assuré de la pérennité de son trône. Quant il y a un conseil de guerre avec le Larlé Naba, le Tansoba, le Goungha Naba, le Mogho Naba dit : « Neeb beemè, tii ned bè », autrement dit, il compte sur tout le monde, mais il compte particulièrement sur le Larlé Naba. Lors des cérémonies ou rencontres au palais du Mogho Naba, on remarque que ce dernier ne s’adresse pas directement aux gens. C’est vous qui lui transmettez les questions du public et c’est encore vous qui communiquez ses réponses au public… Oui, c’est comme dans la politique moderne où le président choisit un ministre pour être le porte-parole du gouvernement. Je suis le porte-parole du Mogho Naba parce que tout simplement, il se reconnait dans ce que je dis. Je sais entrer dans sa pensée pour comprendre ce qu’il veut, parce que j’ai travaillé à analyser ses attentes et ses vœux. Et puis, je suis en contact avec les masses, ce qui fait que j’exprime leurs préoccupations. Il choisit qui il veut et ça peut être un autre ministre que moi, sachant que le Ouidi Naba est le doyen de la Cour, moi en seconde position, suivi du Goungha Naba et du Kamsaongho Naba. Beaucoup de Burkinabè estiment que les chefs traditionnels incarnent l’autorité morale et de ce fait, ne doivent pas s’engager politiquement. Quel est votre avis sur la question ? C’est l’occasion de vous dire que l’actuel Mogho Naba Baongo, le 37e empereur des Mossés n’est pas partisan et il l’a clairement dit devant tous les notables. Il n’appartient à aucun parti politique, ni de l’opposition, ni de la majorité. Cependant, il n’interdit pas ses ministres et les chefs d’être partisans. La seule chose qu’il leur demande, c’est de travailler à consolider la paix et ne pas se manquer de respect. C’est ainsi que je suis un des membres fondateurs de l’ODP/MT puisque j’étais à la création de ce parti en avril 1989 pendant que j’étais salarié à la Banque internationale du Burkina (BIB). En 1990, j’ai été nommé ministre du Mogho Naba et en 1991, j’étais engagé dans la campagne présidentielle pour Blaise Compaoré. Au palais, on m’appelait « seul contre tous » parce que j’étais le seul engagé derrière Blaise Compaoré et on me reprochait d’ailleurs d’être sympathisant d’un assassin. « Comment peux-tu demander aux gens d’être derrière le parti d’un assassin », m’interpellait-on à l’époque. J’ai dit que ce qui s’est passé était quelque chose d’assez complexe, un problème qui est arrivé et contre lequel on n’y pouvait rien. J’ai expliqué que j’étais derrière Blaise Compaoré parce que j’estimais qu’on lui collait une étiquette qui ne correspondait pas à la réalité. C’était un vrai débat entre nous chefs coutumiers parce que tous les ministres du Mogho Naba étaient, soit au Rassemblement démocratique africain (RDA), soit à la Convention nationale des patriotes progressistes (CNPP), et j’étais le seul de l’ODP/MT. Progressivement, tout en les respectant, je suis arrivé à les convaincre de nous rejoindre dans le camp du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP). Mais pour répondre clairement à votre question sur l’engagement politique des chefs traditionnels, je ne vois pas où est le problème. Un chef traditionnel est par essence un homme politique dans le sens où la politique est l’art de gérer la cité. Or, c’est ce que les chefs ont toujours fait depuis la nuit des temps ! Avant la colonisation, chaque ministre du Mogho Naba avait en charge la gestion d’un territoire bien particulier. Le chef de terre avait la mission de faire des sacrifices pour le bien de l’administration des hommes. Donc, de la politique traditionnelle à la politique moderne, il y a une différence qui est que dans la politique moderne, les responsables sont des élus pour une durée déterminée et non désignés pour une durée à vie. Qu’est-ce qui vous a poussé à entrer dans la politique moderne et à devenir député ? Etre chef du Mogho Naba ne vous suffisait pas ? Il faut rendre à César ce qui est à César : J’ai été élu pour la première fois en 1992 par la volonté du président Blaise Compaoré. C’est lui qui a dit à Roch Kaboré qu’il souhaitait que je sois candidat à la députation ; j’ai dit à Roch que ça ne m’intéressait pas, mais que s’il s’agissait de la mobilisation des citoyens, il pouvait compter sur moi. Trois jours avant le dépôt des listes, Roch Kaboré m’a demandé si j’avais déposé ma candidature ; j’ai dit non, parce que ça ne m’intéressait pas vraiment et en plus, je ne suis pas un universitaire. Il a rétorqué en disant : « Ecoute, il y a des commerçants, instituteurs, qui n’ont pas un niveau supérieur à toi qui es banquier. Ce n’est pas une histoire de diplôme, mais de capacité de mobilisation et de conviction. Les gens font la courbette pour être candidat, toi on te donne ça et tu dis que tu ne veux pas ? ». Il a insisté pour que j’aille voir Albert Millogo qui était juge pour faire mon casier judiciaire et joindre mon dossier et déposer. Voilà comment ça s’est passé. Finalement, je me suis présenté, j’ai été élu et réélu cinq fois, et je suis le seul dans la région du Centre à avoir fait cinq mandats successifs, et c’est grâce au président Blaise Compaoré et aux militants qui m’ont soutenu. Mais je suis chef aussi et je ne suis pas un élu comme les autres. Vous savez que chaque chef choisit trois noms le jour de sa nomination : un pour remercier l’autorité qui l’a nommé, un pour remercier la famille qui le permet d’être candidat et un 3e pour annoncer son programme. Pour moi, le premier, c’est Naba Boulga ; Wend boulg lal Saaga, ta koom tond Saabo (le puits de Dieu est adossé à la pluie, son eau est inépuisable). Autrement dit, je suis adossé au Mogho Naba et je suis assuré que je serai chef jusqu’à ma mort. Le 2e nom est Naba Sanem ; je suis d’une famille qui s’est toujours distinguée par le travail, la bravoure, la dignité et je pense que je ne faillirai pas, mais serai comme mon père, Larlé Naba Abga, qui a fait la guerre d’Indochine, d’Algérie, et de mon grand père Pawidraogo, dont on parle toujours. Je dois travailler à préserver l’image de cette famille. Enfin, le 3e nom est Naba Tigré. Tigré Yaam Zaaka, tii Koumbi laad mognaa, tii nikiem soosg leb nogo. (L’abondance règne dans la concession, les enfants rient de joie et les vieux se concertent dans la sérénité). Mais si on doit cultiver l’abondance et la sérénité, c’est qu’on a préservé la paix. Dans cette optique, j’ai créé dès les années 1992 des activités humanitaires en vue d’aider le peuple qui a faim, soif et a besoin d’écoles. C’est ainsi que j’ai offert des ambulances, des vivres et des véhicules qui servaient de corbillards dans le quartier. Je suis actif dans la microfinance depuis 2003 et aujourd’hui, près de 39 000 femmes en sont bénéficiaires. Depuis 2006, nous donnons des allocations scolaires à près de 45 élèves, et j’ai créé des activités novatrices contre la pauvreté, 10 poules deux coqs en 2010. C’est une initiative que l’état l’a copié en 2012 pour en faire un programme national sur 350 communes. Je suis le premier à donner des permis de conduire aux élèves et le ministre de la Jeunesse de l’époque, Justin Koutaba m’a dit : « Majesté, je vais prendre exemple sur vous et donner des permis de conduire aussi aux jeunes. Est-ce que je peux le faire ? ». Bien, évidemment, j’ai accepté. En plaisantant, le premier ministre Luc Adolphe Tiao a dit que dans une république normale, on devait me payer des droits de propriété intellectuelle. Malgré tout ça, on n’a pas estimé que je mérite un appui financier en dehors du soutien moral, alors que l’opinion pense que je suis aidé et que je n’ai pas de soucis d’argent ! Vous êtes membre du MPP et en même temps Larlé Naba. Comment pourriez-vous être juste et impartial si vous deviez départager deux protagonistes dont un de votre parti ? En 2013, quand il était question de faire la contremarche du CDP, on m’a sollicité pour parler au nom des chefs à la place de la Nation et j’ai refusé pour une raison simple : la révision de l’article 37 et la mise en place du sénat divisent les Burkinabè, et si les choses s’exacerbent, on viendra chez le Mogho Naba lui demander de réconcilier les protagonistes. A ce moment-là, on dira que je suis partisan, donc je ne peux pas participer aux débats. On va m’exclure. Quand j’ai dit que je ne pouvais pas parler lors de ce meeting, on m’a rappelé que depuis 21 ans, c’est moi qui parle au nom des chefs au compte du parti au pouvoir. Mais j’ai dit que le sénat et l’article sont des sujets d’intérêt national et qui divisent les Burkinabè. Or, ce sur quoi je m’exprimais portait sur des questions partisanes qui n’avaient pas d’intérêt national. Tout cela pour vous dire que si deux citoyens ne s’entendent pas, mon rôle est de leur dire que la politique n’est pas la guerre et ne doit pas conduire à l’affrontement. Je dois m’élever au-dessus de la mêlée et préserver la cohésion sociale, ce qui ne veut pas dire absence de contradiction d’idées. Au contraire, il faut la contradiction pour que la vérité émerge. En mooré, on dit qu’il n’y pas de pouvoir sans le petit doigt ; quelqu’un doit pouvoir dire au chef : « Faites attention, car ce que vous faites peut conduire dans un ravin ». Dire tous les jours, chef c’est bien, c’est conduire à la ruine un pays parce que ça ne peut pas être bien tous les jours. Après votre démission du CDP et de l’assemblée nationale, vous auriez été l’objet de représailles. Qu’est-ce qui vrai dans ce qui a été dit et écrit ? Quand j’ai démissionné, François Compaoré a tenu une réunion des maires, de leurs 2 adjoints, plus 3 personnes ressources par arrondissement et il y avait entre 70 et 100 personnes au siège du parti. Voilà ce qu’il a dit : « On a dit que les gens ont démissionné mais ce n’est pas un problème. Bobo est acquis au président et sur les 70 députés, seul un vaurien a démissionné « Nee Yalga yé », mais il n’a qu’à rester là où il est, parce qu’on pourrait avoir besoin un jour d’un vaurien ». Je n’y étais pas, mais beaucoup de gens que j’ai soutenus y étaient et m’en ont informé. C’était en janvier. Début février, la directrice du FAPE est venue me voir un matin à 8h ; je croyais qu’elle venait me dire bonjour, mais elle a dit qu’elle est venue me dire qu’on leur a dit de quitter ma maison que sa structure louait. Je lui ai dit, madame, il y a un contrat de bail qui nous lie et vous ne m’avez pas envoyé un préavis. Elle m’a répondu en disant que c’est le ministère des Finances qui loue toutes les maisons pour les autres ministères. Je lui ai dit de m’envoyer une lettre pour signifier leur départ afin que je puisse moi aussi jouir des droits qui en découlent. Deux semaines après, je l’ai appelée, et elle a dit qu’elle a fait la lettre, mais le DAF a dit d’attendre pour voir si on va continuer à payer le loyer ou pas. Jusqu’à ce jour (L’entretien a eu lieu le 14 avril 2014), je n’ai pas reçu de préavis et je ne suis pas payé non plus. Dans la même lancée, le 29 janvier, on est parti pour couper l’électricité dans mon usine Belwet à Kossodo. Mon directeur technique m’a appelé pour m’en informer et j’ai demandé au monsieur si on ne pouvait pas négocier avec son supérieur pour un sursis d’une semaine. Ce qu’il a accepté. Après, on est allé arracher le compteur de la maison de ma mère à Larlé ici pendant que j’étais en réunion avec les gens du MPP. J’ai payé et ils ont rétabli le courant. Quand le DG de la Sonabel, qui était en mission est revenu, il m’a appelé pour s’excuser et je lui ai dit : DG, quand un citoyen comme moi a une position politique claire dans le contexte actuel, il faut faire attention parce qu’on va lier tout ça. Après, il m’a appelé pour me dire que les gens les interpellent partout et m’a demandé si je peux leur permettre de faire un communiqué, surtout que la Sonabel veut acheter mon carburant, l’huile de Jathropha pour leur centrale. Mais je n’ai pas eu la présence d’esprit de lui demander de m’envoyer le projet de communiqué avant publication, et c’est ainsi que dans le communiqué, il y a des choses contestables. Ils disent par exemple qu’ils n’ont jamais coupé le courant de la maison de ma mère parce qu’il n’y a pas de compteur au nom de la mère du Larlé Naba, alors qu’ils savent que ça fait près de 70 ans qu’elle vit dans cette maison. Bref, on fait une pression morale et économique sur moi parce que c’est la seule maison que j’ai et qui est en location. Pis, quelques jours après, quelqu’un m’a envoyé un message sur mon téléphone potable le 19 mars à 12h12 mn dont voici le contenu : « Naba, toi avec Roch, vous voulez tomber le pouvoir de Blaise, mais ça ne se fera pas devant vous. On va vous finir avant la chute de Blaise ; c’est toi-même le problème. Tampiran ! ». J’ai écrit au ministre de la Sécurité qui m’a donné l’identité de la personne. La police m’a envoyé les mêmes informations mais l’intéressé n’a pas encore été interpellé. Quelques jours après, « la belle-mère » m’a appelé pour m’enquiquiner parce que j’aurais mal parlé d’elle et de son gendre dans la presse. Je lui ai dit que si elle veut discuter avec moi, qu’elle vienne chez moi et on en parle. Elle a conclu par ces mots : « Wenda Songdo ; wenda song ned fan ». Ce n’est pas la première fois qu’elle me manque du respect ! Lors du meeting suivie de la marche organisée par l’opposition en janvier à la Place de nation, on vous a vu danser le Reggae sur le podium, en brandissant votre canne. Ne prenez vous pas le risque de désacraliser votre statut de chef en vous comportant comme un citoyen lambda ? Il n’y a pas de problème à ça ! Ce que les gens ne savent pas, c’est que mon grand-père a été le premier chef à créer une troupe traditionnelle et à organiser des tournées de danse dans tout le pays, lui-même jouant à la guitare. Au début, ça été vécu comme un sacrilège par le Naba Kougri, mais à la fin, quand Naba Kougri sortait, c’est avec le Larlé Naba. Mon grand-père a fait danser les Voltaïques à l’époque, en Côte d’Ivoire, en Allemagne, en France avec sa troupe. Et c’est lui-même qui montrait les pas de danse à exécuter ! Pour l’instant, j’apprends à jouer la guitare et n’y suis pas encore arrivé, mais je communie avec le public. Quand je danse, les gens sont contents. Lors du congrès du MPP au stade municipal, quand je me suis levé, il fallait voir la joie du public. Où est le problème si ça fait plaisir au peuple surtout que ce n’est pas interdit ? Même le Mogho Naba danse avec ses promotionnaires chez lui, c’est un fan du Rock and Roll ! Vous savez, notre monarchie vient du Ghana et là-bas, il y a la danse des rois. J’ai accompagné le Mogho Naba en 1995 pour les 25 ans de règne du Roi Ashanti. Comme il était vieux, c’est l’ancien président Rawlings qui a dansé pour lui ! C’est pour vous dire qu’il y a des sociétés où il est interdit au chef de danser comme chez les Peulhs de Djibo par exemple, mais pas chez les Mossés. Est-ce que le militantisme des chefs traditionnels dans des partis politiques n’a pas provoqué une déchirure dans la royauté moaga et miné sa cohésion ? Non, il n’y a aucun problème à ce niveau ! Qu’on soit CDP, MPP, UPC, UNIR/PS, on a le même devoir, la même soumission au Mogho Naba. C’est dans la politique partisane qu’on n’est pas ensemble, mais une fois qu’on se retrouve pour les rituels chez le Mogho Naba, il n’y aucune polémique. Je vais aux cérémonies coutumières de mes collègues et vice versa. Mais je dois reconnaitre qu’il y a une suspicion sur certains qui n’ont pas ouvertement fait connaître leur position. Les chefs qui sont clairs dans leur choix n’ont pas de problème, ce sont les autres qui sont soupçonnés et les gens qui savent qu’ils jouent sur plusieurs tableaux les interpellent en leur disant de dire où est-ce qu’ils sont. Je pense que ce n’est correct qu’un chef soit l’objet de suspicion. Est-ce que ça vous choque qu’on vous appelle par votre nom à l’état civil ? Non, à l’Assemblée nationale en 1992, le président Bongnessan Yé m’appelait Larlé Naba et appelait le Boussouma Naba par son nom à l’état civil, Salfo Théodore. A la fin de la première séance, je suis allé le voir et lui dire : Le Boussouma Naba est mon supérieur, c’est un roi et je suis un ministre du roi, je suis comme un de ses ministres. Soit vous nous appelez tous les deux Naba, soit vous m’appelez par mon nom à l’état civil et lui Naba, parce qu’il est mon supérieur. Il a dit ah bon, c’est comme ça ; dans ce cas, comme on est dans le temple de la démocratie, je vais vous appeler par votre nom à l’état civil. Depuis ce jour, on nous appelle par nos noms à l’état civil. Mais en dehors de l’hémicycle, on nous appelle Naba, mais ça ne me gêne pas quand mes promotionnaires qui ne sont pas mossi m’appellent Victor Tiendrebéogo, même si ça choque un mossi qui est à côté. Le Ouidi Naba a mis, « Cabinet Douamba Tinga » sur la plaque au bord de la route, mais c’est lui le doyen de la cour. Mais pour quelqu’un qui sait qu’après nomination on ne doit plus m’appeler par son nom mais qui le fait, il faut prendre ça comme de la provocation. Quel niveau de responsabilité souhaiteriez-vous être si d’aventure le MPP arrivait au pouvoir ? Au niveau du MPP, j’ai choisi volontairement de ne pas être dans l’exécutif tout simplement parce que je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique. Je suis un ministre du Mogho Naba, ce qui est un honneur, et si j’arrivais à exécuter mon programme, c’est-à-dire, réaliser l’abondance pour mes administrés, ce serait déjà un motif de satisfaction. Un poste de ministre ne m’intéresse pas, et si un jour vous voyez que je suis ministre, c’est qu’on m’a obligé, mais je sais qu’on ne va pas m’obliger. Je suis déjà occupé dans mes multiples activités : une unité d’eau minérale qui emploie 30 personnes, un verger de 10 ha de Moringa à Kombissiri, le Jathropha qui procure à 75 000 producteurs des revenus substantiels pour leurs familles. Je souhaite me consacrer plus à ces activités et à 54 ans, j’ai besoin de plus de liberté dans ce que je fais et être quelqu’un sur qui on peut compter. Avez-vous des enfants ? Oui j’en ai 7 enfants : 3 garçons dont deux jumeaux et 4 filles et je suis marié à une seule femme. J’ai hérité de 28 femmes de mon père qui en avait hérité de 33 femmes. Mon grand-père avait 55 femmes et quand il décédait, il restait 33. Elles sont 6 aujourd’hui et la moins âgée a l’âge de ma mère, 73 ans. Elles sont toujours dans la cour. Mon arrière grand-père avait 79 femmes ! Jean-Pierre Chevènement [Homme politique français] qui est mon ami était venu ici pour le 10e anniversaire de mon règne avec sa femme Lisa. Mes femmes étaient habillées en uniforme ; elle a demandé si c’était les femmes du village et j’ai répondu que ce sont les femmes de la Cour. Elle dit que c’est une tradition qui se perd, que je dois avoir beaucoup de femmes, ce à quoi j’ai rétorqué que c’était le progrès, une révolution et non un recul. Il faut être en phase avec la modernité. Quand date votre engagement social ? J’étais engagé dans le mouvement scout quand Mélégué Traoré en était président dans les années 74. Mais en dehors de ça, je n’ai pas milité dans les associations d’élèves. Après la Terminale, j’ai travaillé dans la pharmacie Tibo pendant trois ans et en 1986, j’ai fait le concours de la Banque internationale du Burkina (BIB), alors dirigée par Roch Kaboré. On se fréquentait depuis 1974 parce que lui et Simon Compaoré ont fait leurs études à Dijon avec un cousin à moi ; il habitait chez nous et pendant les vacances et les autres venaient à la maison. Mon grand-père et le père de Roch Kaboré ont travaillé au temps colonial ensemble et c’est chez Roch Kaboré que j’ai connu Blaise Compaoré en 1986 quand il était ministre de la Justice. Avec le recul, vous arrive t-il de regretter d’avoir quitté le CDP Non, pas du tout ! En posant le geste que j’ai fait, j’ai voulu montrer que, comme disait mon père, c’est sur le terrain du travail qu’un homme doit mourir et non en cherchant à manger. Je savais bien qu’en quittant le CDP, je n’aurai plus mes indemnités de député alors que mes activités me procurent des revenus qui sont pour l’instant maigres. Je ne retournerai pas non plus à la BIB même j’en ai le droit. Mais malgré tout ça, je préfère perdre tous ces avantages et être libre et digne que d’avoir de l’argent et être indigne. Comme le disait Sékou Touré, je préfère la liberté dans la pauvreté que la richesse dans l’esclavage. Et puis, je sais aussi que les temps ont changé, qu’on ne peut plus se permettre d’assassiner des gens comme on a tué Norbert Zongo même si je suis conscient que je ne suis pas au-dessus de ceux qui sont morts. On peut me tuer aussi, mais je n’ai pas peur. On dit chez nous que la mort est le sommeil, le sang la rosée. Si je dois mourir, que ce soit pour l’intérêt général et comme il y a des menaces, je prends tout au sérieux. Vous savez, un homme doit savoir faire trois choses ou à défaut des trois, au moins une : savoir parler, être utile à lui-même, à son prochain, à sa communauté ; savoir donner à lui-même, à sa communauté et à sa famille ; et savoir travailler pour être utile à ces trois niveaux. Quant on ne sait rien faire de tout ça, vaut mieux demander à Dieu de vous rappeler à lui parce qu’on devient un poids pour sa famille et sa communauté. Moi, je cherche toujours à donner à l’image de Jésus qui a dit que lui est venu pour servir et non se faire servir et je suis fier quand des gens viennent me remercier, surtout les femmes. Le président Blaise Compaoré avait consulté les chefs coutumiers sur la mise en place du sénat et la révision de l’article 37. Vous qui étiez de la délégation, qu’est-ce que les chefs lui ont dit exactement ? C’est vrai, j’ai eu la chance d’accompagner les musulmans, les chefs traditionnels et les catholiques chez le président en octobre dernier. Devant moi, tous lui ont dit de ne pas mettre le sénat dans un climat tendu. Tous les rois supérieurs étaient là, le Boussouma, Yatenga Naba, Tenkodogo Naba, le Koupiendiéli, le Mogho Naba, etc., et c’est ce dernier même qui était leur porte-parole. Ce jour-là, le roi de Fada a dit qu’il ne faut pas mettre le sénat sans prendre langue avec l’opposition. Mes supérieurs ont parlé. Je vis avec le peuple et je connais les réalités qu’il vit au quotidien. Il ne faut pas mentir au président en disant qu’il n’y a pas de problèmes. Il ne faut pas trahir le président car j’ai la certitude que si on veut forcer et mettre en place le sénat, la situation deviendra difficile à gérer. Il n’y aura pas la paix dans notre pays. Et moi, mon programme à vie, c’est promouvoir et préserver la paix et c’est ce que les rois ont demandé. Si on laisse le président, qui a fait 27 ans à la tête de l’Etat prendre des décisions qui précipitent le pays dans la violence, sans le lui dire, il aura toutes les raisons d’être déçu par ses amis comme moi qui ne lui auront pas dit la vérité, préférant préserver leurs avantages. S’il y a référendum, vous verrez que ce ne sera pas facile pour lui et moi, je préfère que le président sorte par la grande porte, qu’il devienne un médiateur africain, en tout cas, qu’il occupe une fonction importante pour l’Afrique. Pour le Burkina, il a fait la preuve de son engagement pour le pays et maintenant, il faut que de nouvelles personnes puissent apporter du nouveau et régler les problèmes les plus visibles comme les classes sous paillotes qu’on voit partout dans le pays, y compris à Ziniaré, dans l’Oubritenga, la province du président. Interview réalisée par Joachim Vokouma Lefaso.net (France) |
Vos commentaires
1. Le 30 avril 2014 à 11:44, par fofana drissa En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
ah quelle géniale prise de conscience de la part du naaba, !!!!!
Le 30 avril 2014 à 11:57, par le revolté En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
""Et puis, je sais aussi que les temps ont changé, qu’on ne peut plus se permettre d’assassiner des gens comme on a tué Norbert Zongo même si je suis conscient que je ne suis pas au-dessus de ceux qui sont morts. On peut me tuer aussi, mais je n’ai pas peur. On dit chez nous que la mort est le sommeil, le sang la rosée. Si je dois mourir, que ce soit pour l’intérêt général et comme il y a des menaces, je prends tout au sérieux "" disait le naaba ,mon gars il ne peut pas changer c est frustré voyez vous même quelqu un qui estime vouloir la paix pour sa communauté devait il tenir de tels propos ? c est décevant de la part du NAABA
Le 30 avril 2014 à 12:36, par YIRMOAGA En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Un Moaga digne comme son grand-père. Des coutumiers de cette race,y’en a plus suttout o plateau central.Que Dieu vous préserve du mal,afin que vos sujets vous accompagnent dans la dignité.Que dieu garde vos mains humides afin QUE.....?
Le 1er mai 2014 à 02:43, par vérité no1 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Mon chef, vous êtes un burkinbila, un vrai homme intègre et vous serez ministre de la culture ici au Burkina. Si François n’est pas content, il pourra attraper la lagune ebrié après 2015.
Le 2 mai 2014 à 18:58, par tchien chè En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Vérité n1 si tu est sincère envers toi même tu doit reconnaître que ce type a déconner,il est en train de salir l’image des chefs coutumiers au Burkina et même si ces gens n’ont pas le courage de le faire savoir il doit prendre conscience et arrêter tout de suite.
Le 5 mai 2014 à 13:02, par madcool En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
il a fait quoi ? laisse le gars tranquil ! c’est un digne le larle
Le 3 mai 2014 à 13:31, par bako pinidié En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
voila un rêveur ,qu est ce que ce monsieur connait de la culture ,le burkina n est pas que mossi alors il ne suffit pas d être un traditionaliste moaga pour pouvoir être ministre de la culture même s il sait danser le reggae
Le 1er mai 2014 à 08:51, par Justin En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Bof, je dirais à Victor de vérifier ses sources et d’avoir des preuves à l’appui avant d’affirmer que l’on l’a insulté de ‘Nii Yalga’. Je comprends qu’il n’ait pas se reflexe vu que lui-même a fait remarquer qu’il n’est pas universitaire. En tout cas dans le temple du savoir et de la réflexion, c’est comme ça nous ont fait, ON JUSTIFIE CHAQUE ARGUMENT AVEC DES FAITS ET PREUVES A L’APPUIE. Des simples dire ou rumeurs ne sont pas suffisants pour faire de telles déclarations... Pour ce qui est du SMS reçu la par contre, ça constitue une preuve pertinente et intellectuellement recevable.
Le 1er mai 2014 à 12:12 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
S’ il a dit qu’ il n’est pas universitaire, c’est par modestie. Ca ne veut pas dire qu’ il n’est pas intelligent. D’ ailleurs combien d’ universitaires au CDP ont l’ intelligence pour etre lucides ? S’ il suffisait d’ etre universitaire pour etre intelligent et clairvoyant, le Burkina serait vraiment un pays emerge, pas "emergent" ou deux repas par jour, c’est un exploit. Toi par exemple, Justin, tu es universitaire mais tu es bete et en plus tu es mal eduque. Don ton universitariat ne peut meme pas te sauver.
Le 2 mai 2014 à 12:45, par Zin En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Jusque là, j’ai passé trop de temps à me demander pourquoi Blaise veut rester au pouvoir. l’argument selon lequel on ne change pas une équipe qui gagne ne convaint même pas ceux-la mêmes qui s’en servent. Après 26 ans de pouvoir, quelqu’un pourrait-il m’expliquer pourquoi un chef d’Etat peut-il continuer à s’accrocher au pouvoir malgré les risques et peril qui lui sont connus ? Eclairer ma laterne svp
Le 3 mai 2014 à 05:51, par Justin En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
J’éclaire ta lanterne volontiers : Il reste au pouvoir parce que les citoyens en ont décidé ainsi et cela a plus de 80% même des suffrages exprimés. D’où le faite que l’opposition refuse le referendum (ils ont en effet aucune chance face à une personne autant populaire).
Le 3 mai 2014 à 22:37 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
il reste au pouvoir apres comnbien de gymnastiques et de chantages ? Maintenant, c’est fini. Le peuple s’ est reveille. Leves- toi. Si le barbare reussit a te terrasser, c’est mieux que de t’asseoir il va te donner des taloches humiliantes. A bana. A baa ra. Sem meh. Finished. C’est fini.El fin de poder, Blasco. Und die hunde schwiegen. Et les chiens se taiserent.
Le 1er mai 2014 à 13:30, par triangle du diable En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
relisez son interview. Il a bien dit que les propos lui ont été rapportés par des personnes qui étaient présentes à la rencontre avec François. Il n’a jamais dit qu’ils les avait entendus lui-même. Quelle vérification autre que les propos des gens voulez-vous qu’il fasse ? Et puis il ne fait pas de ça sa principale préoccupation. voudriez-vous qu’il demande à françois ou quoi ? serait-ce une bonne idée ? je ne pense pas compte tenu du climat déjà chauffé.
Le 1er mai 2014 à 20:58 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Plusieurs pwersonnes sont venues lui rapporter la meme chose. S’ il ne peut pas croire que le petit president a dit ca, ca veut dire que nous- memes africains, nous rejetons notre identite. La tradition orale a- t- elle de sens oui ou non ?
Le 2 mai 2014 à 07:17, par Justin En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Je pense justement que la tradition (oral) doit évoluer si on aspire à faire évoluer et progresser notre société. Cette méthode orale à montrer ses limites dans la société d’aujourd’hui. DOIS-JE COMPRENDRE QUE VICTOR FAISAIT PARTIE DE CEUX QUI ONT CRU ET MANIFESTE LEUR JOIE POUR LA QUALIFICATION DU BURKINA EN COUPE DU MONDE ? Je suis par ailleurs sur que d’autres ayant assisté a la rencontre diront que des injures à l’encontre du Laarle Naaba n’auraient jamais été proférés. Je remarque en plus qu’à part le laarle personne ne vient confirmer les injures prononcées publiquement. Avant de PUBLIQUEMENT faire une annonce, vérifiez l’information, c’est essentiel.
Le 2 mai 2014 à 07:24, par Justin En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Mr du 1er Mai 12h12, j’ai simplement mentionné que son argument concernent l’insulte de ‘Nii Yalgaa’ nécessitait plus d’approfondissement (et cela de façon pertinente) avant d’être mentionner de façon public comme un fait, surtout venant d’une personne qui voulait pas jouer dans la boue. Dans mon commentaire, Je ne vois pas le rapport avec le CDP dont tu parles ? Lis et comprend mes propos avant d’y répondre afin que ta réponse soit pertinente Mr anonyme. Triangle du diable, ce que j’attends au moins, c’est que ceux justement qui ont relevés et transmis ces propos au Naaba le confirment. Ça aurait été plus crédible venant de la personne ayant assisté à cette soit disant rencontre que de la part d’un Naaba non universitaire qui écoute apparemment donc toute les histoires qu’on lui rencontre sans en vérifier la pertinence et la réalité.
Le 2 mai 2014 à 10:14, par Zin En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Est ce que ton bien aimé "Roi" veneré (Blaise Compaoré) des pauvres intellectuels Burkinabé est lui même universitaire ? Pourtant, on voit des Docteurs et Profeseurs d’Université chanter leur prophète venu pour les sauver. C’est ca qui est inquiétant avec tous ces soient disant intellectuels. On a impression qu’ils ont perdu leur conscience. Que Dieu pardonne à leur pauvre ames qui n’ont d’yeux que pour leur ventre et bas ventre.Ca me rappelle encore ce emminent inetellectuel President du Conseil Constitutionnel Ivoirien qui, pour ses interets personnel avait donné la caution légale à Gbagbo pour declencher une guerre fraticide en CI. Que Dieu viennes au secours de l’Afrique et de ses soi-disant intellectuels ou universitaires.
Le 5 mai 2014 à 13:08, par madcool En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Attend un peut mon gars ! il y’a pleins des universitaires abrutir !!
Le 2 mai 2014 à 21:18, par KA TOUB WIITA En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Yirmoiga,s’il faut se dire la vérité le laarlé n’a pas fait honneur a nos traditions.Depuis quand tu connais le nom a l’etat civil d’un chef coutumier chez les mossés.Le laarlé a bafoué la tradition en se faisant appelé par son vrai nom a l’AN.Qu’on se dise la vérité
Le 30 avril 2014 à 12:38, par doudouno le cobra En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
soit on est un chef coutumier ou politicien .Arrêtes de nous prendre pour des pantins.Tu es aussi comptable du bilan du CDP
Le 30 avril 2014 à 12:39, par SAKKISONGË En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
ah mon naaba, je vous tire mon chapeau.Votre lucidité est digne de votre rang.
Je suis ravi de connaître votre parcours et votre sens de la responsabilité et de la respectabilité.Si Francois compaoré ( je dis bien Francois COMPAORE)force pour le referendum, il rejoindra GBAGBO avec BLAISE au CPI car ils seront obligés de nous tuer ; Quand ils seront au CPI, on leur enrayera une copie de votre interview ; bravo, aucun burkinabé ne veut du referendum ; moi je suis un petit lettré, je rencontre au quotidien au moins cinq nouvelles têtes, je n’en connais pas un seul pour le moment qui veut le referendum ; tous veulent l’alternance même si elle serait regrettable, mais on la veut quand même.
Alors la CPI doit déjà ouvrir un dossier sur le Burkina car il aura de probables candidats : FRANCOIS COMPAORE, ASSIMI KOUANDA, ALAIN YODA, HERMANN YAMEOGO, ALIZETA GANDO ET enfin BLAISE COMPAORE
Le 30 avril 2014 à 17:51, par Pière En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Vous pensez que le Larlé pense à vous, au peuple, détrompe toi. La pure préoccupation du larlé c’est son ami Roch. C’est Roch qui l’a fait en tant homme politique. C’est Roch qui l’a mis au BIB et tout ça il le doit à Roch. Donc il est prêt à mourir pour Roch même pour une cause indigne. Et cause actuelle d Roch est indigne, Roch ne cherche pas le pouvoir pour le peuple ou pour se venger de la famille Compaoré. Et dans ce règlement de compte c’est le peuple qui en sortira perdant.
Le 1er mai 2014 à 20:48 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Ah ! Je ne savais pas ca. C’est tres interessant. Maintenant je comprends pourquoi le Laarle Naaba se debat si fort. Ca prouve vraiment qu’ il est tres humain. Sankara a fait de blaise le n02 a l’ epoque ou l’ homme n’ etait pas sur de lui du tout. Il a fait quoi a Sankara apres ? Roch a fait du Laarle Naaba ce qu’ il est aujourd’ hui. Sans lui Roch il ne serait meme pas ne. Mais Roch, qui a fait de lui ce qu’ il est aujourd’ hui ? Raphael Meda, le directeur fondateur de la BIV devenue BIB ? Roch donc a fait quoi en retour pour cet ancien ministre des finances de Maurice tombe dans la quasi- pauvrete ? Dans tous les cas, c’est grace a quelqu’ un qu’ on devient toujours quelqu’ un mais on est pas toujours oblige de le reconnaitre. Si on le reconnait, on ne fait que montrer son cote humain, ce qui encore une valeur ajoutee. Naaba, c’est grace au petit infirmier du village que moi je vis toujours auourd’ hui. Dommage que je ne puisse meme plus lui rendre hommage car j’ ignore meme jusqu’a son nom et la ou il est aujourd ; hui. Raconmtez tout ce que vous voulez, mais au moins reconnaissez que le Laarle Naaba a des valeurs tres humaines et on ne peut pas dire qu’ il est un chef quelqconque. La verite est bonne a dire.La marque des grands, c’est la simplicite et l’attachement a la dignite. Entre Roch et Blaise, qui a plus d’ argent ?Qui peut faire que tu deviennes encore plus grand ?
Le 2 mai 2014 à 09:26, par wendbenedo En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Pierre ne penses tu pas qu’avec la politique du ventre actuel il vaut mieux mourir pour Blaise que pour Rock ?!!!! le choix du Laarlé Naaba est un choix digne d’un prince Moaga !!
Le 30 avril 2014 à 13:42 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
que règne la paix pour l’éternité
Le 30 avril 2014 à 14:12, par jean-ouedraogo12@yahoo.fr En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
N’est-ce pas, par hasard tard pour cette prise de conscience ? Ne serait-ce pas la politique pure qui a permis au Larlé Naaba d’être où il est ? S’il avait voulu être qu’il souhaite, il n’aurait pas dû s’engager en politique...
Le 1er mai 2014 à 10:46, par Dumper En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Il n’est jamais tard pour bien faire. Naaba, j’avaoue que je ne vous aimais pas en vous voyant dans la politique mais aujourd’hui après vous avoir lu, je suis fière de vous.Que la paix rêgne au BF.
Le 30 avril 2014 à 14:43, par femme consciente En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Bon courage Naaba ! Le seigneur vous protegera.
Amen !
Le 30 avril 2014 à 16:31, par Tifis En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
La réalité du terrain a rattrapé le Naaba et pour développer son coté culturel le Larlé Naaba se métamorphose en un danseur incontestable au détriment de la politique. Quelle prise de conscience de la part du Larlé qui veut enfin jouer son rôle de chef coutumier.
Le 30 avril 2014 à 15:33, par Kelgui-ka En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Un homme prévenu en vaut deux...Combien de fois des citoyens ont dénoncé le mélange de la chefferie traditionnelle à la politique ? Qu’il ne soit pas étonné qu’on le voit autrement...Quand un citoyen lambda expose son idée, il n’est pas écouté, maintenant quand un homme POLITICOTRADITIONNELOPERATEURECONOMIQUE parle, veut qu’on l’écoute ? Respectons nous !!!
Le 30 avril 2014 à 15:54, par Le chancelier En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Seulement qu’ avec les actuel leader du MPP ça ne sera pas de nouvelles personnes à la tête de ce pays car ils ont contribués sur tous les plans à l’eta actuel du pays, epuis Mr victore vous avez choisi des responsabilités politiques ce que je considère comme un fait regrettable pour un Naba, mais si vous avez vos problèmes politique ne venez pas vous refugié derrière votre titre de Naba.
Le 30 avril 2014 à 17:01, par Adama En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Je n’arrive pas à comprendre le naaba quand il parle d’intérêt national et d’intérêt partisane, j’avoue qu’en politique la limite est mince et le citoyen lamda ne fait pas cette différence ou du moins ne cerne pas cette différence.
Le 30 avril 2014 à 17:43, par Ph En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Les leaders du MPP sont simplement des arnaqueurs du peuple. Ils oublient complément que rien que hier ils disait oui à tout juste pour avoir le ventre rempli. Et aujourd’hui ils viennent nous dire qu’ils sont au coté du peuple alors qu’ils ne connaissent pas le tiers de ce que vit le peuple. Ils prennent le peuple pour idiot.
Le 8 mai 2014 à 10:59, par Visionnaire En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Ce monsieur doit être un sérieux aigri de la société. Il se plaint, accuse sans preuve. Il faut plus tôt vous en prendre au CDP qui dirige ce pays depuis trois décénies.
Le 30 avril 2014 à 19:08 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
vous etes tous une machine de blaise,et sache ke le peuple ne vous pardonnera jamais menteur
Le 1er mai 2014 à 22:56, par Tiendrebeogo issaka En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Je dirai au president compaore de simplement quiter la presidence quant le moment sera venu
Le 30 avril 2014 à 15:59, par l’agitateur En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Quelle sagesse ! Merci VOKOUMA. Cet interview est en lui seul un livre d’histoire, pleine de sagesse et d’instructions. Naba, que Dieu te donne longue vie et préserve le BURKINA FASO de tous ceux qui veulent servir leur propres intérêts, même en le brûlant. Vive la démocratie ! Vive la liberté ! Vive la vérité !
Le 30 avril 2014 à 21:21 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Toi tu es un griot seulement
Le 30 avril 2014 à 16:15, par l’homme du moment En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
je ne suis pas issu d’une société à organisation centralisée mais ce Chef Mooga est un vrai Chef. Rien à dire c’est un vrai homme intègre.
Le 30 avril 2014 à 16:29, par Max En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Je crois que le Mogho Naaba a mis le Larlé Naaba sur les railles et il commence à comprendre son role de chef coutumier. Il a intérêt a marché sur cette voie pour ne pas se laisser traîner encore dans la boue.
Le 30 avril 2014 à 16:39, par De Balzac En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Félicitations ! Les rois du Mogo ont prévenu Blaise de ne pas s’amuser avec le feu. Les différents leaders religieux l’ont également prévenu. Il ne faudra pas un jour qu’il ose dire qu’on n’a pas tenté de sauver sa tête. Le temps est l’ennemi de l’homme car c’est dans le temps que réside la vérité.
Le 30 avril 2014 à 20:18, par john pololo En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Voila un chef traditionnel ridicule et qui ridiculise de part sa réaction la chefferie traditionnelle au pays des hommes intègres.Il faut savoir ce que l’on veut dans la vie et arrêter de tourner par ci par la intéressé par rien que le pouvoir.
Le 30 avril 2014 à 20:20, par le woudy En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Évidement que l’unité et la cohésion de la royauté moaga est mise a rude épreuve. Avec ces genre de réaction on ne peut que se poser des question sur l’avenir de la chefferie traditionnelle au Burkina.C’est d’autant plus claire que part sa réaction beaucoup de chef sont déçu de lui et pour réparer cette image que les gens ont d’eux il sera vraiment difficile.
Le 30 avril 2014 à 20:21, par electron 1er En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
"La seule chose qu’il leur demande, c’est de travailler à consolider la paix et ne pas se manquer de respect"c’est exactement ce que tu fait exactement,toi et ses démissionnaires ne sont-ils pas une menace pour la paix au Burkina ?La paix a tout d’abord été un comportement et c’est pas moi qui le dit,c’est triste en tout cas que tu soit impliquer dans un truc pareil.
Le 30 avril 2014 à 20:24, par ERIC PATRON En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Mais je peut t’assurer que jusqu’à présent le nom demeure car il te va tres bien. Jusqu’à preuve de contraire tu est le seul a avoir attirer l’intention de tout le peuple sur la chefferie traditionnelle,si quelque chose ne va bien dans un future proche ou lointain tu doit te tenir responsable pour ça.
Le 30 avril 2014 à 20:26, par gros bras mince En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Monsieur Tiendrebeodo vous faite de la politique et dit n’est pas où se situe le problème et bien je vous explique.Un chef traditionnel est sensé avoir le respect de tous surtout des mosse et pour avoir et mérité ce respect tu doit t’abstenir pour n’est pas t’en tirer des ennemies.En politique les idées du peuple on toujours diverger et il faut vraiment éviter de prendre parti en politique.
Le 30 avril 2014 à 20:52, par kaboré ludovick de tanguin En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
c’est mieux pour le larlé .il doit s’occupé de son poste ministériel traditionnel car c’est là sa place .pour ne pas avoir à subir d’autres manquements qui d’ailleurs fait parti de la politique d’une nation à ne pas confondre avec la politique de naaba .
Le 30 avril 2014 à 21:33, par le solitaire En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Je ne crois ni mot de ce que tu as avancer comme argument pour justifier ta venue sur la scène politique.Et puis sache qu’un homme se distingue par sa parole donné tu dit n’est pas être intéressé par la politique autant rester sur tes gardes si tu l’est réellement pourquoi donc céder ?Je pense que tu n’est pas un homme sérieux c’est tout.
Le 30 avril 2014 à 21:35, par electron 1er En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Tu dit jouer un rôle de réconciliation entre le peuple en cas de forces majeur,vous oublier que vous avez perdu votre statue qu’on avait de vous.Il fallait y penser avant de se mettre dans la politique,maintenant c’est peine perdu vous ne pouvez pas réparer vos erreur car il est trop tard.
Le 30 avril 2014 à 21:36, par gros bras mince En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
"Dire tous les jours, chef c’est bien, c’est conduire à la ruine un pays parce que ça ne peut pas être bien tous les jours"Donc si tu reconnait ça c’est bien,mais le chef dans la majorité de ce qu’il fait est bien on lui dira dans la majorité de nos propos que c’est bien.L’homme n’est pas parfait ce qui veut dire que l’erreur est humaine.
Le 30 avril 2014 à 21:37, par la fille du capo En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Donc si je comprend bien vous étiez un béni oui oui durant tous ce temps que aviez été proche du président ?Tu fait au chef traditionnel du royaume mosse.
Le 30 avril 2014 à 21:39, par john pololo En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
c’est toi qui a chercher tout ça moi je trouve qu’il ta loupé.Ça vous apprendra toi et les autres a faire de la politique pour faire de la politique.
Le 30 avril 2014 à 21:41, par entre juge et parti En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Est ce vraiment toi qui est refuser volontairement de ne pas faire parti du bureau exécutif ?Je n’y pense pas et puis si vous souhaité que votre rôle culturel soit mis en avant il faut carrément que vous cessez de faire la politique.
Le 30 avril 2014 à 21:42, par entre juge et parti En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Monsieur le Larlé Naba vous voulez vraiment votre rôle culturel soit mis au premier plan ?Laisser la politique dans la main des politiciens car dans la vie chacun a son travail.
Le 30 avril 2014 à 21:51, par entre juge et parti En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Monsieur le Larle Naba vous êtes vraiment passer a coter de votre sujet.Le mieux serait qu’on en parle plus,vous devrez travailler a réparer votre image car vous êtes loin de vous voir jeter des fleures par le peuple.
Le 30 avril 2014 à 22:50, par django tom En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
dire que le moogo naaba dance avec ses promotionnaires au palais n’est pas comparable avec celui là qui se dit naaba qui en pleine rue dance du reggae .aujourd’hui nous pouvons dire avec clarté que le larlé est la honte du royaume mossi .
Le 1er mai 2014 à 07:05, par Hamidou s En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Je ne suis pas d’accord avec le naaba sur beaucoup de points. Le naaba doit comprendre qu’il représente tous les citoyens et par conséquent il ne doit pas prendre parti. En quittant le cdp pour le mpp c’est normal que François l’insulte parce qu’il a trahi. Il doit quitter la politique et pour toujours.Il faut légiférer sur le rôle des naaba en politique. Il doit être naaba ou politique parce que le peuple ne les comprend pas.P
Le 2 mai 2014 à 19:11, par pierre franfu En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
JE trouve qu’il est temps que l’on décoiffe ce naaba,qui depuis ne cesse de ternir l’image de la chefferie moaga.comment un chef de sa trempe esquisse des pas de reggae dans le grand publique.cela n’est pas digne de sa catégorie.franchement ce chef nous met assez la honte....
Le 2 mai 2014 à 19:23, par justine En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
il faut que le LARLE NAABA comprenne que l’on ne peut pas poursuivre deux lièvres a la fois.soit il est un homme politique soit il ne l’est pas.faudrait pas qu’il cherche a se mettre sous une coupe.
Le 2 mai 2014 à 19:35, par katoo En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
DIS nous pourquoi tu ne voudrais pas qu’on mette en avant ton coté homme politique ?c’est encore la concoction d’un plan machiavélique !je me demande si ce chef sait ce que l’on appel l’honneur du chef moaga
Le 2 mai 2014 à 22:20, par KINDA Yaya En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
LE larlé naaba ne parle pas en connaissance de cause !pourquoi je dis cela.d’ailleurs pour un homme de sa trempe e devrais pas se lancer autant de fleur ;jusqu’au point qu’il dis être capable de rentrer dans la tête du mogho naaba.il commence a perdre la tête !!!
Le 2 mai 2014 à 22:33, par kaboré ludovick de tanguin En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
le danseur de reggae ,je penses que tu dois respecter tes prédécesseurs et faire les choses dans l’art de la tradition mossi .nous , mossi n’acceptons pas que quelqu’un qui doit faire valoir nos culture décide de les piétinés .même à l’extérieur , les gens ne font que parlé de la résistance de la culture mossi à la modernité européenne mais voici qu’un seul homme veut mettre à mal la culture d’un peuple tout entier .si tu ne peux pas continuer la mission qui t’es assignée , alors passe le trône à qui de droit .
Le 2 mai 2014 à 22:45, par KINDA Yaya En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
bien Parler Mr KINDA,notre naaba commence a délirer.il se glorifie,et pourtant un chef doit être humble,et soumis.
2. Le 30 avril 2014 à 11:47, par Tifis En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
La réalité du terrain a rattrapé le Naaba et pour développer son coté culturel le Larlé Naaba se métamorphose en un danseur incontestable au détriment de la politique. Quelle prise de conscience de la part du Larlé qui veut enfin jouer son rôle de chef coutumier.
3. Le 30 avril 2014 à 11:51, par Max En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Je crois que le Mogho Naaba a mis le Larlé Naaba sur les railles et il commence à comprendre son role de chef coutumier. Il a intérêt a marché sur cette voie pour ne pas se laisser traîner encore dans la boue.
4. Le 30 avril 2014 à 11:55, par Non au Sénat En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
"Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique" : c’est simple, quittez donc la politique !
5. Le 30 avril 2014 à 12:00, par Watt En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Interview interessant qui permet d’eclairer sur la mesentente avec Francois Compaore. Je pense que ce dernier a interet a parler directement avec le Larle Naba et non par un communique du CDP. Cela permettrait de regler definitivement ce probleme enter eux.
6. Le 30 avril 2014 à 12:11, par Nabiga En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Chapeau bas mon Naaba !
7. Le 30 avril 2014 à 12:21, par toutouroutou En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
un homme doit savoir faire trois choses ou à défaut des trois, au moins une : savoir parler, être utile à lui-même, à son prochain, à sa communauté ; savoir donner à lui-même, à sa communauté et à sa famille ; et savoir travailler pour être utile à ces trois niveaux. Quant on ne sait rien faire de tout ça, vaut mieux demander à Dieu de vous rappeler à lui parce qu’on devient un poids pour sa famille et sa communauté>Naaba je vous respecte. Ah si tous les burkinabes pouvaient avoir ce slogant dans leur vie.
8. Le 30 avril 2014 à 12:34, par traoré moussa En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
J’ai lu son mot avec beaucoup d’intérêt. Toutefois, je regrette une chose : la vision du Larlé Naaba qui, quand il parle des chefs traditionnels ne voit que les chefs Mossis Or au Burkina IL N Y A PAS QUE LES MOSSIS QUI ONT DES CHEFS. Je pense que les chefs traditionnels (y compris et surtout lui ..) que le gouvernement doivnent en prendre conscience. L’ensemble du pays qui gagnerait J’ai un propos respect pour le Larlé (je ne suis pas :mossi ni samo) mais je pense qu’il peut œuvrer à une telle ouverture
Le 1er mai 2014 à 10:48, par sissi En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Mon frère, c’est que sous les mêmes cieux du pays, exceptés les dignes chefs bwamou évoqués par NazinB, il y a de nos jours des "chefs suivis" et "des chefs suiveurs". les oreilles sont faites pour entendre. Remenber le "grand sud ouest".
Le problème qu mine au burkina c’est le penser politique, le parler politique et l’agir politique exclusif de certains hommes politiques.Pensez y.
Le 1er mai 2014 à 13:02, par Traore Sidki En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Je pense qu’il faut elever le niveau du debat.m.traore vous etes hora sujet.si vous voulez vous pouvez aller interviewer le naaba qui vous plait.en entendant aujourd’hui c le Larle Naaba
Le 1er mai 2014 à 21:05 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
A part les mossis et les gourmantche, il n’ y a pas de chefferie traditionnellle authentique. Moi meme qui parle comme ca, j’ esneigne des balncs et quand je leur dis que je s suis fils de chef, ils veulent m’ appeler principe. Je dis non. Je ne suis pas prince mais chef fabrique par la colonisation. Allez en pays lobi ou bwaba ou dagara et vous verrez si le chef ne boit pas le tchapalo au petit marche, partageant la cola avec le citoyen lamda. Ce n’est pas chefferie par naissance mais par imposition. Dans ces societes, tu es chef par ton comportement. Si tu es un con, tu n’es plus chef.Par temperament, je prefere les societes traitees de societes acephales par ignorance. Chez nous, la chefferie est permanemment ouverte. Tu es chef aujourd’ hui mais si demain tu deconnes, on te passe. Je ne suis pas sur que le Laarle Naaba ait voulu passer sous la jambe des autres "chefs" traditionnels" qui sont plutot des chefs administratifs. Chez nous on dit qu’ on magnge pas chez le chef parce que la chefferie est arbitraire chez nous. Bien sur que comme la chefferie est de naissance chez les mossi et les gourmatche, ca pose souvent probleme de competences. On a eu des chefs bouffeurs, iditots, qui prennent des decision malheureuses mais c’est tres difficiles de les renvoyer par qu’ ils sont chefs par naissance.
9. Le 30 avril 2014 à 12:39, par Tapsoba®(de H) En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Mes respects,M’naaba.Longue vie.J en suis tellement émus que je ne sais quoi dire.Pour les ménaces,comme disaient nos ancêtres,"Wend pa ku,naab pa kuud yé."(Seul Dieu,le tout puissant qui nous a créés peut nous retirer la vie et nulle personne d autre,fut-elle chef)
10. Le 30 avril 2014 à 12:52, par N’dief En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Quel interview ! c un homme plein d sens et de sagesse. Honneur a tw le larlé naaba
11. Le 30 avril 2014 à 12:53, par nabayouga En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Je suis étonné que le NABA parle du président aujourd’hui comme un criminel ; le fondement de ce pouvoir a toujours été la violence : sankara, clément Ouédraogo Henri zongo, lingani, bewindé Christophe, Norbert zongo, watamou lamien, patrice zagré,etc. etc....... Tous sont morts de mort violente . C’est pour cela qu’on ne pourra pas faire l’économie d’un procès des coupables et ils sont encore là.
12. Le 30 avril 2014 à 13:17, par louré En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Bonjour ! Je suis un burkinabé anonyme mais que la grâce de Dieu a permis de savoir certaines choses de l’histoire de ce pays. Je demande pour l’honneur, à tous ceux qui interviennent dans la presse, d’interroger objectivement leur conscience et de se dire qu’ils ont l’obligation morale et historique d’éduquer la jeunesse de notre pays et ce, dans la vérité qui elle, demeure éternelle en dépit des turpitudes des hommes. En lisant l’interview du Larlé Naaba, trois choses ont retenu mon attention.
1- l’affirmation selon laquelle il aurait été membre fondateur de l’ODP/MT.
Je suis profondément surpris et blessé par cette affirmation et je prie le
Larlé Naaba de rembobiner sa cassette et dire en qu’elle année le référendum
constitutionnel s’est tenu. S’il retrouve cette date, qu’il dise aux
burkinabé, surtout à sa jeunesse, quel était
son statut politique en ce moment. Je suis de ceux qui ont choisi de se
taire pour l’instant mais si Dieu nous donne longue vie, chacun de nous
fixera son témoignage afin que nos enfants et nos petits enfants s’éclairent
de l’histoire de leur patrie, la réelle et non celle que chaque acteur tente
de réécrire pour des causes dont ils sont les seuls intéressées.
2- l’affirmation selon laquelle, ces collègues du palais lui auraient reproché de suivre un criminel, celui-ci n’étant autre que Balaise COMPAORE. Je sais que le Larlé Naaba aussi sait qu’aucun de ceux qu’il qualifie de collègues n’interviendra pour le contrarier dans la presse, la polémique pouvant devenir inutile et contre-productive. Tout le monde (les témoins de cet instant) sait qu’elles ont été les réactions des différentes forces sociales à la survenue du 15 octobre, y compris la réaction de ceux qui incarnaient la féodalité qu’on abattait à longueur de meeting sous la Révolution de l’ange SANKARA.
3- Le Larlé Naaba et même certains organes respectables de la presse nationale ont toujours qualifié son départ du CDP comme étant un acte de bravoure à nulle part égale ou égalée.
Non, la seule fois où le Larlé naaba a posé un acte de courage, c’est lorsqu’il a réuni des centaines de traditionnels à son domicile afin que le futur Président du MPP vienne leur dire merci du soutien dont il a bénéficié de leur part depuis qu’il était Président du CDP et Président de l’Assemblée Nationale, même s’il y a lieu de dire également lorsqu’il était Premier ministre et dont l’avènement avait fait dire au regretté Norbert ZONGO (toujours lui !!!), qu’avec Rock Premier ministre, le Burkina des Affaires gérait désormais les affaires du Burkina !
Pour revenir au prétendu acte de bravoure, le prétexte de l’injure par François COMPAORE est une ruse, car le Larlé savait qu’il ne pouvait plus brandir le fanion du CDP alors que son meeting de bonnets rouge était l’acte premier de la naissance d’une dissidence du CDP qui vite se transformera en parti politique. Comme tout le monde politicien du Burkina aime infantiliser les Burkinabé, le Président Rock est tombé dans le piège car sinon, dites moi, bonnes gens, comment peut-il se faire que ce soit deux années après avoir quitté les hautes charges de son parti et de l’Etat que subitement il s’est rappellé que des chefs l’avaient soutenu, alors que la logique et l’élégance auraient voulu qu’à l’instar d’un Simon COMPAORE qui a fait le tour des associations et instances qui l’ont soutenu pour un merci d’adieu, Rock en fit autant avant de partir. Alors, je répète que le Larlé naaba n’avait pas d’autre choix que de rester dans la logique de construction de l’anti-cdp, ce qui était son droit et qui est devenu son devoir.
Le 1er mai 2014 à 20:57 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Vous n’ avez rien demontre. Si vous avez quelque chose a dire, dites- le maintenant ou taisez- vous a jamais.L’ imposture ne passera point. Simonm a fait ce qu’ il voulait par rapport a ce qu’ il a percu de bien a faire en son temps. Roch a fait de meme, meme apres. Ou est le probleme ? Et puis vous ne voyez pas que quitter son poste de depute ou tu es paye 1 million par moi, c’est un acte de courage ?C’est pour simplement ironiser en disant que le seul ate de courage a consiste a convoque des chefs chez lui ? Un peu d’ esprit moins partisan tout de meme. Qu’est-ce qui etait plus facile entre rester avec un regime pourri qui est pret a acheter tout le monde comme une galette et dire non> On ne suivra pas la merde jusqu’ au bout. Et c’est la que les hommes de dignites ne sont jamais des hommes acquis.. une fois pour toutes.
13. Le 30 avril 2014 à 13:20, par Yakouba En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Je souhaiterais que ce Ministre du Mogho NAABA quitte completement la scène politique pour jouer plus à sa dignité. Car je vois qu’il peut etre un grand mediateur aussi au cas si... Naaba, comme vous etes pour la paix,quitter dans toute organisation politique pour rester plus digne de votre nom et au nom du Chef et aux mossi.
Merci !
14. Le 30 avril 2014 à 13:39, par El Hadj YANOGO En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
M’Naaba, tous mes respects ! Dieu, en qui nous croyons vous bénira abondemment ! La personne qui vous a insulté avec le sms est certainement l’une des arrières arrières petit fils ou petite fille de ceux que Dieu avait maudit au temps de Loth ! Ils sont nombreux de nos jours au Burkina et leur vocation est de mettre le feu par tous les moyens (mise en place du sénat, modification de l’article 37...). Mais, m’Naaba, Dieu va nous venger !
Le 30 avril 2014 à 16:17 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Un peu de respect pour l’instituteur car il a façonné aussi bien le banquier que l’universitaire.
Le 1er mai 2014 à 02:32, par vérité no1 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Pas de respect pour ceux qui veulent modifier l’article 37, on ne respecte pas un bandit à moins que vous ne soyez vous même bandit !!!!
Le 2 mai 2014 à 12:37, par td en droit de la société En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
less blé goudé ne finiront jamais en Afrique ,vérité no1 en est l exemple pour le Burkina mais qu il dorme pour l instant la cpi c est pour les Africain un info pour lui !!
Le 1er mai 2014 à 09:33, par wassa En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
rock un instituteur est un grand homme c’est dommage que tu traite un instituteur ainsi également à l’endroit des commerçants c’est dommage
15. Le 30 avril 2014 à 13:51, par LOUDEMAN En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Dans un style très simple, et très comprehensive, il a tous dit
Merci sa MAJESTE
16. Le 30 avril 2014 à 14:18, par ANBGA En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Pourquoi le journaliste n’a pas posé la question suivante : Si la mort de Thomas a été un problème complexe, pourqoi Blaise refuse que les traditions les plus sacrées du Moogho soient respecté. Pire, il a fait la meme chose pour ses deux autres amis qui sont Henri et Lingani.
La question reste posé et Blaise doit les repondre, tot ou tard.
Violer nos traditions, nos coutumes à la hauteur de Blaise, ce mérite une punition. C’est pourquoi il ne peut pas quitter la Présidence du Faso. Contrairement à Thomas qui avait une devise pour servir son peuple, la devise de Blaise est : "Je meure et vous aussi".
Le 1er mai 2014 à 21:11 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Meme si cette question avait ete posee au Laarle Naaba, est-ce qu’ il pouvait vraiment y repondre ? C’ est pas lui Blaise, bon sang ! Ou bien vous voulez qu’ il devienne un lectuer de nos pensees ?
17. Le 30 avril 2014 à 14:20, par ZiniarrusZorrus de Pilimpikou En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Honorable NAABA, je vous respecte. Moi qui fus longtemps un de vos contempteurs les plus irréductibles parce que ne m’expliquant du tout votre collusion avec le CDP, je vous dis aujourd’hui : CHAPEAU BAS pour votre courage !Vous êtes un digne héritier du noble et incorruptible Yamba TIENDREBEOGO (LARLE NABA ABGA).
Puisse Dieu et les ancêtres vous donner la force de mener le bon combat. N’ayez pas peur, NABA, parce que la victoire est inéluctable. Parce que vous avez refusé de vous coucher pour des avantages, alors que rien ne vous en empêchait, nous vous respectons et porterons témoignage devant l’Histoire. Dans un conte du Sage Larle NABA ABGA intitulé ’’Douni Guilgda’’ que j’ai acheté en audio-cassette il y a environ une dizaine d’années, il est dit ceci : ’’Chaque jour qui se lève voit le mensonge maigrir et la vérité grossir’’. Moi qui suis quadra,vivant dans ce pays depuis que Blaise COMPAORE est aux affaires, et qui ne voit pas du tout poindre l’espoir d’un lendemain acceptable pour ses enfants, je me conforte dans l’idée que le combat vaut la peine d’être mené quand je regarde des ainés comme vous, Honorable ! Que Dieu veille sur le Burkina Faso !
18. Le 30 avril 2014 à 14:27, par Donmozoun En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Respect !!! Naaba. belle leçon pour la jeunesse. j’ai particulièrement aimé les choses qu’un homme devrait être capable de faire ou disparaître. Merci pour cette sagesse.
19. Le 30 avril 2014 à 14:37 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Merci Excellence !
Que Dieu vous guide toujours et toujours...
Laissez les "bonnes gens" étaler leur arrogance. C’est la caractéristique des parvenus...
Merci pour votre engagement !
20. Le 30 avril 2014 à 14:41, par Cellou En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Bravo naba,il n’y a rien à dire.Courage et persévérance pour la suite.
21. Le 30 avril 2014 à 14:48, par DOS En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Merci Naba, vous avez fait ce que vous devez faire. C’est maintenant à blaise compaoré de faire le sein. Que c’est noble que vous dites et je pense que blaise va entendre raison car il n’a vraiment pas intérêt à foncer droit dans le mur. Assimi je vous demande d’être homme et de dire la vérité également à blaise car 30 ans de pouvoir rend aveugle car on pense être le centre de la terre. blaise il est vraiment temps de prendre conscience car les chefs t’ont dit la vérité. Tu mérite mieux que ce qui va t’arriver si tu continue dans la même direction. Si l’ancien Président du Ghana a dansé pour le Grand chef traditionnel vivement que cela arrive ici également. Serte la mort du Président Sankara sera difficile à oublier mais on pourra te pardonner sans oublié. Seulement la décision t’appartient. Que ALLAH habite ton cœur blaise compaoré. Merci encore LARLE NABA.
22. Le 30 avril 2014 à 14:54, par lemoaga !!! En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
c’est du propre. bien dit !!!
23. Le 30 avril 2014 à 14:59, par oussouy En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
le naba est un grand homme visionnaire long vie a vous.j sait ke vous allez tous guider le mpp au pouvoir ke Dieu vous benise !
24. Le 30 avril 2014 à 15:02, par Red En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Merci Larlé Naba pour cet interview très riche qui doit amener les autres du navire CDP à réfléchir. Je prie que Dieu vous bénisse pour cette prise position courageuse. C’est cette dynamique de personnes dignes qui constituent le socle de notre cher Burkina Faso. Nous sommes fiers d’être Burkinabè, pas parce que nous avons bcp d’argents mais parce que nous sommes dignes et intègres. Vous avez fait votre part de travail, c’est de dire la vérité à Blaise et François Compaoré. Bonne suite, et bon courage. Nous vous soutenons dans cette prise de position.
25. Le 30 avril 2014 à 15:10, par un burkinabé en suisse En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
C´est quand meme serieux que le pouvoir de Blaise et son clan puisse se permettre toutes ces gaffes de nos jours. Vivement la fin de ces pratiques du moyens age
26. Le 30 avril 2014 à 15:14, par princesse En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Merci Naaba. Se tromper une fois est une erreur. Se tromper deux fois est un choix. Le peuple Burkinabe marche vers sa liberté. Du jamais vu. Assumons notre revolte. La fierté est Burkinabe
27. Le 30 avril 2014 à 15:25, par Laguna En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Bonjour cher Larlé Naaba.Je pense que c est aujourd’hui difficile de mettre de côté votre rôle politique.moi laguna je vous connais à cause de la politique. Pourquoi brusquement vs voulez mettre ce rôle au second plan ? Sans vouloir vous offusquer, je dirai que c est la politique qui a fait de vous un entrepreneur.vous avez profiter de vos relations politiques pour vous faire un nom dans l entrepreunariat.
Naba, vous dites que Mr François compaore vous a injurié, mais moi Laguna trouve que c est tout à fait légitime car c est ça aussi la politique .s il vous avait insulté dans un bar, dans des funérailles , Dans ce contexte il aurait eu tord. Mais à une réunion politique au moment où vous en tant que député de son parti politique avez démissionné ,je lui donne raison.car c est pas le Naba qu il a insulté mais le démissionnaire . Mes salutations distinguées cher Naba.
Le 1er mai 2014 à 15:30, par Mogho Naba de Kidal En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Mr ou Mm Laguna, avec tout le respect que je vous dois sachez que la politique n’est pas un caniveau ou une poubelle ou tout se diverse. Il ´ya des pays ou la politique se fait dans l’éthique avec avec un grand respect pour les adversaires politiques, l’insulte c’est pour ceux dont le niveau de développement ne dépasse pas celui de l’enfant de 2 ans qui n’a pas de filtre et laisse exprimer toutes ses pulsions et envies. Chirac en disant que la démocratie est un luxe pour l’Afrique n’avait pas tort : quand on pense que insulter quelqu’un qui démissionne est un droit c’est que nous avontsencore besoin de grandir dans beaucoup de domaines notamment le respect des autres avec leurs différences et leurs valeurs le rejet de la violence physique et verbale comme moyen d’expression....etc
28. Le 30 avril 2014 à 15:37 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
On sent beaucoup de prise de recul par rapport au monde politique dans les propos de ce M.
C’est tout à l’honneur d’un chef. J’espère qu’il saura apaiser les esprits belliqueux et revanchards au sein du MPP.
29. Le 30 avril 2014 à 15:39, par ??? En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Heureusement pour la Nation ! Nous avons encore des hommes intègres. Travaillons à ce que leur nombre augmente pour sauver le pays des hommes inquiets. Dieu bénisse le Burkina Faso. Amen !
30. Le 30 avril 2014 à 15:52 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Voilà un homme de poigne et de trempe !!!!!!
Puisse Dieu toujours vous guider et vous protéger.
31. Le 30 avril 2014 à 16:13, par yéro En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Merci chef que dieu vous donne longue vie et que la sagesse guide Blaise COMPAORE pour qu’il renonce à la modification de l’article 37.
32. Le 30 avril 2014 à 16:14 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
En quoi consulter le peuple est un crime ?
Un naba doit rassurer mais pas faire peur au citoyens.
Vous allez passer un mot d’ordre pour dire de declencher une guerre civile si il y’a referendm ?
33. Le 30 avril 2014 à 16:16, par nabiiga En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Mes hommages avec révérence tout d’abord à son excellence le Larlé Naaba !! Vous étiez tout ce que j’avais de plus cher en matière de référence dans la vie sociale au Burkina. S’il n’en tenait qu’à moi, on vous rattacherait directement comme conseil de sage à la présidence du FASO, vous et d’autres chefs traditionnels des différentes ethnies du burkina et votre rôle et votre place seraient immuable quelque soit le régime car vous seriez investis par la conscience du peuple burkinabé dans sa diversité pour poser des actions de veille et de défense de la cohésion sociale, du bien être de tous sans discrimination. Le fait de vous savoir dans l’arène politique applaudissant pour un camp et en y apposant votre signature me dérange beaucoup. Je vous aime, je suis mossi, je vous écoute tous les mardis soir aux contes en mooré à 19h45, depuis enfant on me réveillait pour que j’écoute vos pères successeurs (le vénéré mémoire, le LARLE NAABA AMBGA). Je suis tenter de ne plus vous accorder du crédit en sachant que vous avec des politiciens qui disent aujourd’hui "BLANC" et qui viennent demain dire "NOIR".. Je vous supplie surtout de rester digne et au dessus de toutes ces mêlées qui créent un tohu-bohu général ou c’est la fin qui justifie les moyens. Votre fin et même votre faim c’est le burkinabè heureux et rassasié. Je prierai pour vous car si votre camp échoue, c’est votre échec et votre échec c’est le mien mais la loi de la transitivité mathématique ici ne s’applique pas à moi car je suis pas du camp où vous appartenez mais je suis d’appartenance culturelle de votre camp.
34. Le 30 avril 2014 à 16:33, par DOS En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Merci Naba, vous avez fait ce que vous devez faire. C’est maintenant à blaise compaoré de faire le sein. Que c’est noble que vous dites et je pense que blaise va entendre raison car il n’a vraiment pas intérêt à foncer droit dans le mur. Assimi je vous demande d’être homme et de dire la vérité également à blaise car 30 ans de pouvoir rend aveugle car on pense être le centre de la terre. blaise il est vraiment temps de prendre conscience car les chefs t’ont dit la vérité. Tu mérite mieux que ce qui va t’arriver si tu continue dans la même direction. Si l’ancien Président du Ghana a dansé pour le Grand chef traditionnel vivement que cela arrive ici également. Serte la mort du Président Sankara sera difficile à oublier mais on pourra te pardonner sans oublié. Seulement la décision t’appartient. Que ALLAH habite ton cœur blaise compaoré. Merci encore LARLE NABA.
35. Le 30 avril 2014 à 16:39 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Naaba, vous connaissez bien vos Grands- Peres. Ils ne savent pas flatter quelqu’ un pour manger.Vous etes un grand. Si vous ne l ;’ etiez pas, je ne le dirais pas a votre face mais je pesnerais mediocrement de vous. Continuez a etre l’ homme du peuple. vouys avez milite au CDP mais on peut dire que c’est par concours de circonstances. On les suit. S’ ils osent toucher a un seul de vos cheveux, ils vont mettre le feu a la poudriere sociale. On ne va plus les laisser tuer des gens pours idees dans ce pays. Un imbecile vous envoie des menaces de mort et on refuse de l’arrreter. C’est quel pays ca ?
Votre Grandpere et Grand-Mere, qui vous admirent.
Le 1er mai 2014 à 10:07, par k En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
C’est aussi un beau, car sa femme ou si tu veux une de ses femmes (comme il a hérité de beaucoup de femmes) est ta soeur.
Le 2 mai 2014 à 15:13 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
lol. donc nous aussi on a nos beaux freres National. A defaut des Belles- Meres. On a pas de mewe on va donc teter le sein du Beau. Tuund naan mannan wana ?Les CDPs ont gate le pays et je pleins Rock. Comment il va arrager les choses en 2015 quand il sera Kosyam ? C’est gate beaucoup. deh !!!
36. Le 30 avril 2014 à 16:41, par nabiiga En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Mes hommages avec révérence tout d’abord à son excellence le Larlé Naaba !! Vous étiez tout ce que j’avais de plus cher en matière de référence dans la vie sociale au Burkina. S’il n’en tenait qu’à moi, on vous rattacherait directement comme conseil de sage à la présidence du FASO, vous et d’autres chefs traditionnels des différentes ethnies du burkina et votre rôle et votre place seraient immuable quelque soit le régime car vous seriez investis par la conscience du peuple burkinabé dans sa diversité pour poser des actions de veille et de défense de la cohésion sociale, du bien être de tous sans discrimination. Le fait de vous savoir dans l’arène politique applaudissant pour un camp et en y apposant votre signature me dérange beaucoup. Je vous aime, je suis mossi, je vous écoute tous les mardis soir aux contes en mooré à 19h45, depuis enfant on me réveillait pour que j’écoute vos pères successeurs (le vénéré mémoire, le LARLE NAABA AMBGA). Je suis tenter de ne plus vous accorder du crédit en sachant que vous avec des politiciens qui disent aujourd’hui "BLANC" et qui viennent demain dire "NOIR".. Je vous supplie surtout de rester digne et au dessus de toutes ces mêlées qui créent un tohu-bohu général ou c’est la fin qui justifie les moyens. Votre fin et même votre faim c’est le burkinabè heureux et rassasié. Je prierai pour vous car si votre camp échoue, c’est votre échec et votre échec c’est le mien mais la loi de la transitivité mathématique ici ne s’applique pas à moi car je suis pas du camp où vous appartenez mais je suis d’appartenance culturelle de votre camp.
37. Le 30 avril 2014 à 17:13, par Niyalga En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Mon vie, ca change vite de music des
38. Le 30 avril 2014 à 17:19, par yampasseke En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Il n’y a pas de doute que vous intelligent chef, et même très intelligent ! Tout le monde fait la politique à sa façon comme vous le souligné, seulement tout le monde ne fait pas de la politique partisane. Quand on clame qu’une association est apolitique cela ne devrait pas avoir sa raison d’être si on lit entre les lignes de ce que vous venez de dire. Vous êtes la personnalité idéale à mon sens qui pouvait vraiment milité pour le rétablissement de la vérité (séparer la politique partisane de la chefferie) en raison de votre niveau de pondération de votre expérience politique, de votre niveau d’instruction. Le problème des chefs traditionnels politiciens est d’autant criards au vu de ce qu’ils sont en générale pas instruits, donc faciles à être éconduit ! Si les musulmans ont été éconduits sur la question du sénat c’est bien ce manque d’instruction des premiers responsables qui à faciliter cette confusion. Quand à votre capacité à faire la part des choses entre le politique et le social je n’ai pas de doute, cependant, n’oublier pas que votre propos est vu comme celui des chefs coutumiers en général. le problème est bien là chef : combien de chefs coutumiers ont votre niveau de pondération, d’instruction et de charisme pour faire la différence entre les deux ? voila une question qui mérite d’être examinant si on vous accorde ce crédo de "chef partisan"
Si vous êtes chef, vous êtes comme le président, le chef de la république et non celui d’un partis...ou bien excellence !
Le 30 avril 2014 à 20:08, par Yirmoaga_3 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Cher ami journaliste : toutes mes félicitations pour cet interview et pour l’éclairage que le Laarlé Naaba a apporté sur les mœurs politiques de notre pays, qui me semblent fort détestables ! Mais si j’interviens, c’est tout simplement pour vous rappeler, comme cela avait déjà été fait ici même par un internaute avisé, qu’on ne saurait traduire le titre "Moogho-Naaba" par "Empereur des Moosés", comme vous l’avez fait. En Mooré, "Naaba" signifie "Roi", "Maître" ou "Chef" et "Moogho" veut dire "Univers", "Monde". N’est-ce pas là un beau programme politique ? Dois-je en dire davantage ? Merci d’en tenir compte la prochaine fois.
Le 30 avril 2014 à 22:06, par moustico En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Ouf !!!!!. Enfin un mossi intelligent. Je suis sur qu’il a fait son pèlerinage en pays San.
Le 1er mai 2014 à 09:53, par kouakoua En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Félicitation pour votre courage mon NABA, le peuple ne vous oubliera jamais, que le Seigneur te protège.
39. Le 30 avril 2014 à 17:24 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Je suis désolé, mais nos journalistes ne font pas preuve de perspicacité pour poser la contradiction face aux mensonges des hommes politiques. Mais la vérité finira par se savoir avec le temps. Cela demande un minimum de connaissance de l’histoire de ce pays. Cherchez pendant que les acteurs sont encore présents.
40. Le 30 avril 2014 à 17:33, par Jah En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Si le LARLE se fonde seulement sur des dires de personnes qui lui auraient rapporté les injures de Mr FC, sans autres élements de preuves, cela ne mérite-t-il pas reflexion ?. Entre politiciens, seul Dieu sait ce que chacun dit de vrai ou de faux sur l’autre. Puisse-IL continuer de veiller sur le Burkina Faso.
41. Le 30 avril 2014 à 18:57, par Delpaolo En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Naaba avec tout le respect que je vous dois, le temps fut long pour réagir maintenant. Je ne dis pas de toujours réagir du tic au tac. Mais ici c’est une vérité dont dépendait votre crédibilité. Néanmoins merci pour ces révélations.
42. Le 30 avril 2014 à 21:05, par M’biibéé Fimba En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Grand chef c’est bien vu, mais il fallait y penser avant de se lancer en politique en 1992. Le deux actions comme vous vous êtes surement rendus compte ne peuvent aller ensemble. Aujourd’hui, n’est pas trop tard. Cette image d’homme de tradition uniquement vous l’avez perdu depuis belle lurette. Lorsque vous intervenez c’est le politicien qui parle. Lorsque vous faites un geste aussi noble soit-il, c’est encore l’homme politique à la quête d’un élèctorat qui agit. Désolé c’est ça la vérité.
43. Le 1er mai 2014 à 00:41, par LeFILS En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
J’avoue, et ce pour la nème fois que vous êtes un digne fils, un homme intègre qui mérite respect et considération. Un adage dit que même si on n’aime pas le lièvre, il faut reconnaître qu’il court vite. Une fois de plus, je vous rends un vibrant hommage pour votre courage et votre engagement auprès du peuple. L’histoire retiendra de vous un chef moaga intègre qui a réfusé le mensonge et toutes sortes d’injustice pour se ralier au peuple. Vos efforts ne seront pas vains ; j’en suis convaincu. J’ai toujours eu de l’admiration pour vous (Naaba Tigré, les camarades Rock, Salif, Simon) et bien d’autres dont je préfère taire leurs noms. La création du MPP est comme une solution divine aux maux qui minent notre chère patrie le Burkina Faso. S’il m’étais permis, je demanderai à la directioin du MPP de vous confier 3 rôles au cas où ceux-ci ne sont pas incompatibles avec vos taches coutumières : le rôle de porte parole du MPP ; par la suite, le rôle de conseiller spécial du président Rock et celui de ministre de la communication, des affaires sociales, du civisme et porte parole du gouvrnement. En effet, vous incarnez tous ce que je viens de citer. J’espère avoir une nouvelle occasion (comme l’<> ) pour vous témoingner toute ma gratitude. De toutes les façons comme l’a dit le camarade Rock " demain n’est pas loin".
44. Le 1er mai 2014 à 01:54 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
La réalité est plus simple : le Larlé Naba a obtenu ce qu’il voulait et veut se retirer pour gérer ses affaires. Ecouter ! Il est député depuis la première législature (1991) soit 22 ans.(264 mois)x 1500000= 396 000 000cfa. Maintenant que le chef se rend compte que le Faso rentre dans la zone de turbulence, il veut se retirer, car il connait les capacités de nuisances du vrai chef du CDP. (On bute les gens facilement de ce coté là). Chacun sait ou devine le contrat après le 15 octobre 1987 : accompagne et tu peux tout te permettre avec le "pognon" sans vergogne. Sinon, personne n’aurait suivi Blaise.
45. Le 1er mai 2014 à 08:09, par Sidpayete En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Pas facile, ni aisé, l’alternance ! On dirait que le terme PRESIDENT n’est pas compatible avec l’alternance sous nos cieux ; voyez le comportement de nos présidents (APE, comité, groupement, association, syndicat de taxi, ...). Une fois au poste, chacun devient chef au detriment de la responsabilité et du devoir. Ainsi, ne faisant rien, ils ne veulent pas quitter le poste.
Que chacun a son poste cultive l’alternance pour nous permettre de l’exiger aux autres. Mais je ne parle pas de la chefferie traditonnelle.
46. Le 1er mai 2014 à 09:25, par GUESSAD En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Je pense aussi qu’un grand chef sait garder le silence, il faut savoir parler au bon moment. Prenez l’exemple du mogho naaba, il pouvait donner des interviews tous les jours pour donner son opinion, mais il préfère se réserver parce qu’il sait que le moment venu, il sera consulté. Je vous respecte, mais sachez rester discret. Il ya bien des gens dans ce pays qui ont bien plus de choses à rencontrer, mais ils ne le font pas pour se montrer.
Vous disiez qu’un homme doit avoir trois (03) principes dans la vie, je vous dirais de compter la discrétion parmi les principes qu’un vrai homme et qu’un chef en particulier doit avoir.
Je respecte le président Blaise COMPAORE parce que c’est quelqu’un qui est très discret, comparativement à d’autres chefs d’Etats.
Vraiment que Dieu aide et sauve le BURKINA FASO !!!
47. Le 1er mai 2014 à 09:37, par La Vérité Triomphera un Jour En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Rien à dire sur vos positions politiques. Mais j’aimerais savoir Ce Larlé Naaba est le quelième Larlé Naaba ? Quel Larlé Naaba a déjà combatu au front historiquement pourqu’aujourhui vous vous declaré Ministre de Guerre du Mogho Naaba ? Peut être que depuis la colonisation l’ordre protocolaire du Mogho Naaba a changé. Eclaire moi SVP !!!
Le 1er mai 2014 à 16:56, par le rouge En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
il est pathétique ce victor tiendrebeogo.tu paye pas la facture de courant de ta maman et tu t’offusque qu’on vient couper son courant.Et bien dites vous que nous les pauvres citoyens vivons cette situation depuis votre vingtaine d’année auprès de Blaise Compaoré.Bienvenue donc dans le pays réel.
48. Le 1er mai 2014 à 11:16, par DERALTER En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
c’est noté mon Larlé, si vous restez dans votre rôle culturel et social nous allons nous prosterner pour vous respecter en digne Chef, mais si vous vous melangez aux politiciens sachez que nous allons vous trainez dans la bou comme n’importe quel politicien, donc mon Larlé ne densez plus du reggae au meeting mais plutôt contentez vous de vos tambours dont le rythme traduit la sagesse, sinon avec le reggae sous l’effet de certaines choses, vous pourrez vous retrouvez à terre.
49. Le 1er mai 2014 à 12:21 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Naaba, je me rappele encore le grand proverbe que vous avez sorti dans votre salon un jour ou je discutais avec vous. Vous avez dit que le chef quiva accepter de retrousser sa chemise pour recevoir des cadeaux va montrer ses cotes maigres. Vous vouliwez parler des chefs qui refusent de travailler pour manger dans la main des autres. Ils vont montrer leurs cotes maigres, perdant ainsi leur dignite. Vous vivez bien votre theorie et c’est la que vous etes grand. Un homme qui se dedit ne vaut pas mieux qu’ un chien galeux. La parole est serieuse. Et on doit joindre l’acte a la parole. Le Burkina Faso a encore de la chance. Tout n’est pas perdu. Grace a des individualites qui emergent du lot. Malgre la grisaille Compradoreenne, pardon Compaoreenne.
50. Le 1er mai 2014 à 13:14, par Le Sage. En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
J’ai lu tous les commentaires et je commence par féliciter Monsieur Joachim VOKOUMA d’avoir pris le temps d’interviewver le Larlé Naaba, Monsieur Victor TIENDREBEOGO. Je me permets de l’appeler ainsi car je ne suis pas moossé.
ET AUSSI, féliciter ce grand HOMME, Ministre légitime du Moogho-Naaba BAONGO qui n’a cesse de tracer la bonne voie à suivre. J’ai rencontré cet homme pour la première fois au CCRP et depuis, j’ai toujours eu une très très bonne impression sur lui.
Enfin, il ressort très clairement de cette interview que Monsieur François COMPAORE et sa belle-mère ont toujours été le problème politique au Burkina Faso.
Ils le témoignent par les phrases et la communication téléphonique rapportés dans cette interview.
A Monsieur François COMPAORE et à sa belle-mère, je leur dis qu’il n’est jamais très tard de se repentir et de reconnaître ses erreurs. Le plus fort n’est jamais suffisamment plus fort pour se passer de la faiblesse du plus faible.
Je leur demande, aimablement de faire sien cette maxime afin que la paix soit préservée au Burkina Faso. Nombreux sont les burkinabè qui le pensent et n’oseraient pas le dire alors que j’ai le courage amical de le dire. Si vous aimez un ami, vous devez avoir le courage de lui dire la vérité.
Le 1er mai 2014 à 21:09 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
courage amical de clavier, ouias ! Moi je peux meme dire a Francosi , blotti derriere mon ecran d’ ordinateur, d’ aller demander pardon a la famille de son chauffeur et de tout faire pour se laver de cette sombre histoire d’ un journaliste tue et dans laquelle revient souvent son nom. Car, si Dieu lui donne longue vie, il finira par donwer des comptes. Voila mon courage de clavier a moi. Pardonnez- moi de ne pas avoir de bomnes couilles pour aller le cracher devanyt lui dans son manoir pres d’ un temple du savoir qui tombe en ruines. La raison est que j’ ai deux petits enfants adorables.
51. Le 1er mai 2014 à 14:31, par yilin En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
.il se degage de cette interview une verite pure et crue de la part de sa majeste. Esperons que la bande a assimi saura en retirer un enseignement humble pour le bien de notre cher Faso.
52. Le 1er mai 2014 à 15:14, par togs sida En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Il faut que les autorités coutumiers nous racontent l’histoire vrais et la vrais position des chefs qui entourent le mogho naaba . Moi je sais que ce larlé ment sur sa position. il n’est même pas ministre du mogho , et un larlé n’a jamais été un ministre de guerre ; il s’occupe des tombes royale. Aussi nous connaissons tous les relations amicales qui liaient le larlé a François comparé et la belle mère ; qui lui ont beaucoup soutenu aussi bien pour ces partenaires de belwet que financièrement. Cette page de l’histoire le larlé n’évoque jamais. Aussi la sonabel a constatée plus d’une quarantaine de factures non payées, le dg de la sonabel n’a pas besoin de s’excuser devant un tel citoyen, qui parle de civisme. C’est justement ces forfait là qu’ont doit qualifier de l’incivisme. Je fini par dire que le larlé veut a travers ses propos « mélanger les gens ». Peut-il nous citer le nom des chefs qui ont traité le président d’assassin ? il doit portant avoir ce courage. Le larlé doit soit cesser de mentir ou cesser de parlé ou encore dire ce qui est vrais.
53. Le 1er mai 2014 à 15:21, par akilikoura En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Triste,voici un naaba qui sait trompe d époque et de chef. Comme nous le savons tous ce petit naaba ne fait allégeance qu a Roch qui l avait fait quitte la pharmacie ou il vendait les produits a l époque. Pour rappel il n est jamais rentre a la BIB par test.Aussi il continue toujours touche son salaire de la BIB a la faveur de ses fausses pratiques mis en place par le clan Roch et autres. Il est simplement un nul type qu il arrêté de nous distraire.
Pour l heure est grave, méritons plutôt a voir comment assainir notre scène politique et nous debarrasser des deux maux de notre politique actuelle, a savoir le CDP et le MPP. Car ne nous flatons pas, l un peux pas faire mieux que l autre. Faisons l économie d une crise et debarassons nous des deux par la même occasion. Merci
Le 1er mai 2014 à 21:24, par saaba En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
long vie à naaba.pour ceux qui ménancent ;ils ne peuvent franchir cette etape
54. Le 1er mai 2014 à 20:33, par le patriote En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
je suis fasciné par ce courage et cette clairvoyance d’esprit dont vous faites preuve. l’essentiel est de savoir qu’on s’est trompé de voie et rechercher le bon chemin pour faire œuvre utile. Nul n’est indispensable et notre vrai domicile est bien le cimetières ou nous n’auront droit qu’à 02 mètres sous terre dans le meilleur des cas.
J suis comblé et vous faites la fierté de la chefferie traditionnelle je ne suis pas mossi mais vous rassembler.
ENCORE MERCI
55. Le 1er mai 2014 à 21:32, par Yirbiiga En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Merci naaba de votre debut de repentir...jai du mal a croire que vous voulez mettre en avant votre engagement social et culturel alors que vous faites de la politique depuis maintenant 22 ans et continuer d’en faire. Je trouve cela inncoherent avec tout le respect que je vous dois en votre personne de naaba. Sachez que ce que vous avez vecu depuis la demission, coupure, harcelement...est le quotidien du citoyen lambda depuis vos 22 ans sulfureux en tant ke depute. Ceci dit, nous resistons et continuerons a nos battre. Il nest pas trop tard de reconnaitre ses erreurs, c’est louable de votre part, mais c’est insuffisant pour regagner le coeur de vos sujets....il faut quitter carement la politique et s’excuser publiquement de vos erreurs...car pendant 22ans vous avez participer a la tyranie du peuple....vous vous etes trop bien rempli les poches( salaire de depute pendant 22ans ! ) et vous n’avez plus rien a y gagner....sauvez l’honneur est ce qui vous reste a faire...et il faut ya aller jusqu’au bout ! Quand au manquement de respect a votre egard, desolee mais vous l’avez cherche ....c’est ca la politique de votre camp depuis 22ans....ca fait mal non ? Ben cest ce que vos opposants ont vecus pendant vos 22 ans ...pardon 27ans de regne !
Encore du respect pour vous...mais faites votre devoir !
Yirbiiga
56. Le 2 mai 2014 à 09:39, par ouattara issa En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Mon pauvre victor dit Larlé Naaba. Si ton rôle politique est quelque peu mis en veilleuse, tu ne peux pas être connu en dehors du plateau mossi. Je ne suis pas mossi moi. Jen e t’aurai donc pas connu si tu etais juste un chef mossi. C’est en effet par le biais de la politique que beaucoup de non mossis t’ont connu. Faisons attention donc pour ne pas reduire l’ensemble du Burkina au peuple mossi. Personnellement, je compte sur les chefs mossis pour inculquer une telle ouverture. L’ENSEMBLE DU PAYS Y GAGNERAIT
Le 2 mai 2014 à 13:25, par foumoilapè En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Merci chef pour tous ces éclercissements,tout est dit sans détour. je suis hors du pays mais je suis toutes les activités surtout politiques avec un grand interet. votre dèpart du CDP fait couler bcp d’encre de salive,mais je suis d’accord avec votre dèveloppement.Rester pauvre avec votre dignité est 100 fois mieux. Le petit président comme l’appellait le grand Norbert Zongo vous a manquer du respect mais surtout à la communauté mossi de tout part.courage à vous, chef et surtout un bon cheminent dans le MPP.
Le 2 mai 2014 à 19:17 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Attention à ce que tu dis en insultant victor c’est l’ex camarde qu’on a insulté pas les Mossis. Moi même étant Mossi et prince de surcroît ne me sens nullement insulté au travers de mr victor tiendrébéogo donc arrêter de tout mélanger personne l’a envoyé faire de la politique
Le 10 mai 2014 à 20:48, par paix En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
c’est domange que tu n’a jamais eu l’occasion de courtoyé ce grand t’homme plein d’humanism,de sagess ,de bravour je n........beaucoup de qualité.Je regrette pour ta progenitude.Que dieu te prête un peu de ses qualités.EXCELLENCE QUE DIEUX VOUS PROTEGES DES GRANDS VOTOURS.
Le 2 mai 2014 à 14:06, par Tempus En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Majesté, ayez l’âme en paix ! Nous sommes en démocratie et vous avez été à la hauteur de la liberté de conscience. Vous avez fait un choix mais vous n’avez fait du tort à personne, en jouissant de votre droit le plus absolu de citoyen et de "Burkimbila" vertu cardinal d’un vrai chef. Ou alors vos détracteurs ne font pas franc jeu ! Ils font tomber le masque qui cache leur visage.
Le 2 mai 2014 à 17:05, par patrie 1 En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
bon courage Naaba.
57. Le 2 mai 2014 à 18:44, par Wendlaboum En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Cette interview revèle les qualités de l’homme. Je peux confirmer qu’il a une âme à partager en dehors de tout folklore et de tout calcul. Voici mon témoignage. En 2009, je l’ai rencontré pour la première fois à l’aéroport de Copenhague tous deux arrivant pour la Conférence sur les changements climatiques. Ma réservation de chambre avait été annulée par l’ambassade suite à un problème de communication. Quand l’équipe de l’ambassade m’a informé que ma chambre était annulée et pendant que j’étais abasourdi par l’info, le Larlé Naba qui ne me connaissait pas, a proposé spontanément de me recevoir dans l’appartement qui lui avait été réservé. Ce geste d’un chef moaga, député, à l’endroit d’un citoyen anonyme qu’il ne connaissait pas, m’a marqué et fondé une profonde admiration pour l’homme. Sa décision de renoncer aux privilèges de député pour assumer une position politique m’a confirmé les qualités qui surplombent les défauts de cette personnalité publique. God bless you
58. Le 2 mai 2014 à 22:14, par KALAN TE BAN En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
le laarlé ne se fait pas comprendre hein.Lui il ne peut pas se permettre de causer comme ça du regime et croire pouvoir nous convaincre.Tout ce que ce regime a commis comme crime il en est complice d’une facon ou d’une autre.Qu’il nous prenne au sérieux
Le 3 mai 2014 à 08:01, par foumoilapè En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
mon pauvre, si tu es un prince et tu ne te sens pas concerné par l’injure que le petit président a dit à son encontre, j’ai honte.Il faut relire ceque tu a écrit, c’est domage.Tu sais je ne suis pas mossi, mais j’ai bcp de respect pour tous les chefs de mon pays. Grace à eux le pays a certainement connu la paix jusqu’a l’arrivée des blancs et de leurs formes de pouvoir.Tu vois, il ne faut pas voir le Larlé Naba seulement, meme si tu pense que tu n’es pas concerné. il faut apprendre à signer tes écrits.
59. Le 3 mai 2014 à 08:02, par Francis En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Notre justice a vraiment trop de problèmes. Menacer de mort quelqu’un, et de surcroît un homme public, et la justice ne réagit pas. Quel pays !!!!
60. Le 3 mai 2014 à 13:31, par BURKINDE toré BURKINABE toré En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Le laarlé ne peut plus ratrapper ses honneurs de chef coutumier qu’il a perdu.le statut de chef coutumier et d’homme politique ne sont pas conciliables.Par ailleurs la tradition meme l’interdisait.Il en a tenu qu’a son estomac.C’est tant pis
Le 3 mai 2014 à 20:08, par Zirwaya En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
J’ai eu le chance de connaître le père du Larle, un grand homme et je suis heureux et content de voir que son fils suit dignement son chemin. Je ns suis pas moaga, même si mon pseudo est en moore. Le Larlé par son engagement social et politique se révèle en accord parfait avec le monde dans lequel i évolue aujourd’hui. C’est un naba moderne qui a su adapter la tradition avec la modernité. Courage au Larlé Naba dans sa lutte pour la tradition, et dans son engagement politique aux côtés de son peuple, dans sa lutte pour son progrès. Si tous les nabas avaient ce courage, la République serait sauvée. Courage au Larlé Naba ! Courage au peuple burkinabè !!!!!
61. Le 3 mai 2014 à 19:08, par jiji En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
Tous ses gens la sont une honte pour le peuple et le Burkina prospère. De toute facon mpp + larlé naaba= futur echec nationale. Wait and see.le peuple n’est pas dupe.tous ses gens du mpp qui ont trahi le peuple durant toutes ses années.et maintenant vs voulez venir gouverner ce pays. Qui dit qu’après ce ne sera pas pire.nn nn et nn on veut de tous ces vautours.
62. Le 7 mai 2014 à 15:46, par LE HOU DU DESERT En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
bien dit chef..et vs n avez meme pas à vs justifier car meme le moins intelligent et peu averti des burkinabes na pas besoin de dessins pr interpreter et prendr position ojrd8..."a wassa ir sè..."
63. Le 11 août 2016 à 07:48, par banse arouna En réponse à : Larlé Naba : « Je souhaite que mon rôle culturel et d’entrepreneur social soit plus mis en avant que mon côté purement politique ».
bonjour
je souhaite entrer en contact avec le larle naba merci