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Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

mardi 29 avril 2014.

 

Amadou NIKIEMA, parent d’élève à Ouagadougou, est encore très furieux à cause des sévices qu’un Directeur d’école a fait subir à des élèves dont son neveu, actuellement malade. Son coup de gueule.

ZA est élève en classe de CM2 à l’école primaire « KOSYAM » située au quartier Nagrin (Arrondissement 06), à quelques encablures avant le cimetière route de saponé. Etant en classe de CM2 il est appelé logiquement a passé l’examen du CEPE d’ici quelques semaines. Le Mardi 22 Avril dernier quelle ne fut pas la surprise de la famille de l’élève ZA de le voir retourné à la maison le soir avec des grosses blessures béantes sur ses deux genoux. La grand-mère avec qui l’élève vit depuis son enfance, au vu de son état, a d’abord pensé à un accident dont son petit-fils a été victime. Mais, il n’en était rien de tout cela. Il a fallu insister vainement auprès de l’enfant pour qu’il avoue finalement ce qui lui est arrivé. C’est son Directeur d’école primaire « KOSYAM », sous le prétexte que les élèves n’ont pas eu la moyenne qui les aurait obligés (plusieurs élèves de la classe) à ramper à genoux dans la cours de l’école sous le soleil ardent de ce mois d’avril. Vous avez bien entendu. C’est pour ce crime que les élèves de la classe de CM2 ont été victimes des agissements atroces et de la maltraitance inimaginable de ce directeur d’école primaire. Quand j’ai été informé de la situation et au vu de l’état dans lequel se trouvait l’élève ZA (mon petit neveu) j’ai eu froid au dos, j’étais plein de rage et de colère de savoir que ces pratiques sont toujours d’actualité au Burkina Faso et de surcroît en pleine Ouagadougou, la capitale du Faso.

Tous autant que nous sommes, nous envoyons nos enfants à l’école pour apprendre, pour recevoir une formation et une éducation afin qu’ils participent à la construction de cette nation et non pour les voir se faire massacrer par des soi-disant enseignants. Je précise qu’au moment où les élèves étaient soumis à ce cruel et inhumain châtiment de la part du Directeur d’école, le Maître de la classe de CM2 n’était pas présent. Il était absent pour une course. Ayant vécu ce traumatisme, l’élève ZA est resté à la maison toute la semaine à cause des douleurs et de la fièvre qu’il ne cessait de développer. Il ne peut se coucher que sur le dos et ne peut porter de pantalon. Son Maître de classe est passé régulièrement à domicile pour s’enquérir de l’état de santé de son élève. Jusqu’à présent, je me suis abstenu de chercher à rencontrer le Directeur d’école fautif, parce qu’honnêtement je ne peux pas prévoir ma réaction.

Au regard de la récurrence et au vu de la démultiplication de ces cas de maltraitances dans les écoles, j’en appelle à la conscience et à la responsabilité de tous ceux qui interviennent dans le système éducatif (APE, Inspection, MENA…..) afin que ces pratiques rétrogrades cessent et soient à jamais bannis. Sinon, il ne faudrait pas être étonné de voir un parent d’élève en train de pourchasser un enseignant dans une cours d’école parce qu’il aura dépassé les bornes.

Amadou NIKIEMA.

niikam@hotmail.com



Vos commentaires

  • Le 29 avril 2014 à 00:03, par Filou En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    Dommage !

    Mais arrêtez de pleurnicher dans les journaux et portez plainte ou rendez vous justice vous meme.

    • Le 29 avril 2014 à 01:14, par véritas En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      ce directeur si on devait le punir ainsi pour tous les échecs dans sa vie ou pour tout ce qu’il n’a pas pu réaliser, actuellement il serait amputé de tous ses membres.

    • Le 29 avril 2014 à 02:47, par foukafouka44cara En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      a Filou
      désole que tu résonne de la sorte .
      juste pour vous dire des actes qu’ont doit contaner . et violament

      au lieux de brûler les biens publiques

    • Le 29 avril 2014 à 02:51 En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      Il y a de quoi porter plainte plutôt que d’écrire un simple coup de gueule.
      Au delà des sévisses corporelles, ce sont des traumatismes psychologiques à très long terme que ces pratiques peuvent engendrer.

    • Le 29 avril 2014 à 04:04, par john En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      je pense que le directeur a bien fait.l’ecole n’est pas un lieu d’amussement. pourquoi n’est pas cherche un repetiteur pour L’Enfant.

      • Le 29 avril 2014 à 07:48, par Raogo En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

        Répétiteur,répétiteur, c’est trop facile de dire cela. Vous saviez comment les gens jonglent pour vire au Burkina ? nos Directeurs, nos Ministres, nos intellectuels actuels ils n’ont pas eu de répétiteur parce que tout simplement nos instituteurs étaient compétent. De nos jours ceux du public ont plus de diplômes que ceux du privé, mais ils sont moins efficace que leur collègue du privé.
        La santé, l’enseignement et la fonction publique ont à leurs sein des indisciplinés notoires. Revenons à notre cas, il mettre de l’ordre dans ce corps.

        • Le 29 avril 2014 à 14:33 En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

          Parler de repetiteur, c’est dire que nous ne devons meme plus avoir une ecole publique. Moi, mon pere etait chef de village dans le sud- ouest. Il avait les moyens. Plus de deux cents moutons et chevres, des centaines aussi de boeufs, il avait les greniers pleins mais jamais il n’ aurait vendu une chevre pour engager des frais scolaires. Aller deja meme a l’ ecole a ete une sacree chance pour moi. J’ ai ete a l’ ecole publique, on m’ a frappe quelques fois mais jamais au point ou je fus blesse.Cette affaire de repetiteur est une situation par defaut et ne doit pas etre consideree comme la norme. Quelle genre de societe democratique est- on en train de former avec cette vision de l’ education ? Je trouve que ce monsieur est d’ un pacifisme admirable. Quelqu’ un d’ autre a sa place allait pourchasser un vilain d’irecteur caporal chef tortionnaire, directeur d’ un camp d’ instruction CI tiers- mondiste car meme aujourd’ hui dans les armees civilisees, on ne forme pas les gens en leur ecorchant les genoux. A- t- on besoin de souffrir pour avoir le bonheur ? Portez plainte contre cet africain attarde. Les enfants n’ ont pas eu la moyenne et pour lui, c’est juste la faute des enfants. Tu as appris ta pedagogie - la ou ? Si le cheval est malade et ne peut avancer, faut - il le fouetter au lieu de poser le diagnostio pour comprendre ce qui ne va pas ? Et si c’etait du au fait que Mr. Le Tortionnaire donne des ordres de couper le doigt et ne s’ assure pas que les bourreaux zeles qu’ il a commis a la tache ne vont pas couper le bras pour plaire au Bourreau de Patron. C’ est comme ca qu’ on prepare la jeunesse a la democratie en les violentant ? Les dictateurs africaines ont le vent en poupe. Bonne contribution, Raogo. Je t’ai connu et je t’ai toujours respecte pour ton combat pour la justice sociale. Je suis tres content de voir que tu n’as pas chante malgre l’ usure de l’age.
          Ton Grand- Pere.

      • Le 29 avril 2014 à 07:57, par Talato En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

        Toi tu es sur qu’elle planète, pense tu que tous au Burkina ont les moyens pour s’attacher les services d’un répétiteur ou es tu sûre que tous les enfants qui ont des répétiteurs gagnent la moyenne comme le voudrait bien ce Directeur. STP, si tu n’as rien à proposer pour aider au développement autant la boucler.

      • Le 29 avril 2014 à 09:31, par Momo En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

        Dommage que tu puisse raisonner de la sorte jhon.Quelle sera ta réaction si on influgeait cela a ton propre enfant ?

      • Le 29 avril 2014 à 18:26, par alison En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

        héée,pardon on a apprend pas avec la peur. le prof a cru qu on était à quelle époque ?! on ne va jamais avancé comme ca. le directeur a cru que enfant ca tombe du ciel ou quoi ?soyons raisonnable !!

    • Le 29 avril 2014 à 06:06, par Moustique/ Menacer-mourir En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      Vraiment regrettable que cela vienne d’un Educateur qui n’a pas mesure’ ou encore a manque’de lucidite’ quant aux consequences d’une telle punition. Ces blessures sont des atrocites liees a une manoeuvre militaire nommee "A GENOUX-PROGRESSEZ".Elles me rappellent BADALA pres de DEDOUGOU avec ses differents types de caporaux et de sergents deifies.Tous ceux qui reconnaitront le surnom ont banni ce traitement meme a leur ennemi jure’.Bon reetablissement au petit ZA et plus jamais cela.

      • Le 29 avril 2014 à 19:07 En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

        Moi je suis de la Promotion Organisation et Action. J’ ai fait la formation initaiale a Loumbili et le recyclage a Badala. ca m’a permis de hair l’ armee, un corps ou la betise humaine est deifiee. Dans tous les cas, des hommes qui sont capables de marcher au son d’ un tambour n’ ont pas besoin de cerveau. la moelle epiniere leur suffit. Et meme apres avoir vecu 6 mois avec ces betes, je n’ ai jamais eu de genoux si ecorches.

        Jean Marie Vianey Fayama, Toronto, Canada.

    • Le 29 avril 2014 à 08:09 En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      à votre place je l’aurais boxé copieusement devant ses élèves.

    • Le 29 avril 2014 à 16:56, par vous navez rien a dir En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      mon frere ta raison. quil arete de nou dire quil comprenne français. le directeur la fai pas pasquil deteste les enfant ! il veut leur bien. seulemen ces sa maniere de le faire qui nes poin professionnel. alors dite lui de trouver dautre maniere pour amener les enfan à reussir au lieu de vous comporter comm sil avai massacrer toute vtre famill. tchrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr

  • Le 29 avril 2014 à 02:19, par kk En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    ca ce ne sont pas les sd’un éleve de CM2.Il faudrait preciser que cest une photo a titre ulustratif

  • Le 29 avril 2014 à 02:56, par lassau En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    merci et courage ;que les autorités trouvent une fin à ces pratiques

    • Le 29 avril 2014 à 09:32, par Anita Manour En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      depuis que l’on parle de droit des enfants, on ne peut même plus respirer dans pays là. Autant fermer toutes les écoles et chacun cherche un répétiteur à son enfant ; si vous ne voulez pas que l’enseignant fasse de son mieux quand on sait que plusieurs parmi les parents d’élèves sont entrain de fabriquer des gangrènes pour la société. On nous a fait pire que ça à l’école primaire ; mais nous n’en sommes pas morts.

      • Le 29 avril 2014 à 17:27, par ElMagnifico En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

        Anita Manour, je ne sais ton âge. Moi j’en ai 50. Juste pour te dire que notre temps et le temps d’aujourd’hui ce n’est pas la même chose ! Nos mamans nous ont purgés au gingembre ou autres décoctions fortes et allaités jusqu’à 2 ans et 1/2 voire 3 ans. Nos bains étaient de l’eau chaude faite de décoctions bien dosées ! Quand tu atteints l’âge de prendre des aliments durs la sauce (faite de gombo, voaga, losaille, ...) et le to (à base de petit mil, sorgo blanc ou rouge, etc) étaient 25% préparés à base de potasse. Nous parcourions pieds nus 5, 7 ou des fois 10 km pour aller à l’école. Nous sommes physiquement constitués et la plupart d’entre nous atteint l’âge mûr avant de se marier ! Regarde la majeure partie des enfants d’aujourd’hui ! Ils ont été prématurément sevrés par des parents eux-mêmes prématurés ! Donc physiquement ils ne sont pas bien constitués. Et le comble, les parents n’ont pas les moyens de leur payer de quoi se nourrir convenablement pour compenser le sevrage. Et que dire des enseignants de nos jours ? La plupart d’entre eux n’ont pas la vocation, juste dispenser des bribes de cours et détaler à la fin du mois - à l’image de la plupart des fonctionnaires - pour des perdiems appelés salaire lequel est rapidement dissipé dans le porco, le puu tako et la bière ; d’autres ne supportant pas la galère courent aux découverts pour ajouter de la galère à la galère ! Vous conviendrez avec moi que cette façon de vivoter ne peut que conduire à des indélicatesses, des tensions, des crises, des folies, des bestialités ! Et l’une des pires bestialités c’est de s’en prendre aux enfants ! Même si le nasongo a manqué, même si le salaire est insuffisant, même si madame a refusé la gymnastique de minuit, de grâce Mr le Directeur cela ne vaut pas la peine de verser votre bile sur ce pauvre gamin. Vous avez reçu une formation par laquelle vous acceptez de prendre en mains les enfants. Vous avez intérêt même par personne interposée à présenter vos excuses à la famille avant que ça ne conduise trop loin ! Même notre armée à la réception (ACCUEIL) des "lacrous" n’accepte plus des sévices corporelles pareilles gratuitement !

      • Le 30 avril 2014 à 09:19, par Mme ouedraogo En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

        Anita manour. Je me demande si vous avez des enfants et si oui je les plains. Le coeur d’une mère ne peut pas rester insensible devant de telles souffrances d’enfants même si c’est pour les faire réussir. Punitions corporelles ne signifient pas sévices ou tortures physiques au point que la victime est alitée. Si vous avez subi pire que ça a votre primaire c’est que vous deviez être cancre têtue bête et paresseuse. Et je doute fort que vous ayez réussi au niveau que vous prétendez. De quelle génération êtes vous car même dans les années 70-80 les tortures d’élèves étaient rares et desapprouvees. La présence de la chicotte servait plus à dissuader. Alors battre l’enfant d’autrui jusqu’à le rendre malade non !

        • Le 30 avril 2014 à 11:28, par Anita Manour En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

          Mme Ouédraogo, et que diras-tu des élèves qui ont séquestré et frappé des enseignants il y a quelques jours de cela ? Moi je m’en prend plus aux parents qui ont abandonné l’éducation de leurs enfants et veulent tout mettre sur la tête de l’enseignant. je ne suis pas enseignante, mais reconnaissons que les enseignants souffrent avec les enfants d’aujourd’hui du fait de leur éducation.
          Notre société doit revoir sa manière d’éduquer les enfants.

        • Le 30 avril 2014 à 21:01, par SALVA En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

          moi mes enfants ne sont pas des trophés donc ils sont touchables, j’ai demandé a leur enseignants de ne pas se gener quand c’est nécessaire, c’est a chacun de savoir quel genre d’homme il veut...

  • Le 29 avril 2014 à 06:34, par Idrissa En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    salut.vraiment vilaint a voir.

  • Le 29 avril 2014 à 06:35, par Sole En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    Ce type de pratiques et de mauvais traitements ne peuvent pas être tolérés sous aucun prétexte. Les enfants sont sacrés et ne doivent jamais être objet de la colère des plus grands. Le directeur doit être sanctionné, être expulsé et avec la prohibition recommencer à exercer comme maître.

  • Le 29 avril 2014 à 06:35, par j b En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    on doit le banir

    • Le 29 avril 2014 à 07:39, par le consolateur En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      OH DIEU ;A Mrs le directeur ce que vous faite pas a vos enfants il ne faut pas les infliger aux autres.je suis sur que ce directeur doit aller à l’ecole de rédrèssement pour apprendre l’amour infentile et non l’amour sauvage qu’il est entrain d’infliger à nos enfants.Ce sont ces réaction inhumain qui font grandir l’incivisme.Famille ZA on n’est de tout coeur avec vous.Dénoncons ces agissements inhumain et changeons le BF

    • Le 29 avril 2014 à 07:59, par sa marche En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      Bjr je crois que c est pour la reusite des eleves de sa classe qu il a agi ainsi .il faut juste soigner le petit et lui faire comprendre que c est pour qu il soit bien un jour.

      • Le 29 avril 2014 à 14:50 En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

        Idiot. Qui t’a dit qu’ il est mauvais aujourd’ hui. Il est juste un enfant. Est-ce que ce directeur lui - meme a reussi tout ce qu’ il a entrepris dans sa vie ? Et la ou il a echoue, est-ce que c’est toujurs exclusivement sa faute ? Je suis sur qu’ il n’ a pas 800 mille francs par mois. Mais pourquoi ses promotionnaires ont 800 mille francs ? Et si moi je disais meme que lui aussi il a echoue au moins sur ce plan, et que je dois le fouetter, il dit koi ?

        • Le 30 avril 2014 à 11:16, par sougr latiim En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

          mon frère, tu as peut-être raison même... un adage dit : "les oiseaux se ressemblent mais ils ne peuvent pas voler à la même hauteur. Ainsi va la vie. ce n’est pas parce qu’il n’a pas le même niveau de vie que certains de sa génération, qu’il doit former ses élèves à son image ou en deçà . certes,je ne loue pas ses pratiques, mais en tant qu’éducateur il est de son devoir de contribuer à la réussite de ses lèves. A chaque situation, une philosophie. Considérons cette affaire comme des blessures involontaires, bien que punissable, et invitons ce Directeur à faire recours à de bonnes pratiques pédagogiques.

    • Le 29 avril 2014 à 08:48, par sidyâbda En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      Pas mal de faire l’interpellation mais à dire "même à Ouaga" je crois que ça manque un peu de respect aux enseignants des campagnes. Les enseignants ont reçu la même formation. Ils sont aussi indifféremment affectés partout dans le pays. Ceux qui sont en ville n’ont pas plus de prédispositions à de bonnes attitudes que ceux de la campagne.
      Je condamne l’acte du directeur

    • Le 29 avril 2014 à 09:13, par Jean KAFANDO En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      De telles comportements sont inacceptables. Ce Directeur doit répondre devant la loi pour que ça serve de leçon pour désormais cela cesse dans nos écoles.

      • Le 29 avril 2014 à 16:19, par tapies En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

        slt parents d’élèves !j’ai lu avec émotion ton coup de gueule et les diffferentes reactions ! mais il faut preciser que la question de l"ecole est plus complexe que les gensne pensent !il est du droit de traduire quiconque qui a fauté devant les juridictions mais le malaise de notre ecole est là ! a chacun sa refflexion !

    • Le 29 avril 2014 à 09:14, par Anita Manour En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      vous qui encouragez les parents de cet élève à porter plainte, après ne venez pas vous plaindre du voyoutisme et du brigantisme des enfants d’aujourd’hui.

      • Le 29 avril 2014 à 14:29, par N’Djolé En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

        Non, il peut bien châtier et correctement sans pour autant blesser l’enfant.Toi tu es certainement un "childless" comme disent les Anglais. Qui blesse son enfant à la maison pour X ou Y raison ? Châtie-le bien et c’est tout. A ce rythme on aura des enfants infirmes, handicapés à vie, s’ils ont la chance de survivre à cette folie meurtrière. Moi je ne suis pas du tout contre le fouet à l’école mais contre ces genres de pratiques. Dans cet état si l’enfant fait un mois sans venir à l’école, le mal qu’il a cru résoudre sera empiré. C’est aussi simple, madame !

      • Le 29 avril 2014 à 14:47 En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

        Si tu es une femme, tu n’es qu’ une chippie, pas une mere. En aucun moment on n’ a dit que ces enfants avaient pose des actes de voyoutisme. Tu parles francais mais ne comprends pas le francais. Et meme si c’etait le cas, l’ ecole a des textes, et les punitions corporelles sont bel et bien illegales. Les gars, imaginez aujourd’ hui ou il est tres difficile d’ avoir des enfants avec tous les gnamangnamans que les blancs nous ont fait manger et continuent de nous faire manger. Tu te maries, tu fais 10 ans sans enfant, tu vas de gynecologue en gynecologue, tu as consacre toutes tes ressources financieres, physiques et mentales pour avoir un enfant ; apres tu as eu un enfant et ta femme est deja menopausee. Tu n’ as donc plus qu’ un seul enfant. Une seule dent dans la bouche devrait etre blanche au moins. Et voila que tu veux donner au moins toutes les chances a cet enfant special, un vieux con insatisfait de sa vie se met a torturer cet enfant. S’ il meurt, tu fait comment ? Tu fais quoi a ce bougre ? Meme si mon enfant ne gagne pas le certificat, laisses- le. Il va revenir a la maison et il est toujours mon enfant. Je veux qu’ il soit bien instruit mais si l’ ecole n’ est pas sa voie, il peut toujours servir. Pas etonnant si les enseignants eux- memes sont formes en 6 mois. Avant ils etaient dormes en 3 ans a Koudougou mais comme on est presse et on prend tout ce que les blancs nous disent de faire a cause de leur argent, on accepte diluer notre avenir. Ailleurs comme aux Etats- Unis, les instituteurs et les profs de lycee ont le meme salaire. Ils sont tous recrutes niveau bac +4. Mais ici, comme on peut meme envoyer un militaire en classe et croire qu’ on a un educateur, on ne connait pas la valeur de l’education. On va tous payer tres cher cette demission collective. Si vous pensez que l’ education coute cher, essayez l’ ignorance

        Derek Bok

    • Le 29 avril 2014 à 09:23, par Batom En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      Le Directeur n’a qu’à se renseigner auprès des écoles qui réussissent à faire 100% à l’examen voir si c’est la pratique utilisée. voilà maintenant que ce pauvre est couché malade.comment il pourra bosser et avoir son CEP. RÉFLÉCHISSEZ TOUJOURS AVANT D’AGIR.

  • Le 29 avril 2014 à 07:22, par FASO 2014 En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    MADAME LA MINISTRE DE L’EDUCATION NATIONALE, JE CROIS QUE VOUS DEVRIEZ SAISIR L’OCCASION POUR FAIRE UN COURS DE DÉONTOLOGIE A CE SALAUD INSTITUTEUR ET EN PLUS SON SALAIRE DOIT ETRE SUSPENDU POUR TROIS MOIS POUR PRENDRE EN CHARGE CET ÉLÈVE. SANS OUBLIER QUE SI L’ÉLÈVE ÉCHOUE A SON EXAMEN ? C’EST LE DIRECTEUR QUI SERA SUSPENDU DE LA FONCTION PUBLIQUE. ECOUTEZ C’EST UN CRIMINEL CE GARÇON D’AUTRE RACE. MADAME, IL FAUT CONVOQUER CE DIRECTEUR POUR L’ECOUTER ET LA FIN DE L’ENTRETIEN IL REÇOIT UNE BLÂME D’OFFICE EN ATTENDANT LES RÉSULTATS DE LA FIN DE L’ANNÉE VOIR SI L’ELEVE A EU SON CERTIFICAT OU PAS.

  • Le 29 avril 2014 à 08:12, par Ibra En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    C’est vraiment dommage que nous assistons encore à ce type de pratique. J’ai personnellement eu un cas comme celui là, mais pas aussi grave, c’est le directeur de l’école qui a calmé la situation. Cela s’est passé dans dans une école primaire également à Bobo. L’enseignante à l’époque, une sœur religieuse de surcroit a tapé mon enfant et sur la tête en plus pour n’avoir pas eu une bonne note en dictée (en classe de CE2). La pleine était générale et l’enseignante en tout cas n’est plus dans cet établissement. Ce soit disant directeur doit répondre de ces actes.

  • Le 29 avril 2014 à 08:17, par parent d’élève En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    nous voulons la version du Directeur de l’école, si tant est d’informer.
    arrêter d’intoxiquer l’opinion publique et revoyez votre copie : le soi-disant certificat d’hospitalisation date du 02 avril 2014 alors que les faits se sont produits le 22 avril. il faut aussi que ce médecin prenne son travail au sérieux. ce sont ces genres d’amateurs qui gâtent le nom de la profession : un certificat d’hospitalisation est fait pour dire qu’un patient a été reçu et hospitalisé de telle date à telle date, ce n’est pas le cas dans ce qui nous est fourni. un enfant avec les blessures telles que décrites ne peut pas marcher de l’école à la maison ; il y’a lieu aussi de se demander pourquoi c’est elle seule qui présentes ces blessures étant donné qu’elle n’était pas seule à subir ces sévices.
    ce médecin et ce parent ont d’autres idées derrière la tête que d’informer.
    les enseignants doivent aussi savoir qu’ils n’ont pas l’obligation de résultat, ne vous cassez pas la tête, renvoyez ces cancres et enfants-gâtés à leurs parents. les échecs scolaires sont imputables à ces genres parents d’élèves ; c’est eux les fossoyeurs de l’éducation

    • Le 29 avril 2014 à 11:27, par Anita Manour En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      Merci beaucoup parent d’élèves pour le commentaire. Où allons-nous dans cette société avec ces genres de parents et leurs progénitures ?

    • Le 29 avril 2014 à 12:44, par Jamanatigui En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      Il faut nécessairement la version du directeur de l’école pour mieux comprendre cette affaire et je partage ton avis la dessus. Les réactions épidermiques ne sont pas pour arranger les choses. Je sais que ce Directeur n’est pas malade mental autrement il ne sera pas à son poste.

      Ceci me rappel une autre histoire. En 2004 mon enfant faisait le CM2 dans une école en province où moi même y servait. Un jour il vient me dire que leur maître les frappait beaucoup. Je me suis donc déplacé vers le maître et devant l’enfant je lui demande si c’est vrai qu’il les frappe. Il répondit par l’affirmatif. Et je lui demande ce qu’il faut pour éviter le fouet. Il répondît : apprendre ses leçons. Je dis donc à mon fils que je ne peux pas le sauver mais qu’il reste lui même responsable s’il veut éviter la cravache. En réunion APE, la même question est revenu sur la table. Une partie des parents était contre et une autre partie pour. Quand le directeur évoqua la question avec le maitre ce dernier lui dit qu’il n’y pas de contrat entre lui et les parents mais avec le directeur. Que si le directeur approuve ce qu’il fait il va continuer et s’il désapprouve aussi il va adopter une autre attitude. Et publiquement il a eu l’aval du directeur de l’école. En fin d’année, il a fait 100% au CEPE et plus de 65% à l’entrée en sixième. A la clôture de l’année scolaire, les parents lui ont apporté leur cadeau. En prenant la parole il a remercié les parents pour leur présent mais a refusé de recevoir ce cadeau. Il leur a simplement rappelé que s’il les avait suivi il n’allait pas atteindre ce résultats à plus fort raison bénéficier un cadeau de leur part. A chacun de faire son opinion sur cette attitude.

      • Le 29 avril 2014 à 15:17 En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

        Jamantigui, tu n’as rien prouve. Je vais te dire que le contrat, ce n’est pas entre le maitre et le directeur. Mes enfants, c’ est ce que j’ai de plus precieux. En 2006, une institutrice a fouette a mort un eleve a Sabou et qu’ en le procureur l’a enferme, les enseignants sont alles en greve.Ils ont ose dire que l’ enfant avait le palud. Menteurs ! Des professionnels qui defendent des collegues fautifs. Vraiment, l’ enseignement a perdu beaucoup de son lustre d’ antan. Je ne peux pas confier mes enfants a quelqu’ un sans avoir un droit de regard. Tu as tente de faire des sophismes surement parce que toi - meme tu es un enseignant fouettard. A la fin d’ annee ils a fait 100% au cepe et 65 % a l’ entree en sixieme. Qu’est-ce qu’ il te dit qu’ ils n’ auraient pas fait 100% a l’ entree s’ il utilisaiyt pas a pedagogie du baton ? Les parents qui ont apporte des cadeaux a ce pere fouettrad ne savent pas ce qu’ ils veulent. La reussite de mon enfant a un examen ne suffit pss pour justifier les bastonnades de ce genre. Quand on eleve des gens a la brutale, ils deviennet des dirigeants qui ne comprennent que le langage de la force. Suivez mon regard.

        • Le 29 avril 2014 à 16:10 En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

          mr 15:17, c’est vous autres qui fabriquez des bandits dans et pour la société qui viennent nous pourrir la vie après. Mes chers enseignants, vous n’êtes pas Dieu. Laissez les cancres et mal éduqués faire ce qu’ils veulent. Nous verrons bien ce que l’avenir nous dira.

          • Le 29 avril 2014 à 19:12 En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

            ce n’est pas mieux d’ avoir des bandits et des mal eleves que de bons enfants morts et enfouis 10 metres sous terrre ?

          • Le 29 avril 2014 à 22:58, par SOME En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

            ce sont ces memes gars qui viendront encore se pliandre : je comprends pas, je ne l’ai pas eduqué ainsi ; c’est les enfants d’aujourdh’ui comme ca, comment onva faire ? Je dis que Si le parent a ete le responsable
            SOME

            • Le 3 mai 2014 à 14:44 En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

              Mais c’est grave ! Vou voulez reduire l’ education a la torture ? On frappe pas dans beaucoup de pays mais leur systeme educatif est plus fort que chez nous. La colere n’eduque pas les enfants. Vous avez compris ? Si vous voulez des citoyens qui respectenmt les droits de l’ homme, il ne faut pas elever les enfants a la chicotte. Vous avez vu comment notre armee est brutale dans son ensemble, n’est-ce pa ? Elle a ete eduquee a croire que seule la violence regle les choses, discipline les citoyens.riee pour former des citoyens serviles.

    • Le 29 avril 2014 à 12:48, par A N En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      Parent d’Eleve, juste pour éclairer votre lantern. Le certificat d’hospitalisation qui était joint concerne un autre cas de sévices corporelles vécu par la meme famille en début du mois. Il a été joint pour expliquer a fasonet que y a marre. Le cas du certificat concernait ma propre fille qui fait le CE2 dans une école privée. Pour n’avoir pas pu faire une recitation,en guise de sanction, son maître de classe l’a oblige (là aussi ils étaient nombreux) à frapper son front contre la terrasse de la classe. S’étant executée, le maître lui à dit de reprendre parce qu’il n’a pas entendu le bruit du coup de tête contre la terrase. la conséquence est que L’Enfant est revenue a la maison avec 2 fronts. Mais pour ce cas, j’avais accepté les excuses du fondateur, du direteur et de l’enseignant. C’est ça le sens du certificat qui était joint pour expliquer à fasonet que trop c’est trop. J’ai decidé de denouncer cette enièmme pratique, parce que à cet allure, nous allons arriver à l’irréparable. Si vous le voulez, vous pouvez prendre contact avec l’auteur de ces faits actuels pour voir sa version.

      • Le 29 avril 2014 à 15:25, par De Balzac En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

        Excusez-moi, mais le parent veut ici biaiser le débat. Tu nous présente l’image d’un neveux et tu joins les ordonnances de ton fils. Un peu du sérieux. Plus grave que ça, je me permets de douter de la sincérité de ce parent. Tous les deux cas sont de votre famille et ce en l’espace d’un moi. Alors, tu dois tirer la conclusion toi-même. Soit il s’agit d’une famille où l’éducation des enfants n’en existe pas ou soit il s’agit d’une famille avec des enfants structurellement déficients intellectuellement (peu intelligents ou inintelligents) et on accusent les maîtres. Aujourd’hui chacun veut que son enfant soit prince à la maison sans oublier que le père n’est pas roi sur tous les royaumes. Conséquence, l’enfant traîne les mêmes tares de la maison à l’école. Alors aidons les enseignants dans leur travail.

        • Le 29 avril 2014 à 15:55 En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

          Voila surement un enseignant qui n’a meme pas le vrai niveau d’ un enfant du cm2 avec ses graves solecismes eyt gallecismes. Un enfant deficient et jamais un enseignant deficient ? Je ne suis pas avocat mais j’ aimerais defendre cete famille et tu ne pourrais meme pas ouvrir la bouche. Parce que je suis un educateur a la retraite. Je ne connais pas les lois mais je connais les principes. Meme si c’etait 10 enfants de la meme famille, le pere a raison de porter plainte. Mme si c’etait l’ enfant du voisin. Nous ne vivons pas en societe comme des moustiques . Nous sommes aussi une communaute. Donc tous pour un, un pour tous ! Meme si ces enfants etaient rammasses dans la rue, ca n’ invalide pas la plainte. Alors, moi je suggere au parent de deposer plainte directement a la justice puisqu’ il ya des collegues ignorants et incompetents de ce mauvais directeur qi tentent de le defendre. L’ occasion sera bien donnee de savoir que ce n’est pas une invention et que les nids de dindons que je vois sur les genoux de ce jeune enfant ne sont pas le resultat d’ un photoshopping macabre.

          Jean Vianey Fayama, Toronto, Canada

          • Le 29 avril 2014 à 22:41, par parent d’élève En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

            mon cher, il n’y a rien à défendre ici le dossier est vide ; l’accusation n’a pas d’élément matériels sincères et irréfragables à présenter. et pour cause :

            1 - le soi-disant oncle de notre victime manque de sincérité dans sa démarche avec la production du faux et l’usage du faux : ce qu’il a présenté comme certificat d’hospitalisation est faux dans la forme et dans le fond. ce n’est pas pour rien que ça été retiré du site quand ils se sont rendus compte que certains lecteurs éclairés ont découvert leur manœuvre ; la clinique st-Jérémie doit déposer une plainte contre ce médecin qui a osé faire usage de ce faux sinon, petit-petit cela va avoir des conséquences très désagréables sur sa fréquentation ;

            2- dans votre poste ci-dessus, vous avez dit que le certificat appartient à votre fille, mais nul part dans le journal vous n’avez précisé que ce certificat appartient à votre fille. si vous n’avez pas porté plainte en son temps contre l’école de votre fille, il n’y a pas de raison que vous en faites usage aujourd’hui pour une autre affaire. en mélangeant les ânes et les chevaux vous vous êtes discrédité.

            je ne connais pas cet enseignant, mais votre façon de procéder frise l’intox, la manipulation et l’intention profonde de nuire. il n’y a pas de parent qui n’aime pas son enfant, mais pas de cette manière. si vous aimez tant et vous choyez tant, pourquoi vous ne l’avez pas fait pour votre fille, au moment où elle a vécu des sévices avec des traumatismes plus graves, et vous le faites aujourd’hui pour votre nièce ? Est-ce parce que l’école s’appelle kossyam ? ou parce que cela vient du directeur lui-même ? ou encore parce que vous n’avez pas encore reçu d’excuse de l’école ? dans ce dernier cas Fasonet pourra le faire étant donné que c’est une école publique et le dossier est clos.

            enseignant, votre métier est noble ; mais ayez toujours à l’esprit que vous n’avez pas d’obligation de résultat ; ne cherchez pas des ennuis, essayez mais si ça ne marche pas laissez ces genres de cas là où vous avez pu ; après on va les renvoyer aux parents pour rééducation. les enfants sont à l’image de leurs géniteurs, vous ne pouvez pas réinventer la vie au prix de votre carrière. les enfants de maintenant-là, c’est OGM si tu l’insulte, il tombe malade ; ce n’est pas comme nous du temps des tisanes, des sauces boulvaka et des taux potassés.

            ces situations, c’est toujours bien d’en parler sans passionner les débats, quand c’est sincère, cela procède de l’éveil des consciences et du rappel des consignes. car l’éducation c’est le rôle de nous parents ; les enseignants font de l’accompagnement pour que l’enfant puisse avoir un parchemin et faire le choix de vie.

            pour ne pas saper les efforts de certains enseignants et pour éviter de jeter le bébé avec l’eau de bain, nous parents devrions faire preuve de plus de responsabilité et se remettre un peu en cause, ça aide l’enfant pour demain. ne copions pas le blanc, nos Etats sont des laboratoires de programmes d’éducation malgré eux parce qu’il y a l’argent dedans ; mais chaque famille devrait avoir son code de conduite, socialement accepté qui puisse aider l’enfant à s’insérer et à se frayer un passage demain.

        • Le 29 avril 2014 à 16:29 En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

          Est ce que tu peux dire que Durant tout ton cursus scolaire tu a toujours été une étoile qui ne sais jamais trompée ? Tu a été l’éléve brilliant qui a toujours eu la moyennes dans toutes tes compositions ? Un enfant qui n’a pas eu la moyenne est-ce que ça vaut le coup de le maltraiter de la sorte ? Et puis qui a dit que la reussir dans la vie passé forcement par la réussite a l’école ? Compte le nombre d’opérateur économique dans ce pays et tu regarde combine on fait l’école. faut réfléchir un peu

        • Le 29 avril 2014 à 16:38 En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

          Désolé De BALZAC. depuis que les faits oont dénoncé, rien que ce matin d’autres parents dont les enfants ont été victimes de ces atrocités ont eu le courage de se presenter au Directeur de l’école "KOSYAM". Tu sais se que le Directeur fait ? Il ne fait que honorer les ordonnances depuis ce matin.

          • Le 29 avril 2014 à 22:46, par SOME En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

            eh bien voila le debut de la mort de l’education au burkina

            « Lorsque les pères s’habituent à laisser faire les enfants,
            lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles,
            lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter,
            lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu’ils ne reconnaissent plus, au-dessus d’eux l’autorité de personne,
            alors c’est là en toute jeunesse et en toute beauté, le début de la tyrannie. »
            Platon (IVe siècle av. J.C.)
            Excusez du peu
            Apres ne venez pas vous plaindre qu’on ne comprend pourquoi ceci, pourquoi cela, etc. il n’y a plus de morale, de ceci cela etc. De toute facon on se veutcivilisés endemocratie (europeenne car dans nos traditions il n’y en a jamais eu : tout ca c’est de la sauvagerie dans un monde moderne !).
            SOME

        • Le 29 avril 2014 à 22:32, par SOME En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

          un grand MERCI tout simplement ! rien a dire de plus
          SOME

  • Le 29 avril 2014 à 08:31, par Bob En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    Plus que assassin,c’est ce Directeur d’école primaire de Kosyam.Est ce que c’est en tromatissant les élèves de cette manière qu’ils vont bien apprendre leurs leçons ? Je demande aux parents de de ZA de garder toujours leur sang froid,car ce soit disant Directeur ne sait pas ce qu’il fait.

  • Le 29 avril 2014 à 08:44, par SANA En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    MEILLEURE SANTE AU PETIT ZA

  • Le 29 avril 2014 à 08:52 En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    Punir un enfant en le faisant marcher à genou dehors n’est pas aussi grave que vous le pensez. Allez savoir comment les nos enfants sont chiant avec les enseignants. Je penses que ce qui est arrivé est un incident malheureux (soleil trop brulent et corps trop fragile de cet enfant) et chacun doit se retenir de décourager cette un enseignant qui a un grand rêve pour les élèves qu’il encadre. Bref, bon rétablissement à l’enfant et bonne chance dans leur examen.

  • Le 29 avril 2014 à 09:18, par Momo En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    dommage que tu puisses raisoinner de la sorte Jhon.Quelle sera ta réaction si l’on influgeait cela a ton propre enfant ?

  • Le 29 avril 2014 à 09:35, par Mac En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    Je salue cette initiative de porter la nouvelle à la connaissance du public.
    Cela nous permet de prendre conscience du fait que de telles pratiques existent toujours et devraient être prohibées et punies.
    Cependant,pour éviter que d’autres "écoliers, élèves" n’en soit victimes j’invite l’oncle de cette victime en concertation avec les autres parents dont les enfants ont été aussi victime, de porter plainte contre ce monsieur que doit avoir "d’autres vocations".

  • Le 29 avril 2014 à 09:50, par Badpress En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    kk, tu es vraiment un magicien hors pair. Tu reconnais patte gauche de poulet dans sauce ! bravo !

  • Le 29 avril 2014 à 10:34 En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    directeur tu as oser on dit de plus fraper et tu persistes. l’echec de ces enfants te font quoi ? pourvu qu’on ne coupe pas ton salaire. mem si un eleve t’insulte fo mem plus toucher.

    • Le 29 avril 2014 à 11:22 En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      Même si un enfant t’insultes, faut même plus toucher, maître. Vraiment on est fatigué des jérémiades des parents. Pourtant, la plupart d’entre eux préfèrent pourchasser l’argent que de bien éduquer leurs enfants. Donc pour beaucoup d’internautes le département de Koumba Boly doit faire licencier cet enseignant ?

      • Le 29 avril 2014 à 22:55, par SOME En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

        merci tu sais les gens sont devenus veuls, hypocrites et menteurs et suiveurs. Chacun veut se faire bien voir tout simplement pour qu’on dise que lui il et bien, moderne, civilisé et tout le tralala. Aucun esprit... En realité on ne fait qu’exposer son mal etre personnel, ses propres contradictions existencielles, et tout le reste. Bien dommage
        SOME

        • Le 3 mai 2014 à 14:56 En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

          Ce n’est pas une question de se faire voir. D’ailleurs nous sommes tous sous l’anonymat ici. Meme toi SOME en majuscules ici, on ne sait pas qui tu es ni ou tu vis. Donc en quoi donc tu peux te montrer ici meme si tu le eveux ? La realite est que c’est dangereux de continuer a frapper les enfants. Les gens sont en mauvaise sante, on mange mal. On se promene seulement sinon on est tous malades. Copmbien sont ceux qui font un bilan complet de sante par an ? C’est une question de choix. Si mon enfant ne demarre pas en classe, laissez- le. C’est mon cancre. D’ailleurs , la loi meme dit de ne pas frapper. Vpus parlez de respect et vous oubliez que ceux qui sont contre les punitions corporels sont du cote de la loi. C’est une contradiction de votre part. Le maitre qui touche a mon enfant, il aura chaleur. En belgique, on frappe pas les enfants mais leur ecole est encore meileure. Ou bien vous volez dire que le noir ne peut entendre que la pedagogie des coups ? Dans lequel cas, vous seriez raciste.

    • Le 29 avril 2014 à 14:51, par N’Djolé En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      C’est pas la même chose, mon cher. Châtier et blesser sont deux sanctions bien différentes. C’est de cette façon que l’oncle d’un orphelin de père et de mère lui a ligoté les main 24 heures durant à Koudougou. Résultat : l’enfant a eu les deux mains amputées.

  • Le 29 avril 2014 à 10:38, par Badpress En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    M. Amadou NIKIEMA, merci de votre sage agissement . Ne portez pas plainte contre lui. Votre neveu est hors de danger. Votre plainte peut détruire la vie de ce "directeur" par ricochet sa famille et vous aurez ça sur votre conscience. Votre agissement est très responsable. Ne cherchez pas à le rencontrer. Laissez le avec sa conscience. Dieu vous rendra justice.

    • Le 29 avril 2014 à 11:29, par zm En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      Très bien dit mon frère. Prompt rétablissement à ZA et plus jamais ça.

    • Le 29 avril 2014 à 19:21 En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      Mr. Nikiema, faut porter plainte. Pas pour votre fils qui est hors de danger mais si vous le faites, vous allez sauvez des dizaines d’ enfants qui sont toujours soumis aux tortures de nos bourreaux qui refusent d’ etre des enseignants. En usant de la violence contre ces etres malleables, ous leur envoyer le signal que torturer quelqu’ un d’ autre est ok. Et bonjour la mentalitse de CONSEILS de l’ ENTENTEs ou ca torture a tours de bras. Plus jamais ca. le peit a pu s’ en tirer mais n’ oubliez jamais qu’ il pouvait mourir d’ infection sans parler des douleurs subies. Nul n’a le droit de violenter l’ integrite physique de personne meme des tout petits.

  • Le 29 avril 2014 à 11:10, par CM2 En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    Meilleure santé à notre jeune sœur. Ce n’est vraiment pas facile pour un enfant de supporter ces douleurs. C’est bien vrai que l’enseignant ne devait pas agir ainsi,mais si les blessures n’étais pas là et que par la punition l’élève travaillait mieux en classe ? qu’auriez-vous dit ? Arrêter de le condamner et voyer les choses autrement aussi.

    • Le 29 avril 2014 à 12:29, par ouedraogo nongasida En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      Je ne suis pas convaincu de la photo, à moins que cet enfant soit un barbu de CM2. Prenez le temps de préciser que c’est une photo d’archive. Pour ma part, je pense qu’il ne faut pas diaboliser l’enseignant. J’ai eu la chance d’exercer ce métier a ouaga et je vous assure que certains enfants sont des virus pour leur maître et leurs camarades. Je connais actuellement une école, secondaire dans mon quartier à Tampouy, où les élèves de 4è passent leur temps à percer les chambres des motos des prof. C’est une école privée et nous savons que dans la plupart de ces écoles, ce sont les expulsés du public, les cancres qui s’y trouvent. Je déplore ce cas malheureux, mais n’exagérer pas sur la photo car ses pieds ne sont pas les pieds d’un élève de CM2

  • Le 29 avril 2014 à 11:45, par lanta simon pierre En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    Le direct a voulu bien fair mais hela

  • Le 29 avril 2014 à 12:00, par BEONEERE En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    où est passé le certificat ??????????????????

  • Le 29 avril 2014 à 12:42, par Alexio En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    Si reellement nous vivons dand un Etat de droit.LeDirecteur d ecole etait suspendu pou etablir une enquete judiciaire ouverte en son endroit pou elucider les faits concrets. En pedagog avec une methodique si atroce en 2014. ALors qu on nous claironne l emergenge du Faso. Ou sont les inspecteurs des ecoles Primaires pour le Control de la qualite educative ?Rapport Maitre et eleves doive etre base sur le respect mutuel pour un environnemnet propice a la bonne education. Et non en regime totalitaire du maitre terrorisant et humiliant en meme son eleve.En 1967 a Bobo -Dioulasso, en classe Cm2, mon maitre de classe queje veux citer son nom parcequ il n est plus en vie me torturait a chaque fois que je faisait une faute grammaticale. En fait de compte j ai opte l ecole buissoniere qui couter a mon developpent cyclique. Jusqu a aujourdhui les sequelles y sont la psychologiquement. En ce temps le maitre etait comme un Dieu pour ses eleves. Ma grande erreur personne de ma famille ne la su. J avis peur des represailles de Monsieur le Maitre de l epoque.

  • Le 29 avril 2014 à 12:55, par Le Hamas En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    Si je ne me trompe même a la formation militaire ,le genou progresser a été supprimé , la punition d’accord mais pas la maltraitante et la sorcellerie , celui qui fait coup de gueule ne vaut rien , a sa place je pouvais prévoir ma réaction.

  • Le 29 avril 2014 à 12:57, par dounia En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    quel est l,objectif inavoue’ et inavouable de cette famille ?a regarde’ de tres pres les pieds de l’enfant,on constate qu’ils ont manque’ de soins pendant au moins 2 semaines-soyons serieux avec un minimum de dignite’ meme si notre societe’ est devenue tres mercantile-arretons ca..il est temps pour le Mena de se pencher sur la situation

  • Le 29 avril 2014 à 13:04, par gueyo En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    celui qui à commis le forfait est sans âme et sans amour pour son semblable.A mon avis,de tel acte inhumain est passible pour une poursuite suivie d’une sanction judiciaire car ce soit disant directeur qui d’ailleurs n’incarne point en n’en pas douter un bon chef de service est conscient de l’interdiction du châtiment corporel en milieu scolaire.Et d’ailleurs c’est lui qui,en sa qualité de directeur doit veiller au grein pour que ses adjoints se plis à ladite règle.C’est déplorable pour vous directeur.

  • Le 29 avril 2014 à 14:17, par N’Djolé En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    Et qu’est-ce qui vous dit que l’auteur de l’écrit ne portera pas plainte ou ne l’a pas encore fait ? Les différents animateurs de ce site interviennent souvent de façon sotte, au moment où on attend d’eux des contributions pertinentes. S’il n’avait pas écrit, auriez-vous su que de telles pratiques ont toujours cours dans notre pays ? On écrit pas sur un forum calebasse de dolo ou de "qui m’en pousse" en main, ou depuis un débit de boisson. Moi je trouve juste qu’il écrive. N’empêche que d’autres actions pourront encore suivre, de sa propre initiative, de la hiérarchie du directeur(Inspection, MENA) ou de tout autre autorité compétente(Justice, fonction publique). Moi je condamne pas le fouet à l’école. Mais les humiliations, les blessures et mêmes les marginalisations. Sans frapper un enfant, on peut l’humilier devant ses camarades ou le marginaliser et cela restera à jamais présent dans l’esprit de cet enfant.

  • Le 29 avril 2014 à 14:22, par maxwell En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    Dommage que nous en sommes arrivés là ! Meilleure santé au petit ZA et toutes mes sincères sympathies à sa famille. En vous lisant,l’unique chose qui vient en tête c’est de condamner l’acte du Directeur. C’est vraiment ignoble mais ne passez pas de vue ce que voulait Mr le Directeur en agissant ainsi. Avant les plaie la noblesse d’idées voire d’envies n’etait pas le travail,la réussite de ces enfants dont sa mission à lui,entendre par lui le Directeur,est de les y conduire ?Soulignant "...même en plein Ouaga."je trouve que vous exagerez un peu. Avancez-vous donc qu’il y’a des circonstances atténuantes de la loi sur la defense de châtier pour les autres enseignants des autres localités ?
    Mr le Directeu,sauf cas troubles mentaux,je trouve que vous avez dévié. Ressaisissez-vous et appretez-vous à un repentir. Revoyez vos cours de législation car je suis convaincu que vous n’avez pas agi en etant ignorant de la loi. Vous n’avez non plus obligation de resultats. Regardez autour de vous,d’en bas jusqu’en haut,tout le monde a démissionné de son rôle d’educateur mais attende du génie à tout faire de l’instituteur qui doit transformer des cancres tout faits depuis la maison. Par conséquent,attelez vous à faire ce que vous pouvez et devez faire. Là est notre piste de course.A bon attendeur,Salut

    • Le 29 avril 2014 à 16:03 En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      Le chemin de l’ enfer est aussi pave de bones intentions. On a bien dit, plus de punitions corporelles. Vous vulez qu’ on vous dise ca en quelle langue encore ? En d2003, c’ est l’ oeil d’ un eleve qui a ete casse comme un oeuf par une institutrice a Ouaga iic. En 2006, c’est un eleve qui est fouete a mort a Sabou et apres on dit qu’ il avait d’ ailleurs le palu, un palud qui allait l’ emporter de toutes ls facon(? Ahm,ces enseignants qui sont devenus des Dieux.

  • Le 29 avril 2014 à 15:47 En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    Je ne comprends pas les gens. Vous etes trop sensibles. On a bien dit que l’ ecole s’ appele Kosyam. En afrique, les noms, c’est pas fait pour rien- la. Un enfant torture a Kosyam mais vivant, ca vous derange ? Est-ce que vous n’ avez pas entendu que Kosyam est capable du pire ? Bon ! Mais comme vous ne dormez pas mais ronflez, moi je me tais. C’est pas ma bouche qui va bouffer piment pour vous.

  • Le 29 avril 2014 à 16:45, par GUESSAD En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    Donc on ne doit plus punir les enfants quoi ? Est ce qu’il était seul à être puni de la sorte ? Nous avons été tous des élèves et on sait réellement que les enseignants, même parfois méchants envers nous ne nous veulent pas du mal. C’est arrivé, c’est arrivé donc il ne faut pas exagérer en pensant que c’est sciemment fait. Est ce que tous les enfants ont eu les mêmes blessures ? Non, je ne pense pas. Donc c’est un accident de la punition .De grâce, laissons ces histoires de je connais mes droits parce que cava amener nos enfants en perte.
    Courage à tous ces enseignants qui fournissent beaucoup d’efforts pour la réussite des nos enfants.
    Je suis pour les punissions, donc s’il ya accident pendant la correction, on tolère.
    Que Dieu aide et protège le BURKINA FASO !!!

    • Le 29 avril 2014 à 17:43, par buud noma En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      Moi j pense que les sevices corporels sont indispensable a l ecole mais sachons bien l utilise une arme a beau etr efficace a force de l utilise elle s use ne cachons pa notr incapacité a inculquer dans
      Les chatiment certe l directeur a exagéré mais ne coupons pas la branch mort de peur d affaiblir l arbre.

    • Le 29 avril 2014 à 23:29, par SOME En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      merci Tout simplement les gens sont malhonnetes avec eux memes !aujourdh’ui tout le monde meprise l’enseignant, surtout du primaire. Vous n’avez qu’a voir les commentaires. Et puis il y en qui sont BIEN aujourdh’ui PARCE QU4L Y EU CES INSTITUTEURS ! Il y a quelques semaines lefaso.net publiait l’article de Tourizou SOME Professeur dans une université americaine et tout le monde en etait content. Dans cet article il rendait hommage a l’action de son institueur M Branzy Raphael SOME pour ce qu’il lui a apporté comme education et ce que cela lui a servi dans la vie. Je connais bien l’instituteur SOME Branzy "Monsieur RAPH" : qui ne connait pas la severité de Mr Raph ? En avons nous ete traumatisés a mort etc ? au contraire cela nous blindé pour affronter ce monde actuel. Et pourtant on n’avait d’eleves impolis, faineants, rois qui font ce qu’ils veulent, et gagner l’argent facile, etc, et dont les parents s’en foutent, etc. Soyons conséquents avec nous memes et soyons honnetes avec nous memes et regardons les choses en face et affrontons-les AVEC NOTRE MENTALITE ET PHILOSOPHIE D AFRICAINS. qu’on e vienne pas parler des droits de l’homme, droits de l’enfant, etc. La toute premiere charte des droits de l’homme connue de l’histoire de l’humanité provient d’afrique. Elle a été copiée par l’ONU Mais en oubliant que le droits vont pair automatiquement avec des devoirs !

      Platon : Lorsque les pères s’habituent à laisser faire les enfants,

      « Lorsque les pères s’habituent à laisser faire les enfants,
      lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles,
      lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter,
      lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu’ils ne reconnaissent plus, au-dessus d’eux l’autorité de personne,
      alors c’est là en toute jeunesse et en toute beauté, le début de la tyrannie. »
      Platon (IVe siècle av. J.C.)
      Tout commence par l’education Et le burkina va mal aujourdh’ui parce qu’on a commence justement par massacrer et detruire l’éduacation. L’europe en est le bel exemple de la deconfiture. d’une société a partir de la deconfiture de l’education Nous sommes avertis : Asssumons nous !
      SOME

  • Le 29 avril 2014 à 20:27, par Vidi En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    J’espère que le parquet va se saisir d’office de cette affaire.

  • Le 29 avril 2014 à 22:08, par revena En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    arreter les blabla les gars qui d’entre vous n’a pas eté frapper a l’ecole ? le gars a juste deconé impeut en plus il lui a pa frapper a proprement dit et il n’est pas le seul a subire cette epreuve, l’enfant a eu la malchance seulement.

  • Le 29 avril 2014 à 22:56, par bobolais En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    Ecole Kossyam à l’image de la présidence kossyam

    • Le 30 avril 2014 à 08:38, par DEENG- NOUM En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      c’est mort pour ce DIRECTEUR.il ne devrait pas confondre rigueur et zèle.kil commence a prendre en charge volontairement les soins de ZA en espérant une situation atténuante.pour lui ke DIEU calme les esprit.ça n’arrive pas ko otre.ce n’est pas aisé de perdre son poste...PITIE !!!!!!!!

  • Le 30 avril 2014 à 04:45, par ka yam yeelé En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    osez-vous faire ça à votre propre enfant mr le directeur !tout ça c’est une correction, ; ; ;sans coeur

  • Le 30 avril 2014 à 07:33, par la famille laissée les gens parler En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    Nous etions tous les élèves mes ce douleur on a jamais porté.ce directeur doit être puni et assosié delijugement.

    • Le 30 avril 2014 à 09:35, par YESI En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      Surement que ce directeur doit amèrement regretter. S’il regrette son acte parce qu’il ne savait pas que la punition allait occasionnait des blessures qu’il demande franchement pardon aux parents de l’enfant prenne les frais de soins en charge.

      • Le 30 avril 2014 à 11:50, par tampo En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

        loin de defendre le directeur, je crois que la blessure sur la photo date d’au moins une semaine et en plus la photo a été zoomée au moins 200pour100. imaginé une petite plaie non soignée pendant une semaine ? on a tous eu des plaies.

      • Le 30 avril 2014 à 15:20, par Innocent En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

        Arrêtez vos histoires, c’est parce que c’est un directeur d’école ? J’ai pleuré lorsque j’ai vu les blessures de cet enfant. Mais sachez que les hommes font pire à leurs enfants dans les familles.

        Un père de famille a laissé dormir son garçon de 10 ans dehors sur la terrasse à l’insu de sa femme, soit disant qu’il n’a pas pu réciter toutes ses leçons. C’est pas pire ça ?

  • Le 30 avril 2014 à 10:51, par MOREBALLA En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    Le nègre est tellement con, pensez vous qu’on puisse réussir une bonne éducation sans une dose de sévérité à l’égard des enfants têtus ou désobligeants ? Je me rappelle comme si c’était hier : un camarade de classe dont nous avons toujours souhaité qu’il gaffe et le maître puisse le fouetter comme il se doit. Mais, il était bon partout et de surcroît le plus sage. Quand ce dernier devait recevoir une punition, est d’ordre collective. Le Maître ne punit pas un élève au regard de la crâne de son géniteur, bien au contraire qui aime bien châtie bien. Nous nous plaignons tous de la crise éducationnelle académique et sociétale parce que tout simplement, on ne peut sévir sur l’enfant du frère quand il a fauté, ni celui du voisin et même son propre enfant,car, l’enfant a des droits.

  • Le 30 avril 2014 à 11:32, par tampo En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    pourquoi supprimer les chatiments corporelles (la chicotte) à l’école ? pourquoi ? je ne vois pas son importance si ce n’est pas livré les enseignants aux élèves. regarder vs mème que vaux un maitre devant un élève, absolument rien. quelle autorité ou cadre de ce pays peut dire que sa reussite aujourd’hui n’est pas le fruit de chatiment corporel ; quel élève de CM2 ne s’est jamais doublé, triplé, quadruplé... en son temps. mais aujourd’hui est ce que c’est son maître qui en profite ? on ne peux ressemblé aux autres car on n’a pas les mèmes réalités. quittons dans ça.

  • Le 1er mai 2014 à 08:06, par alison En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

    eeh vs n avez aucune pitié.pauvre de vos enfants,on a pas besoin de frapper au hasard enfant des gens,vs pouvez donner des punitions écrites,les gronder.franchement ca fait froid dans le dos de voir des compatriotes qui partage cette vision de l éducation,cherchez à avancer on eduque pas dans la peur c est comme ca que la violence se banalise,comment un parent peut laisser matyriser son enfant comme cela ?!!

    • Le 2 mai 2014 à 14:34, par Nikita En réponse à : Sévices corporelles à l’école primaire : ça existe toujours et même à Ouaga

      Mr SOME ! c’est bien la solidarité, mais pas dans le mal. acceptez qu’on vous dise la vérité. Aucun parent ne peux voir son enfant traumatisé de la sorte sans agir comme l’a fait Mr NIKIEMA surtout, que son propre enfant aussi a été victime de ce genre de traumatisme. si vous êtes comme ce directeur de grâce changez. au temps dont vous parlez, combien d’élevé ont tenu.