Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)C’est à Bobo Dioulasso que ça se passe. Loin de Ouagadougou. Dans la « capitale » de l’Ouest du Burkina Faso, autrefois pôle industriel majeur ; mais c’était autrefois. La cité des Hauts-Bassins a toujours été en marge de la vie politique de la Haute-Volta. Elle est retournée, le temps d’une journée, dans le lit de son histoire. C’était le samedi 1er mars 2014, sur le boulevard de l’Indépendance. Il y avait là, face à une foule immense (sinon ce n’est pas une foule), Roch Marc Christian Kaboré, Salif Diallo et Simon Compaoré. Le premier est président du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP) ; les deux autres sont, respectivement, premier et deuxième vice-présidents. Il y a deux mois, ils n’étaient rien, ou pas grand-chose : des ex. ! Ils ont alors choisi le clash avec le parti qui les a fait naître et les a nourri : le Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP). Une troïka que l’on n’attendait pas vraiment dans la rupture (cf. LDD Burkina Faso 0402/Mardi 7 janvier 2014) après des années de « soudure » qui leur ont permis de devenir ce qu’ils sont : apparatchiks et nomenklaturistes du régime. Ce 1er mars 2014, l’homme qui est monté à la tribune pour haranguer la foule ne fait pas dans la nuance. « Même si l’on doit passer sur nos corps, nous allons empêcher la modification de l’article 37 […] La seule transition apaisée qu’il peut y avoir, c’est le respect de la Constitution. Après 2015, il n’y aura pas de transition mais le changement au Burkina Faso »*. Tout cela est violent : qui voudrait « passer sur le corps » de l’orateur pour une révision de la Constitution, pratique courante (après tout, le Burkina Faso a vécu des années en régime d’exception) ? Et quelque peu incohérent : la modification de l’article 37 – que personne jusqu’à présent n’a décidée – ne serait pas anticonstitutionnelle : la révision de la Constitution est inscrite dans la… Constitution. Et quel que soit le choix de l’équipe en place à Ouaga, la révision ou l’abrogation de l’article 37 (qui interdit, aujourd’hui, à Blaise Compaoré de se présenter pour un nouveau mandat) ne saurait être anticonstitutionnelle dès lors que le processus de révision ou d’abrogation s’inscrit dans la loi fondamentale. Que cette révision/abrogation soit jugée par certains politiquement et socialement inadéquate est une autre affaire. Mais dans les propos de l’orateur, on perçoit la menace : si on révise la Constitution la transition ne sera plus « apaisée ». Aurions-nous affaire à des constitutionnalistes putschistes ? Qu’est-ce qu’une « transition » qui serait un « changement » ? Une transition n’est-ce pas nécessairement le changement et, d’abord, celui des hommes au pouvoir. Où est-ce à dire que ces hommes qui ont vécu trois décennies dans le pouvoir ont décidé que ce à quoi ils ont participé jusqu’à présent n’était pas le meilleur des mondes… pour les autres (pour eux, nul doute, c’était « le meilleur des mondes »). L’homme qui est tout disposé à donner son corps pour la… Constitution s’appelle Salif Diallo. Une figure présente sur le devant de la scène politique burkinabè depuis plus de trois décennies. Une légende puisqu’il est auréolé de mystères (et le pluriel s’impose) depuis le temps de la « Révolution » puis de la « Rectification », du « Front populaire » et, enfin, de la « démocratie » burkinabè. Sans jamais apparaître avec ostentation sous les projecteurs ; ni même dans les médias. Une « éminence grise » ? Même pas. Diallo n’a jamais été qu’un homme de l’ombre. L’ombre de Blaise Compaoré ! Ceux qui veulent faire penser qu’ils ont décrypté les « mystères » de Diallo disent que « cet homme des dossiers secrets est aussi un homme d’action qui a été de toutes les batailles de la révolution (1983-1987) » ; d’autres évoquent « l’homme des dossiers spéciaux, d’aucuns disent occultes ». En fait, Diallo n’a émergé sur la scène politique burkinabè qu’après le 15 octobre 1987. Il était officiellement, ce jour-là, jour de la mort de Thomas Sankara, en compagnie de Compaoré au domicile du numéro deux du CNR (Compaoré était alors ministre d’Etat délégué auprès de la Présidence du Faso et ministre de la Justice depuis le 4 septembre 1987) ; et c’est ensemble, dit-on, qu’ils se sont rendus au Conseil de l’Entente (siège du pouvoir au temps de la « Révolution ») où ils ont constaté la mort du leader révolutionnaire. Né le 9 mai 1957, originaire de la très « historique » province du Yatenga (dont il est l’élu), dans le Nord du Burkina Faso (la « capitale » en est Ouahigouya), se présentant comme un juriste en relations internationales (il est titulaire d’un DEA et d’un doctorat en sciences politiques), Diallo a débuté en 1986 comme assistant au cabinet de Compaoré. Il va le suivre à la présidence du Faso en 1987 et prendra alors la direction de son cabinet. Quant, à l’issue du Congrès constitutif du Front populaire (1-4 mars 1990), qui marque la fin de la « Rectification », une « coordination » sera mise en place sous la présidence de Compaoré, Diallo en sera le 13ème homme, au poste de secrétaire adjoint chargé des affaires politiques. A compter du 10 septembre 1990, il rejoindra le gouvernement avec le titre de secrétaire d’Etat à la présidence du Faso. Le 16 juin 1991, il sera nommé ministre de l’Emploi, du Travail et de la Sécurité sociale. Pour peu de temps. Le 26 juillet 1991, il a été remplacé à ce portefeuille par Issaka Traoré. Quand Youssouf Ouédraogo est nommé Premier ministre de la IVème République, Diallo se voit promu ministre chargé de Mission à la présidence du Faso. Il est alors le premier des ministres derrière les trois ministres d’Etat alors nommés qui deviendront quatre après le remaniement du 3 septembre 1993 puis ne seront plus que deux, le 22 mars 1994, quand Roch Kaboré va accéder au poste de premier ministre. Le 11 juin 1995, Roch Kaboré, Premier ministre, procédera à un remaniement. Le poste de ministre chargé de Mission auprès de la présidence du Faso est supprimé. « Dans un souci de cohérence » soulignera Roch Kaboré. Salif Diallo, du même coup, se retrouve numéro un du gouvernement avec un titre de ministre d’Etat (ils sont deux, dans ce gouvernement, à avoir cet honneur, l’autre étant… Hermann Yaméogo !) et un portefeuille de ministre de l’Environnement et de l’Eau. A Ouaga, on disait alors que les « ministres étaient solubles dans l’eau » : avant Diallo, de 1984 à 1995, pas moins de sept personnalités avaient détenu ce portefeuille. Mais Diallo va fait mentir l’adage : il conservera la tutelle de ce secteur d’activité pendant plus de douze ans ! Le 6 février 1996, Kadré Désiré Ouédraogo prendra la suite de Roch Kaboré à la primature. Diallo conservera titre et ministère dans le gouvernement du 9 février 1996. Il y restera jusqu’au 12 octobre 1999. Le régime traverse une crise grave à la suite de « l’affaire Zongo », qui remonte au 13 décembre 1998 : moins d’un mois après la réélection de Compaoré, celui-ci a été accusé d’avoir couvert l’assassinat de Norbert Zongo, directeur de publication du journal L’Indépendant, qui enquêtait sur les exactions dont il accusait le frère du chef de l’Etat, chargé de mission à la présidence. Diallo, alors, retournera à la présidence du Faso en tant que conseiller, chargé de mission à la présidence. En novembre 2000, alors que Paramanga Ernest Yonli est nommé premier ministre, Diallo reviendra au gouvernement comme ministre de l’Agriculture puis, à compter du 10 juin 2002, de l’Agriculture, de l’Hydraulique et des Ressources halieutiques. S’il conserve alors son titre de ministre d’Etat, c’est avec le dossard de numéro deux : le numéro un étant attribué à Youssouf Ouédraogo, ancien premier ministre, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération régionale. A suivre Jean-Pierre BEJOT |
Vos commentaires
1. Le 11 mars 2014 à 18:36, par vérité no1 En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Mr le journaliste, Salif Diallo est notre prince et le royaume c’est pour 2015.
Le 11 mars 2014 à 19:14, par ouoba En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
vérité no1, c’est surement dans ton village que toi ton prince Salif et ta famille vous allez former votre royaume, mais pas ici au Faso.
Le 12 mars 2014 à 00:28, par vérité no1 En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Si je parle de royaume, c’est pour paraphraser le journaliste, sinon les règles democratiques seront respectées c’est-à-dire deux mandats non renouvelables. On est pas égoïste comme vous du CDP.
Le 12 mars 2014 à 08:59, par Aubin En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Tu parles de regles democratiques mais je doute que tu connaissent le terme democatrique du latin demos, qui veut dire peuple. La democratie ca vaudrait donc dire dans l’exemple que tu as donner 2 mandats si le people le desir ou plus de 2 mandats si le peuple le desir.
Le 12 mars 2014 à 12:03 En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
les désirs du peuple sont déjà dans la constititution. deux mandats non renouvelables. c’est plus une question de débats. Faut pas forcer les désirs du peuple.
Le 12 mars 2014 à 12:05 En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
les désirs du peuple sont déjà dans la constititution. deux mandats non renouvelables. c’est plus une question de débats. Faut pas forcer les désirs du peuple.
Le 12 mars 2014 à 22:57, par Aubin En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
La modification de la constitution et de son article 37 sont aussi prevus et ecris dans la constitution, mon ami. Donc c aussi un desir davoir la possibilite notamment par referendum de sauter la limitation si cela lui fait plaisir.
Le 12 mars 2014 à 20:25, par vérité no1 있다 En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
nous on va allez avec le MPP car laba il y a du blé en jeu .eux au moins ils ne seront pas avare comme les cdpistes .
Le 11 mars 2014 à 19:16, par saa En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Ah bon pourquoi vouloir que Blaise part si vous voulez créer un royaume après lui. Les gars si vous voulez changer le Burkina en royaume pour ensuite parler de changement nous on préfère que Blaise au lieu de ces gars. Vous n’avez pas encore compris que c’est un cercle vicieux où les ministre et les présidents se relaie et nous parle de changement.
Le 12 mars 2014 à 09:20, par traoré daly En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
SALIF l homme tout fait par Blaise ,mais ce type est très dangereux pour ce qu il cherche il est prêt a tout ,mais qu il sache qu après tous ces postes occupé dans ce pays et estime que le régime n a rien fait alors il doit se dire le plus nul de tout ce pays ;tant pis pour ceux qui croient a ce vieillards
Le 11 mars 2014 à 19:23, par DJANGO TOM En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
SELON LES PROPOS DE SALIF ,il est prêt à tout pour faire tombé BLAISE :cequi sous entend la force car en parlant de passer sur le corps ,il fait allusion à un bain de sang .il faut qu’il sache que s’il a des règlement de compte avec BLAISE il ne faut pas qu’ils nous implique là dedans car nous on ne veut pas que le sang coule dans ce pays .
Le 12 mars 2014 à 09:49, par VTFF En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
hahaha mon frere on sent la frousse dans tes propos !!!! ngaw
Le 12 mars 2014 à 13:31 En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
un DJANGO ne doit pas avoir peur du sang.
Le 11 mars 2014 à 19:29, par tché En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Salif prince, salif roi, salif leader ou quoi encore je ne sais pas, tout ça on s’en fou. Si Salif veut conserver son image d’homme du pays, ou homme de la situation, il doit apaiser les choses et arrêter d’attiser la haine en moment pénible et sensible du pays.
Le 11 mars 2014 à 21:37, par Albert En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
"Ils ont alors choisi le clash avec le parti qui les a fait naître et les a nourri". c’est assertion qui denote une malhonnete intellectuelle. Il faut reconnaitre qu’ils ont nourri le parti aussi et certains y ont laisse leur sante. Vous etes en mission pour le compte qui meme ?
Le 11 mars 2014 à 22:01, par Oui au CDP En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Vérité n’1, Salif Diallo ne pourra pas occuper le palais de Kosyam. C’est parce que tu ne connais pas le CDP. Quand il declare qu’on marchera sur son corps, c’est de l’intimidation. Nous n’allons jamais confié les destinées du BF a ce mechant homme, communiste de surcroit avec un comportement barbare pour terroriser le peuple. Ca ne marchera pas sous l’ère Compaoré. Si SD dit de marcher sur son corps, nous le ferons sans peur. Qu’il se prepare car le referendum sera une realité dans quelques semaines. Mais, s’il est a l’origine d’un ceratain KO, il repondra de ses actes. Ceci est un message a votre endroit et il est a prendre au serieux.
Le 11 mars 2014 à 23:22, par vérité no1 En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
On attend aussi la convocation de Salif, c’est la on va savoir qui est qui dans ce pays. Vérité no 1.
Le 12 mars 2014 à 09:34, par Tifis En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Vous êtes qui pour proférer des menace dans ce pays ? Entre Salif et Blaise personne ne peut savoir ce qui s’est passé entre eux, ceux qu’ils ont fait ensemble et ont enduré ensemble. Donc votre cul est trop petit pour nous dire quoi que se soit sur ces deux la. Prenez vos garde et arrêtez avec vos sottises sur le net. Ces deux compagnons savent qui est qui ?
Le 12 mars 2014 à 09:03, par MemoireVive En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Qui t’a dit que la modification de l’art.37 est légale ? Tu oublies qu’en droit il y’a la lettre et l’esprit des articles ? Et c’est clair, si tu comprends français ou si tu es un peu honnête, à moins que tu ne sois qu’un vendu incapable de gagner ton pain à l’encre de ta sueur.
Après ce point, tu es libre de divaguer et d’exposer ton avis sur le passé et l’actuel comportement de Salif Diallo, et de deviser sur son devenir : Nous sommes en démocratie mais cela ne t’autorise pas à ne pas bien entendre la lettre et l’esprit de la loi.
Le 12 mars 2014 à 21:38, par Kaboré Ludovic Ismael de Tanghin En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
la barbarie n’a jamais arrangé personne , nous ne sommes plus à l’état de nature quand c’était celui qui avait la force physique qui régnait.il faut que tu saches que c’est la raison qui prime de nos jours et personne ne passera sur le corps de personne car nous sommes soucieux du bien être de nos population et c’est pourquoi nous lui soumettrons la question de l’article 37 si besoin il y a .
2. Le 11 mars 2014 à 18:45, par Coordonier Handicap En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
tout cela pour cela seulement ? j’aoute pour moi :en ce moment ,le soleil se levait a l’ouet
3. Le 11 mars 2014 à 18:46, par Kamélé En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Au Faso, on aime nous parler de la paix, la paix, la paix. sans se poser la question sur : "quelle est la qualité de cette paix ?". A quoi sert notre paix si les pays en guerre sont mieux classés que nous selon l’indice du développement humain (IDH) du PNU’D ? Une guerre de bonne qualité n’est-elle pas mieux qu’une paix de piètre qualité ?
Le 11 mars 2014 à 20:35, par Laguna En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Ha , vous n avez pas peur de la guerre ? Sachez que les pays qui ont fait la guerre et qui sont mieux classés que le BF sont naturellement riches ( Libéria , Sierra Leone , RDC, Côte-d’Ivoire ..)
Même si vous voulez le départ du président, soyez raisonnables.
Quant a ma réaction par rapport à cet écrit j attends la suite .
Le 12 mars 2014 à 10:53, par RAWA En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Qui t’a dit que le burkina n’est pas riche ? Et de toute façon, la Guinée est un scandale minéraloqique mais elle est loin de la suisse qui n’a rien dans son sous sol. C’est le travail qui fait la richesse. Ce n’est pas ce qu’il ya dans le sous sol. On ne ne aura plus avec"le burkina est un pays pauvre". Comme vos êtes incapables, dégagez.
Le 11 mars 2014 à 21:07 En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Kamélé il n’y a pas de guerre de bonne qualité. La guerre c’est la mort et il n’ya pas de qualité dans la mort. Mais, je te comprends on est tous fatigués de ces vampires
Le 12 mars 2014 à 10:17, par Bawaba En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Il n’y a rien en comprendre dans les écris de Kamélé. Il prône la guerre. Mais s’il veut faire la guerre il peut partie en Centrafrique ou il peut acheter des kalachnikov et distribuer à sa famille et ils vont se faire la guerre la pour améliorer la gestion et le développement de leur famille. Comme on le dit la charité bien ordonné commence chez soi d’abord.
Le 12 mars 2014 à 06:47, par mani En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Toi kamele tu es un vrai un nez percé comment peux tu preferer la guerre. Et on laisse passer des bêtises comme ça dans un journal en ligne supposé avoir un modérateur. Pauvre de nous !même si le progrès est lent cette situation c’est mieux que la guerre, parcqu’en situation de guerre tu ne sais même pas où aller revenvdiquer. Tout ce que mr bejo a dit est vrai, personne n’a induit le président blaise compaore en erreur à part les salif et rock et si demain le président doit tomber ils tomberont tous avec. Heureusement que blaise est intelligent plus que ces traitres la, et il saura rebondir. Rien je dis bien rien ne va arriver au burkina. Nous avons un homme de paix qui va regler cette situation orchestrée sur fond de mensonges et de duperies.
Le 13 mars 2014 à 08:09, par Kamélé En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
1) le progrès actuel de la Cote d’ivoire est le fruit de la guerre passé. 2) c’est après la 1ère et la 2ème guerre mondale que les Européens ont mieux appris à mieux se respecter.3) peu de pays (présentés aujourd’hui comme démocratique au niveau mondiale ont atteint leur niveau de democratie sans un peix à pays. la revolution violente ou la guerre. 4) la France ne serait jamais la France actuelle sans le 14 juillet 1789. l’après guerre est très souvent meilleur à l’avant guerre. c’est effectivement bête de penser que les conditions de vie sont meilleurs pendant la guerre. la paix ne se mange pas. ce qui se mange, c’est la croissance économique. Et pour manger cette croissance, il faut une juste repartition des biens et des services entre les régions, les localités et les fils. pour y arriver, il faut souvent la violence (14 juillet 1789 en France). Je m’en fous de la paix, je veux la justice sociale (juste repartition de l’or d’Essakane au Burkina Faso) quel que soit le prix de cette justice.
4. Le 11 mars 2014 à 18:49, par Sidrata En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
MR Bejot et cie, ce que vous ne comprenez pas, les burkinabè ne sont plus au stade du verbiage. ils st en marche vers la solution de leur situation. parlez bcp c’est tourner en rond et pdt que le bout du tunel se fait voir, vous continuez à bcp parler. débauche d’énergie inutile et inutisable.
5. Le 11 mars 2014 à 18:57, par Le regard En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Qu’est ce que vous voulez insinuer exactement ?
On vous voit venir, mais c’est peine perdue....!
Le 12 mars 2014 à 00:35, par vieu loup En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
En toute sincérité ,à quel niveau s situe le problème à travers votre analyse ?
Est -il interdit d’aspirer au premier rang ?
A mon avis l’exemple de Salif ,Roch ,Simon et tous ceux qui ont quitté le CDP n’est pas de la trahison mais un exemple qui doit inspirer chacun de nous dans notre quotidien avec nos proches et surtout ceux que nous aimons beaucoup.Quand ton ami ou ton frère est entrain de prendre le chemin qui va l’égarer il faut avoir le courage de lui dire la vérité et l’amener à emprunter un nouveau chemin avec toi.Si malgré ton interpellation il persiste à continuer dans sa direction ,tu n’es pas obligé à le suivre. Salif a prévenu Blaise COMPAORE en tant que compagnon de lutte de la mauvaise gestion du parti il y’a trois 4 ans de cela mais il n’a pas été écouté mais au contraire une sanction lui a été infligée alors que le régime parlementaire dont il proposait lui était favorable.Il est de son droit de faire demi tour et emprunter un autre chemin. Même s’il été promu à de hautes fonctions sous Blaise ou avec Blaise, il n’est pas tenu suivre ce qu’il considère mauvais et c’est ce que bon nombre de personnes sont entrain de faire aujourd’hui autour de notre président dans le seul but de remplir leurs ventres sans lui dire ce qu’ils ressentent réellement. ça se lis sur leurs visages. Aussi ce qu’il est important de savoir est que lorsqu’on fait de la politique ,on ne doit pas servir un individu mais l’intérêt général,le peuple. Tenez vous bien ,je ne suis ni du MPP ,ni du CDP ni d’aucun parti mais un simple analyste de la situation et je vous assure que le rang des démissionnaires va s’agrandir avec le temps car la peur qui est la seule chose qui maintenait toujours les militants dans le CDP est entrain d’être vaincu par la population. Penser à la justice de la nature. Le changement est certain et celui qui s’en oppose perd vraiment son temps. "Une dernière confidence " Quand je serai bientôt son nouveau conseiller je ne voudrais pas qu’un jour vous dites que Blaise compaoré a trahi le CDP par ce que je vais l’amener à savoir que les gens qui l’entourent ne sont pas des vrai ABC mais que des Cdpistes de ventre ,il va se retirer les laisser"
6. Le 11 mars 2014 à 19:05, par mage En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Ahhh ce jeunes salif ne va cesser de m’impressionner en effet il fait comme les français au 18 siècle qui ne passait leur temps qu’a intervenir partout pour se faire des éloges. Le gorba n’a bizarrement passer tous son temps qu’a éliminer tous les obstacles devant le chemin de Blaise.
7. Le 11 mars 2014 à 19:07, par Weogobiiga En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
De derrière, il a consolé, remonté le moral et conseillé l’acteur principal du jeudi noir d’octobre 1987. Il a transformé le putschiste en démocrate. Il lui a transformé le Front Populaire en un parti politique l’ODP/MT. Ce parti n’étant pas suffisant fort pour gérer le lourd tribut du 15 octobre 1987, avec une dextérité inouïe, il a concassé les partis susceptibles de faire basculer l’ODP/MT. De ce ramassis, il confectionna le parti le plus puissant de l’histoire de la Haute-Volta au Burkina Faso : le CDP.
Et on créa la FEDAP/BC, une association au statut hybride et aux objectifs lugubres. Sans une véritable formation ni expérience politique, on voulut en faire le parti-Etat. Suite au refus de Salif, il fut éloigné. Alors, Blaise Compaoré doit travailler sans Salif. Ce qu’il n’avait jamais fait depuis qu’il exerce une fonction politique en 1983. Et tout s’emballa. Les gouvernements se suivent mais n’y peuvent rien, l’autorité de l’Etat est bafouée et l’incivisme s’installa dans le pays. Le CDP, parti au pouvoir incapable de faire une analyse de la situation, n’y comprend absolument rien. Pire, il ne mesure même pas son rôle aux côtés du Pouvoir.
C’est ainsi que le Pouvoir a atteint son apogée et entamé son déclin irréversible.
Moralité : la politique est un art qui s’apprend. On ne devient pas homme politique parce qu’on de l’argent ou parce qu’on côtoie le pouvoir politique.
8. Le 11 mars 2014 à 19:08, par Kaboré Ludovic Ismael de Tanghin En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
salif diallo a raison de dire que s’il faut réviser l’article 37, il fallait d’abord leur passé sur le car définit là sa méthode quand il veut obtenir coûte que coûte quelque chose .vous prenons pour exemple palpable : salif est passé sur DABO BOUKARY qui était en fin de cycle pour atteindre ses fins .qu’il sache que tout le monde n’est pas comme lui .
9. Le 11 mars 2014 à 19:10, par La politique est un art qui s’apprend- MPP En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
J’aime bien Salif Diallo. Longue vie a ce brave yadega !
10. Le 11 mars 2014 à 19:11, par Ousmane En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Salif Diallo a occupé tous les postes ou presque tous les postes dans ce pays. Je me demande ce qu’il peut apporter encore à ce pays qu’il n’a pas déjà fait. Nous reconnaissons tous ton travail tous comme le travail de Blaise. Donc s’il y a lieu d’aller se reposer je crois que ces tout votre génération qui doit partir pour laisser la place à une autre génération qui va continuer votre travail.
Le 12 mars 2014 à 06:49, par *La politique est un art qui s’apprend- MPP* En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Il peut apporter sa connaissance du terrain politique et son experience. Et pourquoi ne posez-vous pas la question a savoir ce que BC peut encore nous montrer après plus de 27 ans au pouvoir ?
11. Le 11 mars 2014 à 19:12 En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Nous demandons à tous ceux qui sont en marge de nos réalités sociales d’arrêter de s’ingérer dans le débat actuel sur l’article 37. Je voudrais rappeler à tous ceux qui autrefois débarquaient à Ouaga et qui avaient le champagne à gogo, les véhicules de luxes, les belles femmes ; tout cela au frais du contribuables burkinabé que ce temps est révolu. Notre constitution n’est pas un livret de famille qu’on peut manipuler. Soyez rassuré, Salif Diallo n’est pas le seul, il faudra passer sur des milliers de corps de jeunes burkinabè pour modifier notre constitution. Bref arrêter c’est fini. Game is over.
12. Le 11 mars 2014 à 19:31, par ABDOUL NAS 1er En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
BLAISE N EST PAS LE PAPA DE SALIF ET POUR MODIFIER L’ ARTICLE 37 IL FAUDRA PASSER SUR NOTRES CORPS PAS SEULEMENT DE SALIF.
13. Le 11 mars 2014 à 19:41, par Le bon citoyen En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Bonsoir,
Belle analyse. Mais ce que vous n’aviez pas compris, c’est que ce n’est pas Salif DIALLO qui mobilise les gens à la résistance. Mais comme il l’a dit lui même, c’est la voie du peuple qu’il choisi. Quel que soit ce qu’il était ou a fait, on s’en fou. On est avec lui et on a besoin de changement. Si ça ne va pas, on fera appel à Blaise au temps opportun.
14. Le 11 mars 2014 à 19:47, par minimzanga En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
COMPARE TON CV A CELUI DE SALIF DIALLO ;TU VERRAS QUE LA DIFFERENCE EST ENORME PAUVRE GRIOT. SALIF EST MILLE FOIS MIEUX ET CREDIBLE QUE TOI QUI EST MENDIANT.
15. Le 11 mars 2014 à 19:55, par Burkinbi En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Bonjour,
A quand la retraite au juste pour ce Monsieur là ?
Le temps des verbiages creux est passé, passe à l’action !
Non au pouvoir à vie !
Non au tripatouillage de la constitution !
Non aux injustices de toutes sortes !
Non au SENAT !
Non Non NON !
Pouvoir et justice au Peuple !
OUI aux INSTITUTIONS FORTES !
La Patrie ou la mort, Nous vaincrons !
16. Le 11 mars 2014 à 21:18, par naba En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Ça coute combien ce chiffon la. Après tu nous parle de Blaise Compaore.Blaise est ce qu’il est aujourd’hui à cause
de ces gens la. Et Sankara où il est .sous une dalle. IL a fallu Sankara pour que Blaise soit le Blaise d’aujourd’hui ! Je vous jaurais suivit si Salif etait à la place de Roc. On sent qu’il aime son pays en poussant les autre à la demission au risque de leur vie . S’il a dit ça c’est qu’il connait ce Mr.Arretez de nous divertir. Ce trio sauve le Burkina en demissionnant du cdp qui est devenu une propriété privée de Blaise et de son frère. Après je pense que tu écrira sur Blaise. Si tu dit la la vérité sur ce type c’est pour précipiter sa chute qui du reste est imminente .
Le 12 mars 2014 à 11:38, par veritas En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
NABA tu ment c’est Blaise qui a fait Sankara car en 1983 il a été arrêter et Blaise à reussi à sortir de Ouaga et est revenu avec les commandos de po pour liberer Sankara donc sans Blaise ce dernier n’aurait jamais pris le pouvoir .Donc même si on aime pas l’homme rendez lui ce qui lui appartient.
Le 12 mars 2014 à 12:15 En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Si Blaise est président depuis 27 ans c’est parce qu’il était un militaire et compagnon d’armes de Sankara ; sinon, personne aujourd’hui ne connaîtrait ce Monsieur qui aurait été un anonyme comme des millions de burkinabè et qui profiterait déjà de sa retraite depuis quelques années.
17. Le 11 mars 2014 à 21:23 En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
M.Béjot, ton bateau nous amène où ? qui a payé le transport ?
Le 14 mars 2014 à 21:49 En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Bejot, Namsi, meme type, meme tabac, meme pipe, meme poche de gomboistes, avec une seule difference. L’ un est cochon grate, l’ ordre est charbon noir movat te.
Tous des mendiants bons flatteurs qui vivent au depens de celui qui veut les ecouter. Le renard et le corbeau : Kai Kai Kai.
18. Le 11 mars 2014 à 21:27, par Godyam En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Très belle article chers journaliste de lefaso.net.
Puisse Dieu vous éclairer afin nous le soyons nous aussi.
Cet article dépeint avec circonspection la nature de l’homme
politique qu’est Salif Diallo. Peut-on vraiment faire confiance
aux hommes qui ont assister aux exactions commises par le regime
Compaoré ?
19. Le 11 mars 2014 à 22:20, par bush En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Qui est ce journaliste ?demande moi et je te dirai que c’est Salif qui a fait naître et nourrir le CDP. Tu connais rien. De toute façon , en 2015 :Kossyam ou la ......, nous vaincrons
20. Le 11 mars 2014 à 22:37 En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
N’importe quoi. Il est qui meme ce monsieur ? Pas de revision de la constitution, pas de senat. Voila un autre vendu de Blaise !!!!
21. Le 12 mars 2014 à 00:30, par yiriba soumaba En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Toujours la même chose et pourquoi ? Pour la simple raison que notre peuple est à majorité analphabète ou si l’on veut non scolarisé. Et chacun se permet de mentir, de nier l’évidence. S’il est vrai que chaque peuple mérite ses dirigeants, il est a remarqué que le notre souffre de son ignorance, mais qu’à cela ne tienne le cri de la victoire a retenti et le peuple de plus en plus se pose des questions sur son devenir et les raisons de sa situation de pauvreté généralisée en témoigne la marche du 18 sur tout l’étendu du territoire.Aussi après l’échec prévisible de la médiation mort-née l’opposition doit à jamais rester vigilante et motiver les troubles par des actions concertées.
la vigilance doit être de mise car comme on le sait tous ce CDP est prêt et capable de tous. l’opposition sous peine de mourir pour toujours doit surveiller les actions du pouvoir actuel comme du lait sur le feu. Pour Salif DIALLO et le MPP, le salut du peuple viendra de votre clairvoyance et votre engagement pour le changement réel. Le peuple est avec vous pour une fois pauvre opposition ne nous décevez pas. PRÉPAREZ DES ACTIONS CONCRÈTES ET CONCERTÉES EN FONCTION DES échéances à venir
22. Le 12 mars 2014 à 02:50 En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
LE PROBLEME N’EST PAS SALIF OU MPP, LE PROBLEME, IL FAUT QUE BLAISE CEDE SA PLACE A UN AUTRE A LA FIN DE SON MANDAT, JE NE PEUX CROIRE QU’EN 27 ANS DE REGNE , BLAISE NE PUISSE PAS TROUVER QUELQU’UN POUR CONTINUER SON TRAVAIL SI CELA A VRAIMENT BENEFICIE LE PEUPLE, ARRETEZ DE NOUS DISTRAIRE
23. Le 12 mars 2014 à 02:58, par mytibketa En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Merci pour l’histoire de cet homme qui 20 ans durant aura donné sa vie à un autre homme . A vous lire tout porte à croire que c’est bien Salif Diallo qui a fait Blaise. En effet en bon tacticien il a permis à celui ci d’assoir son autorité. Mais si je vous suis Il devait rester sagement second et laisser Blaise régler sa succession monarchique. Il devait se taire et laisser la famille et alliés de Blaise s’accaparer de toute l’économie du pays. Ce que vous citez comme prérogatives c’est celui de l’homme de dossiers, vous oubliez l’homme qui a eu en charge et pendant longtemps l’orientation politique du parti CDP. Son erreur c’est d’avoir cru que Blaise était aussi le produit du parti ; Il a feint d’ignorer que le parti n’était rien qu’un machin . L’un dans l’autre le clash entre les deux étaient prévisible car si le premier (Diallo) avait une "confiance aveugle" pour le second , le second (Blaise) utilisait habilement le premier pour assoir sa monarchie parce endurant et calculateur. Il a donc pensé que le moment était venu de se débarrasser de Diallo à moindre frais en deux actes ; après avoir séparé Diallo de Rock (premier ministère), séparer Simon de Rock (mairie de Ouaga), acte 2 mettre au devant son petit frère qui a eu le temps de s’enrichir pendant que les autres travaillait. Et comme le sort voulait que lui aussi soit mêlé a des crimes de sang (Davd Ouédraogo, Norbert Zongo) les choses se sont précipitées pour le premier. Mais Rock et Simon ont également compris que le petit président ne pouvait pas les coiffé cadeau au poteau surtout de la manière la moins élégante en les chassant du parti qu’ils ont animé des années durant. Et c’est là que Blaise s’est trompé. Tacticien militaire il lui a manqué le flair politique et n’a pas pu tiré le premier. Mr Bijot vous ne rendez pas service au pouvoir en tentant de dénigrer l’autre moitié de la cola, car chacun sait ce qui attend l’un et l’autre. En politique les alliances se font et se défont. Dans le cas présent quelque soit l’attachement qu’ils ont l’un pour l’autre ils devaient finir par se séparer (Sankara-Blaise). Et tout comme l’éclipse qui nous a mobilisé, le chat a fini par lâcher la lune, temps de révolution (dans le sens physique) oblige.
Le 12 mars 2014 à 08:52 En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Je n’aime pas particulièrement les discours de Salif même si je l’admirais. J’ai l’impression que c’est de la vengeance. Mais hélas ! il va falloir qu’il arrête d’attiser la haine dans un pays qui a de sérieux problèmes. Il nous met mal à l’aise, nous qui le soutenons ou qui sommes indécis. Il va trop loin comme le disais un président français à notre idole, suivez mon regard. Je commence à voir en lui une histoire personnelle mais pas la cause du pays.
Le 14 mars 2014 à 21:53 En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
espec de cdp comme ca. on est pas dans le domaine des emotions ici. Salif n’a pas besoin de ton amour. Va l’ investir dans tes adjoua si tu peux meme.
Le 12 mars 2014 à 12:40, par bbambga En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
pour un peuple à la mojorité analphabète, dont -on achète la concience par de simple gadget de campagne, je ne penses qu’un référendum puisse donné une image réelle de notre démocratie ou de la maturité de ce peuple.
en claire le respect de la constitution est la solution qui tienne la route.
si le CDP n’a pas un autre candidat que blaise c’est tant pi.
il faut éviter à notre pays le scénario Guinnéenne ,cartout président est mortel ; dans quel cas des genres DADIS CAMARA pour surgire pour détruire tous les acquits démocratique de notre beau pays
Le 13 mars 2014 à 09:06, par LE TANSOABA En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
BIEN DIT MON FRERE JE NE TROUVE RIEN A AJOUTER ET MERCI
24. Le 12 mars 2014 à 06:28, par Vérité nº2 En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Quelque soit ce que salif etait hier ce qui compte pour les burkinabé c’est le changement. Salif rock simon ont reconnu le mal qu’ils ont fait aux burkinabé. Ils ont été pardonné. Nous preferons un loup reconverti qu’un agneau deguiser en lion et meme en panthère si tu veux. Vive salif, vive rock, vive simon, vive le changement au burkina faso.
Attention des hommes de tenu etrangers dans kes rues de ouaga à partir de 2h du matin.
Le 12 mars 2014 à 20:20, par tall éric En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
il faut être borné pour croire à ces gars là car tout est visible ! leur plan est tout tracé et seule ceux qui manquent d’esprit critique verront pas ça
25. Le 12 mars 2014 à 07:46, par SomSom En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Nuance très importante : Ce sont les Salif Diallo -sutout Salif Diallo- qui ont fait le CDP et non le contraire. Revisitez les écrits et images de vos ainés (journalistes compétents) et vous saurez que c’est BC et les actuels maîtres du CDP qui n’étaient rien, qui ont été faits et nouris par les Salif Diallo. SD a été l’ouvrier bâttisseur du CDP, et a été celui qui a méticuleusement anéanti l’opposition pour créer un boulevard au CDP et pour Blaise Compaoré. Assini Kouanda, François Compaoré et autres étaient de parfaits inconnus.
Le 14 mars 2014 à 22:01 En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
La verite est bonne a dire. Le seul domaine ou Blaise est convaincant, c’est dans comment dissimuler ses sentiments en bon mossi et frapper derriere pour prendre les pouvoirs mais en matiere de convaincre apres, disons- nous la verite. Il a peu de talents de ce cote. Il a meme la paresse de parler. Il mogbite. Parfois on dirait qu’ il pleure quand il parle. Donc disons que ces les Salif- la qui ont organise et mobilise le peuple pour lui. Il a pas la chance de ce cote. Dieu lui a donne le pouvoir sinon il est ennuyant quand il pag-rle, c’st a dire quand il mogobite... Mais le meme Dieu lui a dit que son pouvoir est termine mais il ne semble pas avoir compris le nouveau francais de Dieu.
Drabo Cheick Oumar, Le Patron des Mossi/Yelkaye
26. Le 12 mars 2014 à 08:05, par Revolte En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Cher specialiste je ne comprend rien a cet ecrit. Tu reprends l’histoire politique du Burkina ? Alors remonte au moins au temps non loin ou un certain Blaise Compaore n’etait rien d’autre que l’ombre d’un certain Thomas Sankara. Ainsi tu nous apporteras tous les eclairage sur ceux quit n’etait rien et qui n’ont emerges que grace a d’autre.
Je n’ai pas assez de reconnaissance pour mes parents sur qui je me suis appuye pour etre aujourd’hui ce que je suis mais ils ont fait leur travaille et peuvent etre fier. Alors dites a Blaise Compaore d’etre fier aujourd’hui d’avoir fait des RSS ce qu’ils sont, mais sa mission n’est pas eternelle. Ceux ci aussi l’ont aide pour qu’il soit ce qu’il est aujourd ’hui. Alors personne ne doit rien a personne, terminus le plus evident et clair novembre 2015, et le Burkina s’en portera mieux.
27. Le 12 mars 2014 à 08:11, par mh En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
"Il était officiellement, ce jour-là, jour de la mort de Thomas Sankara, en compagnie de Compaoré au domicile du numéro deux du CNR (Compaoré était alors ministre d’Etat délégué auprès de la Présidence du Faso et ministre de la Justice depuis le 4 septembre 1987) ; et c’est ensemble, dit-on, qu’ils se sont rendus au Conseil de l’Entente (siège du pouvoir au temps de la « Révolution ») où ils ont constaté la mort du leader révolutionnaire."
Donc Blaise ne dormait pas ce jour... Ou bien il dormait avec Salif ou bien Salif veillait sur son sommeil ? On ne nous dit pas tout, comme le dirait l’autre :)
28. Le 12 mars 2014 à 08:17, par boanga En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Merci pour ce travail digne d’un vrai "papa razzie", Monsieur Buisson n’aurait pas fait mieux à l’Elysée sur Sarko que ce Monsieur Mégot sur Salif ! Continuez votre enregistrement. On attend la suite si les crédits à vous aloués vous le permettent bien sûr !
29. Le 12 mars 2014 à 08:26, par Yamkasékré En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
"Diallo n’a jamais été qu’un homme de l’ombre. L’ombre de Blaise Compaoré" !
Mais quel écrit plein de contradiction Monsieur l’"Éminence grise" appelé pour sauvé les meubles du bateau Cdpiste. Voyez vous même le fulgurante épopée de l’homme. De 1990 à 2002, l’homme n’a fait que monter en grade sans jamais descendre, selon votre description, vous qui sembler connaître parfaitement l’homme. Mais je ne vous en veux pas. Vous faites votre boulot au noir pour encaisser vos millions, votre part avant que ce foutu régime ne foute le camp. Mais les minute sont comptées pour cette merde de régime. C’est pas les opportuniste de consultant qui aller montrer au peuple burkinabé comment gérer son destin. Je ne suis ni xénophobie, ni raciste mais votre nom irrite déjà le lecteur. Garder vos leçons de morale pour vous même. La colonisation a bel et bien pris fin, même si elle se pratique par la faute de nos gouvernants en place aujourd’hui (c’est votre cas malheureusement), les peuples africains sont décider à se prendre leur destin en main. 2011 a été le début de la révolution arabe, 2014 sera celui des peuples noirs africains. le ton donné au Sénégal est révélateur de la maturité des peuples africains. Et cela va se poursuivre jusqu’à débarrassé notre continent des sois-disant monarques et autres dictateurs tout acabit. On attends la suite de votre écrit pour vous démasquer. Pauvre de vous ! Certainement que vous êtes nul dans votre pays et pour cause ! Précisez nous votre origine, grade et fonction, et on trouveras des personnes autour de vous, dans votre milieu pour mener le débat. Partout dans le monde le courage du peuple vaillant du Burkina est salué. c’est nous qui avions accordé 87% du suffrage à Compaoré, c’est nous aujourd’hui qui lui disons merde et merde. Qu’il s’en aille paisiblement s’il aime vraiment son pays. A propos je ne pense pas que la médiation a été un échec car dans tous les scénarisé arrêté Blaise doit partir, point de révision constitutionnelle et c’est là que toute la communauté internationale doit comprendre que le peuple du Burkina (des jeunes au plus âgés) parle d’une et une seule voix dans toutes ses composantes.
Laisse passer webmaster stp
Le 12 mars 2014 à 10:41, par LE COQ DU MATIN En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
C’est un procès d’intention visant à dénigrer Salif, depuis quand a-t-il dit qu’il voulait être devant, pourquoi il n’aurait pas alors disputer la présidence du MPP avec Roch alors ?
Le 12 mars 2014 à 10:54, par paco En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
EVITER DE TROP PARLER LA CONSTITUTION DOIT ETRE RESPECTER.BLAISE N’EST PAS LE SEUL FILS DU BURKINA.
30. Le 12 mars 2014 à 08:26, par Ghost En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Belle analyse ! En effet la modification des articles de la constitution est inscrite dans la meme constitution et jusqu’a preuve du contraire le president ne s’est jamais prononcé sur quoique ce soit. Ceux du MPP qui scandent aujourd’hui non a ceci ou a cela sont les pere fondateurs de la merde dans laquelle ont ce trouve tous aujourd’hui. Comme le dit le dicton, chaque peuple merite ses dirigeants et je ne penses pas que le president actuel ait ecrit la constitution dans sa chambre.SEM Blaise compaoré a été plus intelligent que tous le peuple Burkinabè, désolé si ca choque certaines personnes mais c’est la vérité vrai car si aujourd’hui on se base sur la constitution alors tous ce bruit autour de la modification de l’article 37 et mise en place du senat ne sont que du tapage pour distraire le peuple. Alors peuple du Burkina, il est temps de savoir ce que vous voulez en réalité. Ne vous laissez pas aveuglé par la faim, l’aigreur et la jalousie et vous mettre dans une mauvaise posture en milantant anti-democratiquement sinon le pire reste a venir.
31. Le 12 mars 2014 à 09:25, par Uos En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Hééééiiiiiiiiiii monsieur Bijot. Faites très attention à ce que vous dites. Blaise souffrait d’un palu et était alité quand Sankara mourrait de sa mort naturelle. Donc faites très attention ; sinon ...
32. Le 12 mars 2014 à 10:11, par la loupe En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Bonjour tout le monde. Mr le journaliste faite preuve de professionnalisme, d’impartialité dans vos écrits. "Il y a deux mois, ils n’étaient rien, ou pas grand-chose : des ex. ! Ils ont alors choisi le clash avec le parti qui les a fait naître et les a nourri : le Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP)". Je vois dans vos écrits une tentative d’humiliation contre salif même si on sais qu’il a servi fidèlement Blaise dans le noyade des opposants. Nous sommes en politique et en politique les tricheries sont les mamelles, surtout pour la politique de 1987 à nos jours. Si Salif doit être fidele à Blaise, Blaise ne devait pas l’être fidèle pour certains de ses compagnons disparut et à tout ceux qui l’ont permis d’être là où il est actuellement ? Je pense que Salif n’est qu’un bon élève de Blaise et Blaise se doit qu’être fière de lui. Pour moi, ce n’est même pas la peine de prendre des millions pour faire des leçons de civisme parce que chez nous on aime dire simplement "à votre fils, votre exemple". Pour la paix dont on prône elle ne dépend que de vous puisque ne pas modifier n’entraine pas problème et c’est modifier qui entraine problème faites du Burkina ce que vous voulez.
33. Le 12 mars 2014 à 10:24, par Mollaa En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Mr le grand journaliste votre info est comme une épée dans l’eau. Tout ce que vous dites nous le savons déjà. Vous nous apprennez rien de nouveau. Tout burkinabè connaît l’Histoire récente de son pays. C’est parce qu’on connaît bien notre pays et SALIF DIALLO que nous le soutenons, lui et les autres. Après 2015, quand ils prendrons les rênes du pays alors que Blaise sera à Ziniaré, on connaîtra la vérité sur la mort de notre Président Thom Sank, de Dabo Boukari et celle de Norbert Zongo. Du reste, tout changement commencera par la réconciliation du peule à son Histoire. Et puisque SALIF connaît tout (en tous cas entre vos lignes c’est ce qui apparaît), il nous dira tout car encore plus libre et plus en sécurité. Nous préférons ce repenti à ceux qui prennent notre cher pays comme leur patrimoine familial. En révolutionnaire c’est ce qu’on appelle LA CRITIQUE ET L’AUTO-CRIQUE. C’est aussi cela la grandeur de l’âme. SALIF vient de faire preuve qu’il a la GRANDEUR de l’Âme. Toute valeur intrinsèque à un GRAND CHEF.
Arrêtez de vouloir jouer l’intello avec nous : la transition politique n’est pas le changement politique ! Changer le fusils d’épaule, autrement vous ne mériterez pas le titre noble de journaliste.
34. Le 12 mars 2014 à 10:43, par Ange gardien En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Depuis 27 ans c’est maintenant Salif et sa suite veulent le changement ? Arrêtez de nous mener en bateau ; quoiqu’on reconnaissons que Blaise est bon a travaillé
35. Le 12 mars 2014 à 11:04, par Abdou Nièbga En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
je ne comprends pas pourquoi c’est Salif DIALLO seul dont parlent le CDP alors que nombre de membres du CDP sont sorti. on dirait qu’ils reconnaissent que SALIF est le seul qui peut les faire tomber. pour ça seulement moi je soutien DIALLO. longue vie à toi fils valeureux du BURKINA FASO. que dieu te bénisse et te protège contre BLAISE ET FRANCOIS. Norbert ZONGO doit être un exemple pour tout le monde. Blaise croît que ce pays est le champs de son père, mais SALIF va le ramener sur terre.
36. Le 12 mars 2014 à 11:21, par dramane En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Monsieur le journaliste, je vous informe que du strict point de vue juridique, l’article 37 de la constitution du BF ne peut être modifié à l’étape actuelle. Le BF a signé et ratifié la charte africaine sur la démocratie.Cette charte qui interdit de pareille modifications constitutionnelles, fait désormais partie de notre bloc constitutionnel. Arrêtez donc de tromper vos lecteurs en soutenant que la Constitution du BF est modifiable.
37. Le 12 mars 2014 à 12:12, par Karl Marx En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
Merci, chère journaliste, pour cette analyse partielle(oui vous semblez avoir un parti pris). On t’a envoyé ou quoi. Que Salif fusse ceci ou cela et qu’il veuille se retirer de ce système vous n’avez qu’à applaudir au lieu de cherchez à faire des analyses contre lui. "Vous n’avez pas de future tant que vous êtes satisfait de votre présent". Les "peureux ont peur" de l’après Blaise comme si le Burkina manquait d’homme capable de le diriger à l’exception de Blaise. Eviter de vous plaire dans le statut quo.
38. Le 14 mars 2014 à 13:02, par l’Iman bruno En réponse à : Salif Diallo, qui était « derrière tout alors qu’il voudrait être devant », est aujourd’hui un prince en rupture de « royaume » (1/3)
tout ça c’est pour nous révéler quoi ? Je ne vois pas en quoi Salif est violent . Les mises en garde de Salif contre le système Compaoré sont tout à fait normales. Le rédacteur semble chercher à nous convaincre que Salif a été fait par Blaise. Ce qui est archi faux et bien au contraire Salif fait partie des formateurs de Blaise. La légitimité de Salif ne vient pas de l’assassinat du père fondateur de la révolution burkinabè. Les Salif Roch et Simon ont fermé les yeux sur ce parricide en espérant que la paix sociale en découlera mais ils ont fini par comprendre que si ils ne quittent pas la barque ils seront sacrifiés à leur tour . Ils n’ont rien donc à perdre en défendant corps et âme l’inviolabilité de l’article 37.