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Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

jeudi 27 février 2014.

 

Chaque jour qui passe complique davantage la situation pour le président Compaoré. Il ne dispose plus d’assez de cartes entre ses mains. La médiation initiée par le comité des « quatre sages » sonne comme la dernière chance pour lui de sortir avec moins de casses de cette pseudo-crise qu’il a entretenue depuis des mois. Le Burkina Faso et toute l’Afrique le regardent et espèrent qu’il saisira la balle au bond pour sortir de son propre bourbier.

Le président Jean-Baptiste Ouédraogo et ses trois compagnons entament à partir de cette semaine leur travail de médiation entre le camp de Blaise Compaoré et celui de la majorité de son peuple qui souhaite le voir respecter pour la première fois l’esprit et la lettre de la constitution dont l’essence est de limiter tout pouvoir institué. Ils vont commencer la ronde des acteurs. Très peu d’informations filtrent sur leur « corvée » car, c’en est une que de vouloir concilier deux volontés diamétralement opposées : ceux qui veulent violer la constitution et ceux qui s’y opposent. Comme dans l’acte de viol, l’agresseur et la victime ne peuvent pas s’entendre. Il y a forcément un qui doit « subir » la volonté de l’autre. Si c’est l’agresseur qui prend le dessus, il commet un crime grave, puni par la loi. Dans le cas contraire, si la cible arrive à s’extraire des griffes de son agresseur en l’amenant à renoncer à commettre son forfait, ce sont les deux qui gagnent, même si la tentative de viol reste un acte punissable. Nous sommes aujourd’hui au Burkina dans ce cas de figure. Il y a des gens qui veulent commettre un viol et ceux qui luttent pour les en empêcher. Que doit faire un sage dans une telle situation ? Ce qui est sûr, il ne peut pas être un simple observateur. Il se doit d’intervenir. Il n’y a pas de doute non plus que cette intervention vise à éviter le viol. Maintenant, comme c’est un sage, il étudie bien la forme de son immixtion dans la bagarre. On imagine mal qu’il assomme l’agresseur. Il va chercher à lui trouver une sortie plus ou moins « honorable », pour ne pas le « honnir » pour reprendre l’expression d’Assimi Kouanda à propos de la volonté de ses ex-camarades démissionnaires de s’opposer à la modification de l’article 37 de la constitution. Pour lui, ces derniers veulent « honnir » le président. Dans l’entendement du premier responsable du CDP, quitter le pouvoir constitue une honte. Respecter les règles constitutionnelles dans un Etat de droit est synonyme, pour lui, à un déshonneur. C’est dire que la tâche du comité des sages s’avère très compliquée car il faut d’abord ramener certains dans le cadre de la République, soumise à des règles de droit et non à une Principauté commandée par un prince régent.

Une initiative controversée

Comme le Collège des sages en 1999, ce comité des quatre sages engage ses démarches dans une ambiance de suspicion généralisée, voire d’hostilité. Une grande partie de l’opinion a des appréhensions sur cette mission subite. Elle y voit la main du pouvoir derrière cette initiative de Jean-Baptiste Ouédraogo et de ses compagnons. S’il en est ainsi, c’est donc de la manipulation orchestrée par Blaise Compaoré pour encore gagner en temps et renverser la vapeur en sa faveur. Parce que les « sages » vont demander à toutes les parties une trêve pour mener à bien leur travail. Pendant un temps relativement long, il n’y aura plus de manifestations publiques, donc moins de pressions sur le pouvoir. Cette suspicion largement partagée dans la presse et les réseaux sociaux se nourrit également du traitement réservé aux précédentes missions de bons offices des sages et d’autres commissions ad’ hoc mises en place à chaque période de difficultés du régime. Quelle garantie Jean-Baptiste et ses compagnons ont que leurs recommandations ne vont pas subir le même sort que celles de leurs prédécesseurs ? Ils savent que très peu de personnes font encore confiance à Blaise Compaoré et à son équipe. Ils ont, à plusieurs reprises, renié leur parole. La dernière fois, c’est à Dori où le président a publiquement remis en cause le consensus arrêté lors des travaux du CCRP qui indiquait que les questions non consensuelles sont mises au placard.

Autre difficulté du comité des sages, c’est le contexte au niveau de l’opposition. Avec l’arrivée du MPP dans le camp de l’opposition, les rapports de force ont considérablement changé en faveur des anti-sénat et anti-modification de l’article 37. Les nombreux Burkinabè qui suivent les leaders de l’opposition les ont à l’œil également. Celui qui va faire le moindre faux pas va se griller définitivement dans la poursuite du combat et partant pour la présidentielle qui se pointe à l’horizon. Les leaders significatifs de l’opposition reconfigurée sont en position de conquête de légitimité dans un fond de concurrence. Renoncer ou faire des concessions sur les deux points de revendication serait un suicide politique pour n’importe lequel d’entre eux. Dans ce contexte, on voit mal ce que le comité peut proposer en contre partie au camp du pouvoir pour le ramener à la raison. Sauf peut-être à aborder les vraies raisons qui amènent les frères Compaoré à vouloir modifier la constitution pour se maintenir : la peur d’être poursuivis dans les affaires de crimes de sang qui ont jalonné le régime.

Crever l’abcès pour avancer

Comme on le sait, le crime fondateur du régime, c’est celui du 15 Octobre 1987 qui a emporté un président du Faso. Blaise Compaoré craint-il d’être poursuivi après 2015 s’il n’est plus à la tête du pays ? On pourrait dire non au regard du vote en 2012 par l’Assemblée nationale de la loi d’amnistie pour les anciens chefs d’Etat, de leur prise de fonction jusqu’à la fin de leur mandature. Le chef de l’Etat actuel pourrait donc s’abriter derrière cette loi pour échapper à la justice pour des faits commis dans l’exercice de ses fonctions. Mais il n’est visiblement pas rassuré, pas simplement parce qu’il pourrait être poursuivi par des juridictions internationales, mais aussi au niveau interne car, sur l’affaire Sankara, la loi d’amnistie pourrait ne pas prospérer. Le crime a été commis le 15 octobre 1987 aux environs de 16h30 au Conseil de l’Entente pendant que Blaise Compaoré se trouvait dans une des résidences affectées au ministre qu’il était à l’époque. Pendant la commission des faits, il était ministre et non chef d’Etat. Il occupait le poste de ministre d’Etat délégué à la présidence chargé de la Justice. C’est à partir de 18h que le premier communiqué signé de Blaise Compaoré annonçait la fin du CNR et la dissolution de tous ses organes. Lui-même n’apparaitra au monde entier que le 19 octobre comme nouveau chef d’Etat du Burkina Faso. Devant n’importe quelle juridiction indépendante, il ne pourra faire valoir sa loi d’amnistie dans cette affaire s’il est poursuivi. Sans oublier que cette loi peut être remise en cause par une nouvelle majorité au pouvoir. C’est ce qui s’est passé dans les pays d’Amérique latine qui ont connu des généraux dictateurs au pouvoir pendant 20, 30 ans. Avant de partir, ils s’étaient fait voter des lois d’amnistie, mais à partir de la décennie 90, les nouveaux régimes démocratiques, sous la pression de leurs opinions publiques, ont abrogé ces lois d’exception pour permettre de poursuivre ceux qui étaient toujours en vie. Le pouvoir burkinabè est conscient de cette éventualité et on comprend pourquoi certains rechignent à quitter le palais de Kosyam. Quant à François Compaoré, c’est l’affaire Norbert Zongo qui le tracasse depuis 1998. Son nom est intimement lié à cette sordide histoire. L’opinion publique l’a d’ailleurs découvert dans cette période où le journaliste enquêtait sur la mort de son chauffeur, avant que lui-même ne soit trucidé le 13 décembre 1998 sur la route de Sapouy. Si dans l’affaire David Ouédraogo, François a pu s’en sortir, il n’est pas évident que l’instruction impartiale du dossier Zongo ne l’égratigne pas. L’examen des faits montre en tous cas que c’est après le non-lieu prononcé sur le dossier en juillet 2006 que le frère cadet a commencé à sortir de l’ombre pour afficher ses ambitions politiques à travers la FEDAP/BC mise en orbite en 2007. En principe, il faut de nouveaux faits pour réactiver le dossier Zongo. Si ce n’est pas le cas, il sera prescrit au bout de dix ans à partir de la prononciation du non-lieu. Donc en 2016, s’il n’y a rien de neuf, les Burkinabè peuvent définitivement faire le deuil sur ce dossier. Mais tout le monde sait aussi que si le dossier se trouve dans les tiroirs, ce n’est pas faute d’éléments pour poursuivre l’instruction, mais uniquement par blocage politique. Cet obstacle pourrait être levé après 2015, donc avant la prescription du dossier (juillet 2016), si un nouveau pouvoir soucieux de l’indépendance de la justice s’installe.

Ces peurs combinées bien sûr aux avantages dont procure le pouvoir constituent le moteur de cette pseudo-crise que le pays traverse. L’une des taches du groupe des sages, c’est de rassurer les frères Compaoré sur ces deux dossiers qu’ils craignent comme de la peste, mais surtout de proposer à l’ensemble de la nation des mécanismes pour résorber l’ensemble du passif humain du régime. Si la transition dont ils parlent sert à cela, elle aurait servi à quelque cause. En moins de deux ans, avant la présidentielle, cela est faisable. Le Burkina Faso aurait gagné à double titres : évacuer dans la paix et la concorde de lourds passifs humains tout en respectant l’ordre constitutionnel avec son calendrier électoral. Pour le moment, on n’en est pas encore là. Le groupe des sages s’apparente en tout cas comme la dernière cartouche qui reste à Blaise Compaoré pour vider son chargeur avant de tirer sa révérence.

Abdoulaye Ly

MUTATIONS N°46 du 1er février 2014. Bimensuel burkinabé paraissant le 1er et le 15 du mois (contact : mutations.bf@gmail.com ; site web :www. mutationsbf.net)



Vos commentaires

  • Le 26 février 2014 à 10:50 En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    cette médiation auto-saisie téléguidée est déjà mort-née et c’est tant mieux. rien à négocier,blaise compaoré partira en novembre 2015 car il n’a pas le choix sinon il finira comme l’ex président ukrainien,hier tout puissant et aujourd’hui qui se cache quelque part comme un rat.

    • Le 26 février 2014 à 11:45, par tché En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      A travers cet article on voit bien que selon vous le peuple burkinabé devra choisir entre la paix et une supposée justice. Mais je crois que le choix est vite fait. Le passé est important et tout le monde a compris que c’est ça qui détermine aujourd’hui le destin du BURKINA mais n’oublions pas que le futur est le plus important de chaque nation. Donc s’il arrive qu’on devrait choisir entre le passé et le futur le choix s’impose lui meme

    • Le 26 février 2014 à 11:50, par grosso En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      cet aboulaye ly ,ignore le contenu réel de la constitution du Burkina ,ou soit il est guider par ses sentiments dans cet écrit la révision de l article est possible donc arrêtons la défense des positions et respectons la constitution en allant au référendum

      • Le 26 février 2014 à 14:11, par Kitiyitèka En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

        Réponse à Grosso. C’est avec intérêt je lis vos commentaires. Je me propose aujourdhui de vous répondre peut être pour vous éclairer. Nos dirigeant actuels n’ont pas de respect pour notre peuple. En juin 92 le peuple a voté le réferendum et l’article 37 disait à peu près ceci : "Le Président est élu au suffrage direct pour un mandat de sept. Il est rééligible une seule fois". Si ceci était respecté le Président Compaoré ne serait plus à la tête de ce pays depuis Novembre 2005. Ou avez vous mis le peuple lorsque l’assemblé procédait à la révision unilatérale de la constitution pour y sauter le verrou. C’est un consensus qui a permis a Blaise d’être toujours au commande. Donc un peu de respect aussi pour ce même consensus et évitons le gaspillage de nos maigre ressource et du temps. Merci de bien vouloir le lire et faisons en sorte d’éviter un chaos à notre cher Faso parce que personne n’est indispensable sur cette terre.

        • Le 26 février 2014 à 15:29, par grosso En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

          monsieur kitiyitéka,j ai pris note et je vous en remercie ,mais n oublier surtout pas que le référendum donnerait vraiment la volonté du peuple sur cette question de mandat présidentiel ,alors ne soyons pas égoïste,un coté veut la révision l autre coté dit non ,c est justement pour résoudre ces genre de situation que la constitution prévoit l utilisation du référendum sur cette question,acceptons sa mise en oeuvre ,si la majorité des burkinabé disent s opposer alors il n y aura pas de révision dans le cas contraire il reste stable merci !!!!

          • Le 26 février 2014 à 16:00 En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

            mon frère gosso,tu crois que Obama n’a pas besoin de rebeloter ? tu crois que Obama n’a pas des millions de partisans qui aimeraient qu’il rebelote ? est ce que les usa vont aller au référendum pour sauter la limitation de max 2 mandats de 4 ans ? non,non et non parceque ce sont des gens qui savent ce que leur constitution veut dire. pour eux,c’est pas un torchon qu’on prend,qu’on utilise pour se torcher et la mettre à la poubelle. en plus tu crois que diriger un pays est chose facile ? bien sûr chez nous,sont tellement paresseux que plus ils sont au pouvoir,plus ils rajeunissent sinon regarde les images de Obama quand il rentrait à la maison blanche et les images d’aujourd’hui,tu verras une sacrée différence. en 5 ou 6 ans de pouvoir,il a pris un coup de vieux de 20 ans avec des cheveux blancs. même regarde sarko,il a fait 5 ans seulement mais regarde comment il est maintenant. stp....votre blaise n’est pas un surhomme,il va mourir un jour et en plus,je l’ai assez vu,ça suffit ainsi. basta !

            • Le 26 février 2014 à 18:11, par jackmani En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

              Le président des paresseux n’ont pas besoin de beaucoup transformer leur sueur en lait donc faut pas comparer les USA au Burkina Faso. Les jeunes américain deh la naissance ont les apprend déjà que Dieu t’a donné la vie a toi de trouver ta pitance par contre en Afrique c’est Dieu a pu te donner la vie alors il te donnera ta pitance. Et quand le président prend une longueur d’avance sur son peuple et veut anticiper les problèmes la population pensent qu’il est inutile et préfère le liquidé. C’est pas facile d’être président en Afrique deh car il faut vraiment savoir adopter des danses différentes au rythme de la même chanson.

            • Le 26 février 2014 à 19:49, par kambou En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

              Mon ami tu a raison, dirigé un pays c’est pas facile,c’est le métier le plus dur et le plus risqué du monde,car tu détient le destin de la population,pour cela le president doit tout faire pour que après lui les institutions soit fortes et le développement puisse continué,pour le cas de Blaise ,il a suis que notre constitutions a des lacunes c’est pour sa il a lancé le débat pour que l’ensemble des Burkinabés puissent constaté ses lacunes et corrigé avant son départ.

            • Le 27 février 2014 à 10:00, par Assane Dabré En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

              Mon gars les USA ce n’est pas le Burkina Faso. Dans la constitution américaine l’article portant sur sur le mandat présidentiel est non révisable et ce qui n’est pas le cas ici au Burkina. C’est ça qui fait la différence entre 2 constitutions. Et ça je n’en veut pas à Blaise parce que ce n’est pas lui qui a écris la constitution burkinabé il ne fait qu’appliquer. Donc demander à ceux qui ont écris cette constitution pourquoi ils n’ont pas inscris l’article 37 parmi les article non révisables ?

          • Le 26 février 2014 à 16:10 En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

            GROSSO,l’autre partie dit non justement parce que selon la Constitution actuelle Blaise ne peut plus briguer un autre mandat, c’est aussi simple que cela !

          • Le 26 février 2014 à 17:07, par Immomoni En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

            Mr Grosso, je vous ai lu et je comprend votre position et je la respecte. Mais dis moi quel intérêt le Burkina a a organiser un référendum quand on connait le cout, le cout du sénat. Regarde la misère des travailleurs, la vie chère. Faire tout ça juste pour maintenir un homme au pouvoir. Regarde de 1987 à aujourd’hui , notre pays n’a connu qu’un président. Regarde au Ghana, en France notre modèle... Médite sur ceci :( il est plus facile du départ d’un président en fin de mandat que l’organisation d’un référendum pour le maintenir) sur le plan social, économique... Encore je vous remercie pour votre attention mais très cordialement réfléchi, médite

          • Le 26 février 2014 à 17:18, par tinto En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

            Le résultat des referendum passés étaient la volonté de qui ?

          • Le 26 février 2014 à 18:08, par Timbil Peter En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

            Mr grosso notre constitution n’est pas de la cire maniable,modifiable à tout moment comme on veut.c’est la majorité qui ne veut pas sa révision ni le référendum un point barre.Ton prési n’est pas le seul burkinabé à pouvoir gérer le pays.que satan prenne votre controle

          • Le 26 février 2014 à 18:25, par mado En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

            Grosso je ne sais pas si vous faite expres ou bien quand il s’agit de Blaise et que vos interets sont menacés , que vous faites semblant de ne rien comprendre

          • Le 26 février 2014 à 22:18, par djibrilou En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

            slt les internautes.les gens parlent tant de referendum.savez-vous pourquoi le president hesite sur cette option ? d’ailleurs mème il n’en fait plus cas car il perdu d’avance.pour aller au referendum,il faut passer le decret à l’assemblée nationale pour donner quitus de l’organiser.or,là-bas beaucoup de deputés sont prèts à voter non. et ça le president le sait très bien.mème les deputés CDP qui ont allégeance au pouvoir sont prèts à le faire.pour preuve nous venons d’assister à un meeting de MPP où on a vu un deputé CDP en chair et en os s’adresser à la foule. à la question de savoir pourquoi vous etes là alors que vous etes au cdp.il repond que c’est une tactique de l’opposition qui dit de faire semblant rester à l’assemblée et contrecarrer les votes.il a été applaudi et acclamé par tous.voici une info digne à partager et on comprend le silence du pouvoir sur ce fameux referendum sauf ceux qui crient à longueur de journée sur ça. merci

          • Le 27 février 2014 à 09:47, par Assane Dabré En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

            Kitiyitèka, tu oublies que la constitution peut est modifier soit par voie parlementaire soit par voie référendaire. En 1999 on l’avait modifié par voie parlementaire et cette voie le Président voudrait connaitre l’expression réelle du peuple en évoquant le référendum. Donc si le peuple veut que le président continu en 2015 il s’exprimera si il dira non et tout est clos.

          • Le 27 février 2014 à 11:05 En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

            Monsieur grosso, pensiez vous que ceux qui sont pour la modification sont cohérent avec leur ideos. qui parmi eux n’ont pas voté la constitution de 92 ou n’a pas participé pour la modification en 2000 ? s’il vous plait arrêter de traumatiser le peuple Burkinabè avec votre soit disant modification de l’article 37.
            Nul n’est indispensable dans ce monde.

          • Le 27 février 2014 à 11:38, par Lod En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

            Monsieur Grosso,il faut comprendre qu’un peuple va au référendum lorsque les institutions sont bloquées et que rien ne marche.Quelle institution est bloquée dans notre pays au point d’entraver la bonne marche de la démocratie ? Combien de fois la constitution burkinabè a été modifiée et sous quel régime ? La mine du bouc n’empêchera pas le sacrifice:pour dire que quel que soit la peur qui hante les obsédés du pouvoir,ils partiront bon gré mal gré.Jeunesse du Burkina,l’avenir vous appartient,barrons la voix aux éternels modificateurs de notre loi mère autour du mouvement :" On est Fatigué" à l’image du mouvement"Y’EN A MARRE" du Sénégal ou alors dit à OBAMA aussi de modifier la constitution pour se représenter parce qu’il a assez fait pour les Américains.

        • Le 26 février 2014 à 16:25, par GUESSAD En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

          Mon cher KITIYETEGA,pourquoi ne pas modifier la constitution pour le verrouiller définitivement ?Avez vous déjà entendu que quelqu’un a tenté de modifier les articles non révisables de la constitution ?NON !me diriez vous.Eh bien:c’est parce que c’est clairement défini.Il est temps de finir ce débat en le verrouillant définitivement pour qu’un autre président,autre que Blaise COMPAORE de tente dans les années à venir.
          Un peu de quand même.Je vous réponds parce que je vois une sagesse en vous mon cher KITIYETEGA.
          Que Dieu aide et sauve le BURKINA FASO !!!!!

      • Le 26 février 2014 à 23:27, par mouss En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

        Mr Grosso, on te dit qu’il y aura pas de référendum pour modifier l’article 37 maintenant si vous persister, alors qu’est ce que vous attendez pour faire ce référendum ? personne ne vous a attaché donc allez y on vas voir. pourquoi vous hésitez ? A propos, à quel niveau vous êtes avec le Sénat que vous aviez commencer a mettre en place ?

    • Le 26 février 2014 à 11:54, par TI En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      Le problème des burkinabé est simple. Il ne tient qu’a 2 ans de pouvoir supplémentaire de Blaise et on remet tout l’ardoise à zéro et tout le monde a la paix, la santé et la continuité dans les activités. Et si un compromis n’est pas trouvé sur cela on risque de transformer le Burkina en bain de sang. Et ça tout le monde le regrettera cher

      • Le 26 février 2014 à 13:23, par Yannick En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

        Si vous voulez la paix laisser moi régner sur vous pour toujours et pour des siècles et des siècles. Amen. C’est cela la volonté de l’empereur ?

      • Le 26 février 2014 à 16:08 En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

        ehhh bien,dis nous pourquoi on doit lui donner un lenga de 2 ans supplémentaire. cela existe dans notre constitution ? la réponse est non et donc il n’aura pas son lenga et allons-y pour le bain de sang. en ukraine il y a eu des dizaines de morts,est ce pour autant que ce pays est rayé sur la carte du monde ? je ne parlerai même pas d’autres pays come le rwanda qui a perdu plus de 800 000 âmes mais va maintenant au rwanda voir comment en 10 ans son président a redressé son pays et il dépasse maintenant de loin le burkina faso avec votre super dieu qui est là depuis 28 ans. il a fait quoi ? lui et son clan ont passé leur temps à piller ce pays notre cher faso. ça suffit. qu’il dégage et il dégagera vaille que vaille.

        • Le 27 février 2014 à 09:12 En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

          voici pourquoi je pense que les médiateurs doivent laisser tomber et s’en laver les mains au lieu de se faire insulter par des gens comme ça ; si ces dizaines ou milliers de morts se retrouvent dans ta famille on verra bien si c’est l’option que tu désires toujours. c’est exactement la façon de penser de ceux qui ne connaissent rien aux troubles sociaux politiques ou a la guerre civile. dis toi bien que les mutineries de 2011 et leurs balles perdues ne sont rien d’abord. a bon entendeur....

    • Le 26 février 2014 à 16:11, par LAURE En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      N’allez pas chercher le rat dans le trou du python ! mr LY parle là de deux personnes, mais pas du BURKINA. Le debat, sur ce qu’on debat, c’est comment concilier les positions divergentes des fils du FASO pour le faire prospérer de manière continue sans gap de régimes. c’est là le problème ! comment faire en sorte qu’il n’y ait pas de rupture dans cette phase importante d’amorce du développement économique de notre pays ? si un mauvais gouvernement vient au pouvoir, on rate le décollage et on reviens à 100 ans en arrière, pour ne pas dire qu’il faut attendre encore un bon siècle pour que de nouvelles condition de décollage économique soient réunies. Actuellement le climat économique laisse des percées. Voilà le souci de Blaise. Mais des gens comme mr LY qui sont endogmatisés par la haine de vengeance refusent de voir objectif et n’écrivent que des antithèses en hors-sujet. Je suis désolée mr LY et tes supporters !!!

      • Le 26 février 2014 à 22:06, par Tosner En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

        Ma tres chere Laure, arrete de nous vendre tes illusions. Quoi ? Qu’est ce qui est le souci de Blaise si ce n’est de rester a vie au pouvoir pour echapper a la justice et jouir des privileges du pouvoir. C’est vrai que la constitution permet la modification de l’article 37 mais on ne modifie pas les lois pour satisfaire un individu ou une famille quelconque. Certe la modification de l’article 37 est legalement permise mais pas moralement permise dans le contexte Burkinabe. Je prefere en rester la pour ce moment arreter de vous mentir. Merci

      • Le 26 février 2014 à 22:18, par YELPIAN En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

        Laure, tu parles de quelle percée économique et en faveur de qui ? Une majorité de la population n’est pas concernée puisque au moins 46% de la population vit sous le seuil de pauvreté. celles-ci sont exclues de ces percées économiques, qui ne profitent qu’au clan Compaoré sans doute comme tu le sais. Peut-être que tu en tire aussi profit. C’est dire que le Burkina est plus pauvre dans sa gouvernance qu’en ressources.
        Et puis, penses-tu vraiment que le Burkina puisse reculer encore, même en cas d’alternance ? Par les mérites de ceux dont tu défends avec fougue, ce pays a la faveur de collectionner les mauvais classements du PNUD, 183e/187. Alors, Claire tu vois que l’on ne peut pas faire pire que cela. Donc le changement est forcement porteur d’un mieux être social et économique pour le burkinabé.

        • Le 27 février 2014 à 11:09, par LAURE En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

          La croissance économique est un paradoxe qui échappe même aux économistes les plus éminents. la croissance économique est comme ça, elle génère des effets pervers non maîtrisables ; c’est en que sortes les dommages collatéraux inévitables dans un début de développement. le proverbe qui dit "on ne peut pas faire les omelettes sans casser les œufs" illustre bien ce paradoxe. le plus souvent on court derrière une croissance mais on veut pas supporter les signes de la croissance, les conditions de la croissance qui ne sont malheureusement souvent reluisantes. Regardes dans pays nouvellement industrialisés comme le Brésil, Chine, Inde,... ;mais la précarité sied, souvent encore pire qu’au Burkina.

        • Le 27 février 2014 à 11:27, par LAURE En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

          La suite. Je ne soutiens pas ce constat amère d’égalité sociale, mais ça me donne un espoir parce que ça annonce des lendemains meilleurs, peut-être pas pour moi-même mais pour mes enfants. Mais à qui la faute ? Blaise ? Même celui qui remplacera Blaise ne pourra pas éviter ça. Mes amis YELPIAN et TOSNER, ouvrez les yeux, voyez la réalité plutôt que des mirages. Blaise a su réunis seulement en 27 ans toutes les conditions (sociales, économiques, politiques nationales comme internationales) pour que son successeur gagne la victoire du développement. Et nous devons lui être redevable parce qu’il a fait son travail en tant que patriote. C’est à nous de choisir le bon successeur sinon tout ses efforts seront vains. Blaise en est bien conscient et sans doute il veut se rassurer sur ce point. Ces gars sur qui tu comptes là (opposants et RSS), ce sont des faux-types, Blaise les connait plus que n’importe quel autre citoyen... Le peuple ne peut compter sur eux pour assurer la relève du dynamisme de croissance et du développement. Il suffit de lire le fond de leurs paroles et de leurs actes : tout se résume pour eux au pouvoir, un peu seulement "Rock" président. Il faut vraiment aveugle et sourd-muet physiquement et intellectuellement pour ne pas les sentir de façon indirect exulté leur réelle vocation : le pouvoir bientôt c’est mon tour, que le pouvoir, le peuple on s’en use !!!!

      • Le 27 février 2014 à 10:52 En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

        Ma chère LAURE, si j’étais votre professeur je vous aurais donné une très sale note car vous avez un problème de cohérence dans vos idées. Comme on vous le dit les Burkinabés ne sont pas des moutons et notez que ceux qui nous dirigent ne sont pas les plus intelligents du Burkina. Alors arrêtez. Le Burkina doit évolué avec ou sans Blaise.

        • Le 27 février 2014 à 14:01, par LAURE En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

          "le Burkina doit évoluer avec ou sans Blaise". monsieur ou madame, le mot "doit" n’a pas sa place dans cette phrase. je reformulerai cette phrase de manière objective et impartiale pour toi : "le Burkina peut évoluer avec ou sans Blaise". et ça c’est une évidence ! sinon votre raisonnement occulterait l’objectivité pour vous embarquer dans une spirale de dogmatisme et d’entêtement haineux. Blaise n’a jamais clamé qu’il est indispensable au Burkina, au contraire il a prôné la concertation, le dialogue, la gestion participative ; et aujourd’hui il interpelle tous les filles et fils du pays sur comment va t-il passer la main sans troubles et sans répercutions pour le pays. C’est bien une réalité qu’on le veuille ou pas, son départ sans précautions préalables risque de laisser la présidence transformée à un lieu de batailles sanglantes entre fils du pays. Et quoi d’anormal il y’a s’il s’en soucie ? D’ailleurs, c’est ce que devrait faire un président patriote qui aime sans hypocrisie son pays...

    • Le 26 février 2014 à 16:34, par Aminata ZIDA En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      Arrèter de confondre les choses car M.COMPAORE n ira nul part et mème s il y a une transition l après 2015 on pense que c est ce mème COMPAORE qui la gerera et si certains pensent le contraire on va on referendum pour voir

      • Le 26 février 2014 à 18:15 En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

        Aminata zida, tu iras au referendum seul ; même si ton blaiso a peur de descendre du pouvoir, il faut lui dire de s’apprêter car la date de la chute avance à grand pas et il n’y peut rien car c’est un processus logique qui suit son cours même si personne ne fait rien.

      • Le 26 février 2014 à 22:10, par linge sale En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

        A part des individus comme grosso et aminata zida qui se cachent derrière des pseudo pour souhaiter le référendum, je n’ai jamais vu dans le cadre d’un débat informel sur la question du départ de blaise, des burkinabé se déclarer en faveur de ce référendum. En fait, le fait que blaise veuille mourir au pouvoir n’est simplement pas un motif suffisant pour aller au référendum et c’est tout. Il partira, c’est sur, et il gérera ses problèmes personnels sans le peuple du Faso.

      • Le 27 février 2014 à 17:43 En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

        Puisse que la vie n’a aucun sens pour vous sans Blaise, alors la seule solution qui reste s’est de le devancer. Prenez votre courage à deux mains et tout ira...

    • Le 26 février 2014 à 18:00, par ouedraogo moumouni En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      Le référendum sera notre dernière cartouche .Si nous voulons voir notre pays intacte.Ces politiciens sont capable de tous pour leur pouvoir.nous toujours les victimes.cette médiation nous dira quel chemin suivre.Mais se qui est sur Blaise maîtrise la situation.Il nous surprendra une fois de plus à cause de son amour pour le Burkina .SHALOM !!!!!!!!!!!!!!!!!!

    • Le 26 février 2014 à 19:23, par Faux faire attention En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      Une médiation qui va permet au Burkina de faire une économie de perd humain.on doit tout faire pour que la médiation puisse aboutir,pour l’intérieur supérieur de la nation.

    • Le 26 février 2014 à 21:09, par Boureima ouédraogo En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      La médiation doit songé à faire comprendre aux deux partis que s’ils n’arrivent pas à se départagé alors la question sera soumis au peuple qui en décidera si blaise se présentera ou pas en 2015 .

    • Le 26 février 2014 à 21:20, par Kaboré Ludovic Ismael de Tanghin En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      cette médiation doit tiré une conclusion !si les deux partis n’arrivent pas à s’entendre alors il va falloir laisser le peuple burkinabé exercé son devoir civique pour en finir avec cette histoire .

    • Le 27 février 2014 à 07:24 En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      Belle analyse qui montre la difficulté de ceux qui aiment la paix. C’est dommage que cette médiation soit autant pourfendue, les acteurs savaient très bien la difficulté de la chose quand ils ont décidé de consaçrer leur temps pour le pays. Ça fait mal de voir qu’aujourd’hui personne n’en veux alors qu’il suffit de réfléchir un peu pour voir qu’on pourrai tous le regretter un jour...

  • Le 26 février 2014 à 10:54, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    ’’S’il en est ainsi, c’est donc de la manipulation orchestrée par Blaise Compaoré pour encore gagner en temps et renverser la vapeur en sa faveur’’.

    - MÉDIATEURS AUTO-SAISIS, Hèééyiiiiii....! ! ! !
    - ZÉPHIRIN (UPC), BENEWENDE (UNIR-PS), etc. Héééyiiiii...! ! si vous nous trahissez ! ! Héééyiiii ! ! ! si vous marchandez notre lutte ! ! Hééyiii ! !

    Par Kôrô Yamyélé

    • Le 26 février 2014 à 12:01, par Zoulou En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      je pense que la ou est arrivé la situation nationale les burkinabé ne devront pas être têtu. Si on on a accepté fêter une journée de pardon s’est qu’on devra maintenir ce pardon jusqu’à la fin du mandat du président. Et je pense qu’on ne devrait pas condamner des millions de burkinabé pour des faits passés. On devrait se concentrer à regarder devant nous

  • Le 26 février 2014 à 10:59, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    ’’Le chef de l’Etat actuel pourrait donc s’abriter derrière cette loi (d’amnistie) pour échapper à la justice pour des faits commis dans l’exercice de ses fonctions’’.

    - Attention mon ami ! Il y a aussi la vengeance à la sicilienne ! N’oublie pas aussi la loi du Talion. Je pense quand à moi que c’est de cette loi que le Chef de l’Etat a surtout peur puisqu’après 2015, il ne sera plus protégé par toute une garnison de commandos payés, armés, nourris, cirés et blanchis par les impôts du peuple.

    Par Kôrô Yamyélé

    • Le 26 février 2014 à 17:25, par Le citoyen fâché En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      Et les démissionnaires qui pendant plus de 25 ans, étaient le bras armés de ce président pour spoliés, verser le sang, faire la gabégie etc...et penser aujourd’hui qu’ils leur suffit d’un méa culpa pour se faire pardonner !

      Les milliards mal acquis et par le sang du peuple doivent etre reversé !

      • Le 28 février 2014 à 04:24, par laloi En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

        Pas de senat, pas de revision de l’artocle 37, pas de lenga. En plus he remarque que les vrais internautes passent leur temps a repondre les conneries de ceetains infiltres. NE perdez plus votre temps, CE sont les memes individus qui ONT de pseodo different. Ils veulent jute tromper votre vigience Sur les artile. Laissez les aboyer. Cette fois CI le peuple Est debut.....

  • Le 26 février 2014 à 11:06, par vérité no1 En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Blaise n’a plus effectivement de cartouches à sa disposition, les médiateurs même savent que c’est devenu un faux problème. Le faux problème est que Blaise refuse de respecter son mandat.

  • Le 26 février 2014 à 11:07, par Anita Manour En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    "chaque jour qui passe complique davantage la situation pour le président Compaoré. Il ne dispose plus d’assez de cartes entre ses mains. La médiation initiée par le comité des « quatre sages » sonne comme la dernière chance pour lui de sortir avec moins de casses de cette pseudo-crise qu’il a entretenue depuis des mois. Le Burkina Faso et toute l’Afrique le regardent et espèrent qu’il saisira la balle au bond pour sortir de son propre bourbier."
    Voilà qui est bien dit. merci pour cet écrit, cher journaliste. mais ce sur quoi tu n’as pas insisté, concerne les crimes économiques. Que le pouvoir de la quatrième république le veuille ou non il rendra à Césare ce qui est à Césare et à Dieu ce qui est à Dieu. ce que nous voulons de ces collèges des sages est qu’ils disent à Blaise qu’il n’a qu’à aller se reposer dans son Ziniaré natal après 2015 ou n’importe où il voudra. Et si ce collège des sages veut le respect et sauvegarder la paix au Burkina, s’ils ont un minimum de respect pour leur pays et à sa constitution, alors qu’ils le clament haut et fort :" nous ne devons pas au grand jamais modifier notre constitution au gré d’un groupe zélé ! "
    Quant à nous population consciente, disons : touche pas à ma constitution !

    • Le 26 février 2014 à 16:04, par grosso En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      en disant touche pas a ma constitution vous devenez le contraire du qualificatif que vous vous êtes donné et pire vous devenez les dictateurs parce que vous privez toute une bonne partie de cette population qui elle consciente de son droit ,alors monsieur ,la solution incontestable de notre problème c est le référendum si vous êtes confiant on y va !!!!!!

    • Le 27 février 2014 à 12:35, par Sasha En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      vous savez M.Grosso, une décision référendaire n’est pas toujours bonne !la preuve la loi adoptée sous le régime de Hitler disant qu’il faut exterminer toute race inférieure, impure a été approuvée et l’histoire nous a montré le massacre qui en a découlé !Il suffit d’une manipulation du peuple surtout lorsque la majorité est analphabète et le tour est joué !Passer tout le temps a modifié 1e constitution ne lui donne pas de crédibilité !Il ne s’agit pas là par le référendum de trancher pour trancher.il est question de prendre une décision qui respecte l’esprit de notre constitution et de la démocratie !

  • Le 26 février 2014 à 11:14, par Virus très virulent En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Il faut comprendre une chose, nous ne devons pas extrapoler les faits. En effet Assami n’a jamais laissé paraitre que le respect des lois est un déshonneur. Il a juste souligner qu’il faut comprendre les lois et savoir pourquoi on les respect et non les respect pour les respecter seulement. Il faut aussi préciser qu’a une lois injuste nul n’est obligé de la respecter disait saint Augustin dans ce sens que si notre constitution est fait de contradiction alors nul n’est obligé de la respecter. Il faut carrément revoir la constitution. Le seul compromis que Blaise pourra accepter a mon humble avis c’est que ces vieux loup qui ont cheminer avec lui s’écarte du pouvoir et laisse place au idées innovante de la jeunesse.

    • Le 26 février 2014 à 11:57, par RAWA En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      J’ai toujours dit à ceux qui pensent que parce qu’ils sont jeunes tout leur est du. Sachez que vous vieillirez aussi un jour. Même si pour beaucoup qui se disent jeunes ils ne le sont plus en réalité. Les gens aujourd’hui refusent d’assumer leur âge. Si vous voulez des responsabilités, formez vous à la base dans les parties politiques et faites la preuve de vos capacités. On ne va quand même pas venir au matata, à la garde ou au cyclope pour vous donner des responsabilités. Parce que les prétendants aux responsabilités aiment bien dormir dans ces endroits pour boire la bière et baiser les prostituées.On voit comment ça se passe à ouagadougou.Vous croyez qu’on est des fous pour faire cela ? Occupez vous utilement avant de mériter quelque chose.Ces gens que vous qualifiez de vieux ont tous milité depuis le lycée. Faites simplement comme eux. Rien ne peut tomber du ciel. Seul le travail fait l’homme.

      • Le 26 février 2014 à 14:13, par Virus très virulent En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

        Les gens que tu décrit soit disant qu’il sont passée par les bases pour être aujourd’hui au sommet son les gars qui n’ont reçu aucun formation en science politique. Tu parle de maquis et de prostitué moi je dirai tout simplement de ne pas assimiler toute la jeunesse a ta personne. Faut pas regretter ta jeunesse si tu l’a passé dans les maquis et entre les cuisse des prostituer, car comme la toujours dit Mr Wade, le Sénégal a fait 8 années blanche mais Karim n’a jamais fait d’année blanche. Donc les gens qui ont fait science politique passeront toujours avant les économiste transformer en pseudo politicien. See later

  • Le 26 février 2014 à 11:22, par Le patriote !!! En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Très claire comme écrit sur les dossiers sales du régime des frères compaoré.
    "Qui ne sait pas être conseillé,ne peut être secouru" ; et puis ces mots encore :"Si vous n’écoutez pas la raison,elle ne manquera pas de vous taper sur les doigts".
    A l’opinion publique de voir la suite de la médiation.

  • Le 26 février 2014 à 11:27, par Charif En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    je tiens a mettre a évidence l’impartialité du groupe de médiation au regard du parti au pouvoir. Cependant quelque doute subsiste au niveau de JBO a mon humble avis. je m’explique dans les mots suivent : JBO qui a sa clinique a ... ne va t’il pas précipité le départ de Blaise au regard des multiples CHU et hôpitaux en cours d’études pour ne pas dire a quelque jours du début des travaux ? En effet au regard du pactole que sa clinique lui apporte plus il y aura d’hôpitaux publics et moins il pourra faire des affaires. Espérons qu’il pourra voir plus loin que son ventre et prendre la bonne décision.

    • Le 26 février 2014 à 13:12 En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      Oh charif les cliniques sont faites pour les riches et les hopitaux pour les moins riches et les pauvres. Alors qu’est ce qu’une clinique vient chercher dans cette histoire de médiation ?

      • Le 26 février 2014 à 15:30, par charif En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

        Mon frère tu oublie que c’est par manque de personnelles et d’équipement pour bien prendre en charge les malades que les gars s’oriente vers les cliniques. Aujourd’hui les gars sont capable de s’endetter pour aller se faire soigner efficacement dans une clinique que d’attendre la mort a l’hôpital. Sans oublié qu’actuellement les médecin préfèrent s’absenter les hôpitaux que dans les cliniques. Merci

        • Le 27 février 2014 à 12:10 En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

          ton niveau de réflexion fait très très peur, toi tu soupçonne JBO de faire partir blaise pour affaires parce quil est en train de construire des hopitaux (alors qu’il y’a déjà HNBC et pléthore de cliniques privées déjà) en meme temps que d’autres le soupçonne de sauver les fesses de ce meme blaise... pauvre pays, il devrai vous laisser dans vos problèmes et retourner a sa vie tranquille...

  • Le 26 février 2014 à 11:27, par Assane En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    A travers cet article on voit bien votre position monsieur le journaliste. Je pensais que le travail des journalistes étaient de poser des questions et informer le peuple. Mais une prise de position politique ce n’est pas du journalisme. Donc revoyez votre position avant d’écrire ces genres d’articles.

    • Le 26 février 2014 à 23:05, par YELPIAN En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      il n’est point interdit à un journalisme de prendre une position politique. regardes la tnb tu comprendras davantage.
      Et puis regardes un peu à travers le monde, il y a des journaux connus pour être de droite, d’autres de gauche.

  • Le 26 février 2014 à 11:30, par BAMS En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    M. LY. Je vous respecte. Vous êtes un journaliste indépendant. Vous méritez un prix et par ailleurs être correspondant de certaines grandes chaines mondiales.

    • Le 26 février 2014 à 12:37, par vadroit En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      mon chèr bams je constat que ta qualité de remarque est tres faible ce LY est un journaliste de l opposition ,soulignons aussi qu il est un type qui pousse a la haine ,la violence ,mauvais patriote !

      • Le 26 février 2014 à 23:25, par YELPIAN En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

        gardes ton appréciation pour toi. Il n’est pas étonnant que tu traites Monsieur Ly de la sorte, puisque tu n’es pas de "l’opposition", et tu t’opposes à lui. Quelque soit son bord, saches qu’il est autant que toi, un patriote qui défend des valeurs : la vérité, la dignité, la morale, etc. Tes insultes n’enlèveront rien à ce monsieur car on cache le soleil avec une main. Tu ferais bien de lire ces écrits pour être éclairés sur les sombres réalités dans lesquelles tes gouvernants que tu défends, te plongent.

  • Le 26 février 2014 à 11:31, par Un indigné En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    On récolte toujours ce qu’on a semé.Si l’impunité demeure suite à l’intervention desdits sages, le burkina n’aura jamais la paix. On doit soigner ce mal quelque soit la douleur parce que pour le reste du peuple africain (sénégalais, camérounais, congolais,etc.) nous avons tous été complice des évènements du 15 octobre 1987. Justice doit être fait pour libérer toutes les consciences et instaurer la paix au BURKINA FASO autrefois terre de dignité. Gare à tout compromis !

    • Le 26 février 2014 à 12:13, par Zoulou En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      Je suis pour la justice mais pourquoi forcer une justice si le peuple a déjà accepté de pardonner.Le peule a déjà accepté la journée nationale de pardon et en suite le peuple a encore accepté d’accorder une armistice aux différents chef d’Etat du Burkina alors pourquoi forcer la justice dans ce cas. La justice c’est réparé les tors posés au peuple et si le peuple a pardonné alors justice est fait.

      • Le 26 février 2014 à 12:49, par MNIFOU En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

        Il est facile d’organiser une journee de pardon et pretendre apres que le peuple a pardonne. Le pardon d’accord mais la justice d’abord. L’impunite engendre la haine et la haine engendre le chao.

      • Le 26 février 2014 à 12:51, par Anita Manour En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

        cher Zoulou, les hommes du pouvoir ont plutôt forcé la main de notre chère justice et imposé le pardon sans pour autant dire la vérité.

      • Le 26 février 2014 à 16:27, par l’enfant conscient En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

        cher zoulou
        pour demander le pardon il faut declarer ouvertement ce que tu a commis comme crime et tu reconnais l’erreur commise avant qu’on ne te pardonne. les auteur de cette journée refuse d’être responsable des crimes et vous voulez que le peuple les pardonne. les pardonnés pourquoi ? ils ont fait quoi ? il devrait dire ce qu’ils ont faire pour que le peuple puisse les pardonnés.

  • Le 26 février 2014 à 11:35, par eldevert sawadogo En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Nous sommes prêt à tout pourvu qu’il est la paix .Mème jusqu’au référendum.il est plus facile de gâter que de réparer.quoiqu’on dise la paix reste toujours précieuse.Mes frères je vous assure qu’on ne peut pas faire taire les armes.Cette constitution nous fatigue.

  • Le 26 février 2014 à 11:35, par tché En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    A travers cet article on voit bien que selon vous le peuple burkinabé devra choisir entre la paix et une supposée justice. Mais je crois que le choix est vite fait. Le passé est important et tout le monde a compris que c’est ça qui détermine aujourd’hui le destin du BURKINA mais n’oublions pas que le futur est le plus important de chaque nation. Donc s’il arrive qu’on devrait choisir entre le passé et le futur le choix s’impose lui meme

  • Le 26 février 2014 à 12:11 En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    qui a financé la clinique de la paix de JBO ?

  • Le 26 février 2014 à 12:17, par Le bon citoyen En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Je dits que la solution au problème ne viendra ni des acteurs actuels de la politique, ni de la société civile.
    C’est la jeunesse consciente et mobilisé qui chassera Blaise s’il refuse de partir. Car eux ils sont en train de tourner. mais la jeunesse ne tourne pas

  • Le 26 février 2014 à 12:22, par Le Fatotchiè En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Je pense qu’on ne parle d’une langue qu’à celui qui la comprenne ; comment voulez vous parler de la sagesse à celui qui n’est pas sage ? Si les sages étaient respectés dans notre pays la situation actuelle ne serait pas vécue. Combien de fois on les utilise pour décanter les situations de crises et ensuite on ignore même leurs proposions. Il est du devoir de l’opposition de poursuivre ses manifestations jusqu’à obtenir le départ du président Compaoré du pouvoir au terme de son mandat. Dans le cas contraire, nous allons montrer au monde entier que nous sommes à mesure de faire comme l’Ukraine. On n’a plus peur des chars ni des kalachnikov. Pour les médiateurs allez vous reposer ! "L’ enfant qui est sourd de Tchiaa, comprendra le Tchouou". De toute façon toute expérience est bonne à prendre ; soit pour prévenir soit pour guerrir une situation.

  • Le 26 février 2014 à 12:27, par KAMBOU NABA JEAN PATRICE En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    LA SAGESSE D’EN HAUT EST PREMIEREMEENT PURE, ENSUITE PACIFIQUE,MODEREE, CONCILIANTE, PLEINE DE MISERICORDE ET DE BON FRUITS, EXEMPTE DE DUPLICITE, D’HYPOCRISIE. JACQUES 3:17 QUE LE SEIGEUR ACCORDE CETTE SAGESSE A NOS SAGES.

  • Le 26 février 2014 à 12:30, par KAMBOU NABA JEAN PATRICE En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    LA SAGESSE D’EN HAUT EST PREMIEREMENT PURE, ENSUITE PACIFIQUE,MODEREE, CONCILIANTE, PLEINE DE MISERICORDE ET DE BON FRUITS, EXEMPTE DE DUPLICITE, D’HYPOCRISIE. JACQUES 3:17 QUE LE SEIGEUR ACCORDE CETTE SAGESSE A NOS SAGES.

  • Le 26 février 2014 à 12:38, par Afrique En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Mr Assane, je comprend votre inquietude mais vous devez comprendre que ce voyant journaliste est avant tout un burkinabé. j’aurai préféré que vous trouvez une faille dans ces propos, la vérité ne se dit t-elle pas dpar un journaliste ? Demontrez le contraire

  • Le 26 février 2014 à 13:15, par Le pardonneur En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    En tout cas, l’abcès est bien percé ici.
    Encore merci pour ce courage ! tout le monde voit mais les gens ne veulent pas parler par manque d’audace !
    Le fond de l’article intéressant oui mais il y a eu des évolution en ce moment et le chapeau est quelque peu anachronique (dépassé)

    • Le 26 février 2014 à 15:30, par silmiga En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      A travers cet article que ceux qui n’étaient pas convaincus s’en convainquent à jamais !
      Blaise et les siens ne quitteront pas le pouvoir de leur propre gré. C’est dommage . Pourtant, on n’avait tout fait pour les y encourager.
      Que Dieu sauve le Burkina

  • Le 26 février 2014 à 14:30, par ka En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Son excellence monsieur le présidente JBO et compagnie, je pense sincèrement que vous aviez du temps à perdre avec le jeu du caméléon de Ziniaré qu’est Blaise Compaoré. Je vous suggère une solution simple pour arrêter vos jeux et vos entêtements pour les caprices du président Blaise Compaoré et sa Famille. <> Son excellence Monsieur le président JBO, une loi est une loi, et comme avait dit le professeur Loada agrégé de droit public et en science politique au sujet de l’article 37,’’’ que chacun de nous doit assumer et respecter la lettre et l’esprit de l’article 37 de notre constitution qui interdit le président Blaise Compaoré de Briguer un Troisième Mandat consécutif.’’’ Alors je vous suggère de consulter les éminents juristes Dr. SOMDA, Dr. HIEN OLIVIER, Dr. MATHIEU N’DO, et le Pr. LUC IBRIGA, qui vous confirmeront l’authenticité de notre article 37, pour que Blaise et son frère François ouvrent les yeux et laissent le Burkina avancer pour nos enfants et la génération future. Reconnaissons les efforts faites par le président Blaise Compaoré et son équipe, mais une loi est loi, une constitution est une constitution , et nous devons les respecter pour la paix de notre pays.

    • Le 26 février 2014 à 16:30, par paz En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      Bien vu sur tous les angles Mr. KA. Un pays qui refuge la corruption et qui respecte ses constitutions est un pays qui avance sans reculer. La famille Compaoré doit impérativement respecter nos articles de loi et quitter le pouvoir pour une nouvelle équipe avec des bonnes idées.

  • Le 26 février 2014 à 14:39 En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Une bonne fois pour toute dites a Blaise : La génération actuelle est celle qui a enduré toutes les tortures que tu a infligé a ce pays,certains étaient encore dans les jupes de leur maman quand tu prenais le pouvoir, d’autres naissait tout juste. Nous sommes fatigués, épuisés par tes coups fourrés. Nous voulons une AUTRES manière de gérer le pays, d’autres vision, de l’innovation. Nous voulons foutre en l’air tout le réseau mafieux qui t’entoure et suce le sang des burkinabès. Toutes tes manœuvres ne font que renforcer l’histoire et lui donner de nouvelles lignes pour s’embellir. TU PARTIRAS !!!

    • Le 26 février 2014 à 15:41, par Anita Manour En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      D’ailleurs ce qui m’intéresse actuellement, c’est la décision finale de ces sages de nous montrer vraiment qu’ils sont sages. En disant la vérité et rien que la vérité à Blaise. et s’ils ne veulent pas le lui dire, nous population consciente descendrons dans la rue même à n’importe quel prix. Nous attendons les mots d’ordre de l’opposition, la vraie !

      • Le 26 février 2014 à 16:55, par Le Penseur En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

        Si l’affaire Norbert ZONGO peut être proscrit à partir de 2016 ce qui est tout à fait discutable (car il suffirait de démontrer l’existance de blocage sur le dossier pour le ré ouvrir), il est moins sur pour l’affaire Thomas SANKARA qui n’a jamais été jugé.
        Je pense que les prolongation souhaité ne pouvons pas empêcher quoi que se soit. La seule garanti que les COMPAOREs pourraient avoir C’est le PEUPLE. En suivant la volonté du Peuple par un respect pur et simple de la constitution, ils bénéficieront de la compréhension du Peuple et c’est seulement cela leur véritable garanti.

        (Voyer le cas Raoulings qui est tranquille au Ghana.)

    • Le 26 février 2014 à 16:25, par woulibali En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      La Patrie ou La Mort Nous Vaincrons à laisser la place a Unité Progrès Justice qui nous a conduit à la division, l’impunité, l’intolérance l’injustice et la misère généralisée au détriment d’un clan assez minoritaire connu et décrié par tous. ca suffit maintenant on ne peut plus continuer à nous blaguer tuer donc à vous de choisir ce qui vous arrange c’est à dire respecter la constitution ou la fuite en avant car les mêmes causes produisent les mêmes effets Blaise Compaoré PARTIRA soit par un soulèvement populaire ou un coup d’Etat militaire. soyons prêt et unis pour la suite car ensemble on pourra les chassés du pouvoir et cela ne saurait tarder. TOUS ENSEMBLE NOUS VAINCRONS PAS DE COMPROMIS QUI VA COMPROMETTRE L’AVENIR DE NOTRE PAYS.

  • Le 26 février 2014 à 16:30, par KABORE daouda En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Si seulement mr LY pouvait retourner à notre sujet, celui dont les burkinabé parle ie l’alternance dans la paix au Burkina, les internautes objectifs pouvaient donner caution à cet écrit. Mais malheureusement, il est hors sujet : il a passé son temps qu’à exulté sa haine pour la famille Compaoré. Aucun apport pour le debat de la mediation sur la crise socio politique.

    • Le 26 février 2014 à 17:38, par article 37 En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      Blaise à travers ses tweets montre qu’il n’est pas le capitaine courageux de 1983 qui avait des idéaux pour le pays. Après avoir éjecté Sankara, il n’a fait que construire une équipe de personne acquise à sa cause et non à la cause du pays.

      Contesté par la Nation tambours battants, ils croient que ceux qui veulent l’alternance sont jaloux. 28 ans devant un pays, 28 ans sans avoir réellement compris que les Burkinabè aspiraient à l’alternance des hommes.

      Avec sa famille politique dont beaucoup ont ouvert les yeux pour comprendre que l’Etat ne peut pas se gérer en famille, Blaise veut attirer de la pitié. Lui même n’a laissé aucune chance à certaines personnes. J’étais encore lycéen quand en septempbre 1989 à la suite d’un coup d’état manqué (selon le rectificateur) Henry ZONGO et Boukary LINGANI ont été exécuté à la suite d’aveux à la radio nationale.

      Pour la première fois dans l’histoire de notre pays, des gens ont été mis aux arrêts et exécuté sans passer devant une juridiction quelconque. Et c’est maintenant à un tel système aussi impitoyable que la nation devra réservé un triomphe : pour moi personnellement, c’est non. Nous sommes des humains et il y a des seuils qu’il ne faut pas franchir, ne serait-ce qu pour que personne dans notre pays ne pose encore de tel acte.

      Président COMPAORE, c’est quel avec droit droit vous avez fait un coup d’état ? Avec quel droit vous avez exécuté des officiers fils de notre pays ? C’est avec quel droit ????? Qui va répondre à ces questions, si ce n’est votre système ????

    • Le 26 février 2014 à 17:41, par Anita Manour En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      Au moment où le monde est devenu un village planétaire et progressant à un rythme supérieur ; nous Africains comme si la politique d’enfoncement des occidentaux vis-à-vis de nous ne suffisait pas, nous faisons de notre mieux pour nous engloutir dans ce sable mouvant. A qui la faute ? pour moi, la lutte ne fait que commencer. y a en marre ! Nous nous battrons pour notre dignité et le respect de notre constitution.

    • Le 26 février 2014 à 17:58 En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      M. Kaboré, je pense que journaliste a fait une analyse des raisons qui pourraient amener Le Président du Faso à s’accrocher au pouvoir. Les sages devraient regarder de ce coté pour ne pas perdre leur temps et le notre.
      Si vous n’êtes pas d’accord avec les faits cités dans l’article, vous pouvez les contredire. C’est la LIBERTE

  • Le 26 février 2014 à 17:25, par LAURE En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Personne n’a plus contribué à asseoir la démocratie burkinabé que Blaise. C’était une réelle volonté de vouloir donner la parole et liberté d’expression à tout le monde ; et c’est pour cela nous en sommes là aujourd’hui, ou tout le monde peut chialer comme il veut. C’est ça la magnificence et la beauté de Blaise. Il a voulu changé les choses et il l’a fait, positivement dans le progrès et la liberté. et c’est sur ce pilier qu’il a bâtit que se reposera Burkina d’aujourd’hui et de demain, que vous le voulez ou non, partisans, ennemis ou neutres. C’est le passé qui construit le futur certes, mais c’est le futur que nous regardons, nous regardons toujours devant. Même aux yeux du Suprême ( DIEU ), c’est l’intention qui compte et non les dégâts [collatéraux].

  • Le 26 février 2014 à 17:29, par mytibketa En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Un forumiste posait la question à savoir qui a financé la clinique de Jean Baptiste. Et nous voilà en plein dans des questions qui il me semble nous éloigne du sujet du moment. Et quand certains défendent bec et ongle dehors le referendum leur argumentation montre bien qu’ils ont peur eux aussi de ce qui adviendra après 2015. Tout leur texte respire la peur. En effet vouloir rester encore 2 ans comme lèga si cela vient de Blaise il faut considérer cette assertion comme un pic de plaisanterie entre mossi et samo. Sinon il faut être fou au niveau de l’opposition pour cautionner cela.D’abord une première fois on tripote la constitution en passant de 7 à 5 ans et maintenant on veut re-tripoter pour passer de 5 à 7 ans. On finira par dire que d’homme intègre le burkinabe esr devenu "homme qui ne sait pas ce qu’il veut". La constitution devenant un bourbier. Quand même est ce que les burkinabe boivent l’eau par les narines ou quoi ?. Si c’est la peur d’être poursuivi(lui et son frère) par les juridictions d’ici, les médiateurs peuvent en faire le seul point de l’ordre du jour des concertations et trouver une solution à la burkinabe "ti ya wend mmannin" . D’abord montrer les tombes, reconnaitre les fautes demander un vrai pardon (comme le font les démissionnaires) et les médiateurs se chargeront de convaincre les victimes et au nom de tout le peuple de leur accorder leur pardon, et laisser à Dieu faire le reste. Mais pour ceux qui en ont profité pour piller le pays il est bon qu’à l’écart, Blaise observe tout le mal que ces saprophytes ont fait au pays. Ces seuls remords peuvent constituer des moments douloureux pour qui que vous soyez.

  • Le 26 février 2014 à 18:24, par anta En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Messieurs les Médiateurs autosaisis par Blaise, respectez vos cheveux blancs. C’est à cause de votre couronne cotonneuse que jusqu’à présent, nous contenons nos mots pour qu’ils ne sortent pas des canons de la bienséance.Dites à Blaise Compaoré toute la vérité:il ne peut plus se présenter en 2015. Si vous ne le faites pas, vous serez comme les vieillards lubriques de la Bible qui ont aidé le roi AKAZ ou AKAB,sous l’inspiration de sa femme Jézabel, à retirer la vigne du pauvre Naboth. Ne faites pas de faux témoignage pour plaire aux rois de ce monde.Allez-vous souiller l’instant qui vous reste de vie(si vous avez gagné c’est 20 ans, malgré toutes les vitamines et les drogues possibles)avec le mensonge ?

  • Le 26 février 2014 à 23:50, par Sam En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Il faut expier certains peches avant le jugement dernier.donc le grand et le petit boss doivent s’expliqer .

  • Le 27 février 2014 à 05:17, par Gerard Manvu En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    L’histoire du viol est aussi tordante qu’édifiante ; j’ajouterais modestement que comme le violeur tient à violer , il faut lui trouver quelqu’un ou quelque chose à violer . De plus , les pro-sénat , les pro-modification de l’article 37 , les pro-référendum ne pensent qu’à leur garde-manger . On pourrait , pendant qu’il y sont , organiser un référendum pour savoir si les agents de l’Etat doivent aller à la retraite et leur accorder un bail . Ça aurait de la gueule , non ?

  • Le 27 février 2014 à 08:28, par Francis En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Cet article est intéressant. Il jette toute la lumière sur le lenga de deux ans demandé par Blaise. 2 ans = 2017 = 2 ans de blocage politique sur le dossier Norbert Zongo. Fin de tracas pour François et toute la famille peut espérer dormir tranquillement ou presque ! Il ne faut pas oublier d’autres ressorts prévus par la législation internationale. Norbert Zongo a été un grand combatant de la liberté, de notre liberté. Il s’est sacrifié. Faudrait-il que nous le tuons une seconde fois ?

  • Le 27 février 2014 à 08:31, par A mon humble avis En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Monsieur LY, à mon humble avis vous devriez écrire " dernière cartouche de Blaise COMPAORE" avec à la fin un point d’interrogation (?). C’est une faute d’hortographe qui risque de vous décrédibiliser aux yeux de l’opinion nationale et internationale..

  • Le 27 février 2014 à 10:10, par Le Sage. En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    M. GROSSO, il me semble que vous ignorez parfaitement, certainement de bonne foi, les termes de notre CONSTITUTION pour trois raisons :

    - 1. L’article 37 dit qu’après 2 mandats, on ne peut plus se représenter à la Présidence du Faso. Donc en l’état de ce texte clair net et précis, notre Frère, Ami et Président Blaise COMPAORE ne peut plus se présenter en 2015 sauf à laisser passer un tour et revenir en 2020. C’est aussi simple que ça.

    - 2. L’article 49 donne certes le pouvoir au Président du Faso de recourir au Référendum en cas d’opposition sur un sujet. Mais cela suppose qu’un débat à l’Assemblée Nationale ait eu lieu et ayant abouti à ce désaccord. En l’espèce, ce débat n’a jamais eu lieu au Parlement. Donc, le Président du Faso ne peut pas recourir au Référendum. C’est encore aussi simple que ça.

    - 3. Au plan des règles communautaires internationales, l’article 23 alinéa 5 de la Charte Africaine et l’Article 1 C du Traité de la CDEAO interdisent formellement le recours au référendum qui viserait à empêcher l’alternance. Comme les textes internationaux ratifiés par notre pays sont au-dessus des textes internes, la combinaison de l’article 37 de notre CONSTITUTION et des articles 23 alinéa 5 de la Charte Africaine et 1 C du Traité de la CDEAO interdisent formellement le recours au Référendum dans notre pays.

    - Conclusion : Le recours au Référendum est juridiquement illégal et les conseillers du Président du Faso doivent l’y instruire et lui suggérer d’user de la voie des Médiateurs pour sortir de cette pseudo crise. Il suffit de respecter les textes (Article 37, article 49 de notre Constitution, Article 23 Alinéa 5 de la Charte Africaine et 1 C du Traité instituant la CEDEAO) pour préserver la paix dans notre pays. Toutes autres solutions sont irrémédiablement illusoires et je ne souhaite pas que notre Président termine comme Kadhafi, Tandja, Ben Ali, Mobutu, Moubarack... car ceux qui disent que "le Président n’a pas bien travaillé n’ont pas peur de Dieu" ZAMPOU.

  • Le 27 février 2014 à 10:20, par Bangda En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Merci pour cet éclairage, Le Sage. J’ajoute, de façon individuelle ou collective, qu’est-ce que la majorité des burkinabè a gagné pendant 28 ans de règne du Président Blaise COMPAORE ? Personnellement, je n’ai rien contre le Président Blaise COMPAORE et son épouse. En revanche, j’ai de nombreux reproches à faire à son entourage (Alain YODA, François COMPAORE, Naboho KANIDOUA, Léonard COMPAORE, Assimi KOUANDA et tous les autres sous-fifres comme Justin KOUTABA, le mal coseur). Cette question de l’opportunité du recours au référendum mérite qu’une telle initiative ne soit pas prise par le Président. Prendre le risque d’un Référendum, c’est aller à la honte car il n’est pas sûr que le Président Blaise COMPAORE passera haut la main. En cas d’échec du Référendum, le Président doit-il immédiatement démissionner ? Autant de questions qui mériteraient que les textes cités à l’interne ou à l’international soient purement et simplement respectés pour la paix. C’est quand même plus facile. Bangda.

  • Le 27 février 2014 à 11:08 En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Peuple du Burkina Faso, nous avons suffisamment débattu, nous abordons maintenant le dernier virage à savoir une dernière marche pour tout conclure et laisser les Burkinabés penser au développement.

  • Le 27 février 2014 à 11:15 En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Mahmoud Ahmaddine Nedjad a eu et a toujours des projets gigantesques pour son pays, mais, il a rendu le tablier. Lula Da Silva, avait l’aval de son peuple pour modifier la constitution et briguer un troisième mandat, mais , de son propre gré, il a refusé. Et une femme est à la tête du géant Brésil actuellement. Plus proche de chez nous, des présidents en exercice ramènent la durée du mandat de 7 à 5 ans, renouvelable une et une seule fois. Les Mossi disent qu’il faut toujours copier le bon caractère de ton ami et non le mauvais. Alors, soyons justes envers nous mêmes. A bon entendeur,........

  • Le 27 février 2014 à 13:06, par sebgo En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    il y a plusieurs tribunaux dans la vie. le tribunal des hommes, le tribunal de la conscience, le tribunal divin... on ne peux pas échapper à tous les tribunaux.Joseph Ki Zerbo.la mère de norbert ajoutait ceci : Dieu jugera. Tout se paie sur terre tôt ou tard.

  • Le 27 février 2014 à 13:30, par Tenga En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Le référendum c’est bien, mais il règle seulement une partie du problème, celui qui permet au président en exercice de se représenter. Mais il ne résout pas les problèmes des craintes du régime. On a beau eu la journée de pardon, on a beau voté des lois d’amnistie, on ne peut pas dire que les burkinabé ont été réconciliés avec eux-mêmes. Cette réconciliation a été évacuée et on a mis des choses en avant pour juste gagner du temps, et voilà que ce même temps refait surface. N’est-il pas opportun maintenant d’aller vers une initiative vérité-justice-réconciliation pour permettre à tous les burkinabé de se parler et de se pardonner et avancer ? Autrement les ruses ne tiendront pas longtemps. Nous risquons d’avoir des procès à titre posthume dans ce pays si on ne se pardonne pas. Avouons que lorsque quelqu’un mise sur le temps ou sur la mort pour échapper à la justice et la vérité, c’est assez préoccupant. soyons assez forts et sages pour nous surpasser et dépassionner le débat.

  • Le 27 février 2014 à 14:31, par Figo En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Voici où se trouve l’intérêt de procéder au référendum : permettre aux sieurs Grosso, KOMI et tous les autres parasites qui profitent de ce régime de bouffer lors de la campagne. Sinon, je ne comprends pas qu’un burkinabè qui aime son pays et ses habitants puisse lier leur survie à celui d’un seul homme. Laissez votre champion se reposer et revenir en 2020. S’il force et réussit, je vois mal comment il pourra inspirer le respect et le respect des lois à notre jeunesse.

  • Le 27 février 2014 à 14:46, par Zas En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    C’est quelle médiation Jean Baptiste veut faire ici. Il n’a qu’à arrêter d’amuser la galérie.
    Qu’il rappelle simplement à Blaise les conclusions auxquelles lui et les autres étaient arrivés lors de la fameuse journée du pardon.
    A Jean Baptiste de se demander si Blaise a respecter ses engagements.
    Si Jean Baptiste avait un peu de respect pour le peuple Burkinabé, il se serait tenu à l’écart de cette médiation.

  • Le 27 février 2014 à 16:19 En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Laissez-ca !BC va partir car le peuple a déjà rendu l’article 37 non modifiable.en 2016 après le clan BC,on connaitra la vrai quantité d’or extraite au faso,combien en manque et où vont cès ressources.dites-moi si kelk1 est mieu renseigné,à kel niveau se trouve les discussions gouvernemt syndicat ?on s’impatiente.

  • Le 27 février 2014 à 17:35, par Le Roi des Rois En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Bjr le BLAISO ; vous savez une chose ? Il est mieu de laiser BLAISE quité le pouvoir pour bien se reposer sinon il risque de mourir a cause des degas commis par son petit frère FRANCOIS. Et si toute fois il meure au pouvoir nous allons subir les mèmes évemmment de crises. Le PRESIDENT soufre.

  • Le 27 février 2014 à 18:14, par dem serge florentin En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    Dans la vie d’un homme il faut s’arrêter et faire face à son destin quelque soit les conditions ;il faut avoir le courage d’assumer ces responsabilité.Chaque chose à une fin. MONSIEUR BLAISE vous êtes a la fin de vos pouvoirs

  • Le 27 février 2014 à 20:41, par KONAN En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

    quand j’entend dire que la médiation des sages c’est la dernière cartouche de BLAISE COMPAORE ça me fait rire car le peuple burkinabé a toujours besion de BLAISE COMPAORE pour un burkina émergent.AVEC le président compaoré le burkina a connu une vraie évolution sur beaucoup de plan surtout le coté de la paix

    • Le 1er mars 2014 à 12:50, par GBS En réponse à : Médiation des « sages » : La dernière cartouche de Blaise Compaoré

      Une évolution surtout au niveau de la famille présidentielle et de leurs amis. Quand tu parles d’émergence, je ris . Va chercher et donne les conditions et performances minimales pour prétendre à l’émergence. On n’est pas au rendez-vous de 2015 sur aucun OMD. Vas comprendre.
      Sur la paix. Je te dis non. C’est le peuple qui a fait bcp de compromis dans ce sens. Ce n’est nullement des efforts de Blaise. Il n’a jamais été un homme de paix. Il a l’occasion de nous le prouver. S’il est soucieux de la paix et ce pays qu’il dégage et nous foute la paix qui nous est très chère. Nous ne sommes à l’aube, réveillez vous avant qu’il ne soit midi.