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Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

jeudi 5 décembre 2013.

 

Suite à la remise officielle du rapport 2012 de l’A utorité supérieure de contrôle d’Etat (ASCE) au Chef de l’Etat le 3 décembre 2013, les responsables de l’institution avec à leur tête l’inspecteur général d’Etat, Bruno Henri Bessin, ont animé une conférence de presse explicative. La rencontre s’est tenue le 4 décembre 2013 dans les locaux de l’ASCE.

Dans sa déclaration liminaire, le Contrôleur général d’Etat note qu’il s’agit du cinquième rapport au président du Faso ; et qui donne un éclairage sur le fonctionnement de l’administration publique burkinabè ;

C’est donc un « moment important de la vie de l’ASCE » et un exemple de redevabilité selon l’orateur du jour. En termes de contenu il ressort selon le conférencier, une hausse des missions effectuées en 2012 par rapport à l’année dernière ; passant ainsi à près de 600 missions effectuées ; soit plus de 20 % en plus et qui font ressortir des irrégularités dans la chaîne de passation des marchés publics ainsi que des cas de malversations.

Une vingtaine de ministères, des ambassades, des programmes de distributions de vivres ont ainsi été passés à la loupe ; les irrégularités constatées ont fait l’objet de recommandations comme de coutume. Quant aux cas de malversations financières, elles feront l’objet d’une action en justice conformément aux méthodes de travail qui encadrent l’action du contrôle d’Etat ; mais précise son premier responsable , sa structure n’a pas le pouvoir de se substituer à la justice dès lors que les dossiers lui sont transmis ; tout au plus peut-elle suivre l’évolution de ces dits dossiers ; à ce niveau, l’on rassure pourtant qu’aucun dossier ne dort dans les tiroirs de l’ASCE qui met tout en œuvre pour assumer sa part de responsabilité selon ses dirigeants.

Manier la carotte et le bâton


Répondant par la suite aux questions des journalistes, le CGE estime que « l’essentiel, c’est que les choses évoluent dans le sens souhaité ».

Et que devient donc la liste exigée par le premier ministre TIAO à propos des mauvais gestionnaires ? Il n’y a rien à cacher estime HBB. Qui assure que le document a été transmis à qui de droit et même que certaines personnes concernées ont commencé à rembourser les sommes dues tandis que pour les autres, les dossiers ont été transmis à la justice ; pour autant la prudence est prônée par les contrôleurs qui estiment qu’en la matière il s’agit de questions sensibles pour lesquelles il faut parfois s’entourer de toutes les garanties avant d’entamer une procédure. Aussi bien sur le plan administratif que judiciaire ; du reste et foi de Bruno BESSIN, tous les dossiers déjà transmis à la justice ont été commis à des cabinets de juges d’instruction. Mais dans l’ensemble il ressort que le principe des contrôles est bien compris et accepté sur le terrain.

Juvénal SOME

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Vos commentaires

  • Le 4 décembre 2013 à 16:45, par Raso En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    Une autre rapport dans les tiroirs comme les précédants...

  • Le 4 décembre 2013 à 17:26, par verite no 1 En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    Si je comprend bien L’ASCE fait correctement son travail et transmet les dossiers, ou se trouve alors le blocage ? Notre justice est tout simplement suspecte et ne fait pas son travail.

  • Le 4 décembre 2013 à 18:10, par Tapsoba®(de H) En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    Sacré Burkina de ...B.C où être accusé de malversation ne serait-elle pas un crime passible de peine prévue par la loi ? Vous remboursez si vous êtes épinglé ’,disposez de moyens(peu importe la source de ces moyens qui vous pemettraient de rembourser et pourquoi avoir confondu vos fonds propres à ceux du contribuable) et acceptez ce« deal ».Et si vous ne remplissez aucune de ces conditions,ou n êtes pas convaincu de votre culpabilité,c est à ce moment qu une procédure judiciaire serait engagée contre vous ? Qu avant d engager cette procédure ,il faudrait des garanties ? Lesquelles ? Que le juge ne concluerait son dossier par un non lieu ? En quoi un non lieu serait-il dangereux ? Que l Etat accusateur n est il pas aussi convaincu de son accusation qu il ne la laisse penser ?Et si danger il y a,pour qui ? À l Etat qui aurait soupçonné un(e)de ses gestionnaires qui s est avéré faux ? Est-il interdit à un citoyen de poursuivre son propre Etat pour réclamer des réparations ? Pécuniaires s il le faut ? Quelles preuves contre ceux qui acceptent rembourser(convaincus de leur tord ?) ou le font-ils parce qu ils disposeraient tout simplement de moyens ? A-t-on eu des garanties que ces derniers sont vraiment coupables ? Ou ceux contre qui les procedures seront engagées ont ils été accusés sans preuves ?

  • Le 4 décembre 2013 à 18:30, par El Hadj YANOGO En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    Merci pour le travail abattu. Il faut surtout traquer ceux qui confondent vie administrative et vie privée. Ils doivent répondre de leurs actes ! Notre Leader bien Aimé, Son Excellence Monsieur Blaise COMPAORE, Président du Faso, Chef de l’Etat, Chef Suprême des Armées, Président du conseil des ministres, Premier Magistrat et garant de l’unité nationale en apportant la démocratie dans ce pays, veut nous tirer vers les sommets de l’émergence. Il n’est pas acceptable que des gens, à cause de leur position quelconque viennent à saboter Ses immenses efforts. Halte à la mal-gouvernance administrative, halte aux détournements crapuleux, Oui à la continuité avec Notre Leader Bien Aimé Son Excellence Monsieur Blaise COMPAORE, jamais égalé au Faso et, en Afrique !

  • Le 4 décembre 2013 à 18:32, par Blaise En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    Des rapports sans suite. Arrêter de divertir le peuple. Pourquoi avec la cour des comptes, on avait des noms et au niveau de l’ASCE c’est le silence radio. Sans communication adéquate, le peuple ne peut pas vous croire.

  • Le 4 décembre 2013 à 19:42, par L’Oeil En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    Il est cas même bizarre que dans un état qui se veut de droit que des grands commis de l’Etat sortent nous dire que ceux qui ont été épinglés par des précédents rapports sont entrain de rembourser donc , pas besoins de faire d’émules la dessus.

    C’est comme , ce cher petit voleur de larcin ( poulet, mouton, tôle en piteux état ) remettait les objets volés pour être libre et ne plus être inquiéter. Mais pour qui ils nous prennent.

    Que la procureure générale , nous dise qu’aucun dossier ne lui été transmis donc , elle reste dans sont coin.. ; mais bon Dieu.

    La justice peut et doit s’auto saisir de ces dossiers. je ne suis pas juriste , mais un peu de bon sens cas même...

    L’Oeil...

  • Le 5 décembre 2013 à 08:07, par Achillo En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    Bonjour
    Ne déposez pas des rapports sans suite, le peuple a trop entendu des comédies. La bonne gouvernance passe impérativement la gestion des biens publics et d’une bonne justice. Le peuple a besoin des actes concrets comme l’ affaire Norbert ZONGO et le Jugement de GUIRO...

    NOUS JEUNES, AVONS BESOIN DE BONS MODÈLES DE POLITICIENS.

    QUE LE SEIGNEUR BÉNISSE ET AIDE TOUS LES BURKINABÉ. AMEN

    ACHILLE TAPSOBA LE BOBOLAIS

  • Le 5 décembre 2013 à 09:19, par Truman En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    Merci pour ces rapports, vous avez remplit votre part du contrat, ça s’arrête là, nous sommes maintenant aguerris, ça ne sera pas un rapport de trop en tout cas, il y’a toujours de la place dans le tiroir. Produisez vos rapports tant que vous pourrez. Le BF avance, malgré rapports, c’est le peuple qui ne sait pas dans quel sens, nos dirigeants eux le savent

  • Le 5 décembre 2013 à 09:36, par koudou En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    CEUX qui sont cites nont rien a craindre sur ce regime mais c.est pas grave on connait vos noms et en 2015 on verra bien !!!!

    • Le 5 décembre 2013 à 11:09, par diplomate En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

      Merci pour ce rapport. Que les voleurs rendent gorge sinon lorsque le Peuple se mettra debout...Ngaw !
      On tape su Paré or il parait qu un ambassadeur dans le pays de l’oncle Sam était dans le collimateur sans oublié une ancienne ministre de l’éducation devenue ambassadrice malgré tout... qu on lne mette plus les nom de fonctionnaire qui ont doublement perçu des frais de mission , il peuvent gerer avec le trésor et leur salaire pour le remboursement, mais les delit d’initié et autres gros detournement des en haut de en haut...Merci a M Bessin et son equipe...On attend les juges pour la suite...l’auto saisine ça n’existe pas dans le code penal au Faso ?

  • Le 5 décembre 2013 à 09:37, par dao En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    felicitation à l’institution avec à sa tête Mr. Bessin. le travail est de haute teneur !
    est-il possible de mettre sur le net les autres rapports ? cela permettrait au maximun de burkinabè de les consulter facilement, surtout ceux qui sont hors du Faso

  • Le 5 décembre 2013 à 09:39 En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    Mr BESSIN , DIT NOUS SI TU AS INSPECTE LA PRESIDENCE DU FASO AVEC LES MULTITUDES DE PROJECTS BUDGETIVORE QUI LUI EST RATTACHES.
    DE MEME QUE LE PREMIER MINISTERE.
    EN TANT QUE COMMIT DE L’ETAT JE SAIT BIEN QUE C’EST LABAS
    QUE SE TROUVE LE VRAI PROBLEME.

  • Le 5 décembre 2013 à 09:39, par dao En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    felicitation à l’institution avec à sa tête Mr. Bessin. le travail est de haute teneur !
    est-il possible de mettre sur le net les autres rapports ? cela permettrait au maximun de burkinabè de les consulter facilement, surtout ceux qui sont hors du Faso

  • Le 5 décembre 2013 à 09:41 En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    VOUS SERIEZ CHANCEUX SI LE RAPPORT EST MIS AU TIRROIR.
    A CERTAIN NIVEAU ON FAIT ENSEMBLANT DE CONFONDRE LE
    RAPPORT AVEC DU SIMPLE PAPERACE ET ON LE BRULE BRULE
    (AU FEU). POINT

  • Le 5 décembre 2013 à 09:44, par BAMS En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    A vrai dire cette institution n’a pas sa raison d’être. Sois elle fait mal son travail soit c’est la justice qui est corrompu. Et le dossier PARE l’ancien ambassadeur ? Les sous qu’il a volés étant MESS ? Supprimez nous cette institution. C’est mieux.

  • Le 5 décembre 2013 à 09:54, par Ib En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    blaise compaoré n’a jamais fait sanctionné quelqu’un pour malversations et il n’y a rien à attendre de ce rapport

  • Le 5 décembre 2013 à 10:59, par le temoin En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    C’était prévisible. Il suffit de voir l’acharnement des médecins à occuper le poste de médecin chef de district ou de directeur régional de la santé pour comprendre leur intentions inavouées. Les médecins ont personnalisé ces deux postes qui ne sont que des poste de coordination en réalité et qui peuvent bien être occupé par un administrateur, un pharmacien, un attaché de santé un dentiste pour peu que tous ce beau monde aient au moins un niveau bac+4, des notions de santé publique et une capacité managériale.En rappel : les dentistes et les pharmaciens ont occupé en son temps les postes de directeurs provinciaux de la santé (équivalent de MCD) et ça s’était bien passé. Les Burkinabè n’étaient pas plus malades qu’aujourd’hui. Mais les braves médecins pour écarter les autres disent qu’il faut être clinicien (donc médecin) pour occuper le poste de MCD pourtant le MCD dans un district est la personne qui évite le plus les malades. Dites-moi ou est l’objectif si l’intention n’était pas de confisquer le poste à des fins égoistes. Mieux le seul pote d’un MCD dans un district c’est le gestionnaire avec lequel ils va dealer la ligne "crédit délégué " de l’état car c’est la ligne budgétaire la plus importante, la plus bateau, la moins contrôlée et la plus facile à manger. Quand cette ligne tombe, le chantier du MCD et du gestionnaire évoluent.

  • Le 5 décembre 2013 à 11:15, par BAMS En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    A vrai dire cette institution n’a pas sa raison d’être. Sois elle fait mal son travail soit c’est la justice qui est corrompu. Et le dossier PARE l’ancien ambassadeur ? Les sous qu’il a volés étant MESS ? Supprimez nous cette institution. C’est mieux.

  • Le 5 décembre 2013 à 11:18, par Indjaba En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    Pour minimiser la corruption, il faut prendre des initiatives pour éviter les grosses dépenses en argent liquide. Pour les parcelles et tout autre bien immobilier par exemple, exiger dans les documents d’achats ou de transfert, un document bancaire ( copie de chèque, reçu de virement, reçu de transfert western ou money g ou telim etc, document de trésor et/ou de ses démembrement pour ceux qui n’ont pas de compte bancaire, autre preuve qui peut justifier une la liquidité etc etc). Il faut désormais des traces pour toutes transactions immobilières. Plus question pour un fonctionnaire ou un commerçant de payer une parcelle ou maison à 50 millions en argent liquide sans que ça ne tique les autorité. Ce n’est pas possible en France ou en Amérique pour parler comme Blaise. Ma proposition trouve sa justification dans le fait que plus de 85% des sous de la corruption vont dans l’immobilier et le foncier. s’il y’ avait ces traces, les enquêteurs pourraient demander une collaboration des institutions bancaires et se rendraient compte qu’un gestionnaire dans la même année où il est accusé de corruption a payé une parcelle de 10 millions sans atteindre 5 ans d’ancienneté avec un salaire de de 150000/mois. Suspect sérieux.

  • Le 5 décembre 2013 à 11:29, par Lakbé En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    Des mots rien que des mots. Je trouve que la justice ne fait pas son travail encore une fois au Burkina. Quand, il s’agit d’un voleur de mouton, il va en prison et doit payer une amende. Quand il s’agit d’un politicien, vous nous parler de remboursement. Il ne s’agit pas de rembourser par tranche ou quoi que ce soit. Quelqu’un qui vole un mouton empêche l’éleveur de se soigner ou de soigner ses enfants alors que quelqu’un qui vole des millions ou plus, empêche des millions de gens d’avoir accès à des services de santé et condamne plus d’une centaine à la mort ou à la souffrance. Alors pourquoi, celui qui vole le mouton va en prison et ce qui vole les millions ou des milliards remboursent seulement par tranches ce qu’il a volé. Leçon du jour sous la compaorose, si tu veux voler vole beaucoup, si on ne t’attrape pas tu vivras heureux et des gens souffriront à ta place, si l’ASCE t’attrape, tu pourras négocier un remboursement par tranches mais si tu as un ami bien placé, ne t’inquiète pas, le remboursement n’apparaît que sur papier et tu reçois une condamnation au remboursement de façade. Quelle est la logique de ces faits si l’objectif est de lutter contre la corruption qui mine nos vies et celles de nos proches ?

  • Le 5 décembre 2013 à 12:12, par Achillo En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    Bonjour
    Ne déposez pas des rapports sans suite, le peuple a trop entendu des comédies. La bonne gouvernance passe impérativement la gestion des biens publics et d’une bonne justice. Le peuple a besoin des actes concrets comme l’ affaire Norbert ZONGO et le Jugement de GUIRO...

    NOUS JEUNES, AVONS BESOIN DE BONS MODÈLES DE POLITICIENS.

    QUE LE SEIGNEUR BÉNISSE ET AIDE TOUS LES BURKINABÉ. AMEN

    ACHILLE TAPSOBA LE BOBOLAIS

  • Le 5 décembre 2013 à 13:59, par albnesta En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    Je vous encourage a contonuer le dieu tout puissant va gerer les cas impunis

  • Le 5 décembre 2013 à 14:26, par wende En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    il ya de cela un peu plus d’un an que LAT avait demandé de lui fournir les noms par ministère de ceux qui étaient cités dans le rapport 2011 comme auteurs de détournement de fonds publiques ;résultat : personne n’a été inquiété. voila encore un autre rapport qui épingle des gens ; que faire maintenant ? conclusion : avec ce régime il faut voler, détourner, corrompre il n’y aura rien.comme quoi l’émergence ce n’est pas avec Blaise.

  • Le 5 décembre 2013 à 14:37, par muslim En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    la question que je me pose est pourquoi le premier ministre veut-il une quelconque liste de gens qui auraient detournes ? est-il juge ou procureur ? pourquoi ne pas confier ces noms a la justice ? ou en somme nous avec le remboursement de la somme de plus de 2 milliard detourne selon le rapport precedent ?

  • Le 5 décembre 2013 à 16:38 En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    Il faut une autre mission sur l’Autorité supérieure de contrôle d’Etat

  • Le 10 décembre 2013 à 19:53, par Vérity En réponse à : Autorité supérieure de contrôle d’Etat : Explication de texte autour du rapport 2012

    Bravo à l observateur pour la publication du rapport de l À S C E. Seulement c est deplorable de ne pas preciser les periodes d investigation. Le cas du sourou par exemple concerne la période anterieure à la période à la gestion de l équipe actuelle. Le rapport tel que présenté comme ça pourrait porté à confusion et saper les efforts en cours . Courage à l À S C E.