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Moyens de contraception au Burkina Faso : espacer les naissances et jouir d’une sexualité saine.

lundi 17 juin 2013.

 

Aujourd’hui, beaucoup de couples adoptent un ou plusieurs moyens de contraception. Eviter les grossesses non désirées, les infections sexuellement transmissibles et le VIH/ sida et espacer les naissances, sont les raisons motrices qui expliquent l’option des couples. Quelques personnes rencontrées dans la ville de Ouagadougou donnent leur avis sur la question.

Au Burkina Faso, les moyens de contraception sont de plus en plus vulgarisés. En effet, avec un taux moyen de six enfants par femme, un nombre croissant de personnes infectées lors des rapports sexuels non protégés, des mesures préventives sont prises pour contrôler les naissances et protéger les couples. A cela s’ajoute l’avortement clandestin et ses conséquences tragiques.

Pour cela, l’Etat burkinabé et les différents acteurs intervenant dans le domaine de la santé sexuelle et de la reproduction consentent des efforts pour sensibiliser les populations à l’usage des moyens de contraception. Aussi rendent-ils ces moyens disponibles et accessibles à l’immense majorité des populations.

Les moyens de contraception disponibles au Burkina Faso.

Les centres de santé du Burkina disposent d’une gamme variée de moyens de contraception. Il y a la contraception orale (pilules), les injectables, les implants, le dispositif intra-utérin (DIU), les préservatifs (féminins et masculins) et la contraception chirurgicale permanente (vasectomie, ligature des trompes).

Comment se fait la prescription des moyens de contraception ?

Kadidia Diallo, sage-femme et responsable de la clinique de l’ABBEF (Association burkinabé pour le bien-être familial) affirme : « Quand une femme s’adresse à nous dans le cadre de la planification familiale, nous avons l’obligation de lui donner les informations sur toutes les méthodes dont nous disposons et sur celles qui ne sont pas disponibles à notre niveau.

C’est à la femme de faire son choix. Dès qu’elle le fait, nous revenons sur le moyen choisi avec plus de détails sur les effets secondaires, le mode d’action (comment le moyen intervient dans l’organisme pour empêcher la grossesse)…

Nous insistons sur ces éléments pour que la femme comprenne et sache à quoi s’en tenir. Cela évite les abandons en cours de route. Nous sommes à la disposition des femmes et ce sont elles seules qui choisissent. Nous ne les influençons pas ».

Les moyens de contraception les plus utilisés dans les centres de santé de la ville de Ouagadougou.

Les moyens les plus utilisés sont les implants et les injectables. Les femmes justifient leur choix par le fait que ces moyens soient discrets et périodiques. Elles ne sont pas obligées de les prendre au quotidien comme la pilule par exemple.

Les implants ont une durée de cinq ans minimum et les injections quant à elles, se font tous les deux ou trois mois. Donc, les femmes les trouvent pratiques.

« J’ai commencé la contraception avec la pilule pendant deux mois. J’oubliais d’en prendre régulièrement. Je suis repartie voir la sage femme pour qu’on me place un norplant (marque d’un implant) » explique Mme Zongo née Rouamba Anne Marie, ménagère.

Viennent ensuite les pilules et le DIU. Les réticences envers ces deux méthodes sont dues à la périodicité. La prise de la pilule est quotidienne et doit se faire presqu’aux mêmes heures.

Le DIU dure douze ans et certaines femmes croient qu’il est abortif. Ce n’est pourtant pas le cas, précise Mme Diallo.

Le DIU est fait à base de cuivre et son emplacement empêche les spermatozoïdes d’aller à la rencontre des ovules, poursuit-elle. Kadidia Diallo conclut qu’il n’y a donc pas de possibilité de tomber enceinte.

Couples et contraception.

Bon nombre de couples aujourd’hui échangent sur la contraception dans leur famille avant de s’adresser à un centre de santé. De plus en plus d’hommes s’adressent aux professionnels de santé avec leur conjointe.

Ensemble, monsieur et madame après avoir écouté les informations relatives aux moyens de contraception, décident ensemble du moyen qui leur convient.

Kaboré Tahirou, étudiant à l’université de Ouagadougou intervient à ce propos : « Ma copine et moi avons opté pour le Jadel (marque d’implant). Nous sommes tous deux étudiants et ne disposons pas de moyens pour nous occuper d’un enfant. Nous prenons donc nos précautions ».

Selon Innocent Zangré, fonctionnaire, « pour éviter les surprises désagréables, ma femme et moi avons été dans un centre de santé choisir la pilule qu’elle trouve pratique. Nous nous organisons mieux ainsi ».

Malgré les avancées notables sur la vulgarisation des moyens de contraception, force est de constater que dans certaines zones du Burkina, ils ne sont pas disponibles.

Cette indisponibilité résulte de plusieurs facteurs comme la méconnaissance, l’ignorance, l’éloignement des centres de santé… Au regard de l’importance des moyens de contraception sur la santé sexuelle, il apparaît urgent de travailler à changer les mentalités, à faire évoluer les choses pour une sexualité saine.

Patindé Amandine Konditamdé

Lefaso.net



Vos commentaires

  • Le 17 juin 2013 à 14:14, par Alexio En réponse à : Moyens de contraception au Burkina Faso : espacer les naissances et jouir d’une sexualité saine.

    A cette allure la ,comment le Faso va s en sortir avec une demographie alarmante. Six enfants a la moyenne est trop pour un pays påuvre comme le notre. Le gouvernement du Burkina-Faso devrait instaurer des restrictions dans son planing famillial med trois enfant a la moyenne,car rien ne ser d avoir de mettre des enfants au monde sans pouvoir autant couvrir leurs besoins de base. La delinquance juvenile est un barometre assujeti a ce phenomene sosiale. La fuite de la responsabilite familliale qui a engendrer toute cette crise du au manque d une vie decente en famille avec un nombre plethorique des bouches a nourrir.

    • Le 17 juin 2013 à 17:00 En réponse à : Moyens de contraception au Burkina Faso : espacer les naissances et jouir d’une sexualité saine.

      Tout ca ce sont des histoires de Blancs,

      Kanazoe a fait beaucoup d’enfants, cela ne l’a pas empeche d etre beni ainsi que tous les enfants qui sont tous millionnaires. Le nombre eleve d enfants est une benediction et n empeche personne de devenir riche

      • Le 17 juin 2013 à 18:59, par Laafi En réponse à : Moyens de contraception au Burkina Faso : espacer les naissances et jouir d’une sexualité saine.

        J’espère au moins que vous avez fait l’école au lieu de débiter de telles stupidités. C’est vrai que l’irresponsabilité est une norme pour vous. Vous parlez d’un cas exceptionnel qu’est Kanazoé. Mais voyez vous le nombre de fillettes de 10 ans avec des assiettes sur la tête dans les rues de Ouaga à 22h. Ne trouvez vous pas cela scandaleux ? J’ai toujours dit à mon entourage ’’aucun enfant ne vous demande à naître. Si vous faites des enfants, vous devez être en mesure de leur assurer certaines choses.’’
        Adapter les enfants à ses moyens est une chose logique pour toute personne sensée. On ne fait pas des enfants et on fuit ou on leur dit de se débrouiller. Il faudra vraiment que les gens apprennent à assumer leurs actes. Après, vous accusez le gouvernement d’être à l’origine de tous vos malheurs. Bien que je ne défende pas ce gouvernement, je me demande parfois comment ils font.Une démographie galopante avec de faibles recettes budgétaires. Une fois, je discutais avec un ami de classe qui a abandonné les études et il me parlait de la cherté de la vie à Ouaga. 3 mois plus tard, il me dit qu’il attend bientôt un enfant. Il est ou le bon sens d’une telle personne ? Après il va accuser tout le reste de la planète d’être à l’origine de ses malheurs.
        J’ai l’impression que certains sont restés avec des mentalités du 17e siècle

        • Le 18 juin 2013 à 10:00 En réponse à : Moyens de contraception au Burkina Faso : espacer les naissances et jouir d’une sexualité saine.

          « C’est vrai que l’irresponsabilité est une norme pour vous » Vous allez trop loin M. Vous n’avez pas le monopole de la vérité. Ne vous érigez surtout pas en donneur de leçon. Lorsque vous ne mettez pas de bémol dans vos affirmations et appréciations péremptoires, il va s’en dire qu’il suffirait d’un contre exemple pour faire crouler votre échafaudage. Ainsi dit, M. l’anonyme a bien raison de citer le contre exemple de Kanazoé. Mais sachez que la liste n’est pas close pour en faire une exception.
          En analysant vos propos et en émettant l’hypothèse que tes propres parents aient tenu le même raisonnement que vous, alors je serai presque certain que vous ne seriez pas venu au monde des vivants (…)
          Parlant des filles qui porteraient les assiettes …, je dirai que vous tirez très hâtivement vos conclusions. Je pourrai même aller plus loin que vous en parlant des mineurs qui se prostituent pour vous faire comprendre que cela en grande partie liée à l’éducation (la pauvreté n’empêchant pas la perte de dignité). Et parlant également de pauvreté qui se manifeste à travers les rues : ce n’est pas seulement l’apanage des pays comme le nôtre. Même dans les pays développés, on en trouve (les SDF, les clochards, ça ne vous dit rien ça ?). Dans le même ordre d’idée, où vous mettez la gouvernance économique ? la délinquance aux cols blancs, la corruption à outrance, la dilapidation des fonds à des fins électoralistes, la politique sociale presque lamentable, … enfin la répartition inéquitable des fruits de la croissance ou du moins de la richesse. Combien de multimillionnaires ou milliardaires compte le Burkina parmi le cercle des dirigeants ou du pouvoir ? (des agents qui roulaient par exemple à motocyclette à des périodes pas lointaines). Dieu seul sait, et le préjudice causé à la population qu’on a spolié et qu’on a sciemment maintenu dans l’analphabétisme et l’obscurantisme aux fins de manipulations électoralistes (bon bétail électoral). Je crie donc mon indignation car le problème d’enfants que vous évoquez n’ont en réalités leur source ailleurs, et ne nous en prenons pas aveuglement à nos parents analphabètes qui ont leur logique que vous ne pourriez pas forcément comprendre à travers le prisme de l’occidental pour ne pas dire du malthusianiste.
          Dites à vos gouvernants de mettre d’abord l’accent sur la scolarisation de tous les enfants ayant l’âge d’aller à l’école comme le prévoit une loi d’ailleurs (scolarisation jusqu’à 16ans). (vouloir c’est pouvoir). C’est une œuvre de longue haleine mais les résultants sont certains à long termes et n’accusons pas de façon indécente la population pour des questions de développement économique sous-prétexte qu’elle ferrait beaucoup d’enfants.
          Donnons-nous des conseils mais ne nous n’érigeons pas en donneurs de leçon.
          Cordialement à vous.

          • Le 18 juin 2013 à 15:09, par laafi En réponse à : Moyens de contraception au Burkina Faso : espacer les naissances et jouir d’une sexualité saine.

            Aucun d’excuses pour le bas peuple qui est l’éternel victime. Autant d’accusations du gouvernement qui est le grand loup. Mao vous dirait que l’on ne peut pas toujours tout expliquer. A situation radicale, solution radicale. Même Mme Tatcher l’a compris.
            Me concernant, mes parents m’auraient mis au monde car ils ont les moyens pour 2 à trois enfants. Et qu’est ce que ca me changerait si j’étais pas né ? Par contre, je connais beaucoup d’enfants qui auraient préféré ne pas naïtre vu leur situation.
            Parlant de clochards en Occident, il faut admettre qu’il n’ya pas de système parfaits. Entre les fauchés de la vie et ceux qui n’en touchent pas une, il yaura des SDF.
            Allez donc dire à ceux qui ont imposé l’enfant unique en Chine qu’ils n’ont pas le monopole de la vérité. Peut être a t-il fait référence à Malthus mais la Chine est une grande nation respectée dans les 4 coins du monde. Pour le Burkina, il faudra attendre. Nous ferons du Burkina un endroit ou il fait bon vivre quand nous prendrons les mesures nécessaires.
            Vous pourrez aussi dire à Napoléon qu’il n’avait pas le monopole de la vérité vu qu’il a imposé l’école à tout le monde. C’est vrai que les peuples de l’époque vivaient bien dans l’ignorance et la misère...

            • Le 18 juin 2013 à 17:46 En réponse à : Moyens de contraception au Burkina Faso : espacer les naissances et jouir d’une sexualité saine.

              Parlant de Margaret Tatcher, vous croyez bien que c’est un exemple à nous citer ? Elle décédée à l’âge de 88 ans, et même à cet âge ses admirateurs se comptaient au bout des doigts pour exagérer. Durant son parcours…jusqu’à sa disparition sur terre, elle a réussi à faire l’unanimité autour d’elle par rapport à l’animosité que lui vouaient presque tout le monde pour ne pas dire que tout le monde était son contempteur (rappelez-vous son sobriquet « dame de fer et non dame de cœur ».)

              La chine est le pays le plus peuplé au monde avec une population de plus d’un milliard 300 millions d’habitants avec une superficie de 9,5 millions de km² soit une densité moyenne d’environ 136 hab/km². Faites le calcul pour le Burkina et en supposant une croissance moyenne annuelle d’environ 3%, donnez en terme d’estimation ceteris paribus, le nombre d’année en moyenne pour atteindre la densité moyenne de la population chinoise. Tirez en vous-même des conclusions après une réflexion soutenue. Fermons cette parenthèse et au passage je dirai que dans le monde entier, seule la chine est arrivée à cette extrémité pour plusieurs raisons (sujet à caution) sur lesquelles je ne m’attarderai pas. Une hirondelle ne faisant pas le printemps tirez ne vous même la conclusion.

              « Vous insinuez que vous concernant, vos parents vous auraient mis au monde car ils ont les moyens pour 2 à trois enfants » : en vous lisant je devine déjà votre âge (tout au moins la trentaine) étant donné que vous avez quitté l’université il y de cela belle lurette, et vous savez pourquoi je le dis ainsi (question de temps passé sur le net, et de centre d’intérêt et j’en passe). Et vous n’êtes pas du tout crédible pour deux raisons : vous avez voulu me donnez une réponse politiquement correcte et non véridique car votre souhait est pour tout couple d’avoir deux ou trois enfants (moi je n’ai pas honte de dire que mes parents sont des paysans…). Et cela pour justifier vos propos malveillants à l’égard de ceux qui ne partagent pas votre vision. Peut être également que « vous mangez dans ça » pour parlez vulgairement. Je comprends alors donc ce qui vous motive…Enfin lorsque vous vous posez la question à savoir « Et qu’est ce que ça me changerait si j’étais pas né ? » ma réponse pourrait être tout un article de journal car cela m’amène à glisser sur le terrain philosophique pour lequel nos points de vue ne coïncideront jamais (très tranchés donc) et je préfère ne pas vous répondre pour ce que je pense de vous…impossible de réveiller quelqu’un qui ne dort pas. Ma réaction s’arrête là qq soit ce que vous direz de moi. Bye.

        • Le 18 juin 2013 à 10:36, par yvos En réponse à : Moyens de contraception au Burkina Faso : espacer les naissances et jouir d’une sexualité saine.

          Entièrement d’accord avec vous Laafi !!!!!Je ne vais pas répéter vos propos. J’ai toujours discuté de la sorte avec mon entourage.J’ai constaté que certains ont changé et arrivent à assurer le minimum au peu d’enfants qu’ils ont mis au monde. Je lance un appel à tous ceux qui ont un minimum de bon sens, que dès que la moindre occasion se présente, qu’ils essaient de le mettre au service de leur entourage pour l’amélioration des conditions de vie. Je pense que tout le monde peut changer positivement le monde autour de soi à condition que l’on soit habile dans la façon de transmettre, d’informer, d’aborder, de discuter, d’éduquer, de sensibiliser...

    • Le 18 juin 2013 à 00:04 En réponse à : Moyens de contraception au Burkina Faso : espacer les naissances et jouir d’une sexualité saine.

      arrete de délirer avec tes faux chiffres. la chine taiwan a une superficie de 36188 km2 et une population de plus de 23 millions,est ce à dire que chaque taiwiaise a 10 ou 15 enfants en moyenne ? voilà un pays qui a une population moindre et une superficie 8 fois plus que taiwan mais malgré on se plaint. le burkina est sous peuplé er arretez avec xes histoires de planning pour arnaquer la populatuin. tchurrrrrrrrr

  • Le 17 juin 2013 à 14:59, par LE CONTE En réponse à : Moyens de contraception au Burkina Faso : espacer les naissances et jouir d’une sexualité saine.

    C’EST BIEN DE VULGARISER CES MOYENS. MAIS IL FAUT AUSSI ACCOMPAGNER LES UTILISATRICES QUI SUBISSENT LES EFFORTS SECONDAIRES. MA FEMME A UTILISE LE D.I.U MAIS APRÈS LE RETRAIT DEPUIS 2 ANS MAINTENANT ELLE N’EST TOUJOURS PAS TOMBER ENCEINTE.
    LES EXAMENS SONT FAITS ET LES PRODUITS SONT PRIS ET TJRS RIEN.
    SES EXAMENS ET LES MIENS NE RÉVÈLENT AUCUNE ANOMALIE . ET ON ASSURE A CHAQUE ENTRETIEN QUE LE MOYEN UTILISE NE PRÉSENTE PAS D’EFFETS SECONDAIRES.
    J ’HÉSITERAI DONC A CONSEILLER LA CONTRACEPTION A BASE DE PRODUITS CHIMIQUES A QUELQU’UN D’AUTRE.

  • Le 18 juin 2013 à 09:44, par Joconde En réponse à : Moyens de contraception au Burkina Faso : espacer les naissances et jouir d’une sexualité saine.

    Moi j’apporte un témoignage le DIU n’est pas mauvais parce que je l’ai porter pendant 2 ans sans avoir un problème de santé et quand j’ai décidé de faire mon second bébé j’ai été surprise d’être enceinte un mois après le retrait. Contrairement aux autres méthodes(pilule, injectable, implant) je n’ai constaté aucun effet secondaire, même pas une prise de poids.

  • Le 18 juin 2013 à 09:48, par Joconde En réponse à : Moyens de contraception au Burkina Faso : espacer les naissances et jouir d’une sexualité saine.

    Moi j’apporte un témoignage le DIU n’est pas mauvais parce que je l’ai porter pendant 2 ans sans avoir un problème de santé et quand j’ai décidé de faire mon second bébé j’ai été surprise d’être enceinte un mois après le retrait. Contrairement aux autres méthodes(pilule, injectable, implant) je n’ai constaté aucun effet secondaire, même pas une prise de poids.

  • Le 18 juin 2013 à 10:54 En réponse à : Moyens de contraception au Burkina Faso : espacer les naissances et jouir d’une sexualité saine.

    Mais pourkoi laissé les moyens traditionnels (medicaments africaine) qui est plus même je dirai efficace que tout celà. Moi en tout cas c’est ça jai opté et je vous assure sans consequence et tu tombera enceinte au moment choisi.

  • Le 18 juin 2013 à 12:30, par hop En réponse à : Moyens de contraception au Burkina Faso : espacer les naissances et jouir d’une sexualité saine.

    Toutes nos femmes sont artificielles ,leur beauté est importé de l’Europe dans leur corps coulent des hormones Européenne. mange et boit OGM c’est rare de trouver une femme naturelle .toutes des hybrides

  • Le 18 juin 2013 à 13:12 En réponse à : Moyens de contraception au Burkina Faso : espacer les naissances et jouir d’une sexualité saine.

    Effectivement quand on parle souvent de l’irresponsabilité de certains qui pondent des enfants pour obliger les autres à s’en occuper on vous traite de tous les noms d’oiseaux !! Comment voulez vous lutter contre la pauvreté si vous passer votre temps à poser des actes qui vous enfoncent davantage dans cette pauvreté..??Aucun enfant n’a demandé à naitre pour assumer les conséquences des actes irréfléchis de ses géniteurs alors de grâce avant d’assouvir vos pulsions bestiales assurez vous qu’il n’y aura pas de conséquences fâcheux derrière...En résumé il faut que vous appreniez à bosser au lieu de passer votre temps à baiser et à critiquer ce qui ne vous regarde pas !!!

  • Le 18 juin 2013 à 13:12 En réponse à : Moyens de contraception au Burkina Faso : espacer les naissances et jouir d’une sexualité saine.

    Effectivement quand on parle souvent de l’irresponsabilité de certains qui pondent des enfants pour obliger les autres à s’en occuper on vous traite de tous les noms d’oiseaux !! Comment voulez vous lutter contre la pauvreté si vous passer votre temps à poser des actes qui vous enfoncent davantage dans cette pauvreté..??Aucun enfant n’a demandé à naitre pour assumer les conséquences des actes irréfléchis de ses géniteurs alors de grâce avant d’assouvir vos pulsions bestiales assurez vous qu’il n’y aura pas de conséquences fâcheux derrière...En résumé il faut que vous appreniez à bosser au lieu de passer votre temps à baiser et à critiquer ce qui ne vous regarde pas !!!

    • Le 18 juin 2013 à 15:24 En réponse à : Moyens de contraception au Burkina Faso : espacer les naissances et jouir d’une sexualité saine.

      réfléchissez bien, mais il m’a tout l’air que vos propos s’adressent en premier lieu à vos propres géniteurs qui ne vous ont jamais appris un langage poli, et sachez bien qu’ils vous ont conçu dans ce "cafouillage" dont vous évoquez en supposant que vous avez au moins les trente ans (fils de paysan ou arrière fils de paysan). Commencez par eux d’abord qui ont failli à l’éducation de leurs enfants avant de vous adresser aux autres dans un langage ordurier en lambeau. Les burkinabè valent mieux que çà….

      • Le 18 juin 2013 à 17:32 En réponse à : Moyens de contraception au Burkina Faso : espacer les naissances et jouir d’une sexualité saine.

        @15H24 qui se sent morveux se mouche Par vos propos on sent que que vous avez l’habitude de demandez à d’autres d’assumer les conséquences de vos actes irréfléchis sinon vous ne vous offusqueriez pas tel une vierge effarouchée !!!
        Continuez d’être si irréfléchi votre avenir déjà assombri ne s’en portera que mieux Tchrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr

        • Le 19 juin 2013 à 08:13 En réponse à : Moyens de contraception au Burkina Faso : espacer les naissances et jouir d’une sexualité saine.

          Mon frère j’ai reçu une bonne éducation de la part de mes parents si bien que je ne permettrai pas de vous répondre (berger à la bergère). je ne tomberai pas si bas que vous mais sachez d’ores et déjà que les malédictions que vous proférez à mon égard constituent un coup d’épée dans l’eau. En effet, j’ai reçu la bénédiction de mes parents paysans si vous le voulez bien, et je rends grâce à Dieu le tout Puissant pour ce que je suis aujourd’hui. J’ai juste le minimum pour mener une vie décente sans verser dans le lèche-bottisme rampant comme nous l’apercevons souvent à travers certains hommes politiques ou pas, se sentant obligés de se prostituer intellectuellement pour mener une vie aux antipodes de leur statut social. L’un de mes crédos reste le don de soi, le partage de ce que j’ai de peu avec les autres ; pas besoin donc d’amasser de l’argent, encore moins de façon indue comme le font la plupart de nos dirigeants politiques véreux, insatiables qui se sont presque tous « guiroïsés » au détriment la population qui vivote depuis belle lurette et qui a fini par trancher la queue du diable…Pour finir, je te répéterai que je n’apprécie en aucun cas votre manière arrogante, suffisante, condescendante , insolente et malpolie de vous adresser à nos parents que l’occidental qualifie d’analphabète ou de paysan. A bon entendeur….