Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »S’il confirme avoir eu en sa possession de l’essence et un briquet lors de sa grève de la faim, l’assistant GSP (Garde de sécurité pénitentiaire), rejette l’information initiale selon laquelle il voulait s’immoler. S’insurgeant contre le gouvernement qu’il tient pour responsable de leurs conditions de vie et de travail, Hippolyte Bado a exigé la venue du Premier ministre, ou à défaut, du général Gilbert Diendéré, à qui il voulait exprimer son ras-le-bol. En tout cas, il aura été écouté par ce dernier le 6 avril 2013, jour même du déclenchement de son mouvement, à la MACO (Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou). Rencontré sur le même site ce dimanche 7 avril, il nous livre les fondements de son action. Lefaso.net : Pouvez-vous nous décrire un peu ce qui a failli se produire devant la MACO hier ? Hippolyte Bado (HB) : Dire que quelque chose a failli se passer hier, franchement, je ne sais pas. J’ai observé une grève de la faim ; mais dire que quelque chose allait se passer, je n’en sais rien. Ce qui m’avait motivé à faire la grève de la faim, ce sont les conditions de vie et de travail des GSP. C’est ce qui m’a amené hier à venir m’assoir devant la porte. Et j’ai demandé à voir soit le Premier ministre, soit le général Gilbert Diendéré (Chef d’Etat-major particulier du Président du Faso). On m’a fait savoir que le général était en déplacement à Koudougou. C’est vers les 21h qu’il est venu. Effectivement, on a échangé, et il est même allé jusque chez moi, pour connaître chez moi. Il m’a dit qu’ils feront de leur mieux. On a appris que vous avez voulu vous immoler. Vous confirmez ? HB : Je n’aime pas qu’on me parle de ça. Je ne sais même pourquoi on parle de ça. J’ai moi-même appris que certaines disaient que j’ai voulu m’immoler. Pourquoi ? Mais pourquoi on ne parle pas aussi de mes portables que j’avais sur moi ? J’avais également ma pièce d’identité, mes clefs, mais pourquoi les gens ne parlent pas de tout ça mais de l’essence ? L’essence que j’avais avec moi ne devait pas intéresser tant les gens ; c’était déposé et j’avais mon briquet. Je ne sais même pas pourquoi les gens parlent de ça. Quand on est en grève de la faim on ne doit rien posséder ? C’est à vous que je pose la question. On ne doit pas être en possession de quelque chose ? Je n’ai jamais dit à quelqu’un que je voulais brûler l’essence ; j’étais assis avec ça seulement. Je ne veux plus parler de ça. Mais qu’est-ce-qui justifie le fait que vous étiez en possession de l’essence à ce moment précis ? HB : Je vous ai dit que ne veux plus parler de ça. Si vous continuez de parler de ça, j’arrête. Même hier, des journalistes m’ont posé la question, je leur ai dit que je ne veux pas parler de ça. J’avais des choses en ma possession ; mais je ne comprends pas que ce soit l’essence qui intéresse les gens. Pouvez-vous revenir un peu en détail sur les raisons de votre mouvement ? HB : Il s’agit essentiellement des conditions de vie des GSP. Il n’y a pas un seul fonctionnaire au Burkina Faso qui a des horaires de travail aussi longs que les nôtres. Les samedi et dimanche, nous avons près de 700 visiteurs. Et chaque fois qu’on parle du grand banditisme, on loue le courage des autres corps, notamment la gendarmerie et la police. Or, tous ces délinquants sont conduits à la MACO pour y être gardés. Mais personne ne voit le travail des GSP dans tout ça. Est-ce-que en ville vous croisez des GSP en tenue ? En tout cas c’est rare. Ils ne peuvent se faire identifier comme les autres corps. Si vous aviez un frère GSP, c’est sûr que très souvent il viendrait vous demander de l’argent. Et ça, moi je ne comprends pas. Nous, nous ne sommes pas des Burkinabè ou quoi ? Ou bien les gens pensent que nous avons fauté en faisant le concours de la GSP ? Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus. Qu’on ne nous considère pas comme des détenus aussi, mais comme des fonctionnaires de l’Etat. Comment quelqu’un comme moi en catégorie C1 avec près de 10 ans de service et je suis obligé chaque de faire un découvert à la banque. Si la banque coupe ses crédits, je n’ai pas 50 000 F CFA à la fin du mois. Pourquoi cela ? Pendant ce temps, d’autres personnes dans d’autres corps, touchent le double de mon salaire. Je trouve que cela n’est pas normal. Soit nous sommes Burkinabè et nous avons le même traitement, soit nous ne sommes pas des Burkinabè. Dans le contexte de la mutinerie de 2011, j’ai entendu le Premier ministre dire que c’est seule la gendarmerie qui n’a pas manifesté ; ce n’est pas intéressant. Est-ce qu’en ce moment vous avez entendu qu’un GSP a brandi une arme quelque part ? Et le président du Faso a dit que ce que les autres corps auront, on va avoir aussi ; mais on a rien eu jusqu’à présent. Et quand on veut parler, on nous dit toujours de patienter. On ne peut plus continuer dans ce sens. La GSP peut aussi prendre des armes aujourd’hui pour se faire entendre, mais nous on se dit que la population burkinabè ne veut plus de ces genres de situation. C’est pourquoi, moi j’ai décidé de faire grève de la faim. Et au cas où je mourais, que le peuple burkinabè sache que c’est le gouvernement qui est à la base de ma mort. J’ai aussi remarqué que chaque fois qu’on arrête des bandits c’est vous les journalistes qu’on appelle pour venir animer des conférences de presse. Mais à la MACO, je n’ai jamais vu un journaliste venir un jour ouvrable pour savoir ce qui se passe chez nous. Et vous aussi, je vous accuse. C’est pour tout cela, que j’ai décidé de faire une grève de la faim. Pire, notre milieu de travail est invivable. Souvent, tu es assis en train de manger, et caca de détenu quitte là-haut et tombe à côté de toi. Vous croyez qu’on peut travailler dans un tel milieu ? Si le gouvernement pense qu’on n’a plus besoin de GSP, qu’on nous incorpore ailleurs, ou qu’on privatise le service et quelqu’un va mieux s’occuper de ça. Je suis d’accord qu’on mette tout en œuvre pour arrêter les délinquants ; mais je trouve important qu’on mette les moyens pour entretenir et le milieu où ils se trouvent en détention et ceux qui les gardent. Tu ne peux pas faire une bonne garde quand tu sais que ta famille est dans la faim. Et on est constamment sous les menaces des détenus. Peut-on dire que la cause des détenus aussi fonde votre combat ? HB : Les mots me manquent pour vous répondre par l’affirmative. C’est sûr que si nous, nous sommes à l’aise, les détenus le seront aussi. Quand j’ai parlé des déchets de détenus que nous recevons, c’est parce que les tuyauteries sont foutues. Notre lutte pourrait aboutir à la réparation de ces tuyauteries ; ce qui leur permettra d’être aussi à l’aise. Et souvent, certains parents de détenus se voient obligés d’attendre des heures sous le soleil pour pourvoir apporter de la nourriture à leur proche. Parfois, il y a des vieilles parmi. Si dans ces conditions quelqu’un tombe, on va dire que c’est du fait des GSP. Ces gens pensent que ce sont les GSP qui les mettent dans de telles situations, sans chercher à comprendre. Or, il suffirait qu’on leur construise un coin pour qu’ils s’asseyent en attendant leur tour. Peut-on en savoir sur l’essentiel des échanges qu’il y a eus entre le général Diendéré et vous ? HB : Ça c’est un truc entre lui et moi. Je vous ai dit qu’il a promis de grouiller pour que nous soyons dans les conditions ; c’est bon. Le reste là, laissez ça. Je ne peux rentrer dans les détails qui sont d’ordre militaire. Peut-on dire que vous êtes satisfait ? HB : Bon, en parole, oui d’abord. Mais comme il ne s’agit pas pour le général d’appuyer sur un bouton et automatiquement tout rentre dans l’ordre, je ne peux rien dire d’abord. Je vais attendre de voir ce que ça va donner. Tenez-vous encore à échanger avec le Premier ministre ? HB : J’avais dit que je voulais recevoir soit lui, soit le général. J’ai reçu le général, ça me suffit. Entretien réalisé par Fulbert Paré |
Vos commentaires
1. Le 7 avril 2013 à 18:46 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Ce petit gourounsi -la semble intelligent, hein. Mais cousin, essence et briquet ensemble, faut qu’ on en parle deh. C’est pas memee chose qu’avoir des cles et des portables sur soi. Ca ausi on a ca se dire la veritement.
Bambara Le Lion des Gourounsi
Le 8 avril 2013 à 10:17, par ANNAN En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Je vous ai dit que l’exemple de l’homme de FITSHA sera suivi par d’autres. Ah ! ça c’est le printemps du syndicalisme qui revêt une nouvelle forme de revendication. Le syndicalisme de masse a montré ses limites dans les luttes pour une meilleure condition de travail et de vie du travailleur ; donc plus de confiance au CGTB, SYNSHA, SYNTER, SYNATEB et autres.
VIVE LA GREVE DE LA FAIM AU BF
Le 8 avril 2013 à 17:06, par albertouedraogo En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
COMME LE PROBLEME DEVIENT UN DEBAT,JE CONSEILLE MR BADO H DE RENTRER AU VILLAGE ET DE SE FAIRE CONSEILLER PAR MR LAURENT BADO, PARCE QUE LES GENS N’AIMENT PAS LES GENS. MR SALIF ET MR CONSCIENTIEUX DOIVENT EGALEMENT VOIR MR LAURENT BADO POUR AVOIR DES NOTIONS SUR LA DEFINITION DE CORPS PARAMILITAIRE, DE MISSIONS ASSIGNEES ET DE JUSTICE SOCIALE
Le 9 avril 2013 à 11:30 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Monsieur Albert Ouédraogo, votre réponse est à côté de la plaque. Si vous ne pouvez pas compatir à la souffrance de M. BADO, il faut vous taire car si ce que l’on dit ne pèse pas plus lourd que le silence, il vaut mieux se taire.
La solution que vous proposez est celle que les gouvernants font actuellement. Au lieu de s’attaquer aux vrais problèmes, on fait de la distraction. En quoi retourner au village pour voir Laurent Bado peut-il constituer une solution aux problèmes de tout un corps qui souffre ? Répondez si vous avez quelque chose de mieux à dire. Sinon taisez-vous pour l’amour de Dieu.
Le 9 avril 2013 à 12:57 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Je ne connais pas ton nom, mais ce que tu dis est une vérité. Il fo reparer cette injustice evoquer par Mr Bado H. Je propose à l’Etat de mettre tous les corps Paramilitaire dans le meme sac. Comme ca ils laisserons leurs mesquineries pour s’occuper de notre securité. MERCI à toi
Le 8 avril 2013 à 11:58, par Vivi En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Je ne suis pas de la function publique, mais je pense qu’il ya possibilite de demissionner si on veut. Donc, Mr Bado, au lieu de te torturer, il faut demissionner et aller chercher mieux ailleurs.
Courage
Le 8 avril 2013 à 15:36, par albertouedraogo En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
A ce rythme tout le monde va demissionner ,alors comment ferons nous pour la securité dans la cité.??? Reflechi plus
Les cachots de la Police et de la Gendarmerie ne peuvent pas contenir plus de 500 prisonniers.
Le 8 avril 2013 à 22:52, par Gangnam En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Petit Bissa-là ! Depuis quand t’a t-on donné ce pouvoir d’apprécier la grandeur intellectuel de tes maîtres ? En plus de cela, c’est une tautologie de dire que le gourounsi est intelligent. Ne savais-tu pas que Gour-Oun-Si veut dire Homme-Plus-Intelligent ? Merci néanmoins pour le commentaire. Tu es un bon esclave qui cherche le meilleur d’une société moribonde au Burkina. Je demanderai à un meilleur Président du Faso de t’élever au grade de Chevalier de ...
2. Le 7 avril 2013 à 18:52 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
"Comment quelqu’un comme moi en catégorie C1 avec près de 10 ans de service et je suis obligé chaque de faire un découvert à la banque. Si la banque coupe ses crédits, je n’ai pas 50 000 F CFA à la fin du mois. Pourquoi cela ? Pendant ce temps, d’autres personnes dans d’autres corps, touchent le double de mon salaire. Je trouve que cela n’est pas normal. Soit nous sommes Burkinabè et nous avons le même traitement, soit nous ne sommes pas des Burkinabè".
Catégorie C c’est catégorie C, qu’on soit GSP, CRS, Forestier, Agent d’agriculture, Agent d’Elevage ou Douanier. Ce que tu racontes là est le lot de tous les agents de catégorie C. Si tu prends crédit, la banque va te couper. Et si la banque te coupe, il te restera moins de 50 000 F. Ceci étant, je comùpatis à votre situation. Si on arrange pour vous peut-être qu’on va arranger pour tout le monde. Bonne chance !
Le 7 avril 2013 à 20:13, par Tapsoba®(de H) En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
La lutte que mène ce mr est certes légitime ,mais les découverts auxquels il fait allusion pour justifier leur misère ne tient pas la route.Tout simplement parce que ces situations sont indépendantes de la situation salariale de chacun mais plutôt très dépendante de la gestion que tout salarié en fait.Quelqu un vous dira qu il s en sort avec moins de 50.000f mensuels sans avoir recours au découvert,d autres ne s en sortent pas avec 500.000f.Alors si l on doit tenir de tous ces aléas ,personne ne serait satisfaite.Du courage tout de meme !!
Le 8 avril 2013 à 11:42, par ZAK En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Comparaison n’est pas raison ! Les explications de ce monsieur tiennent tout à fait la route. Les découverts sont le lot de beaucoup de fonctionnaires parce que les salaires sont minables ; d’où des fins de mois difficile. D’autres ont trouvé la solution dans le racket, les détournements et autres.
Ce n’est pas qu’une question de gestion de son salaire, c’est surtout une question de coup et de renchérissement de la vie, à tout point de vue !
Le 9 avril 2013 à 10:35, par saala En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
La lutte doit être collective et non individuelle si telle était le cas d’autres allaient sortir avec des chars et le Gouvernement oubliera nous autres. Ce que ce monsieur a fait est un acte d’indiscipline et d’impolitesse.s’il n’est pas prêt à servir la nation il peut foutre le camp et aller dans les privés ou les sites d’orpaillages nous plus nombreux que la GSP nous qui touchons moins de 100000fr.je demande à ce qu’il soit rééduquer dans un de leur centre de rééducation.
Le 8 avril 2013 à 08:08, par le probe En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
La lutte pour l’amélioration des conditions de vie est un droit reconnu à tout travailleur . Dans cette lutte il faut partir sur la base des astreintes du métier et non des comparaisons. Le métier de GSP comporte des risques mais la comparaison vous éloigne de la réalité car il est reconnu qu’entre celui qui plonge la main dans la ruche pour récolter le miel coure plus le risque de se faire piquer par les abeilles que celui qui est charger de garder le miel récolté loin de la ruche et des abeilles. Les autres forces auxquelles Monsieur BADO fait cas affrontent de jour comme de nuit les délinquants au moment ou ils tiennent des armes , ces forces les appréhendent, les dépossèdent de leurs armes et de tout objet dangereux avant de les conduire aux GSP pour être gardés. Ces forces que vous citez perdent régulièrement des éléments dans l’exercice de leur métier. La liste des policiers, gendarmes, douaniers, forestiers décédés dans l’exercice de leur métier est très longue...
Le 8 avril 2013 à 18:40, par franck En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
belle reaction .
Le 9 avril 2013 à 13:29 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Probe,tu as une bonne reaction mais une mauvaise analyse. Assimiler les bandits de grand chemin arretés par la gendarmerie,la police,la douane,les euax et foret à du miel, c’est jurer que ce sont des enfants de bon coeur ,donc inofensifs alors que ces gens une fois en prison cherchent par tous les moyens à se soustraire de la rigueur de la loi y compris par la violence. Si ces délinquants sont du miel comme tu le pretend,c’est preferable qu’apres leur interrogatoire à la gendarmerie ou à la police qu’on les relache dans la rue. Ainsi, on dissou la GSP et cela sera de l’économie pour le pays. On pourra alors mieux s’occuper des autres forces de sécurité qui font deja du bon boulo. Il fo le reconnaitre. En réalité tous les efforts et les risques pris par les forces de securité et les juges ne peuvent avoir de la valeur que si le pays dispose d’une administration pénitentiaire efficace qui pourra mettre hors de ses rangs les mauvaises graines. MERCI A toi
Le 8 avril 2013 à 10:04, par Burkind’bi En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Faut nuancer, mon type. Catégorie C de la douane ne connait pas découvert !!!
Frère GSP, yaako
Le 8 avril 2013 à 21:34, par BZHN En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Ah oui Tôle c’est pas tôle :)
3. Le 7 avril 2013 à 18:54, par TYPIQUE En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
yako la GSP, Dieu le pourvoira....
4. Le 7 avril 2013 à 18:58, par LE LIBRE PENSEUR En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
HUUMMM ! ON DIRAIT QUE GREVE DE LA FAIM LA EST UNE METHODE EFFICACE POUR SE FAIRE ENTENDRE HEIN.LE SYNTSHA N’ A QU’ A S’ EN inspirer !
Courage à nous tous,fonctionnaires burkinabè.
5. Le 7 avril 2013 à 19:00, par McArthur de Montréal En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Courage mon frère, j’ai un ami GSP et je sais qu’il souffre. Je me suis posé la question plusieurs fois de savoir pourquoi il travaille toujours, tellement ce qu’il gagne est minable. C’est ça le Burkina Faso sous Blaise Compaoré, ceux qui travaillent ne sont pas ceux qui bouffent.
Le 8 avril 2013 à 10:57, par seredak En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
exactly, comme le dira l’autre:A TOI LA SUEUR ? A MOI TOUS LES HONNEURS
au faso, ceux qui travaillent dur sont ceux qui sont à la traine
6. Le 7 avril 2013 à 19:09, par Le sage En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Chacun a sa mode de greve et sa marche.Pauvre burkina !!!!
7. Le 7 avril 2013 à 19:30, par kingsley En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
mon type il faut simplement démissionner et tu te cherche le boulot qui te convient, quand on veut vivre au dessus des ses moyens c’est comme ça,on ne part pas prendre crédit à la banque parce qu’on a la possibilité il faut voir si ça va t’arranger. et je suis sur que tu juste pris ton crédit pour t’acheter une motocyclette. Les 500 F que vous imposer aux visiteurs qui n’ont pas d’autorisation du juge vous en faites quoi ?Il faut que les gens cesse d’être envieux
Le 8 avril 2013 à 08:05, par PSH En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Cher Kingsley, il ne faut mélanger les problèmes. Vous aimeriez plutôt qu’il refuse de prendre un crédit pour payer une moto et choisir de marcher tous les jours pour aller au service ? C’est la misère et la lutte pour la survie qui amène le fonctionnaire à prendre un crédit et rien d’autre...
Le 8 avril 2013 à 11:07, par Mme la directrice En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
BADO a 50000f après les coupûres de la banque, que dira til du gardien qui 15000f/mois ou du vgil qui à 35000f avec une famille en charge ?
Le 8 avril 2013 à 12:42, par languedebois En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Monsieur quand on n’a rien à dire on se tais faut pas aussi ridiculer M bado j’ai l’impression que vous ne savez de la situation salariale de certais emplois de la fonction publique. donc dire qu’il veut vivre au dessus de ses moyens c’est arler au hasard
Le 8 avril 2013 à 16:12, par L’aigri En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Kindsley c’est pcq ça ne va pas qu’ils prennent ces 500 surement...mois a leur place j’ajouterai un zero....
8. Le 7 avril 2013 à 19:35, par afakaya En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
mon frère on te comprend et sache que ya des B1 après 5ans qui n’ont pas 120mil alors si ta lutte paye peut-être que ça va donner des idées. courage
Le 7 avril 2013 à 20:16 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Mon ami, tu as été par la bonne adresse.
C’est cela la République de Blaise. Maintenant tout le monde sait qui est Numero 1 et numéro 2.
Le PM est ses ministres , c’est du vent devant GOLF.
Un conseil cependant, reste prudent, car ton DG est plus qu’un louffia.
Au Burkina, les plus zélés sont ceux qui ne ressemble a rien.
Le 7 avril 2013 à 20:26, par generation 70 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Que chacun s’achete 1litre d’essence et une boite d’allumette. Surtout n’oublier pas de reclamer soit le PM ou le Ministre des Finances
le PM ou Francois compaoré
le PM ou le Ministre des Finances
le PM ou BASSOLE
Le PM ou........général..........
Monsieur BADO, tu t’es battu comme tu veux.
Mais ANTA nous avait prevenu" Peuple du Faso, vous n’allez pas vivre, mais vous ne mourez pas aussi".
Le systeme vous maintiendra sous l’agonie comme ca pour le siècle des siècles.
9. Le 7 avril 2013 à 20:23, par Salif En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Mr Hippolyte BADO, si vous voulez faire votre grève, faites-la. Mais ne comparez pas les différents corps, en posant vos révendications. Si la Police a eu pour elle, c’est parce que l’Etat a estimé qu’elle doit en avoir. Donc, chacun n’a qu’à lutté, et l’Etat vera s’il mérite d’obtenir le statut.
Le 8 avril 2013 à 06:36, par le coq du goulmu En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
mon frère il faut qu,on arrete ça car le pays va mal,le Blaiso doit etre prudent car le danger est à la porte,Bozizé est parti sur la pointe des pieds,mieux vaut arranger les conditions de vie et de travail des fonctionnaires pour espérer rester jusqu,à la fin de ton manda,souvener vous du soulèvement populaire de 1966 donc fait gaff,le printemps arabe est presque arriver au faso
Le 8 avril 2013 à 21:41, par BZHN En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Heureusement qu’on n’est pas arabes ! Alors faisons notre printemps à nous sans verser du sang, mais tout en parvenant au changement positif
Le 8 avril 2013 à 11:04, par le genial En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
je suis d’accord avec BADO parce que 1 il participe à la lutte contre le grand banditisme 2 il garde les présumes délinquants jusqu’à ce que le juge décide de la culpabilités ou non de ces présumés délinquants 3 si les délinquants , ces rebuts de la société Que personne ne veut sentir sont reconnus coupable c’est ce même BRAVO de BADO qui qui va le côtoyer nuit et jour jusqu’au dernier jour à passer en prison . par conséquent , j’interpelle mon cousin qui pense que BADO est en train de faire une comparaison malveillante qu’il doit se sentir honorer que quelqu’un veille être comme lui et non mener un débat immature.frangin économise tes énergies parce que toi même ta lutte n’est pas terminé.fraternellement
Le 8 avril 2013 à 11:07, par KUN FAYA KUN En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Salif ! si vous avez encore un minimum de bon sens,ne dénaturez pas les propos de M. Hippolyte.Même s’il fait une comparaison,aucun corps n’a été nommément désigné.Je ne suis ni GSP ni flic mais ne pense pas que ce statut particulier de la police ait fait manifestement l’objet d’une lutte:il a été acquis mais pas arraché.Je félicite la police et la GSP pour le travail qu’elles abattent. Le statut particulier devrait etre accordé aux policiers après un test pour que certains ignares ne s’y retrouvent.As-tu été à la bonne école ? COURAGE M.BADO !
Le 8 avril 2013 à 12:18, par LAPAIX En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Bonjour. Monsieur SALIF, ce que vous devez savoir, c’est qu’aucun corps ne doit être traité sans égard pour les autres. La police et la GSP sont dans la catégorie des corps paramilitaires avec essentiellement les mêmes grades et servitudes et les éléments sont formés dans la même école. J’estime qu’il n’ya pas de raison de traiter différemment ces corps et vous ne pourrez pas empêcher cette comparaison.
Au moment où le gouvernement prenait la mesure de revalorisation du statut de la police, il aurait pu penser à cela, mais ce n’est pas tard pour mieux faire.
NB : Je ne suis de ceux portent les tenues mais juste une contribution au débat
Le 8 avril 2013 à 13:45, par consciencieux En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Mon frère, sois courageux ! être dans la cour du roi ne donne le qualificatif de page. Ce que tu dois comprendre les policiers ont des frères à la GSP, des amis GSP, des femmes GSP donc je ne vois pas en quoi ils seront contre que la situation des GSP soit améliorée.Certes les GSP sont formés à l’école de police mais est ce qu’ils ont les mêmes missions. A mon avis les policiers ne peuvent jamais empêcher l’Etat d’arranger la situation des GSP,mais à écouter mon frère il s’insurge contre la police et la gendarmerie. De grâce évitons ces genres de comparaisons car ça n’a mène nulle part si ce ne créer des conflits de corps inutiles car le pays n’en a pas besoin.Mon souhait que l’état arrange la situation des GSP afin qu’ils ne pensent pas qu’ils sont formés avec les policiers et qu’ils ne veulent pas de leur bien. Mon frère LAPAIX, personne ne t’en voudra si tu disais que tu portes la tenue, mieux que tu es GSP. COURAGE A TOI.
Le 9 avril 2013 à 21:08, par bibiiga En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
slu cela me fait mal que l etat sen fou de nos conditions de vie au bf la vie est dur d etre fonctionnaie merde
Le 8 avril 2013 à 15:23, par Salif En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Bonjour Mr LaPaix. Pouvez-vous me dire le nombre de corps paramilitaires qui existent ? Ils sont nombreux (La douane, les Eaux et Forêts), entre autres. Et si tous ces corps réclamer les mêmes choses. Où allons-nous ? Donc, chacun lutte de son côté, et éviter de comparez. La Police, c’est la police, la GSP, c’est la GSP. La douane, c’est la Douane. Les Eaux et Forêts, ce sont les Eaux et Forêts. etc
Le 8 avril 2013 à 16:26, par albertouedraogo En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Mr Salif il y’a 4 corps paramilitaires au Burkina Faso : La Police Nationale, la Douane Nationale, les Eaux et Forets Nationaux et les GSP Nationaux.Ils sont genralement recruté sur les memes bases ( CEPE,BEPC, BAC et plus...) et formé egalement dans les memes conditions.Il n’y a pas pour le moment de paramilitaire plus que les autres, Ces gens la sont des freres d’armes et ont des amis ou des freres dans l’un ou dans l’autre corps, ils s’informent mutuellement les avantages obtenus, Si l’Etat les met sur le meme pieds d’égalité dans un esprit de justice personne ne se plaindra. En ce moment si Mr Bado fait une greve de la faim,il fo le priver de nourriture. CORDIALEMENT. Je soutiens les propos de la Paix
Le 9 avril 2013 à 10:09 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
et les sapeurs pompiers dans tout cela ??????????
Le 9 avril 2013 à 13:42 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Mon frere on ne sait jamais l’esprit humain est changeant et à tout moment ce Mr peux s’enflamer,alors les sapeurs ferons leur travail..Il fo tou mettre en oeuvre pour que de tels actes de desespoir à savoir s’imoler ne ternisse l’image de notre pays et apporte des malheurs.Sait -t ’on jamais ? Mieux vo tirer le diable par la queue
Le 8 avril 2013 à 15:39, par HASSIM En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
La paix bien dit . Mr Salif a fait une réaction tres plate.
La GSP est au même titre que la Gendarmerie,la Police en matière de lutte contre le banditisme et je pense que c’est une simple reconnaissance que de mettre la GSP et les deux corps précités dans les meme conditions.
Les gendarmes et les policiers sont fiers d’être. Mais les GSP non. Or c’est les memes corps.NB : Je ne suis de ceux qui portent les tenues mais juste une contribution au déba
Le 8 avril 2013 à 16:49, par Salif En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Mr Hassim, moi également je ne suis pas un homme de tenue, mais soyons réaliste. A voir votre raisonnement, il est préferable pour l’Etat de supprimer la LOI N° 13-98/ AN du 28 avril 1998 portant agent de la fonction publique, et attribué à chaque corps un statut.
Le 15 avril 2013 à 06:03, par sys En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
La paix. croit tu que la police et la GSP ont les memes mission .ce nest parcequ’I’ll son forme ds la mm ecole et qil sont ls mm grade quon doit ls traiter o mm pied d’egalite c’est parcequil non pas d’ecole qil son ensemble sinon lecole est pour la police .sui desole pour ton raisonnement
Le 8 avril 2013 à 16:00, par albertouedraogo En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Mr Bado t’a tu dis qu’il reclame un maudit statut que tu as peut etre obtenu ? Ou penses tu que tu merites ce que tu as plus que les autres ? ? Si ce Mr a vraiment fait une comparaison, je me dis que c’est certainement du au fait que les forces de defense et de securité travaillent dans une parfaite symbiose. C’est à dire ici un travail à la chaine.
10. Le 7 avril 2013 à 20:24, par Filou3 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Ceux qui pensent qu’il doit partir voir ailleurs, est-ce qu’ils vont accepter aller les remplacer quand ils vont tous partir ?
Je pense que le gouvernement a interet a revoir le salaire des agents publics.
Parce que ça ne va pas et ces types d’actions vont se multiplier.
Il y a deux choses : revoir la grille ou agir sur le coût de la vie !
Il faut savoir que les plates formes des differents syndicats ne sont pas conçus pour vous empêcher de tourner en rond !
Il faut proposer et bien proposer.
Vous voyez, il refuse de parler de l’essence qu’il avait avec lui.
A-t-il le droit d’en avoir là-bas d’ailleurs ?
I
Le 8 avril 2013 à 11:44, par consciencieux En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Mon frère Filou3 à mon avis, monsieur BADO doit démissionner s’il n’est pas satisfait de son traitement salarial. Quand on parle des corps sérieux des corps sans importance se mêlent. Quelles sont missions de ce corps ? Les gendarmes et policiers mettent leurs vies en danger pour vous conduire des délinquants et vous les laissez s’évader.Chers internautes, aidez moi où ils sont formés ? Un corps qui n’est pas connu et qui veut dépasser les autres. Messieurs les GSP soyez patients. BADO conseil d’ami,il faut démissionner c’est mieux. SI j’étais président j’allais arranger la situation des enseignants, agents de la santé,gendarmes, policiers, forestiers et autres corps plus importants que m’attarder sur un corps inutile comme la GSP. Si vous voulez, tirez et puis voir. On va envoyer le RSP vous chicoter vous allez savoir qu’il ya une grande différence entre le R et le G. Tchrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr.
Le 9 avril 2013 à 03:53, par jean En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
toi tu ne sais pas ce que tu dis,il faut te faire conduire voire si tu pourras t’évader.des hommes voyants qui veillent pour la sécurité du pays,tu es là tu ne sais pas ce que tu dis,il y a les évasions partout, à la Gendarmerie ,a la Police et même à l’hopitale.
Le 9 avril 2013 à 11:52, par oued dodo elvi En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
tu parle au hasard.si le gouvernement recrute dè corps inutile cè qils sont eux oci inutile a ntr pays.vous délirer trop stp va voir un psychologue sa t’aidera mieux.M. BADO est de son plin drt de grèvé ss nuire a l’activité d qiconq il en na fè.sa lutte est a saluer.courage
11. Le 7 avril 2013 à 20:30, par SOURATE 37 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Hippolite BADO, Ecoute ceci :
"Chaque peuple merite ses dirigeants. Personne ne viendra liberer l’esclave qui refuse de s’affranchir".
Merci d’avoir recité 100 fois chaque matin avant de quitter son lit.
12. Le 7 avril 2013 à 20:30 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Le gars continue sa greve ou pas apres avoir rencontre le GOLF ?
Le 7 avril 2013 à 20:56, par generation 70 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Monsieur BADO, on te demande de garder les prisonniers et toi tu veux vivre !!!
,
On demande au RSP de garder BLAISE et non de chercher a nourir leur famille.
Syntsha soingner la population et c’est tout.
Enseignant rentrer en brousse et donner le savoir aux enfants , pas d’autre choses en plus
citoyens murmure mais surtout n’ose pas critiquer à haute voix
opposition contentez vous de ce que l’on vous donne
Journalistes évitez les sujets du genre GREVE DU SYNTSHA
Blaise et Golf gère APRES TOUT....
Le 8 avril 2013 à 08:29, par Sad En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Donc pour vous y en a qui doivent vivre et les autres ont simplement le devoir de veiller à ce que ces gens vivent bien. Pauvre de vision ; Blaise, Dienderé, GSP, enseignant de brousse, mecano... chacun aspire au bien être même si nous n’occupons pas les même postes dans la vie ! Parce que nous sommes tous complémentaires et personne n’est plus important que l’autre car aussi négligeable (à tord) que soit le poste de quelqu’un, s’il n’est pas occupé ça crée un dysfonctionnement qui peut affecter tout le reste.
Le 8 avril 2013 à 10:02 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
peut on garder tous ces délinquant étant affamé ? courage mon frère pour ta lutte.
Le 8 avril 2013 à 10:05, par Mamèyélé En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
" La GSP peut aussi prendre des armes aujourd’hui pour se faire entendre " Essayez et on verra ce qui va vous va vous arriver !!! Toujours en train de se comparer aux autres et ce qui n’ont pas 50.000 frs à la fin du mois tu dis quoi ? toi au moins tu prends crédit et il te reste encore beaucoup.
Le 8 avril 2013 à 14:02, par Gomdasida En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Ah mon frère tu as bien vu.
Qui nous demande de vivre ? Ils ne veulent seulement que nous restons en vie pour qu’ils puissent exister et mener une vie dorée. Donc faisons très attention car comme le disait un grand penseur : " nan laara, an saara"
Si nous nous couchons, nous sommes des hommes morts. Et comme le dit aussi Victor HUGO : " Ceux qui vivent sont ceux qui luttent " Il n’y a pas d’autre alternative à cette assertion. Je pense que M. BADO l’a compris.
13. Le 8 avril 2013 à 07:52, par Sidarata En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Le Gandaogo national disait ceci : si tu vas être (si tu vas faire),soit le (fais le), n’attends pas que les autres soient (n’attends que les autres le fassent) avant que tu le sois (avant que tu le fassent).
14. Le 8 avril 2013 à 07:53, par rhino En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
M. Bado,je reconnais qu’il faut un minimum vital à tout le monde mais ne comparez pas les corps. Chaque corps a ses avantages et inconvénients.. Vous à la MACO, on connait vos deals avec les prisonniers.... Les crédits que vous avez pris ne justifient pas votre précarité car les plus endettés sont les plus riches.
15. Le 8 avril 2013 à 07:54, par SKATH En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
LA TERRE EST TOUJOURS FERTILE A REO TU PEUX DÉPOSER TA TENUE ET ALLER ARROSER LES OIGNONS. CE QUE VOUS RACONTEZ EST LE QUOTIDIEN DE TOUS LES FONCTIONNAIRES BURKINABÉ. MOI JE SUIS EN B1 A LA FIN DU MOIS APRÈS MON PRÊT JE N’AI PAS CA IMAGINE DE QUEL MINISTÈRE JE SUIS ET TIENT TOI BIEN JE NE PEUT MÊME PAS AVOIR 500F AVEC QUELQU’UN
Le 8 avril 2013 à 18:26 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Mr skath et ceux qui parle de demission reflechissez impeut,pensez vous que si ces GSP decide d’ouvrir les prisons,serions nous en securité ?il n’y aura t’il pa d reglement de compte que ce soit du cote des juges,policier ou gendarme Avec certain bandi ?n’en parlons pas de ceux qui leur on denoncer.je pense que les securités n’auront pas du temps pour leurs propre engoise n’en parlons pas de s’occuper de nous notre securité.alor prions que ces differents corps soient fiers de ce qu’ils sont avec un meilleur traitement et equitable.afin que nous puissions circuler librement.du courag Mr Bado,sa c’est agir avec professionalisme
16. Le 8 avril 2013 à 08:03 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Les conditions de vie des travailleurs sont vraiment misérables. l’État doit revoir à l’amélioration la grille salariale et faire des propositions concrètes au 1er Mai prochain. Attendre chaque fois que des travailleurs exposent leur misère avant de voir leur situation n’est pas responsable. Aussi, il faut considérer que le détenu est un être humain en état de réinsertion. Il est dangereux de détruire une personne en prison pour lui demander ensuite qu’il se construise une fois sortie. Pour mieux appréhender la situation du GSP ou du détenu, que chacun se mette à leur place pour voir si c’est bon d’être de de pareilles conditions de vie ou de travail.
17. Le 8 avril 2013 à 08:19, par gorg En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Il s’agit de difficultés d’ordre général de nos jours au Burkina Faso. Que les GSP ne pensent pas qu’il s’agit d’une réalité propre à eux. Tout le monde souffre de la sorte. Mauvaises conditions de vie et de travail, as salaires, mauvais traitement dans les bureaux, il n’y a pas de bureaux pour certains agents, traitement inégalitaire, indemnité spéciale par ci et par là, statut particulier, fonds commun et je n’en sais quoi d’autres. Le rendement dans ce cas sera maigre et c’est surtout cela qui fait le fonctionnaire burkinabè. Le pays ne peut jamais avancé dans ce ces conditions.
18. Le 8 avril 2013 à 09:10 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
J’ai mon malaise qui remonte quand je lis ces propos !
C’est le système qui est pourrit, les richesses du pays sont mal partagés.
Mon frère, j’admire ton courage pour la grève que tu as entamé.
Chacun de nous devrait faire comme toi, parce ce n’est pas seulement votre corps professionnel qui est mal payé, ce sont tous les burkinabé de la fonction publique. Beaucoup ne s’en plaignent pas parce qu’ils ont leur 10%. mais nous qui n’avons pas ces occasions, que pouvons-nous faire ?
Pendant que les loyers sont à 50 000f le mois, l’eau, l’électricité, le carburant sans parler de la santé et de l’école des enfants et la nourriture, un cadre de la fonction publique n’a même pas un bon 150 000f le mois ! J’imagine pour les autres catégories !
J’ai peur, vraiment peur de la poudrière qui est entrain de chauffer. Le pays va mal.
19. Le 8 avril 2013 à 09:13, par Uncitoyen En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Un conseil au plus hautes autorités de ce pays : faites quelque chose pour calmer les citoyens Il y’a trop de grèves actuellement et je sais même qu’il y’a des grèves en perspectives. Ce n’est pas un bon signe pour tous ceux qui ont passé leur temps à chanter le "burkina émergent".
Fulbert PARE merci pour votre célérité dans le traitement de cette information qui est incomplète. Vous ne nous dites pas si le GSP en question continue sa grève ou s’il a mis fin à sa grève après avoir rencontré le général Diendéré.
20. Le 8 avril 2013 à 09:22, par SomSom En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Je ne cesse de me demander toujours pourquoi Gilbert Djédéré a été pour lui celui qu’il voulait rencontrer à défaut du PM ? Il médiatise son action pour dire que ce qui s’est dit reste entre eux deux. Notre pays n’est pas sorti de sa crise et la peur de nos autorités devient inquiétant
21. Le 8 avril 2013 à 09:37, par shalom En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
ce monsieur est un guignol et ce fout de nous en disant de ne pas parler du briquet et de l’essence.
22. Le 8 avril 2013 à 09:42, par Le faso En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
L’Etat doit prendre ses responsabilités.Les prisons étaient gardé par la police.La GSP veut faire une comparaison,il faut les chassé.Est ce on a besoins d’éffort pour garder un delinquant qui est dejà neutralisé.
Le 9 avril 2013 à 04:10, par jean En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
que ça soit policier que ça soit GSP ils sont tous des Burkinabè et sont des frères d’armes formés dans une même Ecole.recherches bien tes informations avant de parler,la Police n’a jamais garder de prison au BF ici, c’était les Militaires ensuite relever par la Garde Républicaine et la GSP a relever la Garde Républicaine qu’on avait reverser à la Police.
Le 9 avril 2013 à 13:55 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Le faso moi je pense qu’il fo liberer tous les delinquants deja neutrliser ,dissoudre la GSP et les reverser dans les sites miniers.
Le 10 avril 2013 à 15:06, par Prince En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Je ne suis un flic mais la police n’a jamais garder les prisons. Et puis, qu’appelles-tu neutraliser ? Pour ta propre gouverne,un délinquant reste toujours délinquant. Si tu es un de la sécurité saches que tu es trop plat. La question des prisons est tellement sensible qu’elle peut devenir source de sécurité ou d’insécurité nationale.
23. Le 8 avril 2013 à 09:55, par yeral dicko En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Mais les gars l’essence pouvait servir à autre chose que de s’immoler !!!!! suivez-mon regard !!!!!!!!
24. Le 8 avril 2013 à 10:07, par truman En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Ce Monsieur doit savoir que la grille salariale est la même pour tout le monde. Petite leçon de vie :"Ce n’est le niveau de salaire qui est important chez un individu raisonnable mais le niveau de consommation. " Ainsi, on rencontre chaque jour des gens qui ont des superbes salaires et qui une vie débridée et d’autre avec un moindre salaire arrive à se tirer d’affaire. Plus simplement, celui qui a 100 000frs de salaire et qui dépense les 100 000frs ne vaut pas celui qui a 50 000frs par mois et dépense 40 000frs. Le deuxième s’en tirera puisqu’il épargne 1000frs mois et l’autre....
Le 8 avril 2013 à 19:28, par Bouglass En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Ce sont des idées de qui ne travaille pas encore ou de qui attend un salaire. La réalité finit par dompter ceux-là. J’en ai connu qui, avant de toucher leur premier salaire de 100.000 f avaient votre conviction. Laissez les travailleurs lutter pour que leurs conditions soient revues car c’est très misérable,cynique même cette grille salariale de la fonction publique.
Le 9 avril 2013 à 08:03, par truman En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Hé pourtant monsieur Bouglass ; Sachez qu’on ne peut pas réveiller quelqu’un qui ne dort pas. Nous sommes tous concernés par cette grille mais nous nous réalisons de façon très différente. Certains préfèrent le poulet du boulgou avec une bierre tandis que d’autres s’engagent à trouver un toit à leur famille. La grille est une donnée : ou on l’accepte ou on démissionne. Entrez dans la fonction publique reste jusqu’à présent un contrat d’adhésion.
25. Le 8 avril 2013 à 10:17, par Le rebelle En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Mon cher Ami c’est même ton parent qui est au commande
il fait savoir aux gens que tout va bien au B F.
C’est très regrettable de sa part.
Ton combat est noble et juste mais fait tout pour
ne pas mourir sinon c’est une grosse perte pour ta famille.
Le 8 avril 2013 à 11:19 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
c’est à se demander si ce gars jouit de toutes ses facultés mentales. Qu’il ouvre les yeux. On est au Burkina, pays pauvre ou plus de la moitier de la population vit en dessous du seuil de pauvreté donc avec moins de ses 50000 qu’il trouve insuffisant ; si tu veux gros salaire faut faire concours et passer enA. Moi aussi vais aller en grêve et exiger la visite nocturne de mon ministre de tutelle ou du PM puisque tout est permis maintenant
Le 9 avril 2013 à 13:43, par pagomdezalem En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
ki es tu pour recevoir ton ministre de tutelle ? essaie et tu va crever de faim. si tu es garçon essaie et on verra le résultat
Le 8 avril 2013 à 11:31 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
si t’es pas content de ton job tu démissionne et vaS voir ailleur ; ya pas que la fonction publique pour gagner sa vie. Et si tu as pris credits en banque ca te regarde ; paies la banque et debrouille toi avec le reste c’est ce qu’on fait tous. Aucun agent public n’est bien payé et c’est dommage surtout au regard de ce que le pays gagne mais est ce pour autant qu’il faut prétendre vouloir se laisser mourir de faim ? Tu as raison, tu as à manger c’est pourquoi tu fais grêve. Dans ce pays ya bcp qui n’ont pas le peu que tu as ; Ils n’ont qu’a faire comment d’après toi ?
Le 8 avril 2013 à 11:43, par BILI-BILI En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Dàbî-n’wô bâl ( mon frère tu es un garçon). C’est ça un gourounsi, le vrai.Votre lutte est légitime et juste.Comme les TOLE SAGNON et sa bande sont devenus des pro’regime, c’est la nouvelle formule de lutte maintenant.
Le 8 avril 2013 à 12:12, par fonioA En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
bonjour reclame et laisse les autre corps en paix OK
Le 8 avril 2013 à 12:49, par leyck En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
svp,si vous estimez que vous n’etes pas traités a juste titre,le mieux ne serait-il pas de demissionner et de te trouver un autre job ?c’est parce que vous vous sousestimez que vous etes trop accrochés si je ne m’abuse,ou bien cette option aussi vous exige l’avis du du PM ?
26. Le 8 avril 2013 à 10:47 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
La GSP peut aussi prendre des armes aujourd’hui pour se faire entendre !!! On est où là ? Essayer donc et vous verrez les conséquences
27. Le 8 avril 2013 à 10:54, par Beoogo En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
’’na an laara an saara" ; "l’esclave qui ne lutte pas ne mérite pas que l’on s’appitoie sur son sort.cet esclave repondra seul de son malheur..." ; "Il y’aura un moment où dire qu’un burkinabè souffre c’est normal ; c’est comme si je dis, je bois l’eau." Méditez sur les paroles de ses illustres disparus.Paix à leurs ames.
Courage mon frère ! seulement ta lutte si elle aboutie profitera plus à des agents de categorie superieure donc à tes chefs qui n’ose pas se faire entendre. Encore courage.
28. Le 8 avril 2013 à 10:56 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
ENCORE UN AUTRE GOMBISTE.
SI TOUS LES FONCTIONNAIRES QUI ONT 50 000 APRES DEDUCTION DE LEUR CREDIT BANCAIRE DEVAIENT FAIRE LA GREVE DE LA FAIM, ON AURA PAS MOINS DE 50 000 MORTS.
MR BADO SI VOTRE TRAVAIL NE VOUS PLAIT PAS, IL FAUT SIMPLEMENT DEMISSIONNER. "UN HOMME EN BONNE SANTE ET EN PLEINE POSSESSION DE SES MOYENS A DES CHOIX ILLIMITES" SELON DALE CARNEGIE. SI LE BURKINA NE VOUS PLAIT PAS, IL Y A PAS MOINS DE 170 AUTRES PAYS DANS LE MONDE OFFRANT DES POSSIBILITES ILLIMITES.
PENSEZ-Y
29. Le 8 avril 2013 à 10:56, par xoxo En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
lefaso.net, j m mets en grève (de la faim bien sûr) pour qu’on publie ts mes commentaires ! mdr ! en effet, c’est la mode. va falloir laisser quelqu’un crever de faim ) pour que ce ne soit pas la porte ouverteà toutes les fenêtres
30. Le 8 avril 2013 à 11:13, par TIENFO En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Quand on revendique, il faut aller sur des bases objectives. Imaginons que votre enfant vient en milieu d’année vous demander un cahier de 200 pages. Vous n’allez pas demander aux parents d’élèves s’ils en ont payé pour leurs enfants. Vous allez sans doute demander à votre enfant ce qu’il veut en faire.
Il faut savoir poser les biens fondés de sa lutte en les motivant et en les légitimant. Il appartiendra à qui de droit de juger de leur justesse. Monsieur, éviter les comparaisons entre corps. Ça ne fait pas bonne image. Chaque corps a ses réalités. GSP, CRS, police, gendarmerie, RSP et autres n’ont les mimes réalités. Encore moins, corps habillés et civiles n’ont pas les mêmes réalités. J’en passe.
Revendiquons sans éclabousser les autres. Sinon à ce rythme chaque Burkinabé risque de demander les mêmes avantages que le Président du Faso.
31. Le 8 avril 2013 à 11:18, par skath En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
dis moi qui tu fréquentes je te dis qui tu es.tu es en c1 dis moi combien tu touche la fin du mois et je te dis ce que je perçois en B1 et tu verras que mon bac égal a ton CEPE quand on te recrutait. Mon frère si ça ne va pas, démissionne et rentre chez toi sinon tu vas mourir et perdre le peu que tu as pour observer ta grève de malbouffe.
32. Le 8 avril 2013 à 11:23, par le marabout En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
ce maniaquo depressif n’a pas parlé des 1000f et 2000f qu’ils raquettent devant la porte de la maco au visiteur.la fonction publique c’est la force qu’il demission .niyalga !!!
33. Le 8 avril 2013 à 11:25, par wendbenedo En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Je pense qu’il faut que GOLF ait une vacation en Psychiatrie avec les prouesses qu’on lui découvre !
34. Le 8 avril 2013 à 11:27, par simpos En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Tiens pas mal. Je trouve que ce n’est certes pas la voie normale encore moins la bonne manière pour revendiquer mais dans ce pays qu’est ce qui est normal ? Chez les militaires j’ai l’impression que les choses sont plus ou moins harmonisées et c’est tout a fait le contraire chez leurs amis para militaires ou la disparité aiguie semble etre le mode de gestion. Comparaison n’est certes pas raison comme se depecheront de me chanter certains, mais il faut aussi reconnaitre que parfois on evolue que sur la base de la comparaison. L’autre est mié que moi en telle situation et je m’efforce de l’ateindre ou meme le depasser.
Ceci dit, je pense que le gouvernement doit prendre des mesures pour aplanir les differences criades qu’il ya parfois entre les corps, surtout ceux qui sont en uniforme. Ca eviterait bien de desordres et de plaintes. Ils risquent tous au quotidien leur vies pour la sécurité du pays et les traiter differemment ne peut qu’entrainer des réactions pareilles.
Courage à Bado et bonne chance au GSP qui nobnostant toutes les conditions si désagréables de travail et traitement j’allais meme dire de considérations auxquelles ils font face, ont pu gérer avec efficacité nos prisons jusque la. Nous disons avec eux que les choses doivent changer.
35. Le 8 avril 2013 à 11:27 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
lui au moins il a prime alimentaire 30.000 f en sus / mois des autres indemnités de la fonction publique. voyez qu’ils ne sont pas les mal lotis
36. Le 8 avril 2013 à 11:33, par le genial En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Bado merci d’avoir tracer le chemin je prendrai la relève si le besoin se fait sentir.
37. Le 8 avril 2013 à 11:36, par Hamza En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Le petit gourounsi n’avait pas a manger et au lieu de demander a manger il simule une greve de la faim. Depuis quand un gourounga peut arreter de manger et boire son dolo. Si ton salaire ne suffit pas, il faut aller cultiver les ignames comme tes freres.
38. Le 8 avril 2013 à 11:40, par le marabout En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
ce maniaquo dépressif n’a pas parlé des 1000f et 2000f qu’il raquette à la porte de la maco aux visiteurs qui n’ont pas pris le buletin de visite au palais de justice.la fonction publique c’est pas la force qu’il demissione.niyalga !!!!!!!!!!!!!!!
39. Le 8 avril 2013 à 11:48 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Nouvelle forme de mutinerie ???
40. Le 8 avril 2013 à 11:59, par MDN En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Monsieur HB je salue tout simplement la sagesse par laquelle tu es passé pour te faire entendre et peut être pour résoudre les problèmes d’un groupe de misérables. je ne suis ni GSP ni un fonctionnaire du gouvernement Burkinabé mais j’ai conscience que beaucoup vivent ta situation pareille. au lieu de passer par la stupide méthode (détruire le peu de biens publics), tu as usé d’une grande intelligence. je suis cependant déçu par ceux qui te critiquent. encore bravo pour ta sagesse.
41. Le 8 avril 2013 à 12:13, par NEYA I En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Le gourounsi est toujours intelligent Monsieur Bambara, en tout cas comparé au Bissa. Sauf que le Bissa n’aime pas aller en grève. Quand ses conditions ne sont pas favorables, il cherche moyen pour aller en ITALIE. Moi en tout cas je ne ferai point grève de faim mais ça n’engage que moi. NEYA, chef des lions bissa.
42. Le 8 avril 2013 à 12:26, par anta En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Voilà un pur produit du "complexe du microbe pour vaccin" dont je vous parle souvent et que certains mettent sur le compte de l’aigreur d’ANTA. Je vous répète" Peuple du Burkina Faso, on a fini par vous transformer en microbes pour vaccin". Voici comment on fabrique un vaccin : on affaiblit les microbes d’une maladie donnée, on réduits ces microbes à l’état de morts-vivants et on les injecte à un corps sain pour que les anticorps s’entrainent à tuer ces microbes et acquièrent ainsi,une immunité contre la maladie en question. Le système que j’appelle ENGEANCE, vous a réduits à l’état de microbes zombis par trois choses : votre tête, votre ventre et votre santé.Vous êtes mal éduqués, vous mangez mal et vous êtes mal soignés. L’ENGEANCE est maligne.Elle sait qu’"Un homme cultivé, bien nourri et en bonne santé, ne peut pas être maîtrisé et il pose trop de questions". Peuple d’anesthésiés, tu marches vers l’avide Achéron, le fleuve mythique qui conduit vers le royaumes des ombres.
Le 8 avril 2013 à 12:46 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Maitre ANTA, nous t’avons écouté mais que maitre que puissons nous faire ?
Maitre nous meritons notre sort.
Le 8 avril 2013 à 13:34 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Le système va maintenant commencer a sacrifier la jeunesse. C’est volontaire et c’est dans le but d’hypotéquer l’avenir du pays.
Observer partout a coté de nous comment le peuple se bat. Mais au Burkina le peuple est devenu plus que mouton a cause de la galère.
La misère se lit sur tous les visages sauf la famille de l’autre.
Le 8 avril 2013 à 14:39, par VP En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Moi je suispourqu’on ameliore les conditions de vie et d’e travail des GSP.
Par contre,je suis contre le fait que les GSP tiennent à se comparer aux Policiers nationaux.On n’a jamais obligé quelqu’un à passer le concours des GSP.
Et puis je dois dire aux GSP de mener la lutte comme les policiers ont fait.
Les conséquences de l’acte de ce BADO là seront vue dans les prochains jours.Ainsi donc,le commandement de la GSP doit etre démis.
Je connais des GSP qui vivent mieux que des policiers et autres fonctionnaires là.Certains ont des Duplex,d’autres ont des véhicules 4X4 ,certains ont meme des entreprises.
Ton ROUAMBA la doit revoir sa méthode de lutte.Cette fois ci n’est pas la bonne.Golf doit faire sévir.
Le 8 avril 2013 à 19:11, par Ali En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Mon frere ,évite d’être dur car Bado n’a jamais indexé nominativement les policiers ,ils ne sont pas le seul corps qui est bien là ! Et en plus toi tu es aigri car tu prends le particulier pour le général.
Le 8 avril 2013 à 19:29 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
mais tu oublies que tous ceux qui passent les concours de la fonction publique ne la font pas par amour mais par nécessité. meme chose que dans l’armée où on se retrouve avec des voyous qui sont recrutés mais après se transforment en coupeurs de route. voilà le problème quand dans un pays il y a plus de 80% de chomeurs mais on nous dira que le burkina a un taux de chomage de 2.3%. hummmm on se moque de nous déh.
Le 8 avril 2013 à 16:04, par tou petit En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Courage à toi que le tous puissant te guide dans la lutte. J suis sur que si LAT viens le voir c’est pas lui seul son problème qu’on va régler mais plutôt le problème d tous les GSP. Donc ils doivent s’unirent pour la grève de faim.
Le 8 avril 2013 à 17:02 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Apres le printemps Arabe ; le printemps Negre ?
Tremblez chers dirigeants ; la lutte commence.
Le 8 avril 2013 à 12:51 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Mr Bado fai le malin seulement, qu’il arrête de comparer les corps, vous parlez de risque pourtant vs risqué les autres en libérant les délincant qu’ils ont arrêté
Le 11 avril 2013 à 15:52, par will En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
mon ami si vous navez rien a dire cé mieux de garder vos idees,
Le 8 avril 2013 à 13:55, par on ne monte deux fois sur les coui.. de l’av En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Mon type. Il faut être clair. Engeance ou quoi, on s’en barre. Mais les choses changeront en 2015. Wait an see !
Le 8 avril 2013 à 13:59 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Vaut mieux dire mal formé au lieu de mal eduqué. Mais cela aussi est discutable !
Le 8 avril 2013 à 14:16, par Gomdasida En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Si nous ne nous reveillons pas, le parasite nous asservira jusqu’à la moelle des os et jusque dans notre âme. L’ENGEANCE, persistera, signera et se perfectionnera de génération en génération.
" Nan laara an saara"
Le 8 avril 2013 à 18:34, par McArthur de Montréal En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Anta,
Félicitations pour tes interventions combien pertinentes. J’admire ta parfaite compréhension de ce régime. Très peu de Burkinabé connaissent ce régime à fond comme toi. Blaise sait très bien qu’un peuple éduqué et éclairé, en bonne santé et en forme est un danger pour ses ambitions monarchiques. Mais il doit savoir qu’un cabri mort aussi n’ a pas peur du couteau.
43. Le 8 avril 2013 à 13:06, par N’Djolé En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
A Vivi et tous ceux qui pensent comme elle/il. C’est simpliste comme solution ! C’est le genre de discours que nos aînés ont tenu et qui nous a conduits à cette situation ou il manifester pour avoir. S’il part, celui qui viendra à sa place se plaindra aussi ; d’ailleurs c’est la situation de tous ses collègues qu’il exprime par son seul acte. Aussi sache que l’Etat perd aussi si les gens doivent s’en aller comme ça. On recrute et on forme. Demande le coût de formation d’un GSP et tu te tairas. A cette allure, tous les agents de l’Etat à l’exception des agents de finance, vont démissionner. C’est vrai que comparaison n’est pas raison. Mais sache que tout récemment une étude a montré qu’en France on est mieux payé dans la fonction publique que dans le privé. C e que les gents du privé doivent comprendre, c’est qu’eux aussi gagnent si la fonction publique est bien rémunérée. Avant on payait bien dans le privé parce qu’on ne trouvait pas d’agents qualifiés si ce n’est dans la fonction publique (par manque d’école de formation, alors qu’aujourd’hui on forme dans le privé dans tous les domaines) où on pouvait débaucher les agents de l’Etat. Aujourd’hui le marché est saturé ; et si l’Etat lui-même ne paye pas bien ses propres agents, il ne peut pas exiger du privé qu’il le fasse. Conséquence les salaires tendent à baisser dans le privé aussi. Puisqu’on se dit que de toutes les façons, ils vont accepter. Si tu refuses, on engage quelqu’un d’autre. Remarque et tu verras que la tendance est à cela. Je suis du domaine et j’en sais beaucoup. Avec un bac+4 dans certains sites miniers tu as à peine 600.000F. Il y a 5 ans en arrière ce serait différent.
En conclusion, je suis pour la lutte (je compte être le prochain, et je sais que moi on me laissera mourir !). Fuir un problème n’est pas la solution. Tu le fuis et il reste. Il vaut mieux l’affronter. C’est vrai que « quand tu ne peux changer le monde, il faut changer de monde » ; avant de changer de monde il faut tenter le changer.
44. Le 8 avril 2013 à 13:16, par CP0 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Sacré Burkina, certain y font la grève de faim pour se faire entendre par le PM ou GOLF , d’autres qui ont la chance que le PM se déplace pour les rencontrer et les écouter lui lancent des pierres. A chacun sa religion ses convictions et son rituel de prière pour adoucir sa vie dan cet enfer du Faso. Bien que vous ne soyez pas de niveau universitaire j’admire votre art et intelligence de combat sans violence verbale ou physique . Nos petits frères de l’ANEB en manque d’inspiration ces temps ci devraient s’attacher vos services pour des conseils en matière de stratégie et tactique de lutte. Courage mon frère BADO vous êtes en C1 mais votre intelligence émotionnelle vous situe au dessus des A1.
45. Le 8 avril 2013 à 13:32, par L’aigri En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Il y vriment des gent pas vriment intelligent au burkina....dite nous seulement ou s’arrette la procedure judiciaire au burkina ?....a la condanmation ou a l’application de la condamntion....police gendarmerie palais de justice et gsp voila les different maillon d’une chaine judiciaire....pourque cela soit solide il faut un traitement equitable tel les enfants d’une meme mere....traité les de l meme maniere...ce qui dise de ne pas comparé les corps...dite nous aussi quelle particulrite la police ou la gendarmerie a et que les gsp la douane ou les eaux et foret n’a pas ?soyons realiste..........
46. Le 8 avril 2013 à 13:33 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Mon frère, ce que tu dis est juste. Le Général est un soldat et un vrai, ne t’inquiète plus, les problèmes seront résolus progressivement. Tu as tapé à la bonne porte. Continues de travailler, ne fais pas comme les gars de la santé, mènes ta vie discrètement, loin des médias. Je suis fils, petit frère , ami de gendarmes, frère et ami de policiers, chez eux aussi ce n’est pas facile. Vous êtes des soldats, nos vies sont entrent vos mains, tenez bons, sinon que deviendrons nous ? Imagines un petit garçon, qui attend son papa à la descente, et celui-ci ne rentre pas ce jour et sa mère ne s’est pas où il est parti et il revient une dizaine de jours plus tard. Ce n’est que quand je suis devenu adulte que j’ai compris qu’il était parti en mission. C’est ça la gendarmerie et la police, on pouvait aussi venir annoncer son décès. Courage et fraternellement à toi.
Le 8 avril 2013 à 23:22, par le yoayoaga En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
"ne fais pas comme les gars de la santé", tu es un aigri au carré. laisses le peuple lutter pour survivre. Saches que sans les gars de la santé, tu prendras ton ticket de l’autre côté. Nos dirigeants ne s’en fichent pas mal de nous, ce qui les préoccupent c’est leurs postes. et ce qui me révolte c’est que nos dirigeants passent tout leur temps à dire que le pays va bien , or tout le peuple est dans la misère (sauf un petit cercle restreint) .Ensemble luttons contre toutes les formes d’injustices qui minent notre pays. na la ara na sa ara !
47. Le 8 avril 2013 à 14:12, par VAGABOND En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Vive le prinptemps des grèves de la faim ! ANEB, UNEF, MEFA, AIBACOF, MANGER, VENTRE, PANSE... Prenez exemple et luttez de la sorte pour la prise en compte de vos plateformes revendicatives !
48. Le 8 avril 2013 à 14:29, par Billy En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Moi, j’aimerai que les burkinabé ne s’embarquent pas ds des histoires sans lendemain. C’est quedal ce que notre désespéré raconte. Je crois que dans tt service il ya une hiérarchie et un budget voté annuellement pr son fonctionnement. Bn bref, penses tu qu’il n’ya pas de probleme ds les autres services ou quoi ? Tous veulent vivre aisement mais on se garde de le faire au dessus des moyens qu’on possède. Ns sommes tous burkinabé mais ns ne sommes ni de la même catégorie sociale ni de la même catégorie salariale. Tu aurait mieux fait de te renseigner avant d’opter pr ce corps. Si tu crois que le travail abattu par les gendarmes pdt la mutinerie a été apprécié financièrement tu te trompe mn frère. En attendant travaille pr la nation en bn burkinabé. Mais dit, tu mange maintenant ou pas. Tu peux ajouter la bière même car tu as dû économiser 2 jrs de nassongo. Courage !!!!!!!!
Le 8 avril 2013 à 16:37, par L’aigri En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Billy,je vois que tu fais partie de ceux qui vivent les yeux fermés...quand tu aura un parent a la maco tu comprendras....si les detenus sont arnaqués c’est pcq ceux qui les gardent n’ont rien a manger...donc que leur leurs conditions soite ameliorées....
49. Le 8 avril 2013 à 14:56, par Pokolé En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Bon courage mon frère.
50. Le 8 avril 2013 à 15:37, par Sylvain En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Hier nous vivions dans un conflit latent au BF, aujourd’hui le conflit est ouvert, évitons qu’il soit violent demain. Chers membres du gouvernement, réagissez face à la voix du peuple qui gronde de faim SVP.
Le 9 avril 2013 à 12:21, par Moses En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Mr Sylvain, je suis entierement d’accord avec vous. Je pense qu’il est grand temps que la machine dirigeante ouvre l’oeil et surtout le bon.
51. Le 8 avril 2013 à 15:46, par UN ANCIEN DETENU En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Monsieur Bado, je peux comprendre que vous soyez dans le désespoir, dans votre CAS PARTICULIER, , mais, de grâce, ne présentez pas TOUS les GSP comme de braves combattants, au service de la nation et VICTIMES d’une injustice sans pareille. Vous êtes peut un quelqu’un de bien, mais vous semblez mal connaitre vos collègues. J’ai été détenu à la MACO et j’ai pu voir à quel point LA PLUPART des GSP arnaquent les détenus et leurs pauvres visiteurs (dont certains sont des vieilles comme vous le dites). Chaque visiteur doit débourser environ 2000 frs (et plus vous donnez, plus longtemps dure votre temps de visite). Parallèlement, vous racquettez les prisonniers (vous ne remettez JAMAIS la monnaie quand un prisonnier vous commissionne ; si un prisonnier ne vous graisse pas régulièrement la patte, vous pouvez laisser poiroter son visiteur sous le hangar, avant de l’appeler, pour écourter son temps de visite ; il faut vous payer cher pour aller dans le pavillon des fonctionnaires,...). Et ne faites pas comme si les 700 visiteurs du weekend sont un fardeau pour vous, car ils constituent une source considérable de revenus. J’ai entendu de la bouche même d’un GSP que certains d’entre vous peuvent encaisser au moins 100.000 le weekend. A cela s’ajoutent les sorties arrangées (qu’il faut payer) que vous accordez à certains détenus.
Si un journaliste s’amusait à faire une enquête auprès des anciens détenus et auprès des personnes ayant eu à faire avec la MACO (ancien détenu, parent d’ancien détenu, parent de détenu), il verra que ce que je raconte n’est que le SOMMET DE L’ICEBERG.
Cela dit, contrairement à ce que vous pensez, ILS SONT NOMBREUX les vaillants fonctionnaires qui travaillent bcp plus que vous (certains travaillent 12 à 16 h par jours : enseignants (préparation des cours, administration des cours, correction des copies,…), médecins (j’ai souvent vu certains faire 2 jours de garde d’affilés), administratifs (passez dans certains Ministères et vous verrez des fonctionnaires SILENCIEUX qui travaillent jusqu’à 20h ou même 22h pour faire avancer le pays) ,...).
Concernant vos conditions de travail, prenez d’autres exemples car RIEN ne vous oblige de vous assoir là ou un caca de détenu peut tomber, pour manger. Et croyez-moi, il est plus agréable de manger au sein de la MACO, qu’à l’intérieur de l’hôpital YALGADO.
Loin de moi, l’idée de défendre le Gouvernement, car cette injustice dont vous faites cas est bien réelle. Il y’a une discrimination flagrante dans les traitements que cela ne peut que révolter les travailleurs victimes et « honnêtes » comme vous. Ce qui me fait réagir, c’est le fait que vous vouliez placer votre corps de métier sur un piédestal et le présenter les GSP comme les plus grands travailleurs de la République
52. Le 8 avril 2013 à 15:59, par le justicier En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Je t’encourage BADO ! Honte aux agents de l’administration générale qui ne font rien obtenir un statut particulier à l’instar des agents de la police.Cela me fend le coeur de savoir que les assistants de police (cat C 180.000f) qui sont assis sous le hall du batiment qui abrite le ministère de l’administration du territoire et de la sécurité touchent de loin mieux qu’un administrateur civil (cat A 150.000f).
Le 8 avril 2013 à 16:33, par jedidia En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Monsieur BADO, noble est la lutte que vous avez entreprise et belle est votre initiative. Mais je déplore un peu votre égoisme car je pense que vous auriez pu aller jusqu’au bout, en vous immolant par exemple et cela pourrait servir pour nous les vivants.
Et puis, je ne suis pas d’acord avec les comparaisons que vous faites avec les autres corps. Nous sommes tous des policiers certes, mais les servitudes sont-elles les memes ? Peut-on comparer le chasseur à celui qui est chargé de vendre la viande de lion ? La réponse est non car le premier a affire au lion vivant avec tout le risque que cela comporte, le second n’ayant affaire qu’au lion mort donc sans moins. Excusez-moi pour la caricature peut-etre trop sévère, mais c’est pour m’appuyer sur la comparaison que monsieur BADO a voulu établir entre les grands bandits et les prisonniers.
Mais en définitive, il faut réconnaire que les salaires des fonctionnaires au Faso sont trop bas et mérite une bonne révalorisation.
Le 8 avril 2013 à 17:00, par La paix En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Monsieur le Justicier, je pense que l’heure n’est pas aux comparaisons mais plutôt à aider M. Bado à trouver une solution à son problème. Il peut mener sa lutte, c’est normal du moment qu’il a un droit de grève. je suis particulier et je sais que la police est un corps paramilitaire comme la GSP, mais n’a pas un droit de grève, contrairement à la GSP. En plus, les missions ne sont pas pareilles. Et je sais aussi, selon mes propres convictions, que les corps s’entendent. Donc cher ami JUSTICIER, ne compare pas ce qui est incomparable. D’abord le policier, tout comme le gendarme travaille de jour comme de nuit et ne connait pas de jour férié ni chomé. Combien d’hommes de tenue sont tombés sous les balles assassines des malfrats ? Là on ne parle pas. Je pense qu’il mérite ce qui leur revient. Ils sont exposés aux attaques à tout moment aussi bien même du coté de la population que des délinquants. De grâce, ne mettons pas les corps en conflits, même si vous êtes un administrateur civil. Vous avez des amis ou des frères policiers ou gendarmes, soyez fier de leur situation, comme le dit l’adage ’’célébrons la victoire d’autrui et cherchons à etre comme lui’’. Juste ma contribution en tant que particulier en quête d’emploi.
53. Le 8 avril 2013 à 16:19, par mammouth En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
"Nous gardons des détenus mais nous ne sommes pas des détenus". Je voudrais dire ici que les détenus sont des êtres humains comme tous autres personnes et ont de ce fait des droits. Ils ne sont pas relégués au second plan et méritent d’êtres traités comme tel car ils sont tout simplement en conflit avec la loi. Quoi de plus normal que les GSP aient des droit de revendiquer comme tout autre fonctionnaire régit par la loi 013 de 1998. Par conséquent, le combat du sieur Bado est peut noble mais manque de légalité en ce sens que la loi 013 dans aucunes de ses dispositions n’a prévu la grève de la faim. De même une grève se fait sur la base d’une organisation bien structurée appelé syndicat. Je pense bien qu’il se torture alors que le temps du carême chrétien vient de passer. Comme conseil, je suggère qu’il s’alimente par ce que naturellement tous la quasi totalité des burkinabè font une grève de faim chaque jour. Monsieur Bado souffre par ce qu’il est fonctionnaire. Au Faso le revenu versé à un fonctionnaire s’appelle un traitement et dans ce mot on peut ressortir le mot traite qui signifie esclave. Solution, va ailleurs , c’est tout simple.
Le 8 avril 2013 à 16:31, par Ledore En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Ah ah pauvres fonctionnaires soufrez d’être pauvres et endettes.moi Ledore je creuse
Comme un rat pour gagner l’or.et après je vis 1000 à l’heure.souffrez encore et encore c’est pas bureau vous voulez ?
54. Le 8 avril 2013 à 16:32, par le fou sage En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
que ce mr bado nous laisse tranquille. quand on veut te laver le dos, lave toi le ventre. les journalistes se sont déplacés pour venir t’aider. on te pose des questions et tu dit que c’est question militaires. prends tes bagages et va t’assoir devant chez les militaires si tu ne veux pas qu’on saches ce que vous vous êtes dit. ce qui est sure quand la parole qu’on t’a donner ne sera pas respecté, faut plus faire grève de faim, brule toi très bien jusqu’à noircir.
Le 8 avril 2013 à 17:17, par pointdevue En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
suis daccord avec le fou sage !
55. Le 8 avril 2013 à 16:39, par APAZO DE BARBESS En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
pour une cause noble l’etat devait y penser avant que cela n’arrive en toute franchise au niveau de la cellule judiciaire ces auxilliaire sont delaisser gouvernement rendez leurs condition de vie saine et meritant faite un debriffing et de constater dans quel condition il vivent
Le 8 avril 2013 à 17:12, par pointdevue En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
de mon point de vue, la majorite des fonctionnaires burkinabe se plaignent de faible salaire. en d’autres termes le phenomene est partout. si chacun doit se mettre a se plaindre je crois que l’on va assister inexorablement a un chaos. Cependant je suis d’accord que le gouvernement doit travailler a ameliorer les conditions de travail ; j’entend par la le cadre de travail !
56. Le 8 avril 2013 à 17:12, par le bon citoyen En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Bonsoir,
Voilà venir la fin du syndicalisme de masse. Car au burkina, le syndicalisme est miné et inféodé au pouvoir.
Les Tollé et autres dînent avec le pouvoir. et leur rôle, c’est d’endormir les travailleurs
Le 8 avril 2013 à 20:30 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Parait même que la majeur partie des dirigeants des syndicats actuellement sont des retraités depuis plusieurs années ! Il faudrait qu’on en parle. Certainement qu’ilya du bon dedans sinon ça ne s’explique pas. Ils ne parlent meme pas de partir. Et on va dire qu’on lutte pour les travailleurs. Cherchons à comprendre.
57. Le 8 avril 2013 à 17:15, par Blaise En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Vous saviez la Fonction Publique, c’est l’injustice criard. Le système a peur de ceux qui ont les armes. Ce que le GSP de catégorie a , son collègue de catégorie C au niveau des administratifs a moins de 30 000 que celui de GSP et n’en pas parlons de ceux de la police. il faut corriger ces traitements discriminatoires. Vous encourager les élèves à couper court dans leurs études vu la situation que certains cadres vivent.
Le 8 avril 2013 à 19:41 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Les concours sont ouverts à tous donc faites vos choix
58. Le 8 avril 2013 à 17:21, par Pikass En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Merci, ANCIEN DETENU, pour tes éclaircissements :
Monsieur Bado, je peux comprendre que vous soyez dans le désespoir, dans votre CAS PARTICULIER, , mais, de grâce, ne présentez pas TOUS les GSP comme de braves combattants, au service de la nation et VICTIMES d’une injustice sans pareille. Vous êtes peut un quelqu’un de bien, mais vous semblez mal connaitre vos collègues. J’ai été détenu à la MACO et j’ai pu voir à quel point LA PLUPART des GSP arnaquent les détenus et leurs pauvres visiteurs (dont certains sont des vieilles comme vous le dites). Chaque visiteur doit débourser environ 2000 frs (et plus vous donnez, plus longtemps dure votre temps de visite). Parallèlement, vous racquettez les prisonniers (vous ne remettez JAMAIS la monnaie quand un prisonnier vous commissionne ; si un prisonnier ne vous graisse pas régulièrement la patte, vous pouvez laisser poiroter son visiteur sous le hangar, avant de l’appeler, pour écourter son temps de visite ; il faut vous payer cher pour aller dans le pavillon des fonctionnaires,...). Et ne faites pas comme si les 700 visiteurs du weekend sont un fardeau pour vous, car ils constituent une source considérable de revenus. J’ai entendu de la bouche même d’un GSP que certains d’entre vous peuvent encaisser au moins 100.000 le weekend. A cela s’ajoutent les sorties arrangées (qu’il faut payer) que vous accordez à certains détenus. Si un journaliste s’amusait à faire une enquête auprès des anciens détenus et auprès des personnes ayant eu à faire avec la MACO (ancien détenu, parent d’ancien détenu, parent de détenu), il verra que ce que je raconte n’est que le SOMMET DE L’ICEBERG. Cela dit, contrairement à ce que vous pensez, ILS SONT NOMBREUX les vaillants fonctionnaires qui travaillent bcp plus que vous (certains travaillent 12 à 16 h par jours : enseignants (préparation des cours, administration des cours, correction des copies,…), médecins (j’ai souvent vu certains faire 2 jours de garde d’affilés), administratifs (passez dans certains Ministères et vous verrez des fonctionnaires SILENCIEUX qui travaillent jusqu’à 20h ou même 22h pour faire avancer le pays) ,...). Concernant vos conditions de travail, prenez d’autres exemples car RIEN ne vous oblige de vous assoir là ou un caca de détenu peut tomber, pour manger. Et croyez-moi, il est plus agréable de manger au sein de la MACO, qu’à l’intérieur de l’hôpital YALGADO. Loin de moi, l’idée de défendre le Gouvernement, car cette injustice dont vous faites cas est bien réelle. Il y’a une discrimination flagrante dans les traitements que cela ne peut que révolter les travailleurs victimes et « honnêtes » comme vous. Ce qui me fait réagir, c’est le fait que vous vouliez placer votre corps de métier sur un piédestal et le présenter les GSP comme les plus grands travailleurs de la Républiqu
59. Le 8 avril 2013 à 18:28 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Le gourounssi là, si tu veux avoir bcp d’argent, c’est pas a la fonction publique ! Retourne trankillement a la terre. C’est tertius zongo ki l’avait dit. LA TERRE NE MENT PAS.
Et puis, tout ce ki dise kil faugmenter les salaires la, on augmente rien ici. petit travail, petit salaire. Dans les administrations, ils ne sont pas nombreux a venir a l’heure. Meme s’il sont là, ils vont prendre 1 heure de temps pour leur ptit déj avant de commencer le boulot. A 10H ils desertent les bureau pr se retrouver dans les maquis. Comme si l’heure de petit dejeuner est compris dans le temps de travail.
60. Le 8 avril 2013 à 20:07, par IMPARTIAL En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Diendéré est parti connaître chez toi ? Yaako !!! Si j’étais ton voisin dans cour commune, je démémagerais de peur d’être abatu ou empoisonné par erreur à ta place. Ta lutte est noble mais ton interlocuteur l’est moins.
61. Le 8 avril 2013 à 20:12, par Papou En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Soutien a vous ; je vs laisse cet article en bas qui peut vs encourager d’avantage
C’est du rarement vu. Les gardiens des prisons genevoises ont manifesté leur colère lundi en fin de matinée. Pendant une grosse demi-heure, les surveillants ont débrayé devant la surpeuplée geôle de Champ-Dollon. Cette dernière, qui compte quelque 800 détenus pour 370 places, ne leur permet plus de travailler dans des conditions normales. Ils craignent de gros problèmes compte tenu de l’engorgement que connait l’établissement. Les gardiens demandent aussi plus de moyens et d’effectifs, et que cessent les promesses non tenues du département de la sécurité de Pierre Maudet.
Ces mêmes gardiens ont également défilé jusqu’aux prisons voisines de Favra et de la Brénaz. Dans ces dernières, la gestion des directions est fortement remise en cause par les agents de détention qui dénoncent l’incompétence des responsables.
62. Le 8 avril 2013 à 20:43, par L’aigri En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Mr bado reclame juste un droit parceque je statut particulier est prevu dans la constitution pour les officiers ministeriel,l’armee,les mgistrats et les auxilliaires de justice...donc qu’on leur accorde leur droit....c’est en faite une reparation d’une injustice de l’etat burkinabé....bombe en retardement....
63. Le 8 avril 2013 à 21:27, par TANKUS En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Nous sommes dans un monde où chacun se cherche.le GSP BADO a trouvé sa stratégie pour sortir la tête l’eau.Pourquoi l’envouloir pour cela ?courage à toi BADO mais prochainement entame ta chose sans essence et briquet.
64. Le 8 avril 2013 à 21:59, par burkibila En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Les choses ne font de commencer. Il faut que l’État augmente les salaires et les indemnités des fonctionnaires. Si on paye 800 000 aux députés et aux ministres ce qu’on a l’argent. Dans les jours à venir je suis sur beaucoup irons acheter de l’essence et des briquets.
65. Le 8 avril 2013 à 22:44, par le cb En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
le Burkina est un pays dont les richesses sont suffisantes si reparties équitablement à la population. C’est un pays où l’autosuffisance existe mais le peuple reste dans la miseère. cette misère se trouve entretenue par un régime en place. Chez nous, le chef de famille assume la responsabilité des problèmes de sa famille. le régime en place doit aussi s’assumer. Aujourd’hui, le peuple se trouve dans une misère indescriptible. les citoyens honnètes et bien devouer au travaille qui ne dependent que de leur salaire se retrouve perpetuellement en difficultés. Alors que de l’autre coté, des fonctionnaires de la même catégories , parce que militant ou ayant des liens avec des dignitaires du regime se trouve dans une abondance injuste. Il faut que celà cesse. Sinon le pays sera enterré dans la décénies suivante. Je connais des GSP de même catégorie que M. BADO et qui ne mesurent même pas à des médecins spécialistes. Il s’agit d’un pays qui sombre.
66. Le 8 avril 2013 à 22:50, par Le Debf En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Bonsoir,
Je pense franchement que ça suffit comme ça ! N’importe quel farfelu se lève, menace de mettre fin à ses jour et c’est l’émoi dans le pays ? On est où là ? Où est l’Etat ?
Ce monsieur est garde pénitentiaire. Ca veut dire qu’il a fait un concours, est fonctionnaire de l’Etat et en connait les conditions. Il appartient à une corporation qui a un syndicat auquel il appartient ou non. Les problèmes qu’il soulève ne peuvent être ignorés de tous les autres. Il y a des voies légales pour poser sainement les problèmes. On ne prend pas les gens en otage et penser que tout va bien se passer. De qui se moque-t-on ? Pourquoi ne s’est-il pas immolé ? Y’en a marre aussi dans l’autre sens. Je ne suis pas du CDP et je n’appartiens à aucune structure du pouvoir. Mais, enfin, il nous faut savoir être un peu responsables. C’est quoi ce cinéma ?
Après ce monsieur de la société de filature, c’est un garde pénitentiare. Il faut le radier. Il faut que les gens arrêtent de faire n’importe quoi pour se rendre intéressants, sous le couvert de l’Etat de droit et de la liberté. C’est de l’anarchie et du désordre, toutes choses contraires aux conditions pour le développement. donc à condamner fermement !
67. Le 8 avril 2013 à 23:16, par Na n’lara an sara En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
M. B.H, Je vous dire que c’est tout simplement de l’indiscipline et vous serez traité comme tel tôt ou tard. Bcp d’internautes vous ont demandé de démissionner et je pense qu’ils ont raison. Voyez-vous on a obligé à rester dans la fonction publique tout comme on ne vous empêche de mener des activités parallèles. En bon gournsi vous devez apprendre à votre femme et vos enfants à se débrouiller. Je vous le dit, c’est vraiment dommage que vous comptiez uniquement sur votre salaire pour vivre surtout à Ouagadougou. Même Feu KANZOE, AlIZETA OUEDRAOGO, LASSINA DIAWARA, BARRO DJANGUINABA, ont diversifié leurs sources de révenus. C’est important. Vous me direz que que votre ne permet de démarrer d’autres affaires ? Faux je vous répondrai. Dites à madame de vous du savon liquide ou en boule,que vous allez vendre aux détenus et certains de vos collègues. Vous serez leur source d’inspiration, leur modèle. Ne craignez pas les jalousies, les médisances, les calomnies et autres dénonciations........ Fais tout ça honnêtement. Sinon il ya l’injustice partout. Tenez, on parle de plus en plus de statut particulier de l’enseignant du primaire, et on oublie ceux du secondaire, ceux-là même qui ont une capacité de nuisance insoupçonnée par l’utilisation des adolescents comme en 2011. Attention à trop d’injustice gens du pouvoir. Mais je reste convaincu que si le fonctionnaire se sent brimer il peut toujours rompre le contrat à l’Etat. N’ayez pas de l’échec ou des débuts difficiles. Le Burkina est un pays en chantier et il y a bcp d’opportunités. Essayez vous n’allez jamais regretté d’avoir la fonction publique avec ses salaires indescriptibles sur une page net. Courage à tous les BURKINABE. "Na n’lara, an sara" avait dit Feu J. KY-ZERO
Le 9 avril 2013 à 10:15, par minsmin En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Mr BADO a raison de mener sa lutte. Si cette situation actuelle est œuvre du gouvernement. Le Burkina Faso forme un tous, si le gouvernement décide d’augmenter la situation d’un corps sans se fonder sur des base justifiable ça ne peut que conduire à de tel désordre. Vous pensez que la grogne va s’arrêter là sa non ce n’est que le début car tous les corps vont revendique pour avoir un statut particulier. La police dont on cite, il y’ a quelques années était le corps le moins lotis du Burkina mais se retrouve aujourd’hui le corps le plus coté. Vous pensez que les corps ne mérite de voir leur situation s’améliorer.
C’est quel pays ou un agent de niveau BEPC touche mieux que un agent de cycle A. L’image que nos gouvernant veulent donner à la jeunesse est la suivante. : les long étude ne servent à rien fait
Le 9 avril 2013 à 13:59, par SKATH En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
MR LAPAIX CONFOND LE SERVITEUR AU ROI JUSTE T’INFORMER QUE LES GSP SONT FORMER DANS UNE ÉCOLE QUI APPARTIENT A LA POLICE ET LES MISSIONS DE LA POLICE N’ONT RIEN A AVOIR AVEC CELLES DES GSP.IT IS CLEAR ????????
Le 9 avril 2013 à 15:07, par Cheik Omar En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Minsmin, arrete tes mesquineriex ; sI TU N4ES PAZ CONTENT DE TON SORT, demission ou quitte de là où tu es et va preparer le concours de la Police que tu semble envier tant. Esperant que tu sera retenu, ce qui n’es pas sur............
Le 9 avril 2013 à 18:21 En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
merci au fasonet de permettre cette libre expression. Pourquoi les GSP envient la Police et la Gendarmerie ? Qlqn pour m’expliquer car moi personnellement j’ai des freres dans ces deux corps mais qui ne sont pas aussi épanouis que les GSP le pretendent seulement mes deux freres sont constants de servir loyalement la
68. Le 9 avril 2013 à 05:12, par karatou En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
du courage à toi Bado, tous les blablablas que les uns et les autres ont dit c’est bien, mais je retiend qu’il y a beaucoup d’aigris dans ce pays chacun cherche sur qui reverser sa colère,si je comprend pas pourquoi les uns parlent de statut que Bado n’as pas fait, les autres parlent de comparaisons dont il n’a citer le nom de quelqu’un, n’est-il pas bien d’envier et chercher a ressembler celui qui est devant toi ? vous parlez beaucoup, pourquoi ça n’a pas été un Douanier ou un Forestier, vous savez ce que ces pauvres GSP vivent dans les prisons ? les Douaniers gagnent avec les commerçants, les Forestiers gagnent avec les commerçants et les chasseurs les Policiers gagnent dans les sites miniers,dans les postes de police frontalier et dans certains dossiers qu’ils traitent a leurs niveau et aussi le service payer. dites moi franchement le GSP peut traiter avec qui ? pas avec les détenus vulnérables qui sont dans les prisons, car les gourous n’arrivent même pa làbà.
69. Le 9 avril 2013 à 06:27, par sambiga En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
ahhh là, je ne peux que souhaiter du courage, car la lutte n´est pas facile, mais j´espère que ca aboutira.
comme on parle d´amélioration, je vais généraliser le cas :
il faudrait que lefaso.net écrivent un article sur la télécommunication au pays... Privatisation != sabotage. les Sieurs de l´ONATEL ...
70. Le 9 avril 2013 à 06:55, par SKATH En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
ATTENTION A NE PAS CONFONDRE VITESSE ET PRÉCIPITATION ON A DIT A MR BADO D’ATTENDRE MERCREDI ET IL EST FIÈRE C’EST TA RÉVOCATION QU’ON VA LIRE DANS CONSEIL DES MINISTRES LA.WAIT END SEE
Le 10 avril 2013 à 21:30, par REL En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
La révocation sera toujours a votre niveau.Il n’est pas donné n’importe quel corps farfelu de recevoir la visite du GOLF.Demande a d’autres qui ont commencé y’a très longtemps qui les a écouté.
71. Le 9 avril 2013 à 08:07, par CASTRO LE REPUBLICAIN En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
La question fondamentale est de savoir reconnaitre les mérites,ce n’ai pas la beauté du chat qui fait de lui un ami de l’homme,c’est à cause de sa servitude.nous luttons contre le grand banditisme à travers la conjugaison de nos forces,dommage qu’après arrestation des déchets de la société la lutte contre ce fléau s’arrête " quelle démocratie,quel pays"on ne se pose plus la question à savoir où ils sont et comment ils sont garder.
72. Le 9 avril 2013 à 08:44, par mogo En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
les responsables de la GSP sont complices dans cette affaire. sinon comment comprendre que dans un corps de discipline quelqu’un puisse se comporter ainsi sans que ces responsables l’en empêche. imaginer vous que dans l’armée, la gendarmerie ou la police on permette cela mais on est où là !!!!!!!!!!!!
Le 9 avril 2013 à 16:11, par consciencieux En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Bonne remarque mogo, il me semble même que leur rouamba leur a promis que tant qu’il sera leur DG ils auront le statut.En tout cas messieurs de la santé et de l’enseignement, restez vigilants, si jamais le gouvernement donne suite favorable à ce corps avant vous, prenez le pays en otage. Un jeune corps qui est pressé d’être mieux traité que les vieux corps.Monsieur le PM revoquez le zéllé de rouamba de son poste de DG et l’envoyer à baporo.
73. Le 9 avril 2013 à 09:01, par shalom En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
ce poltron la !! tu viens t’asseoir avec de l’essence et un briquet ! c’est pour se faire voir ouais et il dit de ne pas parler de l’essence. Poltron la si tu es garçon essai on va voir. essence et briquet tchrrrrr faut t’immoler on va voir.
Le 9 avril 2013 à 13:35, par pagomdezalem En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
avec le net tout est permit et que tu as le courage de parler de la sorte. devant Bado tu naura pas le courage de l’insulter. je sais que Bado est un commando plein formé au CENEC de PO et à l’école de police et au GIFA. respectons nous
74. Le 9 avril 2013 à 11:08, par saala En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Mr Bado tu pouvait le concour de la Douane non ? je pense que quand on choisis un metier c’est parce qu’on aime ce metier donc tu peut lutter mais pas de cette manière si non je dirai que tu est mentalement malade
Le 9 avril 2013 à 12:58, par benga En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
bien dit mogo. une nette complicité de la hiérarchie ;sinon il peut rendre sa démission avant de s’imoler
75. Le 9 avril 2013 à 11:16, par Le sage En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Bonjour à tous les internautes, la situation de M. BADO n’est pas compatible avec l’humour de certains intervenants si vous voulez que ce forum soit crédible et puisse porter ses fruits.
Le fait que le Général Gilbert DIENDERE ait rencontré Monsieur BADO est une preuve que les autorités ont d’ores et déjà pris ce problème de conditions excécrables des GSP. Prions que les solutions qui seront trouvés satisfassent ce corps para-militaire.
Mais une réflexion : Faut-il attendre toujours des cas désespérés comme Monsieur BADO pour régler les problèmes ? Cela s’appelle gouverner à vue.
Ces problèmes devaient être réglés dans une loi de programmation des corps para-militaires. Le cumul du ministère de la défense avec celui du Poste de Président est un mauvais choix et prouve que la situation n’est pas maîtrisable. Une seule intincelle peut faire partir le pays en lambeaux.
C’est pourquoi les autorités de notre pays doivent faire en sorte que la gestion de tous les secteurs soient confiés à des programmateurs compétents qui pourraient permettre d"éviter ces situations déplorables.
Enfin, M. BADO a bien fait de préférer la rencontre avec le Général qu’avec le Premier Ministre car le pauvre ne maîtrise rien. Que la sagesse guide chacun de nous...
76. Le 9 avril 2013 à 11:28, par zizou En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Très réfléchis comme action.On gagnerai à avoir de meilleurs mentalités.
77. Le 9 avril 2013 à 12:50, par joseph bonkoungou En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
mr.bado vous avez observé une grève de faim pour le blaiso voit le cas des gsp fallait vous donner en sacrifice expiatoire pour améliorer les conditions de vie des autres gsp coe le Christ l’a fait pour sauver le genre humain
78. Le 9 avril 2013 à 20:11, par l’éleveur En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
Un homme était constamment en prière, il reçut un jour la visite d’un ange qui lui dit :<< demandes-moi maintenant tout ce que tu veux et je te le donnerai, mais je donnerai à ton voisin le double de ce que tu me demanderas>>. Le bonhomme répondit :<> Que le BON DIEU exhausse les requêtes les meilleures de chaque Burkinabè !!!!!!!!!!!!!!! Amen Amen Amen ……………….
79. Le 20 décembre 2013 à 22:49, par PAR SOUPI En réponse à : Hippolyte Bado, garde de sécurité pénitentiaire, gréviste de la faim : « Nous sommes avec des détenus, mais nous ne sommes pas des détenus ! »
mon frère bado votre lutte est légitime mais vous n’etes pas credible quand vous vous comparer aux autres corps paramilitaires. policiers national et gsp sont formés tous a l’E.N.P mais je t’informe kil non aucune matiere en commun donc n’ont pa le meme profil. prenon l’exemple sur le juge et l’administrateur civil qui sont former dans la meme ecole mais qui non pas le meme traitement salarial.donc mn frere bado reclame ce qui a trait a ta fonction peut etre que tu aura mieu ke le policier au lieu de te comparer a lui