Tchad : Idriss Déby élevé officiellement à la dignité de maréchal
12 août 2020, 01:14, par
AB
"" Internaute Lom Lom qu’est ce que vous avez contre nos gradés. Ailleurs ils sont appréciés.""
Le vieux sage, LomLom a raison. C’est où ailleurs que nos gradés d’aujourd’hui là sont appréciée ? Donne-nous s’il te plait des exemples concrets de cette appréciation d’ailleurs de nos gradés là par des faits factuels pour nous édifier. On en a besoin car actuellement, la posture de nos gradés pose question à plus d’un burkinabè. De nos jours, avec ce qui se passe comme attaques terroristes dans la zone dite des trois frontières, les médias notamment occidentaux mais pas qu’eux, disent souvent dans leurs commentaires que l’armée burkinabè mal structurée désormais, est en déliquescence et ne fait nullement le poids face à la percée terroriste sur son territoire. Pendant ce temps, nos gradés pilulent dans les bureaux, dans les représentations diplomatiques, les grosses villas, les grosses voitures en ville, sans oublier les maquis, les 2ème, 3ème ou 4ème bureau... Cela frise l’insouciance.
Idriss Deby, tout chef d’Etat qu’il est, sait aller au front avec ses troupes. Au moins, lui, il sait pourquoi il est militaire.
Des fois, on se demande si les nôtres (pas tous mais beaucoup d’entre les gradés) savent pourquoi l’argent du contribuable les a formés au métier des armes. Est-ce qu’on leur a vraiment appris l’engagement qui est lié au métier des armes et le sens de l’honneur qui va avec surtout en temps de guerre ?
Moi, je serais tenté de répondre oui tout en étant dubitatif malgré tout, vu ce que nous vivions aujourd’hui au Burkina avec cette guerre contre le terrorisme et la recrudescence du banditisme organisé sous-couvert de terrorisme parfois.
"" Internaute Lom Lom qu’est ce que vous avez contre nos gradés. Ailleurs ils sont appréciés.""
Le vieux sage, LomLom a raison. C’est où ailleurs que nos gradés d’aujourd’hui là sont appréciée ? Donne-nous s’il te plait des exemples concrets de cette appréciation d’ailleurs de nos gradés là par des faits factuels pour nous édifier. On en a besoin car actuellement, la posture de nos gradés pose question à plus d’un burkinabè. De nos jours, avec ce qui se passe comme attaques terroristes dans la zone dite des trois frontières, les médias notamment occidentaux mais pas qu’eux, disent souvent dans leurs commentaires que l’armée burkinabè mal structurée désormais, est en déliquescence et ne fait nullement le poids face à la percée terroriste sur son territoire. Pendant ce temps, nos gradés pilulent dans les bureaux, dans les représentations diplomatiques, les grosses villas, les grosses voitures en ville, sans oublier les maquis, les 2ème, 3ème ou 4ème bureau... Cela frise l’insouciance.
Idriss Deby, tout chef d’Etat qu’il est, sait aller au front avec ses troupes. Au moins, lui, il sait pourquoi il est militaire.
Des fois, on se demande si les nôtres (pas tous mais beaucoup d’entre les gradés) savent pourquoi l’argent du contribuable les a formés au métier des armes. Est-ce qu’on leur a vraiment appris l’engagement qui est lié au métier des armes et le sens de l’honneur qui va avec surtout en temps de guerre ?
Moi, je serais tenté de répondre oui tout en étant dubitatif malgré tout, vu ce que nous vivions aujourd’hui au Burkina avec cette guerre contre le terrorisme et la recrudescence du banditisme organisé sous-couvert de terrorisme parfois.