Insurrection populaire au Burkina : Une victoire du peuple contre le non-respect des engagements constitutionnels, selon le président Roch Kaboré
2 novembre 2019, 13:21, par
Macaire
Monsieur Colts-Pacer, nous passons tout le temps à répéter que le pardon ne signifie pas l’impunité. Roch est la première personnalité à lancer publiquement l’idée d’une modification de l’article 37. Sa responsabilité est donc très grande dans cette affaire. C’est lui qui a sorti le fauve de sa cage. A ce titre, tout en acceptant sa "demande de pardon", on aurait dû rejeter sa candidature à la présidentielle de la même façon qu’on a bloqué ceux qui ont "soutenu" cette modification....
Heureusement, en lisant les autres posts, on se rend compte que les Burkinabè ne sont pas dupes sur cette question.
Monsieur Colts-Pacer, nous passons tout le temps à répéter que le pardon ne signifie pas l’impunité. Roch est la première personnalité à lancer publiquement l’idée d’une modification de l’article 37. Sa responsabilité est donc très grande dans cette affaire. C’est lui qui a sorti le fauve de sa cage. A ce titre, tout en acceptant sa "demande de pardon", on aurait dû rejeter sa candidature à la présidentielle de la même façon qu’on a bloqué ceux qui ont "soutenu" cette modification....
Heureusement, en lisant les autres posts, on se rend compte que les Burkinabè ne sont pas dupes sur cette question.