Déplacés de Sirgadji : Rahouf, l’enfant de quatre ans qui a fui les terroristes
14 juin 2019, 08:27, par
Sphinx
Moi j’ai deux remarques sur cet écrit :
Le phénomène de réfugiés internes du fait du terrorisme ne date pas d’aujourd’hui. A ouaga il y a plusieurs foyers de réfugiés venant du Sahel. Mais tant que l’action sociale ne fait pas son travaille de recensement, ces foyers vont rester dangereusement dans l’anonymat... j’ai l’impression que Mme le ministre joue à la politique de l’autiche ;
L’indication géographique du quartier Pazani n’est pas suffisante. Depuis la recomposition des secteurs et arrondissements de Ouaga, les Burkinabé ont perdu les repère géographiques de la capitale. Des villages se sont rattachés à la ville et malheureusement, ces village prennent de nouveaux noms au détriment de leurs noms d’origine. Dans le cas de Pazani, il aurait fallut donner le noms de "l’ex village" ou "l’ex secteur".
Moi j’ai deux remarques sur cet écrit :
Le phénomène de réfugiés internes du fait du terrorisme ne date pas d’aujourd’hui. A ouaga il y a plusieurs foyers de réfugiés venant du Sahel. Mais tant que l’action sociale ne fait pas son travaille de recensement, ces foyers vont rester dangereusement dans l’anonymat... j’ai l’impression que Mme le ministre joue à la politique de l’autiche ;
L’indication géographique du quartier Pazani n’est pas suffisante. Depuis la recomposition des secteurs et arrondissements de Ouaga, les Burkinabé ont perdu les repère géographiques de la capitale. Des villages se sont rattachés à la ville et malheureusement, ces village prennent de nouveaux noms au détriment de leurs noms d’origine. Dans le cas de Pazani, il aurait fallut donner le noms de "l’ex village" ou "l’ex secteur".