Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Dialogue social : Gouvernement et syndicats se séparent en queue de poisson
22 mai 2019, 11:44, par
Ka
Si le Burkina est toujours embourbé dans son sous-développement, c’est à cause des rencontres très importants avortés entre gouvernants et ceux de la lutte des classes, des personnes qui ne sont pas capables de se mobilisé sérieusement autour de grand objectifs et de faire passer l’intérêt général avant les intérêts personnels. Ici je redis à mon camarade le premier ministre qu’un régime qui refuse d’entendre les critiques et aussi les interpellations des responsables de luttes des classes, et, pire, qui veut les faire taire par tous les moyens possibles et imaginables, n’a aucun avenir dans un pays comme le Burkina dont depuis la nuit des temps, a été cité en exemple dans le continent pour sa vitalité de lutte contre l’injustice et l’impunité et aussi des abus des présidents qui se prenaient pour des dieux en oubliant son peuple. Tous les Burkinabé confondus, du fonctionnaire de l’état aux cultivateurs, du commerçant aux balayeurs de rue, du mécanicien aux cireurs de chaussures, savent que la lutte des classes est une lutte politique. La lutte de classes constitue la force motrice du développement de la société divisée en Classe antagonistes. Et cette force motrice dans notre pays a toujours été les soulèvements populaires légitimes qui ont toujours fait la différence.
Si le Burkina est toujours embourbé dans son sous-développement, c’est à cause des rencontres très importants avortés entre gouvernants et ceux de la lutte des classes, des personnes qui ne sont pas capables de se mobilisé sérieusement autour de grand objectifs et de faire passer l’intérêt général avant les intérêts personnels. Ici je redis à mon camarade le premier ministre qu’un régime qui refuse d’entendre les critiques et aussi les interpellations des responsables de luttes des classes, et, pire, qui veut les faire taire par tous les moyens possibles et imaginables, n’a aucun avenir dans un pays comme le Burkina dont depuis la nuit des temps, a été cité en exemple dans le continent pour sa vitalité de lutte contre l’injustice et l’impunité et aussi des abus des présidents qui se prenaient pour des dieux en oubliant son peuple. Tous les Burkinabé confondus, du fonctionnaire de l’état aux cultivateurs, du commerçant aux balayeurs de rue, du mécanicien aux cireurs de chaussures, savent que la lutte des classes est une lutte politique. La lutte de classes constitue la force motrice du développement de la société divisée en Classe antagonistes. Et cette force motrice dans notre pays a toujours été les soulèvements populaires légitimes qui ont toujours fait la différence.