Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
ENAM : Huit opérateurs économiques reçoivent des toges de reconnaissance
16 avril 2019, 12:14, par
Le Vigilent
Très bonne proposition. A défaut de l’etendre a tous sans exception, il faudra prendre en compte tous les élèves et étudiants des écoles et instituts publics. On lire les déclarations des syndicats boycotteurs de la conférence sur la mise à plat des salaires des fonctionnaires, l’on se rend compte que même les premiers responsables de ces syndicats assimilent le gouvernement à l’Etat burkinabé. En effet, ces derniers rejettent le fait d’associer les forces vives de la nation aux discussions, harguant que leur employeur c’est le gouvernement et que les autres composantes de la nation n’ont rien à y voir. Ignorance ou mauvaise foi, allez y comprendre.
Par ailleurs, peut-on comprendre qu’au moment où la sécurité de l’ensemble de la population est menacée, avec de nombreuses victimes au sein de la population civile et des FDS,, des services publics fermés, des milliers d’élèves privés de cours, les syndicats ne trouvent rien de mieux à faire que de saboter le fonctionnement de la machine économique, le sabotage de l’education des enfants dans les zones où les écoles, lycées et collèges sont encore fonctionnels, des grèves dans les secteurs névralgiques comme la santé et l’education etc. le tout sous des prétextes fallacieux de non satisfaction de plateformes revendicatives qui n’ont aucun caractère urgent au regard des préoccupations actuelles des populations. Pour eux Il faut régler leurs problèmes salariaux et indemnitaires ici et maintenant ; la situation sécuritaire du pays et la soutenabilite des charges supplémentaires exigées par ces revendication pour les ressources de l’etat ils s’en moquent !!!
Très bonne proposition. A défaut de l’etendre a tous sans exception, il faudra prendre en compte tous les élèves et étudiants des écoles et instituts publics. On lire les déclarations des syndicats boycotteurs de la conférence sur la mise à plat des salaires des fonctionnaires, l’on se rend compte que même les premiers responsables de ces syndicats assimilent le gouvernement à l’Etat burkinabé. En effet, ces derniers rejettent le fait d’associer les forces vives de la nation aux discussions, harguant que leur employeur c’est le gouvernement et que les autres composantes de la nation n’ont rien à y voir. Ignorance ou mauvaise foi, allez y comprendre.
Par ailleurs, peut-on comprendre qu’au moment où la sécurité de l’ensemble de la population est menacée, avec de nombreuses victimes au sein de la population civile et des FDS,, des services publics fermés, des milliers d’élèves privés de cours, les syndicats ne trouvent rien de mieux à faire que de saboter le fonctionnement de la machine économique, le sabotage de l’education des enfants dans les zones où les écoles, lycées et collèges sont encore fonctionnels, des grèves dans les secteurs névralgiques comme la santé et l’education etc. le tout sous des prétextes fallacieux de non satisfaction de plateformes revendicatives qui n’ont aucun caractère urgent au regard des préoccupations actuelles des populations. Pour eux Il faut régler leurs problèmes salariaux et indemnitaires ici et maintenant ; la situation sécuritaire du pays et la soutenabilite des charges supplémentaires exigées par ces revendication pour les ressources de l’etat ils s’en moquent !!!