Burkina : Un nouvel espoir pour les langues nationales
2 avril 2019, 16:26, par
RESANE
Peut-être sommes-nous en train de marcher vers le but. Les différentes réactions sont toutes riches d’enseignement et, ce que je remarque, c’est l’unanimité sur la nécessité de choisir une langue qui ne signifie pas dépréciation des autres. Quelqu’un a parlé des enjeux socio-économiques qui s’y attachent, ce que je trouve pertinent. C’est pourquoi il faut même, dans le choix de cette langue penser à l’efficacité sous régionale (Mali, Guinée, Côte d’Ivoire, Burkina). Le dioula ou bambara me semblent indiqués. Cet avis est sans rapport aucun avec mon ethnie ; mais si cette langue était enseignée à l’école, je m’appliquerais à l’apprendre à partir des cahiers de mes enfants.
Faisons campagne ! Peut-être, peut-être, peut-être qu’un jour on y parviendra.
Peut-être sommes-nous en train de marcher vers le but. Les différentes réactions sont toutes riches d’enseignement et, ce que je remarque, c’est l’unanimité sur la nécessité de choisir une langue qui ne signifie pas dépréciation des autres. Quelqu’un a parlé des enjeux socio-économiques qui s’y attachent, ce que je trouve pertinent. C’est pourquoi il faut même, dans le choix de cette langue penser à l’efficacité sous régionale (Mali, Guinée, Côte d’Ivoire, Burkina). Le dioula ou bambara me semblent indiqués. Cet avis est sans rapport aucun avec mon ethnie ; mais si cette langue était enseignée à l’école, je m’appliquerais à l’apprendre à partir des cahiers de mes enfants.
Faisons campagne ! Peut-être, peut-être, peut-être qu’un jour on y parviendra.