Burkina : Un nouvel espoir pour les langues nationales
2 avril 2019, 10:37, par
AMKOULLEL
@Cher SOME, si Thomas SANKARA avait ouvert un débat pour décider de changer le nom de pays, on en sera encore aujourd’hui à discutailler et pinailler sur la question, et ce pays s’appellerait toujours haute volta. Le français tel qu’on le connait de nos jours était la langue du Paris bourgeois et si on avait attendu un débat pour savoir lequel du breton de l’alsacien ... choisir, c’était pas gagné d’avance. Suis pas contre le débat mais je trouve que y a des impératifs et préalables qui n’ont pas besoin de débat mais bon ! Aussi la marque des grands hommes et femmes d’Etat, se mesure aussi à la qualité de grandes décisions prises. Ce n’est pas tant la peur de l’ethnocentrisme qui m’inquiète comme blocage, mais en plus de cela, toute la machine de cette ogre, francophonie avec toutes ces tentacules diplomatiques et forces de pression, qui ne restera pas muette et silencieuse dans ce débat.
@Cher SOME, si Thomas SANKARA avait ouvert un débat pour décider de changer le nom de pays, on en sera encore aujourd’hui à discutailler et pinailler sur la question, et ce pays s’appellerait toujours haute volta. Le français tel qu’on le connait de nos jours était la langue du Paris bourgeois et si on avait attendu un débat pour savoir lequel du breton de l’alsacien ... choisir, c’était pas gagné d’avance. Suis pas contre le débat mais je trouve que y a des impératifs et préalables qui n’ont pas besoin de débat mais bon ! Aussi la marque des grands hommes et femmes d’Etat, se mesure aussi à la qualité de grandes décisions prises. Ce n’est pas tant la peur de l’ethnocentrisme qui m’inquiète comme blocage, mais en plus de cela, toute la machine de cette ogre, francophonie avec toutes ces tentacules diplomatiques et forces de pression, qui ne restera pas muette et silencieuse dans ce débat.